Cliquez
avec
la
souris
pour
en
savoir
plus
sur
la
plus
robuste
des
voitures
Mardi
2
mars
2021
A
propos
Il
y
avait
longtemps
que
Nuihau
Laurey
ne
s'était
pas
montré
dans
les
rayons
d'un
soleil
levant
lorsque
la
nuit
n'a
pas
totalement
déchiré
son
manteau
sombre
et
que
les
livreurs
de
journaux,
lèvent
tôt,
distribuent
la
presse.
Belle
photo
en
page
6 de
Tahiti
infos
d'un
homme
décontracté
digne
de
figurer
dans
"LUI",
mais
aux
lèves
minces
et
serrées
esquissant
un
vrai
faux
sourire.
Il
n'a
pas
changé,
mais
ne
fait
pas
de
révélations
fracassantes,
ce
n'est
pas
son
genre.
Reste
qu'il
confie
que
le
président
Fritch
aurait
dû
changer
sa
vision
de la
Polynésie
dans
une
gestion
opposée
de la
de la
sienne
qui
suggérait
un
emprunt
massif
pour
soutenir
le
tourisme.
Halte
là !
En
quoi
toujours
penser
à
monnayer
le
pays?
Un
emprunt
massif
pour
soutenir
le
tourisme
?
Mais
si
j'étais
un
touriste
vous
pourriez
me
donner
la
caverne
d'Ali
baba
en
entier
que
je
n'accepterais
pas
l'idée
de
venir
dans
un
pays
infesté
par
le
Covid-19,où
le
touriste
peut
se
faire
agresser
la
nuit
venue,
même
à une
moindre
échelle
que
dans
d'autres
pays.
Il
n'est
plus
question
d'argent
aujourd'hui
mais
de
vivre
ou de
mourir
du
virus
loin
de
son
pays
et la
Polynésie
française
est
marquée
pour
les
quelques
cas
qu'elle
a
connus.
De
toutes
manières
la
pandémie
n'incite
pas
aux
voyages
et
c'est
une
erreur
de
croire
qu'en
donnant
toujours
plus
d'argent
au
secteur
du
tourisme,
histoire
d'une
valse
à
mille
temps,on
fera
avancer
les
choses
par
les
temps
qui
courent.
D'autant
que
les
avions
se
font
rares
eux
aussi.
Nuihau
Laurey
possède
l'art
de la
pirouette.
Il a
discuté
avec
Gaston
Flosse
de
son
projet
de
"pays
associés
et
non
d'Etat
associé".
Car
pour
être
un
Etat
il
faut
d'abord
être
indépendant.
Dans
ces
conditions
et ce
changement
de
braquet
il
faudrait
annoncer
la
couleur.
A
moins
que
Gaston
Flosse
ait
décidé
de
faire
un
pas
de
plus,
ce
qu'il
a
fait
dans
son
statut
avec
"la
souveraineté",
un
pays
associé
est
digérable
pas
encore
un
"Etat".
Mais
Laurey
a
encore
faux
lorsqu'il
affirme
que
pour
offrir
de
vraies
chances
de
réussite
à nos
enfants,
il
faudra
renouveler
notre
classe
politique
!
Atchoum
! La
réussite
ne
tient
pas
aux
politiques
souvent
arrivés
par
piston,
elle
ne
peut
avoir
d'effet
que
par
la
valeur
des
hommes
dans
ce
secteur,
mais
aussi
au
goût
du
travail
des
élèves
en
vue
de
réussir
leur
scolarité
et
plus
encore,
Mr
Laurey
!
Sébastien
Lecornu
suggère
l’idée
d’un
nouveau
statut
pour
la
Nouvelle-Calédonie
Sébastien
Lecornu,
ministre
des
Outre-mer,
a
appelé
dans
une
tribune
à
trouver
un
nouvel
accord
entre
indépendantistes
et
non
indépendantistes.
Une «
nouvelle
solution
consensuelle
»
pour
l’avenir
du
territoire,
alors
que
l’Accord
de
Nouméa
arrive
à
terme,
quel
que
soit
l’issue
d’un
éventuel
troisième référendum.
Les
explications
de
notre
partenaire
Outremer
360°.
Dans
les
colonnes
du
JDD,
le ministre
des
Outre-mer
entame
son
intervention
par
un
rappel
des
grandes
dates
de
l’histoire
commune
de la
France
et de
la
Nouvelle-Calédonie,
évoquant
la
poignée
de
main
de
Jacques Lafleur et
Jean-Marie Tjibaou,
ou
encore
les
événements
d’Ouvéa
en
1988,
et
les
accords
de Matignon
puis Nouméa,
qui
arrivent
à
leur
terme
avec
l’issue
du
prochain
référendum
pour
l’indépendance. « Il
nous
appartient
ainsi
collectivement
d’imaginer
la
suite,
en
cas
de
victoire
du
oui
comme
du
non,
et de
penser
l’avenir
institutionnel
du
territoire. Il
n’y a
pas
d’autre
issue
qu’un
nouvel
accord
entre
les
deux
camps. L’État,
troisième
partenaire
et
garant
des
accords,
s’y tient prêt ».
Le 4
avril,
le
Congrès
pourra
décider
de la
tenue,
ou
non,
d’un
nouveau
référendum. L’actuelle
répartition
des
sièges
au
Congrès
de
Nouvelle-Calédonie
ne
laisse
aucun
doute
sur
l’issue
de
cette
échéance,
et ce
troisième
et
dernier
référendum
clôturant
l’Accord
de
Nouméa
aura
bien
lieu. En
effet,
il
faut
18
élus
du
Congrès,
sur
54,
pour
déclencher
cette
troisième
consultation.
Les
groupes
politiques
indépendantistes
du
Congrès
rassemblent
28
élus.
L’issue de
ce
troisième
référendum
devrait
être plus
qu’incertaine au
regard
de
l’écart resserré
de la
dernière
consultation
(victoire
du « non » à 53,26%,
contre
56,7%
en
2018),
laissant
entrevoir
une
courte
victoire, quel
qu’en soit
le
résultat,
et
son
lot
de
difficulté
pour
définir
les
contours
d’un
avenir
commun
dans
un
contexte
aussi
polarisé.
Sébastien Lecornu évoque
notamment
la
problématique
de
l’Usine
du
Sud.
Catalyseur
des
affirmations
politiques
des
partie-prenantes,
le
dossier
du
site
minier
de
Vale
NC
s’est
révélé
être
la
partie
visible
de
l’iceberg
Calédonien,
prisme
par
lequel
les
opinions
politiques
et
sociales
se
sont
exprimées,
dans
un
regain
de
tension
et
parfois,
de
violence. « Les
consultations
de
2018
et
2020
ont
mis à
jour
deux
blocs
ethniquement
et
géographiquement
homogènes »,
observe-t-il
également.
« Comme
les
partisans
du
maintien
dans
la
France
qui,
en
2018,
avaient
quitté
le
précédent groupe
de
dialogue,
ce
sont
aujourd’hui
les
indépendantistes
qui
pratiquent
la
chaise
vide. Ceux-ci
posent,
pour
préalable,
des
conditions
à la
reprise
d’une
usine
de
nickel
par
le
seul
consortium
en
lice,
au
risque
d’une
fermeture
qui
mettrait
en
péril
près
de 3
000
emplois. Depuis
novembre,
l’affaire
s’enlise
et
nous
empêche
de
nous
occuper
des
autres
vraies
questions »,
écrit
Sébastien
Lecornu.
Le
ministre
des
Outre-mer
évoque
enfin
les
risques
très
réels
de
l’avenir
du
territoire,
notamment
par
la
composition
d’un
électorat
aussi
divisé,
avant
de
conclure
sur
le
rattachement
de la
France
au « Caillou ». « Si,
par
trois
fois,
la
Nouvelle-Calédonie
confirmait
son
souhait
de
rester
française,
il
conviendrait
alors
de
lui
donner
un
nouveau
statut
dans
la
République »,
indique-t-il. « Mais,
trois
fois
vainqueurs,
ceux
qui
appellent
à
voter
« non »
devraient
aussi
tendre
la
main
à la
presque
moitié
des
électeurs
qui
aura
voté
« oui ».
: la
République
est
une
promesse
de
rassemblement ».
« Ceux
qui
appellent
à
voter
« oui »
doivent
expliquer
leur
vision
de
l’avenir
à
ceux
qui
appellent
à
voter
« non »
et,
pour
cela,
revenir
à la
table
des
discussions »,
a-t-il
ajouté. « L’indépendance
sèche,
sans
préparation,
apparaît
insurmontable.
Ses
conséquences
humaines,
sociales,
économiques
seraient
assurément
désastreuses.
Personne
ne la
réclame
: les
indépendantistes
s’accordent
à
souhaiter
un
partenariat
avec
la
France.
Encore
faudrait-il
pouvoir
en
discuter »,
poursuit
Sébastien
Lecornu
qui
s’est
aussi
engagé
à
transmettre « une
synthèse
approfondie
et
inédite
des
conséquences
du
« oui »
et du
« non » ».
Mais
pour
le
ministre
des
Outre-mer,
et
quel
que
soit
le
résultat
du
3ème
référendum : « il
n’y a
pas
d’autre
issue
qu’un
nouvel
accord
entre
les
deux
camps » et « l’État,
troisième
partenaire
et
garant
des
accords,
s’y
tient
prêt ». « Il
nous
appartient
ainsi
collectivement
d’imaginer
la
suite,
en
cas
de
victoire
du
oui
comme
du
non,
et de
penser
l’avenir
institutionnel
du
territoire » a
martelé
le
ministre
Lecornu.
Rappelant
que « les
accords
de
1988
et
1998
avaient
trouvé
le
chemin
difficile
de la
paix » et
qu’ils « ne
pouvaient
cependant
que
l’ouvrir
et
confier
à
d’autres
le
soin
de le
prolonger »,
Sébastien
Lecornu
appelle
à « une
nouvelle
solution
consensuelle
pour
la
Nouvelle-Calédonie » en
assurant que «
le
gouvernement
se
tient
prêt
à
(la)
rechercher,
dès
aujourd’hui
».
Organisation
du
concours
"
Résidence
d'artiste"
Cité
internationale
des
arts
-
Polynésie
française
Depuis
de
nombreuses
années
désormais,
le
ministre
en
charge
de la
Culture,
Heremoana
Maamaatuaiahutapu,
mène
une
politique
active
de
soutien
en
faveur
des
artistes
de
Polynésie
française
dans
leur
démarche
de
reconnaissance
et de
promotion
tant
locale
qu’internationale.
Ainsi,
dans
le
prolongement
de la
loi
du
Pays
du 19
mai
2016
portant
reconnaissance
des
professions
artistiques
et
diverses
mesures
en
faveur
de
l’art
en
Polynésie
française,
est
créé
le
premier
programme
de
résidence
d’artiste
réservé
aux
artistes
du
fenua
détenteurs
de la
carte
d’artiste
professionnel.
Fruit
d’une
collaboration
entre
le
Gouvernement
de la
Polynésie
française,
la
Cité
internationale
des
Arts,
le
Haut-commissariat
et la
compagnie
Air
Tahiti
Nui,
dans
le
cadre
de ce
concours,
chaque
année,
4
artistes
lauréats
auront
ainsi
l’opportunité
de se
rendre
à
Paris,
au
sein
du
plus
grand
centre
de
résidences
d’artistes
au
monde,
pour
une
période
de 3
ou 4
mois.
Même
les
avocats
ne
sont
pas
épargnés
Le HuffPost avec AFP
MARTIN BUREAU / AFPThierry Herzog, avocat historique de Nicolas Sarkozy et condamné lundi comme l'ex-président à trois ans d'emprisonnement dont un ferme pour corruption et trafic d'influence dans l'affaire dite des "écoutes", a fait appel. (photo Martin BUREAU / AFP)JUSTICE -
Thierry Herzog, ami de plus de 30 ans et avocat historique de Nicolas Sarkozy, condamné ce lundi 1er mars comme l’ex-président pour corruption et trafic d’influence dans l’affaire dite des ”écoutes”, a décidé de faire appel, ont annoncé ses avocats à l’AFP.
Condamné à trois ans d’emprisonnement dont un ferme, Me Thierry Herzog s’est vu également infliger une peine de 5 ans d’interdiction d’exercice de son métier d’avocat. Des peines suspendues donc dans l’attente d’un second procès en appel.
“L’appel est suspensif sur toutes ces dispositions. Nous sommes plus déterminés que jamais à obtenir la relaxe de Me Herzog qui est présumé innocent”, ont déclaré Hervé Temime et Paul-Albert Iweins.
Cet appel suspensif doit donc permettre à Thierry Herzog de continuer à exercer, et donc de représenter Nicolas Sarkozy dans son prochain procès en correctionnelle dans l’affaire dite “Bygmalion” sur ses comptes de campagne 2012. C’est d’ailleurs ce qu’a annoncé Me Hervé Temime ce lundi soir:
Lundi
1er
mars
2021
Une
agression
qui
s'en
prend
à
la
liberté
d'informer
Samedi
27
février,
un
photographe
de
L'Union
a
été
violemment
agressé.
Blessé
grièvement
à
la
tête
et
admis
à
l'hôpital,
son
pronostic
vital
était,
ce
lundi
matin,
toujours
engagé.
Cela
s'est
passé
en
plein
après-midi
dans
un
quartier
de
Reims.
Une
enquête
pour
tentative
de
meurtre
est
ouverte
par
le
parquet.
La
commission
de
la
carte
des
journalistes
professionnels
apporte
son
soutien
au
photojournaliste,
à
sa
famille
et
à
tous
les
journalistes
de
la
rédaction
de
L'Union.
Au-delà
des
circonstances
qui
devront
être
précisées,
la
CCIJP
s'indigne
de
cet
acte
qui
touche
un
journaliste
dans
l'exercice
de
la
profession,
en
France,
et
qui
s'en
prend
ainsi
à
la
liberté
d'informer,
pilier
indispensable
de
la
démocratie.
La
commission
de
la
carte
d'identité
des
journalistes
professionnels
Paris,
le
1er
mars
2021
Christine
Bourne
Courrier
:
Je me
permets
de
vous
interpeller
sur
le 5
mars
au
cas
où
vous
partageriez
mon
idée.
Je
suis
quand
même
étonné
que
cette
date
soit
fêtée
en
particulier
par
les
indépendantistes
car
elle
marque
en
réalité
le
début
de la
colonisation.
En
effet,
ce
sont
les
luttes
d'influence
entre
catholiques
et
protestants
qui
ont
conduit
les
anglais
et
les
français
à
s'impliquer
dans
le
Pacifique
Sud
pour
au
final
s'entendre
sur
son
partage.
Les
églises
se
sont
aussi
largement
entendues
pour
essayer
de
tuer
la
culture
et
s'approprier
des
terres
aux
détriments
des
habitants
premiers...
Bonne
journée
NB :
Certes,
vous
avez
raison
et
tout
le
monde
le
sait
mais
plus
personne
ne
revendique
désormais,
même
les
Pomare
doivent
être
"fiu"
de
répéter
toujours
la
même
chose.
Etant
donné
qu'il
n'y a
rien
à
faire
pour
modifier
les
faits
et
les
frasques
qui
perdurent,
finalement
le
principal
étant
de
vivre
en
harmonie
:
"Tout
le
monde
il
est
beau,
tout
le
monde
il
est
gentil".
C'est
la
principale
des
choses
!
Bonne
journée
à
vous
aussi
!
La
République
est-elle
laïque
?
Il
est
vrai
que
la
stigmatisation
d'une
religion
ou
d'une
communauté
est
toujours,
un
jour
ou
l'autre,
une
division
qui
ostracise
et
hystérise
sans
faire
avancer
les
choses.
Quelques
vociférateurs
ont
fait
de
l'assimilation
de
l'islam
dans
la
République
un
enjeu
de
basse
politicaillerie
alors
qu' à
mon
humble
avis,
il
aurait
fallu
l'aborder
dans
le
cadre
d'une
majorité
d'idées
aussi
bien
de
gauche
que
de
droite.
On en
est
loin
et
les
visages
horrifiés
de la
"bienpensance"
effarouchés
à
l'idée
même
que
l'on
puisse
l'effleurer,
armés
jusqu'aux
dents,
sont
toujours
en
état
d'alerte
mais
avec
moins
de
virulence
aujourd'hui.
Exemple
:
les
notables
d'Amiens
en
étaient
venus
à
débaptiser
le
traditionnel
"marché
de
Noël"
pour
l'appeler
"marché
d'Hiver"
mais
ça
n'a
pas
marché
!
Parole
de
Roselyne
Bachelot,
ancienne
ministre
de la
Santé
:
"
C'est
vrai
je
suis
dingue
d'opéra.
Mais
attention,
l'opéra
c'est
comme
l'amour,
si
c'est
raté
la
première
fois,
ça
peut
vous
en
dégoûter
à
jamais
."
Football
:
De
tous
les
phénomènes
de la
société
moderne,
le
mariage
du
sport
et de
la
télévision
est
un
des
plus
impressionnants.
Le
football
y est
roi.
Il
fait
lever
dans
les
cratères
des
stades,
l'épaisse
rumeur
des
cirques
de la
Rome
antique,
mais
il
installe
aussi
dans
des
millions
de
foyers
toute
une
comédie
humaine
conçue
dirait-on
pour
être
filmée.
Depuis
que
Ronsard
chantait
les
charmes
de
son
lointain
ancêtre
"
Faites
d'un
pied
léger
poudroyer
les
sablons.
Et
bondir
par
les
prés
l'enflure
des
ballons...)
le
football
a
quitté
son
aimable
gratuité
!
Va
balayer
la
cour
!:Il
y a
une
vingtaine
d'années
on
voyait
les
détenus
balayés
en
costume
rayé
les
rues
de
Papeete
Certains
d'ailleurs
s'étaient
carapatés
à la
vitesse
grand
V.
Ils
furent
vite
rattrapés.
Mais
il
fallait
leur
faire
honte.
Aujourd'hui
la
commune
de
Teva
I uta
et le
centre
de
détention
de
Tatutu
à
Papeari
ont
conclu
vendredi
une
convention
permettant
à la
municipalité
d'employer
des
détenus
en
fin
de
peine
pour
aider
à
leur
réinsertion
future.
C'est
donc
la
mairie
de
Tevai
uta
qui
encadrera
les
détenus
employés
sous
la
responsabilité
du
maire
Tearii
Alpha.
Mais
le
goût
de la
liberté
est
toujours
dans
chaque
individu...même
sans
le
costume
rayé
des
bagnards
puisque
le
bagne
n'existe
plus
!
Nicolas
Sarkozy
condamné
à
trois
ans
de
prison
dont
un an
ferme
dans
l’affaire
des
écoutes
L’ancien
président
de la
République
a été
déclaré
coupable
de
corruption
et
trafic
d’influence.
Il
peut
encore
faire
appel
de
cette
condamnation.
Le
Monde
avec
AFP
Nicolas
Sarkozy
a été
condamné
à
trois
ans
de
prison,
dont
un
ferme,
lundi
1er mars,
dans
l’affaire
des
écoutes.
L’ancien
président
de la
République
a été
déclaré
coupable
de
corruption
et
trafic
d’influence.
Il
peut
encore
faire
appel
de
cette
condamnation.
Les
faits
remontent
à
2014.
Nicolas
Sarkozy
était
suspecté
d’avoir
tenté
d’obtenir
d’un
magistrat
à la
Cour
de
cassation,
Gilbert
Azibert,
des
informations
confidentielles
le
concernant,
voire
de
faire
annuler
la
saisie
de
ses
agendas
présidentiels
après
avoir
obtenu
un
non-lieu
dans
l’affaire
Bettencourt.
Me
Azibert,
avocat
général
dans
une
chambre
civile,
n’intervenait
pas
directement
dans
ce
dossier
mais
il
aurait
joué
de
ses
relations.
En
échange,
M. Sarkozy
aurait
promis
d’intervenir
en
faveur
du
magistrat
pour
qu’il
obtienne
un
poste
de
prestige
à
Monaco.
Le
Parquet
national
financier
(PNF)
a
estimé
qu’un
« pacte
de
corruption »
avait
bien
été
conclu
entre
les
trois
prévenus
et
deux
magistrats
ont
requis
à
l’encontre
de
l’ex-chef
de
l’Etat
quatre
ans
d’emprisonnement,
dont
deux
avec
sursis.
Durant
les
trois
semaines
du
procès
dit
« des
écoutes »,
qui
s’est
tenu
durant
trois
semaines
fin
novembre
et
début
décembre,
les
avocats
des
trois
prévenus,
Nicolas
Sarkozy,
son
avocat
de
l’époque,
Thierry
Herzog,
et
Gilbert
Azibert
avaient
dénoncé
des
« fantasmes »,
un
« procès
d’intention »
fondé
sur
des
écoutes
« illégales »
et
ont
plaidé
la
relaxe
face
à un
« désert
de
preuve ».
La
plus
marquante
étant,
selon
les
avocats,
que
Nicolas
Sarkozy
n’a
pas
eu
gain
de
cause
devant
la
Cour
de
cassation,
et
que
Gilbert
Azibert
n’a
pas
non
plus
obtenu
la
promotion
qu’il
espérait.
Samedi
27
février
2021
A
propos
En
2001,
on
parlait
de
révolution
judiciaire
tant
la
justice
arrachait
implacablement
sa
nouvelle
autonomie
à un
exécutif
rabaissé,
à un
parlement
délaissé,
au
point
que
le
terme
de
"révolution
judiciaire"
n'était
pas
excessif.
Et
pourtant
la
confusion
s'y
est
installée
et
avec
elle
l'intempérance
anarchique
de
quelques
juges.
Mauvaise
passe
comme
on en
voit
souvent
dans
les
révolutions.
Et la
révolution
c'est
le
peuple
qui
l'a
fait.
C'est
donc
porté
par
un
puissant
courant
que
la
presse
investigue
et
que
les
juges
instrumentent.
Et
c'est
à ce
moment
là,
celle
d'une
émancipation,
que
la
justice
n'en
finit
pas
de
débusquer
ce
qui
fut
jadis
un
illégal
toléré
devenu
un
illégal
intolérable.
Ainsi
du
financement
des
partis
politiques,
les rétrocommissions
faramineuses
sur
les
ventes
d'armes
ou du
pétrole.
Certains
"businessmen"
s'y
enrichissent
toujours,on
assiste
à une
effarante
séquelle
de
détestables
pratiques..
Car
en
poursuivant
dans
le
business
l'abus
de
bien
social,
dans
le
sport
le
dopage,
dans
les
moeurs
l'inceste
et la
pédophilie etc..la
justice
devient le
lieu
où se
juge,finalement,
le
changement
de la
société.
Inauguration
de
Ninamu
Pearl
Resort
Tahiti
La
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
était
présente,
vendredi,
en
fin
de
journée,
à
l’inauguration
de
deux
structures
d'hébergement
touristique
à
Punaauia:
la
Maison
d'hôtes
Ninamu
Pearl
Tahiti
et
les
Villas
Ninamu
Pearl
Resort.
Situé
sur
les
hauteurs
de
cette
commune,
dans
le
lotissement
Sage,
cet
ensemble
compte
13
unités
d'une
capacité
d'accueil
de 30
personnes.
Cette
structure
est à
la
fois
à
taille
humaine
mais
avec
un
positionnement
plutôt
en
haut
de
gamme.
Ninamu
Pearl
Tahiti,
ce
sont
5
chambres
très
confortables
pouvant
accueillir
2 à 4
personnes
avec
vue
sur
l'océan
et
sur
Moorea.
Leur
décoration,
pensée
dans
un
style
moderne
lors
de la
création
de
l’établissement
qui a
ouvert
ses
portes
en
avril
2019,
fait
la
part
belle
aux
matières
naturelles,
couleurs
douces
et à
l'artisanat
local.
L’ambiance
est
cosy
et
tout
le
confort
est
mis à
disposition:
lit
grande
largeur
(king
size),
climatisation,
ventilateur,
télévision,
wifi,
réfrigérateur
et
coffre
individuel.
Les
propriétaires
ont,
par
ailleurs,
souhaité
proposer
une
formule
"location
saisonnière"
réalisée
sur
la
terrasse
supérieure
composée
de 8
unités
d'hébergement
comprenant
une
chambre/séjour,
une
salle
de
bains,
une
cuisine/salle
à
manger,
une
terrasse
et
une
piscine
privative.
L’investissement
pour
la
réalisation
de
ces
huit
unités
a
bénéficié
du
soutien
du
Pays
par
une
aide
directe
de 10
millions
Fcfp.
La
SOFIDEP
est
également
intervenue
dans
le
plan
de
financement.
Malgré
le
contexte
difficile
que
traverse
le
tourisme
polynésien
depuis
bientôt
un an
du
fait
de la
pandémie,
les
responsables
de la
structure
ont
souhaité
marquer
la
réalisation
de
leur
projet,
affichant
ainsi
leur
volonté
d’aller
de
l’avant
et
leur
foi
dans
l’avenir
du
développement
touristique
en
Polynésie.
La
ministre
du
Tourisme
a
souhaité
saluer
cette
volonté
et
cet
engagement,
en
soulignant
aussi
que
le
ministère
du
Tourisme
et le
Pays
soutenaient
pleinement
toutes
les
initiatives
allant
dans
ce
sens.
La
Convention
citoyenne
pour
le
climat
étrille
le
projet
de
loi
du
gouvernement
Un
nouveau
désaveu
pour
le
gouvernement.
Ce
dimanche
278
février
pour
son
ultime
session,
la
Convention
pour
le
climat
a
jugé
très
sévèrement
"la
prise
en
compte"
de
ses
propositions
par
le
gouvernement
qui
n'a
jamais
obtenu
la
moyenne
lors
d'une
série
de
votes
sur
les
six
grands
thèmes
de la
mesure.
Une
siutation
plutôt
embarrassante
lorsqu'on
se
souvient
que
le
texte
devait
justement
être
basé
sur
les
travaux
de la
Convention.
Ce
qu'il
faut
savoir
sur
le
vaccin
de
Johnson
§Johnson
contre
le
Covid-19
Le
vaccin
anti
Covid-19
de J
§J
rejoint
ceux
de
Pfizer/BionNTech
et de
Moderna
dans
l'immense
campagne
de
vaccination
aux
Etats
unis
aujourd'hui.
Ce 27
février
2020,
l'Agence
américaine
du
médicament
a
accordé
une
autorisation
en
urgence
au
vaccin
de
Johnson
§
Johnson
pour
les
personnes
âgées
de 18
ans
et
plus
alors
qu'aux
Etats
Unis
la
pandémie
a
déjà
fait
plus
de
500.000
morts.
En
Europe,
l'Agence
européenne
du
médicament
devrait
rendre
sa
décision
début
mars.
Lorraine
et
Franche-Comté
Le
nuage
de
sable
du
Sahara
porteur
d'un
élément
radioactif
: le
césium-137
Début
février,
des
vents
chargés
de
sable
provenant
du
Sahara
traversaient
notamment
la
Lorraine
et la
Franche-Comté.
Des
analyses
de
prélèvements
effectués
dans
la
Jura
montrent
que
ces
poussières
portaient
des
traces
d’essais
nucléaires
datant
de 60
ans.
Le
6 février
dernier,
le
ciel
prenait
les
couleurs
du
Sahara
sur
une
grande
partie
de la
France,
la
Lorraine
et
la
Franche-Comté
n’étant
pas
épargnées
par
le
phénomène.
Ce
jour-là
un
scientifique
de l’ACRO,
l’association
pour
le
contrôle
de la
radioactivité
dans
l’Ouest,
se
trouve
dans
le
Jura.
Il
effectue
des
prélèvements
des
particules
atmosphériques
qui
jonchent
alors
les
sols,
les
voitures…
Et le
résultat
de
l’analyse
est
« sans
appel »,
peut-on
lire
dans
un
communiqué
de
l’association :
« Du
césium
137
est
clairement
identifié.
Il
s’agit
d’un
radioélément
artificiel
qui
n’est
donc
pas
présent
naturellement
dans
le
sable
et
qui
est
un
produit
issu
de la
fission
nucléaire
mise
en
jeu
lors
d’une
explosion
nucléaire ».
Nos
photos
de ce
phénomène
Les
poussières
de
sable
qui
ont
traversé
la
France
portaient
des
traces
des
essais
nucléaires
atmosphériques
effectués
par
la
France
dans
le
Sahara
algérien
dans
les
années
60,
rappelle
l’ACRO
selon
laquelle
il
est
retombé
80 000
Bq au
km²
de
césium
137
lors
de
cet
épisode
de
février.
Il
constitue
« une
pollution
certes
très
faible »,
note
l’ACRO.
Interrogé
par
nos
confrères
de
France
3
Bourgogne
Franche-Comté,
le
scientifique
Pierre
Barbey
explique
que
dans
cette
étude,
« il
n’était
pas
question
de
dire
qu’il
y a
une
mise
en
danger
de la
population »
mais
de
rappeler
les
dégâts
des
essais
nucléaires.
« Cette
pollution
radioactive
encore
observable
à de
longues
distances
60
ans
après
les
tirs
nucléaires-
nous
rappelle
cette
situation
de
contamination
radioactive
pérenne
dans
le
Sahara »,
souligne
l’ACRO.
Vendredi
26
février
2021
L'ice
à
120.000
Frs
le
gramme
se
vend
comme
des
petits
pains
!
L'ice
plait
aux
jeunes
malheureusement.
C'est
qu'ils
ont
tout
essayé
avec
l'argent
de
maman
et
papa
qui
ignorent
le
chemin
chaotique
que
prend
leur
argent.
A la
poubelle
les
galettes
de
pakalolo,
l'ice
est
plus
goûteuse.
Ah
oui ?
C'est
qu'elle
vous
envoie
sûrement
au
dodo
éternel
de
l'Uranie.
Vous
êtes
sûr
que
c'est
là
que
vous
voulez
vous
reposer
? Car
cette
drogue
est
mortelle
bien
plus
que
le
paka
qui
est
anodin
en
comparaison,
d'autant
que
les
jeunes
sont
très
vite
accroc
à la
nouveauté
très
en
vogue,
yes,
mais
mortelle.
Cela
change
tout
n'est
ce
pas ?
Et
bien
non.
Les
ados
s'en
fichent
car
ils
ne
savent
pas
ce
que
c'est
que
souffrir
du
manque
puis
en
mourir.
L'ice,
le
gramme
se
vend
parait-il,
120.000
Frs
et
l'addiction
plus
rapide
est
sévère,
beaucoup
plus
que
le
crack,
elle
vous
lance
dans
un
engrenage
maléfique
dont
vous
ne
sortirez
pas
sans
grand
dommage.
La
volonté
n'y
suffira
pas
car
c'est
votre
cerveau
qui
sera
atteint
et
votre
mental
qui
jouera
la
fille
de
l'air
ou la
danse
macabre
ou
encore
une
sexualité
débridée
en
déstabilisent
vos
structures
mentales
et
sociales
tant
les
deux
ensemble
surpassent
le "paka
ou la
blanche".
Tout
a été
dit
sur
l'ice.
Pas
besoin
d'en
rajouter
sinon
qu'elle
vous
envoie
en
enfer
plus
vite
que
sur
vos
patins
à
glace.
Premier
comité
de
pilotage
de la
convention
entre
Météo-France
et la
Polynésie
française
Le
ministre
de la
Culture
et de
l’environnement,
Heremoana
Maamaatuaiahutapu,
a
présidé,
vendredi
matin,
le
premier
comité
de
pilotage
de la
convention
de
partenariat
signée
le 20
janvier
dernier
avec
Météo-France.
L’objet
principal
de la
réunion
a été
de
définir
la
feuille
de
route
2021.
Il a
notamment
été
question
de
deux
nouveaux
programmes
relatifs
au
changement
climatique:
le
premier
concernant
une
étude
des
projections
climatiques
à
haute
résolution
sur
tout
le
Pacifique,
avec
un
focus
sur
la
Polynésie
française,
et le
second
portant
sur
une
étude
de
l’impact
du
changement
climatique
sur
les
trains
de
houle,
en
particulier
les
houles
cycloniques.
La
consolidation
des
réseaux
d’observation
climatique
existants
a
également
fait
l’objet
de
discussions,
notamment
autour
de
l’acquisition
de
capacité
radar
pour
la
Polynésie
française.
Des
réunions
de
travail
techniques
feront
suite
à ce
comité
de
pilotage
afin
de
mettre
en
oeuvre
les
travaux
validés
par
le
comité
de
pilotage.
Insertion
professionnelle
dans
les
services
de
l’administration:
signature
de
convention
avec
la
fédération
Te
Niu o
Te
Huma
La
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
en
charge
du
numérique,
Christelle
Lehartel,
a
signé,
vendredi
après-midi,
avec
la
présidente
de la
Fédération
Te
Niu o
te
Huma,
Henriette
Kamia,
une
convention
de
partenariat
pour
une
insertion
professionnelle
effective
et
durable
dans
les
services
de
l’administration.
La
signature
s’est
déroulée
en
présence
notamment
de la
ministre
de la
Famille,
Isabelle
Sachet,
du
président
du
CESEC
(Conseil
économique,
social,
environnemental
et
culturel),
Eugène
Sommers,
de la
déléguée
interministérielle
au
handicap,
Sylvia
Berteil,
de la
directrice
des
ressources
humaines,
par
intérim,
Charlotte
Teraiarue,
de la
directrice
du
SEFI,
Hina
Grepin,
ainsi
que
des
membres
du
conseil
d’administration
de la
fédération
Te
Niu o
te
Huma.
Consciente
des
freins
inhérents
aux
représentations
que
la
société
a du
handicap,
la
ministre
a
souhaité
ainsi
réitérer
« le
soutien
que
l’ensemble
du
Gouvernement
accorde
à
chaque
travailleur
reconnu
handicapé,
en
créant
des
mesures
inédites
et en
innovant
pour
une
insertion
professionnelle
effective
et
durable
dans
les
services
publics
du
Pays ».
Ces
mesures
s’inscrivent
dans
la
continuité
de la
loi
du
Pays
du 4
janvier
2018
destinée
à
étendre
l’obligation
d’emploi
des
travailleurs
reconnus
handicapés
aux
services
de
l’administration
et
sont
déclinées
dans la
convention
de
partenariat
à
travers
3
volets:
-
La
création
des
DuoDays
de
l’administration
(des
journées
d’échanges
destinées
à
changer
les
représentations
et à
favoriser
le
repérage
de
talents
et le
recrutement
de
futurs
co-équipiers)
-
L’organisation
de
sessions
de
sensibilisation
des
agents
de
l’administration
dispensées
par
la
Fédération
Te
Niu o
te
Huma
(pour
mieux
accompagner
les
équipes
et
favoriser
une
insertion
durable)
-
La
consultation
du
monde
du
handicap
dans
le
cadre
de
l’évaluation
annuelle
de
notre
politique
publique
(pour
coconstruire
les
adaptations
nécessaires
à
faire
aboutir
notre
projet
de
société
plus
inclusive)
Sous
l’impulsion
de
leur
présidente,
tous
les
membres
du
conseil
d’administration
de la
fédération
Te
Niu o
te
Huma
ont exprimé
leur
satisfaction
quant
au
partenariat
fort
engagé
avec
le
Pays,
en
s’inspirant
de la
devise
des
Nations
Unies
en la
matière :
« Rien
ne se
fera
pour
nous
sans
nous ».
Jeudi
25
février
2021
Oublié
des
dieux
C'est
la
bérézina
touristique
et il
fallait
s'y
attendre,
encore
et à
cause,
du
virus
"Covid
-19"
qui
ne
semble
frapper
que
la
Polynésie,
puisqu'on
ne
voit
rien
de
semblable
ailleurs,
ayant
entraîné
une
chute
vertigineuse
de la
fréquentation
touristique
en
Polynésie
en
2020.
Et ce
n'est
pas
brillant
depuis
le
début
de
l'année
2021.
De
300.000
visiteurs
en
2019
souligne
l'Institut
de la
Statistique,
la
Polynésie
est
passée
à
89.500
et à
77.000
en
2020
.
Pire
que
la
fonte
des
neiges
cette
chute,
relève
d'une
une
vraie
catastrophe
pour
l'industrie
touristique
aussi
bien
que
pour
le
marché
intérieur.
Les
touristes,
on
peut
le
comprendre,
boudent
le
pays
"oublié
des
dieux".Ils
ont
peur
du
Covid
et
encore
nous
avons
de la
chance
d'en
avoir
quelques
milliers,
non,
non
pas
de
covid,
des
touristes.
Mais
tout
n'est
pas
perdu
pour
tout
le
monde
puisque
la
concurrence
entre
pharmacies
étant
interdite,
le
pays
étant
passé
outre,devra
indemniser
le
chiffre
d'affaires
de la
pharmacie
qui
ne
souffre
pas
la
concurrence
à
hauteur
de
106
millions.
Chouette
ça
tombe
tout
seul
!
Ce
qui
est
tombé
chez
moi
c'est
plutôt
"la
scoumoune",
mon
réfrigérateur
est
tombé
en
panne,
nourriture
à
jeter,
puis
ce
fut
la
partie
du
réfrigérateur
qui
gèle,
qui
s'est
mis
en
vacances,
nourriture
a
jeter
ce
que
je ne
comprends
pas
c'est
que
quelques
jours
avant
une
entreprise
était
venue
vérifier
et
réparer
ce
qui
ne
marchait
pas.
mais
ce
n'est
pas
tout.
Pour
prendre
sans
doute
la
relève
ma
machine
à
laver
la
vaisselle
a dû
penser
qu'elle
était
en
enfer
et
s'est
mis à
carburer
à
grande
vitesse.
J'ai
tout
arrêté
et
j'attends
le
messie
après
avoir
croisé
le
fer
avec
mes
enfants.
L'un
d'eux
m'apportait
de la
glace
à la
vanille
et
n'a
pas
souhaité
la
reprendre,en
me
disant
"débrouillez-vous,
vous
en
vouliez
je
vous
en
apporte"
l'autre,
sans
un
mot à
pris
la
poudre
d'escampette.
Au
secours,
il
n'y a
plus
rien
qui
marche...sauf
mon
ordinateur...
je
croise
les
doigts
!
Message
de
condoléances
suite
au
décès
de
Michael
Somare
Le
Président
Edouard
Fritch
a
appris,
ce
jour,
avec
tristesse,
le
décès
de
Sir
Michael
Somare,
décédé
à
l’âge
de 84
ans,
des
suites
d’une
longue
maladie.
Considéré
comme
étant
le
« Père
de la
Nation »
en
Papouasie-Nouvelle-Guinée,
Michael
Somare
a
occupé
à
trois
reprises
les
fonctions
de
Premier
ministre
de ce
pays,
pendant
plus
de
quinze
années,
dans
les
années
70,
les
années
80,
et
plus
récemment
de
2002
à
2011.
Il a
ainsi
été
le
premier
Premier
ministre
de
Papouasie-Nouvelle-Guinée,
à
l’indépendance
de ce
pays
en
1975.
Il a
également
été
pendant
toutes
ces
décennies
une
grande
figure
du
Pacifique,
une
voix
qui
portait
bien
au-delà
du
monde
mélanésien,
dans
toute
la
région,
et
sur
la
scène
internationale
également.
Le
Président
et
l’ensemble
des
membres
du
gouvernement
saluent
la
mémoire
de
cette
personnalité
hors
du
commun.
Ils
rendent
hommage
à
cette
figure
emblématique
de
l’Océanie
et
adressent
en ce
sens
un
message
de
soutien,
de
compassion
et de
fraternité,
aux
autorités
de la
Papouasie-Nouvelle-Guinée.
Mercredi
24
février
2021
A
propos
du
nucléaire
23
maladies
reconnues
comme
pouvant
être
radio
induites,
c'est
à
dire
résultant
d'une
exposition
à des
rayonnements
ionisants
dus
aux
essais
nucléaires
français,
est
éligible
à une
indemnisation
si
elle
est
atteinte
pratiquement
d'une
des
23
maladies
et de
tous
les
cancers
possibles
et
imaginables
y
compris
celui
du
cerveau
,
plus
les
leucémies(
cancer
du
sang)
sans
compter
une
autre
saloperie,
la myetodisplasies.
N'en
jetez
plus,
la
cour
est
pleine
!
Mais
les
bouboules
de
ces
messieurs
sont
saines
et
sauves
et
non
atteintes
par
les
maladies
reconnues
comme
nous
le
relevions
plus
haut.
Ouf !
Donc
on
peut
penser
qu'il
n'y a
pas
eu de
nudistes
en
ballade
sur
les
zones
à
risques.
On
peut
dire
qu'ils
ont
de la
chance
d'avoir
été
prudents,
tant
les
cancers
ont
touché
pratiquement
toutes
les
parties
du
corps
de
ceux
qui
n'en
avaient
pas...
de la
chance
!
Mais
ces
travailleurs
du
nucléaire
étaient-ils
bien
protégés,
comme
ils
le
sont
aujourd'hui
dans
les
films
que
nous
pouvons
visionner
sur
le
sujet
? No
lo so
! Car
petit
à
petit
comme
pour
le
grand
requin
blanc,
ces
travailleurs
du
nucléaire
déclinent
et
ceux
qui
ne
meurent
pas "
s'en
sortent
plus
forts"
mais
se
gardent
bien
de
donner
des
détails
sur
leurs
travaux
et ce
qu'ils
portaient
pour
les
protéger.
La
France
on le
sait
a
réaliser
193
essais
sur
les
atolls
de
Moruroa
et
Fangataufa
dans
l'archipel
des
Tuamotu
entre
1966
et
1996
mais
ce
sont
les
46
essais
atmosphériques
qui
ont
été
les
plus
dangereux
les 8
premières
années. Toutefois,
grave
faute
de la
part
de la
France
: un
manque
d'études
complètes
pour
établir
l'impact
des
essais
sur
la
santé
des
polynésiens.
On
aura
constaté
tout
de
même
une
incidence
très
élevée
de
cancers
de la
thyroïde
dans
la
période
1998
à
2002.La
plus
élevée
au
monde
selon
les
scientifiques
avec
la
période
calédonienne.
Conclusion
: il
n'existe
pas
d'essais
nucléaires
sans
aucun
risque
.Dont
acte.
Papenoo:
les
associations
et
les
riverains
contre
le
crématorium
Les
anciens
brûlaient
les
corps
à
l'air
libre
sur
un
bûcher.
Le
crématorum
c'est
propre.
Plus
que
des
centaines
de
corps
en
putréfaction
dans
les
cimetières
bouffés
par
des
milliers
de
vers
qui
ne
craignent
pas
les
indigestions.
Le
projet
d'un crématorium
sur
les
hauteurs
de Nivee
à
Papenoo
n’est
pas
encore
sorti
de
terre
qu’il
fait
déjà débat.
En
dépit
d'une
réelle
demande,
une
telle
structure
serait
"contraire
aux
moeurs
et anti
écologique"
estiment
ses
détracteurs.
La
construction
d'un
crématorium
est
envisagée
sur
les
hauteurs
de Nivee
à
Papenoo. Une
demande
a été
déposée
en ce
sens par
le
promoteur
Dominique Auroy afin
que 2
000 mètres de
terres
défrichées
accueillent
son
projet.
Le
problème
c'est
que
c'est
justement
Auroy
qui
le
propose.
On
estime
en
"haut
lieu"
qu'il
en a
assez
fait.
Les
associations
de
protection
de
l’environnement
ne
voient
pas
d’un
bon
œil
ce
projet
et seraient
même
prêtes
à
bloquer
les
travaux
: «
On
est
contre
le projet
car c’est
pour
un
bénéfice
personnel
et
non
au
service
de la
communauté. C’est
fait
pour
qu’une
personne
fasse
fortune
»
affirme
Vincent Maono,
membre
de
l’association
Mata
Ara. Pour
les polynésiens,
se
faire
incinérer
n’est
pas
dans
les
coutumes
: «
Les gens
ne
sont
pas
prêts. Pour
l’imaginaire
collectif,
quand
on
est
enterré,
nos
corps
se
lèvent »
ajoute-t-il.
Brrrrr
!
Favorable
donc
à la
danse
macabre.
Dans
le
but
de
consulter
la
population
sur
l'implantation d’un
crématorium
dans
sa
commune, Teuira Letourneux,
maire
adjoint
de Hitià o te
ra a,
a
publié
sur
sa
page
Facebook un
sondage
: «
90 %
des
personnes
qui
ont
répondu
sont
contre
le
projet. »
Pour
les
membres
des
associations,
les
plateaux
disponibles
devraient
utiliser
les
terres
agricoles
de
façon
plus
écologique.
Le
projet
répond
néanmoins
à une
véritable
demande
puisque
l'on
estime
à
plus
de
200
le
nombre
de
personnes
incinérées
chaque
année
à
grands
frais
en
Nouvelle
Zélande. Et
que
les
Polynésiens
qui
sont
contre
n'empêchent
pas
les
autres
de
choisir
une
autre
méthode
bien
plus
propre
que
la
leur
peu
réjouissante
!
NB
Ceux
qui
souhaitent
se
faire
enterrer
à
leur
mort
,sont
libres
de
leur
choix
mais
qu'ils
laissent
au
moins
la
possibilité
à
ceux
qui
ne
veulent
pas
se
faire
bouffer
par
les
vers
d'être
incinérés.
C'est
plus
propre
depuis
la
nuit
des
temps.
Mardi
23
février
2021
Requiem
...
A
propos
de la
proposition
de Nuihau
Laurey
qui
ne
manque
pas d'
idées,et
ergotons
sur
la
baisse
du
train
de
vie
du
gouvernement
qui
pourrait
servir
à
financer
les
baisses
d’impôts
pour
les
entreprises.
Certes,
mais
il
est
dommage
qu'il
ne
se
soit
pas
posé
ce
genre
de
questions
quand
il
cumulait
ses
mandats
de
sénateur
et de
représentant,
et
donc
les
rémunérations.
Le
bon
temps
! Il
en
est
de
même
pour
sa
grande
amie
Nicole
Sanquer
qui
cumule,
elle
aussi,
les
fonctions
de
députée
et de
représentante.
mais
elle
a la
sagesse
de ne
pas
trop
jouer
du
tamtam.
Pour
être
heureux
vivons
cachés
ou
vivons
sans
bruit.
Pour
mémoire
cependant
sachez
que
la
députée-représentante
touche
de
l’Assemblée
nationale
chaque
mois
7239
euros
+
2811
euros
de
l’Assemblée
de
Polynésie
(son
indemnité
est
écrêtée
de
par
la
loi),
soit
10.040
euros
brut
par
mois,
soit
un
peu
plus
d’1,2
million
CFP
mensuellement
(beaucoup
plus
qu’un
ministre).
De
plus,
elle
bénéficie
d'un
crédit
collaborateur
de
10.581
euros
par
mois
(encore
1,2
million
CFP),
plus
une
avance
de
frais
de
mandat
(pour
acheter
ses
chocolats)
de
5373
euros
par
mois
(644.000
CFP).
Sans
compter
à
Paris
la
prise
en
charge
des
taxis,
téléphone,
courrier…
(en
gros
Laurey
avait
la
même
chose
comme
sénateur).
En
résumé :
1,2
million+1,2million+644.000=
2,844
millions
par
mois
.Elle
n'est
pas
belle
la
vie !
Et ça
donne
des
leçons
sur
le
train
de
vie
des
institutions
…Faut
pas
pousser
tout
de
même
!
Mes
congénères
et
moi
même
sommes
des
poissons
sortis
de
l'eau
qui
tressautons
sur
le
sable
chaud
sans
comprendre
ce
qui
arrive
avant
qu'on
nous
mettre
le
nez
dans
l'eau
salée,
ce
qui
n'arrive
que
très
très
rarement.
Nous
sommes
donc
condamnes
à
mourir
à
petit
feu..
A ce
propos
j'ajoute
qu'il
est
immoral
de
voir
cumuler
les
indemnités
de
deux
assemblées.
Ou
c'est
l'une
ou
c'est
l'autre!
Coronavirus
: 11
nouveaux
cas,
18.346
cas
cumulés,
9
hospitalisations,
137
décès
,5729
personnes
vaccinées
Vendredi
19
février
2021
A
propos
Réflexions
et
paroles
d'élus
Les
petites
mains
dans
les
entreprises
sont
très
souvent
les
plus
expertes
dans
le
travail
assigné.
J'ai
pu
m'en
rendre
compte
dans
la
série
de
travaux
que
j'ai
été
obligée
de
faire
accomplir
ces
derniers
temps
par
le
biais
d'une
"loi
des
séries".
Ils
connaissent
leur
métier
sur
le
bout
des
doigts
et ne
font
pas
d'erreur.
De
plus,
ils
sont
aimables
ce
qui
de
loin
est
préférable
aux
ouvriers
grincheux.
En
fait,
quand
tout
va
bien
et
que
l'on
n'a
pas
besoin
de
faire
appel
à ces
employés-
spécialistes
soit
frigoristes,
soit
pour
diverses
machines
ménagères
comme
par
exemple
machine
à
laver,
linge
ou
vaisselle,
on ne
se
rend
pas
compte
de
leur
savoir
faire.
J'ai
donc
observé
leur
recherche
pour
trouver
ce
qui
pouvait
coincer.
De
l'excellence.
Un
travail
de
fourmi
où
tout
doit
être
démonté
pour
trouver
le
pépin.
Et
c'est
fait
calmement
avec
un
savoir
faire
étonnant
parfois
en ce
qui
concerne
de
jeunes
employés
spécialisés.
Bref
lorsque
tout
va
bien,
on ne
pense
pas
que
la
machine,
quelle
qu'elle
soit,
puisse
dérailler.
Et
pourtant
! Eh
oui
cela
arrive
et
l'on
est
bien
content
de
trouver
une
main
d'oeuvre
bien
formée
et à
un
tarif
correct,
ce
qui
n'est
pas
le
cas
de
petits
patrons
qui
vous
font
payer
un
max
par
ce
qu'ils
se
sont
déplacés,
ce
que
l'on
ne
leur
demandait
pas !
Mais
c'est
la vie..Lily
!
Teura
Iriti
soutenue
à
fond
par
son
groupe
a
fait
mordre
la
poussière
à son
ex
chef
de
parti
Gaston
Flosse
qui
ne
peut
pas
toujours
gagner
(sic!)
Si
l'on
en
croit
les
propos
de
Teura,
plus
des
trois-quarts
des
élus
du
groupe
Tahoeraa
ont
refusé
sa
démission.
La
voilà
donc
maintenue
présidente
de
son
groupe
à
l'assemblée.
Etienne
Tehaamoana
a
même.
demandé
à
Gaston
Flosse
de "
"laisser
l'harmonie
du
groupe
telle
qu'elle
est
et ne
pas
créer
la
discorde
ce
n'est
pas
le
moment
de
s'éparpiller".
Dont
acte
!
Quant
à
l'ancien
sénateur
Tapura
à
l'Assemblée
Nuihau
Laurey
généralement
silencieux,
il a
pris
la
parole
hier
dans
l'hémicycle
pour
critiquer
vivement
le
gouvernement
mais
en
faisant
plaisir
aux
entreprises
pour
lesquelles
il
demande
la
mise
en
place
d'une
loi
d'exonération
d'impôt
pour
celles
dont
l'activité
a
baissé
de
plus
de
30%
en
2020."
Elles
sont
dans
l'incapacité
d'assumer
ces
charges
fiscales.
les
moratoires
ne
régleront
pas
ce
problème.".
Grise
mine
du
gouvernement
et
réponse
acide
de
Nuihau
Laurey,
pragmatique
en
diable,
qui a
donné
la
recette
pour
permettre
aux
entreprises
en
perte
de
vitesse
de
tenir
le
coup
:
.
Comment
financer
cette
mesure
?
Mais
en
diminuant
les
dépenses
publiques
et le
train
de
vie
des
institutions
et du
gouvernement.
Vlan...Fermez
le
ban.
Sauf
que
Nicole
Bouteau
a
vite
balayé
cette
proposition
et
pour
cause
:
Vous
pouvez
comprendre
que
nous
ne
pouvons
pas
opérer
une
exonération
générale
de
l'ensemble
des
impôts
dus
par
les
entreprises.
Cela
viendrait
déséquilibrer
l'édifice
budgétaire
qui
nous
permet
de
venir
en
aide
aux
plus
vulnérables,
aux
entreprises
et
aux
salariés."Ah
bon
?!
Mais
elle
peut
commencer
par
son
propre
train
de
vie,
non ?
Les
mairies
devraient
prévenir
de
leurs
travaux
sur
la
route,
toutes
ne le
font
pas :
une
voiture
a
reçu
sur
son
pare-brise
qui a
explosé
une
grosse
branche
d'un
arbre
sur
lequel
travaillait
un
ouvrier
Heureusement
pas
de
blessés.
La
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
en
charge
du
numérique,
Christelle
Lehartel,
a
ouvert,
jeudi
après-midi,
avec
Philippe
Lacombe,
Vice-recteur
de la
Polynésie
française,
la
réunion
du
collège
des
inspecteurs
pédagogiques
du
premier
et du
second
degré
à la
Direction
Générale
de
l’éducation
et
des
enseignements
(DGEE),
à
Pirae.
Ce
que
pensent
les
spécialistes
"santé"
en
métropole
Le
secteur
de la
santé
est
au
bord
de l'implosion.Plus
besoin
de
faire
un
dessin
pour
parler
de
l'effondrement
du
modèle
qui
faisait
noter
fierté
depuis
des
décennies.
On a
vu où
menait
la
fermeture
des
hôpitaux,
la
suppression
des
lits
par
dizaines
de
milliers,
la
baisse
des
effectifs.
Nos
soignants
ont
affronté
le
Covid
19
sans
masques,
sans
blouses,
sans
gants,
sans
respirateurs,
sans
tests,
sans
médicaments.
Beaucoup
ont
payé
de
leur
vie
l'incurie
et
l'imprévoyance
du
pouvoir
et on
apprend
aujourd'hui
qu'ils
devront
payer
leurs
masques.
Je ne
sais
pas
si
c'est
vrai
mais
dans
le
livre:
"
40
ans
d'élites
françaises
:" un
désastre"
L'auteur
nous
explique
que
depuis
40
ans
les
Français
ont
le
grand
malheur
d'être
gouvernés
par
les
"élites"
les
plus
incompétentes
et
les
plus
irresponsables
du
monde
occidental
tant
l"effondrement
du
pays
en
une
seule
génération
est
effarant.
je
vous
passe
la
suite.
lisez
sur
internet
c'est
impressionnant
!
Séminaire
de
clôture
de la
démarche
d’élaboration
de la
Politique
Publique
de
l’Habitat
Le
séminaire
de
clôture
de la
démarche
d’élaboration
de la
Politique
Publique
de
l’Habitat
s’est
déroulé,
vendredi,
à la
Présidence,
en
présence
du
ministre
du
Logement,
Jean-Christophe
Bouissou.
Le
ministre
des
Finances,
Yvonnick
Raffin,
la
ministre
de la
Famille,
Isabelle
Sachet,
le
président
de
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
Gaston
Tong
Sang,
la
députée
Maina
Sage,
le
chef
des
subdivisions
administratives
des
îles
du
Vent
et
des
îles
Sous-le-Vent,
Guy
Fitzer,
le
président
du
CESEC
(conseil
économique,
social,
environnemental
et
culturel),
Eugène
Sommers,
et le
directeur
général
de la
CPS
(Caisse
de
prévoyance
sociale),
Vincent
Fabre,
étaient
également
présents
pour
la
table
ronde
organisée
à
cette
occasion.
En
ouverture
de ce
séminaire,
le
Président
Edouard
Fritch
a
prononcé
un
discours
dans
lequel
il a
rappelé
les
enjeux
et
l’importance
de la
politique
publique
de
l’habitat.
« Il
est
temps
de
réguler
le
marché
de
l’immobilier
afin
d’apporter
des
réponses
en
habitat
adaptées
au
plus
grand
nombre
de
nos
concitoyens.
Aux
côtés
de l’OPH,
de
nombreux
opérateurs,
notamment
les
OLSP,
seront
soutenus
dans
leur
développement
par
le
Pays
pour
produire
du
logement
abordable »,
a
indiqué
le
Président
dans
son
discours.
Le
soutien
à
l’opérateur
de
logement
public,
l’OPH
(Office
polynésien
de
l’habitat),
sera
conforté
afin
de
garantir
350
unités
de
logements
locatifs
sociaux
groupés
et la
livraison
de
500
Fare
par
an.
« La
réponse
aux
besoins
en
logement
est
affirmé
comme
une
priorité
pour
le
Pays »,
a
souligné
le
Président.
Elle
l’est
d’autant
plus
qu’elle
constitue
un
moteur
de
développement
économique
majeur,
tant
pour
la
construction
que
pour
la
rénovation,
mais
aussi
pour
la
mobilisation
des
ressources
primaires,
tel
que
le
bois
local.
« Nous
nous
sommes
réunis
pour
un
séminaire
de
clôture
mais,
en
réalité,
ce
séminaire
marque
surtout
aujourd’hui
le
début
d’un
grand
défi
que
nous
avons
à
relever
ensemble »,
a
indiqué
le
Président.
Ce
séminaire
avait
pour
ordre
du
jour
la
présentation
de la
stratégie
inscrite
à la
Politique
Publique
de
l’Habitat
et sa
feuille
de
route
2021-2030
ainsi
qu’une
table
ronde
sur
les
perspectives
ouvertes
par
la
Politique
Publique
de
l’Habitat.
La
Politique
Publique
de
l’Habitat
(PPH),
impulsée
par
le
ministère
du
Logement
et de
l’aménagement
et la
Délégation
à
l’Habitat
et à
la
Ville
(DHV),
est
une
démarche
partenariale,
impliquant
élus,
acteurs
institutionnels,
professionnels
et
associatifs,
à
l’échelle
de
l’ensemble
des
archipels
de la
Polynésie
française.
C’est
une
stratégie
globale
sur
10
ans
en
matière
d’habitat,
qui
prend
en
compte
l’environnement
du
logement,
avec
des
actions
et
une
programmation
de
logement
adaptées
à
chaque
archipel.
Ce
projet
a été
engagé
il y
a 18
mois
sous
le
pilotage
du
ministre
du
logement
et de
la
Délégation
à
l’Habitat
et à
la
Ville,
avec
l’appui
du
cabinet
de
conseil
Groupe
SCET,
pour
répondre
aux
besoins
en
habitat
des
Polynésiens.
Les
communes
ont
été
largement
associées
à la
réflexion
pour
prendre
en
compte
la
diversité
des
modes
de
vie
dans
les
archipels.
Cette
politique
sectorielle
n’est
pas
uniquement
une
politique
du
logement,
c’est
une
politique
de
l’Habitat
dans
son
ensemble,
c’est-à-dire
qu’elle
s’intéresse
à
l’habitant
et à
ses
usagers.
La
Politique
Publique
de
l’Habitat
s’intéresse
aux
démarches
à
engager
pour
garantir
un
habitat
digne
pour
tous.
Au-delà
de la
construction
de
nouveaux
logements,
le
projet
prévoit
également
de
rénover
les
logements
existants.
Elle
s’inscrit
dans
les
grands
objectifs
du
Schéma
d’Aménagement
Général
(SAGE),
dont
elle
constitue
une
déclinaison
opérationnelle.
Les
situations
de
précarité,
en
matière
de
logement,
restent
malheureusement
trop
nombreuses
en
Polynésie.
Le
Pays
pourra
notamment
s’appuyer
sur
l’Agence
immobilière
à
vocation
sociale
de
Polynésie
française
qui
œuvre
d’ores
et
déjà
à
proposer
des
logements
accompagnés
pour
des
personnes
en
difficulté
sociale.
Le
soutien
à
l’opérateur
de
logement
public,
l’OPH,
sera
conforté
afin
de
garantir
un
rythme
de
production
soutenu
de
logements
locatifs
sociaux
groupés
(350
unités
par
an)
et la
livraison
de
fare.
Jeudi
18
février
2021
A
propos
La
révolution
des
termites
: le
"papergate"
Ces
petits
vers
qui
affectionnent
cartons
et
papiers
arrachent
implacablement
leur
autonomie
alimentaire
dans
les
placards
de
bureau,
là ou
l'on
range
des
chemises
de
documents
dont
on ne
vérifie
pas
régulièrement
le
contenu
là où
les
termites
trouvent
à
grignoter
avec
gourmandise
leur
nourriture,
surtout
les
vieux
documents
des
années
passées
stockées
dans
de
délicieuses
chemises.
Un"
papergate"
dans
lequel
je me
suis
plongée
hier
dans
un
puissant
mouvement
d'investigation.
Incroyable
de
dépiauter
une
occupation
irrégulière
d'habitats
de
termites
bien
cachés
qui
savent
grignoter
sans
aucun
bruit,
grisés
par
de
tels
repas
auxquels
j'ai
mis
fin
grâce
aux "terminators"
et un
mal
de
tête
prononcé.
Le
nettoyage
des
traces
laissés
par
les "
affamés"
est
éreintant
car
tout
doit
être
vidé
puis
replacé
une
fois
nettoyé
et
désinsectisé.
L'incident
est
clos.
Mais
j'en
fais
état
ici
pour
mettre
en
garde
mes
lecteurs
de ce
qui
peut
arriver
quand
on
met
trop
de
temps
à
vider
étagères
et
bureaux.
D'autant
que
si
vous
tombez
sur
des
techniciens
consciencieux
et
honnêtes,
vous
avez
de la
chance
mais
d'autres
ne le
sont
pas
qui
vous
prennent
presque
40.000
Frs(38.500
Frs)
pour
deux
piqûres
de
poison
anti-
termites
dans
le
bois
d'un
encadrement
de
porte
!!!
Politique
:
Du
rififi
dans
les
oranges
Teura
Iriti
était-elle
trop
indépendante
pour
perdre
d'un
coup
la
confiance
de
son
chef
de
parti
Gaston
Flosse
qui
lui a
demandé
de
laisser
sa
place
de
présidente
du
groupe
Tahoeraa
à
l'Assemblée
?
Sans
doute.
Quelques
jours
après
les
déclarations
tonnantes
de ce
dernier
sur
le
fonctionnement
de
son
groupe
dans
l'hémicycle
de
l'Assemblée,
Flosse
a
tenu
hier
soir
un
conseil
politique
au
"siège".
C'est
toujours
mauvais
signe.
Et
nous
ne
nous
trompons
pas,
le
sujet
était
le
remplacement
de la
pourtant
fidèle
Teura
Iriti
,
ainsi
qu'un
coup
de
pied
dans
la
quiétude
du
groupe
orange
à
l'Assemblée
auquel
il
reproche
de ne
pas
faire
de
rapports,
de ne
pas
déposer
de
questions
d'actualité
ou de
propositions
de
lois.
Bref
vous
l'avez
compris,
le
chef
n'est
pas
content
et
l'a
fait
savoir.
Le
conseil
politique
aura
été
hier
l'un
des
plus
longs
de sa
mandature
avec
pour
thème
les
manquements
du
groupe
à
l'Assemblée,
la
démission
de sa
présidente
Iriti
et
son
remplacement
par
Vaitea
Le
Gayic.
La
réunion
qui
doit
avoir
lieu
ce
matin
avant
la
séance
risque
d'être
houleuse
même
si
Teura
a
fait
savoir
hier
d'un
ton
guilleret
: "
On
continu,
à
demain".
On
remarquera
que
Teura
a du
tonus
,
qu'elle
ne se
laisse
pas
démonter
facilement,
qu'elle
a de
la
répartie
et
qu'elle
n'affectionne
pas
de
passer
ses
journées
à
préparer
des
confitures
d'oranges
pour
ses
enfants.
En
fait
ses
ruades
ont
fait
d'elle
, la
star
du
Tahoeraa
qui
n'est
pas
du
genre
a
tressauter
à la
porte
de
son
parti
sans
comprendre
ce
qui
lui
arrive.
Loin
de
là.
Elle
est
rôdée
aux
batailles
politiques.
Elle
sait
affronter
les
orages,
ne
manque
pas
d'
une
vision
économique
et
sociétale
des
problèmes
et
n'est
pas
contre
certaines
réformes
de la
société.
Mais...
si le
Tahoeraa
est
intelligible,
il
est
loin
de
constituer
pour
elle
un
mystère.
Flosse
n'aurait
pas
du
sous
estimer
son
obstination,
ses
capacités,
sa
puissance
de
travail,
sa
vitalité
et
son
refus
de
mourir
!
Elle
n'est
pas
une
impasse
mais
un
boulevard
pour
le
Tahoeraa
à
condition
qu'il
ne
fasse
pas
semblant
de ne
pas
le
voir.
La
difficulté
pour
un
parti
comme
le
Tahoeraa
est
de ne
pas
laisser
perdre
son
capital
organisationnel,
générationnel,
tout
en
étant
capable
d'éviter
une
crise
dans
laquelle
il
perdrait
quelques
belles
plumes.
Le
conseil
des
ministres
ne va
pas
aux
champs
mais
à
Fakarava
où il
tiendra
son
conseil
mercredi
prochain.
Et
allez
donc
!
Patrick
Poivre-d'Arvor
célèbre
présentateur
de
télévision
du
20h
de
TF1
visé
par
une
enquête
pour
viols
!
Deux
rapports
sexuels
contraints
en
2004
et
2009...
Adventure
Line-Production,
la
société
qui
produit
Koh
Lanta
s'apprête
à
revenir
à
Tahiti
pour
tourner
une
nouvelle
saison
de
l'émission
entre
mars
et
juin
2021.
ce
n'est
pas
gratuit,
le
pays
va
apporter
un
soutien
financier
de
près
de
300
millions
cfp
sous
une
forme
qui
reste
à
déterminer
!
Oups
!!!Est-ce
bien
au
pays
de
venir
en
aide
à une
émission
privée
?
Le
président
Fritch
a-t-il
adopté
un
nouveau
look
pour
l'ouverture
de
l'Assemblée
ou
est-il
très
fatigué
?
Nous
pencherions
pour
la
dernière
hypothèse
tant
il
est
rare
de le
voir
présider
dans
cet
état.
A
moins
qu'il
ne se
laisse
pousser
la
barbe.
Nouvelle
année,
nouveau
look
!?
Mystère
percé
: le
président
va
bien
mais
il
était
en
retard
et
n'a
pas
eu le
temps
de se
raser
!!!!Cela
arrive
à des
gens
très
bien
! La
preuve...
Voici
ce
qu'il
dit
au
sujet
du
renforcement
des
mesures
prises
contre
le
virus
Covid-19
Cette
session
extraordinaire
de
notre
assemblée
a été
principalement
motivée
par
la
nécessité
de
soumettre
à
votre
approbation
le
renforcement
des
mesures
d’urgence
pour
préserver
les
emplois
et
les
entreprises,
notamment
dans
les
secteurs
du
tourisme
et
des
métiers
connexes.
Vous
le
savez,
le 29
janvier,
dans
le
cadre
de la
lutte
contre
la
propagation
du
Coronavirus
et de
ses
variants,
le
Premier
ministre
Jean
Castex
a
annoncé
la
fermeture
des
frontières
nationales,
et
par
voie
de
conséquence
celles
de la
Polynésie
française.
Cette
décision
s’est
appliquée
le 3
février
pour
ce
qui
nous
concerne.
Dès
ce 29
janvier,
le
gouvernement
s’est
réuni
en
séminaire
pour
faire
le
point
sur
la
situation
et
préparer
les
mesures
d’urgence
à
mettre
en
œuvre
pour
sauvegarder
notre
économie
et
accompagner
les
personnes
les
plus
fragiles.
Ce
sont
donc
les
mesures
qui
vous
sont
présentées
aujourd’hui
et
sur
lesquelles
je
vais
revenir
un
peu
plus
tard.
Avant
de
venir
sur
ces
dispositions,
je
souhaite
faire
avec
vous
un
point
sur
la
situation
sanitaire
puisque,
comme
vous
le
savez,
malgré
l’annonce
de la
fermeture
des
frontières,
il
est
toujours
possible
d’entrer
en
Polynésie
française
en
raison
d’un
motif
qualifié
« d’impérieux ».
Nous
avons
toutefois
décidé,
depuis
le 9
février,
d’imposer
une
quatorzaine
stricte
à
tous
les
arrivants
dans
notre
Pays,
mais
un
certain
nombre
de
personnes
sont
entrées
en
Polynésie
avant
cette
date
et
n’ont
été
soumises
qu’aux
anciennes
dispositions.
****
SITUATION
SANITAIRE****
A ce
jour,
notre
situation
sanitaire
est
satisfaisante.
Nous
enregistrons
22
nouveaux
cas
positifs
par
jour
et un
total
de 73
cas
actifs
sur
l’ensemble
de la
Polynésie.
Le
nombre
d’hospitalisations
est à
7
malades
dont
4
placés
en
réanimation.
Et
nous
cumulons
un
total
de
136
décès.
Le
seul
point
désolant
est
le
nombre
cumulé
de
décès.
Je
reviendrai
sur
ce
dernier
point
tout
à
l’heure.
Cette
situation
sanitaire,
que
je
qualifie
de
satisfaisante
voire
rassurante,
est
le
résultat
des
efforts
des
Polynésiens
depuis
la
mi-octobre
2020.
Vous
vous
souvenez
qu’à
cette
date,
le
Haut-commissaire
et
moi-même
avions
décidé
de
mettre
en
place
un
couvre-feu
en
raison
de la
flambée
épidémique,
avec
près
de
500
nouveaux
cas
positifs
par
jour
et
une
menace
de
saturation
hospitalière.
Nous
avions
pris
des
mesures
de
restrictions
pour
interdire
les
rassemblements
de
toute
nature,
en
particulier
festifs
et
sportifs.
Nous
avions
demandé
aux
Polynésiens
de se
discipliner
à
nouveau
et de
respecter
les
consignes
sanitaires
afin
de
stopper
la
propagation
forte
du
virus.
Ainsi,
à
partir
du
mois
de
décembre
2020,
nous
avons
constaté
les
premiers
effets
encourageants
de
nos
mesures.
Le
nombre
de
nouveaux
cas
positifs
avait
entamé
leur
décroissance
et
les
tensions
sur
les
admissions
hospitalières
commençaient
aussi
à
baisser.
Même
durant
les
fêtes
de
fin
d’année,
avec
la
Noël
et la
Saint-Sylvestre,
les
Polynésiens
se
sont
bien
comportés
et
n’ont
pas
aggravé
la
situation
sanitaire.
Cette
tendance
à la
baisse
s’était
poursuivie
tout
au
long
du
mois
de
Janvier
2021
et
aujourd’hui,
nous
sommes
sur
cette
même
tendance.
Le
point
désolant
est
le
nombre
de
décès.
A la
mi-octobre
2020,
avant
la
flambée
épidémique,
nous
cumulions
11
décès.
La
flambée
d’octobre
2020
a
amené
plus
de
200
personnes
en
hospitalisation
et
causé
plus
de
120
décès
entre
novembre
2020
et
janvier
2021.
C’est
ce
qui
m’a
amené
à
affirmer
devant
les
Polynésiens,
le 11
février
dernier,
qu’une
flambée
épidémique
conduit
à une
flambée
des
hospitalisations
et
une
augmentation
des
décès
de
personnes
affaiblies
par
une
comorbidité.
C’est
en
ayant
tiré
les
leçons
de
cette
période
que
nous
avons
pris
des
précautions
contre
les
virus
variants.
Nous
avons
accepté
la
décision
prise
par
le
Premier
Ministre,
Jean
Castex,
de
fermer
les
frontières.
Cette
décision
était
motivée
par
une
volonté
de
prévention
sanitaire
des
territoires
ultramarins
face
à la
montée
des
virus
variants
en
Europe
et
dans
le
monde.
Ces
variants
apparaissaient
selon,
les
informations
reçues
de
Paris,
plus
contagieux
et
plus
virulents.
La
seule
solution
pertinente
est
de
fermer
les
frontières,
du
moins
de
limiter
drastiquement
les
entrées
de
personnes
de
l’extérieur
pouvant
être
porteur
de
ces
virus.
Où en
sommes-nous
vis-à-vis
de
ces
variants ?
Le
premier
cas
de
variant
a été
détecté
il y
a une
semaine,
et
nous
sommes
à 10
cas
identifiés.
Sur
ce
total
de 10
cas,
7 cas
sont
importés
et
trois
cas
contact
issus
de la
même
famille.
Ceci
m’amène
à
vous
dire
que
le
protocole
sanitaire
mis
en
place
avec
un
test
PCR à
J+4
est
efficace,
car
il
permet
de
détecter
les
personnes
infectées
et
par
conséquent
de
les
isoler
rapidement.
Les 7
cas
positifs
au
virus
variant
n’ont
pas,
fort
heureusement,
provoqué
jusqu’à
présent,
un
effet
dévastateur
comme
cela
nous
l’avait
été
présenté
par
les
autorités
nationales.
Le
variant
est
désormais
bien
présent
à
Tahiti
et
n’a
pas
provoqué
de
flambée
épidémique,
à ce
jour.
Dieu,
merci.
Les
quelques
cas
positifs
répertoriés
sont
surveillés
ainsi
que
leurs
cas
contacts.
Ne
tirons
pas
de
conclusion
trop
hâtive.
Nous
restons
encore
prudents
et
nous
gardons
nos
mesures
de
protection.
C’est
dans
cet
esprit
que
l’Etat
a
imposé
le
motif
impérieux
pour
justifier
le
voyage
et
que
le
Pays
a
prescrit
la
mise
en
place
d’une
quatorzaine
à
tous
les
passagers
arrivant
de
l’extérieur,
depuis
le 9
février.
De ce
fait,
nous
n’avons
plus
aucun
passager
en
provenance
des
Etats-Unis.
Nos
mesures
ont
dissuadé
les
deux
tiers
des
personnes
qui
avaient
une
réservation
à
partir
de
Paris.
De
facto,
les
vols
en
provenance
de
Paris
vont
diminuer
dans
les
prochains
jours.
Notre
campagne
de
vaccination
se
poursuit
et
nous
sommes
à
près
de
6000
personnes
ayant
reçu
leur
première
injection
et
près
de
1500
personnes
ayant
reçu
leur
seconde
injection.
La
vaccination
à
grande
échelle
est
la
solution
efficiente
qui
nous
est
offerte
à ce
jour
pour
nous
protéger.
Nous
continuerons
à
nous
approvisionner
en
vaccins
pour
atteindre
près
de
80 000
personnes
vaccinées
à
Tahiti,
au
mois
de
septembre
prochain.
Si
notre
situation
sanitaire
se
stabilise
au
niveau
actuel,
dans
les 2
semaines
à
venir,
nous
pourrons
envisager
un
assouplissement
supplémentaire
de
nos
mesures.
Bien
entendu,
nos
acteurs
du
tourisme,
en
premier,
nous
posent
la
question
de la
date
de
réouverture
de
nos
frontières.
Ils
ont
besoin,
et à
juste
titre,
d’une
lisibilité
du
calendrier,
pour
une
reprise
préparée
de
leurs
activités.
Nous
y
travaillons
déjà
et
nous
informerons
très
largement
les
Polynésiens
de
nos
futurs
calendriers.
Vous
le
savez,
ce
virus
nous
réserve
des
surprises
que
nul
n’est
en
capacité
de
prévoir.
SITUATION
ECONOMIQUE
Pour
l’immédiat,
nous
devons
parer
aux
urgences
économiques
et
sociales
de
notre
fermeture
actuelle
et
c’est
l’objet
des
mesures
de
sauvegarde
que
nous
vous
présenterons
au
cours
de
cette
session
extraordinaire.
Comme
nous
l’avons
déjà
vécu,
en
2020,
durant
la
période
de
confinement,
ce
sont
toutes
nos
activités
liées
aux
flux
de
passagers
et de
marchandises
provenant
ou à
destination
de
l’extérieur,
qui
sont
touchées.
Fort
heureusement
toute
l’administration
publique
du
Pays,
des
communes
et de
l’Etat,
est
restée
préservé
de
cette
crise,
et
les
salariés
assurés
de
toucher
leur
salaire,
et
encore
jusqu’à
ce
jour.
Aujourd’hui,
la
fermeture
de
nos
frontières
impacte
les
mêmes
secteurs
et
ont
les
mêmes
effets
que
ceux
constatés
en
2020,
mais
à la
différence
que
l’arrêt
des
activités
s’abat
sur
des
secteurs
et
des
entreprises
déjà
fragilisées
durant
l’année
2020.
A la
fin
de
l’année
2020,
la
plupart
des
entreprises
avait
épuisé
leur
trésorerie
et
certaines
ont
rogné
leurs
capitaux
propres.
Ces
entreprises
sont
en
grande
souffrance
comme
tous
les
salariés
de
tous
ces
secteurs
fragilisés
par
la
crise.
Ils
en
sont
à se
poser
de
sérieuses
questions
quotidiennement
sur
leur
devenir
et
l’avenir
de
leurs
enfants.
Mais,
ils
ne se
résignent
pas à
baisser
les
bras.
Les
perspectives
économiques
encourageantes
pour
l’année
2021
permettaient
aux
chefs
d’entreprises
de
tenir
bon,
avec
l’espoir
de
reconstruire
petit
à
petit
la
santé
financière
de
leurs
entreprises.
Les
informations
qui
nous
parvenaient
et,
en
particulier
en
faveur
d’une
reprise
rapide
du
tourisme
international,
nous
donnaient
une
lueur
d’optimisme
pour
2021.
Cette
fermeture
de
nos
frontières
est
venue
perturber
notre
envol.
Elle
nous
oblige
à
apporter
un
soutien
public
conséquent
et
proportionné
aux
difficultés
rencontrées
par
les
entreprises.
Vous
vous
rappelez
que
lorsque
nous
avons
pris
la
décision
de
fermer
les
frontières
en
mars
2020,
nous
avons
immédiatement
mis
en
place
les
mesures
d’urgence
nécessaires
à la
sauvegarde
des
entreprises,
des
emplois
mais
également
les
mesures
en
faveur
des
plus
démunis.
Ainsi,
deux
types
de
dispositifs
ont
été
créés :
-
D’une
part,
les
dispositifs
mis
en
œuvre
pendant
le
confinement
alors
que
l’activité
économique
était
à
l’arrêt : Revenu
exceptionnel
de
solidarité
(RES)
en
faveur
des
salariés,
Indemnisté
de
solidarité
(IS)
pour
les
travailleurs
indépendants,
Indemnité
exceptionnelle
(IE)
en
faveur
des
travailleurs
privés
d’emploi
et
CAES
pour
ceux
qui
n’avaient
aucun
revenu
dans
la
famile ;
-
D’autre
part,
les
mesures
post-confinement
(destinées
à des
secteurs
jugés
prioritaires)
pour
accompagner
la
reprise
progressive
de
l’activité
économique :
le
DIESE
pour
soutenir
les
entreprises
obligées
de
réduire
leur
activité
et
compenser
ainsi
les
pertes
de
salaire,
et le
DESETI
pour
soutenir
les
travailleurs
indépendants
contraints
de
cesser
leur
activité.
Parallèlement,
la
Convention
de
Soutien
à
l’Emploi
(CSE),
dispositif
qui
existait
déjà,
a été
ouverte
à
tous
les
secteurs
d’activités.
De
nombreuses
entreprises
ne
relevant
pas
des
secteurs
prioritaires
éligibles
au
DIESE
y ont
recours
depuis
la
fin
du
confinement
(fin
mai),
leur
activité
ayant
également
été
impactée.
Pour
l’heure
nous
pouvons
dire
que
ces
dispostifs
ont
rempli
leur
objectif
qui
est
celui
de la
sauvegarde
des
emplois.
Ainsi,
au
terme
de
l’année
2020,
le
RES a
bénéficié
à
plus
de
11.000
personnes
pour
un
montant
de
1,225
milliard ;
l’IE
a
bénéficié
à
près
de
1200
personnes
pour
374
millions ;
l’IS
a
bénéficié
à
plus
de
6800
personnes
pour
1,2
milliard ;
le
CAES
à
près
de
4000
personnes
pour
605
millions.
Concernant
le
DIESE,
il a
touché
7231
salariés
pour
2,778
milliards ;
le
DESETI
a
bénéficié
à 545
travailleurs
indépendants
pour
60
millions ;
enfin
la
CSE a
touché
4708
salariés
pour
662
millions.
Ce
sont
donc,
sur
cette
période,
27.000
personnes
qui
ont
été
aidées
pour
un
total
de
6,9
milliards.
27.000
personnes
qui
n’ont
pas
perdu
leur
emploi
ou
leur
revenu.
Ces
dispositifs
d’urgence
ont
été
efficaces
et
efficients
puisqu’ils
ont
préservé
et
sauvé
un
grand
nombre
d’emplois.
Nos
amortisseurs
ont
permis
de
limiter
la
casse.
Lors
du
séminaire
gouvernemental
organisé
en
urgence
les
29 et
30
janvier
dernier,
il a
été
décidé
la
mise
en
place
d’un
second
plan
de
sauvegarde
des
emplois
pour
amortir
les
conséquences
économiques
et
sociales
qu’engendreront
les
nouvelles
restrictions
à
l’entrée
de la
Polynésie.
Alors
que
les
dispositifs
exceptionnels
mis
en
place
ne
courraient
que
jusqu’au
31
mars,
nous
vous
proposons
de
les
prolonger
au 1er
juillet,
avec
certains
aménagements,
soit
une
prolongation
de 3
mois.
Le
DIESE
sera
assujettit
aux
charges
sociales,
prises
en
charge
par
le
Pays,
pour
garantir
les
droits
des
travailleurs,
et
notamment
à la
retraite.
Nous
proposons
une
modification
de la
liste
des
secteurs
éligibles
en
priorisant
les
secteurs
les
plus
impactés
par
cette
nouvelle
crise
et
notamment
le
secteur
du
tourisme.
Le
CESEC
a
examiné
un
projet
d’avis
sur
le
projet
de
loi
du
pays
portant
modification
du
Livre
I du
Code
de
l’aménagement
de la
Polynésie
française
et
notamment
création
du
permis
d'aménager.
Dans
le
cadre
des
actions
engagées
visant
à
simplifier
les
démarches
d’obtention
des
autorisations
de
construire
à
destination
des
entreprises
et
des
particuliers,
des
mesures
sont
aujourd’hui
proposées
afin
d’actualiser
certains
points
du
code
de
l’aménagement
suite
à
l’approbation
du
Schéma
d’aménagement
général
de la
Polynésie
française
(SAGE)
et de
faire
évoluer
le
permis
de
terrassement
en un
permis
d’aménager.
Le
CESEC
a
bien
noté
l’objectif
de
réduction
des
délais
d’instructions
de
dossiers
et
ce,
en
faveur
des
usagers
mais
également
du
développement
économique. Toutefois,
il
considère
que,
compte
tenu
du
fait
que
le
terrassement
consiste
à
déplacer
des
quantités
importantes
de
matériaux
dans
divers
buts,
cette
matière
aujourd’hui
assouplie
requière
une
attention
particulière
et
des
garanties
sur
le
plan
technique
et
environnemental L’avis
du
CESEC
a été
voté
à
l’unanimité
à 45
voix
POUR,
0
CONTRE
et 0
abstention.
De
plus,
la
proposition
d’autosaisine
sur «
le
solde
bancaire
insaisissable
»,
présentée
par
M.
Makalio
FOLITUU
pour
le
collège
de la
vie
collective,
a été
adoptée
à 33
voix
POUR,
9
CONTRES
et 2
abstentions.
L'ex
Secrétaire
d'Etat
Georges
Tron
condamné
pour
agression
sexuelle
en
réunion
à
cinq
ans
de
prison
dont
trois
ferme.
Vague
de
froid
historique
aux
Etats
Unis
Air
France-KLM
enregistre
des
pertes
abyssales
avec
la
crise
due
au
coronavirus
La
compagnie
a
publié
des
pertes
de
1,8 milliard
d’euros
au
premier
trimestre.
La
direction
estime
qu’au
deuxième
trimestre
l’activité
sera
en
baisse
de
95 %
par
rapport
à la
même
période
en 2019.
Mercredi
17
février
2021
A
propos
Je ne
comprends
pas
pourquoi
les
touristes
continuent
de
voyager
vers
la
Polynésie
française
alors
que
les
organismes
de
tourisme
ont
dû
les
prévenir
de la
situation
actuelle
provoquée
par
le
covid-19.
L'ont-ils
fait
? Si
oui
ces
touristes
sont
bien
téméraires
de
braver
un
Covid
pouvant
parfois
être
mortel
et un
séjour
dans
des
conditions
anormales
puisque
dès
leur
descente
d'avion,
le
pays
les
place
en
quarantaine
(quatorzaine
à
Puunui)
!Bonnes
vacances
! Que
dire
quand
on
vous
prévient
que
l'hôtellerie
s'attend
au
pire
face
à
l'incertitude
sur
la
durée
de
fermeture
des
frontières
polynésiennes
tandis
que
les
hôteliers
comptent
plus
que
jamais
sur
l'aide
publique
pour
sauvegarder
les
milliers
d'emplois
de ce
secteur.
L'Assemblée
doit
examiner
demain
en
session
extraordinaire
quelques
projets
de
textes
du
gouvernement
pour
prolonger
et
renforcer
l'aide
à
l'emploi.
Bref
les
clignotants
sont
au
rouge
toujours
à
cause
de ce
maudit
Covid
et
dans
le
milieu
des
professionnels
de
l'hôtellerie,
bien
entendu,
on
craint
le
pire,
car
la
conjoncture
menace
forcément
les
emplois
dans
ce
secteur.
On
parle
même
d'un
fonds
de
solidarité
de
l'Etat
et
d'un
deuxième
PGE
pour
la
prise
en
charge
des
dépenses
fixes
des
hôtels.
C'est
la
bérézina
dans
tous
les
secteurs
d'activité
touristique.
A
Paris
pour
se
consoler
on
enregistre
un
record
de
fréquentation
au
salon
du
tourisme.
On
fait
ce
qu'on
peut
avec
ce
qu'on
a. Et
on
fait
du
surplace
en
admirant
les
photos
idylliques
des
paysages
polynésiens,
A
pleurer
!
Projet
de
construction
d’un
village
communautaire
à
Afaahiti
Le
Président
Edouard
Fritch,
accompagné
du
Vice-Président
Tearii
Alpha,
du
ministre
des
Grands
Travaux,
René
Temeharo,
et de
la
ministre
de la
Famille,
Isabelle
Sachet,
a
effectué
mardi,
la
visite
d’une
emprise
appartenant
au
Pays,
située
à
Afaahiti,
pour
la
construction
d’un
village
communautaire
dédié
aux
personnes
sans
abri,
dont
le
devenir
constitue
une
réelle
priorité
pour
le
Gouvernement.
C’est
donc
avec
l’objectif
de
leur
proposer
une
prise
en
charge
pluridisciplinaire,
globale
et
hiérarchisée
que
cette
opération
est
envisagée.
En
effet,
ce
village
communautaire
aura
pour
missions
principales
de
restaurer
une
autonomie,
d’intégrer
des
codes
sociaux,
de
retrouver
et de
valoriser
la
confiance
en
soi.
Pour
ce
faire,
toutes
les
interventions
reposeront
donc
sur
des
valeurs
de
solidarité,
d’entraide
et de
partage,
et
seront
essentiellement
à
visée
d’insertion
sociale
et
professionnelle.
Ce
village
permettra
d’accueillir
un
public
mixte
désocialisé
et en
situation
d’errance,
qui
bénéficiera
de
logements
individuels
et de
formation.
La
création
de
jardins
partagés
a
d’ores
et
déjà
été
intégrée
à ce
projet
pour
la
tenue
de
sessions
agricoles
et
horticoles.
Cette
opération
est
inscrite
dans
le
Plan
de
relance
économique
du
Pays
dans
une
logique
d’insertion
sociale
et
professionnelle.
C’est
dans
cette
perspective
que
le
ministère
de la
Famille
entend
prioriser
la
reprise
d’activités
et
proposera
cette
année
un
cadre
règlementaire
en
faveur
d’une
nouvelle
inscription
de
ces
publics
dans
la
société
beaucoup
plus
dynamique,
notamment
par
le
biais
de
projets
relevant
de
l’intérêt
général.
Une
expérimentation
est
en
cours
sur
le
site
de
Fare
Ute
depuis
octobre
dernier,
laquelle
s’avère
prometteuse.
En
protestation
contre la
procédure
de
dissolution
de
Génération
Identitaire,
Tout
à son
arrivisme
forcené
et
fort
de
son
inculture
crasse
dont
peuvent
témoigner
tous
ceux
qui
ont
eu à
subir
l’orthographe
hésitante
de
ses
courriels,
le
ministre
de
l’Intérieur
qui
s’était
déjà
distingué
dans
ses
précédentes
fonctions
en
s’affichant
comme
un
impitoyable
inquisiteur
fiscal
dans
le
pays
au
monde
qui
en a
le
moins
besoin,
a
donc
décidé
la
dissolution
de
Génération
identitaire.
Sur
quelle
base
légale
s’appuie
ce
diktat ? Aucune.
Génération
identitaire
ni
nul
de
ses
militants
en
tant
que
tel
n’ont
jamais
été
condamnés.
Et
pour
cause :
Génération
identitaire
n’a
jamais
organisé
de
manifestations
autres
que
pacifiques
qui
évitent
systématiquement
l’affrontement
physique.
La
justice
a
d’ailleurs
relaxé
récemment
les
membres
de
l’association
pour
leurs
actions
à
Poitiers
et
dans
les
Alpes
qui
ne
visaient
qu’à
attirer
l’attention
de la
population
sur
l’immigration
incontrôlée
qui
pose
un
problème
de
cohésion
à la
société
française,
ce
que
tout
un
chacun
observe
quotidiennement.
Parmi
les
charges
justifiant
l’abus
de
pouvoir
du
ministre
de
l’Intérieur,
l’accusation
portée
à
Génération
identitaire
d’être
une
milice.
Le
gouvernement
de la
France
sait-il
ce
qu’est
une
milice ?
L’Académie
française
nous
enseigne
qu’il
s’agit
d’une « formation
paramilitaire
constituée
illégalement
à des
fins
particulières
ou
dans
des
circonstances
exceptionnelles,
pour
défendre
par
la
violence
des
intérêts
privés ».
Génération
identitaire
est
l’exact
contraire :
des
groupes
en
tout
petit
nombre,
sans
arme,
qui
déploient
une
banderole
pour
souligner
une
carence
de
l’ordre
public
dans
notre
pays.
Génération
identitaire,
loin
de
défendre
des
intérêts
privés,
se
bat
pour
la
défense
des
frontières
de la
France
et
pour
attirer
l’attention
sur
des
manifestations
clairement
racistes
et
anti-françaises,
violemment
hostiles
aux
forces
de
l’ordre.
Prononcer
la
dissolution
de
Génération
identitaire
n’est
qu’un
pas
supplémentaire
dans
la
dérive
totalitaire
dont
ce
gouvernement
se
rend
coupable
depuis
son
origine,
il y
a
bientôt
quatre
ans.
Après
avoir
multiplié
les
textes
et
les
actes
restreignant
la
liberté
d’expression,
il a,
depuis
un an
sous
prétexte
de
crise
sanitaire,
mis
le
pays
tout
entier
sous
cloche,
privant
les
Français
de
leurs
droits
élémentaires
d’aller
et
venir
et
persistant
à
spolier
de la
moindre
ressource
des
millions
de
professionnels,
au
mépris
du
préambule
de la
constitution
qui
garantit
la
liberté
de
travailler.
Il
est
vital
pour
la
démocratie
de
s’opposer
par
tous
les
moyens
à
cette
dissolution
d’une
association
dont
le
but
est
de
défendre
la
France.
Cet
abus
de
pouvoir
du
ministre
de
l’Intérieur
illustre
une
conception
du
droit
qui
établit
une
justice
différente
selon
les
opinions
et
les
postures
des
uns
ou
des
autres.
La
démocratie
et la
liberté
sont
en
jeu.La
droite
libre
Vidal
suscitent
l'incompréhension
ISLAMO-GAUCHISME
- Les
propos
de
Frédérique
Vidal
sur
le
présumé
“islamo-gauchisme
qui
gangrène
les
universités”
n’en
finissent
pas
de
provoquer
des
réactions.
Après avoir
fait
bondir
les
universitaires,
la
proposition
d’enquêter
rapidement
sur
le
sujet
a
suscité l’incompréhension
y
compris
dans
les
rangs
de la
majorité,
Invitée
sur
le
plateau
de
CNews
dimanche
14
février,
la
ministre
de
l’Enseignement
supérieur
et de
la
Recherche
avait
fustigé
“l’islamo-gauchisme”
dans
les
universités,
donnant
raison
au
journaliste
Jean-Pierre
Elkabbach,
qui
avait
décrit
les
universitaires
en
question
comme
“une
sorte
d’alliance,
si je
puis
dire,
entre
Mao
Zedong
et
l’Ayatollah
Khomeini.”
Dans
la
foulée,
elle
s’est
engagée
à
confier
une
enquête
au
CNRS
“sur
l’ensemble
des
courants
de
recherche
sur
ces
sujets
dans
l’université.”
Dans
la
salle
des
quatre
colonnes
ce
mercredi
16
février,
une
telle
annonce
fait
évidemment
bondir
les
élus
de
gauche.
Grève
à l'OPT
à
partir
de
l'appel
des
centrales
syndicales
Atia
I Mua
et O
oe to
oe
Rima
dans
les
sociétés
:
VINI
Distribution,
Onati
et
Fare
Rata,
trois
filiales
du
groupe
OPT.
Débrayage
et
dysfonctionnements
en
vue à
la
suite
de
l'échec
hier
après
midi
des
négociations
où le
seul
syndicat,
Atia
I
Mua,
avait
accepté
de
participer
( 30%
de
l'effectif
salarié)
.
Mardi
16
février
2021
A
propos
Afin
d'arrêter
les
élucubrations
des
uns
ou
des
autres,
des
pour
ou
des
contre
l'indépendance
qui
revient
soudainement
à la
mode,
pour
quoi
ne
pas
faire
une
consultation
de la
population
une
fois
pour
toutes, au
moins
valable
une
dizaine
d'années
afin
que
l'on
perdre
moins
de
temps
à
"jacter".
La
majorité
des
Polynésiens
se
trouve
à
l'aise
dans
le
statut
d'autonomie
tant
que
les
gouvernants
qu'elle
a
choisis
se
comporteront
dans
les
règles
établies.
il y
a
déjà
assez
de
problèmes
à
résoudre
dans
le
Landerneau
sans
avoir
celui-là
en
plus.
Ceux
qui
nous
gouvernent
ont
été
élus,
ceux
à
venir
au
cas
où,
pourraient
bien
être
des
apparatchiks
inappropriés
à la
fonction
de
"gouvernants".
Comme
le
dit
le
dicton
: On
sait
ce
qu'on
a, on
ne
sait
pas
ce
qu'on
trouve.
On
pourrait
devenir
très
vite
une
République
bananière.
Notre
démocratie
avec
Edouard
Fritch
ne
provoque
aucune
contestation
coléreuse,
mais
une
grande
surprise
quand
on
l'entend
dire
que "
l'indépendance
est
inévitable".(Oscar
Temaru
nous
le
dit
depuis
20
ans,
ça
plait
!) On
est
parfois
d'accord
avec
ce
qui
est
dit,
fait,
ou
pas
d'accord,
mais,
tant
que
les
structures
sont
acceptables
et
que
le
président
de
tout
le
pays
agit
pour
rassurer
et
faire
vivre
dans
de
bonnes
conditions
la
population,
tant
qu'il
se
livre
à cet
exercice,
qui
ne
prête
pas à
polémique,
tant
que
notre
liberté
n'est
pas
bafouée,
raturée,
foulée
aux
pieds
,ce
qui
arrive
malheureusement
dans
certains
microcosmes
ou
même
grands
pays
où
cette
démarche
est
dévastatrice
de
par
sa
complaisance
ou
soumission
envers
le
chef
du
gouvernement
alors,
cahin-caha,
tout
va.
Les
principes,
l'éthique,
la
déontologie
ne
valent
pas
exclusivement
d'ailleurs
pour
les
magistrats,
les
avocats,
les
médecins,
victimes
des
enquêtes
journalistiques
ou
flingués
à la
moindre
occasion
car
nous
sommes,
nous,
journalistes
redevables
à
l'opinion
autant
que
nos
cibles
parfois.
Mais
à
coup
sûr,
pas
moins.
Précisions
relatives
à
l’hébergement
en
quatorzaine
La
circulation
du
Covid-19
continue
de
décroitre
en
Polynésie
française,
avec
une
tendance
à la
baisse
des
taux
d’incidence
et de
positivité.
Cependant,
la
propagation
des
variants,
ces
derniers
jours,
appelle
à la
plus
grande
vigilance
de
tous.
Pour
protéger
la
Polynésie
française
d’une
propagation
des
virus
variants,
le
gouvernement
de la
Polynésie
française
a
pris
des
mesures
imposant
à
tout
passager
arrivant
de
l’extérieur,
outre
le
test
RT
PCR
négatif
et
réalisé
3
jours
avant
l’embarquement
déjà
exigé,
une
quatorzaine
stricte
en
site
dédié
ou à
domicile,
un
test
négatif
réalisé
au 12ème
jour
de la
quatorzaine
avant
de
pourvoir
sortir
à
l’issue
du 14ème
jour.
A
cet
égard,
le
gouvernement
de la
Polynésie
française
informe
les
passagers
pouvant
justifier
d’un
motif
impérieux
avéré,
que
le
parc
de
144
chambres
dédié
à la
quatorzaine
sanitaire
arrive
à
saturation.
Il ne
peut
plus
accueillir
de
personnes
supplémentaires
dans
les
conditions
fixées
par
arrêté
du
gouvernement.
Aussi,
tout
futur
passager
justifiant
d’un
motif
impérieux,
dans
l’impossibilité
de
différer
son
voyage
en
Polynésie
française,
et ne
pouvant
mettre
en
œuvre
les
exigences
sanitaires
nécessaires
pour
effectuer
la
quarantaine
à
domicile,
est
informé
qu’il
devra
justifier
d’une
réservation
hôtelière
sur
l’île
de
Tahiti,
avant
embarquement,
et à
sa
charge
entière
auprès
d’un
établissement
hôtelier
agréé
par
le
Pays
à cet
effet.
Mise
en
service
des
bus
électriques
à la
presqu’île
Le
Président
Edouard
Fritch,
accompagné
du
ministre
des
Grands
travaux,
en
charge
des
transports
terrestres,
René
Temeharo,
et du
président
de la
SAS
Réseau
de
transport
en
commun
de
Tahiti,
Willy
Chung
Sao,
était
présent,
mardi,
à la
cérémonie
marquant
la
mise
en
service
de
bus
électriques
à la
presqu’île.
La
cérémonie
s’est
déroulée
en
présence
également
du
Vice-Président,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
maire
de
Teva
I
Uta,
et de
la
ministre
de la
Famille,
Isabelle
Sachet.
Les
premiers
bus
électriques
ont
circulé
pour
la
première
fois
sur
l’île
de
Tahiti
en
2019,
particulièrement
dans
la
zone
urbaine
de
Papeete.
Il
s’agit
d’une
véritable
innovation
dans
la
région
du
Pacifique,
la
Polynésie
française
étant
un
précurseur
en la
matière.
Désormais,
les
habitants
de la
presqu’île
vont
également
bénéficier
d’une
offre
de
transport
similaire
à
l’agglomération
urbaine
de
Papeete
avec
le
déploiement
de
bus
électriques,
sur
la
ligne
23.
Cette
ligne,
qui
relie
Tautira
à
Teahupoo,
dessert
la
nouvelle
gare
routière
d’Afaahiti-Taravao,
nœud
de
correspondance
de la
presqu’île.
Ces
autobus
à
plancher
bas
sont
accessibles
aux
fauteuils
roulants
et
aux
personnes
à
mobilité
réduite.
Ils
sont
conçus
pour
le
transport
debout
et
adaptés
au
voyage
urbain.
Le
dispositif
de
carte
prépayé
mis
en
place
pour
accéder
au
bus a
été
présenté. Le
Président
et la
délégation
gouvernementale
se
sont
ensuite
rendus
au
nouveau
guichet
de la
société
Tere
Tahiti,
puis
dans
les
locaux
techniques
de la
société,
pour
voir
le
fonctionnement
de la
cellule
de
régulation.
Cette
dernière
a
pour
objectif
de
réguler
la
conduite
des
chauffeurs
de
bus
afin
de
faire
en
sorte
que
les
horaires
de
passage
des
bus
soient
respectés.
C’est
aussi
cette
cellule
qui
est
en
charge
de la
mise
à
jour
en
temps
réel
de
l’application
Tere
Tahiti.
La
mise
en
service
de
ces
bus
électriques
marque
la
modernisation
du
réseau
de
transport
en
commun
en
Polynésie
et
aussi
la
volonté
du
gouvernement,
dont
l’objectif
est
de
garantir
aux
usagers
un
service
public
qui
soit
performant
et
efficace.
Elle
s’inscrit
dans
le
schéma
directeur
des
transports
collectifs
et
des
déplacements
durables
de
l'île
de
Tahiti
et de
la
nouvelle
délégation
de
service
public
de
transport
collectif,
effective
depuis
le
1er
janvier
2019.
La
ministre
de la
Famille
reçoit
l’Union
des
Femmes
Francophones
d’Océanie
La
ministre
de la
Famille,
des
affaires
sociales,
de la
condition
féminine
en
charge
de la
lutte
contre
l'exclusion,
Isabelle
Sachet,
a
reçu,
jeudi
dernier,
la
visite
de
l’Union
des
Femmes
Francophones
d’Océanie
(UFFO).
La
ministre
a
renouvelé,
à
cette
occasion,
son
soutien
à
leur
cause.
L’UFFO
regroupe
des
organisations
de
femmes
de la
Polynésie
française,
de la
Nouvelle-Calédonie,
du
Vanuatu
et de
Wallis
et
Futuna.
Elle
a
pour
objectif
de
renforcer
les
capacités
des
organisations
de
femmes
à
promouvoir
l’égalité
entre
les
hommes
et
les
femmes,
à
briser
l’isolement
des
femmes
francophones
de
l’Océanie,
et à
soutenir
une
meilleure
intégration
régionale
et
internationale
des
problématiques
de
genre
des
pays
et
territoires
francophones
d’Océanie.
En
Polynésie,
l'association
UFFO
est à
l'origine
de
l'événement
annuel
« Vahine,
tu as
des
talents »,
qui
met à
l'honneur
les
femmes
et
leur
savoir-faire
ainsi
que
des
trophées
« Poerava ».
Pour
la
ministre
de la
Famille,
cette
rencontre
a été
l'opportunité
d'évoquer
des
travaux
menés
par
son
ministère,
dont
l'organisation
prochaine
de la
14e
conférence
régionale
des
femmes
du
pacifique,
prévue
du 27
au 29
avril.
Événement
majeur
au
sein
de la
zone
Pacifique
en
matière
de
promotion
de la
cause
des
femmes.
Cette
conférence
a
pour
objectif
de
permettre
aux
femmes
issues
des
différents
territoires
du
Pacifique
d’émettre
des
recommandations
afin
de
faire
avancer
l’égalité
de
genre
dans
la
région.
Elle
se
produira
pour
partie
en
virtuel
avec
également,
selon
l'évolution
du
contexte
sanitaire,
des
ateliers
s'organiseront
en
présentiel,
auxquels
l'UFFO
pourrait
s'y
associer.
L'action
phare
du
ministère
de la
Famille,
"Le
Plan
pour
la
paix",
qu'elle
a eu
l'occasion
d'évoquer
lors
de
Conseils
de
ministres,
à
l'Assemblée
de
Polynésie
française,
et
plus
récemment
lors
d'une
rencontre
d'un
collectif
de 7
associations
avec
le
président
du
Pays,
à
l'occasion
de la
Journée
mondiale
de
lutte
contre
les
violences,
a
également
été
évoquée
lors
de
cette
réunion.
La
ministre
a
réaffirmé
sa
détermination
à
vouloir
mettre
fin à
toute
forme
de
violences
en
Polynésie.
Lundi
15
février
2021
A
propos
Je
viens
de
relire
quelques
phrases
du
président
Fritch
et
certaines
sont,
il
est
vrai,
assez
absconses
comme
lorsqu'il
lance
que"l'indépendance
est
dans
notre
sang,
le
sang
de
l'homme
et
qu'elle
est
inévitable"
!
Voilà
qui
va en
surprendre
plus
d'un
!
Pourquoi
serait-on
forcément
favorable
à
l'indépendance
d'un
pays
comme
le
nôtre,
grand
par
l'étendue,
ce
qui
est
un
handicap,
mais
petit
par
sa
population,
ce
qui
en
est
un
aussi,
ce
qui
rend
encore
plus
difficile
de
l'administrer
sans
la
puissance
de
l'Etat
qui
règle
pour
nous
l'éducation
de
nos
enfants
(3000) ,
ce
n'est
qu'un
exemple.
Mais
à
l'écouter
récemment,
il
laisse
planer
le
doute
sur
ce
qu'il
pense
réellement.
Pour
une
certaine
catégorie
de la
population
il a
montré
que
son
coeur
battait
pour
l'indépendance
en
disant:
"Et
peut-être
qu'elle
n'est
pas
si
loin
que
cela,
on ne
sait
jamais
!".
Voulait-il
laisser
entendre
à ses
concitoyens
métropolitains
"
préparez-vous"
?
P'être
ben
que
oui,
p'être
ben
que
non.
Mais
lors
de la
prochaine
conférence
de
presse
il
faudra
lui
demander
de
s'expliquer
plus
clairement
.Temps
maussade,
transfert
obligatoire
sur
le
caractère
qui
lui
aussi
devient
:
maussade.
Dans
ces
conditions
il
est
normal
de
constater
que
les
indépendantistes
souhaitent
être
califes
à la
place
du
calife
ou
encore
médecins
à la
place
du
médecin
pour
commander
des
vaccins
dont
ils
ignorent
ou ne
connaissent
pas
la
composition
tant
ces
vaccins
sont
nombreux.
Mais
on
sait
bien
que
lorsqu'on
est
favorable
à
l'indépendance
du
pays
on
est
capable
de
tout
faire
sans
en
référer
à
quiconque.
Indépendance
=
liberté
n'est
ce
pas ?
Et
crac
le
mot
revient
à la
mode,
on
l'avait
presque
oublié
durant
ces
dernières
années,
mais
il
refait
surface
régulièrement.
Même
Fritch
dit
"chiche",
alors
pourquoi
la
France
ne
donne-t-elle
pas
aux
"demis
Polynésiens"
- car
ce
sont
bien
eux
qui
dirigeront
le
pays
comme
aujourd'hui
n'est
ce
pas,
mais
avec
une
liberté
de
mouvement
dont
nous
paieront
peut-être
le
prix
en
mettant
l'impôt
sur
le
revenu
puisqu'il
faut
bien
de
l'argent
pour
gouverner.
La
lointaine
France
serrera
les
cordons
de la
bourse.
Normal
!Et
les
Polynésiens
leur
ceinture.
Re-normal.
Les
petites
entreprises
locales
resteront
bien
sûr
mais
les
grandes
sociétés
iront
voir
ailleurs
si
l'herbe
est
meilleure,
ce
sera
moins
risqué.
En
attendant
ce
moment
triomphal,
la
pandémie
vient
d'offrir
à
ceux
que
cela
intéresse
une
audience
plus
importante
au
18°
Fifo.
Mais
attention
à la
contamination
en
groupe
.
Oscar
Temaru
n'a
pas
de
chance,
le
procureur
lui
boulotte
son
magot
de 11
millions
cfp ,
dans
"atteinte
à la
présomption
d'innocence"
concernant
le
dossier
Radio
Tefana
et il
perd
son
référé
qui
lui
permettait
d'attaquer
le
dit
procureur
de la
République
Hervé
Leroy
!
Rencontre
avec
les
étudiants
infirmiers
Le
ministre
de la
Santé,
Jacques
Raynal,
a
rencontré,
lundi
matin,
pendant
près
de
deux
heures,
tous
les
étudiants
infirmiers
de 1ère
année
de l’IFPS
Mathilde
Frébault,
soutenus
par
le
syndicat
des
étudiants
Avenir
Etudiant
Fage.
Il a
été
particulièrement
attentif
à
leurs
revendications
et
aux
inquiétudes
quant
à
leur
futur
au
sein
de l’IFPS.
Le
ministre
de la
Santé
a
rappelé
la
place
essentielle
des
infirmiers
dans
l’offre
de
soins
en
Polynésie
française,
notamment
dans
les
archipels
les
plus
éloignés
de
Tahiti,
autant
dans
le
secteur
public
que
privé,
et ce
de
manière
à ce
qu’ils
soient,
dès
la
sortie
de
leur
formation,
aptes
de
suite
à
prendre
leurs
fonctions
dans
différents
établissements.
Le
ministre
Jacques
Raynal
a
confirmé
que
les
bourses
spécifiques
à l’IFPS
seront
maintenues
pour
leur
deuxième
et
troisième
année,
comme
cela
est
prévu
par
les
textes.
Le
Vice-président
visite
le
Centre
des
Métiers
de la
Mer
de
Polynésie
française
A
la
suite
du
conseil
d’administration
du
Centre
des
Métiers
de la
Mer
de
Polynésie
française
(CMMPF)
tenu
lundi
dernier
où le
planning
prévisionnel
des
formations
professionnelles
maritimes
et le
budget
primitif
2021
ont
été
validés
à
l’unanimité,
le
Vice-président
de la
Polynésie
française,
ministre
en
charge
de
l’économie
bleue,
et
président
du
conseil
d’administration,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
s’est
rendu,
lundi
après-midi,
sur
les
lieux.
Cette
visite
a
permis
de
constater
la
nécessité
de
renouveler
les
outils
et
matériels
pédagogiques
et
techniques,
de
rencontrer
et
d’encourager
les
stagiaires
dans
leur
projet
ainsi
que
l’ensemble
du
personnel
administratif
et
technique
dans
leurs
tâches
respectives
pour
la
réussite
et
l’avenir
de
ces
stagiaires
et
professionnels.
Il
s’est
entretenu
avec
la
nouvelle
direction
et
les
responsables
fonctionnels.
Il a
ainsi
renouvelé
son
appui
pour
impulser
une
formation
de
qualité
de
haut
niveau,
soutenir
une
montée
en
compétence
des
marins,
sans
omettre
l’urgence
d’anticiper
sur
la
relève
des
équipages
pour
faire
face
à la
population
vieillissante
des
navigants,
mais
aussi
maintenir
et
développer
le
partenariat
avec
l’Ecole
Nationale
Supérieur
Maritime
et le
Cluster
maritime
de
Polynésie
française.
Il
encourage
à
innover
dans
l’organisation,
les
méthodes,
la
simplification
des
procédures
et
formalités
là où
c’est
possible,
à
élaborer
une
nouvelle
carte
de
formations
conforme
aux
compétences
du
centre
en y
intégrant
les
métiers
et
les
attentes
des
acteurs
du
cluster
maritime,
du
secteur
du
tourisme
et
des
activités
nautiques
et de
charter,
de la
perliculture
et de
la
nacre,
de
l’aquaculture,
pour
se
mettre
en
adéquation
avec
les
mutations
endogènes
du
secteur
de
l’économie
bleue
et de
l’économie
verte.
Il
incite
à
multiplier
le
travail
collaboratif
transversal
notamment
avec
la
DGEE,
le
Vice-rectorat,
le
lycée
agricole
de
Moorea,
pour
tendre
vers
une
formation
qualifiante
et
diplômante
hybride
Terre/Mer
qui
répond
aux
métiers
adaptés
à la
Polynésie
française.
Le
Vice-président
a
terminé
son
entrevue
en
réaffirmant
son
soutien
et
l’engagement
du
Gouvernement
de
poursuivre
le
développement
des
formations
délocalisées
dans
les
archipels
éloignés
et
répondre
ainsi
aux
demandes
des
populations
isolées.
Il a
confirmé
la
mise
en
place
de
moyens
supplémentaires
pour
le
développement
de
ces
formations
délocalisées
et
son
appui
fort
aux
professionnels
de la
pêche
lagonaire
et du
secteur
agricole
et
notamment
des
coprahculteurs.
Visite
de la
cellule
contrôle
qualité
de la
perle
de la
Direction
des
ressources
marines
Le
Vice-président,
en
charge
de
l’économie
bleue,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
a
été,
lundi
après-midi,
à la
rencontre
des
agents
de la
cellule
contrôle
qualité
de la
perle
de la
Direction
des
Ressources
marines
(DRM),
située
au
centre
Vaima.
Cette
cellule
a en
charge
l’instruction
et le
suivi
des
activités
professionnelles
de
négociant
de
produits
perliers,
de
détaillant-artisan,
de
détaillant-bijoutier,
entreprise
franche
et de
commerçant
de
nucléus,
du
suivi
des
déclarations
d’achat
et
vente
des
perles,
du
contrôle
après
production
et
avant
exportation
ainsi
que
de
l’évaluation
de
l’épaisseur
de la
couche
de
nacre.
Cette
visite
a été
l’occasion
pour
la
Direction
des
Ressources
marines
de
présenter
le
déroulement
des
contrôles
effectués
au
sein
de la
cellule
et
des
possibles
interactions
avec
les
professionnels
de la
filière
perlicole.
Elle
a
également
permis
de
montrer
le
logiciel
de « Mesure
Automatique
de l’épaIsseur
de la
nAcre
par
rayOns
X »
qui
permet
une
mesure
automatique
de
l’épaisseur
de la
couche
de
nacre
à
partir
de
photos
prises
aux
rayons
X,
plus
précise
et
plus
objective
que
l’évaluation
humaine
manuelle
réalisée
auparavant
A
partir
de
demain
mardi
16
février
:Visite
des
chantiers
sur
la
côte
Est
de
Tahiti
ainsi
qu'à
à
11h,
à
Taravao,
la
mise
en
service
des
bus
électriques
à la
presqu’île
(voir
programme
ci-dessous) :
8h10:
Sécurisation
des
talus
de
Orofara
–
Mahina
8h30:
Construction
d’une
cale
de
mise
à
l’eau
de
Papenoo
–
Hitia’a
O Te
Ra
9h25:
Aménagement
d’un
cheminement
piétonnier
et
bétonnage
de
route
de
Mahaena
–
Hitia’a
O Te
Ra
10h:
Rectification
de
virages
sur
la
RT2
pk
41.1
au
42.4
et
42.9
au
43.2
–
Hitia’a
O Te
Ra
11h:
Mise
en
service
des
bus
électriques
à la
Presqu’île
–
Taravao
14h:
Aménagements
de la
pointe
Tehoro
à
Mataiea
–
Teva
I Uta
Samedi
13
février
2021
Une
tahitienne
major
de
promo
dans
la
gendarmerie
mobile
à
Annecy.
Bravo
!
En
revanche
on
recherche
la
jeune
Tinotua
Mihirau
qui a
disparu
Vendredi
12
février
2021
:Bonne
st
Valentin
à
tous
les
lecteurs
de Tahititoday
A
propos
A
8h
du
matin
la
circulation
est
pire
qu'à
Paris.
Mais
plus
qu'à
Paris
les
automobilistes
sont
patients.
Aucun
coup
de
klaxon
coléreux
ou
impatient.
On
sait
que
cela
ne
servirait
à
rien
et
on
sait
aussi
que
tout
le
monde
à
envie
de
rouler
pour
aller
à
son
travail
ou
à
l'école
des
enfants
le
matin
de
bonne
heure.
Si
le
vin
bouchonne
parfois,
les
automobilistes
aussi
et
ce,
tous
les
matins.
Malheureusement
les
enfants
pour
aller
en
classe
doivent
parfois
se
lever
aux
aurores
pour
ne
pas
être
en
retard
.
Et
le
manque
de
sommeil
se
fait
sentir
une
fois
rentrés
en
classe.
Les
vacances,
à
ce
niveau
là,
sont
toujours
les
bienvenues.
J'aurais
dû
appeler
mon
site
"Hannibal".
Parce
que
c'est
aussi
avec
des
éléphants
qu'on
peut
gagner
une
guerre
des
nerfs
ou
encore
j'aurais
pu
choisir
"Spartacus"
dont
l'épée
ne
loupe
jamais
ses
ennemis
mais
protège
ses
amis.
En
fait
,j'ai
juste
envie
de
me
reposer
pendant
le
week
end
qui
arrive
à
point
d'une
semaine
où
j'ai
dû
me
battre
avec
mes
adversaire
habituels,
exceptionnellement
avec
les
termites
et
même
avec
les
"terminators"
qui
venaient
ou
ne
venaient
pas
voir
et
réparer
les
dégâts
dans
un
bureau,
où
même
un
clochard
ne
voudrait
pas
mettre
les
pieds
tant
il
a
fallu
sortir
un
maximum
de
documents
et
de
livres
et
joncher
le
sol
de
bois
mâché
par
des
milliers
de
petites
bestioles
affamées.
Oui
mauvaise
semaine
que
celle
qui
se
termine
bientôt
en
espérant
que
la
prochaine
sera
meilleure.
Fort
heureusement
j'ai
des
amis
et
leur
soutien
est
réconfortant.
Ainsi
l'un
d'eux
et
non
des
moindres
a
remis
la
marge
qui
avait
brusquement
disparu
de
mon
site.
Merci
infiniment.
Et
puis
il
y a
cet
ami
silencieux
qui
ne
parle
pas
beaucoup,
proche
d'Edouard Fritch,
mais
qui
sait
être
là
quand
il
faut
et
d'autres
qui
disparaissent
de
mon
horizon,
je
pense
que
mes
problèmes
informatiques
les
fatiguent.
Comme
je
les
comprends
!Mais
ils
reviennent
toujours
vers
moi.
Sans
compter,
bien
sûr
les
fidèles,
fidèles,
notamment
féminins
plus
douées
que
moi
dans
de
nombreux
domaines
mais
toujours
prêtes
à
m'aider.
Finalement
quand
on
y
réfléchit,
j'ai
de
la
chance,
ce
qui
n'est
pas
rien
!
Le
Président,
Edouard
Fritch,
et
le
Haut-commissaire,
Dominique
Sorain,
étaient
présents,
vendredi
après-midi,
à
la
première
séance
du
conseil
communautaire
de
la
communauté
des
communes
Tereheamanu,
qui
s’est
déroulée
à
la
mairie
d’Afaahiti.
Cette
première
séance
a
notamment
été
consacrée
à
l’élection
du
président
de
cette
communauté
des
communes
et
à
l’installation
du
bureau.
Le
Vice-Président,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
maire
de
Teva
I
Uta,
a,
au
cours
de
cette
séance,
été
élu
président
du
conseil
communautaire
de
la
communauté
des
communes
Tereheamanu.
8ème
réunion
du
comité
de
pilotage
des
triennales
La
ministre
de
la
Famille,
des
affaires
sociales
et
de
la
condition
féminine,
en
charge
de
la
lutte
contre
l’exclusion,
Isabelle
Sachet,
a
participé
jeudi
après-midi,
à
la
8ème
réunion
du
comité
de
pilotage
des
triennales
de
la
condition
féminine.
Ce
comité
de
pilotage
présidé
par
la
Polynésie
française,
pays
hôte,
a
pour
mission
d’appuyer
les
préparatifs
de
la
quatorzième
conférence
régionale
des
femmes
du
Pacifique,
prévue
pour
se
tenir
du
27
au
29
avril
prochains
en
format
virtuel.
Evènement
majeur
au
sein
de
la
zone
Pacifique
en
matière
de
promotion
de
la
cause
des
femmes,
cette
conférence
a
pour
objectif
de
permettre
aux
femmes
issues
des
différents
territoires
du
Pacifique
d’émettre
des
recommandations
afin
de
faire
avancer
l’égalité
de
genre
dans
la
région.
La
conférence
des
ministres
en
charge
de
la
condition
féminine,
fixée
au
4
mai
prochain,
s’inscrira
dans
la
continuité
de
la
Conférence
régionale
des
femmes,
au
cours
de
laquelle
des
positions
politiques
et
des
accords
sur
les
recommandations
et
les
actions
stratégiques
seront
débattus.
Dans
le
prolongement
des
travaux
initiés
depuis
plusieurs
mois,
le
comité
de
pilotage
a
validé
la
définition
des
procédures
liées
aux
consultations
nationales
qui
seront
engagées
par
les
mécanismes
nationaux
de
défense
des
droits
des
femmes
afin
de
dresser
la
liste
définitive
des
progrès
accomplis,
des
enjeux
et
des
besoins
persistants,
dans
chacun
des
trois
domaines
prioritaires
définis
pour
cette
édition:
l’autonomie
corporelle,
la
justice
climatique
et
l’égalité
de
genre,
l’autonomisation
économique.
Par
ailleurs,
les
membres
de
ce
comité
ont
également
discuté
de
l’état
d’avancement
des
préparatifs
en
matière
de
communication
et
ont
adopté
un
document
conceptuel
portant
sur
une
stratégie
de
communication
et
de
visibilité
commune
à
l’ensemble
des
pays
participants.
Le
comité
de
pilotage
a
prévu
de
se
réunir
de
nouveau
sous
une
quinzaine
de
jours
afin
de
valider
les
prochaines
étapes
relatives
au
démarrage
des
consultations
nationales.
"Fête
de
l'année
du
Buffle",
discours
du
président
Fritch
Lorsque
j’ai
appris,
qu’en
raison
des
contraintes
sanitaires,
les
grandes
festivités
du
Nouvel
An
chinois
avaient
été
annulées,
j’ai
accepté
de
marquer
cette
nouvelle
année,
ici
dans
les
jardins
de
la
Présidence,
du
12
au
27
février
2021.
C’est,
en
concertation
avec
l’Association
Si
ni
Tong
et
le
Consulat
de
Chine,
que
nous
avons,
malgré
le
contexte
sanitaire,
tenu
à
célébrer
cette
nouvelle
année
du
Buffle.
Je
remercie
très
chaleureusement
le
Président
de
Si
Ni
Tong,
monsieur
Bruno
TCHONG
LEN,
la
Consule
de
Chine,
madame
DONG
Qiang,
et
nos
équipes
de
la
présidence
qui
se
sont
investies
pour,
ensemble,
fêter
dignement
cette
nouvelle
année.
Comme
vous
pouvez
l’apprécier,
les
jardins
de
la
présidence
sont
joliment
décorés
en
plusieurs
tableaux
créés
en
partenariat
avec
les
Associations
composant
le
Si
ni
tong.
Le
Salon
d’Honneur
de
la
présidence
accueille
une
exposition
de
52
photographies,
locales
et
de
Chine,
sur
les
festivités
du
Nouvel
An.
Également,
la
télévision
nationale
chinoise,
CCTV,
a
présenté
hier
au
soir
en
Chine,
à
la
veille
du
Nouvel
An,
une
émission
spéciale
de
30
minutes
sur
la
Fête
du
Printemps
dans
le
monde.
Tahiti
a
eu
droit
à
un
reportage
de
7
minutes,
réalisé
par
TNTV,
le
partenaire
de
CCTV
à
Tahiti.
Je
tiens
ici
à
remercier
TNTV
et
le
Si
ni
tong
pour
avoir
participé
à
ce
beau
reportage
qui
restera
une
magnifique
promotion
de
notre
destination…
L’année
dernière,
à
la
même
place,
je
disais
« Avec
l’année
du
Rat,
c’est
un
nouveau
cycle
qui
se
présente ».
Nous
avons
vécu
une
année
complexe
et
singulière.
Les
évènements
auxquels
nous
avons
dû
faire
face
étaient
non
seulement
imprévisibles,
mais
surtout,
ils
ont
impacté
l’ensemble
de
la
planète.
Il
nous
faut
désormais
repenser
nos
modes
de
vie
et
nos
façons
de
penser.
Il
nous
appartient
désormais
de
mettre
à
profit
les
enseignements
que
nous
retenons
de
cette
période
inédite,
tant
sur
le
plan
de
la
santé
que
sur
celui
de
la
solidarité.
Nous
devons
également
intégrer
dans
nos
visions
d’avenir,
la
fragilité
structurelle
de
notre
modèle
économique.
Il
faut
rester
prudent,
agir
avec
clairvoyance,
mais
aussi
avec
positivité.
Je
fais
totalement
confiance
aux
forces
vives
de
ce
Pays,
je
pense
particulièrement
aux
jeunes
polynésiens,
pour
imaginer
des
voies
alternatives
pour
un
développement
plus
durable
et
plus
solidaire.
Un
plan
de
sauvegarde
puis
de
relance,
organisant
les
mesures
budgétaires
et
réglementaires
indispensables,
ont
permis
le
déploiement
massif
de
nombreuses
aides
publiques.
Cette
situation
extraordinaire
a
néanmoins
créé
une
réaction
en
chaine,
forte
et
solidaire.
Je
voudrais
à
nouveau
souligner
l’extraordinaire
mobilisation
de
tous
les
professionnels
de
santé,
les
chefs
d’entreprises,
les
artisans
qui,
par
leur
attitude
citoyenne
et
leur
témérité,
ont
su
éviter
le
pire ;
la
force
d’âme
des
Polynésiennes
et
des
Polynésiens...
Qu’ils
en
soient
tous
remerciés.
Je
tiens
aussi
à
souligner
le
rôle
du
Consul
de
Chine,
qui
l’année
dernière,
a
fait
en
sorte
que
dès
le
début
de
la
pandémie,
la
Polynésie
française
puisse
s’approvisionner
en
masques
auprès
de
la
Chine.
Pourvoir
rassurer
sa
population
en
période
de
crise,
vous
le
savez,
c’est
essentiel.
L’année
dernière,
à
la
même
place,
pour
l’avènement
de
l’Année
du
Rat,
je
mentionnais
que
le
peuple
polynésien, malgré
les
tempêtes,
malgré
les
difficultés,
sait
depuis
des
millénaires
affronter
les
éléments
de
la
nature.
Les
polynésiens
ont
acquis
les
réflexes
de
survie
et
de
résilience
hérités
de
nos
ancêtres.
Affronter,
ne
pas
fuir
et
aller
de
l’avant.
C’est
l’ADN
du
Peuple
de
la
Pirogue,
que
nous
sommes
tous.
Oui,
je
suis
fier
d’être
Polynésien.
Je
suis
fier
d’être
votre
Président
parce
que
vous
êtes
un
peuple
courageux.
Je
repense
à
l’année
dernière,
ici
même
à
la
Présidence…
Vous
rappelez-vous
des
mots
du
Gardien
du
Temple
de
Kanti ? Je
cite
de
mémoire :
« L’année
2020
sera
une
année
de
changement,
de
bouleversement
dans
le
monde
entier,
une
année
inédite
dans
l’histoire,
les
modes
de
vie
seront
changés ».
La
prédiction
était
si
juste.
Pour
cette
nouvelle
année,
j’ai
pris
le
temps
de
lire
sur
le
Buffle !
En
astrologie
chinoise,
le
Buffle
est
considéré
comme
un
animal
sérieux,
endurant,
fiable
et
puissant.
C’est
un
être
capable
d’atteindre
ses
buts.
Il
ne
changera
pas
de
cap,
ni
sa
détermination
à
réaliser
ses
objectifs.
Il
n’est
pas
une
personnalité
impulsive,
mais
c’est
un
persévérant
qui
sait
écouter
et
étudier
les
choses
avant
de
se
lancer.
Le
Buffle,
c’est
celui
sur
qui
on
peut
compter
en
toutes
circonstances.
Il
est
apte
à
construire
et
à
tisser
des
liens
durables
et
profonds.
Pour
le
Buffle,
les
amis
c’est
pour
la
vie,
c’est
du
solide.
C’est
un
bon
confident
qui
sait
être
à
l’écoute.
Le
Buffle
est
un
gros
travailleur.
Il
a
toutes
les
aptitudes
pour
mener
à
bien
un
projet.
Endurant,
persévérant,
perspicace,
déterminé,
patient,
il
atteint
les
buts
qu’il
se
fixe.
Le
Buffle
est
aussi
un
excellent
gestionnaire,
il
capitalise,
économise
car
sa
priorité
absolue
est
de
garantir
la
sécurité.
C’est
dans
cet
esprit
que
je
vous
accueille
ici.
Mes
chers
amis,
en
cette
nouvelle
année
du
Buffle,
c’est
avec
confiance
et
optimisme
que
je
m’adresse
à
vous.
Vous
savez,
je
ne
suis
soucieux
que
d’une
seule
chose
:
que
le
peuple
polynésien
puisse
vivre
heureux.
C’est
ma
seule
préoccupation.
Soyez
assurés
que
je
veille
à
l’intérêt
général,
à
l’honnêteté
et
à
la
solidarité.
Je
vous
remercie
et
je
vous
souhaite
à
nouveau
une
bonne
année
du
Buffle !
KUNG
HI
FAT
TCHOY.
XIN
GNIEN
KHUAI
LEU.
Edouard
FRITCH
Fixation
du
tarif
d’hébergement
pour
les
voyageurs
placés
en
quarantaine
Le
Conseil
des
ministres,
réuni
en
séance
extraordinaire
vendredi
matin,
a
arrêté
le
tarif
forfaitaire
d’hébergement
des
personnes
mises
en
quarantaine
dans
un
lieu
dédié
à
leur
arrivée
en
Polynésie
française.
La
participation
financière
forfaitaire
aux
frais
de
séjour
est
fixée
à
6000
Fcfp
par
jour
et
par
personne
de
plus
de
onze
ans.
Ce
tarif
inclut
l’hébergement,
trois
repas
quotidiens,
la
surveillance
sanitaire
et
le
transport
depuis
l’aéroport
jusqu’à
l’hébergement
dédié.
Les
autres
frais
(téléphone,
pressing,
conciergerie…)
sont
à
la
charge
exclusive
des
personnes.
Le
paiement
du
forfait
se
fera
à
présentation
de
la
facture
par
le
régisseur.
Les
personnes
de
retour
d’évacuation
sanitaire
et
leurs
accompagnants
agréés
ainsi
que
les
étudiants
résidant
en
Polynésie
peuvent
être
exonérées
de
la
participation
financière
sur
leur
demande
et
sur
production
des
pièces
justificatives.
Le
nombre
d’unités
d’hébergement
dans
les
structures
hôtelières
de
Tahiti
est
fixé
à
144.
En
cas
de
saturation
de
ces
unités,
les
personnes
devront
soit
différer
leur
voyage,
soit
justifier
d’un
hébergement
à
leurs
frais
dans
une
structure
hôtelière
en
capacité
de
garantir
le
respect
des
exigences
de
la
quarantaine
sanitaire.
Fermeture
de
nos
frontières
?
Oui
l'Etat
l'impose.
Nous
sommes
donc
isolés
depuis
le
3
février
dernier
"
interdiction
d'entrer,
allez
donc
bronzer
ailleurs
de
toutes
façons
,ici
il
pleut
!"
Les
acteurs
du
tourisme
ne
sont
même
plus
à
genoux
mais
à
plat
ventre
!
On
leur
enlève
le
pain
de
la
bouche
pour
leur
bien
peut-être
mais
la
mesure
les
foudroie.
Trois
mois,
c'est
long
quand
on
baisse
le
pavillon.
Edouard
Fritch
n'est
pas
d'accord
mais
l'Etat
vient
de
montrer
qu'il
a
"une
main
de
velours
certes,
mais
dans
un
gant
de
fer"
Alors
le
président
par
la
force
des
évènements
se
rattrape
sur
les
très
rares
téméraires
qui
voyagent
encore
vers
la
Polynésie.
Ils
sont
fous
ces
Gaulois
!!!!!
Air
Tahiti
Nui
fait
le
point
sur
son
programme
de
vols
des
mois
de
février
et
mars
2021.
Air
Tahiti
Nui
informe
ses
clients
que
les
déplacements
vers
la
Polynésie
française
étant
strictement
limités
depuis
le
3
février
2021
et
jusqu’à
nouvel
ordre,
son
programme
de
vols
des
prochaines
semaines
est
aménagé
comme
suit :
Sur
le
mois
de
février
2021
le
programme
de
vol
d’Air
Tahiti
Nui
est
adapté
comme
suit :
Route
Papeete
–
Paris :
-Le
vol
TN68
Papeete
–
Paris
du
vendredi
12
février
est
maintenu.
-Le
vol
TN68
Papeete
–
Paris
du
mardi
16
février
est
annulé.
Les
passagers
prévus
sur
ces
vols
sont
invités
à
anticiper
leur
départ
ou
à
le
reporter
sur
les
vols
suivants.
-Le
vol
TN68
Papeete
–
Paris
du
vendredi
19
février
est
maintenu.
-Le
vol
TN68
Papeete
–
Paris
du
vendredi
26
février
est
maintenu.
Route
Paris
–
Papeete :
-Le vol TN67
Paris
–
Papeete
du
dimanche
14
février
est
annulé.
-Le vol TN67
Paris
–
Papeete
du
jeudi
18
février
est
maintenu.
-Le vol TN67
Paris
–
Papeete
du
dimanche
21
février
est
annulé.
-Le vol TN67
Paris
–
Papeete
du
dimanche
28
février
est
annulé.
Sur
le
mois
de
mars
2021
le
programme
de
vols
d’Air
Tahiti
Nui
est
adapté
comme
suit :
Les
vols
prévus
au
départ
de
Papeete
à
destination
de
Paris
sont
les
suivants :
-TN68
Papeete
–
Paris
le
samedi
06
mars.
-TN68
Papeete
–
Paris
le
samedi
13
mars
-TN68
Papeete
–
Paris
le
samedi
20
mars
-TN68
Papeete
–
Paris
le
samedi
27
mars
-TN68
Papeete
–
Paris
le
jeudi
01
avril
Les
vols
prévus
au
départ
de
Paris
à
destination
de
Papeete
sont
les
suivants :
-TN67
Paris
–
Papeete
le
jeudi
04
mars.
-TN67
Paris
–
Papeete
le
mercredi
10
mars.
-TN67
Paris
–
Papeete
le
mercredi
17
mars.
-TN67
Paris
–
Papeete
le
mercredi
24
mars.
-TN67
Paris
–
Papeete
le
mercredi
31
mars.
Le
programme
de
vols
du
mois
d’avril
sur
la
route
Papeete
-
Paris
-
Papeete
reste
pour
l’instant
inchangé.
Toute
éventuelle
modification
de
programme
vous
sera
communiquée
dans
les
meilleurs
délais.
Route
Papeete
-
Los
Angeles
-
Papeete
:
-Le
vol
TN02
Papeete
-
Los
Angeles
du
samedi
13
février
est
maintenu.
-Après
cette
date,
les
rotations
sur
la
route
Papeete
-
Los
Angeles
-
Papeete
sont
suspendues.
La
reprise
des
vols
sera
décidée
en
fonction
de
l’évolution
des
contraintes
aux
frontières
et
vous
sera
communiquée
dans
les
meilleurs
délais.
Air
Tahiti
Nui
présente
ses
excuses
pour
les
désagréments
causés
par
ces
restrictions
et
invite
les
clients
impactés
par
ces
modifications
à
se
rapprocher
de
leur
agence
de
voyage
ou
de
l’agence
Air
Tahiti
Nui
pour
toute
information
complémentaire.
La
Direction
Commerciale
Air
Tahiti
Nui
This
message
and
any
attachment
are
AIR
TAHITI
NUI
property
and
may
contain
confidential
information
intended
solely
for
the
addressees.
If
you
are
not
the
intended
recipient
of
this
message,
please
contact
the
sender
and
delete
this
message
and
any
attachment
from
your
system.
Any
use,
disclosure
or
copy
not
expressly
authorized
by
AIR
TAHITI
NUI
in
writing
is
strictly
prohib
Mercredi
10
février
2021
Coronavirus
: 22
nouveaux
cas,
16
hospitalisations,
135
décès
et
18.244
cas
cumulés
Le
président
du
pays
très
conciliant
avec Oscar Temaru
considère
qu'il
comprend
la
démarche
"indépendantiste"
d'Oscar
Temaru
avec
lequel
il
s'entend
bien
. Se
faisant,
il
s'est
peut-être
aventuré
sur
un
terrain
glissant
que
l'Etat
et
d'autres
vont
garder
en
mémoire.
Déjà
Gaston
Flosse
a
saisi
la
balle
au
bond
avec
"sa
proposition
de
souveraineté"...avec
la
France
bien
sûr.
En
quelques
mots,
Gaston
propose,
la
France
paie.
Et
sans
attendre
il
considère
que
l'Etat
devrait
prendre
à sa
charge
toutes
dépenses
inhérentes
au
Covid-19.
Fidèle
à
lui-même
physiquement
comme
mentalement
à 89
ans,
il ne
tressaute
pas
sur
les
mots,
pesés
et
pensés.
En
réalité
si on
porte
une
attention
déterminée
sur
la
réalité
de
ses
propositions
lors
de sa
conférence
de
presse
d'hier,
force
est
de
constater
qu'il
était
en
phase
avec
la
réalité
du
terrain.
L'Amuitahira
milite
donc
pour
la
souveraineté
avec
la
France,
ce
qui
ne
veut
pas
dire
grand
chose
sinon
que
lorsque
la
France
aura
un
haut
le
coeur,
Flosse,
lui
n'en
aura
pas !
Ami
d'un
jour,
mais
pas
ami
toujours,
Flosse
n'a
pas
voulu
signer
( les
maires
non
plus)
la
demande
d'autodétermination
d'Oscar
Temaru
à
l'ONU
qu'il
trouve
déplacée
dans
cet
organisme
où la
politique
politicienne
est
interdite.
Le
secrétaire
général
de
l'ONU
n'a
d'ailleurs
pas
souhaité
signer
non
plus,
la
proposition
du
maire
de
Faa'a
qui a
fait
chou
blanc
avec
pratiquement
tous
les
intervenants
de
l'ONU.
Du
coup
Flosse
qui
adore
les
métaphores
a
lancé
: "
"Nous
manquons
d'un
patron
qui a
des
citrons
et
non
pas
des
petits
pois
là où
vous
pensez
!".Lui,
à
n'en
pas
douter
sait
qu'il
a des
citrons
!
Tout
est
dit
jusqu'à
la
prochaine
fois.
Le
président
Fritch
en
présence
d'une
large
partie
de
son
gouvernement
a
reçu
lundi
Christophe
Petit,
dirigeant
et
actionnaire
de la
société
FIDUCIM.
Ce
groupe
de
sociétés
originaire
du
nord
de la
France,
spécialisé
dans
la
conception
et la
réalisation
de
projets
immobiliers
d'envergure,
a
confirmé
son
intention
de
s'engager
activement
sur
un ou
deux
programmes
d'investissements
à
Tahiti
et à
Moorea.
Précisions
sur
la
vente
de
l’atoll
d’Anuanurunga
Le
magazine Geo,
repris
ce
mercredi,
par
Tahiti
Infos,
annonce
la
vente
de
l’île
d’Anuanurunga,
située
dans
l’archipel
des
Tuamotu,
et
rattachée
administrativement
à la
commune
de
Hao.
Cette
annonce
indique
que
le
Pays
serait
propriétaire
de
cette
île
depuis
2002
pour
l’avoir
acquise
de
Monsieur
Robert
Wan,
lui-même
l’ayant
acquise
dans
les
années
1980
de
propriétaires
privés. Le
Pays
dément
cette
information,
qui
n’a
pas
été
vérifiée
avant
diffusion. En
effet,
l’île
d’Anuanurunga,
mise
en
vente
par
le
biais
d’une
agence
immobilière
locale,
est
une
propriété
privée
et
n’appartient
pas à
la
Polynésie
française. Cet
article,
qui
s’est
fait
l’écho
d’une
publicité
immobilière
lancée
via
Twitter,
fait
une
confusion
avec
l’île
voisine
dénommée
Anuanuraro.
Cette
dernière,
propriété
de la
Polynésie
française
depuis
son
acquisition
en
avril
2002
à la
société
Anuraro
Pearl
Island
Resort,
constitue
une
réserve
foncière
du
Pays. Le
gouvernement
du
président
Edouard
Fritch
n’a
aucune
intention
de
vendre
cette
propriété
d’Anuanuraro,
qui
constitue
un
patrimoine
exceptionnel
qu’il
souhaite
préserver. S’agissant
de
l’île
d’Anuanurunga,
si la
volonté
des
propriétaires
privées
de
vendre
ce
bien
était
avérée,
le
Gouvernement
de la
Polynésie
française
n’exclue
pas
l’hypothèse
de
son
acquisition.
Si
tel
devait
être
le
cas,
des
discussions
seraient
engagées
avec
lesdits
propriétaires.
Assemblée
de
Polynésie:
la
ministre
du
Travail
présente
aux
membres
de la
commission
législative
de
l'emploi
le
dispositif
de
renforcement
du
plan
de
sauvegarde
des
emplois
La
ministre
du
Tourisme
et du
travail,
Nicole
Bouteau,
a
présenté
aux
membres
de la
commission
de la
santé,
de la
solidarité,
du
travail
et de
l’emploi
réunis
sous
la
présidence
de
Virginie
Bruant,
le
projet
de
loi
du
Pays
portant
modification
de la
loi
du
pays
n°
2020-9
du 27
mars
2020
portant
modification
du
contrat
de
soutien
à
l’emploi
(CSE)
et
portant
création
des
dispositifs
de
sauvegarde
de
l’emploi
mobilisables
en
cas
de
circonstances
exceptionnelles
et du
code
du
travail.
Ce
projet
de
texte
vient
renforcer
et
aménager
les
dispositifs
exceptionnels
d’aide
à
l’emploi
mis
en
place
en
mars
2020
dans
le
cadre
de la
pandémie
qui
avait
entraîné
la
fermeture
des
frontières
et le
confinement
pendant
deux
mois
de la
Polynésie.
Après
avoir
rappelé
les
différentes
mesures
déployées
par
le
Pays
dans
le
cadre
de
cette
crise
sanitaire
qui
impacte
depuis
plusieurs
mois
l'économie
polynésienne,
Nicole
Bouteau
a
présenté
le
bilan
de
ces
dispositifs
exceptionnels
sur
l'année
2020,
rappelant
que
ces
derniers
ont
rempli
l'objectif
de
sauvegarde
des
emplois.
Alors
que
la
situation
sanitaire
internationale
s'est
dégradée
ces
dernières
semaines
avec
l'apparition
de
variants,
la
Polynésie
est
une
nouvelle
fois
soumise
à des
restrictions
qui
impactent
de
nouveau
le
secteur
du
tourisme
et
ses
entreprises.
C'est
dans
ce
contexte
que
la
ministre
du
Travail
a
proposé
au
gouvernement
le
renforcement
et
l'amélioration
des
dispositifs
de
soutien
à
l'emploi
ainsi
que
leur
prolongation
au 30
juin
2021.
Après
avoir
échangé
sur
le
projet
de
loi
du
Pays
modificative,
les
membres
de la
commission
ont
apporté
leur
soutien
aux
mesures
évoquées
qui
seront
présentées
à
l'approbation
de
l'Assemblée
délibérante
réunie
en
session
extraordinaire
le 18
février
prochain.
Les
mots
colleront-ils
aux
actes
dans
la
gendarmerie
?
Sans
doute
!
Plus
souvent
qu'en
politique
où
ils
s'envolent
comme
feuilles
au
vent.
Le
général
Saulnier,
patron
de la
gendarmerie
en
Polynésie
a
dressé
le
bilan
de la
délinquance
il y
a
quelques
jours
au
terme
d'une
année
endeuillée
par
la
crise
sanitaire
et
ses
décès.
Mais
aujourd'hui
ne
ressemble
pas à
hier
et
les
moyens
d'investigations
notamment
sur
les
stupéfiants
bénéficient
de
moyens
renforcés
et
une
stratégie
de
saisie
systématique.
Il a
prononcé
cette
phrase
lourde
de
détermination
:
Il
faut
que
les
délinquants
sachent
que
:
"nous
irons
chercher
le
produit
de
vos
crimes"
.
Vlan
fermez
le
ban,
c'est
dit !
Compte
rendu
du
conseil
des
ministres
Aménagement
des
modalités
d’importation
des
chiens
et
des
chats
en
Polynésie
française
depuis
la
France
Les
conditions
réglementaires
applicables
pour
l’importation
en
Polynésie
française
des
chiens
et
des
chats
précisent
plusieurs
conditions
de
santé
et de
vaccination,
notamment
que
les
animaux
soient
exempts
de
parasites
susceptibles
de
véhiculer
des
maladies
transmissibles
à
l’homme
ou
impactant
nos
élevages.
Actuellement,
au
départ
de la
métropole,
l’examen
approfondi
ne
peut
se
faire
sur
le
site
de
l’aéroport
de
Roissy-Charles
De
Gaulle
par
les
vétérinaires
officiels,
du
fait
notamment
de
l’absence
d’infrastructures
permettant
ce
contrôle
sur
place.
Les
voyageurs
sont
alors
contraints
de
recourir
à une
mise
en
station
de
quarantaine
de
leurs
animaux
dans
les 4
jours
précédant
le
départ
vers
la
Polynésie
française,
les
animaux
y
étant
isolés
jusqu’à
leur
chargement.
Cette
situation
est
ainsi
préjudiciable
aux
voyageurs
qui
se
plaignent
notamment
du
coût
de
cette
quarantaine,
executée
par
un
seul
opérateur
privé.
Afin
de
tenter
de
remédier
à
cette
problématique,
la
Direction
de la
biosécurité
(DBS)
travaille
avec
son
homologue
métropolitain
(la
Direction
Générale
de
l’Alimentation)
pour
la
mise
en
place
d’autres
protocoles
de
certification.
Ceux-ci
devront
permettre
d’offrir
aux
usagers
un
panel
de
plusieurs
prestations
à
l’export,
tout
en
gardant
les
garanties
sanitaires
des
animaux
importés
en
Polynésie
française.
En
2020,
tous
les
transitaires
spécialisés
dans
le
fret
animalier
à
l’aéroport
de
Roissy-Charles
De
Gaulle
ont
ainsi
été
contactés.
L’objectif
étant
la
mise
à
disposition
d’un
local
sur
le
site
afin
de
faire
effectuer
par
un
vétérinaire
privé
habilité,
l’examen
des
animaux
au
moment
de
leur
chargement.
Dans
un
deuxième
temps,
si la
mise
en
œuvre
de ce
protocole
est
satisfaisante,
une
extension
aux
aéroports
de
province
dotés
de
locaux
d’examen
des
animaux,
pourra
être
envisagée.
Pour
les
animaux
qui
devront
toutefois
passer
par
une
quarantaine,
la
DBS
étudie
les
possibilités
de
reconnaissance
d’autres
structures
autorisant
l’accueil
des
chiens
et
des
chats
avant
transport
vers
la
Polynésie
française,
afin
d’augmenter
le
nombre
de
prestataires
et
permettre
ainsi
une
meilleure
concurrence
sur
le
prix
de
ces
services.
Lancement
de la
2ème
saison
de
Fa’a
Hotu
Dans
le
cadre
de sa
politique
agricole,
et de
la
promotion
du
secteur
primaire,
le
Vice-président,
en
charge
de
l’Agriculture,
a
présenté
la
2ème
saison
de
l’émission
Fa’a
Hotu.
Cette
nouvelle
saison
abordera
10
nouveaux
thèmes
agricoles
tels
que
la
filière
ananas,
la
filière
bois,
les
feuilles
comestibles,
l’agriculture
biologique,
l’agro-transformation,
les
auxiliaires
de
cultures,
la
canne
à
sucre,
le
noni,
l’innovation/chimie
verte
et
l’horticulture.
A
travers
ces
nouveaux
sujets,
« Fa’a
Hotu »
renoue
avec
l’histoire,
en
rendant
hommage
à ces
professionnels
considérés
comme
des
piliers
et
des
mémoires
vivantes
de
leurs
activités
mais
aussi
à
cette
jeunesse
qui
croit
en
l’innovation
et au
développement
économique
de
l’agriculture.
C’est
à
travers
leurs
histoires,
que
ces
professionnels
inviteront
le
public
à
reconsidérer
le
métier
d’agriculteur,
à
comprendre
les
difficultés
de
professionnalisation
d’une
filière,
à
s’inspirer
de
leurs
techniques
mais
aussi
à
partager
leurs
convictions,
dans
un
contexte
où
l’agriculture
peut
être
une
réponse
à
l’autonomie
alimentaire
et
économique
de la
Polynésie.
« Fa’a
Hotu »
sera
diffusé
sur
Tahiti
Nui
Télévision
(TNTV),
à
compter
du
jeudi
11
février
à
19h20,
à
raison
d’un
nouvel
épisode
toutes
les
deux
semaines
et
d’une
rediffusion
le
dimanche.
Le
premier
épisode
sera
dédié
à la
filière
ananas.
Des
conditions
d’importation
et de
commercialisation
des
masques
renforcées
Dans
le
cadre
de la
lutte
contre
l’épidémie
Covid-19,
le
Conseil
des
ministres
a
adopté
un
arrêté
visant
à
encadrer
les
conditions
d’importation
et de
commercialisation
des
masques
à
usage
médical,
des
masques
de
protection
respiratoire
(masques
dit
« FFP »)
et
des
masques
dits
« grand
public »,
c’est-à-dire
les
masques
jetables
dont
la
qualité
est
suffisante
pour
un
usage
de
prévention
au
quotidien.
Cet
arrêté
définit,
pour
chaque
type
de
masques,
les
exigences
minimales
de
qualité
et
les
normes
de
qualité
qu’ils
doivent
respecter.
Les
masques
à
usage
médical
et
les
masques
de
protection
respiratoire
doivent
respecter
des
normes
françaises,
européennes
ou
internationales,
et
doivent
présenter
un
certificat
de
conformité
ou un
rapport
de
test
à
l’importation.
Les
masques
« grand
public
et
jetables »
doivent,
quant
à
eux,
filtrer
au
moins
70%
des
particules
d’une
taille
moyenne
de 3
microns.
Par
ailleurs,
l’arrêté
impose
des
règles
d’étiquetage
et
d’emballage
pour
tous
les
masques,
afin
de
garantir
l’information
optimale
du
consommateur
sur
le
niveau
de
protection
proposé
et
d’assurer
une
bonne
hygiène
de
ces
masques
à
l’achat.
Création
du
dispositif
de
soutien
au
tourisme
intérieur
« Tīteti
’Āi’a »
Les
nouvelles
conditions
de
voyage
en
transport
aérien
au
départ
et à
destination
de la
Polynésie
française,
prises
suite
à
l’adoption
du
décret
du 15
janvier
2021,
modifiant
le
décret
du 16
octobre
2020
restreignent
strictement
tous
les
déplacements
de
personnes
non
fondés
sur
un
motif
impérieux
d’ordre
personnel
ou
familial,
un
motif
de
santé
relevant
de
l’urgence
ou un
motif
professionnel
ne
pouvant
être
différé
et ce
pour
une
durée
non
définie.
Ces
dispositions
conduisent
à la
fermeture
des
frontières
pour
toutes
autres
activités.
Aussi
la
dérogation
prise
par
le
Haut-commissaire
de la
République
en
Polynésie
française
concernant
les
activités
en
lien
avec
l’impératif
de
reprise
économique
du
territoire,
dont
notamment
l’investissement,
le
tourisme
ou
les
manifestations
culturelles
et
sportives
s’en
trouve
t’elle
supprimée.
Très
fortement
touché
par
la
crise
sanitaire,
avec
une
diminution
de sa
fréquentation
de
près
de
68%
sur
l’année
2020,
le
secteur
du
tourisme
comptait
sur
la
reprise
amorcée
en
2021,
notamment
grâce
aux
reports
de
réservations
de
l’année
précédente.
La
fermeture
des
frontières
à
tous
déplacements
ayant
pour
motif
une
activité
touristique
plonge
à
nouveau
ce
secteur
déjà
très
fragilisé
dans
de
grandes
difficultés.
Le
Pays
doit
donc
s’orienter
vers
un
tourisme
résilient,
tourné
vers
et
pour
la
population
locale
qui
devient
désormais
le
seul
« vivier
touristique »
de la
Polynésie
pour
les
prochains
mois.
Ce
contexte
conduit
le
Pays
à
instituer
un
dispositif
de
coupon
dénommé
« Tīteti
’Āi’a »
destiné
aux
résidents
de la
Polynésie
française
afin
de
les
inciter
à
séjourner
dans
les
îles
de
Polynésie
française.
Ces
coupons
ou
« Tīteti
’Āi’a
»,
conditionnés
par
une
réservation
confirmée
pour
deux
personnes
au
moins
en
hébergement
marchand
de
deux
nuitées
minimum
au
sein
d’un
établissement
déclarés
ou
répertoriés
auprès
du
service
du
tourisme,
concernent
de
nombreuses
prestations
touristiques
dès
lors
que
le
prestataire
aura
adhéré
au
dispositif.
Colloque
sur
le
cannabis
en
Polynésie
française
Un
colloque
dédié
au
cannabis
est
organisé
mi-avril
en
Polynésie
française,
si la
situation
sanitaire
le
permet,
avec
des
acteurs
locaux
et
des
experts
internationaux.
Ce
colloque
serait
l’occasion
d’évoquer
notamment
les
possibilités
d’utilisation
du
cannabis
thérapeutique
ainsi
que
des
possibilités
de
développement
économique
lié
au
cannabis
thérapeutique
ou
industriel.
Il
serait
organisé
sur 3
à 4
jours
au
sein
de
l’Université
de la
Polynésie
française.
Il
serait
également
précédé
d’une
enquête
d’opinion
dans
la
population
polynésienne
en
amont
du
colloque.
La
participation
du
ministère
de la
Santé
a été
sollicitée
dans
ce
cadre
et
cette
participation
semble
une
opportunité
d’aller
dans
le
sens
de
l’ouverture
au
cannabis
thérapeutique,
tel
que
proposée
dans
la
communication
en
Conseil
des
ministres
du 1er
juillet
2019.
Bilan
des
actions
de
sensibilisation
à la
sécurité
routière
menées
durant
l’année
2020
Le
Conseil
des
ministres
a
dressé
le
bilan
des
actions
de
sensibilisation
à la
sécurité
routière
menées
durant
l’année
2020.
·
583
suspensions
pour
conduite
sous
un
état
alcoolique ;
·
9
suspensions
pour
conduite
en
état
d’ivresse
manifeste ;
·
12
suspensions
pour
refus
de se
soumettre
aux
dépistages
et
aux
vérifications
alcoolémies
et/ou
stupéfiants ;
·
30
suspensions
pour
conduite
sous
l’influence
de
stupéfiants.
A
titre
de
comparaison,
les
contrôles
effectués
en
2019
ont
amené
la
cellule
de
restrictions
du
droit
de
conduire
à
procéder
à 711
suspensions
administratives
du
permis
de
conduire.
De
son
côté,
la
Direction
des
transports
terrestres
a
mené
de
nombreuses
actions
de
sensibilisation
au
travers
de
plusieurs
campagnes
audio-visuelles
de
prévention
à la
sécurité
routière
sur
différents
canaux :
·
Affichage
publicitaire
à
l’arrière
des
autobus,
·
Diffusion
de
vidéos
de
prévention
sur
les
réseaux
sociaux,
·
à
bord
des
navettes
maritimes,
·
dans
les
salles
de
cinéma,
·
sur
les
radios,
·
et
les
chaînes
de
télévision
locales.
Au
titre
de
l’année
2020,
les
opérations
de
sensibilisation
à la
sécurité
routière
ont
couté
un
peu
plus
de 5
millions
Fcfp
à la
Polynésie
française.
Cette
somme
a été
consacrée
essentiellement
à la
création
de
contenu,
l’édition
de
support
de
type
affiches
et
dépliants
et
leur
diffusion
au
travers
des
campagnes
de
sensibilisation
auprès
du
grand
public.
Point
sur
l’accompagnement
des
personnes
sans
abri
Estimées
à
près
de
300
dans
les
rues
de
Papeete,
les
personnes
sans
abri
sont
très
présentes
dans
les
débats
relatifs
à la
pauvreté
et à
l’exclusion,
dont
le
devenir
constitue
une
réelle
priorité
pour
le
Gouvernement.
Pour
lutter
contre
ce
type
d’exclusion
et
permettre
à ce
public
de
retrouver
des
conditions
de
vie
dignes,
un
accompagnement
à
l’insertion
sociale
et
professionnelle
adapté
s’impose.
Ce
dernier
constitue
l’axe
majeur
du
plan
d’urgence
sociale.
Une
prise
en
charge
pluridisciplinaire,
globale
et
hiérarchisée
de
cette
population
est
prévue,
avec
la
mise
en
œuvre
de
plusieurs
projets
:
·
La
construction
d’un
nouveau
centre
de
jour
est
prévu
dans
le
quartier
de
Vaininiore
grâce
à la
mise
à
disposition
d’une
parcelle
de la
commune
de
Papeete
au
profit
du
Pays.
Un
accès
aux
douches
et
aux
produits
d’hygiène
avec
la
prise
d’un
repas,
mais
également
un
accès
aux
droits
et un
véritable
accompagnement
dans
la
détermination
d’un
projet
d’insertion
y
seront
proposés.
·
La
réalisation
d’un
centre
d’hébergement
d’urgence
et un
centre
d’hébergement
et de
réinsertion
sociale,
accueillant
tous
deux
un
public
mixte,
avec
pour
missions
principales
de
répondre
à
toute
situation
d’urgence
et de
participer
à la
construction
d’un
projet
de
réinsertion
par
la
formation
et le
travail
seront
établis
sur
le
site
de
Raimanutea.
Dans
cette
attente,
une
structure
provisoire
a été
installée
sur
le
site
de
Fare
Ute.
·
La
création
d’un
village
communautaire
à
Afaahiti,
lequel
va
permettre
d’accompagner
les
intéressés
dans
la
reprise
du
lien
à
l’Autre
ainsi
qu’à
la
société,
et
d’initier
une
dynamique
d’insertion
tant
sur
le
plan
social
que
professionnel.
Le
village
communautaire
offrira
aux
usagers
un
logement
meublé
et
adapté
à
leurs
besoins.
Ces
opérations
sont
inscrites
dans
le
plan
de
relance
économique
du
Pays.
Elles
doivent
servir
de
support
à la
mise
en
œuvre
d’un
véritable
parcours
d’insertion
sociale
et
professionnelle
adapté
aux
personnes
sans
abri,
et de
rendre
avant
tout
à
cette
population
sa
dignité
et
son
autonomie.
Dans
cette
perspective,
le
Ministère
entend
prioriser
la
reprise
d’activités
et
proposera
un
cadre
règlementaire
en
faveur
d’une
nouvelle
inscription
de
ces
publics
dans
la
société
beaucoup
plus
dynamique,
notamment
par
le
biais
de
projets
relevant
de
l’intérêt
général
(ex:
agriculture,
préservation
de
l’environnement
...).
Il
convient
de
souligner
aussi,
par
ailleurs,
que
le
Pays
met
également
à
disposition
un
terrain
pour
le
centre
d’accueil
Te
Vai
Ete.
Le
Président,
le
vice-président
en
charge
du
domaine,
et le
Conseil
d’Administration
de la
Mission
Catholique
de
Tahiti
et
Dépendances
(CAMICA),
ont
ainsi
signé,
fin
janvier,
une
convention
de
bail
emphytéotique
afin
d’accueillir
le
nouveau
centre
d’accueil
de
jour
Te
Vai
Ete.
Le
projet
consiste
en la
construction
d’un
bâtiment
en
R+1
avec
douches,
toilettes,
buanderie,
cuisine,
salle
à
manger,
salle
de
soins
et
parking.
-o-o-o-o-o-
Mardi
9
février
2021
Je
viens
de
porter
plainte
contre
X qui
se
permet
d'écrire
sur
mon
site
et
d'y
publier
des
photos
de la
présidente
du
Front
national.
J'aime
cette
phrase
du
général
Saulnier
"
nous
irons
chercher
le
produit
de
vos
crimes"
notamment
ceux
qui
s'introduisent
sur
mon
site
pour
écrire
des
insanités
en
signant
Michel
Buillard!
Ce
pays
devient
aussi
grave
que
la
Réunion.
Et ce
n'est
pas
peu
dire
!
Voyez
la
photo.
Cette
femme
sortait
de
l'hôpital
après
une
opération
douloureuse
de la
hanche
au
bout
d'un
mois.
Une
artiste
peintre
et
pianiste
qui a été
attaquée
par
une
autre
femme
ayant
tenté
de
l'étrangler
quand
l'artiste
s'est
interposée
pour
garder
son
bien
car
cette
voisine
volait
ses
vêtements,
après
avoir
forcé
sa
porte
!!!!
La
Réunion
n'est
pas
un
département
d'Outre
Mer,
où il
fait
bon
vivre !
Un
mois
d'hôpital,
frêle,
fatiguée,
on
tente
de
l'étrangler
quand
elle
rentre
chez
elle.
Le
vice
président
de la
Polynésie
française
en
charge
de
l'Economie
bleue,
Tearii
Alpha
a
présidé
lundi
après
midi
le
conseil
d'administration
du
centre
des
Métiers
de la
mer
de
Polynésie
française.
Quel
est
le
rôle
du
président
Fritch
dans
le
commandement
du
plan
ORSEC
?
Flosse
: il
vient
en
soutien
des
décisions
prises
par
le
haut
commissaire
dans
le
cadre
du
plan
ORSEC
mais
le
rôle
de
second
capitaine
ne
lui
plait
pas
du
tout.
Cependant
c'est
la
loi.
A
propos
Flosse
n'est
pas
un
homme,
c'est
une
machine
!
Il
a
tout
noté,
les
dates,
les
lieux,
les
propos,
ne se
donnent
pas
la
peine
de
lire
ses
notes,
il
les
connaît
par
coeur.
Il a
entendu
les
chuchotements,
écouté
les
colères,évoque
les
reproches,
les
dates,
les
lieux
les
réparties.
Ce
n'est
pas
un
homme,
c'est
une
machine
!
Les
maires
et
les
délégués
du
SPC
ne
s'entendent
plus
vraiment
avec
le
Comité
syndical
qui
comporte
92
membres.
La
colère
gronde
et
ils
se
disent
mécontents
de la
politisation
par
le
président
Fritch
et
Oscar
Temaru.
Ces
deux
élus
président
et
maire,
ne
sont
pas
rester
dans
la
salle
où se
tenait
la
réunion
du
comité
syndical
où il
ne
restait
qu'une
quarantaine
de
membres
à la
fin
de la
rencontre.
Mieux,
aucun
d'entre
eux
n'a
signé
son
courrier
ni
les
maires
ni
les
délégués,
ça
sent
le
roussi
.
Oscar
Temaru
qui a
le
nez
fin
généralement
sait
et le
dit,
la
réunion
des
maires
est
un"
échec
total".
Gaston
Tong
Sang
a
bien
tenté
de
redresser
la
barre
en
disant
: "
La
tribune
des
maires
n'est
pas
une
tribune
politique
et
d'ajouter
: "
ce
n'est
pas
l'ONU
qui
va
décider
de
notre
avenir
politique,
économique
et
social.
La
décision
nous
appartient."
mais
ses
propos
tombent
à
l'eau.
Plouf
!
Personne
ne
l'écoute
Edouard
Fritch
a
failli
applaudir
et a
lancé,
lyrique
d'une
voix
forte
:
L"indépendance
est
dans
notre
sang,
le
sang
de
l'homme
car
c'est
ce
qui
nous
aide
à
porter
nos
propos
(sic
!!)
Puis
emporter
par
son
élan,
le
président
autonomiste
du
pays
a
ajouté
"
s'il
faut
un
référendum
pourquoi
pas ?
Mais
il
faut
choisir
le
bon
moment
"
Que
veut-il
dire
par
là,
pour
être
indépendant
? Ou
ne
pas
l'être
?
Bref
on le
sait
depuis
toujours
les
uns
comme
les
autres,
ils
sont
tous
indépendantistes.
Temaru
rusé
comme
un
renard
a
très
envie
de
faire
signer
le
courrier
qu'il
adresse
au
Secrétaire
général
et au
président
de la
4ème
Commission
de
l'ONU
par
tous
les
participants
présents.
Résultat
:
personne
n'a
signé.
Même
Edouard
Fritch
qui
ne
dit
pas
non
,demande
un
temps
de
réflexion,
mais
les
maires
et
délégués
ont
refusé
catégoriquement
de
signer.
Il
est
difficile
de
réunir
tout
le
monde
pour
entonner
le
même
refrain.
Les
tests
on
n'en
parle
plus
!
Flosse
a du
tonus
il
détaille
toute
la
politique
actuelle
pour
fustiger
une
fois
de
plus
le
gouvernement
: "
Où en
sommes
nous
?
Rien
ne
marche.
Echec
partout
ou
presque.
Voyez-vous
même
:
-
les
tests
on en
parle
plus.
Alors
que
c'est
avec
le
vaccin,
la
priorité.
Où en
sommes
nous
?
- les
vaccins
:
c'est
la
priorité
des
priorités.
C'est
l'unique
rempart
contre
la
Covid-19.
Aujourd'hui,
c'et
le
fiasco.
Le
président
expédie
une
première
commande
le 7
janvier
2021,
très
en
retard,
on
reçoit
14
625
doses.
C'est
peu.
Deuxième
commande
18.000
doses,
on
n'en
reçoit
que
2340.
Pourquoi
cet
échec.
Quel
est
le
plan
de
vaccination
?
Mesures
de
protection
: Le
premier
ministre
décide
la
fermeture
des
frontières
nationales,
le
président
Fritch
ferme
aussi
les
nôtres.
Paris
décide-t-il
pour
la
Polynésie
?
La
quatorzième
obligatoire
pour
tout
le
monde
sauf
dérogation
évidemment
comme
pour
les
fonctionnaires
d'Etat,
qui
ont
débarqué
chez
nous
sans
accomplir
de
quatorzaine
et
sans
contrôle,
mais
avec
eux
la
Covid-19,
ajoute
Flosse.
Le
plan
de
relance
Le
premier
plan
de
relance
cap
2025
a été
concocté
par
Teva
Rofrirsch,
reprend
l'ancien
président
qui
est
un
véritable
métronome.
tout
est
bien
rangé
dans
des
chemises
orange
bien
sûr
comme
dans
son
cerveau
méthodique.
Rofritsch
en
date
du
1er
septembre
2020
avait
donné
ses
200
mesures.
"
mais
on en
parle
plus,
elles
sont
à la
poubelle
!"
dit
Flosse
en
regardant
les
journalistes
pour
voir
s'ils
ont
bien
pigé
et il
enchaîne
infatigable
:
Le
nouveau
ministre
nous
promet
un
plan,
non
plus
de 2
ans
mais
sur 3
ans.
Non
pas
avec
200
mais
50
mesures
au
lieu
de
200.
C'était
le 23
décembre
2020,
4
mois
seulement
après
le
premier
plan.
Nous
attendons
le
deuxième
plan
de
relance.
pendant
ce
temps
là le
chômage
continue
à
ruiner
nos
familles
et
nos
entreprises.
Lorsqu'il
arrivera
ce
plan
la
pandémie
sera
loin..."
"Aujourd'hui,
les
hôtels
et
pensions
de
familles
vont
rejoindre
la
masse
des
sociétés
en
faillite.
Et le
président
ne
dit
rien
ou il
n'a
rien
compris.
il se
balade
dans
les
archipels,
hier
aux
iles
Sous
le
vent,
puis
aux
Australes,
demain
aux
Marquises
..."
Comme
on
peut
le
constater
ni
les
dates,
ni
les
détails
n'échappent
à
l'ancien
président
qui
se
verrait
bien
retrouver
sa
place
en
haut
de
l'affiche
!
Lundi
8
février
2021
A
propos
Pour
avoir
"osé"
écrire
il y
a
quelques
mois,deux
ou
trois
lignes
humoristiques
,
Dominique
Sorain,
haut
commissaire,
fonctionnaire
ayant
une
haute
idée
de
son
grade
dans
la
fonction
publique,
ne
nous
invite
plus
à ses
conférences
de
presse,
ouf,
ce
n'est
pas
plus
mal,
tant
pis
pour
le
grincheux
sans
humour
,car
Tahititoday
a
toujours
la
ressource
de
savoir
ce
qu'il
annonce
et
qui
n'est
pas
toujours
d'un
grand
intérêt,d'autant
qu'il
n'était
pas
concerné
par
nos
écrits,
mais
il
faut
bien
qu'il
assume
son
salaire.
Le
reste
n'existant
pas à
ses
yeux,
ce
qui
prouve
un
caractère
ombrageux
et
revanchard,
ne
suscite
pas
la
sympathie
comme
le
souhaite
l'Etat
pour
ses
fonctionnaires,
galonnés
ou
pas,comme
l'était
Lionel Beffre
notre
ancien
haut
commissaire,
urbain
et
sympathique,
regretté
de
toute
la
presse
à
l'époque.
Alors
qu'a-t-il
annoncé
Mr le
Haut
commissaire
Sorain
?
Une
prolongation
renforcée
des
dispositifs
d'aide
jusqu'au
30
juin
prochain.
Non,
non,
cela
ne
vient
pas
de
lui
il
n'est
qu'une
courroie
de
transmission,
mais
de
l'Etat.
Plus
de
plafonds
à ces
aides
basées
hier
sur
le
nombre
de
salariés.
Le
haut
commissaire
en
balbutiait
d'émotion
en
annonçant
la
bonne
nouvelle
dont
il
est
le
relais
obéissant.
Ces
aides
vont
donc
être
renforcées.
Exemple,
les
aides
pour
des
entreprises
accusant
une
perte
de
50%
de
chiffres
d'affaires,
1,2
million
pourra
être
octroyée.
Pour
les
entreprises
qui
auront
un
plus
gros
déboire
pouvant
aller
jusqu'à
70%
de
perte,
l'indemnité
pourra,
elle,
se
monter
jusqu'à
24
millions
de
fcp.
L'Etat
ne
s'arrête
pas
là et
une
aide
complémentaire
pour
les
charges
fixes
destinées
aux
plus
grosses
entreprises
est
en
cours
d'élaboration.
Frédérick
Dock,
le
président
du
Medef
a
donc
été
entendu
par
Paris.
Par
ailleurs,
la
quatorzaine
est
pour
demain.
Le
conseil
des
ministres
local
a
signé
un
arrêté
portant
sur
les
mesures
d'entrée
et de
surveillance
sanitaire
des
arrivants
téméraires
mais
dans
l'obligation
d'avoir
un
test
RT-PCR
négatif
effectué
72
heures
avant
l'embarquement
vers
la
Polynésie
française.
Il
entrera
en
vigueur
demain
à
minuit,
en
contrepartie
une
quatorzaine
stricte
sera
obligatoire
dans
un
site
choisi
ou au
domicile
du
passager
qui
revient
chez
lui.
Du
coup
les
Polynésiens
s'interrogent
:
"jusqu'à
quand
?"
Nul
ne le
sait
!
Fermeture
ponctuelle
du
collège
de
Mataura
à
Tubuai
aux
externes
et
demi-pensionnaires
à
compter
du
lundi
8
février
à 14h
Suite
au
dépistage
de 7
cas
positifs
à la
Covid
19
chez
les
élèves
internes
du
collège
de
Mataura
à
Tubuai
et en
application
du
protocole
sanitaire,
en
concertation
avec
la
Direction
de la
santé,
le
ministère
de
l'Education
de la
modernisation
de
l’administration,
en
charge
du
numérique,
procède
à la
fermeture
du
collège
de
Mataura
à
Tubuai
à
compter
du
lundi
8
février,
14
heures,
pour
une
durée
de 7
jours.
Des
mesures
sanitaires
sont
immédiatement
prises :
Les
élèves
internes
positifs
sont
isolés
en
zone
dédiée
dans
l’établissement
scolaire.
Les
élèves
internes
négatifs
restent
à
l’internat
séparés
des
élèves
positifs.
Ils
subiront
un
test
de
contrôle
à 7
jours
par
PCR à
et un
test
antigénique
s’il
y a
apparition
de
symptômes.
Les
élèves
externes
et
demi-pensionnaires
retournent
dès à
présent
à
leur
domicile,
avec
consignes
de
surveillance
données
aux
parents,
et
test
antigénique
s’il
y a
apparition
de
symptômes.
Une
continuité
pédagogique,
assurée
par
les
enseignants,
est
mise
en
place
pour
l’ensemble
des
élèves
du
collège.
Adoption
du
dernier
volet
de la
stratégie
du
Pays
en
matière
d’habitat
Le
comité
de
pilotage,
qui a
suivi
les
travaux
d’élaboration
de la
politique
publique
de
l’habitat
depuis
plusieurs
mois,
a
adopté,
lundi,
le
dernier
volet
de la
stratégie
du
Pays
en la
matière.
Il
s’agit
ainsi
de
réguler
afin
de
mieux
répondre
aux
besoins
des
familles
polynésiennes,
tout
en
soutenant
les
acteurs
économiques
du
Pays.
Sous
la
présidence
de
Jean-Christophe
Bouissou,
ministre
du
Logement,
de
l’aménagement,
en
charge
des
transports
interinsulaires,
ce
comité
comprenant
des
représentants
du
gouvernement,
de
l’Assemblée
de
Polynésie
française,
du
CESEC,
de
l’Etat
et
des
communes,
a en
effet
validé
la
présentation
des
moyens
nécessaires
pour
le
développement
de la
politique
publique
de
l’habitat
polynésienne
sur
la
période
2021-2030.
La
mission
d’étude
menée
par
les
sociétés
MERC/AT
-
Groupe
CITADIA-
SCET,
sous
le
pilotage
administratif
et
technique
de la
Délégation
à
l’habitat
et à
la
ville
(DHV),
a mis
en
avant
un
enjeu
principal:
la
réorientation
du
développement
de
l’offre
de
logements
vers
les
produits
les
plus
utiles
pour
répondre
à la
diversité
des
besoins
et
pour
fluidifier
les
parcours
résidentiels.
Les
objectifs
de la
politique
de
l’habitat
sont
ainsi
de
maintenir
une
forte
production
de
logements
sociaux,
de
développer
le
parc
locatif
et en
accession
pour
les
ménages
aux
revenus
intermédiaires,
de
mieux
pourvoir
les
besoins
en
hébergements
spécifiques
et
d’organiser
les
transitions
entre
les
segments
du
parc
de
logements.
En
cohérence
avec
les
perspectives
de
développement
du
SAGE,
les
objectifs
de
production
de
logements
sont
déclinés
à
l’échelle
des 5
archipels
et
des
principales
communes.
Parallèlement,
la
politique
publique
de
l’habitat
vient
renforcer
l’efficience
des
mesures
déjà
engagées
par
le
gouvernement
en
matière
de
logement
:
l’amélioration
du
dispositif
OLSP
(organismes
de
logement
social
privés),
l’effort
de
production
de
logements
sociaux,
la
mise
en
œuvre
du
Programme
de
rénovation
urbaine,
la
valorisation
de la
filière
construction
en
bois
local,
etc,
tout
en
créant
de
nouveaux
dispositifs
notamment
dans
le
cadre
de la
lutte
contre
l’habitat
insalubre
et
l’amélioration
de la
qualité
des
logements.
Cérémonie
en
l’honneur
des
jeunes
talents
ayant
participé
aux
concours
des
meilleurs
apprentis
de
France,
section
cuisine
et
coiffure
La
ministre
de
l’Education,
Christelle
Lehartel,
a
participé,
lundi,
au
Lycée
hôtelier
de
Tahiti,
à la
cérémonie
en
l’honneur
des
jeunes
talents
ayant
participé
aux
concours
des
meilleurs
apprentis
de
France,
section
cuisine
et
coiffure,
qui
se
sont
déroulés
en
métropole
en
décembre
dernier.
La
cérémonie
s’est
déroulée
en
présence
également
du
Vice-recteur,
Philippe
Lacombe,
du
maire
de
Punaauia,
Simplicio
Lissant,
de la
présidente
de
l’association
du
tourisme
authentique,
Mélinda
Bodin,
ainsi
que
du
PDG
d’Air
Tahiti
Nui,
Michel
Monvoisin,
qui a
apporté
son
concours
au
déplacement
en
métropole
des
candidats
polynésiens.
En
section
cuisine,
Manate
Mau,
est
passé
très
près
de la
médaille
d’or
lors
de la
finale
du
concours
national
de
meilleur
apprenti
de
France.
Il a
été
félicité
pour
cette
performance
dans
un
concours
au
niveau
d’exigence
particulièrement
élevé.
En
section
coiffure,
Poehere
Boutin-Tetumu,
et
son
modèle,
Jordane
Teura-Tessier,
ont
été
félicitées
pour
leur
médaille
d’or.
Tiana
Tissiou,
et
son
modèle,
Hereani
Teoru,
se
sont
également
distinguées
pour
leur
participation
et
une
très
belle
prestation
au
concours
national
de
meilleur
apprenti
de
France.
La
ministre
a
également
tenu
à
remercier
toutes
les
équipes
enseignantes
qui
ont
préparé
et
accompagné
ces
jeunes
élèves
dans
cette
aventure.
Les
jeunes
candidats
polynésiens
ont
en
effet
souvent
brillé
et
décroché
des
titres
lors
des
dernières
éditions
de
ces
concours
qui
sont
d’un
très
bon
niveau.
Par
le
passé,
en
cuisine,
des
jeunes
polynésiens
du
Lycée
hôtelier
de
Tahiti
ont
aussi
participé
à des
concours
internationaux
à
Sydney
et à
Taiwan.
Le
Vice-président
préside
le
conseil
d’administration
du
Centre
des
Métiers
de la
Mer
de
Polynésie
française
Le
Vice-président
de la
Polynésie
française,
ministre
en
charge
de
l’économie
bleue,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
a
présidé,
lundi
après-midi,
le
Conseil
d’administration
du
Centre
des
Métiers
de la
Mer
de
Polynésie
française
(CMMPF).
Le
CMMPF
est
un
établissement
public
administratif
ayant
pour
mission
la
formation
professionnelle
maritime
et le
perfectionnement
des
marins
au
commerce,
à la
pêche
et
cultures
marines.
L’ordre
du
jour
portait
sur
la
validation
du
programme
des
formations
et le
budget
primitif
pour
2021.
Ainsi,
17
sessions
de
formations
modulaires
sont
planifiées
pour
près
de
290
stagiaires,
dont
103
en
formation
pont,
64 en
formation
machine
et
122
en
formation
pêche
et
cultures
marines.
Pour
les
formations
spécifiques,
le
planning
prévoit
l’accueil
de
204
stagiaires
avec
34
sessions.
Cette
année,
l’accent
est
mis
sur
le
développement
des
formations
délocalisées.
4
sessions
de 6
semaines
chacune
sont
prévues
dans
les
îles,
notamment
à
Makemo,
Bora
Bora,
Kaukura,
et
Rurutu.
De
nombreuses
demandes
des
îles
éloignées
sont
en
cours
d’instruction.
Cette
dynamique
est
animée
par
l’avancement
concret
des
travaux
du
nouveau
centre
sis à
Arue
équipé
en
matériel
et
outillages
pédagogiques
performants,
tels
des
simulateurs,
pont,
radar
et
machine.
Ce
centre
disposera
d’un
centre
d’hébergement
pour
20
stagiaires.
La
livraison
est
prévue
dans
le
courant
du
premier
trimestre
2022.
Le
Vice-président
a
profité
de
l’occasion
pour
réaffirmer
l’engagement
du
Gouvernement
à
poursuivre
le
développement
des
formations
délocalisées
dans
les
archipels
éloignés
et
répondre
ainsi
aux
demandes
des
populations
isolées.
Samedi
6
février
2021
A
propos
"L'Affaire
Duhamel"
Et
voilà
encore
une
célébrité
parisienne,
après
une
flopée
d'autres,
qui
apporte
une
dramatique
avalanche
de
révélations
malodorantes.
Cette
affaire
Duhamel
est
rien
moins
qu'une
nouvelle
déflagration
qui
torpille
un
peu
plus
la
prétendue
"gauche
morale".
Qui
est
Olivier
Duhamel
? Un
politologue
très
connu,
habitué
des
plateaux
de
télévision,
mais
aujourd'hui
accusé
d'actes
pédophiles
et
incestueux
sur
son
beau
fils
adolescent.
Chassé
le
naturel
il
revient
au
galop.
On
avait
décelé
lors
de
ses
interviews
un
relent
nauséabond
d'amoralité
lorsqu'il
avait
signé
une
tribune
pour
défendre
Strauss-Kahn
empêtré
dans
les
accusations
d'infractions
sexuelles
où
Duhamel
s'en
prenait
"à
ces
chiens
de
journalistes",
ces
"procureurs
des
moeurs"
qui
s'acharnaient
sur
l'ancien
directeur
du
FMI.
Pire,
il
avait
également
qualifié
il
n'y a
pas
si
longtemps
le
meurtre
du
jeune
Français
nommé
Timothy
par
un
afghan
à
Villeurbanne
de...
"non
évènement".
Pour
résumer,
un
salaud
quoi
!
Le
plus
hallucinant
c'est
lorsque
les
journalistes
confirment
que
s'agissant
d'agissements
pédophiles
sur
son
beau-fils
"
tout
le
monde
savait".
En
ligne
de
mire
l'élégante
Elizabeth
Guigou,
intime
du
couple
sur
qui
pèse
de
lourds
soupçons
de
connivence.
Plus
fort
encore,
l'ancienne
garde
des
sceaux
socialiste
est à
la
tête
d'une
commission
de
lutte...contre
l'inceste.
Or,
il
est
dit
que
le
père
infâme
savait
mais
n'a
rien
dit.
Cette
affaire
permet
de
saisir
tout
le
décalage
qui
existe
entre
le
personnage
public
Kouchner,
humanitaire
père
de la
morale
et le
personnage
privé,
celui
que
l'on
ne
voit
jamais
bien
sûr,
qui
faisait
avaler
de
force
à ses
enfants
des
somnifères
pour
avoir
la
paix
le
soir.
Sans
compter
ses
crises
d'hystérie
et
chantage
aux
uns
et
aux
autres.
Faut-il
également
rappeler
qu'en
1977,
ce
cofondateur
de
"Médecins
sans
frontières"
avait
déjà
signé
une
tribune
écrite
par
Gabriel
Matzneff
défendant
la
pédophilie
comme
l'a
fait
Cohn-Bendit,
Jack
Lang
etc...et
même
Frédéric
Mitterrand.
"La
gauche
caviar"
dit-on.
Ce
n'est
pas
le
crépuscule
des
dieux
mais
le
crépuscule
de la
génération
68
qui
finalement
incarne
l'horreur
de
passer
sur
des
enfants
leurs
diverses
pulsions
. ils
ont
tous
un
point
commun
en
dehors
de
celui-là.
Devinez
lequel
!
NB
Et
j'oubliais
le
président
de
l'UPR
Asselineau
dont
les
brillantes
et
incisives
analyses
énervent
fortement
la
Macronie,
qui
est
en
garde
à vue
!
L'Etat
pas
inactif
A ce
jour,
7.975
milliards
cfp
ont
été
versés
aux
acteurs
du
territoire
au
titre
des
différents
dispositifs
mis
en
œuvre.
Le
fonds
de
solidarité
aux
entreprises
est
conçu
pour
les
prémunir
de la
cessation
d’activité.
Ce
dispositif
représente
98,4
% du
montant
total
des
aides
délivrées
en
2020,
soit
7.844
milliards
cfp.
Il a
été
spécialement
conçu
pour
les
entreprises
ayant
au
plus
10
salariés
et
moins
de
120
millions
de de
chiffre
d’affaires
annuel,
quel
que
soit
leur
statut
et
leur
régime
fiscal
et
social.
D’autre
part,
869
entreprises
bénéficient
d’un
prêt
garanti
par
l’Etat
auprès
d’une
des
banques
de la
place,
représentant
un
encours
de
52,3
milliards.
Ce
dispositif
de
prêt
est
prolongé
jusqu’au
30
juin
2021.
Les
entreprises
qui
ont
contracté
un
PGE
et
qui
voyaient
arriver
en
mars
2021
la
première
échéance
de
remboursement,
pourront
différer
leur
paiement
d'un
an et
commencer
à
rembourser
leur
crédit
en
mars
2022.
Au
1er
février
2021,
269
commerces,
134
structures
d’hébergement
touristique
et 96
entreprises
de
l’industrie
manufacturière
ont
bénéficié
d’un
PGE.
Ces
dispositifs
vont
être
complétés
et
renforcés.
Vendredi
5
février
2021
A
propos
Un
homme
politique
?
Vous
pensiez
connaître
la
faune
politique
locale
?
Vous
auriez
bien
tort.
Vous
pouvez
en
suivre
quelques
uns
depuis
plus
d'une
trentaine
d'années,
connaître
leurs
qualités
et
leurs
défauts
et
paf,
vous
vous
retrouvez
devant
un
canevas
d'hypocrisie
et de
cachotteries
qui
ne
peuvent
que
vous
surprendre
! On
prend
grand
soin,
par
exemple,
de ne
pas
vous
confier
avoir
donné
une
interview
à une
journaliste
d'une
autre
rédaction,
alors
que
vous
passez
quelques
heures
avec
cet
homme
que,
finalement,
vous
ne
connaissez
pas
assez
bien,
après
si
longtemps
car,
il
prend
grand
soin
d'éviter
de
vous
confier
"
tiens,
au
fait,
j'ai
donné
une
interview
ce
matin"
alors
qu'il
pouvait
dire
sans
plus,
sans
rien
dévoilé
:
"Au
fait
j'ai
été
interviewé
par X
ce
matin"
aurait
été
plus
honnête,
après
une
heure
de
papotage
sans
consistance
du
genre
"tu
aimes
les
carreaux
de ma
terrasse
qui
viennent
d'être
mis
?"
Je
ne
connais
finalement
qu'un
homme
politique
"honnête",
c'est
Jean
Christophe
Bouissou.Il
y en
a
certainement
d'autres
mais
dans
ceux
que
je
connais
le
mieux,
il
dit
ce
qu'il
fait
et il
fait
ce
qu'il
dit
et
quand
il ne
peut
pas,
il
l'avoue
et ne
tourne
pas
autour
du
pot à
raconter
des
fadaises,
pendant
des
lustres
! Un
bail
!.
On
ne
peut
pas
changer
les
hommes
mais
au
bout
de
tant
de
confidences
vraiment
stratégiques
et
jamais
trahies
"craindre"
(sic!)
de
confier
avoir
donné
une
interview
à la
concurrence
journalistique,
c'est
juste
en-fan-tin
!
Mieux,
c'est
ridicule
!
Il y
a un
pays
où
les
mensonges
sont
finis,
le
détecteur
est
au
goût
du
jour
en...Russie.
Les
députés
de la
Douma
et
les
experts
du
FSB (
ex
KGB)
l'ont
légalisé
afin
de
faciliter
les
entretiens
d'embauches
des
fonctionnaires.
Juste
un
critère
de
plus
de
recrutement
au
même
titre,
dit-on,
que
le
questionnaire,
l'expérience
ou la
formation.
Ben
voyons
! En
réalité
son
utilisation
se
révèle
être
largement
répandue......Ce
serait
super
chouette
pour
nos
hommes
politiques
locaux
!
Entrepreneur
et
ancien
maître
d'ouvrage
délégué
du
projet aquacole
de
Hao,
Coco
Taputuarai
est
décédé
vendredi
5
février
dans
la
nuit
des
suites
d'une
longue
maladie.
La
veillée
aura
lieu
ce
samedi à
la
maison
à
Hamuta
Alfred
dit
Coco
Taputuarai
est
décédé
à son
domicile,
vendredi
5
février
dans
la
nuit. L’homme
d’affaire
s’est
éteint
à
l'âge
de 77
ans
des
suites
d’une
longue
maladie.
En
février
2020,
Coco
Taputuarai
avait
été
condamné
à un
an de
prison
avec
sursis
pour
faux
et
usage
de
faux dans
l’affaire
l’opposant
à la
compagnie
chinoise
Tahiti
Oceans
food
et
dans
l’affaire
du
chantier
de la
ferme
aquacole
de
Hao.
Coco
Taputuarai
était entrepreneur
et
ancien
maître
d'ouvrage
délégué
du
projet aquacole
de
Hao.
La
veillée
aura
lieu
ce
samedi à
la
maison
à
Hamuta
à
partir
de
17h
jusqu'à
19h30.
Dimanche,
son
corps
sera
emmené
à
Vaxelaire
avant l'enterrement
lundi
au
cimetière
de
Pirae.
Quand
Mario
Banner,
chef
de la
DSP
stop
"les
magouilles"
Le
tribunal
administratif
de
Papeete
ayant
rendu
un
jugement
d'annulation
des
élections
municipales
d'Arue
sur
les
bases
et
les
éléments
de
fraudes
mentionnés
dans
l'enquête
administrative
menée
par
le
directeur
de la
DSP
qui
n'a
pas
hésité
à se
mettre
les
mains
dans
le
cambouis,le
syndicat
majoritaire
des
gardiens
de la
paix
dont
les
adhérents
ont
été
pris
les
mains
dans
le
sac,
donne
aujourd'hui
raison
au
directeur
de la
DSP
qui
n'a
pas
voulu
cautionner
, ni
camoufler
ce
que
tout
le
monde
appelle
aujourd'hui
"les
magouilles"
.
Gare
au
BISON
!
Marc
Pulvar,
figure
du
syndicalisme
martiniquais,
accusé
de
pédophilie
Marc
Pulvar,
grande
figure
du
syndicalisme
martiniquais
décédé
en
2008,
est
accusé
d'avoir
été
un "pédocriminel"
par
trois
femmes
de sa
famille
qui
expliquent,
dans
une
tribune,
vouloir
mettre
un
terme
à
l'"héroïsation
du
personnage".
"A
l'âge
de 7
et 10
ans,
nos
routes
ont
croisé
celle
d'un
homme",
écrit
la
conseillère
territoriale
Karine
Mousseau
avec
ses
cousines
Barbara
Glissant
et
Valérie
Fallourd,
dans
ce
texte
consulté
samedi
par
l'AFP.
"On
l'encense
aujourd'hui
encore
en
Martinique,
parce
qu'il
a été
un
militant,
syndicaliste,
défenseur
des
opprimés."
"C'était
l'oncle
de la
famille,
le
favori,
adulé
déjà,
par
tous.
Une
confiance
totale,
qui
dure
encore
aujourd'hui
de
manière
posthume,
et
que
nous
avons
décidé
de
briser,
une
fois
pour
toutes",
ajoutent-elles
au
sujet
du
père
d'Audrey
Pulvar,
adjointe
à la
mairie
de
Paris.
"En
finir
avec
cette
héroïsation
du
personnage,
ne
plus
jamais
lui
rendre
un
quelconque
hommage
à
l'avenir
et
désormais
penser
à lui
comme
il le
mérite:
Marc
Pulvar,
alias
Loulou
pour
les
intimes,
était
un
prédateur
sexuel",
écrivent-elles
encore.
Modalités
de la
quatorzaine
Un
Conseil
des
ministres
extraordinaire
a
adopté,
ce
vendredi
matin,
un
arrêté
portant
mesures
d’entrée
et de
surveillance
sanitaire
des
arrivants
en
Polynésie
française
dans
le
cadre
de la
lutte
contre
la
covid-19.
Il
entrera
en
vigueur
le 9
février
à 0
heure.
Cet
arrêté
impose
une
quatorzaine
stricte
à
toute
personne
entrant
en
Polynésie.
Cette
personne
doit
avoir
au
préalable
justifié
d’un
motif
impérieux
d’ordre
personnel
ou
familial,
de
santé
ou
professionnel,
tel
que
cela
a été
exposé
le 29
janvier
dernier
par
le
Premier
ministre
lors
de
l’annonce
de
l’interdiction
de
toute
entrée
ou de
sortie
du
territoire
national.
La
quatorzaine
peut
être
effectuée
à
domicile
si la
personne
atteste
qu’elle
peut
être
réalisée
sans
risque
de
croiser
une
tierce
personne
et
sans
risque
de
contamination.
La
personne
doit
également
disposer
d’un
véhicule
personnel
à
l’arrivée
pour
se
rendre
à
domicile
sans
contact,
ou
avoir
retenu
un
véhicule
de
transport
sanitaire
agréé.
La
quatorzaine
à
domicile
est
soumise
à une
demande
préalable,
au
moins
72
heures
avant
le
départ,
accompagnée
des
pièces
justificatives,
adressée
au
Haut-commissariat
de la
République
en
Polynésie
française.
A
défaut,
la
quatorzaine
est
effectuée
dans
un
établissement
hôtelier
dédié,
aux
frais
de la
personne,
dans
la
limite
d’un
forfait
journalier.
Les
personnes
arrivant
par
voie
maritime,
à
bord
d’un
navire
de
cinq
personnes
et
plus,
exécutent
leur
quatorzaine
à
bord.
Pour
tous
les
entrants,
un
test
RT-PCR
sera
effectué
12
jours
après
l’arrivée.
S’il
est
négatif,
la
personne
pourra
quitter
l’isolement
au
bout
de
quatorze
jours.
Un
aménagement
de la
quatorzaine
est
possible
pour
les
professionnels
de
santé
nécessaires
à la
lutte
contre
la
covid
ou
pour
les
personnels
dont
l’intervention
est
nécessaire
à la
réparation
d’un
matériel
indispensable,
à la
sécurité
ou à
la
vie
de la
population.
En
tout
état
de
cause,
un
test
RT-PCR
négatif
effectué
72
heures
avant
l’embarquement
vers
la
Polynésie
française
reste
exigé.
Lancement
de
l’étude
de
séroprévalence
à
Tahiti
et
Moorea
Plus
de
18.000
cas
cumulés
ont
été
enregistrés
depuis
le 13
mars
2020
grâce
aux
déploiements
de
nombreux
centres
de
prélèvements
sur
toute
la
Polynésie.
Ces
données
confirmées
et
suivies
de
près
par
les
épidémiologistes
de la
plateforme
covid-19,
sont
néanmoins
basées
uniquement
sur
des
résultats
de
prélèvements.
Ainsi,
à
partir
du
lundi
8
février
et
cela
sur
une
durée
de 3
semaines,
plusieurs
équipes
mandatées
par
le
ministère
de la
Santé
se
rendront
dans
des
foyers
sélectionnés
au
hasard
sur
Tahiti
et
Moorea
pour
une
étude
de
prévalence
des
anticorps
de la
maladie
Covid-19.
L’objectif
principal
de
cette
étude
est
d’estimer
la
proportion
de la
population
adulte
(18
ans
et
plus)
de
Tahiti
et
Moorea
ayant
été
infectée
par
le
virus
responsable
de la
Covid-19
depuis
le
début
de
l’épidémie
en
Polynésie
française.
Cette
étude
consistera
à
conduire
un
court
questionnaire
à une
personne
tirée
au
sort
dans
les
foyers
sélectionnés
et à
lui
prélever
un
petit
échantillon
de
sang.
La
participation
à
cette
étude
sera
sur
la
base
du
volontariat,
aucune
obligation
à y
participer.
Nous
demandons
à la
population
de
faire
bon
accueil
aux
équipes
d’investigateurs
qui
se
rendront
dans
les
foyers
et
apporterons
toutes
les
informations
nécessaires
pour
une
bonne
compréhension
de
cette
étude.
La
connaissance
de
cette
prévalence
est
importante
pour
les
futures
décisions
en
matière
de
santé
publique.
Fermeture
des
frontières:
la
ministre
du
Tourisme
réunit
l'industrie
touristique
La
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
a
réuni,
jeudi,
l'industrie
touristique
suite
aux
récentes
décisions
du
gouvernement
national
de
nouvelles
restrictions
de
voyage
vers
la
Polynésie
française
à
compter
du 3
février
compte
tenu
de
l'évolution
de la
situation
sanitaire
mondiale.
Les
nouvelles
conditions
de
voyage
en
transport
aérien
au
départ
et à
destination
de la
Polynésie
française
restreignent
strictement
tous
les
déplacements
de
personnes
non
fondés
sur
un
motif
impérieux
d’ordre
personnel
ou
familial,
un
motif
de
santé
relevant
de
l’urgence
ou un
motif
professionnel
ne
pouvant
être
différé.
Il
s'agissait
pour
la
ministre
de
rencontrer
les
professionnels
du
secteur
pour
échanger
sur
ce
nouveau
coup
dur
pour
l'industrie
touristique
très
fortement
touchée
par
la
crise
sanitaire.
Le
secteur
comptait
sur
une
reprise
affirmée
en
2021,
notamment
grâce
aux
reports
de
réservations
de
l’année
précédente.
La
fermeture
des
frontières
à
tous
les
déplacements
ayant
pour
motif
une
activité
touristique
plonge
à
nouveau
ce
secteur
dans
de
grandes
difficultés.
Organisée
en
présentiel
et en
visio-conférence,
cette
rencontre
a
réuni
plus
de 70
représentants
de
l'ensemble
des
secteurs
du
tourisme
polynésien.
L'Etat
participait
également
à
cette
rencontre
représenté
par
Cécile
Zaplana,
Secrétaire
générale
adjointe
du
haut-commissariat
de la
République,
qui
était
accompagnée
du
Directeur
des
finances
publiques,
Daniel
Casabianca
et du
Directeur
de
l’Institut
d’Émission
d’Outre-Mer
en
Polynésie,
Fabrice
Dufresne.
Mobilisé
dès
les
premières
annonces
faites
au
niveau
national,
le
Président
a
immédiatement
réuni
son
gouvernement
pour
évaluer
les
impacts
de
cette
quasi-fermeture
des
frontières
et
prendre
les
mesures
afin
d'y
faire
face.
Après
être
revenue
sur
la
situation
sanitaire
de la
Polynésie
qui
semble
se
stabiliser,
Nicole
Bouteau
a
décliné
les
mesures
économiques
en
matière
de
sauvegarde
des
entreprises
et
des
emplois
prises
par
le
Pays
qui
font
l'objet
non
seulement
d'un
renforcement,
d'améliorations,
mais
également
de
moyens
budgétaires
supplémentaires
de
plus
de 8
milliards
Fcfp.
Elle
a
également
confirmé
que
les
dispositifs
exceptionnels
de
sauvegarde
des
emplois
que
sont
le
DIESE
et le
DESETI
seront
prolongés
jusqu'au
30
juin
2021.
Ces
premières
mesures
seront
présentées
à
l'adoption
de
l’Assemblée
de la
Polynésie
française
mobilisée
en
urgence
à
l'occasion
d'une
session
extraordinaire
qui
s'ouvre
le 18
février
prochain.
Le
gouvernement
est
par
ailleurs
toujours
en
travaux
depuis
mercredi
dans
le
cadre
d'un
séminaire
sur
le
plan
de
relance
2021-2023,
dont
les
premières
priorités
sont
de
préserver,
de
s'adapter
compte
tenu
de
cette
deuxième
vague
qui
vient
frapper
l'économie
polynésienne,
tout
en
préparant
le
rebond
nécessaire.
Les
représentants
des
services
de
l'Etat
ont
quant
à eux
présenté
le
dispositif
national
exceptionnel
de
subventions
et de
garanties
dont
les
entreprises
polynésiennes
bénéficient.
A ce
jour,
plus
de 9
milliards
de
Fcfp
ont
été
versés
aux
acteurs
du
territoire
au
titre
des
différents
dispositifs
de
soutien.
Par
ailleurs,
869
entreprises
bénéficient
d’un
prêt
garanti
par
l’Etat
auprès
d’une
des
banques
de la
place,
représentant
un
encours
de
52,3
milliards
Fcfp.
L’Etat
prolonge
le
dispositif
du
PGE
jusqu’au
30
juin
2021.
Ainsi,
les
entreprises
qui
ont
contracté
un
PGE
et
qui
voyaient
arriver
en
mars
2021
la
première
échéance
de
remboursement,
pourront
différer
leur
paiement
d'un
an et
donc
commencer
à
rembourser
leur
crédit
en
mars
2022.
Ces
dispositifs,
toujours
d’application,
vont
être
complétés
et
renforcés.
Ces
nouvelles
mesures,
en
cours
de
finalisation,
seront
présentées
dans
les
prochains
jours.
Compte
tenu
de
l'impossibilité
d'accueillir
des
touristes
durant
les
prochaines
semaines,
Nicole
Bouteau
a
réaffirmé
la
volonté
du
Pays
d'une
réouverture
sous
deux
mois,
ce
délai
ne
pouvant
excéder
3
mois
compte
tenu
des
impacts
économiques
et
sociaux.
Cette
période
permettra
d'intensifier
le
dépistage,
de
programme
de
vaccination
et de
renforcer
les
moyens
en
service
d'urgence
et de
réanimation
au
CHPF
(Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française).
L'objectif
est
également
de
développer
la
consommation
intérieure
afin
de
soutenir
et
stimuler
l'économie
par
un
allègement
des
restrictions
notamment
en
matière
de
couvre-feu.
En
matière
de
tourisme
intérieur,
en
plus
de la
prolongation
d'une
semaine
du
salon
du
tourisme
à
distance
au 13
février,
la
ministre
a
annoncé
la
mise
en
place
très
rapidement
d'un
dispositif
de
chèques
voyages « Tīteti
’Āi’a »
destinés
aux
résidents.
Cette
réunion
a été
l’occasion
d’un
véritable
échange
entre
pouvoirs
publics
et
professionnels
du
secteur
qui
ont
pu
exprimer
leurs
craintes
et
difficultés. Ils
ont
abordé
de
manière
précise
leurs
besoins
immédiats,
ceux-ci
concernant
principalement
la
réassurance
du
soutien
du
Pays
en
matière
de
soutien
aux
entreprises
et
aux
emplois
mais
aussi
la
garantie
d’un
soutien
accru
de
l’Etat
par
le
biais
du
fonds
de
solidarité,
les
entreprises
n’ayant
plus
les
capacités
d’emprunter
davantage
pour
supporter
leurs
besoins
en
trésorerie.
La
ministre
a
également
annoncé
son
déplacement
la
semaine
prochaine
à
Bora
Bora
afin
de
rencontrer
la
municipalité
et
les
professionnels
de
l'île
particulièrement
impactés
pas
la
crise
sanitaire.
Transport
aérien
: en
panne
faute
de
clients
Dans
le
détail,
l’ISPF
estime
que
la
moitié
des
pertes
de
PIB
proviennent,
de
façon
directe
ou
indirecte,
des
difficultés
de la
branche
transport,
et
l’aérien
en
particulier.
L’impossibilité
d’acheminer
des
touristes
vers
la
Polynésie
ou, à
l’intérieur,
vers
ses
îles,
a
donc
engendré,
confinement
ou
pas,
l’essentiel
des
difficultés
économiques.
La
réouverture
partielle
du
ciel
le 15
juillet
a
permis
de
retrouver
environ
40%
du
flux
touristique
de
2019
mais
aussi
« d’offrir
quelques
débouchés
pour
les
exportations
qui
n’ont
plus
accès
à
l’Asie ».
« Malheureusement,
la
situation
sanitaire
va se
dégrader
en
Polynésie
française
à la
fin
du 3e
trimestre,
tout
comme
dans
l’Hexagone,
poussant
les
autorités
à
prendre
de
nouvelles
mesures
restrictives »,
note
l’institut.
De
quoi
« freiner »
la
reprise
: +7%
de
PIB
entre
le
deuxième
et le
troisième
trimestre,
mais
seulement
+1%
entre
ce
troisième
trimestre
et le
dernier
trimestre
de
l’année.
Flop
!
Tahiti
Pacifique
:
nouvelle
adresse
en
mai
2021
et 30
ans
de
vie,
ça se
fête
!
Cinq
candidats
aux
dernières
élections
municipales
vont
probablement
se
voir
infliger
des
peines
d’inéligibilité
qui,
du
fait
de
leur
durée
et du
calendrier
électoral,
ne
devraient
pas
perturber
leur
carrière
politique.
Sauf
dans
un
des
dossiers
où
une
démission
d’office
a été
requise.
Nouveau
parti,
nouveau
statut,
nouvelle
couleur...et
petit
lion
deviendra
grand
!
Et
voilà
le
vieux
lion
dans
la
jungle
politique,
plus
qu'à
l'aise,
qui
part,
tête
baissée
en
reniflant
à
droite
et à
gauche
les
proies
qui
pourraient
le
rejoindre.
Il a
de
l'appétit,
politique
bien
sûr
car
sa
femme
Pascale
Haiti
veille
à ce
qu'il
mange
peu
et
bien.
Mais
son
revirement
spectaculaire
de
l'autonomie,
issue
de
ses
entrailles
et
accordée
par
Jacques
Chirac
qui
n'en
croirait
pas
ses
yeux,
à une
indépendance
"souveraine",
dépasse
l'imagination.
Bon,
on
sait
que
les
avatars
qui
ont
parsemé
sa
route
de
petits
ou
gros
cailloux
y
sont
pour
quelques
chose,
comme
son
désamour
de
l'Etat
français
qui
l'a
renié.
Non
pas
l'Etat
mais
les
hommes
. En
conséquence,
tout
le
monde
comprendra
bien
sûr,qu'il
ne
lui
restait,
pour
se
démarquer,
que
de
créer
un
nouveau
rassemblement
baptisé
"
Amuitahira'a".
C'est
fait
!
Oscar
Temaru
est
malin
mais
Gaston
Flosse
est
intelligent.
Les
deux
hommes
ont
bien
tenté
de se
rapprocher
mais
on ne
peut
pas
dire
que
cela
a
vraiment
marché.
"Les
orgueils"...
de
l'un
et
l'autre
y
sont
pour
quelque
chose.
Il ne
peut
pas y
avoir
deux
chefs
dans
un
parti
n'est
ce
pas ?
Mais..car
il y
a
toujours
un
"mais"
quelque
part,
mais
depuis
les
communales
et
sans
doute
avant,
Gaston
Flosse,
n'ayant
pas
été
pour
rien
surnommé
le
vieux
"lion"
avait
repéré
et
senti
depuis
longtemps
la
chair
fraîche
du
jeune
Tauhiti
Nena.
Comme
d'habitude,
les
proches
de
Flosse
l'ont
tout
de
suite
baptisé
le
"fils
spirituel",
d'autant
qu'il
est
prévu
qu'il
devienne
"le
président
délégué
du
nouveau
parti,
"l'Amuitahira'a",
le
Tahoeraa
ayant
traversé
trop
de
batailles
et de
désillusions,
trop
marqué
de
cicatrices
diverses
qui
lui
ont
entamé
le
cuir,
changement
de
nom
oblige
!
Nouveau
parti,
nouveau
chef
? On
verra
dans
quelques
mois.
Le
conseil
politique
surpris
par
l'arrivée
de
Nena
a
tout
de
même
appris
que
rien
n'était
vraiment
confirmé.
Faux
!
Bien
sûr.
Flosse
ne
laisse
jamais
rien
au
hasard
surtout
quand
il
dit
le
contraire
de ce
qu'il
pense
! Il
se
veut
le
maître
du
suspens
et le
roi
de
l'hypocrisie
politique,
mais
le
nouveau
"fils
spirituel"
succédant
à
Edouard
Fritch,
trop
content
de ce
qui
lui
arrive,
a
allègrement
vendu
la
mèche
d'autant
plus
aisément
qu'il
a
toujours
été
plus
indépendantiste,
qu'autonomiste.
Bref,
une
fois
encore,
"le
vieux
lion
"pas
si
vieux
que
ça, a
trouvé
"un
lionceau",
grand,
beau
et
musclé
dont
il
est
très
fier
et va
lui
même
le
faire
galoper
dans
le
cirque
politique
en
lui
donnant
des
leçons
de
galop
et
d'élocution.
Tahoeraa
Exit
!
Autonomie,
Exit
!
Orange
?
Exit
.Quelle
couleur
,
sera
son
drapeau
qui
ne
peut
plus
être
"orange",
le
bleu
est
pris,
le
rose
était
Here
Ai'a,
le
mauve
à
partir
du
violet
était
la
marque
du
"parti
pirate"
aujourd'hui
disparu
mais
dont
la
couleur
risque
de
plaire
aux
élus
de
l'ancien
parti
orange.
Tout
cela
sera
décidé
au
début
de
l'été
!
Mais
une
chose
est
sûre,
ça
bouillonne
dans
la
tête
de
Flosse.
------
– Le
tribunal
administratif
de
Papeete
a
annulé
le
second
tour
des
municipales
à
Arue,
en
raison
de
"manœuvres"
de
colistières
de
Teura
Iriti
pour
établir
115
procurations
irrégulières
à la
DSP.
Compte-tenu
de
l'écart
de 79
voix
entre
Teura
Iriti
et
Philip
Schyle,
le
tribunal
a
estimé
que
ces
procurations
pouvaient
avoir
"altéré
le
scrutin".
--
L’ISPF
a
publié
ce
jeudi
une
première
estimation
des
pertes
de
PIB
subies
par
la
Polynésie
en
2020.
Après
7
années
de
croissance,
la
crise
covid,
« plus
forte
et
plus
soudaine
que
celle
de
2008 »,
aurait
engendré
une
récession
de
l’ordre
de
10%,
estime
l’institut.
Soit
peu
ou
prou
la
croissance
accumulée
depuis
2015.
Après
le
covid
la
tuberculose
!
Une
personne
atteinte
de
tuberculose
a été
en
contact
avec
les
élèves
et le
personnel
de
trois
écoles
publiques
de
Faa’a.
Cela
concerne
les
écoles
maternelles
de
Heiri
et
Farahei
et
l’école
élémentaire
de
Vaiaha.
Il
s’agit
d’un
cas
de
tuberculose
pulmonaire,
une
maladie
infectieuse
provoquée
par
une
bactérie
(Mycobacterium
tuberculosis)
et
qui
se
transmet
par
voie
aérienne.
Cette
maladie
évolue
lentement,
et le
malade
peut
déjà
être
contagieux
avant
d’avoir
des
symptômes.
On en
guérit
complètement
avec
un
traitement
antibiotique.
La
personne
malade
a été
prise
en
charge
et a
bénéficié
d’un
traitement
adapté.
Elle
n’est
plus
contagieuse.
Sa
famille
et
son
entourage
proche
ont
été
pris
en
charge
pour
un
dépistage.
Les
parents
d’élèves
et
les
personnels
des
établissements
ont
déjà
été
informés.
Le
médecin
et
l’infirmière
en
charge
de la
lutte
antituberculeuse
au
Bureau
de
Veille
sanitaire
(BVS),
en
coordination
avec
le
centre
de
consultations
spécialisées
en
hygiène
et
santé
scolaire
(CCSHSS)
et la
Direction
Générale
de
l’Éducation
et
des
Enseignements
(DGEE),
ont
organisé
un
dépistage
de
l’ensemble
des
élèves
et
des
personnels
des
écoles
ayant
été
en
contact
avec
la
personne
malade.
L’ensemble
du
dépistage
est
gratuit
et
pris
en
charge
par
la
Direction
de la
Santé.
Ce
dépistage
est
composé
de
plusieurs
phases :
1/
Des
réunions
d’information
assurées
par
le
BVS,
le
CCSHSS
et la
DGEE
avec
les
parents
des
enfants
concernés
et le
personnel
des
écoles ;
2/ La
réalisation
de
radiologie
pulmonaire
pour
chaque
enfant
est
programmée
et
organisée
avec
la
Direction
de la
Santé,
la
circonscription
pédagogique
de
Faa’a
et le
transporteur
de la
DGEE ;
3/
Les
consultations
médicales
dans
les
écoles
concernées
sont
organisées
sur
le
mois
de
février
avec
la
présence
obligatoire
d’un
des
deux
parents
ou du
responsable
légal;
Le
principe
de
précaution
reste
de
mise.
Toutes
les
dispositions
sont
prises
afin
de
garantir
la
bonne
santé
de
tous
les
enfants
dans
nos
écoles.
Il
n’est
plus
indiqué
«
yaourt
» sur
les
Paniers
de
Yoplait
!Et
l’arnaque
ne
s’arrête
pas
là !
Les
arnaques,
les
mensonges
et
les
publicités
mensongères
se
font
de
plus
en
plus
fréquentes.
Pour
ces
industriels
véreux,
l’argent
passe
avant
la
santé
des
consommateurs…
En
cherchant
sur
l’emballage,
il
n’est
plus
indiqué
«
yaourt
» sur
les
Paniers
de
Yoplait.
A
l’intérieur,
le
produit
n’a
rien
à
voir
avec
du
yaourt
et
mérite
juste
l’appellation
de :
«
spécialité
laitière
à
l’arôme
artificiel
de
fruit
»,
écrite
en
caractère
minuscule.
Sur
les
forums,
les
consommateurs
sont
unanimes
et
s’accordent
à
dire
que
le
produit
s’est
dégradé
en
terme
de
qualité
et il
n’est
pas
le
seul
d’ailleurs.
Les
Princes
et la
Danette
font
partie
du
lot.
En
effet,
la
nouvelle
recette
de
Mars
appelée
Cœur
fondant,
introduite
en
2007
soi-disant
«
afin
de
s’adapter
aux
nouvelles
demandes
des
consommateurs
»,
affiche
une
perte
de 16
% de
son
poids
avec
un
prix
de
vente
aux
consommateurs
inchangé.
Un
autre
exemple
frappant,
les
pizzas
de
supermarché
qui
étaient
autrefois
faites
avec
du
fromage
et
qui
sont
maintenant
recouvertes
de «
préparation
fromagère
».
Imaginez
«
mama
»
avec
toutes
les
éprouvettes
dans
la
cuisine.
Les
Princes
nouvelle
génération
n’échappent
pas à
ces
évolutions
horribles.
Ils
s’émiettent,
ne
nourrissent
pas,
ressemblent
à du
polystyrène
expansé
et
sont
beaucoup
plus
sucrés.
Leurs
poids
a
baissé
et
les
ingrédients
qui
entrent
dans
la
recette
ont
changé.
Avant
l’été
2008,
le
célèbre
paquet
de
Prince
LU
pesait
330
g.
À
la
rentrée,
suivante,
il ne
pesait
plus
que
300
g, au
même
prix
bien
sur !
Le
chocolat
forme
à
peine
un
petit
rond
à
l’intérieur
dont
le
diamètre
s’approche
de
celui
d’une
pièce
de 2
euros.
Sur
le
paquet,
il
n’est
d’ailleurs
plus
écrit
«
Prince
au
chocolat
»…
mais
au «
goût
chocolat
».
Jouons
un
peu
avec
la
taille
Danone
a
adopté
une
stratégie
assez
rusée
pour
ses
crèmes
dessert.
Lorsque
vendus
par
quatre,
les
pots
de
crème
vanille
ou
chocolat
pèsent
125
g.
Par
contre,
vendus
par
douze
ou
par
seize,
ils
ne
pèsent
plus
que
115 g.
«
Réduire
les
portions,
c’est
réduire
l’impact
en
termes
de
calories
»,
explique
Danone.
Une
arnaque
que
nous
devons
accepter
car
elle
fait
du
bien
pour
notre
santé.
Danone
nous
évite
de
manger
trop
de
cochonnerie.
Des
cochonneries
fabriquées
par
ses
soins
!
Le
pot
de
Jockey
de
1 kg
ne
pèse
plus
que
850 g,
les
4
petits
pots
de
100
g ne
pèsent
plus
que
90 g.
Les
nouvelles
crèmes
Mont-Blanc
soi-disant
avec
«
encore
plus
de
saveur
»
sont
devenues
immangeables.
Ne
reste
que
du
sucre,
du
colorant
et de
la
farine
pour
épaissir.
Le
ministre
des
Grands
travaux
rencontre
Sophie
Martinoni-Lapierre,
directrice
de
Météo-France
en
Polynésie
française
Le
ministre
des
Grands
Travaux,
René
Temeharo,
et
ses
collaborateurs,
ont
accueilli,
mardi
après-midi,
Sophie
Martinoni-Lapierre,
directrice
de
Météo-France
en
Polynésie
française,
et
son
équipe.
Deux
sujets
principaux
ont
été
discutés,
à
commencer
par
la
route
du
Mont
Marau,
devenue
impraticable.
Sa
réfection
permettra
à
Météo-France
d’implanter
un
radar
météorologique,
dont
les
fonctions
seront
de
repérer,
calculer
les
mouvements
de
précipitations
et
d’en
déterminer
leur
type.
Le
second
sujet
abordé
portait
sur
la
réactualisation
de la
convention
entre
Météo-France
et le
Groupement
d’Etudes
et de
Gestion
du
Domaine
Public
(GEGDP),
de la
Direction
de
l’Equipement,
qui
permettra
l’installation
de
nouveaux
capteurs
modernes
plus
fiables
pour
les
relevés
hydrologiques.
Le
Groupement
d’Etudes
et de
Gestion
du
Domaine
Public
(GEGDP)
participe
en
effet
grandement
à la
fourniture
des
relevés
hydrologiques
indispensables
à
l’obtention
de
données
météorologiques
précises.
La
directrice
de
Météo-France
a
d’ailleurs
tenu
à
remercier
le
Pays
pour
cette
précieuse
collaboration.
Mercredi
3
février
2021
Coronavirus
:
24
nouveaux
cas,
23
hospitalisations,
18.145
cas
cumulés
et
133
décès
2388
personnes
ont
reçu
la
première
dose
de
vaccin
Message
de
condoléances
suite
au
décès
de
Brandy
Tevero
Le
Président
Edouard
Fritch
et
son
gouvernement
ont
appris
avec
émotion
le
décès
de
Brandy
Tevero,
rédacteur
en
chef
adjoint
à
TNTV.
La
chaîne
est
une
nouvelle
fois
éprouvée
en
peu
de
temps
par
la
disparition,
beaucoup
trop
tôt,
de
l’un
des
siens.
Brandy
Tevero
restera
dans
nos
mémoires
comme
un
grand
professionnel,
à
l’aise
dans
les
reportages
sur
le
terrain
comme
dans
l’animation
d’émissions
et de
débats,
aussi
bien
en
français
qu’en
reo
Tahiti.
Il
était
aussi
une
figure
familière
de
l’ensemble
des
Polynésiens
au
travers
de la
présentation
des
journaux.
Ses
qualités
humaines
et de
dialogue,
sa
disponibilité
et sa
bonhommie,
étaient
reconnues
par
tous,
ce
qui
l’a
amené
à
prendre
des
responsabilités
au
sein
de la
rédaction.
Le
Président
et le
gouvernement
s’associent
à la
douleur
de sa
femme,
de sa
famille
et de
ses
proches,
ainsi
qu’à
celle
de
l’ensemble
du
personnel
de
TNTV.
Leurs
prières
l’accompagnent
pour
ce
dernier
voyage.
Tahititoday
se
joint
avec
émotion
à la
douleur
de sa
famille
dans
cette
perte
soudaine
d'un
confrère
toujours
très
amical
Le
vice
président
Tearii
Alpha
a
représenté
la
Polynésie
française
durant
la
réunion
spéciale
des
dirigeants
du
Forum
des
îles
du
Pacifique
qui
s'est
tenue
par
visioconférence
sur
deux
jours
pour
finir
à
l'aube
de
mercredi
matin.
Au
terme
de
cette
réunion,
le
candidat
polynésien
Henry
Puna,
ancien
premier
ministre
des
îles
Cook
a été
choisi
pour
être
le
nouveau
secrétaire
général
du
Forum
du
Pacifique.
Les
comptes
de
campagne
de
huit
candidats
aux
municipales
retoqués
par
la
commission
nationale
des
comptes
de
campagne
et
des
financements
politiques.
Parmi
eux,
Cécile
Mercier,
représentante
Tavini
et
les
ex
représentants
Lucette
Taero
et
Jean
Temauri.
Aucun
maire
n'est
concerné.
Le
tribunal
administratif
a été
saisi.
Alerte
info
:
Au
parti
socialiste
le
désarroi
des
salariés
"placardisésé"
à
l'approche
d'un
nouveau
plan
de
licenciements.
Trois
ans
après
un
plan
social
historique,
le
parti
socialiste
en
difficulté
financière
a
envisagé
de
supprimer
de
nouveaux
postes.
Parmi
les
plus
menacés,
des
salariés
de
longue
date
qui
s'estiment
déconsidérés
depuis
plusieurs
années/(Cyril
Graziani
France
télévisions)
Suppression
de 11
postes
de
permanents
pour
des
raisons
budgétaires.
Les
résultats
décevants
du PS
lors
des
élections
européennes
en
2019
et
sénatoriales
en
2020
ont
ensuite
fait
chuter
la
dotation
publique,montant
verser
annuellement
au
parti
par
l'Etat
Pour
ne
rien
arranger
la
crise
Covid-19
avec
ses
périodes
de
confinement
et
couvre
feu a
conduit
un
report
sine
die
du
congrès
prévu
en
décembre
à
Villeurbanne
limitant
les
cotisations
des
adhérents.
Résultat
fin
2020
un
gouffre
de
plus
de 6
millions
d'euros
entre
les
prévisions
et la
réalité.
Et
2022
il y
a la
campagne
présidentielle....
Au
procès
Balladur
(91
ans)
les
surprenantes
réquisitions
contre
Edouard
Balladur
et
François
Léontard
(78
ans).
Le
procureur
François
Molins
réclame
des
peines
d'un
an et
deux
ans
avec
sursis
contre
les
deux
hommes.
Un
écart
complet
avec
les
peines
requises
contre
leurs
collaborateurs
devant
le
tribunal
correctionnel
C'est
la
France
du
XX1°
siècle
déclarait
le
juge
Thierry
Jeanpierre
avant
de
mourir
" La
France
est
aussi
corrompue
que
l'Italie...il
ne
manque
que
la
mafia."
Pour
combien
de
temps
"?
Mais
nous
donnons
des
leçons
à
Poutine,
à
Trump
et à
bien
d'autres
!
D'où
notre
mauvaise
réputation
à
l'étranger
!
Recherche
scientifique
dans
la
lutte
contre
les
épidémies:
importation
de
souches
stérilisantes
de
moustiques
Le
Conseil
des
ministres
a
pris
un
arrêté
portant
dérogation
à
l’interdiction
d'importation
d'animaux
vivants
et
fixant
les
conditions
sanitaires
auxquelles
doivent
satisfaire
les
œufs
des
moustiques
Aedes
(Stegomyia)
aegypti
et
Aedes
(Stegomyia)
polynesiensis
(Diptera
:
Culicidae)
infectés
par
les
souches
Wolbachia
de
type
A ou
B (Rickettsiales,
Rickettsiaceae).
Ces
dernières
années,
la
Polynésie
française
a
souffert
de
plusieurs
épidémies
violentes
comme
le
Zika
en
2013,
puis
l’épidémie
de
Chikungunya
en
2014,
avec
de
lourdes
conséquences
sanitaires.
Des
épidémies
de
dengue
sont
également
régulièrement
signalées
et la
filariose
est
toujours
présente.
Ces
maladies
sont
toutes
transmises
par
les
moustiques.
Afin
de
lutter
contre
ces
épidémies,
le
laboratoire
de
recherche
en
entomologie
médicale
de
l'Institut
Louis
Malardé
(ILM)
travaille
sur
l'efficacité
de la
Technique
de
l'Insecte
Incompatible (TII).
Le
procédé
repose
sur
la
production
de
moustiques
mâles
porteurs
d'une
souche
de
bactérie
Wolbachia
qui,
lâchés
dans
les
zones
infestées,
vont
s'accoupler
avec
les
femelles
sauvages
de
leur
espèce,
les
rendant
stériles.
Privée
de
descendance,
la
population
de
moustiques
sauvages
s'effondre
en
quelques
mois.
Cette
approche
biologique,
spécifique
de
l'espèce
visée,
est
sans
risque
pour
l'homme
et
pour
l'environnement.
Elle
permet
un
contrôle
durable
des
populations
de
moustiques
vecteurs,
ce
qui
élimine
la
nuisance
et
réduit
le
risque
de
transmission
de
maladies.
Dans
le
cadre
de
cette
lutte
contre
les
moustiques,
le
Conseil
des
ministres
a
ainsi
autorisé
par
arrêté
l’importation
de
souches
stérilisantes
de
moustiques
provenant
d’un
laboratoire
Australien
(Berghofer
Medical
Research
Institute,
à
Brisbane).
Les
colonies
seront
importées
à
l'état
de
pontes
puis
maintenues
au
laboratoire
de
recherche
en
entomologie
médicale
à
Paea
(niveau
de
biosécurité
P2).
Ce
projet
de
recherche/application
a en
outre
reçu
l’avis
favorable
de la
commission
des
sites
et
monuments
naturels
et du
comité
consultatif
pour
la
biosécurité,
permettant
de
garantir
que
toutes
les
précautions
sont
prises
concernant
notre
biodiversité
et la
santé
humaine.
Les
périodes
de
soldes
allongées
pour
les
commerçants
Deux
périodes
de
soldes
d’une
durée
de
deux
semaines
et
demi
chacune
avaient
été
initialement
prévues
pour
2021.
Cependant,
compte
tenu
de la
fermeture
des
frontières
de la
Polynésie
française
et de
la
nécessité
d’assurer
le
soutien
de
l’économie
polynésienne
en
favorisant
la
consommation
locale,
le
Conseil
des
mnistres
a
décidé,
en
accord
avec
la
CCISM,
d’allonger
à six
semaines
la
période
des
soldes
de
début
d’année
et a
ajouté
une
nouvelle
période,
en
mars
et
avril.
Ainsi
les
commerçants
sont
désormais
autorisés
à
pratiquer
des
soldes
pendant
les
périodes
suivantes
:
-
jusqu’au
2
mars,
pour
la
période
ayant
débuté
le 20
janvier 2021
;
-
du 10
mars
au 21
avril
2021 ;
-
du 22
septembre
au 10
octobre
2021.
Ces
périodes
permettent
aux
commerçants
d’écouler
leur
stock
dans
le
cadre
d’opérations
promotionnelles
groupées
particulièrement
dynamiques
et
attractives
pour
le
consommateur.
Extension
de
l’aérogare
de
Fakarava
La
Direction
de
l’aviation
civile
de
Polynésie
française
a
commandité
une
étude
pour
réaliser
des
travaux
d’extension
de
l’aérogare
de
Fakarava.
En
effet,
alors
que
le
nombre
de
passagers
fréquentant
cet
aérodrome
des
Tuamotu
a
augmenté
de
presque
50%
en 10
ans,
aucun
projet
d’élargissement
du
bâtiment
n’a
été
envisagé
depuis
sa
construction
en
1997.
Ainsi
en
2009,
près
de 24
275
passagers
ont
fréquenté
cet
aérodrome
contre
35
954
passagers
en
2019.
L’aérogare
actuelle
a été
dimensionné
pour
accueillir
des
passagers
d’aéronef
de
type
ATR
42.
Aujourd’hui,
le
trafic
n’est
plus
le
même
puisque
les
vols
réguliers
sont
assurés
par
des
aéronefs
de
plus
grosse
capacité
en
emport
de
passagers
(ATR
72),
avec
en
moyenne
une
fréquence
de 5
vols
par
semaine.
L’atoll
de
Fakarava
dont
le
lagon
a été
classé
en
biosphère
protégée
par
l’UNESCO,
est
appelé
à se
développer
de
plus
en
plus
sur
le
plan
touristique
et se
positionne
comme
la
deuxième
destination
touristique
des
Tuamotu.
Il
paraît
donc
indispensable
de
mettre
en
œuvre
ce
projet
d’extension
pour
être
au
rendez-vous
à
l’horizon
2024.
Le
projet
de
Fakarava
sera
implanté
sur
une
parcelle
d’une
superficie
de
311
552
m².
La
construction
du
projet
se
fera
sur
l’emplacement
actuel
de
l’aérogare
de
Fakarava.
A ce
jour,
le
projet
d’extension
de
l’aérogare
de
Fakarava
est
en
phase
d’étude
préliminaire
et
devrait
contenir
les
zones
fonctionnelles
suivantes:
des
flux
d’arrivée
et de
départ
des
passagers
bien
distincts,
des
bureaux,
des
kiosques
commerciaux,
un
espace
de
restauration plus
grand,
des
espaces
d’attente
plus
grands
pour
les
voyageurs
et
usagers,
des
locaux
techniques
(stockage
fret,
etc),
un
guichet
pouvant
accueillir
deux
opérateurs
de
transport
aérien,
des
sanitaires
pour
le
personnel
et
les
usagers,
ainsi
que
des
vestiaires
pour
le
personnel.
Le
coût
total
estimatif
du
projet
sera
établi
à
l’issue
de la
première
étude
d’esquisse.
Une
enveloppe
budgétaire
a été
votée
pour
20
millions
Fcfp.
Gaston
Flosse
précise
son
Amuitahira
et
compte
donner
le
feu
vert
à son
parti
pour
voyager
sur
une
nouvelle
voie
politique
:
l'Etat
souverain.
Hop
le
pas
est
sauté!
L'Etat
souverain
associé
à la
France,cela
veut
dire
quoi
?
Qu'il
dirige
et
que
la
France
paye
! Et
vogue
la
galère....Mais
ça ne
se
passera
pas
selon
ses
désirs..
"Les
statuts
du
Amuitahiraa
sont
prêts.
Malheureusement,
nous
devions
tenir
le
congrès
le 3
octobre
2020
et
nous
n'avons
pas
pu à
cause
de
l'épidémie.
Nous
devions
également
demander
au
congrès
d'accepter
cette
nouvelle
voie
que
je
leur
propose,
considérant
que
l'autonomie
–après
37
ans–
était
devenue
un
statut
dépassé.
Et
considérant
que
malgré
tout,
nous
n'arrivons
pas à
développer
notre
pays
comme
nous
le
voudrions,
car
l'autonomie
ne
nous
donne
pas
tous
les
moyens.
J'avais
l'intention
de
proposer
au
congrès
du
Tahoeraa
d'opter
pour
un
nouveau
statut
:
celui
d'État
souverain
associé
à la
France,
parce
que
nous
ne
pouvons
pas
couper
complètement
les
liens
avec
la
France.
Et je
devais
ensuite
parcourir
toutes
les
fédérations
pour
développer
ces
deux
points,
malheureusement
la
Covid
nous
en
empêche."
Fermeture
du
Sofitel
Moorea,
du
Kia
Ora
Rangiroa,
et
des
deux
InterContinental
de
Bora
Bora
02
Fév
2021
radio
1
Quelques
heures
après
les
annonces
du
gouvernement,
4
grands
hôtels
ont
déjà
confirmé
qu’ils
fermaient
temporairement
leurs
portes.
La
ministre
du
Tourisme
Nicole
Bouteau
souhaite
que
la
fermeture
aux
touristes
extérieurs
ne
dure
que
deux
mois,
« et
pas
au-delà
de
trois
mois
en
tout
cas
».
« Suite
à
l’annonce
du
gouvernement
français
de
fermer
les
frontières
de la
Polynésie
française
à
compter
du 3
février
2021,
entraînant
un
arrêt
total
des
arrivées
touristiques,
nous
avons
pris
la
difficile
décision
de
fermer
temporairement
le
Sofitel
Kia
Ora
Moorea
Beach
Resort
à
compter
du
dimanche
7
février,
et ce
jusqu’au
1er
avril
2021»,
vient
d’annoncer
l’établissement
sur
sa
page
Facebook.
« Ces
dates
seront
revues
en
fonction
de
l’évolution
de la
situation. »
« En
effet,
en
dépit
du
soutien
du
marché
local,
les
prévisions
d’occupation
sont
insuffisantes
pour
nous
permettre
de
maintenir
une
quelconque
activité
dans
nos
établissements. »
Les
clients
ayant
un
séjour
prévu
avant
le
1er
avril
2021
sont
invités
à
prendre
contact
avec
nos
services
réservation
pour
plus
d’informations
pour
un
éventuel
report.
L’hôtel
Kia
Ora
de
Rangiroa
de
Louis
Wane
annonce
sa
fermeture
pour
lundi.
Fermeture
de
deux
InterContinental
de
Bora
Bora
« Les
îles
vont
sans
doute
fermer,
parce
que
l’international
c’est
vraiment
leur
cœur
de
métier,
le
local
beaucoup
moins
parce
qu’il
y a
très
peu
de
volume
et
que
les
prix
moyens
sont
très
faibles
relativement
à des
charges
très
élevées,
dit
Thierry
Brovelli,
directeur
général
d’InterContinental
et
co-président
du
Conseil
des
professionnels
de
l’hôtellerie.
Pour
son
propre
groupe,
il
annonce
pour
lundi
prochain
la
fermeture
temporaire
de
deux
fleurons
du
groupe,
l’InterContinental
Bora
Bora
Resort
and
Thalasso
Spa
et
l’Intercontinental
Bora
Bora
Le
Moana
Resort.
Seuls
les
hôtels
Maitai
de
Bora
Bora
et de
Rangiroa,
« qui
ont
un
rapport
avec
le
marché
local
un
peu
plus
facile »,
resteront
ouverts,
dit
l’hôtelier.
L’InterContinental
de
Tahiti
restera
ouvert
en
février,
mais
pourrait
n’ouvrir
que
le
weekend
en
mars.
Interrogée
après
la
conférence
de
presse
du
gouvernement,
Nicole
Bouteau
indique
qu’elle
a
demandé
aux
hôteliers
un
point
sur
leur
santé
financière
et
notamment
leurs
charges
fixes,
car
la
situation
n’est
plus
du
tout
la
même
que
celle
qui
prévalait
au
début
du
premier
confinement,
quand
« ces
groupes
bénéficiaient
de
l’embellie
économique
des
années
précédentes
».
C’est
pourquoi
les
mesures
de
soutien
ont
été
prolongées,
pour
l’instant,
jusqu’au
30
juin
prochain.
La
dotation
des
députés
augmente
avec
le
Covid-19,épidémie
ou
pas !
Ciotti
assume.
Charité
bien
ordonnée
commence
évidemment
surtout
en
politique
par
soi-même
!
L'enveloppe
allouée
aux
frais
des
députés
a été
augmentée
de
15%.
Une
décision
assumée
par
l'un
des
trois
questeurs
de
l'Assemblée.
Ben
voyons
!
DAVID
NIVIERE
via
Getty
ImagesÉric
Ciotti,
ici
photographié
en
avril
2020
à
l'Assemblée
nationale,
a
justifié
la
décision
prise
par
la
majorité
des
questeurs
d'augmenter
l'enveloppe
allouée
aux
frais
courants
des
députés,
qui a
provoqué
une
vive
polémique
au
sein
de
l'hémicycle.
POLITIQUE
-
Pour
Éric
Ciotti,
la
polémique
est
“démagogique”.
Ces
derniers
jours,
trois
députées
LREM
du
Var, Sereine
Mauborgne,
Cécile
Muschotti
et
Valérie
Gomez-Bassac
ont
publiquement
déploré
que
l’enveloppe
allouée
aux
frais
courants
des
députés
ait
été
augmentée
en
période
de
pandémie.
Pour
rappel,
la
DMD
est
une
somme
plafond
qui
permet,
comme
le
précise
le
site
de
l’Assemblée,
“de
prendre
en
charge
les
courses
en
taxi
ou en
VTC,
les
dépenses
de
téléphonie,
de
courrier,
etc.”
Des
dépenses
qui
ont
“augmenté”
avec
le
covid-19
Or
cette
décision
n’a
pas
plu à
tout
le
monde
dans
l’hémicycle,
certains
élus
regrettant
le
symbole
envoyé
par
une
telle
hausse,
surtout
à
l’heure
de la
pandémie
de
Covid-19,
qui
influence
négativement
et
durablement
les
conditions
de
vie
de
nombreux
Français.
“Il
n’est
pas
raisonnable
ni
sérieux
d’augmenter
les
dépenses
de
l’Assemblée
pour
satisfaire
aux
attentes
de
quelques
collègues
dispendieux”,
s’agaçaient
notamment
les
trois
élues
varoises.
“C’est
très
difficilement
explicable
surtout
quand
on
regarde
les
statistiques
d’utilisation
de
cette
enveloppe”,
appuyait
d’ailleurs
Laurianne
Rossi,
la
seule
des
questeurs
à se
prononcer
contre
la
hausse.
Pourtant,
comme
l’a
expliqué
Éric
Ciotti,
c’est
justement
cette
situation
sanitaire
qui
justifie
selon
lui
l’augmentation
de
l’enveloppe
des
députés.
“Avec
la
crise
et le
télétravail,
de
nombreux
députés
ont
vu
leurs
dépenses
d’informatique
et
d’affranchissement
augmenter”,
a
déclaré
l’élu
des
Alpes-Maritimes.
“C’est
pour
cela
que
nous
avons
choisi
de
rehausser
leur
forfait
maximal
potentiel
de
237 €
par
mois,
grâce
à
d’importantes
économies
de
gestion
qui
ont
été
faites
par
ailleurs.”
Comme
il le
rappelle
en
outre,
cette
somme
est
un
plafond,
“ce
qui
n’implique
pas
que
les
dépenses
réelles
l’atteignent
forcément”.
Éric
Ciotti
conclut:
“Les
députés
doivent
disposer
des
outils
pour
bien
travailler.
Il ne
s’agit
en
aucun
cas
d’une
rémunération.”
Ferrand
appelle
à ne
pas
“crier
avec
les
loups”
Dans
la
même
logique,
alors
qu’il
était
interpellé
au
cours
d’une
réunion
du
groupe
LREM,
le
président
de
l’Assemblée
Richard
Ferrand
a
cherché
à
désamorcer
la
polémique.
Il a
notamment
appelé
ses
collègues
à ne
pas
“céder
à la
démagogie”
et à
éviter
de
“crier
avec
les
loups”.
D’après
nos
confrères
de
LCP,
Richard
Ferrand
a
également
rappelé
que
cette
enveloppe
pouvait
servir
à
améliorer
les
conditions
de
travail
des
collaborateurs,
et il
a
insisté
sur
la
responsabilité
individuelle
de
chacun,
précisant
que
les
sommes
non
utilisées
revenaient
quoi
qu’il
arrive
dans
les
caisses
de
l’Assemblée.
L’augmentation
est
d’ailleurs
financée
sur
les
seules
économies
réalisées
par
la
chambre
basse
du
Parlement
ces
dernières
années,
sans
que
cela
n’implique
de
frais
supplémentaires
pour
les
contribuables.
L’occasion
pour
Richard
Ferrand
de
répéter
au
groupe
LREM
que
depuis
les
dernières
législatives,
50
millions
d’euros
ont
été
épargnés
par
l’Assemblée
nationale.
Mardi
2
février
2021
Coronavirus
: 20
nouveaux
cas,
28
hospitalisations,
133
décès
et
18121
cas
cumulés
Le
professeur
Raoult
avait
encore
raison
!
Les
Etats
Unis
réhabilitent
l'hydroxychloroquine.
Facebook
et l'Américan
Journal
de
medecine
admettent
que
leur
position
sur
l'hydroxychloroquine
était
fausse.
237
études
démontrent
qu'elle
réduit
la
mortalité
dans
près
de...80%.
Quelle
belle
gifle
pour
certains
!
Le
gouvernement
local
a
décidé
de
reconduire
les
mesures
d'aide
jusqu'au
30
juin.
Malheureusement,
de
nombreux
professionnels
n'y
auront
pas
droit
en
particulier
les
professions
indépendantes
non
salariées.
Les
indépendantistes
vont
se
régaler
de
dire
que
c'est
le
gouvernement
"colonialiste"
qui
nous
a mis
dans
cette
situation
en
fermant
le
ciel
et
par
voie
de
conséquence
en
tuant
le
tourisme
déjà
moribond.
il y
aura
toujours
des
empêcheurs
de
tourner
en
rond
ce
qui
n'empêchera
pas
le
gouvernement
d'adopter
la
situation
adéquate.
Annonces
du
président
polynésien
à la
suite
de
celle
du
premier
ministre
à
Paris
À la
suite
de
l’annonce
faite
par
le
Premier
Ministre,
le
vendredi
29
janvier
dernier,
la
Polynésie
sera
amenée
à
fermer
ses
frontières
à
partir
de ce
mercredi
3
février.
Cette
mesure
est
prise
pour
protéger
la
Polynésie
française
contre
l’introduction
des
virus
variants.
Contrairement
à la
situation
du
mois
de
mars
dernier,
le
Pays
ne
sera
pas
confiné.
Ceci
signifie
concrètement
que
nous
continuerons
à
vivre
sans
contrainte,
que
nous
pourrons
circuler
et
voyager librement
dans
nos
iles.
De
même,
la
plus
grande
partie
de
nos
activités ne
sera
pas
interrompue.
Cette
décision
nationale
de
fermeture
des
frontières
est
motivée
par
une
obligation
de
prévention
sanitaire
face
à la
menace
des
COVID
variants
qui
affectent
progressivement
et
massivement
notre
planète.
Nous
devons
donc
fermer
nos
frontières
pour
empêcher
les
COVID
variants
d’entrer
et de
se
propager
en
Polynésie
française.
A ce
jour,
la
durée
de la
fermeture
des
frontières
n’est
pas
encore
définie.
Elle
dépendra
de
l’évolution
de
l’épidémie
dans
le
monde
mais
aussi
de
l’amélioration
de la
situation
sanitaire
de
notre
pays
notamment
dans
les
capacités
du
CHPF
à
traiter
une
forte
variation
des
personnes
en
situation
de
réanimation.
Cette
fermeture
ne
saurait
cependant
dépasser
trois
mois.
Au-delà,
ce ne
seront
pas
les
COVID
mutants
qui
nous
tueront,
mais
la
crise
économique,
le
chômage
et
les
faillites.
Aussi,
le
gouvernement
de
Polynésie
demandera
que
cette
fermeture
dure
au
maximum
2
mois.
Dans
l’immédiat,
la
Polynésie
française
ne
pourra
accueillir
aucun
touriste
quelle
que
soit
sa
nationalité,
qu’il
soit
notamment
français
ou
européen
ou
américain.
Les
conséquences
immédiates
de la
fermeture
de
nos
frontières
affectent
directement
nos
entreprises
et
nos
familles.
Et
parmi
nos
entreprises,
nos
grands
hôtels
internationaux,
notre
petite
hôtellerie
familiale
et
nos
compagnies
aériennes
seront
touchées
durement.
C’est
une
évidence.
Par
voie
de
conséquence, les
nombreux
prestataires
d’activités
touristiques,
les
transporteurs
touristiques,
les
artisans,
les
commerces,
les
entreprises
agroalimentaires,
etc....
qui
seront
également
impactés.
Nous
subirons
à
nouveau
une
chute
de
notre
PIB
pouvant
fragiliser,
voire
mettre
en
péril,
des
pans
entiers
de
l’économie
polynésienne.
Aussi,
depuis
l’annonce
faite
par
le
Premier
Ministre
de la
fermeture
des
frontières,
le
gouvernement
de
Polynésie
a
rencontré
les
partenaires
sociaux,
les
banques,
les
hôteliers,
Air
Tahiti
Nui
et
Air
Tahiti.
En
outre,
par
souci
d’anticipation,
le
gouvernement
s’est
immédiatement
mis
en
séminaire
dès
vendredi
dernier,
pour
d’une
part,
comprendre
les
perturbations
entraînées
sur
le
fonctionnement
des
entreprises,
évaluer
leurs
conséquences
financières,
les
menaces
sur
l’emploi
et
les
familles
et,
d’autre
part
proposer
les
mesures
appropriées
pour
préserver
l’emploi,
les
outils
de
travail
et
les
familles
sans
ressources.
Chers
amis,
nous
ferons
tout
pour
sauver
notre
pays.
Nous
réussirons
à
relever
notre
Pays,
tous
ensemble.
Vous
savez,
j’ai
une
grande
confiance
envers
les
Polynésiens.
Je
suis
fier
de
mon
peuple.
Cela
fait
près
d’une
année
que
nous
luttons
ensemble
pour
affronter
cette
épidémie.
Cela
fait
près
d’une
année
que
les
Polynésiens
ont
fait
preuve
de
courage,
de
discipline,
de
patience.
Je
sais
que
le
peuple
polynésien
possède
en
lui
un
instinct
naturel
de
survie,
de
résistance
et
donc
de
résilience,
héritage
du
Mana
et
des
voyages
de la
Pirogue
(ce
n'est
pas
un
peu
trop
là
dans
le
lyrisme
!!!!!).
***
Comment
allons-nous
nous
battre ?
Nous
allons
nous
battre
sur
les
plans
sanitaire,
économique
et
social.
I -
Sur
plan
sanitaire
Nous
profiterons
de
cette
période
de
fermeture
de
nos
frontières
pour,
d’une
part
mieux
nous
protéger
et
d’autre
part,
freiner
davantage
la
propagation
du
virus.
Pour
cela :
1/
Nous
intensifierons
la
vaccination ;
2/
Nous
renforcerons
le
dépistage
des
cas
positifs
et
des
cas
contacts ;
Aujourd’hui,
nous
avons
les
moyens
de
détecter
les
virus
variants
et
nous
fiabilisons
ces
moyens
de
détection.
3/
Nous
consolidons
et
préparons
les
moyens
supplémentaires
de
soin
d’urgence
et de
réanimation ;
4/ Au
cas
où,
il y
aurait
quelques
voyageurs
relevant
d’un
motif
impérieux,
nous
exigeons
un
protocole
sanitaire
basé
sur
une
quatorzaine
avec :
-
Un
test
RT
PCR
trois
jours
avant
embarquement ;
-
Une
quatorzaine
en
isolement
strict
en
site
dédié à
Tahiti
et
aux
frais
des
passagers ;
-
Un
test
après
12
jours
d’isolement
avant
la
sortie
au
14ème
jour,
avec
un
résultat
négatif.
II –
Sur
le
plan
économique
et
social
La
Polynésie
se
retrouve
dans
la
même
configuration
qu’il
y a
un
an, à
savoir
mettre
en
place
les
éléments
qui
concourront
à
minimiser
les
effets
voire
à
minima
au
maintien
de la
situation
actuelle
en
terme
économique.
Nous
sommes
une
fois
de
plus
confrontés
à des
temporalités
différentes
:
considérer
l’urgence
avec
des
actions
de
sauvegarde
à
très
court
terme
et
des
actions
de
redressement
à
moyen
terme.
L’idée-force
qui
guide
l’ensemble
de
nos
propositions
pour
les
mois
à
venir,
est
de
libérer
les
activités
internes
à la
Polynésie
et
d’assouplir
certaines
contraintes
existantes.
Pour
y
répondre,
le
gouvernement
a
largement
exploré
les
pistes
permettant
d’y
faire
face,
avec
les
objectifs
affichés
:
- de
maintenir
les
emplois
-
d’inciter
à la
consommation
interne
-
d’éviter
la
crise
sociale
En
premier
lieu,
il
est
rappelé
que
le
budget
primitif
2021
qui a
été
voté
en
décembre
dernier,
permet
à ce
stade
de
répondre
à
l’urgence
en
terme
financier.
Néanmoins,
afin
de
permettre
à
nouveau,
la
réactivité
qui
s’impose,
il
convient
de
scinder
les
urgences
en
trois
parties
:
-
Le
législatif :
il
s’agit
de
modifier
certains
textes
nécessaires
au
soutien
des
ménages
et
des
entreprises,
notamment
sur
les
aides
à
l’emploi et
au
maintien
de
l’activité
;
-
Les
mesures
de
sauvegarde
des
emplois :
il
s’agit
de
limiter
les
licenciements économiques ;
-
Les
mesures
économiques,
fiscales
et
sociales :
il
s’agit
de
lister
des
mesures
de
soutien
aux
entreprises
et
aux
familles.
Sur
la
partie
législative,
il
est
prévu
de
présenter
à
l’Assemblée
de
Polynésie
française
que
je
viens
de
convoquer
en
séance
extraordinaire
:
1/
Une
modification
de la
Loi
du
Pays
sur
les
aides
exceptionnelles
à
l’emploi
qui
sera
présentée
en
Conseil
des
Ministres,
dès
demain.
Elle
vise
à
renforcer
notre
plan
de
sauvegarde
des
emplois.
2/
Une
modification
de la
Loi
du
Pays
sur
l’emprunt
COVID.
Le
projet
de
Loi
sera
présenté
en
Conseil
des
Ministres,
courant
février.
Il
permettra
d’ouvrir
la
possibilité
d’un
second
prêt
auprès
de
l’Etat.
3/
Nous
aurons
nécessairement
des
dépenses
imprévues.
Un
nouvel
arrêté
sera
utile
pour
les
prendre
en
compte
dans
notre
budget.
La
présentation
en
Conseil
des
Ministres
se
fera
dans
le
courant
de ce
mois
de
février.
4/
Nous
présenterons
en
urgence
une
nouvelle
Loi
du
Pays
sur
la
lutte
contre
le
gaspillage
alimentaire.
Certains
de
nos
produits,
notamment
certaines
conserves
et
certains
produits
secs,
peuvent
encore
être
propres
à la
consommation.
Pour
éviter
le
gaspillage
alimentaire,
nous
permettrons
aux
associations
caritatives
de
les
obtenir
en
toute
légalité
et
transparence.
Ce
projet
de
Loi
sera
présenté
en
Conseil
des
Ministres
dans
le
courant
de ce
mois
de
février.
5/
Enfin
pour
alléger
les
charges
de
certaines
entreprises,
nous
agirons
également
sur
la
Loi
du
Pays
portant
sur
l’obligation
d’emploi
des
travailleurs
handicapés
pour
les
entreprises
de 25
salariés
et
plus.
Le
taux
d’obligation
était
défini
à 2 %
des
effectifs
de
l’entreprise
jusqu’au
31
décembre
2020.
Il
s’agira
de
prolonger
le
maintien
de
cette
obligation
à 2%
pour
cette
année
2021,
au
lieu
des
4%
prévus
depuis
le 1er
Janvier.
Sur
la
partie
des
emplois
1/
Nous
proposons
la
mise
en
place
d’un
DIESE
amélioré
avec :
-
Un
rehaussement
du
plafond
à 2
SMIG ;
-
Les
plafonds
d’intervention
du
Pays
rehaussés ;
-
Des
réductions
de
temps
de
travail
pouvant
aller
jusqu’à
100% ;
-
Une
prise
en
charge
des
cotisations
sociales
de la
partie
aidée
par
le
Pays.
Le
coût
de
cette
opération
est
de 6
milliards
FCP.
2/
Nous
proposons
de
réactiver
l’Indemnité
Exceptionnelle :
Après
une
année
2020
difficile,
cette
nouvelle
crise
risque
d’entraîner
des
licenciements
économiques.
Cette
intervention
du
Pays
permettra
de
verser
une
indemnité
aux
salariés
licenciés
économiques
sur
une
période
de 3
mois,
renouvelable
une
fois.
Ainsi,
par
exemple
:
-
Pour
un
salarié
dont
le
salaire
est
inférieur
à un
SMIG,
l’indemnité
sera
de 65
% du
salaire
soit
un
plafond
allant
jusqu’à
100 000
FCP ;
-
Pour
un
salarié
dont
le
salaire
est
entre
1,5
et 2
SMIG,
l’indemnité
sera
de 55
% du
salaire,
soit
un
plafond
allant
jusqu’à
170 000
FCP ;
-
Pour
un
salarié
dont
le
salaire
est
entre
3 et
4
SMIG,
l’indemnité
sera
de 45
% du
salaire,
soit
un
plafond
allant
jusqu’à
275 000
FCP ;
-
Pour
un
salarié
dont
le
salaire
est
supérieur
à 4
SMIG,
l’indemnité
sera
de 40
% du
salaire,
avec
un
plafond
allant
jusqu’à
300 000
FCP ;
Le
surcoût
de
cette
Indemnité
Exceptionnelle
améliorée
est
de
1,3
milliard
de
FCP.
3/
Nous
améliorons
la
mesure
du
DESETI :
Nous
proposons
de
compenser
la
perte
de
revenus
des
travailleurs
indépendants
contraints,
soit
à une
cessation
partielle,
soit
à
l’arrêt
de
leurs
activités.
Pour
une
cessation
partielle,
l’indemnité
mensuelle
sera
de
60 000
FCP.
Pour
un
arrêt
total
des
activités,
la
compensation
sera
relevée
à
100 000
FCP,
au
lieu
de
70 000
FCP
précédemment.
Le
surcoût
de ce
DESETI
amélioré
est
de
650
millions
de
FCP.
4/
Nous
proposons
la
réactivation
des
CAES :
Ce
dispositif
de
solidarité
permet
de
verser
au
bénéficiaire
ne
disposant
d’aucun
revenu
au
sein
du
foyer
une
aide
financière
forfaitaire
mensuelle
sur
une
durée
de 3
mois,
en
contrepartie
de sa
participation
à des
travaux
d’intérêt
général.
Nous
proposons
une
amélioration
de ce
dispositif
en
portant
le
bénéfice
à 3
mois,
renouvelable
une
fois.
De
plus,
pour
éviter
une
confusion
constatée
avec
le
CAE,
nous
donnerons
une
nouvelle
appellation
à ce
dispositif
qui
deviendra
« Convention
d’Insertion
Sociale ».
Le
surcoût
de ce
CIS
est
de
450
millions.
Bien
entendu,
je
signale
que
les
mesures
déjà
existantes
sont
maintenues.
Les
nouvelles
mesures
annoncées
seront
en
vigueur
dès
qu’elles
seront
votées
à
l’Assemblée
ou
pris
par
acte
du
Conseil
des
Ministres.
L’ensemble
de
ces
mesures
sera
appliqué
jusqu’au
30
Juin
2021.
Elles
nécessiteront
d’adopter
des
collectifs
budgétaires.
Sur
la
partie
économique,
fiscale
et
sociale
Comme
je
l’ai
évoqué
tantôt,
les
mesures
économiques
proposées
sont
notamment
destinées
à
relancer
la
consommation
des
ménages
et à
alléger
les
charges
des
entreprises.
Parmi
les
mesures :
1/
Nous
proposons
une
extension
de la
période
des
soldes en
concertation
avec
la
CCISM ;
2/
Nous
proposons
une
exonération
des
pénalités
liées
au
non-respect
de
l’obligation
d’emploi
des
travailleurs
handicapés
au
titre
des
années
2020
et
2021.
3/
Nous
proposons
une
suspension
des
pénalités
et
des
majorations
de
retard
aux
régimes
des
salariés
et
des
non-salariés
pour
l’année
2021,
pour
les
secteurs
les
plus
touchés.
Le
Conseil
d’Administration
de la
CPS,
sera
consulté
le 8
février
pour
le
RNS,
et le
28
février
pour
le
RGS ;
4/
Nous
demanderons
à
notre
administration
fiscale
un
examen
bienveillant,
d’une
part
des
demandes
de
prorogation
des
délais
de
recouvrement
de
l’impôt et,
d’autre
part
des
pénalités
de
retard
sur
le
recouvrement
de
l’impôt.
Les
demandes
seront
formulées
par
les
contribuables
et
examinées
au
cas
par
cas.
5/
Nous
prolongeons
d’une
semaine
le
Salon
du
tourisme
à
distance
jusqu’au
13
février
2021
au
lieu
du 7
février.
6/ La
Ministre
du
tourisme
étudie,
à
notre
demande,
un
projet
chèque-voyage
dans
les
îles
-
Titeti
Aia -
sous
la
condition
d’un
hébergement
en
pension
de
famille.
7/ En
lien
avec
cette
mesure
de
chèque
voyage,
d’autres
mesures
sont
à
l’étude
pour
inciter
nos
résidents
à
faire
du
tourisme
dans
les
îles.
8/
Notre
Ministre
de la
Culture
et
des
Sports
prépare
et
ajuste
les
protocoles
sanitaires
en
vue
de la
reprise
prochaine
des
activités
de
salles
de
sports,
des
salles
de
Les
compagnies
aériennes
se
préparent
au
choc.
Quelle
visibilité
pour
les
compagnies
aériennes
? Pas
grand
chose,
sinon
qu'elles
s'affairent
à une
révision
drastique
de
leurs
programmes
de
vols
commerciaux
avec
pour
corollaire
des
conséquences
certainement
néfastes
pour
le
tourisme
évidemment.
Autrement
dit
pour
les
passagers.
Air
Tahiti
Nui
et
Air
France,
la
main
dans
la
main,
leurs
intérêts
étant
communs,ont
décidé
d'instaurer
: les
restrictions
de
circulation.
Ils
encaissent
le
choc
et
font
front
en
prévoyant
les
conséquences
comme
l'a
souligné
Mathieu
Bechonnet
DG
d'Air
Tahiti
Nui.
Michel
Monvoisin
le
P-dg
de la
compagnie
parle
lui
d'une
équation
que
l'on
ne
peut
pas
mettre
en
doute
:"
Impensable
de
voler
si ça
,nous
coûte
moins
cher
de
rester
au
sol".
Idem
du
côté
d'Air
France
qui
ne
peut
se
payer
le
luxe
de
voler
sans
passagers
lors
de
ses
deux
vols
par
semaine
entre
Paris
et
Papeete
via
Vancouver.
Une
ligne
pourtant
bien
sympathique.
La
décision
finale
sera
prise
à la
fin
de la
semaine
en
fonction
des
évènements
à
venir.
Et
les
passagers
me
demanderez-vous
? Et
bien
les
passagers
feront
le
gros
dos à
partir
de
mercredi
0
heure
à
moins
de
fournir
un
motif
impérieux
de
voyage.
Les
frontières
certes
restent
ouvertes
pour
le
moment,
mais
avec
la
suppression
du
"motif
touristique"
qui
permettait
jusqu’alors
de
garantir
un
flux
de
passagers
malgré
la
pandémie,
l’instauration
de
cette
contrainte
de
circulation
pour
se
rendre
en
Polynésie
encadre
l’horizon
de
visibilité
des
compagnies
aériennes.
Mais
quelle
clientèle
souhaiterait
venir
se la
couler
douce
en
Polynésie
en ce
moment
où le
Covid
s'y
niche
aussi
et où
l'imprévu
du
retour
demeure.
Comme
elles
l’ont
exposé
lundi
matin,
leur
crainte
est
de
voir
chuter
à un
niveau
résiduel
le
flux
de
passagers
en
provenance
du
premier
marché
émetteur
de
touristes
pour
la
destination
Tahiti
et
ses
îles,
aussi
longtemps
que
ces
restrictions
seront
en
place.
Une
chute
du
trafic
de
voyageurs
qui
menace
la
viabilité
économique
des
vols
commerciaux
et en
conséquence
le
maintien
de
leur
fréquence
hebdomadaire.
Il
fallait
s'y
attendre.
Continuité
territoriale
?
La
question
majeure
:
Quelle
conséquence
ces
nouvelles
restrictions
de
déplacement
impliquent-elles
sur
l’activité
de
fret
aérien,
celle
du
transport
des
évacuations
sanitaires,
le
rapatriement
des
touristes
arrivés
dernièrement
en
Polynésie
et
des
Polynésiens
actuellement
en
métropole
?
Du
côté
des
deux
compagnies
ATN
et AF
la
réponse
est
limpide.
Dès
mercredi,
ces "mesures
exceptionnellement
restrictives"
impliquent
des "décisions
à
très
courts
termes
sur
le
programme
de
vols",
souligne
Mathieu
Bechonnet,
le
directeur
général
délégué
de la
compagnie
: "On
doit
encaisser
le
choc
et
prévoir
les
conséquences."
Plus
catégorique,
pour
le
P-dg
d’ATN,
Michel
Monvoisin,
l’équation
est
on ne
peut
plus
claire :
il
est "impensable
d’opérer
des
vols
si ça
nous
coûte
moins
cher
de
rester
au
sol".
Jusqu’à
quel
point
la
compagnie
au
tiare
prévoit-elle
de
maintenir
son
activité ?
"On
ne
sait
pas.
On
volera
si on
a des
passagers.
Cette
semaine
on ne
touche
à
rien.
La
semaine
prochaine
on
verra",
tranche-t-il.
Même
précaution
du
côté
d’Air
France :
"À
ce
stade,
il
est
prématuré
pour
prendre
une
quelconque
décision",
explique,
Lionel
Rault,
le
directeur
régional
de la
compagnie.
"Notre
programme
est
maintenu
pour
l’instant.
On
fait
un
point
d’ici
la
fin
de la
semaine.
On
aura
plus
de
visibilité".
Air
France
opère
encore
deux
vols
par
semaine
entre
Paris
et
Papeete,
via
Vancouver.
Rien
ne
laisse
présager
que
ce
sera
le
cas
dans
quinze
jours.
Un
polynésien
m'a
demandé
:" Et
le
fret
alimentaire
est-il
assuré
d'arriver
chez
nous
?!!
A
propos
: Ni
autonomie,
ni
indépendance,
alors
c'est
quoi
?
L'express
avait
titré
sous
cette
photo
: la
fin
annoncée
du
système
Flosse
! Et
non
pas
encore
!!!!
Gaston
Flosse
a-t-il
fait
sa
rentrée
politique
?
C'est
à
croire,
en
lisant
l'interview
donnée
à
Tahiti
infos.
Du
coup
avec
une
certaine
naïveté
qui
n'est
plus
de mon
âge,
j'ai
cru
qu'il
ne
serait
vraiment
d'attaque
que
lorsque
il
serait
dans
sa
maison
restaurée.
J'avais
tort.
Et
avec
son
sourire
complice
il a
donné
une
longue
interwiew
à
Tahiti
Infos
dont
la
journaliste
a du
passer
en
sautillant
au-dessus
des
ruisseaux
d'eau
nécessaire
à la
rénovation
de sa
maison.
Tant
mieux
pour
lui.
Il
aurai
eu
tort
de ne
pas
saisir
la
balle
au
bond
car
Flosse
ne
peut
résister
à une
demande
d'interview
même
au
milieu
des
décombres.
Tahiti
Infos
à
tenté
le
coup
et ça
a
marché.
il en
a
profité
pour
tirer
sur
Edouard
Fritch
et
d'autres,
c'est
de la
politique,
il
s'est
régalé...
Et ça
lui
va
comme
un
gant.
Il
maintient
que
l'autonomie
est
un
statut
dépassé
et
règle
quelques
comptes
en
attendant
de
rencontrer
le
président
de la
République
pour
lui
proposer
son
"statut
de
pays
associés"
(sic!)
. Il
est
bien
sûr
favorable
à un
référendum
en
Polynésie
et
assure
que
si la
ferme
aquacole
de
Hao
ne
sort
pas
des
limbes
c'est
tout
simplement
parce
que
la
France
est
opposé
aux
investissements
chinois.
Un
frein
aux
investissements,
donc
à
notre
développement
et
d'insister
:.
Si
nous
voulons
emprunter
de
l'argent
nous
sommes
obligés
de le
faire
auprès
des
établissements
financiers
français,
alors
que
nous
avons
ailleurs
des
avantages
plus
intéressants
sur
la
durée,
le
taux
etc...
bref
il a
décortiqué
sans
componction
la
main
mise
de la
France
dans
les
différents
systèmes
qui
régissent
la
Polynésie.
Même
l'Education
sous
la
coupe
du
vice
recteur
et de
la
DGEE
montrent
que
la
souveraineté
est
ailleurs
qu'entre
nos
mains
a-t-il
lancé,
dégoûté.
Et de
finir
en
disant
: "37
ans
d'autonomie,
c'est
fini.
On a
atteint
les
limites."
Son
gouvernail
français
a
pris
une
soufflante
!
Pourtant
à
part
quelques
quidams
sous
la
coupe
du
lion
et
d'Oscar,
personne
ne se
plaint
! je
dirais
presque
" au
contraire"
!
Bref
on
attend
la
nouvelle
voie
: ni
indépendance,
ni
autonomie
!
Mais
nom
d'une
pipe,
c'est
quoi
ça
encore
?!
Lundi
1er
février
2021
A 11h
demain
martin
:
Conférence
de
presse
sur
les
mesures
d’urgence
économiques
et
sociales,
suite
à la
fermeture
des
frontières,
en
présence
du
Président
de la
Polynésie,
Edouard Fritch,
et
des
membres
du
gouvernement.
Présidence
de la
Polynésie
française
-
Avenue
Pouvanaa
A
propos
Le
virus
assassin
"Le
tourisme
ne
rechute
pas",
cela
voudrait
dire
qu'il
s'était
redressée
fièrement
ou
pas ?
Non
seulement
il ne
"rechute"
pas
mais
il
chute
de
plus
en
plus
et
pour
le
moment
n'a
plus
la
force
de
redresser
quoi
que
ce
soit
et
notamment
ce
qui
en
faisait
un
fleuron
polynésien.
Non
ce
n'est
pas à
cause
de
maladresses
locales,
pas
du
tout,
c'est
qu'il
chute
dans
le
monde
entier.
Il
est
évident
que
depuis
quelques
mois,
les
citoyens
du
monde
n'ont
plus
l'envie
de se
balader
du
tout,
compte
tenu
de la
circulation
effrénée
du
virus,de
ses
variants
et
des
décès
enregistrés.
Normal.
Et
voilà
le
président
du
pays
confronté
de
plein
fouet
au
coronavirus
en
devenant,
on
l'espère,
un
monarque
(
certes
démocratique)
éclairé.
Il se
garde
bien
de
contrevenir
à la
liberté
de
choisir,
à la
loi
du
marché
de la
concurrence,
de
sacros
saints
principes
qui
ne
peuvent
être
foulés
aux
pieds
mais,
quelles
mesures
drastiques
sont-elles
prises
à
part
évidemment
le
port
du
masque
? La
crise
mondiale
est
terrible
toutefois,
la
Polynésie,
plus
ou
moins
épargnée,
peut-être
grâce
au
soleil
et
son
éloignement
géographique,
poursuit
cahin-caha
tristement
son
cheminement politico-touristico-économique
avec
des
restrictions
drastiques
qui
pénalisent
les
finances
territoriales,
les
hôtels,
pensions
de
famille
et
tout
ce
qui
peut
toucher
le
tourisme
moribond
actuellement.
Le
temps
des
investissements
n'est
pas à
l'ordre
du
jour.
Tant
s'en
faut
!
Pourtant
Tairapu-Est
n'a
pas
hésité"
à
investir
dans
cette
période
trouble
647
millions,
ce
n'est
pas
rien,
pour
faire
un
parc
qu'elle
a
ensuite
jugé
perdu,
sans
même
que
le
conseil
municipal
en
soit
informé.
Résultat
647
millions
qui
ont
fait
"plouf"
!
L'argent
des
contribuables
de
Tairapu-Est
n'a
pas
d'odeur
mais
il
est
bien
allé
quelque
part.
Cette
facilité
d'engager
l'argent
public
n'est
pas
l'apanage
de la
commune
de
Tairapu-Est,
seule,
mais
de
certains
élus
ici
ou
là...presque
incultes
n'ayant
jamais
étudié
l'art
de
gérer
l'argent
public
d'une
commune.
Nos
gouvernants
ne
semblent
pas
pénalisés
outre
mesure
personnellement,
puisque
leurs
rémunérations
tombent
régulièrement
dans
leurs
escarcelles
et
quand
par
bonheur
ils
investissent
au
nom
de
leur
fonction,
ce
n'est
pas
leur
argent
mais
de
l'argent
public
qui
ne
sort
pas
de
leurs
poches.
Un
bonheur
que
d'autres
ne
connaissent
plus,
les
commerçants
enregistrent
aussi
des
pertes
inhabituelles
oubliées.
Par
tradition,
les
citoyens,
toutes
classes
confondues,
sont
désormais
sceptiques
sur
la
possibilité
qu'ont
les
politiques
de
changer
leur
vie.
Aujourd'hui,
tout
le
monde
en
convient,
le
corona
n'est
pas
une
infusion
douce,
mais
un
breuvage
piquant,
parfois
mortel,
assassin.
Protégez-vous
du
virus
si
vous
ne
pouvez
pas
vous
protéger
de
vos
édiles
!
Communiqué
du
groupe
Tapura
d'Edouard
Fritch
L’Assemblée
n’est
pas
un
Mercato !
Contrairement
à ce
que
certains
laissent
entendre
publiquement,
le
groupe
TAPURA
HUIRAATIRA
ne
perd
pas
son
énergie
à
racoler
les
élus
des
autres
groupes
à
l’Assemblée.
Faut-il
le
rappeler,
notre
groupe
bénéficie
d’une
majorité
large
et
solide.
Quand
d’autres
placent
les
prochaines
élections
législatives
et
territoriales
au
centre
de
leurs
préoccupations
et
font
du
positionnement
sur
la
liste
de
2023
leur
fond
de
commerce,
les
élus
du
groupe
TAPURA
HUIRAATIRA,
dont
la
majorité
des
membres
sont
des
élus
de
proximité,
travaillent
à
trouver
les
meilleures
solutions
possibles
pour
à la
fois
protéger
les
polynésiens
de la
COVID-19
et
surtout
de
ses
variantes,
sauver
l’économie
de
notre
Fenua
et
préserver
l’emploi.
Nous
ne
pourrons
pas
faire
sans
l’aide
de l’ETAT,
nous
saluons
les
engagements
du
ministre
des
Outremers
dans
ce
sens
et
nous
attendons
leur
mise
en
œuvre
notamment
en
faveur
des
compagnies
aériennes.
Comme
il
l’a
rappelé
dans
son
allocution,
les
entreprises
polynésiennes
ont
déjà
bénéficié
de
plus
de 65
milliards
d’aides
de
l’Etat
depuis
le
début
de la
crise.
A
cela
il
faut
rajouter
les
nombreuses
aides
du
pays
(aides
à
l’emploi,
aides
aux
entreprises,
etc…)
pour
un
total
de
plus
de 20
milliards
engagés.
Sans
oublier
les
retombées
économiques
de la
commande
publique.
Au vu
de
ces
chiffres,
entendre
dire
que
les
entreprises
ne
sont
pas
aidées
relève
de la
mauvaise
foi.
Certains
entretiennent
l’instabilité
en
confondant
l’Assemblée
de la
Polynésie
française
avec
un « MERCATO »
où on
prête
des
élus,
on
les
reprend,
faisant
et
défaisant
les
groupes
dans
un
contexte
où
les
vraies
préoccupations,
celles
de
ceux
qui
se
soucient
des
autres,
sont
ailleurs.
La
stabilité
politique
constitue
ce
dont
notre
pays
a le
plus
besoin
pour
traverser
ces
temps
difficiles.
C’est
pourquoi
notre
majorité
reste
plus
soudée
que
jamais,
soutenant
sans
faille
notre
gouvernement
conduit
par
un
courageux
capitaine,
notre
président
Edouard
FRITCH
qui
tient
bon
la
barre
malgré
les
choix
difficiles
et
les
critiques
trop
souvent
gratuites.
La
limitation
des
allées
et
venues
sur
notre
territoire
n’était
pas
la
solution
que
nous
avions
imaginée,
aujourd’hui
nous
devons
composer
avec…
Il en
va de
notre
responsabilité
collective
d’en
réduire
la
durée.
Aux
côtés
de
notre
gouvernement,
nous
œuvrons
sans
relâche
pour
trouver
le
meilleur
équilibre
entre
la
santé
et
l’économie.
Nous
ne
sacrifierons
ni
l’un
ni
l’autre.
Les
polynésiens
peuvent
compter
sur
l’engagement
et la
solidité
de
notre
groupe.
Nous
savons
la
confiance
que
vous
avez
en
nous
et
vous
en
remercions.
ENSEMBLE
nous
y
arriverons.
Voyage
vers
la
Polynésie
suspendus
à
partir
du 3
février
:
200.000
touristes
de
moins
!
- Les
voyages
touristiques
à
destination
de la
Polynésie
française
seront
suspendus
à
partir
de
mercredi
3
février
en
raison
de la
pandémie
de
coronavirus,
a
annoncé
dimanche
31
janvier
dans
la
soirée
(lundi
matin
à
Paris) sur
deux
télévisions
locales
le
ministre
des
Outre-mer
Sébastien
Lecornu.
Cette
décision
devrait
porter
un
nouveau
coup
dur à
l’économie
polynésienne
dont
le
tourisme,
en
grande
difficulté,
est
le
premier
secteur
d’activité.
Le
tourisme
figurait
jusqu’à
présent
parmi
les
motifs
impérieux
qui
permettaient
de se
rendre
en
Polynésie,
afin
de
préserver
son
économie.
Mais
seuls
désormais
seront
acceptés
les
motifs
d’ordre
familial,
sanitaire
ou
professionnel,
accompagnés
de
justificatifs.
L’épidémie
de
Covid-19
reflue
pourtant
en
Polynésie.
Après
un
pic
en
novembre,
où la
collectivité
a
connu
l’un
des
taux
d’incidence
les
plus
élevés
au
monde,
ce
taux
s’est
réduit
à 74
pour
100.000
habitants
et la
collectivité
ne
compte
plus
que
dix
personnes
en
réanimation.
Dans son
allocution,
Sébastien
Lecornu
a
reconnu
que
la
situation
épidémique
s’améliorait
en
Polynésie.
Mais
il a
aussi
souligné
une
circulation
toujours
active
avec
300
cas
détectés
par
semaine,
une
hausse
des
contagions
dans
l’archipel
des
îles
Sous-le-Vent
et
l’arrivée
possible
des
variants.
Il a
aussi
estimé
que
“si
les
variants
devaient
circuler
activement
en
France,
dans
l’Hexagone
et
dans
quelques
territoires
ultramarins
en
même
temps,
nous
ne
pourrions
peut-être
pas
soutenir
la
Polynésie
française
comme
nous
l’avons
fait
auparavant”.
Les
mesures
déjà
en
vigueur
dans
cette
collectivité
d’outre-mer
autonome
ont
permis
de
limiter
la
réintroduction
du
virus,
avec
un
test
trois
jours
avant
l’embarquement
et un
auto-test
quatre
jours
après
l’arrivée,
pour
tout
voyageur
venant
en
Polynésie.
La
Polynésie
était
déjà
coupée
des
pays
les
plus
proches.
À
l’ouest,
la
Nouvelle-Zélande
et
l’Australie
ont
fermé
leurs
frontières
depuis
le
début
de
l’épidémie.
À
l’est,
les
difficultés
de la
compagnie
aérienne
Lan
n’ont
pas
permis
de
maintenir
la
ligne
vers
l’Île
de
Pâques
et le
Chili.
Avant
la
crise,
la
France
et
les
États-Unis
étaient
les
deux
principaux
pays
pourvoyeurs
de
touristes
en
Polynésie
française,
qui a
accueilli
près
de
300.000
visiteurs
en
2019,
contre
moins
de
75.000
en
2020.
Le
ministre
des
Outre-mer
a
précisé
que
les
aides
déjà
accordées
seraient
maintenues,
et
“renforcées
pour
les
secteurs
les
plus
en
difficultés”.
Le
PDG
de la
compagnie
Air
Tahiti
Nui,
Michel
Monvoisin,
a
souhaité
sur
la
chaîne
TNTV
que
ces
aides
soient
“plus
marquées”
et a
déclaré
que
“2021
sera
probablement
une
année
pire
que
2020”
pour
le
secteur
aérien.
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Wuhan,
la
visite
très
surveillée
de
l’OMS
dans
le
marché
berceau
de la
pandémie
de
Covid-19
Sont-ils
vraiment
"tout
blanc"
?
Coronavirus
- Les
forces
de
l'ordre
débarquent
dans
un
restaurant
clandestin
et
surprennent
plusieurs
magistrats
de la
Cour
d'Appel
de
Paris
en
train
de
déjeuner
Les
policiers
du
commissariat
du
centre
de
Paris
sont
tombés
vendredi
sur
un
restaurant
ouvert
qui
accueillait
des
clients
affirme
le
Parisien
ce
matin.
Mais
ce
n'est
pas
là
que
l'affaire
prend
son
importance,
c'est
que
les
forces
de
l’ordre
expliquent
avoir
constaté
la
présence
de
flutes
de
champagne
et
d'assiettes
de
nourriture
sur
la
terrasse
du
restaurant
« L’Annexe
»,
qui
se
situe
sur
le
boulevard
du
Palais,
non
loin
de la
Cour
d’appel
de
Paris
(4e).
Une
dizaine
de
personnes
étaient
en
train
de se
restaurer
debout,
dans
15
mètres
carrés. La
situation
s’est
tendue
au
moment
du
contrôle.
Malgré
le
fait
qu’ils
étaient
en
infraction,
certains
clients
ont
tenté
de
déstabiliser
les
fonctionnaires
en
leur
demandant
de
leur
préciser
le
cadre
légal
de
leur
intervention.
Il se
trouve
en
fait
que
la
plupart
des
contrevenants
étaient
des
magistrats
travaillant
à la
cour
d’appel.
Dix
personnes
au
total
ont
été
verbalisées
à
hauteur
de
135
euros.
Samedi
30
janvier
2021
A
propos
Notre
président
Edouard
Fritch
prend
un
soin
méticuleux,
scrupuleux
quasiment
maniaque
à se
lancer
dans
des
exercices
qui
ne
prêtent
pas
forcément
à la
polémique.
comme
parler
pour
rassurer.
La
loi
du
marché,
la
concurrence,
la
liberté
de
choisir,
autant
de
sacro-saints
principes
qui
ne
sont
pas
bafoués.
C'est
une
chance.
Mais
Edouard
a-t-il
un
concurrent
?
Pour
le
moment
nous
n'en
voyons
pas
vraiment,
même
si
nous
trouvons
quelques
profils
audacieux
ou
quelques
noms
circulant
dans
les
cénacles.
Ce
que
l'on
sait,
en
revanche,
c'est
que
nous
avons
pour
métier
de le
pousser
dans
ses
derniers
retranchements,
ce
qui
l'énerve
parfois
mais
ne le
fait
pas
craquer
! On
devine
alors
que
l'on
a
touché
juste
quand
on
voit
son
visage
se
durcir
et
ses
yeux
fustigés
froidement
l'audacieux
qui a
osé !
L'audacieux
en
question
est
alors
heu-reux
!
C'est
cela
le
journalisme
dans
les
conf
de
presse.
Ne
pas
faire
le
job
couché
et
tenter
de
mettre
en
porte
à
faux,
lors
d'annonces
nouvelles
la
personnalité
politique
si
sûre
d'elle-même,
en
kidnappant
d'un
regard,
d'un
mot,
son
désarroi
ou
son
hésitation.
Il ne
doit
pas y
avoir
de
tentation
de
complaisance.
Les
principes,
l'éthique,
la
déontologie
sont
souvent
flingués
d'un
mot.
Ce
sont
des
cibles
pour
les
meilleurs
"chasseurs"
lors
d'une
conférence
de
presse.
Mais
heureusement
il y
a
ceux
qui
ne
disent
pas
un
mot
et se
contente
de
comptabiliser
les
points.
Il
est
vrai
que
c'est
tellement
plus
confortable
d'être
au
fond
de la
classe
pour
écouter
les
uns
ou
les
autres
sans
participation
à la
bataille.
On ne
sait
jamais,
ceux
là
peuvent
recevoir
une
flèche
et
s'étaler
comme
une
crêpe
sur
place
!
Photographe
de
stars
depuis
plus
de
cinquante
ans,
Christian
Pinson
dédicacera
son
livre
aujourd’hui
à
Moorea.
Ce
magnifique
ouvrage,
intitulé
50
ans
d’images
de
“Légendes”,
retrace
le
parcours
du
photographe,
du
noir
et
blanc
à la
couleur,
non
seulement
à
Paris
et
Monaco
où il
a
œuvré,
mais
aussi
en
Polynésie.
Il a
photographié
pour
de
nombreux
magazines
étrangers
mais
aussi
pour
le
TikiMag,
pendant
des
années,
les
stars
en
vacances
sur
le
fenua.
Jacques
Brel,
Johnny
Hallyday,
Marlon
Brando,
Dustin
Hoffman,
mais
aussi
nos
stars
locales
comme
Gabilou
et
bien
d’autres.
Cet
ouvrage
est
aussi
une
véritable
rétrospective
sur
la
Polynésie
où il
a
photographié
avec
talent
les
événements
locaux
comme
le
Heiva.
Il
sera
présent
à
Caraméline,
à
Maharepa,
aujourd’hui
et
dédicacera
son
livre
de 11
à 14
heures.
Il
sera
aussi
au QG
Sea
You
Soon
l’après-midi
à
partir
de 16
heures
mais
également
demain,
en
fin
de
journée,
avant
le
concert
du
groupe
Huimana
composé
de
Teiva
LC,
Steeve,
Moana,
Privat
et
Eremoana
qui
se
produira
de 17
à 20
heures.
Vendredi
29
janvier
2021
Le
gouvernement
local
prépare
les
mesures
d’urgence
Le
gouvernement
a
pris
acte
des
déclarations
du
Premier
ministre,
et
notamment
la
décision
de
fermer
les
frontières
qui
aura
des
conséquences
sur
l’activité
touristique
et
plus
largement
sur
l’activité
économique
et
sociale
en
Polynésie
française.
Le
président
a
convoqué
l’ensemble
du
gouvernement
en
séminaire,
dès
le
début
d’après-midi
ce
vendredi,
pour
faire
le
point
sur
la
situation,
les
conséquences
envisagées
et
les
mesures
d’urgence
à
mettre
en
œuvre
pour
sauvegarder
l’emploi
et
les
entreprises
ainsi
que
pour
accompagner
les
plus
fragiles.
La
réflexion
est
déjà
bien
avancée
et se
poursuivra
au
cours
du
week-end.
En
début
de
semaine
prochaine,
le
gouvernement
présentera
les
premières
mesures
dont
certaines
nécessiteront
de
saisir
l’Assemblée
de la
Polynésie
très
rapidement.
A
propos
Certains
pensaient
que
Gaston
Flosse
était
dépassé
par
son
âge.
Or
son
âge
n'est
pas
marqué
dans
le
sillon
des
rides
de
son
visage
puisqu'il
n'en
a
aucune
! Ce
n'est
pas
de la
blague.
Pour
un
presque
nonagénaire
je
dirais
même
que
c'est
un
record
car
ses
yeux
restent
pétillants,
ses
joues
ne se
creusent
pas,
son
cerveau
carbure
à 100
à
l'heure,
son
humour
caustique
ne
rate
pas
ceux
ou
celles
qu'il
n'apprécie
pas
alors
tel
un
T34
qui
ne
rouille
pas,
il
est
même
en
avance
sur
l'actualité
politique
d'une
manière
décapante.
Son
réseau
d'informations
fonctionne
à la
perfection
et il
sait
tout
ce
qui
se
trame
avant
tout
le
monde
sur
le
territoire
au
plan
politique...
y
compris
des
intéressés
!!!!!Ce
n'est
pas
le
flatter
que
de
dire
qu'il
est
l'exception
politique
polynésienne
et un
magnifique
survivant
des
batailles
politiques
locales.
La
liste
de
tous
les
travaux
d'embellissement
du
pays
est
prête
depuis
longtemps
pour
un
jour
la
mettre
à
exécution
comme
il
l'a
fait
dans
le
passé.
Il
n'a
pas
vraiment
de
"golden
parachute",
il
bosse
sans
relâche
sur
son
petit
bureau,
puis
dans
les
quartiers
comme
si
les
ans
au
lieu
de
peser,
allégeaient
son
cerveau.
Un de
ses
admirateurs
me
disait
"
en
Polynésie,
je
n'en
vois
aucun
comme
lui"
ce
n'est
pas
de la
flatterie
mais
un
constat.
Il
n'a
pas
de
bonus
plantureux,
les
seuls,
ce
sont,
son
moteur,
ses
idées,
ses
rêves
et
son
désir
toujours
d'aller
de
l'avant
malgré
les
avatars. D'ailleurs
ne
joue-t-il
pas
sur
son
échiquier
a
déplacer
ses
propres
pions,
qu'il
bouge
selon
des
plans
dont
il
garde
le
secret
et
qui
parfois,et
oui,
lui
font
perdre
sa
mise
.Car
il ne
gagne
pas
toujours
et si
ses
choix
ont
de la
valeur
il
s'est
aussi
trompé
sur
les
hommes
et
les
femmes
qu'il
a
promus
dans
le
passé.
Il
fait
et
défait.
Il
manage
ce
que
les
américains
appellent
un "clawback"
qui
consiste
mot à
mot à
retirer
avec
les
griffes
la
confiance
qu'il
a mis
dans
l'un
ou
l'autre.
Les
hommes
et
les
femmes
ne
sont
pour
lui,
que
des
pions
qu'on
bouge
comme
dans
un
jeu
d'échecs,
où on
ne
gagne
pas
toujours.
Enfin
quoi,
c'est
tout
de
même
un
homme
politique
d'envergure
malgré
une
retraite
qui
n'existe
pas
et
des
surprises
politiques
à
venir
!
Coronavirus
et
confinement
: le
gouvernement
face
à un
choix
"générationnel"
estime
Delfraissy
un
choix
presque
impossible.
Les
décisions
que
le
gouvernement
va
devoir
prendre
face
à la
progression
du
virus
soulève
une
question
générationnelle
sur
la
santé
mentale
des
jeunes
a
estime
le
président
du
conseil
scientifique.
La
parole
syndicale
« Le
tourisme
n'est
plus
une
raison
impérieuse
pour
venir
au
fenua,
les
frontières
seront
fermées
à
partir
de
mardi »
a
déclaré
Cyril
Le
Gayic,
secrétaire
général
de la
CSIP.
Visiblement
satisfait
de
cette
décision,
il
rappelle
que
c’était
la
position
des
plusieurs
syndicats
« depuis
le
début ».
« On
est
favorable,
à
l’exception
de
certains
cas
comme
les
evasan
bien-sûr ». Se
pose
dès
lors
la
question
du
rapatriement
des
touristes
déjà
en
Polynésie.
Pas
de
quoi
s'affoler
selon
un
fonctionnaire
présent
à la
réunion,
« les
touristes
pourront
finir
leur
séjour »
avant
d'être
renvoyés
chez
eux.
Alors
que
la
question
d’une
septaine
à
l’arrivée
en
Polynésie
a
également
été
évoquée
selon
les
partenaires
sociaux,
les
professionnels
du
tourisme
préfèrent
attendre
l'allocution
Etat-Pays
dans
les
prochains
jours.
Il
s'agit
entre
temps
également
d'avoir
des
éclaircissements
et
savoir,
par
exemple,
si la
fermeture
des
frontières
ne
concerne
que
la
France,
ou si
la
Polynésie
peut
continuer
à
recevoir
des
touristes
des
Etats-Unis,
deuxième
marché
émetteur.
Nouvelle
collaboration
scientifique
entre
les
chercheurs
du
CRIOBE
à
Moorea
et
l'expédition
"Under
the
pole
III"
d'Emmanuelle
Périé-Bardout
et
Ghislain
Bardout
Avion,
tarifs,
fréquence,
équipe…
Tahiti
Air
Charter
prépare
son
décollage
aux
Marquises
La
pose
de la
première
pierre
du
futur
pôle
de
recherche,
jeudi,
à l’UPF,
marque
le
début
d’une
nouvelle
ère
pour
la
recherche
et
l’innovation.
Cofinancé
par
l’État,
le
Pays
et l’UPF
à
hauteur
de
1,2
milliard
de
Fcfp,
le
nouveau
bâtiment
permettra
de
doubler
les
surfaces
de
laboratoires.
De
quoi
rassembler
tous
les
chercheurs
au même
endroit
et
libérer
de
l’espace
pour
les
étudiants.
On a
peut-être
les
yeux
plus
grands
que
le
ventre
!
Fermeture
des
frontières
aux
touristes
29
Jan
2021
Précision
de
l’État
concernant
les
séjours
des
touristes
déjà
présents
en
Polynésie
française
Le
premier
ministre
Jean
Castex
a
annoncé
le
durcissement
des
règles
de
déplacement
entre
l’outre-mer
et la
métropole.
Ce
qui
implique,
comme
le
confirme
le
Pays,
qu’il
sera
impossible,
dès
la
semaine
prochaine,
d’effectuer
des
voyages
touristiques
dans
un
sens
comme
dans
l’autre
entre
la
Polynésie
et la
métropole.
La
liaison
aérienne
avec
les
Etats-Unis
pourrait
aussi
être
interrompue.
«Tous
les
déplacements
en
provenance
et en
direction
de
tous
nos
territoires
ultramarins
seront
soumis
désormais
à la
production
de
motifs
impérieux»,
a
déclaré
Jean
Castex
à la
sortie
d’un
conseil
de
défense
sanitaire,
ce
vendredi.
Comme
le
précise
Outremers
360,
ces
restrictions
étaient
déjà
en
œuvre
concernant
Mayotte
ou la
Réunion
et
s’apprêtait
à
l’être
en
Guadeloupe
ou à
la
Martinique.
Mais
pas
en
Polynésie
: le
tourisme
et
les
voyages
d’affaires
étaient
jusqu’à
présent
considérés
comme
des
motifs
valables
pour
voyager
dans
le
sens
Paris
–
Tahiti.
Et,
malgré
le
renforcement
des
règles
sanitaires
nationales
liées
à
l’apparition
de
variants,
aucune
justification
n’était
demandée
ces
derniers
jours
dans
le
sens
Tahiti
–
Paris.
Cette
exception
va
disparaitre
: il
faudra
désormais
justifier
d’un
motif
impérieux
–
impératif
professionnel,
de
santé,
ou de
famille
–
pour
se
déplacer
entre
le
fenua
et la
métropole.
Une
mesure
qui
était
redoutée
par
les
professionnels
du
tourisme
et
qui
pourrait
prendre
effet
dès
dimanche,
d’après
le
Pays.
La
mise
en
place
d’une
septaine
à
l’arrivée
en
Polynésie
et à
l’arrivée
à
Paris
a
aussi
été
évoquée
ce
matin,
au
Haussariat,
qui a
reçu
les
partenaires
sociaux
en
urgence
ce
matin.
Interrogations
sur
les
touristes
déjà
présents
et
les
vols
vers
les
États-Unis
Le
calendrier
et
les
modalités
exactes
d’application
de
ces
mesures
doivent
toutefois
être
discutés
entre
le
gouvernement
polynésien,
qui
se
réunit
en
urgence
ce
vendredi
après-midi,
et le
Haussariat.
D’après
nos
informations,
des
précisions
sur
les
règles
de
déplacements
vers
l’outre-mer
pourraient
être
données
directement
par
l’État
sous
48
heures.
Mais
à
Tahiti,
aucune
prise
de
parole
publique
du
haut-commissaire
et du
président
du
Pays
n’est
pour
l’instant
programmée.
Les
services
de
l’État
précisent
qu’à
l’heure
actuelle,
rien
n’interdit
aux
touristes
présents
au
fenua
de
« terminer
leur
séjour ».
La
question
du
« rapatriement »
des
touriste
a
toutefois
été
évoquée
lors
des
discussions
avec
le
Pays
et
avec
les
partenaires
sociaux. Quoiqu’il
arrive,
les
déplacements,
même
impérieux,
hors
de
Polynésie
pourraient
se
compliquer.
Les
compagnies
aériennes,
et
notamment
Air
Tahiti
Nui,
avaient
déjà
indiqué
qu’elles
ne
pourraient
pas
maintenir
leur
activité
au
même
niveau
sans
flux
touristique.
Ce
matin,
il
était
question
d’une
seule
rotation
par
semaine
vers
la
métropole.
Les
liaisons
avec
les
États-Unis
pourraient
aussi
être
concernés
par
la
restriction
des
motifs
de
voyage.
Voire
interrompues
« pour
au
moins
deux
mois »,
selon
un
responsable
présent
à la
réunion
ce
matin
au
Haussariat.
-
L’édition
2021
de
L’ECO
nomie
polynésienne
est
en
kiosque.
Ce
deuxième
tirage,
du
magazine
annuel
spécialisé,
propose
un
état
des
lieux
du
modèle
économique
polynésien
en
période
de
pandémie,
dresse
les
incertitudes
qui
le
guettent
en
2021
et
pose
les
enjeux
de
son
évolution
vers
plus
de
résilience.
Le
modèle
économique
local,par
le
biais
d’analyses
d’experts,
d’universitaires,
d’opinion
de
responsables
politiques,
de
témoignages
d’entrepreneurs
est
par
ailleurs
des
plus
intéressants.
Diverses
thématiques
sont
abordées au
fil
des
180
pages
de ce
deuxième
opus
du
magazine
annuel
d’économie.
Sécurité
alimentaire,
transformation
digitale,
tourisme :
pour
chaque
dossier
des
articles
de
fonds,
des
interviews,
le
rappel
des
chiffres
clés,
donnent
l’éclairage
nécessaire
pour
une
meilleure
compréhension
des
mécanismes
économiques
auxquels
doit
faire
face
le
gouvernement,
pas
de
sautillements
répétés
qui
les
rendraient
ces
mécanismes,
illisibles,
incompréhensibles
aux
mieux
intentionnés
sans
perdre
pour
autant
un
esprit
critique.
Jeudi
28
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
: 37
nouveaux
cas,
18.033
cas
cumulés,
21
hospitalisations,
131
décès
(0 en
24h.)
A
propos
Justice
Tout
le
monde
a
pleuré
sur
ce
mignon
petit
bonhomme
ligoté
comme
un
sac
de
pomme
de
terres
et
noyé
il y
a
maintenant
36
ans
sans
que
le
meurtrier
ne
soit
découvert.
Il
serait
un
homme
aujourd'hui.
On
est
heureux
de
savoir
que
la
justice
a
autorisé
de
nouvelles
expertises
ADN
et
que
l'enquête
se
poursuit.
L'assassin
ne
devrait
pas
dormir
tranquille
car
tôt
ou
tard
le
couperet
tombera.
36
ans
après
les
faits,
l’affaire
du
petit
Grégory
est
loin
d’être
refermée.
Ce
mercredi
27
janvier,
la
justice
a
autorisé
de
nouvelles
expertises,
notamment
ADN,
dans
l’espoir
d’élucider
enfin
l’assassinat du
petit
Grégory
Villemin.
et
retrouver
l'assassin
de
cet
enfant
afin
de le
punir
aussi
rudement
que
possible
La
chambre
d’instruction
de la
Cour
d’appel
de
Dijon
a
accepté
“la
quasi-totalité”
des
demandes
de
nouvelles
expertises,
notamment
en
recherche
d’ADN
de
parentèle,
dans
l’enquête
sur
l’assassinat
de
Grégory
Villemin
en
1984,
a
indiqué
à
l’AFP
Me
François
Saint-Pierre,
un
des
avocats
du
couple
Villemin.
Christelle
Lehartel
rencontre
le
général
Thierry
Laval,
commandant
du
SMA
La
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration
en
charge
du
numérique,
Christelle
Lehartel,
a
reçu,
jeudi
matin,
le
général
Thierry
Laval,
commandant
du
Service
Militaire
Adapté.
Le
général
était
accompagné
du
colonel
Christophe
Soriano,
chef
de
corps
du
RSMA
de
Polynésie
française.
Les
échanges
ont
porté
sur
le
partenariat
étroit
entre
l’éducation
et le
RSMA-Pf
en
matière
de
projets
pédagogiques
communs
et de
moyens
humains
mis à
disposition
du
RSMA-Pf
au
service
de la
jeunesse
polynésienne
et de
la
lutte
contre
le
décrochage
scolaire.
De
nouveaux
projets
ont
été
explorés
pour
la
rentrée
de
cette
année,
notamment
le
partenariat
avec
le
CJA
d’Hiva
Oa et
un
dispositif
d’accompagnement
d’élèves
en
voie
de
déscolarisation
dans
les
lycées
de la
zone
urbaine
de
Tahiti.
Visioconférence
avec
le
Groupe
des
dirigeants
polynésiens
Le
Président
Edouard
Fritch
s’est
fait
représenter
par
le
Délégué
aux
affaires
internationales,
européennes
et du
Pacifique,
Manuel
Terai,
durant
la 10ème
réunion
du
Groupe
des
dirigeants
polynésiens
(Polynesian
Leaders
Group,
PLG),
qui
s’est
tenue,
jeudi,
par
visioconférence.
Présidé
par
le
gouverneur
des
Samoa
américaines,
Lemanu
Mauga,
cette
réunion
a
rassemblé
les
dirigeants
des
îles
Cook,
des
Samoa,
de
Niue
et de
Tuvalu.
Les
directeurs
de la
Communauté
du
Pacifique
(CPS),
du
Programme
régional
océanien
de
l’environnement
(PROE)
et de
l’Agence
des
pêches
du
Forum
des
îles
du
Pacifique
(FFA)
y ont
également
participé.
Plusieurs
points
ont
été
abordés,
notamment
la
gestion
de la
pandémie
de
covid
19.
Si le
virus
ne
circule
pas
dans
la
plupart
des
états
et
territoires
polynésiens,
la
région
essaie
de
trouver
des
mesures
afin
de
soutenir
ses
économies
insulaires
qui
sont
très
affectées
par
la
situation
actuelle.
En
outre,
se
pose
désormais
la
question
de
l’accès
équitable
au
vaccin
contre
la
covid,
pour
le
Pacifique,
avec
le
programme
COVAX
incluant
l’Australie,
la
Nouvelle
Zélande
et la
France,
au
travers
de
l’Organisation
Mondiale
de la
Santé,
auquel
les
membres
du
PLG
sont
éligibles.
L’objectif
serait
de
vacciner
au
moins
20%
des
personnes
les
plus
vulnérables.
Les
dirigeants
polynésiens
ont
ensuite
confirmé
leur
engagement
à
lutter
contre
le
changement
climatique
qui
affecte
notre
« Continent
Bleu »,
et ce
à
l’aune
de la
COP
26
qui
devrait
avoir
lieu
en
novembre
2021
en
Ecosse.
L’agriculture
et la
pêche
apparaissent
plus
que
jamais
comme
des
ressources
vitales
dans
le
contexte
pandémique.
Une
intensification
et un
contrôle
des
pêches
illicites,
avec
un
programme
de
surveillance
des
bateaux
de
pêche
étrangers,
désormais
opérationnel
dans
la
région,
est
une
avancée
notable
en la
matière,
a
indiqué
Manu
Tupou
Roosen,
Directrice
générale
de
l’Agence
des
pêches
du
Forum
des
îles
du
Pacifique,
à
Honiara.
Enfin,
les
dirigeants
polynésiens
ont
souligné
le
rôle
vital
de la
connectivité
et
des
nouvelles
technologies
de
communication
dans
le
développement
économique
et
social
des
états
et
territoires
de la
région.
Et la
politesse
bordel
?
Quand,
par
l'intermédiaire
de
Tahititoday,
des
citoyens
posent
une
question
au
gouvernement,
ils
s'attendent
à
recevoir
une
réponse.
Ce
n'est
pas
le
cas.
La
politesse
étant
l'apanage
des
rois,
nous
considérons
donc
que
le
président
de
quelques
îles
est
loin
d'en
être
un et
supporte
ainsi
la
mauvaise
volonté
de
son
service
responsable.
Et
notre
lecteur
en
prend
bonne
note
et
conseille
au
président
de ne
pas
sous
estimer
les
citoyens
qui
posent
des
questions
par
le
biais
de
notre
journal
lu
par
plus
de
4500
personnes.
(Tahititoday).
Faut-il
publier
les
missives
des
mécontents
? Si
c'est
cela
nous
le
ferons
à
partir
de
demain.
Encore
au
sujet
des
procurations
:
L'histoire
des
procurations
occupe
certains
avocats
qui
battent
le
fer
quand
il
est
encore
d'actualité,
mais
si
peu,
en
s'acharnant
sur
la
DSP
qui,
renseignement
pris,
n'a
fait
que
son
travail
de la
même
manière
qu'il
est
fait
en
métropole.
Si on
réfléchit
une
seconde
on
comprendra
que
ces
magouilles
ont
été
commises
par
des
fonctionnaires
isolés
qui
avaient,
selon
certains
échos,parait-il,
des
intérêts
familiaux.
Ceci
étant,
le
directeur
de la
DSP,
n'est
pas
un
guignol,
Non
bien
sur
mais
chaque
fonctionnaire
de la
"maison
DSP"
a un
travail
précis
à
fournir
et
ils
s'y
tiennent.
Cela
dit,
la
DSP
managée
par
son
chef
Mario
Banner
a su
faire
le
ménage
dans
ses
écuries
puisque
il y
a eu
des
exclusions
dans
le
cadre
disciplinaire.,
Par
ailleurs,
relevons
que
le
rapporteur
du TA
a
notamment
repris
les
résultats
de
l'enquête
administrative
menée
par
le
responsable
de la
DSP ,
à la
demande
du HC
,contre
ses
propres
troupes
( non
sans
regrets
certainement)...C'est
cela
la
transparence
non ?
Et
quand
il
faut
trancher,
Banner
tranche
!
C'est
simple
.
Mais
faut
le
savoir
et
ses
fonctionnaires
le
savent.
Sauf
ceux
qui
se
croient
plus
forts
!
DJ
Fred
incorrigible
Le
régime
de la
prison
doit
plaire
énormément
puisque
certains
détenus
comme
Wilfred
Atapo
alias
DJ
Fred
va
certainement
écopé
d'une
rallonge
à ses
sept
ans
de
prison
pour
avoir
collectionné
avec
l'aide
de
son
compagnon
de
cellule
et un
gardien
du
centre
pénitentiaire
de
quoi
lui
faire
oublier
sa
détention
en
regardant
sur
son
téléphone
des
centaines
de
photos
mettant
des
enfants
en
scène
. De
grands,
grands
malades
en
fait,
et
très
dangereux
pour
les
enfants
même
à
leur
sortie
de
prison.
Une
seule
chose
: du
bromure
!
Question
au
gouvernement
:
Si
pour
certains
la
pédophilie
est
juste
une
préférence
sexuelle,
est
ce
que
l'on
peut
considérer
si on
les
enterre
vivants
que
c'est
seulement
du
jardinage
?
Le
TAHOERAA
HUIRAATIRA
informe
de la
démission
de
Mme
Vaitea
LE
Gayic
du
Groupe
A
HERE
IA
PORINETIA
et
son
retour
au
Groupe
TAHOERAA
HUIRAATIRA
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
française.
Une
restructuration
en
cours...
Tournée
gouvernementale
dans
les
îles
Edouard
Fritch
a
démarré
sa
grande
tournée
politique
dans
les
îles
et
prévu
deux
conseils
des
ministres
décentralisés,
l'un
à
Uturoa
puis
l'autre
à
Tubuai.
Le
gouvernement
est
attendu
à
Fakarava
ce
week
end.
Il
ira
peut-être
faire
une
petit
visite
à
Albert
et
Nina
Moux
qui
se
sont
auto
confinés
dans
leur
très
agréable
résidence
ilienne.
Puis
ce
sera
un
séminaire
début
février
à
Moorea.
Deux
thèmes
prévus
:
stratégie
en
vue
d'une
transition
économique
et
sociétale
due
au
Covid
et
plan
de
soutien
économique
sur
l'an
née
2021
Australes
:
Le
Conseil
des
ministres
s’est
réuni
mercredi
à la
mairie
de
Tubuai.
Sur
place,
les
ministres
ont
fait
un
point
sur
la
situation
de
l’agriculture,
le
logement,
l’emploi
et la
formation,
le
tourisme,
les
transports
ou
encore
les
travaux
en
cours.
Le
président
Edouard
Fritch
a
particulièrement
insisté
sur
le
développement
de
l’agriculture
dans
cet
archipel
qui
constitue
un
des
greniers
de la
Polynésie.
Le TA
prévoit
de se
prononcer
sur
une
éventuelle
annulation
des
opérations
électorales
du
second
tour
des
municipales
le 28
juin
dernier
dans
cette
commune
de
Arue.
Teura
Iriti
est
prête
pour
le
combat
électoral.
Retourner
devant
le
peuple
dit-elle,"
c'est
discuter
avec
lui."
Et
cela,
elle
adore
!
Perliculture
:
Domaine
public
maritime
gratuit
pour
2021
Echo
de la
présidence
sur
le
Covid-19
Dans
un
communiqué
diffusé
en
marge
du
conseil
des
ministres,
réuni
mercredi
à
Tubuai,
le
gouvernement
Fritch
n'a
pas
tardé
à
réagir,
faisant
part
de
son
"inquiétude"
devant
"la
propagation
du
virus
de la
Covid
au
niveau
mondial".
Après
avoir
"évalué
l’impact
des
mesures
qui
pourraient
être
prises
au
niveau
national",
le
Conseil
des
ministres
craint
que
"l’éventualité
d’imposer
des
restrictions
à la
circulation
des
personnes
entraînera
des
catastrophes
économiques
et
sociales
auxquelles
la
Polynésie
française
aura
du
mal à
faire
face."
Le
gouvernement
le
rappelle
"en
plus
des
12,2
milliards
de
Fcfp
budgétés
en
2021
pour
les
mesures
d’aides
à
l’emploi,
l’impact
sur
le
seul
secteur
du
tourisme
entraînerait,
pour
préserver
les
emplois,
un
surcoût
immédiat
de 3
milliards
de
Fcfp,
sur
trois
mois,
pour
les
mesures
exceptionnelles
pour
l’ensemble
des
salariés
du
secteur,
sans
compter
l’impact
sur
les
comptes
de la
Caisse
de
prévoyance
sociale
(CPS)".
Le
Conseil
des
ministres
indique
qu'il
reste
"bien
entendu
vigilant
pour
ce
qui
concerne
la
sécurité
sanitaire
des
Polynésiens" mais
souligne
désormais
une
"vive
inquiétude
sur
les
conséquences
économiques
et
sociales
des
mesures
qui
pourraient
être
prises
au
niveau
national."ET
là,
il
n'y
peut
pas
grand
chose
compte
tenu
de la
pandémie
en
métropole
La
production
photovoltaïque
annuelle
représente
une
économie
de
carburant
de
10 000 000
de
litres
de
gasoil,
soit
l’équivalent
de
300
semi-remorques.
EDT
ENGIE
soutient
pleinement
le
développement
du
photovoltaïque
via
sa
mise
en
œuvre
du
verdissement
énergétique
partout
où
elle
assure
le
service
public
de
l’électricité.
Conformément
à la
volonté
de la
Polynésie
française
et à
son
Plan
de
Transition
Énergétique,
EDT
ENGIE
poursuit
le
renouvellement
de
son
parc
thermique
en
développant
des
solutions
innovantes
permettant
de
repousser
les
limites
de
croissance
des
énergies
renouvelables.
Avec
des
dossiers
tels
que :
o
Putu
Uira,
une
batterie
de
secours
de la
puissance
d’un
groupe
thermique
de la
centrale
de la
Punaruu,
qui
sera
mise
en
chantier
dans
les
semaines
à
venir
et
permettra
d’accueillir
5 MW
complémentaire
de
photovoltaïque
dans
18
mois.
o
Mata
Ara,
un
dispositif
de
prévision
à
court
terme
(30
mn)
de la
production
photovoltaïque
qui
dans
6
mois
permettra
au
dispatching
de la
centrale
de la
Punaruu
d’anticiper
les
variations
rapides
de
cette
énergie
abondante
mais
très
variable
et
encore
imprévisible.
EDT
ENGIE
investit
dans
la
croissance
neutre
en
carbone
de la
Polynésie.
Le
service
communication
EDT
ENGIE
Echo
d'un
citoyen
mécontent
qui
n'a
pas
reçu
de
réponse
à ses
questions
:
Un
peu
de
transparence
SVP
dit-il
::
Qui
est
vacciné
? Sur
quels
critères
?
Combien
de
personnes.
Ce
monsieur
à 78
ans
et
son
épouse
82.
Comme
d'autres
ils
sont
inquiets.
Par
ailleurs
ne
recevant
pas
les
communiqués
de la
présidence,
le
président
ne
s'étonnera
pas
si
nous
prenons
le
mors
aux
dents
Mercredi
27
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
: 49
nouveaux
cas,
17.961
cas
cumulés,
20
hospitalisations,
131
décès
1299
personnes
ont
reçu
la
première
dose
du
vaccin.
Suite
à la
nomination
le 24
septembre
2020
de
Thierry
Delmas
comme
directeur
de
cabinet
du
ministère
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration
en
charge
du
numérique,
Éric
Tournier,
inspecteur
général
de
l’éducation,
du
sport
et de
la
recherche,
correspondant
académique
des
collectivités
d’outre-mer
et de
la
Guyane
jusqu’au
31
janvier
2021,
est
nommé
Directeur
général
de
l’éducation
et
des
enseignements
(DGEE),
à
compter
du 1er
février
2021.
A
propos
Où il
est
question
de...
Pour
plagier
le
père
Christophe
:
"Le
seigneur
sait
nous
apprendre
la
patience,
parce
que
le
lieu
où se
situe
ce
terrain
est
idéal"
à
propos
d'un
terrain
mis à
la
disposition
du
secours
catholique
à
Mamao..
Mais
on
peut
se
demander
si le
seigneur
concernant
le
junkie
de la
pédopornographie
ne
pousserait
pas
un
"oh!"
de
stupéfaction
dégoûtée
en
regardant
du
haut
de
ses
nuages
le
misérable
qul
se
défausse
sur
"une
gourmandise
à
assouvir"
!
Berk!!...
Ces
malades
commencent
tous
par
des
images
et
des
videos,
puis
l'excitation
venant,
un
jour
ils
passent
à
l'acte.
Organisation
nickel
du
monsieur
en
question,
fichiers
anciens
et
récents
(185),
images,
videos
en
cours
de
téléchargement.
Voilà
un
septuagénaire
qui
sait
s'occuper
d'autant
qu'en
plus,
il
sait
goûter
la
marchandise
qu'il
a
sous
la
main
et
les
yeux
avec
des
fellations
sur
de
jeunes
adultes,
poussant
le
vice
jusqu'à
les
filmer
sans
leurs
consentement
en
pleine
action.
""Une
façon
de
voir
comment
vivent
les
gens
!!!!!"
"Elle
est
pas
belle
la
vie"
pour
ce
monsieur
?
Mais
à 70
ans
on
est
pas
un
vieil
homme
et il
l'a
prouvé.
La
prison
ne le
guérira
pas
et
son
addiction
pourra
se
répercuter
sur
ses
co-détenus
les
plus
jeunes.
Ce
sont
plutôt
des
soins
psychiatriques
en
milieu
fermé
qu'il
lui
faudrait
et
encore,
pas
sûr
qu'ils
lui
fassent
de
l'effet
car
ce
monsieur
semble
avoir
une
robuste
santé
pour
supporter
trois
accidents
vasculaires
cérébraux.
Bref
le
junkie
de la
pédopornographique
( sur
des
jeunes)
a
écopé
de
deux
ans
de
prison
qu'il
ne
fera
pas
puisque
ces
deux
ans
sont
assortis
de
"sursis".
Il
pourra
se
faire
des
branlettes
en
toute
tranquillité
en
espérant
qu'il
le
fasse
devant
son
miroir
et
non
devant
des
jeunes
gens.
Sur
un
chapitre
moins
"ludique",
l'histoire
des
fausses
procurations
à
Arue"
mais
ennuyeuse",
iriti
exonérée,
pas
la
DSP,
ce
n'est
pas
elle
qui a
rempli
les
formulaires
mais
la
mère
de l'OPJ
co
listière
d'Iriti
lors
du
premier
tour.
Ballottage
défavorable.
On
trouve
dans
le
même
travers,
le
maire
de
Papeete
qui
aurait
aussi
utilisé
les
moyens
de sa
commune
lors
de
l'élection.
Si Me
Bourion
ne
sait
pas
ce
qui
se
passe
à DSP,
nous,
nous
ne
savons
pas
ce
qui
se
passe
vraiment
à la
mairie
de
Papeete
!
C'est
toujours
Clochemerle
mais
pas
que...
! Le
TA de
Papeete
a
examiné
le
contentieux
entre
Tauhiti
Nena
et
Philip
Schyle,
deux
recalés
des
dernières
municipales.
Le
rapporteur
public
a
retenu
que
les
irrégularités
sur
Arue
pouvaient
justifier
l’annulation
du
scrutin
du 28
juin
dernier
mais
pas à
Papeete,
pour
une
question
de
délai.
Conséquence
:
l'Etat
n'a
peut-être
pas
été
assez
vigilant.
.
Pour
être
valable,
une
procuration
doit
être
établie
par
la
personne
concernée
devant
un
juge
ou un
officier
de
police
judiciaire
(OPJ)
qui
doit
y
porter
son
cachet.
Une
procédure
qui,
selon
la
magistrate,
"implique
la
comparution
personnelle"
du
mandant.
Une "formalité
essentielle
à la
régularité
des
suffrages"
pas
vraiment
respectée
à
Arue
où l’entre-deux-tours
a été
particulièrement
marqué
par
une
chasse
à la
procuration.
De 8
seulement
au
premier
tour
en
mars,
le
total
des
procurations
bondit
à 137
au
second
tour
fin
juin.
Sur
ce
total,
il
s’avère
que
115
ont
été
établies
irrégulièrement,
hors
de la
présence
du
mandant,
par
des
agents
de la
DSP
qui
ont
filé
un
mauvais
coton.
Notamment,
"99
de
ces
procurations
avaient
été
remises
par
une
collaboratrice
de
Mme
Iriti
à
l’assemblée
de la
Polynésie
française,
après
avoir
été
remplies
par
la
mère
de l’OPJ
en
question,
qui
était
par
ailleurs
colistière
de
Mme
Iriti
lors
du
premier
tour
des
élections
municipales".
Comité
de
pilotage
de
l’élaboration
de la
politique
publique
de
l’habitat
Le
ministre
du
Logement,
de
l’aménagement
et
des
transports
interinsulaires,
Jean-Christophe
Bouissou,
a
réuni
mardi
matin,
à la
Présidence,
le
comité
de
pilotage
de
suivi
de
l’élaboration
la
politique
publique
de
l’habitat
de
Polynésie
française.
Cette
mission
est
menée
par
les
sociétés
MERC/AT
-
Groupe
CITADIA-
SCET,
sous
le
pilotage
administratif
et
technique
de la
Délégation
à
l’habitat
et à
la
ville.
Dans
le
prolongement
des
travaux
précédents
qui
ont
validé
les
enjeux
et
les
orientations
de la
politique
de
l’habitat,
le
programme
d’actions
de la
future
politique
de
l’habitat
a été
présenté
aux
représentants
du
Gouvernement,
de
l’Etat
et de
l’Assemblée
de
Polynésie
française.
Ce
programme
s’articule
autour
de 4
axes
majeurs
comprenant
chacun
une
série
d’actions
à
développer
sur
la
période
2021-2030 :
-
anticiper
et
organiser
le
développement
résidentiel ;
-
réguler
le
développement
de
l’offre
d’habitat
par
des
mesures
visant
à
maîtriser
les
coûts
du
marché
et
améliorer
la
qualité
des
logements ;
-
accompagner
les
ménages
et
construire
des
réponses
adaptées
à la
diversité
des
besoins
de
logements ;
-
piloter
et
évaluer
régulièrement
les
impacts
de la
politique
publique
afin
d’optimiser
les
dispositifs
publics
mobilisés
(subventions
aux
opérateurs,
mesures
fiscales,
encadrement
réglementaire,
aides
aux
particuliers).
Ainsi,
23
fiches
déclinent
l’ensemble
des
actions
de la
politique
qui
seront
développées
ces
10
prochaines
années.
Au
début
du
mois
de
février
prochain
se
tiendra
le
dernier
comité
de
pilotage
de
l’élaboration
de la
politique
publique
de
l’habitat
de la
Polynésie
française.
Il
abordera
les
modalités
de
mise
en
œuvre
et de
suivi
de la
politique.
Mardi
26
janvier
2021
A
propos
5h
du
mat,
Papeete
ne
s'éveille
pas
encore.
Les
quotidiens
ne
sont
pas
dans
les
boites
aux
lettres,
la
nuit,
accompagnée
du
silence,
son
fidèle
compagnon,
plane
toujours
sur
la
ville
et
ses
environs
, les
rues
sont
vides,et
l'on
devra
attendre
pour
avoir
le
décompte
des
nouveaux
cas
de
coronavirus.
Une
info
entraîne
souvent
une
interrogation.
or
pour
celle
là
nous
n'avons
jamais
eu de
réponse
alors
que
tant
de
gens
attendent
que
le
gouvernement
se
décide
à
investir
dans
un
columbarium.
Nombreux
sont
ceux
ayant
les
moyens
de
partir
en
nouvelle
Zélande
pour
se
faire
incinérer,
puis
rapatrier
dans
une
urne
à
Tahiti
. Ce
monument
cinéraire
où sont
déposées
dans
des
cases,
les
urnes
contenant
lescendres des
défunts
permet
aux
proches
de se
recueillir
et
d'honorer
leursmorts
quand
les
cimetières
sont
surpeuplés.
Mais
Tahiti
n'a
toujours
pas
moderniser
ses
sépultures,
préférant
enterrer
presque
les
uns
sur
les
autres
ses
défunts.
La
plupart
des
columbariums
ont
été
construits
sous
les
règnes
d'Auguste
et
de Tibère.
Cela
ne
date
pas
d'hier.
À
partir
du iie siècle,
on
voit
apparaître
des
sarcophages
dans
les
columbariums,
signe
que
l'incinération
était
progressivement
abandonnée
au
profit
de
l'inhumation
Ce
changement
est
lié à
la
progression
de la
croyance
dans
la résurrection
des
corps.
Ce
n'est
plus
le
cas
aujourd'hui
et
quelle
danse
macabre
se
serait
!
Mais
il
faudra
bien
un
jour
ou
l'autre
que
le
président
polynésien
et
son
gouvernement
réfléchissent
à
cette
douloureuse
question
si
les
décès
dus
au
coronavirus
maintiennent
le
rythme.
Car
si la
Polynésie
poursuit
son
macabre
parcours,
le
gouvernement
devra
résoudre
cette
douloureuse
question.
Soit
au
columbarium
soit
à de
nouveaux
cimetières.
Sur
un
autre
sujet
tout
aussi
saisissant
je
n'ai
jamais
compris
comment
une
cour
pouvait
statuer
sans
condamnation
sur
des
sujets
graves,
alors
qu'une
autre
jugeait
tout
le
contraire
pour
la
même
affaire
en
condamnant
lourdement.
Quant
à la
cour
de
cassation
elle
peut
casser
et
annuler
tout
jugement
aussi
marquant
que
détournement
de
fonds,
abus
de
confiance,
prison
etc...
.
Comme
quoi
ce
qu'un
juge
fait,
un
autre
peut
le
défaire.
C'est
une
chance,
parfois,
certes,
mais
alors
en
tant
que
spectateur,
qui
croire,
les
premiers
juges
ou
les
seconds
?
NB
:.
La
crémation
est
une
compétence
des
communes
et
cela
a pu
être
intégré
au
code
général
des
collectivités
territoriales
(CGCT)
grâce
à un
amendement
de la
sénatrice
Tetuanui
fin
2019.
URGENT
:
Incident
réseau
Tahiti
EDT
ENGIE
informe
ses
clients
qu’un
impact
de
foudre
a
affecté
le
réseau
de
transport
de la
zone
sud
de
Tahiti
(en
attente
de
localisation
par
les
équipes
TEP),
dans
la
matinée
du
mardi
26
janvier
2021.
Ce
défaut
a
provoqué
une
perte
de la
production
hydroélectrique
des
vallées
Vaihiria,
Vaite
et
Titaaviri
de
Teva
I
Uta.
Afin
d’éviter
un
blackout
de
toute
l’île,
des
opérations
de
délestage
ont
dû
être
effectuées
en
urgence
sur
la
zone
urbaine.
Les
équipes
d’EDT
ENGIE
sont
mobilisées
afin
de
rétablir
la
production
pour
l’ensemble
de
Tahiti,
et
réalimenter
les
clients
impactés
par
ces
délestages.
EDT
ENGIE
présente
toutes
ses
excuses
pour
la
gêne
occasionnée,
et
remercie
ses
clients
pour
leur
compréhension.
Le
service
communication
EDT
ENGIE
Le
Pays
met à
disposition
un
terrain
pour
le
centre
d’accueil
Te
Vai
Ete
Le
Président
du
Pays,
Edouard
Fritch,
le
vice-président,
en
charge
du
domaine,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
Monseigneur
Jean-Pierre
Cottanceau,
pour
le
compte
du
Conseil
d’Administration
de la
Mission
Catholique
de
Tahiti
et
Dépendances
(CAMICA)
et
Père
Christophe
ont
signé,
mardi,
à la
Présidence,
une
convention
de
bail
emphytéotique
afin
d’accueillir
le
nouveau
centre
d’accueil
de
jour
Te
Vai
Ete.
La
ministre
de la
Famille
Isabelle
Sachet
était
également
présente.
Le
projet
consiste
en la
construction
d’un
bâtiment
en
R+1
avec
douches,
toilettes,
buanderie,
cuisine,
salle
à
manger,
salle
de
soins
et
parking.
Il
s’agit
d’accueillir
les
sans-abris,
leur
servir
des
repas,
leur
offrir
un
endroit
pour
se
doucher,
laver
leur
linge,
les
accompagner
vers
l’emploi,
les
soutenir
dans
leurs
démarches
administratives
(carte
d’identité,
dossier
Cotorep,
etc)
et
proposer
une
aide
médicale
grâce
à des
médecins
généralistes
et
spécialistes.
Le
centre
d’accueil
Te
Vai
Ete
existe
depuis
1994
et
fonctionne
exclusivement
avec
des
bénévoles
et
grâce
aux
dons.
Le
coût
des
travaux
pour
cette
nouvelle
structure
est
estimé
à 150
millions
Fcfp.
Pourcentage
dans
la
grève
de
l'Education
Le
ministère
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’Administration,
en
charge
du
numérique,
communique
les
taux
de
participation
au
mouvement
de
grève
de ce
jour
pour
la
totalité
des
écoles
et
des
établissements
scolaires
du
second
degré
public
en
Polynésie.
A
12h,
sur
la
base
des
personnels
fonctionnaires
d'Etat
attendus
dans
les
écoles
et
établissements
scolaires
du
second
degré
:
Personnels
enseignants
grévistes
du 1er
degré
:
0,12
%
Personnels
grévistes
du 2nd
degré
:
5,30
%
Personnels
enseignants
grévistes
du
2nd
degré
:
7,06
%
Personnels
non
enseignants
grévistes
du
2nd
degré
:
1,74
%
Taux
général
1er
et 2nd
degré :
2,71
%
Lundi
25
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
ce
jour,
les
nouveaux
cas
en
augmentation
:
60
nouveaux
cas,
17912
cas
confirmés,
20
hospitalisations,
129
décès
A
propos
Voilà
les
nouveaux
chiffres
concernant
le
coronavirus.
Pas
de
nouvelles
dans
la
presse
concernant
la
vaccination.
Se
fait-elle
? Les
Polynésiens
viennent-ils
nombreux
se
faire
vacciner
?
Réponses
certainement
aujourd'hui.
En
dehors
du
retour
des
tortues
marines
venues
pondre
à
Moorea
rien
de
bien
intéressant
sinon
que
la
gendarmerie
vient
de
gonfler
ses
effectifs
de
neuf
nouveaux
gendarmes
adjoints
ayant
prêté
serment
au
palais
de
justice
vendredi
à
l'issue
de 13
semaines
de
formation.
En
vue
de la
prochaine
tenue
d’un
Conseil
des
ministres
décentralisé,
mercredi,
à
Tubuai
et
d’une
visite
de
l’ensemble
des
atolls
associés
à
Fakarava,
l’ensemble
des
membres
du
gouvernement
et
leurs
collaborateurs
se
sont
faits
tester
pour
la
covid,
lundi
matin,
auprès
de
l’Institut
Malardé,
en
amont
de
leur
déplacement.
A
part
les
gendarmes
en
pleine
formation
en ce
qui
concerne
les
neuf
nouveaux
venus,
tout
est
calme
à
Tahiti
où la
chaleur
du
week
end a
éteint
la
population
y
compris
les
hommes
politiques
jusqu'au
Covid
dont
les
chiffres
sont
stables
depuis
vendredi.
Trois
"colosses"
(
association"
Colosse
aux
pieds
d'argiles")
spécialistes
de la
pédocriminalité
sont
arrivés
sur
le
Territoire
invités
par
la
compagnie
du
Caméléon
dans
le
cadre
du
festival
Te
Vevo
. Ils
ont
assuré
immédiatement
leur
mission
en
effectuant
une
quarantaine
d'interventions
de
sensibilisation
en
dix
jours
auprès
de la
jeunesse
polynésienne
où
les
tabous
ont
la
peau
dure
notamment
en ce
qui
concerne
la
pudeur
à se
livrer.
Stephane
Chin
Loy
a été
reconduit
dans
ses
fonctions
vendredi
aucun
candidat
en
face
de
lui
depuis
2011
pour
lui
rafler
la
présidence
de la
CCISM.
Indétrônable.
Quant
à la
chambre
de
l'Agriculture,
elle
prépare
ses
élections
prévues
dans
quelques
mois.
Courrier
:
Bonsoir
Mme
Le 14
01
2021
j’ai
téléphone
au
40455000
pour
inscription
à la
vaccination
Une
dame
très
serviable
a
transfère
mon
appel
au
service
qui
s’occupe
de
cela
J’ai
répondu
a
toutes
les
demandes,
depuis
rien,
silence
total
ni
téléphone
ou @
Mon
épouse
a 82
ans
moi
78
On
voudrait
un
peu
de
transparence !
Qui
est
vaccine ?
Quels
critères ?
combien
de
personnes ?
Déplacements
du
gouvernement:
tests
à
l’Institut
Malardé
aujourd'hui
En
vue
de la
prochaine
tenue
d’un
Conseil
des
ministres
décentralisé,
mercredi,
à
Tubuai
et
d’une
visite
de
l’ensemble
des
atolls
associés
à
Fakarava,
l’ensemble
des
membres
du
gouvernement
et
leurs
collaborateurs
se
sont
faits
tester
pour
la
covid,
lundi
matin,
auprès
de
l’Institut
Malardé,
en
amont
de
leur
déplacement.
Cette
mesure
préventive
est
nécessaire
afin
de
protéger
et de
rassurer
les
populations
de
ces
archipels.
Le
magazine
DIXIT
sort
ce
mercredi.
ne le
loupez
pas !
EDT
ENGIE
investit
dans
le
réseau
EDT
ENGIE
informe
ses
clients
du
début
d’un
chantier
de
renouvellement
des
câbles
souterrains
Haute
Tension
situés
au
niveau
de
Tetavake
à
PUNAAUIA,
pour
une
durée
de 15
jours.
Cette
opération
urgente
intervient
à la
suite
des
dysfonctionnements
des
câbles
souterrains
constatés
ces
dernières
semaines
sur
la
zone.
Chaque
défaut
constaté
a
fait
l’objet
d’une
intervention
immédiate
de
dépannage
d’EDT
ENGIE,
parfois
en
pleine
nuit
et
malgré
une
météo
défavorable,
pour
rétablir
dans
les
meilleurs
délais
l’alimentation
électrique
des
foyers
impactés.
EDT
ENGIE
investit
20
millions
FCFP
dans
le
renouvellement
des
câbles
souterrains
Haute
Tension
sur
une
longueur
de
près
d’un
kilomètre,
dans
un
souci
de
sécurisation
du
réseau
électrique.
Le
montant
des
travaux
est
sans
impact
sur
la
facture
d’électricité.
EDT
ENGIE
présente
toutes
ses
excuses
pour
la
gêne
occasionnée
durant
ces
travaux,
et
remercie
ses
clients
pour
leur
compréhension.
Service
de la
communication
EDT
Engie
Vendredi
22
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
: 12
nouveaux
cas,
17820
cas
confirmés,
22
hospitalisations,
128
décès.
A
propos
:Sachez
que
si
vous
partez
pour
quelques
jours
de
vacances
aux
Etats
Unis,
vous
devrez
obligatoirement
présenter
un
test
anti
coronavirus
négatif
et
observer
une
quarantaine.
Il
vous
faudra
donc
de
longues
vacances
:
la
quarantaine
plus
vos
vacances
!!!Au
retour,
le
test
que
vous
devrez
présenter
pour
la
France
devra
être
négatif
72H
avant
votre
départ.
On
attend
la
confirmation
pour
la
Polynésie.
-L'extension
du St
Régis
n'aura
pas
lieu.
La
justice
a
donné
raison
au
Four
Seasons
dans
un
litige
qui
opposait
ces
deux
hôteliers
depuis
2014
autour
d'un
projet
de
construction
de 25
bungalows
sur
pilotis
sur
le
domaine
maritime
public.
Le
Président
du
Pays,
Edouard
Fritch,
et le
vice-président
en
charge
du
domaine,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
ont
procédé,
jeudi
après-midi,
à la
Présidence,
à la
remise
des
arrêtés
d’attribution
des
aides
à la
sortie
d’indivision
auprès
d’une
vingtaine
de
familles
originaires
de
Tahiti,
Moorea,
Maupiti,
Raiatea,
Huahine,
Tahaa,
Tubuai,
Rurutu
et
Nuku
Hiva.
Le
permis
d'aménager
remplace
le
permis
de
terrasser.
Est-ce
qu'on
joue
sur
les
mots
? Non
le
gouvernemental
actualise
! pas
du
tout
! Le
gouvernement
a
trouvé
l'ancien
permis
de
terrasser
trop
restrictif
dans
sa sa
définition.
Le
permis
d'aménager
devient
donc
obligatoire
pour
l'instruction
des
lotissements
ainsi
que
des
exhaussements
et
affouillements
(sic!)
La
modification
principale
concerne
le
seuil
à
partir
duquel
est
permuis
d'aménager
est
nécessaire.
Ainsi
le
projet
propose
:
De 0
à 200
m3 :
aménagement
non
soumis
à
autorisation
administrative.
De
plus
de
200m3
à
1000m3
:
déclaration
préalable
d'aménager.
Ai-delà
de
1000m3
permis
d'aménager
mais
à
partir
de
2000m"
évaluation
d'impact
environnemental
conformément
au
code
de
l'environnement.
Mais
attention
la
troisième
modification
concerne
les
sanctions
pénales
et
administratives
intégrer
dans
l'ensemble
du
dispositif.
Les
parents
et
proches
de
Vairauti
Arapari
sont
venus,
vendredi
matin,
à la
Présidence,
afin
de
remercier
le
Président
Edouard
Fritch,
pour
toute
l’aide
apportée
par
le
Pays
au
rapatriement
du
corps
du
jeune
danseur
de la
troupe
Heiva
i
Tahiti,
décédé
accidentellement
à
Carcassonne,
à la
fin
du
mois
de
décembre
dernier.
La
chambre
de
l'Agriculture
appelle
les
professionnels
souhaitant
prendre
part
à
l’élection
de
ses
membres,
à
mettre
à
jour
leur
situation
jusqu’au
9
mars
2021
L’élection
des
membres
consiste
à
voter
pour
les
représentants
des
intérêts
des
agriculteurs
et
des
pêcheurs
lagonaires
auprès
des
pouvoirs
publics.
Elus
au
suffrage
universel
par
les
ressortissants
du
registre
de
l’agriculture
et de
la
pêche
lagonaire,
ils
sont
répartis
en
quatre
collèges :
le
collège
n°1
des
professionnels
agricoles,
le
collège
n°2
des
exploitants
agricoles,
le
collège
n°3
des
pêcheurs
lagonaires
et le
collège
n°4
des
groupements.
Leur
mandat
est
de
cinq
ans.
La
chambre
fait
le
point
sur
les
nouveautés
du
régime
électoral
2021 :
-
La
condition
sine
qua
non
d’être
inscrit
au
régime
des
non-salariés
pour
tout
agriculteur,
personne
physique
ou
représentant
légal
de
toute
société
d’exploitation
agricole,
au
titre
du
collège
n°1
des
« professionnels
agricoles ; »
-
L’exclusivité
du
collège
n°4
aux
groupements,
sans
condition
d’existence
d’une
année
minimum.
Seuls
les
détenteurs
d’une
carte
professionnelle
à
jour
avant
le 10
mars
2021
peuvent
voter,
excepter
les
détenteurs
d’une
carte
provisoire.
Plus
de 3
000
électeurs
sont
attendus
aux
urnes
le 10
juin
prochain.
Les
opérations
électorales
s’organiseront
ainsi :
1.
La
clôture
de la
liste
électorale
est
établie
au
plus
tard,
3
mois
avant
la
date
des
élections
–
soit
le 10
mars
2021.
Les
professionnels
peuvent,
jusqu’au
9
mars
2021,
mettre
à
jour
leur
situation
au
regard
du
registre
et
prétendre
à
être
électeur
;
2.
La
révision
et
l’établissement
de la
liste
des
électeurs
a
lieu
après
affichage
dans
les
mairies
et
modification
s’il
y a
lieu
entre
février
et
avril
2021.
Elles
sont
ensuite
officialisées
au
Journal
officiel
et
affichées
dans
les
mairies
jusqu’au
jour
du
scrutin
;
3.
Le
recensement
des
listes
de
candidats
et
leur
validation
ainsi
que
l’organisation
logistique
du
scrutin
s’effectuent
entre
le
10
avril
et le
10
mai
2021 ;
4.
Le
recensement
et le
dépouillement
des
votes
le
jour
du
scrutin
ont
lieu
le
10
juin
2021.
Le
Conseil
d’État
rejette
3
requêtes
concernant
E.Fritch,
R.Temeharo
et
V.Bruant
Trois
requêtes
déposées
par
Yves
Conroy
contre
le
haut-commissaire
ont
été
rejetées
par
le
Conseil
d’État.
Visant
Édouard
Fritch,
René
Temeharo
et
Virginie
Bruant,
Yves
Conroy
estimait
qu’ils
ne
pouvaient
cumuler
fonctions
au
gouvernement
ou
mandat
électif
et
fonctions
au
Syndicat
pour
la
promotion
des
communes,
au
Centre
de
formation
et de
gestion,
ou à
la
Sacem,
et
que
le
haut-commissaire
aurait
dû
les
déclarer
démissionnaires
d’office.
Trois
fois
non,
a
répondu
le
Conseil
d’État.
Trois
affaires
de
cumul
qui
trouvent
aujourd’hui
leur
épilogue,
avec
la
publication
des
décisions
du
Conseil
d’État
qui
les a
audiencées
le 6
janvier
dernier.
Yves
Conroy
estimait
que
le
haut-commissaire
était
fautif
en
refusant,
le 16
février
2020,
de
déclarer
démissionnaires
d’office
Édouard
Fritch,
René
Temeharo
et
Virginie
Bruant
pour
«
absence
d’option
»
entre
leurs
fonctions
au
gouvernement
ou à
l’assemblée
et
d’autres
fonctions
au
sein
d’établissements
publics
ou
privés.
Yves
Conroy
s’adressait
alors
au
tribunal
administratif
de
Papeete,
qui
le 12
février
2020
décidait
de
transmettre
les
dossiers
à la
section
du
contentieux
du
Conseil
d’État.
Concernant
Édouard
Fritch,
Yves
Conroy
voyait
une
incompatibilité
entre
ses
fonctions
de
président
de la
Polynésie
française
et
celles
de
vice-président
du
Centre
de
gestion
et de
formation
(CGF)
et de
vice-président
du
Syndicat
pour
la
promotion
des
communes
(SPCPF).
Il
s’appuyait
sur
l’article
111
du
statut
de la
Polynésie
française,
selon
lequel
les
fonctions
de
président
ou
directeur
d’un
établissement
public
sont
incompatibles,
lorsqu’elles
sont
rémunérées,
avec
celles
de
représentant
à
l’assemblée,
de
ministre
ou de
président
du
gouvernement.
Mais
pour
le
Conseil
d’État,
Edouard
Fritch
n’étant
que
vice-président
du
CGF
et
SPCPF,
et
même
« si
M.
Conroy
soutient
que
M.
Fritch
peut
être
appelé
à
suppléer
les
présidents
des
établissements
publics,
cette
éventualité
est
sans
incidence
pour
l’application
des
dispositions »
de
l’article
111.
Concernant
René
Temeharo,
à la
fois
ministre
et
président
du
CGF,
le
Conseil
d’État
considère
que
son
élection
à
cette
présidence
résulte
de
ses
fonctions
électives
locales
– le
CA du
CGF
qui
élit
son
président
est
entièrement
composé
d’élus
locaux
– et
rappelle
qu’il
est
précisé
dans
le
CGCT
que
« des
arrêtés
du
haut-commissaire
de la
République
en
Polynésie
française
prévoient
les
cas,
les
conditions
et
les
limites
dans
lesquels
le
président
et
les
vice-présidents
du CA
du
CGF
peuvent
percevoir
des
indemnités
de
fonction ».
Le
Conseil
d’État
considère
donc
que
« les
indemnités
que
peut
percevoir
le
président
du
CGF
doivent
être
regardées
comme
étant
de
même
nature
que
celles
qui
sont
prévues
pour
l’exercice
des
fonctions
électives
locales ».
Il en
résulte
« que
M.
Conroy
n’est
pas
fondé
à
demander
l’annulation
de la
décision
qu’il
attaque ».
Enfin,
concernant
Virginie
Bruant
qui
est à
la
fois
représentante
à
l’assemblée
de la
Polynésie
française
et
directrice
générale
de la
société
Sacem
Polynésie,
Yves
Conroy
tentait
de
faire
valoir
le IX
de
l’article
111
de la
loi
organique
qui
interdit
« à
tout
représentant
de
prendre
une
part
active
aux
actes
relatifs
à une
affaire
à
laquelle
il
est
intéressé
soit
en
son
nom
personnel,
soit
comme
mandataire ».
Le
Conseil
d’État
estime
que
« la
loi
organique
réserve
au
haut-commissaire
de la
République
et
aux
représentants
à
l’assemblée
de la
Polynésie
française
la
faculté
de
demander
au
Conseil
d’État
de
déclarer
démissionnaire
d’office
le
représentant
qui a
méconnu
l’interdiction
posée
au IX
de
l’article
111.
Il
s’ensuit
qu’un
électeur
n’est
pas
recevable
à
demander
l’annulation
du
refus
du
haut-commissaire
de la
République
de
saisir
le
Conseil
d’État
afin
qu’il
déclare
démissionnaire
d’office
un
représentant
(…) ».
Toutefois,
le
Conseil
d’Etat
a
rejeté
la
demande
des
trois
mis
en
cause
de
mettre
les
frais
de
justice
engagés
à la
charge
d’Yves
Conroy.
Jeudi
21
janvier
2021
250
personnes
se
font
vacciner
par
jour.
Le
président
sur
le
chantier
du
Musée
de
Tahiti
et
des
îles
Le
président
Edouard
Fritch,
en
compagnie
du
vice-président
Tearii
Te
Moana
Alpha
et de
plusieurs
ministres
ainsi
que
de
Simplicio
Lissant,
le
maire
de la
commune,
s’est
rendu
jeudi
matin
au
Musée
de
Tahiti
et
des
îles,
Te
Fare
Manaha,
à
Punaauia
pour
faire
le
point
sur
les
travaux
en
cours.
Miriama
Bono,
la
directrice
du
musée,
lui a
présenté
le
chantier
de
construction
de la
nouvelle
salle
d’exposition
qui
offrira
1400
m2
d’espace
contre
900
m2
actuellement.
Cette
salle,
qui
est
construite
sur
pilotis,
sera
aux
normes
internationales,
et
notamment
en ce
qui
concerne
la
climatisation
et
l’hygrométrie,
pour
recevoir
les
œuvres
en
toute
sécurité.
Elle
devrait
être
équipée
et
livrée
au
mois
de
juin
prochain.
Le
président
a
également
fait
le
point
avec
le
maire
et
les
ministres
sur
les
possibilités
d’aménagement
d’accès
à la
mer.
Rien
n’est
pour
l’heure
arrêté,
mais
la
pointe
de
Nuuroa,
à
proximité
du
musée,
déjà
fréquentée
par
les
familles,
semble
le
mieux
adaptée.
Les
immenses
jardins
du
Musée
pourraient
voir
une
extension
de la
collection
de
plantes
endémiques.
La
directrice
de Te
Fare
Manaha
a
également
fait
visiter
à la
délégation
l’exposition
en
cours,
Fa’aiho
ta’u
tufa’a,
regards
d’artistes
contemporains
qui
confronte
la
création
actuelle
au
patrimoine
polynésien.
Vingt-deux
artistes
exposent
leurs
œuvres,
représentant
la
pluralité
de la
création
contemporaine
en
Polynésie.
Grâce
à un
QR
code,
le
visiteur
peut
accéder,
avec
son
smartphone,
à une
vidéo
de
présentation
de
chaque
artiste.
L’exposition
est
prévue
pour
durer
jusqu’au
25
avril.
Pour
les
écoles,
les
enseignants
et
les
élèves
peuvent
également
bénéficier
d’une
visite
virtuelle.
Albert
est
sérieux
même
quand
il
dit
"bonne
année"!!
Que
cette
année
2021
soit
joyeuse,
nous
garde
loin
des
méchants
problèmes
de la
vie,
des
maladies,
du
Covid-19,
que
ce
noble
sentiment
qu'est
l'amitié
ne
soit
pas
un
vain
mot,
et
pourtant
il
l'est,souvent,
que
nos
soldats
sur
les
fronts
où le
fusil
claque
soient
saufs,et
retrouvent
leurs
familles
et
que
la
Polynésie
oubliant
les
sournois,
les
hypocrites,
les
orgueilleux
maladifs,
soit
véritablement
un
paradis
pour
tous
ceux
qui y
vivent
et
travaillent paisiblement.
Joe
Biden
élu
46°
président
des
Etats
Unis
d'Amérique
A
propos
Changement
de
cap
et de
langue
Pendant
que
d'autres
peuples
que
le
nôtre
avancent
dans
la
modernité,
la
Polynésie
garde
les
yeux
sur
son
rétroviseur
et
petit
à
petit,
mine
de
rien
en
douceur
pour
n'effrayer
personne,
efface
de
son
vocabulaire
les
mots
français
que
tous
les
étrangers
comprennent
pour
les
remplacer
par
des
mots
tahitiens
compris
des
seuls
tahitiens,et
dont
parfois,
pour
ne
pas
dire
souvent
,la
prononciation
est
difficile
pour
des
langues
occidentales
parlées,
elles,
par
des
millions
de
citoyens.
Quelle
mouche
a
piqué
le
gouvernement
polynésien
de
changer
le
nom
de la
place
"Jacques
Chirac"
en "
Tahua
Tu--Marama"
Les
étrangers
auront
quelques
difficultés
à
retenir
ce
nouveau
nom
alors
que
celui
de
Jacques
Chirac
étant
connu
du
monde
entier
passait
comme
une
lettre
à la
poste.
Oui
mais
il
n'était
pas
maohi
!
Avec
le
gouvernement
actuel,
mettez-vous
bien
dans
la
tête
qu'il
faudra
apprendre
à
parler
comme
on le
fait
dans
ce
microcosme.
Ou
vous
devrez
apprendre
la
langue
des
signes.
Le
retour
aux
sources
en
Polynésie
alors
que
tous
les
peuples
du
monde
se sont
engagés
sur
celui
de la
modernité.
Aujourd'hui
dans
ce
nouveau
siècle
dans
lequel
,ne
veut
pas
vivre
un
gouvernement
qui,
pourtant,
se
plait
à
aller
se
changer
les
idées
aux
Etats
Unis
ou en
France.
ils
en
ont
largement
les
moyens
bien
sûr,ce
gouvernement
local
fait
de
l'électoralisme
en
prévision...
Il
faut
plaire
au
peuple
!
Tout
le
rêve
de la
démocratie
est
d'élever
le
prolétaire maohi
au
niveau
des
bêtises
du
repli
sur-soi,
quand
soi-même,
bien
sûr,
on
s'empresse
d'aller
voir
ailleurs
ce
que
Tahiti
ne
peut
pas
offrir.
Croyez-vous
vraiment
que
les
européens
et
les
américains
pourront
retenir
tous
ces
mots
qui
ressemblent,
pour
eux,
à la
langue
des
Papous
? Ils
peuvent
retenir
les
mots
en
s'appliquant
peut-être,
mais
les
prononcer
c'est
différent
et
l'esplanade
"Jacques
Chirac"
un
nom
connu
du
monde
entier,
passait
beaucoup
mieux
que
Tahua
Tu
Marama
et
bien
d'autres
mots
à
venir
certainement.
Pour
faire
"genre
maohi"
nos
dirigeants
devraient
aller
jusqu'au
bout,
laisser
tomber
leur
pantalon
et
leur
chemise
et se
mettre
en
paréo,
les
gros
comme
les
maigres,
juste
pour
montrer
qu'ils
sont
de
"vrais
maohi"
et
là,
nous
verrions
tout
de
suite,
nous
le
peuple,
que
le
gouvernement
nourrit
très
bien
ses
"ministres"
et
ses
collaborateurs,
un
grand
mot
utilisé
par
de
grandes
nations.
Il
convient
évidemment
d'en
changer
au
plus
vite
!
Edouard
sans
rien
dire
modifie
son
cap...
y
aurait-il
des
élections
bientôt
? A
moins
que
sa
haine
rentrée
du
père
adoptif
lui
fasse
effacer
tout
ce
que
l'autre
a
fait.
Quel
autre
? Haaaa
!
mais
c'est
bien
sûr !
Et
dire
que
nous
étions
à
deux
doigts
de
vanter
ce
président.
Champion
de la
rupture
avec
les
mots
français
pour
les
remplacer
par
les
siens,
sans
doute
pour
faire
évoluer
le
tourisme
qui
ne
comprend
et ne
lit
que...l'anglais.
Alors
vous
pensez
...le
maohi!!!!!
Mercredi
20
janvier
2021
La
cour
suprême
des
Etats
Unis
serait
en
train
d'être
évacuée
en
raison
d'une
alerte
à la
bombe,
selon
CNN
Jusqu'à
25.000
soldats
de la
Garde
nationale,
l'armée
de
réserve,
ont
été
déployés
dans
la
capitale
pour
protéger
une
large
zone
rouge
allant
du
Capitole
où
Joe
Biden
et
Kamala
Harris
prêteront
serment
dans
deux
heures
à la
maison
Blanche.
L'immense
esplanade
du
"National
Mall"
est
elle
aussi
cadenassée..
Les
forces
de
l'ordre
chargées
de
sécuriser
la
prestation
de
serment
du
nouveau
président
des
Etat
Unis
ont
été
sélectionnées
et 12
soldats
de la
Garde
nationale
ont
été
écartés
après
une
enquête.
"
Félicitations
à mon
ami
le
président
Joe
Biden.
C'est
ton
moment."
a
publié
sur
Twitter
l'ancien
président
américain
Obama.
Donald
trump
a
laissé
une
lettre
à Joe
Biden
sur
le
bureau
ovale.
C'est
la
tradition.
Son
contenu
est
pour
l'instant
inconnu.
A
propos
Ni
cobaye,
ni
rat
de
laboratoire
!
Un
huitième
magasin
d'armes
à feu
à
proximité
d'un
collège
ou
d'un
lycée
c'est
tenter
le
diable
pour
des
gamins
friands
de
joutes
à la
cow-boy
depuis
leur
plus
jeune
âge
en ce
qui
concerne
les
garçons.
Ces
derniers
ne
vont
pas
manquer
d'aller
admirer
la
vitrine
du
magasin
en
question.
Le
président
du
pays
ayant
fait
remarquer
que
cette
nouvelle
armurerie
serait
la
huitième
dans
un
territoire
ou
les
armes
a feu
son
prohibés,
la
polémique
n'a
pas
lieu
d'être.
Le
président
est
opposé
à une
prolifération
de
magasin
de ce
type
et il
a
raison
comme
d'ailleurs,
tous
les
chefs
de
partis
politiques
sur
le
territoire.
Fritch
a
d'ailleurs
lancé
dans
une
allocution
:
Le
pays
est
opposé
à
l'ouverture
de
tout
commerce
d'armurerie.
Huit
magasins
d'armes,
c'est
plus
que
suffisant."
Le
représentant
de
l'Etat
devra
renvoyer
la
balle
au
président
et
nous
serions
étonnée
qu'il
décide
le
contraire
compte
tenu
de la
détermination
de ce
dernier
sur
le
sujet.
Huit
c'est
déjà
beaucoup
pour
un
petit
pays
comme
le
nôtre.
Mais
il y
a les
chasseurs,
catégorie
importante
de la
population,
arme
au
poing,
pour
chasser
le
cochon
sauvage.
Sur
un
autre
sujet
complètement
différent
mais
pouvant
aussi
entraîner
la
mort,
le
président
du
pays
a
expliquer
aux
Polynésiens
dans
son
discours
au
SESEC
que
sa
population
n'étant
ni
cobayes,
ni
rats
de
laboratoire,
le
vaccin
anti-covid
était
une
nécessité
pour
se
prémunir
de la
maladie
comme
tout
autre
vaccin.
Mais
le
vaccin
anti-covid
n'est
pas
encore
obligatoire,
c'est
un
choix
pour
se
garder
de la
maladie.
"Je
t'aime
Jill"
Enfin
au
plan
politique,
Joe
Biden
vient
de
prêter
serment
devant
le
capitole
devenant
ainsi
le
46°
président
des
Etats-Unis
d'Amérique.
Il
prend
certes
les
rênes
d'un
pays
fracturé
,
divisé,
mais
avec
la
ferme
volonté
de le
sortir
des
embûches
pour
le
rendre
encore
plus
fort
qu'avant."
Reconstruire
nos
alliances
pour
faire
face
aux
défis
de
demain.
Nous
serons
un
partenaire
sûr
pour
la
paix
et la
sécurité.
Aucun
désaccord
ne
doit
mener
à la
désunion"
a-t-il
déclaré
dans
son
discours
d'investiture
en
ajoutant
:
"Nous
devons
restaurer
la
sécurité
de
l'Amérique.
Il
faut
beaucoup
plus
que
des
mots,
il
faut
l'unité.
Ici
au
Capitole,
toute
mon
âme
s'y
trouve"
.
C'est
Lady
Gaga
qui a
interprété
l'hymne
américain.
Puis,
Kamala
Harris
et
son
époux
sont
entrés
en
scène.
Kamala
sera
la
très
prochaine
vice-présidente
des
Etats
unis.
Pendant
ce
temps
et
contrairement
aux
anciens
président
américains
présents,
Donald
Trump
atterrissait
en
Floride.
Il
rejoindra
son
club
de
Mar-a-lago.
Dans
un
dernier
tweet
publié
par
Joe
Biden,
le
futur
46°président
des
Etats
Unis
a
déclaré
son
amour
à sa
femme:
"
je
t'aime
Jill"
.
Ces
Américains
sont
tellement
plus
décontractés
et
tellement
moins
compassés
que
les
Français,
que
nous
en
avons
presque
la
larme
à
l'oeil
!
Réglementation
des
annonces
judiciaires
et
légales
en
Polynésie
française
La
réglementation
des
annonces
judiciaires
et
légales
impose
que
certains
évènements
de la
vie
des
entreprises
ou
des
particuliers
fassent
l’objet
d’une
annonce
dans
la
presse
habilitée
à cet
effet.
Cette
réglementation
se
caractérise
par
la
double
compétence
de
l’Etat
et du
Pays
et la
coexistence
de
deux
régimes
des
annonces
judiciaires
et
légales
en
Polynésie
française
selon
qu’elles
sont
prévues
par
une
réglementation
nationale
ou
une
réglementation
de la
Polynésie
française.
Ces
deux
régimes
distincts
fixent
toutefois
des
critères
identiques
pour
l’habilitation
d’un
support
de
presse
à
diffuser
des
annonces
judiciaires
et
légales.
Dans
une
optique
de
simplification,
de
lisibilité
et
d’efficacité,
la
Polynésie
française
et le
haut-commissariat
ont
œuvré,
de
manière
concertée,
à la
mise
en
place
de
dispositifs
réglementaires
similaires
régissant
l’habilitation
des
supports
de
presse.
Après
la
promulgation
de la
loi
du
pays
le 7
janvier
2021,
le
Conseil
des
Ministres
vient
d’adopter
l’arrêté
n°
1/CM
du 14
janvier
2021
définissant
les
modalités
permettant
à un
organe
de
presse
écrite
ou de
presse
en
ligne,
d’être
habilité
à
diffuser
des
annonces
judiciaires
et
légales.
De
son
côté,
en
application
des
dispositions
de la
loi
n°
55-4
du 4
janvier
1955
modifié,
le
haut-commissaire
a
pris
un
arrêté
en
date
du 13
janvier
2021
fixant
les
seuils
de
diffusion
des
publications
imprimées
et
d’audience
des
services
de
presse
en
ligne
pour
être
admis
sur
la
liste
des
supports
habilités
à
recevoir
les
annonces
légales.
Si
les
conditions
d’habilitation
ont
été
harmonisées,
les
organes
de
presse
doivent
pour
autant
veiller
à
détenir
une
double
habilitation
à
diffuser
des
annonces
judiciaires
ou
légales
auprès
du
Haut-Commissaire
de la
Polynésie
française,
d’une
part
et du
Président
de la
Polynésie
française,
d’autre
part.
Aussi,
dès à
présent,
les
publications
de
presse
et
services
de
presse
en
ligne
(SPEL)
qui
remplissent
les
conditions
relatives
à
l’habilitation
pour
publier
des
annonces
judiciaires
et
légales
sont
invités
à
adresser
concomitamment
aux
services
du
Haut-commissariat
et de
la
Polynésie
française,
un
dossier
comportant
le
formulaire
de
demande
d’inscription
et
l’engagement
sur
l'honneur,
accompagnés
des
pièces
justificatives.
Les
instructions
et
les
formulaires
sont
disponibles
sur
le
site
internet
du
haut-commissariat
et de
la
DGAE :
http://www.polynesie-francaise.pref.gouv.fr
rubrique
«Annonces
légales
et
judiciaires»
/
www.dgae.gov.pf
rubrique
«
Annonces
légales
et
judiciaires
».
Un
arrêté
du
Président
de la
Polynésie
française
et un
arrêté
du
Haut-commissaire
fixeront
ultérieurement
la
liste
des
supports
de
presse
habilités
à
diffuser
des
annonces
judiciaires
et
légales
relevant
respectivement
de la
réglementation
de la
Polynésie
française
et de
la
réglementation
nationale.
Dans
l’attente
de la
publication
de
ces
deux
arrêtés,
restent
habilités
à
diffuser
des
annonces
judiciaires
et
légales
les
journaux
précédemment
habilités
par
l’arrêté
n°
HC/804/DIRAJ/BRE
du 9
juillet
2015.
Comme
quoi
!
Les
signataires
de la
pétition
pro
pédophilie
signée
en
1977que
du
beau
monde:
Louis
Aragon,
Francis
Ponge,
Roland
Barthes,
Simone
de
Beauvoir,
Judith
Belladona,
docteur
Michel
Bon,
psychosociologue,
Bertrand
Boulin,
Jean-Louis
Bory,
François
Chatelet,
Patrice
Chereau,
Jean-Pierre
Colin,
Copi,
Michel
Cressole,
Gilles
et
Fanny
Deleuze,
Bernard
Dort,
Françoise
d'Eaubonne,
docteur
Maurice
Eme,
psychiatre,
Jean-Pierre
Faye,
docteur
Pierrette
Garrou,
psychiatre,
Philippe
Gavi,
docteur
Pierre-Edmond
Gay,
psychanalyste,
docteur
Claire
Gellman,
psychologue,
docteur
Robert
Gellman,
psychiatre,
André
Glucksmann,
Félix
Guattari,
Daniel
Guérin,
Pierre
Guyotat,
Pierre
Hahn,
Jean-Luc
Henning,
Christian
Hennion,
Jacques
Henric,
Guy
Hocquenghem,
docteur
Bernard
Kouchner,
Françoise
Laborie,
Madeleine
Laïk,
Jack
Lang,
Georges
Lapassade,
Raymond
Lepoutre,
Michel
Leyris,
Jean-François
Lyotard,
Dionys
Mascolo,
Gabriel
Matzneff,
Catherine
Millet,
Vincent
Monteil,
docteur
Bernard
Muldworf,
psychiatre,
Négrepont,
Marc
Pierret,
Anne
Querrien,
Griselidis
Real,
François
Régnault,
Claude
et
Olivier
Revault
d'Allonnes,
Christiane
Rochefort,
Gilles
Sandier,
Pierre
Samuel,
Jean-Paul
Sartre,
René
Schérer,
Philippe
Sollers,
Gérard
Soulier,
Victoria
Thérame,
Marie
rhonon,
Catherine
Valabrègue,
docteur
Gérard
Vallès,
psychiatre,
Hélène
Vedrines,
Jean-Marie
Vincent,
Jean-Michel
Wilhelm,
Danielle
Sallenave,
Alain
Cuny.
Mardi
19
janvier
2021
A
propos
Tu
veux,
ou tu
veux
pas ?
En
Polynésie,
il
faut
croire
qu'
on
s'ennuie.
On a
donc
tout
le
temps
de
préparer
des
manifestations
sur
de
différents
collectifs.
Aucun
polynésien
n'a
peur
d'ingérer
toutes
sortes
de "rau
tahitien"
mais
tous
ou
presque,
manifestent
sur
les
risques
du
vaccin
contre
le
Covid-19
!
Encore
une
manif
alors
qu'il
est
plus
simple,
si
l'on
ne
veut
pas
d'un
vaccin
pouvant
vous
protéger
comme
le
rôle
de
tous
les
vaccins,
de ne
pas
se
faire
vacciner,
puisque
ce
n'est
pas
obligatoire.
Mais
manifester
son
choix
occupe
les
chômeurs
qui
ont
l'impression
de
faire
oeuvre
utile
sans
même
se
douter
qu'ils
font
peut-être
face
à la
mort
par
Covid.
Chacun
est
libre
de
ses
choix.
vivre
ou
mourir,
ne
dépend
que
de
chaque
individu.
Trois
vaccins
en un
le
BCG
est
injecté
aux
bébés
depuis
près
d'un
siècle.
Il
est
passé
dans
les
moeurs.
Dans
ces
conditions
pour
marcher
dans
les
pas
des
réfractaires,
plus
de la
moitié
du
globe
( des
millions
de
personnes
sont
donc
considérées
comme
" des
rats
de
laboratoire"!!
Tahiti
n'est
pas
le
centre
du
monde
contrairement
à ce
que
certains
peuvent
croire.
Tu
veux
ou tu
veux
pas ?
Si tu
veux
pas ,
ne te
fais
pas
vacciner.
Tu es
maître
de
ton
corps,
tu
peux
choisir
de
vivre
ou de
mourir
si le
virus,
sans
que
tu
t'en
doutes,
pénètre
dans
ton
sang
.
Le
vaccin
anti
corona
est
étudié,
décomposé
à la
loupe
par
les
scientifiques
et
mis
en
vente
comme
des
milliers
d'autres
médicaments
et
vaccins
tous
les
jours,
dès
l'autorisation
de la
Haute
autorité
médicale.
Ceux-là
n'ont
pas
eu la
médiatisation
du
corona
donc
ils
ne
font
pas
peur,
alors
nous
les
avalons
joyeusement,
ou on
nous
les
injecte
sans
ruer
dans
les
brancards.
Mais
si
l'on
en
croit
certains
il y
a
donc
des
"millions
et
des
millions
de
rats
sur
le
globe"
puisque
ils
comparent
ceux
qui
se
soignent
en
Polynésie
à des
"rats"
après
avoir
lu
quelques
élucubrations
de
citoyens-manipulateurs,
qui
se
prennent
pour
des
objecteurs
de
conscience
sur
internet,
la
nouvelle
bible
médicale...
Il
est
curieux
de
voir
des
pancartes
sur
le
torse
de
manifestants
sur
lesquelles
on
peut
lire
: "
Je ne
veux
pas
être
un
OGM"
!
Mais
personne
ne
l'oblige
à
l'être
!!!
Et
entre-nous
ils
avalent
presque
tous
les
jours
cette
protéine
car
les
agriculteurs
se
servent
quotidiennement
de
ces
organismes
modifiés
pour
faire
pousser,
grossir
et
grandir
plus
vite
fruits
et
légumes.
Alors....
Etat
des
méfaits
du
coronavirus
:
62
nouveaux
cas,
17.697
cas
cumulés,
38
hospitalisations
et...127
décès.(
vaccin
la
vie
ou
pas
vaccin
la
mort)
Affaire
JPK
:
La
Question
prioritaire
de
constitutionnalité
de
Francis
Stein
renvoyée
devant
le
Conseil
constitutionnel
La
Cour
de
cassation
à
Paris
vient
d'accepter
de
transmettre
au
Conseil
constitutionnel
une
"question
prioritaire
de
constitutionnalité"
(QPC)
déposée
par
l'avocat
de
Francis
Stein
dans
l'affaire
JPK.
Le 12
janvier
dernier,
la
Cour
de
cassation
à
Paris
a
accepté
la
transmission
au
Conseil
constitutionnel
d'une
"question
prioritaire
de
constitutionnalité"
(QPC)
déposée
par
l'avocat
de
Francis
Stein
dans
l'affaire
JPK
et
présentant
un
caractère
suffisamment
"sérieux".
L'ancien
amant
de
l'ex-compagne
du
journaliste
Jean-Pascal
Couraud,
disparu
dans
des
conditions
toujours
inexpliquées
en
1997,
avait
été
mis
en
examen
pour
"meurtre"
avec
sa
maîtresse
de
l'époque,
Miri
Tatarata,
le 28
juin
2019.
Les
deux
suspects
contestent
toujours
fermement
les
soupçons
du
juge
d'instruction
sur
leur
implication
dans
la
disparition
de
JPK.
Et
dans
le
cadre
de
leurs
recours
contre
leurs
mises
en
examen,
le
conseil
de
Francis
Stein,
Me
Arcus
Usang,
avait
déposé
deux
QPC
pour
contester
des
éléments
de
procédure
du
dossier.
La
semaine
dernière,
la
Cour
de
cassation
a
examiné
ces
deux
recours
pour
juger
s'ils
étaient
assez
pertinents
pour
être
examinés
en
dernier
ressort
par
les
Sages
du
Palais-Royal
à
Paris.
Et
les
deux
QPC
ont
connu
des
fortunes
diverses.
La
première
question
portait
sur
le
fait
que
le
code
de
procédure
pénale
"n’exige
ni
notification
préalable
à la
mise
en
examen
des
indices
graves
ou
concordants
que
le
juge
d’instruction
envisage
de
retenir
ni
motivation
de la
mise
en
examen".
Pour
l'avocat
de
Francis
Stein,
cette
disposition
poserait
un
problème
de
conformité
avec
la
Déclaration
des
droits
de
l’homme
et du
citoyen,
exposant
son
client
"à un
risque
d’atteinte
à ses
intérêts
et à
sa
liberté".
Question
pourtant
balayée
par
la
Cour
de
cassation,
puisque
n'étant
pas
"nouvelle"
pour
le
Conseil
constitutionnel.
La
seconde
QPC,
en
revanche,
a
retenu
l'attention
de la
Cour
de
cassation.
L'avocat
de
Francis
Stein
a,
cette
fois-ci,
relevé
que
le
code
de
procédure
pénale
ne
prévoyait
pas
qu'une
personne
comparaissant
devant
la
chambre
de
l'instruction
pour
contester
sa
mise
en
examen
"soit
informée
de
son
droit,
au
cours
des
débats,
de
faire
des
déclarations,
de
répondre
aux
questions
qui
lui
sont
posées
ou de
se
taire".
Dispositions
qui
pourraient,
toujours,
selon
l'avocat
de
Francis
Stein,
être
"contraires
au
principe
selon
lequel
nul
n’est
tenu
de
s’accuser
et
aux
droits
de la
défense",
garanti
par
la
Déclaration
des
Droits
de
l'Homme
de
1789.
Or,
pour
la
Cour
de
cassation,
cette
seconde
question
"présente
un
caractère
sérieux"
à
même
de
justifier
une
saisine
du
Conseil
constitutionnel.
Principale
conséquence
de ce
nouvel
aléa
de
procédure,
l'instruction
de
l'affaire
JPK
devra
vraisemblablement
attendre
la
position
du
Conseil
constitutionnel
pour
statuer
définitivement
sur
les
mises
en
examen
de
Francis
Stein
et
Miri
Tatarata.
Peut-être
pas
de
quoi
faire
"sauter
la
procédure",
mais
au
moins
retarder
une
information
judiciaire
rouverte
en
2004
et
déjà
vieille
de 16
ans…
Lundi
18
janvier
2021
A
propos
Qu'est-ce
que
la
politique
?
Il
n'appartirent
pas
aux
seuls
grand
hommes
d'avoir
de
graves
défauts,
bien
au
contraire,
ils
se
doivent
plus
que
d'autres,
d'être
proches
des
hommes
simples,
sans
flonflons,
car
la
parfaite
valeur
est
de
faire
sans
témoins,
ce
qu'on
serait
capable
de
faire
devant
tout
le
monde.
Mais
les
hommes
politiques,
par
essence
même,
se
doivent
de
montrer
à
l'opinion
ce
dont
ils
sont
capables
de
faire,
et
mieux,
de
réaliser
ce
qu'ils
proposent
lorsqu'ils
en
ont
la
possibilité.
On ne
leur
demande
pas
d'étaler
leurs
vertus
car
en
règle
générale,
l'hypocrisie
est
un
hommage
que
la
vie
rend
à la
vertu
et
c'est
une
grande
habilité
pour
ces
hommes
là,
que
de
savoir
la
cacher.
Il
est
vrai
cependant
que
le
monde
récompense
plus
souvent
les
apparences
du
mérite
que
le
mérite
lui-même.
Et
quand
par
malheur
on
fonde
un
édito
sur
les
mérites
d'un
homme
politique
qui
ne
brasse
pas
d'air
mais
passe
sa
vie a
réaliser
concrètement
ce
dont
il
rêve
quand
il en
a les
moyens,
c'est
du
favoritisme
ou de
"l'infobésité".
Une
manière
d'ingérer
l'info,
comme
me
l'avait
dit
Gérard
Davet
du
Monde
lorsqu'il
était
venu
rencontrer
Gaston
Flosse
ou de
retenir,
pour
la
répéter,une
bonne
phrase
d'un
discours
trop
long,
quand
les
premiers
mots
passés,
on
arrive
à la
fin
sans
se
souvenir
du
début.
Alors
en
vérité
qu'est-ce-que
la
politique
? Les
spécialistes
vous
diront
que
c'est
l'art
d'obtenir
l'argent
des
riches
ou du
pays
pour
finaliser
leurs
ambitions
afin
de se
faire
réélire
dans
des
campagnes
fatigantes
ou
encore
d'obtenir
les
suffrages
des
pauvres
sous
prétexte
de
les
protéger
les
uns
des
autres.
En
réalité
bien
souvent
en
politique
"on
succède
à des
imbéciles
que
l'on
remplace
par
des
incapables"...
ce
n'est
pas
moi
qui
le
dit
mais
La
Bruyère
en
1688.Il
disait
aussi
: "les
femmes
sont
extrêmes,
elles
sont
meilleures
ou
pires
que
les
hommes".
Et
oui !
Déjà...
------
Les
priorités
du
Parquet
:
la
drogue
et
particulièrement
"l'ice",
les
violences
familiales,et
autres,
la
dépendance
économique.
Puis
pose
du
bracelet
électronique
pour
briser
le
cycle
infernal
de
l'emprise
psychologique
de
l'homme
sur
la
femme
notamment
les
victimes
de
violences
conjugales
pour
lesquelles
ce
sera
une
protection
accrue
(
Hervé
Leroy,
procureur
de la
République
)
Celui-ci
n'a
pas
manqué
de
marquer
au
fer
rouge
les
gesticulations
de
certains
qui
ne
freineront
en
aucune
manière
l'action
de la
justice.
Pan
sur
le
bec !
Par
ailleurs
la
présidente
du
tribunal
de
première
instance
Laure
Camus
a
souhaité
développer
davantage
l'accès
au
"droit"
dans
les
îles.
Projet
de
juridiction
pour
l'année
2021.
Droit,
fermeté,
sévérité
pour
les
fautifs.
Qu'on
se le
dise....
"Que
dois-je
faire
?
M’immoler
?" :
Jack
Lang
agacé
par
le
rappel
d'une
tribune
pro-pédophilie
L'ouvrage
de
Camille
Kouchner,
intitulé
La
Familia
grande
(Seuil),
dans
lequel
elle
révèle
comment
son
beau-père,
le
politologue
Olivier
Duhamel
a
agressé
sexuellement
son
frère
jumeau
à la
fin
des
années
80,
est
sur
toutes
les
lèvres.
Alors
qu'une
enquête
a été
ouverte
par
le
parquet
de
Paris
pour
viols
et
agressions
sexuelles,
Jack
Lang
a
souhaité
réagir
à
cette
affaire.
"C'est
une
honte
ce
qui a
été
accompli
par
Olivier
Duhamel,
il
n'y a
pas
de
mot
pour
designer
l'inceste
et la
pédophilie",
a
fait
savoir
l'ancien
ministre
de la
Culture
au
micro
de
Europe
1.
Un
inceste
dénoncé
avec
force
par
Jack
Lang,
qui a
poussé
la
journaliste
Sonia
Mabrouk
qui
l'interviewait
à
rappeler
que
l'actuel
président
de
l'Institut
du
Monde
arabe
avait
toutefois
signé
une
tribune
en
1977
pour
décriminaliser
l'inceste.
"C'était
une
autre
époque,
c'était
une
connerie",
a
tonné
Jack
Lang,
regrettant
une
nouvelle
fois
cette
prise
de
position.
"Je
combats
et
j'ai
combattu
en
permanence
l'inceste,
la
pédophilie,
cette
violence
sexuelle,
j'ai
été
un
militant
permanent
des
violences
faites
aux
femmes
(...)
donc
je
n'ai
pas à
me
justifier",
s'est-il
emporté.
Une
signature
qu'il
dit
regretter
vivement
aujourd'hui.
"Que
dois-je
faire
? Je
dois
m'immoler
devant
vous
?" a
demandé
Jack
Lang,
fatigué
de
devoir
se
justifier,
"on a
fait
une
connerie
et
basta"
a-t-il
conclu,
alors
que
la
journaliste
se
défendait,
arguant
qu'elle
cherchait
seulement
à
comprendre.
Information
sur
les
tests
covid
19
pour
les
voyageurs
en
partance
de
Polynésie
française
Suite
aux
annonces
du
Premier
ministre
renforçant
les
mesures
sanitaires,
le
Gouvernement
a
modifié
les
conditions
sanitaires
concernant
les
voyages
à
destination
et en
provenance
des
Outre-mer
dans
le
décret
n°
2021-31
du 15
janvier
2021.
Ces
nouvelles
modalités
sont
à
retrouver
ci-dessous
:
-
Le
port
du
masque
est
obligatoire
dans
l’avion
et
dans
les
aéroports
pour
chaque
voyage ;
-
Les
voyageurs
qui
se
rendent
à
l’aéroport
pour
prendre
un
vol à
destination
des
Outre-mer
doivent
pouvoir
présenter
lors
d’un
contrôle
l’attestation
dérogatoire
de
déplacement
pendant
les
heures
de
couvre-feu
(disponible
sur
le
site
du
ministère
de
l’Intérieur).
De
l’Hexagone
vers
la
Polynésie
française
Conditions à
présenter
à
l’embarquement
:
Réalisation
un test
(moléculaire)
RT-PCR
du
SARS-CoV-2pratiqué
sur
un
prélèvement
réalisé
par
un
professionnel
de
santé
habilité
dans
les
3
jours
avant
l'embarquement
pour
tout
voyageur
d'au
moins
11
ans
et
être
déclaré
négatif.
À
défaut
d'en
obtenir
le
résultat
dans
les
temps
utiles,
une
attestation
de
réalisation
du
test
devra
être
présentée
à
1'entreprise
de
transport
aérien,
associée
à
un
résultat
négatif
à
un
test
antigénique
pratiqué
le
jour
de
l'embarquement ;
Justification
d’un
motif
impérieux
pour
les
passagers
à
destination
de
de
la
Polynésie
Française
(avec
des
adaptations
locales :
« les
activités
en
lien
avec
l’impératif
de
reprise
économique
du
territoire,
dont
notamment
l’investissement,
le
tourisme
ou
les
manifestations
culturelles
et
sportives. »
-
cf :
Arrêté
HC/4059/CAB
du
23
octobre
2020).
De la
Polynésie
française
vers
l’Hexagone
Les
voyageurs
en
provenance
de la
Polynésie
française
sont
exemptés
des
restrictions
d’entrée
en
France.
Ce
dispositif
pourrait
être
amené
à
évoluer
selon
la
situation
sanitaire.
Vous
trouverez
les
détails
du
dispositif
en
cliquant
sur
le
lien
suivant :
À
compter
du 26
janvier
2021,
le
centre
américain
de
contrôle
et de
prévention
des
maladies
(CDC)
exige
que
tous
les
passagers
âgés
de 2
ans
ou
plus
prévus
sur
un
vol à
destination
des
États-Unis,
quel
que
soit
leur
statut
vaccinal,
présentent
à
l’enregistrement
:
-
soit
un
résultat
de
test
viral
négatif
au
Covid-19
effectué
au
cours
des 3
jours
précédant
leur
vol
international ;
-
soit,
dans
le
cas
d’une
infection
antérieure
au
Covid-19,
au
cours
des 3
derniers
mois
avant
le
départ,
un
résultat
de
test
viral
positif,
ainsi
qu’une
lettre
officielle
d’un
médecin
indiquant
que
le
passager
est
complètement
rétabli
et
qu’il
est
autorisé
à
voyager.
Les
tests
virologiques
d’amplification
des
acides
nucléiques
RT-PCR
et
les
tests
antigéniques
rapides
sont
des
tests
acceptés
et
autorisés
par
l’autorité
sanitaire
de la
Polynésie
française.
Les
documents
de
résultat
de
test
doivent
clairement
mentionner
le
nom
de
l’autorité
médicale
ayant
effectué
le
test,
la
date
du
test,
le
type
de
test
effectué,
le
nom
du
voyageur
et le
résultat
du
test.
En
cas
de
résultat
négatif,
le
document
doit
clairement
stipuler
« ARN
NÉGATIF
SARS-COV2
NON
DÉTECTÉ
» ou
«
ANTIGÈNE
SARS-COV2
NON
DÉTECTÉ
» ou
«
COVID
19
NON
DETECTE
».
Les
autorités
du
Pays
s’organisent
pour
répondre
dès
le 26
janvier
2021
à
cette
nouvelle
exigence.
Les
précisions
sur
d’une
part
les
évolutions
du
dispositif
de
prélèvement
et
d’obtention
des
résultats.
Dans
l'immédiat,
l’Institut
Louis
Malardé
(ILM)
propose
aux
voyageurs,
en
partance
pour
les
Etats-Unis,
la
possibilité
d’effectuer
un
test
viral
au
Fare
COVID
de
l’ILMà
Papeete
(Croisement
de la
rue
des
Poilus
tahitiens
et de
la
rue
du 5
mars
1797),dans
les
conditions
suivantes :
Le
voyageur
doit
se
présenter
directement
sur
place sans
rendez-vous avec
son
titre
de
transport
3
jours
avant
son
voyage
pour
un
test
RT-PCR
ou la
veille
du
départ
pour
un
test
antigénique
(ou
le
matin
si le
voyage
est
le
soir
même).
Un
agent
de
l’ILM
remettra
au
voyageur
un
document
avec
son
identifiant
et
les
indications
d’accès
au
serveur
internet
sur
lequel
il
pourra
récupérer
son
attestation
de
résultat.
Horaires
:
Lundi
au
samedi
de
7h30
à
15h00
en
journée
continue
et
dimanche
de
7h30
à
12h00.
Coût
pour
un
test
RT-PCR
: 17
100
Fcfp
par
personne.*
Coût
pour
un
test
antigénique
: 5
700
Fcfp
par
personne.
Modes
de
paiement acceptés :
espèces
en
Fcfp,
carte
bancaire
(sauf
American
Express)
et
chèque
pour
les
résidents
de
Polynésie
française
Un
médecin
a
décidé
de
vacciner
un
Anglais,
un
Français,
un
Allemand
et un
Américain.
Il
dit à
l'Anglais
:
-
C'est
par
ici
votre
vaccin
s'il
vous
plaît.
- Je
ne
veux
pas!
-
Allez
! Un
gentleman
se
ferait
vacciner.
Et
l'Anglais
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
à
l'Allemand:
-
Maintenant
c'est
ton
tour.
- Non
merci
!
-
C'est
un
ordre
!
Et
l'allemand
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
a
l’Américain
:
-
Maintenant,
c'est
à
votre
tour.
- En
aucun
cas !
-
Mais
vous
savez,
votre
voisin
s'est
fait
vacciner.
Et
l’américain
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
au
Français
:
- A
vous
maintenant
!
- Je
ne me
ferai
pas
vacciner
!
-
Allez,
un
gentleman
se
ferait
vacciner.
- En
aucune
façon
!
-
C'est
un
ordre
!
- Non
!
-
Vous
savez,
votre
voisin
s'est
fait
vacciner...
- Je
m'en
fous
!
-
Écoutez...
qui
êtes-vous
exactement
?
- un
Français.
- Ah,
un
Français
! De
toutes
façons,
vous
n'avez
pas
droit
au
vaccin.
-
COMMENT
ÇA,
JE N'Y
AI
PAS
DROIT
???!!!
....
et le
Français
se
fit
vacciner
!
(Excellent!)
Desserte
aérienne
:
Air
Tahiti
Nui
couronnée
pour
la 3°
années
consécutive
du
prix
de la
meilleure
compagnie
aérienne
du
Pacifique
sud à
l'occasion
des
Global
Travelers'
GT
Tested
Ready
Survey
awards.
Elle
ne
s'est
pas
arrêtée
là et
a
raflé
quatre
autres
prix.
Malgré
le
contexte
actuel
ATN
conserve
donc
sa
place
de
premier
transporteur
aérien
du
pacifique
Sud
et
collectionne
les
prix
!
Etat
du
coronavirus
: 45
nouveaux
cas,
17.645
cas
cumulés,
33
hospitalisations,
126
décès
archive
Jeudi
14
janvier
2021
A
propos
Stupéfiant
!
Mais
qu'est
ce
donc
qui
est
stupéfiant
?
Vous
ne le
devinerez
jamais
car
voilà
plus
d'un
an
que
je
n'avais
pas
rencontré
l'ancien
président
Gaston
Flosse.
Incroyable
!
Retraité
lui ?
Retiré
de la
vie
politique
?
Faut
pas
rêver
! Il
est
apparu
en
bermuda,
pâlement
bronzé,
son
récent
passage
dans
les
bras
crochus
du
virus
au
lieu
de
friper
son
visage
et
son
corps
comme
on
pouvait
s'y
attendre
lui a
donné,
contrairement
à la
majorité
d'entre-nous,
atteint
par
le
corona,
une
nouvelle
vitalité
.
J'ai
vu un
dynamisme
époustouflant,
frappant
l'imagination
car
je
pensais
trouver
un
homme
affaibli,
vieilli,et
bien
non,
croyez
le ou
pas,
visage
reposé,
joues
encore
rondes
et
rosées,
yeux
pétillants
d'intelligence,
il
passait
presque
les
parpaings
aux
ouvriers
de la
maison,
une
quasi
ruine,
qu'il
rénove,
des
fondations
aux
plafonds.
Cet
homme
n'est
pas
humain,
c'est
une
machine
extra-terrestre.
Car
entre
les
parpaings
et
ses
documents,
il
peaufine
son
avenir
politique.
Et
oui !
Il a
modifié
son
"statut
de
Pays
associé
"en
"Etat
associé"
sa
mise
en
retrait
de la
vie
politique
publique,
plus
une
solide
atteinte
du
coronavirus,
au
lieu
de
l'abattre
l'ont
boosté.
Il
prépare
les
prochaines
élections
avec
la
même
ténacité
qu'il
y a
dix
ans.
l'homme
n'a
pas
changé,
au
contraire,
il
s'est
amélioré,
croyez-le
ou
pas,
l'avenir
le
confirmera
, il
sera
vigilant
pour
ne
pas
reproduire
les
faux
pas
du
passé.
Cela
dit,
cette
volonté
tenace
dans
les
yeux
vifs
de
l'ancien
président
de se
battre
toujours
et
encore,
l'a
transformé
en
légende
vivante.
Il
reproduit
avec
bonheur
et
surtout
avec
Pascale
Haiti
qui
lui
prouve
son
amour
dans
un
soutien
quotidien
sans
failles,
son
avenir
politique
loin
d'être
terminé,
mais
au
contraire
ravigoté
par
la
fidélité
de
ses
partisans,
par
Pascale,
ce
bulldozer,
la
gardienne
féroce
de
son
homme,
sa
cuisinière
sourcilleuse
sur
les
doses
de
nourriture
qu'elle
prépare
pour
lui.
Ni
beaucoup,
ni
trop
peu.
Juste
ce
"qu'il
doit"
manger
pour
être
en
forme.
C'est
certainement
beaucoup
grâce
à
elle
si
les
yeux
de
Gaston
Flosse
rayonnent
et si
son
tonus
fait
des
étincelles
malgré
une
démarche
qu'il
a
toujours
eu un
peu
raide
depuis
l'opération
de sa
hanche.
Sa
vision
politique
s'est
modifiée
avec
les
coups
du
sort
et de
ses
adversaires,
" le
Pays
associé
est
devenu
l'Etat
associé".
Il
s'est
gardé
de
trop
m'en
dire,
il
sait
que
je ne
suis
pas
d'accord,
mais
on
sent
que
cet
homme
n'a
pas
pardonné
à
ceux
qui
ont
voulu
le
piétiner,
l'éliminer
et à
mon
avis
il
risque
fort
après
cette
"
fausse"
retraite,
rebondir
comme
le
diable
de la
boite
des
enfants,
avec
pour
seul
horizon,
de
fissurer
le
pouvoir
,sans
l'espoir
d'y
prétendre.
Vraiment
?!...
Pour
le
moment.
Par
ailleurs
autre
chose
m'a
frappé
dans
cette
conversation
quand
il a
évoqué
presque
avec
tendresse,
mais
beaucoup
de
regrets,
celui
qui
l'a
poussé
avec
l'aide
de
l'Etat
d'alors,
hors
de
son
pré
carré
.
Exceptionnel
bonhomme
:
Gaston
Flosse,
malgré
tous
les
coups
du
sort
!
Le
premier
conseil
des
ministres
de
l’année
s’est
tenu,
mercredi,
à
Uturoa,
sous
la
présidence
d’Edouard
Fritch.
Le
Président
et
les
membres
du
gouvernement
ont
également
eu
une
série
de
rencontres
et de
visites
sur
le
terrain,
à
Raiatea,
à
cette
occasion.
A
propos
"Pan
!
Touché
!"
Le
Canard
enchaîné
a
frappé,
Libé
à
suivi
et le
parquet
national
a
confirmé
qu'une
enquête
avait
bien
été
ouverte
visant
le
ministre
de
Macron,
Sébastien
Lecornu.
Cette
enquête
ne
date
pas
d'hier
mais
de
2019
et
concerne
des
chefs
de
prise
illégale
d'intérêt
mais
surtout
d'omission
de
déclaration
à la
haute
Autorité
pour
la
transparence
de la
vie
publique.
Cela
ne
pardonne
pas
!!
Cette
dernière
cependant,
interrogée,a
indiqué
"n'avoir
identifié
aucune
omission
substantielle
dans
les
déclarations
de
monsieur
Lecornu
et
n'avait
donc
pas
saisi
le
parquet.
Et
voilà,
c'est
encore
le
sport
préféré
des
Français
: la
dénonciation.
Celle-ci
est
faite
par
un
banquier
des
collectivité
locales
reconverti
dans
l"énergie,
et
concerne
la
double
casquette
en
2019
de
Sébastien
Lecornu
avant
sa
désignation
au
gouvernement
,par
une
certaine
Eliane
Houlette
alors
chef
du
PNF.
Plainte
aussitôt
confiée
à
l'Office
central
de
lutte
contre
la
corruption
et
les
infractions
financières
et
fiscales.
Oups
!
Voilà,
Lecornu
mal
barré
quand
vous
avez
le
malheur
de
tomber
entre
les
mains
crochus
de
ces
organismes
qui
ne
laissent
pas
un
centime
passer
dans
les
mailles
du
filet.
Plusieurs
ministres
d'Emmanuel
Macron
sentent
actuellement
le
vent
du
boulet,
en
faisant
l'objet
d'une
enquête.
Par
ailleurs,
la
cour
de
justice
de la
République
enquête
depuis
juillet
sur
les
anciens"
premier
ministre"
ou
ministres
d'Edouard
Philip
:
Sibeth
Ndiaye
et
Agnès
Buzin
mais
aussi
sur
l'actuel
ministre
de la
santé
Olivier
Véran
pour
leur
gestion
de
l'épidémie
de
coronavirus
!
Mais
ce
n'est
pas
tout
et
c'est
à
croire
que
la
Justice
lave
son
linge
sale
de
2020
pour
repartir
du
bon
pied
en
2021.
L'actuel
garde
des
sceaux
Eric
Dupond-Moretti
est
lui
aussi
visé
par
une
enquête
judiciaire,
il y
aurait
une
taupe
dans
les
parages.
Le
ministre
de
l'Intérieur
Gérald
Darmanin
l'est
aussi
mais
pour
"viol"
et
trois
ou
quatre
autres
ministres
pour
des
soupçons
d'abus
de
confiance.
Autan
dire
que "
ça
chauffe"
!
Macron
fait-il
le
vide
pour
en
prendre
des
neufs
? Il
faut
dire
que
Dupond-Moretti
s'est
attiré
les
foudres
de
ses
ex
amis
en
ordonnant
une
enquête
administrative
il y
a
quelques
mois
contre
trois
magistrats
du
parquet
national
financier.On
lui
reproche
également
d'avoir
ouvert
une
enquête
administrative
à
l'encontre
du
magistrat
Edouard
Levrault
qui
avait
dénoncé
des
pressions
lorsqu'il
était
juge
d'instruction
à
Monaco.
On ne
pardonne
rien
! Il
faut
savoir
qu'avant
de
devenir
ministre,
Dupond-Moretti
avait
été
l'avocat
d'un
policier
mis
en
examen
par
ce
magistrat
et
avait
critiqué
les
méthodes
du
juge.
dans
ce
milieu
où
l'on
manie
avec
adresse
le
boomerang
comme
on
peut
le
voir,et
où
tout
peut,
un
jour,
vous
revenir
dans
une
frappe,
terrible
et
imparable
car
imprévue
!
Alois
Alzheimer
a dit
:
"2020
c'était
quand
même
une
chouette
année
quand
on y
repense
"
MOT
DU
PRESIDENT
DE
LA
POLYNESIE
FRANCAISE
GESTION
DE
L’EPIDEMIE
de
la
COVID
14
JANVIER
2021
Mesdames
et
messieurs,
Je
voudrais
à
nouveau
vous
adresser,
à
vous
les
journalistes
et à
notre
population,
mes
meilleurs
vœux
de
bonne
santé,
de
paix
et de
joie.
Que
cette
année
2021
soit,
pour
nous
tous,
l’année
de
l’espérance
et de
la
guérison.
Que
nos
bonnes
relations
avec
l’État
vécues
en
2020,
et en
particulier
avec
le
Haut-commissaire
et
ses
équipes,
se
poursuivent.
Elles
ont
été
un
facteur
capital
dans
la
gestion
coordonnée
et
raisonnée
de la
crise.
Nous
avons
chacun
fait
preuve
d’humilité
et
mis
en
avant
l’intérêt
et la
protection
de
nos
populations.
Une
gestion
non
coordonnée
et
sans
dialogue
de la
crise,
aurait
été
une
catastrophe
sanitaire
et
une
faillite
probable
de
notre
Pays.
Le
Haut-commissaire
a
joué
sa
partition
sécuritaire
dans
le
respect
de
ses
prérogatives,
et
moi
la
mienne
avec
mes
ministres
dans
le
respect
de
notre
Autonomie.
Continuer
à
travailler
ensemble
en
2021
pour
l’intérêt
de
notre
Pays,
en
bonne
compréhension
et
respect
mutuel,
est
mon
vœu
le
plus
cher.
***
La
Polynésie
a
reçu,
la
semaine
dernière,
un
premier
lot
de
14
625
vaccins
Pfizer.
Je
remercie
le
gouvernement
national,
et en
particulier
les
Ministres
de la
Santé
et
des
Outre-mer,
Olivier
VERAN
et
Sébastien
LECORNU,
d’avoir
bien
voulu
nous
réserver
ce
premier
quota
sur
la
1ère
commande
destinée
à la
métropole,
et ce
malgré
les
besoins
urgents
du
gouvernement.
Aussi,
nous
nous
activons
à
organiser
les
premières
vaccinations
sur
la
base
de
ces
14
625
doses.
Par
la
suite,
nous
seront
approvisionnés
toutes
les 3
semaines.
QUI,
QUAND
et OÙ
procèderons-nous
à ces
premières
vaccinations
?
Avant
de
répondre
à ces
questions,
je
vous
informe
que
la
vaccination
sera
volontaire
et
gratuite
pour
tous.
Je
répète
« vaccination
volontaire
et
gratuite pour
tous
».
Aussi,
il
n’y a
pas
lieu
de
polémiquer
sur
la
vaccination.
Ceux
et
celles
qui
doutent
de
l’utilité
du
vaccin
sont
libres
de
rester
dans
le
doute.
Aucune
contrainte
ne
sera
exercée
sur
ces
personnes.
De
toute
façon,
la
demande
de
vaccination
en
Polynésie
est
importante.
Le
protocole
médical
recommande
2
injections
par
personne
à
trois
semaines
d’intervalle.
De ce
fait,
le
premier
lot
reçu
nous
permet
de
vacciner
immédiatement
7 500
personnes.
QUI ?
Ce
sont
les
personnes
considérées
comme
prioritaires
qui
seront
vaccinées
en
premier.
Ce
seront
les
personnes
âgées
de 75
ans
et
plus,
et
les
personnels
de
santé.
Pour
les
personnels
de
santé,
il
s’agira
des
personnels
en
établissements
sanitaires
de la
Direction
de la
santé
publique,
du
CHPF,
des
cliniques
Cardella
et
Paofai,
du
Centre
Te
Tiare,
des
centres
Dialisis,
ISIS
et
Apair-Apurad.
Il
s’agira
également
des
professionnels
libéraux,
tels
que
les
médecins,
les
infirmiers,
les
Kinésithérapeutes,
les
sage-femmes,
les
dentistes.
Nous
intégrerons
également
les
personnels
des
hôpitaux
de
Raiatea
et
ceux
de
Nukuhiva
dans
un
second
temps.
Et
enfin,
l’autre
groupe
prioritaire
concerne
les
personnes
âgées
de 75
ans
et
plus,
de
Tahiti
et de
Moorea,
et
plus
particulièrement
les
personnes
âgées
possédant
un
carnet
rouge
de
longue
maladie.
Je
répète
que
pour
ces
personnels
de
santé
publique
et
privée,
pour
les
personnes
âgées,
la
vaccination
sera
« volontaire
et
gratuite ».
Nous
voulons
d’une
part,
sécuriser
et
préserver
toutes
nos
forces
opérationnelles
médicales
et
d’autre
part,
protéger
nos
personnes
fragiles
et en
particulier
nos
matahiapo.
J’informe
également
que
les
personnes,
de
tout
âge,
qui
ont
été
infectées
par
le
coronavirus,
il y
a
moins
de 3
mois,
n’ont
pas
d’utilité
à
être
vaccinées,
car
elles
sont
immunisées.
QUAND
?
La
vaccination
de
ces
premiers
publics
démarrera
le 18
Janvier
et
s’étalera
sur
le
mois
de
Février
2021.
OÙ ?
Les
centres
de
vaccinations
fixés
sont
:
- le
kiosque
Info-Santé
situé
à
Papeete,
Rue
Destremeau,
proche
de
l’ancien
hôpital
Vaiami
;
-
l’hôpital
de
Taravao
;
- le
dispensaire
de
Moorea
situé
à
Afareiatu
;
- les
dispensaires
de
Mahina,
Mataiea,
Papara,
Paea,
Punaauia
et
Faaa
;
- et
dans
les
communes
de
Tahiti
non
pourvues
de
dispensaire,
des
équipes
mobiles
vaccineront
dans
les
mairies.
Les
vaccinations
se
feront
dans
une
salle
dédiée
de la
mairie.
Les
équipes
municipales
s’organiseront
pour
recenser
les
personnes
prioritaires
voulant
se
faire
vacciner,
et
rempliront
une
fiche
d’information
sur
l’état
de
santé
du
volontaire.
Les
vaccinations
se
feront
dans
une
salle
dédiée
de la
mairie.
Ces
fiches
seront
transmises
à la
Direction
de la
santé
qui
fera
une
pré-sélection
en
fonction
de
votre
état
de
santé.
Vous
serez
appelé
par
téléphone
pour
vous
présenter
au
dispensaire
ou au
lieu
désigné
pour
être
vacciné.
CONDITIONS
?
Les
personnes
allant
se
faire
vacciner
seront
reçues
par
un
médecin
qui
procèdera
aux
vérifications
d’usage
:
allergies,
contre-indication.
Puis,
on
procèdera
à la
vaccination.
Le
centre
de
vaccination
vous
donnera
de
suite,
une
fiche
de
rendez-vous
pour
la
seconde
injection.
Cette
seconde
injection
sera
effectuée
au
21ème
jour
après
la
première
vaccination,
et
aussi
dans
les
mêmes
conditions.
Nous
voulons,
chers
amis,
être
en
mesure
de
ralentir
la
diffusion
du
virus.
Telles
sont
les
informations
précises
que
nous
sommes
en
mesure
de
vous
livrer
concernant
cette
première
phase
de
vaccination,
avec
les
produits
Pfizer.
Coopération
Union
Européenne-Polynésie
française :
Comité
de
suivi
du
rapport
annuel
d’exécution
2019
Le
comité
de
suivi
du
rapport
annuel
d’exécution
(RAE)
de la
coopération
entre
l’Union
Européenne
et la
Polynésie
française
s’est
déroulé,
jeudi
après-midi,
à la
Présidence,
sous
l’égide
du
Vice-Président
de la
Polynésie
française,
Tearii
Te
Moana
Alpha.
L’Etat
y
était
représenté
par
la
Secrétaire
générale
adjointe
du
Haut-Commissaire
de la
République
en
Polynésie
française,
Cécile
Zaplana,
et la
Commission
européenne
par
Pierre-Henri
Helleputte,
Chef
du
Bureau
pour
les
Pays
et
Territoires
d’Outre-Mer
du
Pacifique
à
Nouméa,
par
visioconférence.
Evènement
important
de la
coopération
bilatérale
entretenue
entre
l’Union
européenne
et la
Polynésie
française,
ce
rendez-vous
permet
de
dresser
chaque
année,
le
bilan
de
l’ensemble
des
actions
engagées
durant
l’année
écoulée.
C’est
un
forum
d’échanges
sur
les
progrès
réalisés,
les
difficultés
rencontrées
et
les
perspectives
de
coopération
future
entre
l’UE
et la
Polynésie
française.
En
mars
2019,
la
Polynésie
française
a eu
l’honneur
d’accueillir
à
Tahiti
le 17ème
Forum
annuel
de
dialogue
UE-PTOM,
sous
la
présidence
du
Commissaire
européen
à la
coopération
internationale
et au
développement
Neven
Mimica.
Précédé
de la
17ème
Conférence
ministérielle
de
l’Association
des
PTOM,
l’OCTA,
cet
évènement
majeur
du
dialogue
tripartite
entre
la
Commission
européenne,
les
Etats
membres
et
les
PTOM
a
permis
de
discuter
des
questions
essentielles
du
partenariat
post-2020
au
travers
des
négociations
sur
l’adoption
de la
future
décision
d’association
outre-mer,
y
inclus
le
Groenland
(la
DAO),
du
cadre
financier
pluriannuel
2021-2027,
des
accords
post-Cotonou
ou
encore
du
Brexit.
L’année
2019
a
également
été
marquée
par
la
poursuite
des
travaux
d’assainissement
des
eaux
usées
de la
ville
de
Papeete,
financés
au
travers
du 10ème
FED
territorial,
avec
la
pose
de
100%
et de
90%
des
linéaires
pour
les
deux
marchés
de
travaux
conclus.
Ces
travaux
se
sont
achevés
en
septembre
2020
et
seront
réceptionnés
très
prochainement.
Dans
le
cadre
du 11ème
FED
territorial,
le
Pays
a
reçu
le 27
décembre
2019
un 2ème
décaissement
d’un
montant
de
883
millions
Fcfp
(soit
7,4
M. €)
en
appui
budgétaire
à la
mise
en
œuvre
de la
stratégie
sectorielle
du
tourisme
2015-2020.
Mercredi
13
janvier
2021
A
propos
Non
la
"presse"
n'a
pas
été
recadrée
par
le
président
du
pays
hier,
jour
des
voeux
présidentiels
aux
journalistes.
Il ne
faut
pas
confondre
"
réseaux
sociaux"
et
presse
traditionnelle
et
lorsque
Edouard
Fritch
appelle
à
plus
de
modération
sur
les
réseaux
sociaux,
il
vaut
mieux
ne
pas
confondre
entre
les
commentaires
des
dits
réseaux
sociaux
qui
n'ont
rien
à
voir
avec
ce
que
les
journaux
peuvent
relater.
La
presse
traditionnelle
n'a
donc
pas
été
recadrée
par
le
président,
mais
seuls,
ce
que
certains
plumitifs
expriment
sur
ces
réseaux.
où,
comme
l'a
relevé
le
président
du
pays,
se
déverse
un
flot
d'insultes,
voire
de
"menaces
de
mort"
ou
encore
qui
se
disent
"
experts
en
tout"
du
jour
au
lendemain
notamment
sur "Facebook"
Il a
donc
recommandé
aux
rédacteurs
de
Facebook
qui
ne
sont
pas
"la
presse"
d'être
plus
modérés
à
l'avenir.
En
revanche,
il
s'est
longuement
exprimé
sur
l'équipe
américaine
du
film
"
Waltzing
with
Brando"
qui
sera
une
formidable
publicité
pour
la
Polynésie
française
quand
le
film
en
salle
retracera
la
découverte
du
pays
par "
Marlon
Brando"
alias
la
remarquable
interprétation
par
Billy
Zane
de
Brando
et de
Tahiti.
A
relever
que
l'acteur
Billy
Zane
dans
ce
rôle
qui
lui
va
comme
un
gant
est
véritablement
une
réelle
incarnation
physique
de
Brando
dans
le
film,
grâce
aussi
aux
experts
du
maquillage.
Bravo
donc
aux
artistes
et
réalisateur
Bill
Fishman,
de ce
film
qui
ne
manquera
pas
d'avoir
un
large
succès
quand
il
sortira
sur
les
écrans.
Etat
du
coronavirus
: 80
nouveaux
cas,
17.483
cas
confirmés,
40
hospitalisations,
124
décès.
Compte
rendu
du
conseil
des
ministres.(extrait)
Projet
de
construction
d’un
nouveau
centre
administratif
des
îles
Sous-le-Vent
à
Uturoa
L’actuel
centre
administratif
des
îles
Sous-le-Vent,
situé
dans
le
centre-ville
d’Uturoa,
est
constitué
de
cinq
bâtiments
à
ossature
en
bois
de
type
« fare
MTR ».
Au
recensement
effectué
en
mai
dernier,
huit
subdivisions
administratives,
regroupant
48
agents,
y
sont
logées.
Le
projet
de
construction
d’un
nouveau
centre
administratif
a été
présenté
en
Conseil
des
ministres.
Il
consiste
à reconstruire
une
structure
« en
dur »
sur
le
même
site.
Cette
option
présente
les
avantages
de
maintenir
le
nouveau
centre
administratif
dans
le
centre-ville
d’Uturoa
et de
ne
pas
nécessiter
de
foncier
supplémentaire.
Pendant
les
travaux,
il
est
prévu
de
reloger
les
subdivisions
dans
les
locaux
loués
à
Uturoa
et de
compléter
les
besoins
par
des
conteneurs
aménagés.
L’actuel
centre
administratif
d’Uturoa
représente
une
surface
couverte
de
1678m2.
La
surface
du
nouveau
centre
administratif
devra
être
déterminée
en
prenant
aussi
en
compte
les
besoins
des
futures
subdivisions
déconcentrées
qui
seraient
amenées
à
ouvrir
à
Raiatea.
L’ensemble
pourra
être
construit
sur
plusieurs
niveaux.
Le
projet
pourra
inclure
aussi
un
parking
ouvert
au
public
pour
augmenter
l’offre
de
stationnement
du
centre-ville
d’Uturoa.
Il
intégrera
des
objectifs
de
développement
durable
comme
prévus
dans
le
Code
polynésien
des
marchés
publics.
Aides
aux
communes
des
îles
Sous-le-Vent
Dans
le
cadre
de sa
réunion
exceptionnelle
à
Raiatea,
le
Conseil
des
ministres
a
opéré
un
état
des
soutiens
financiers
du
Pays
au
profit
des
communes
de
l’archipel
des
îles
Sous-le-vent,
depuis
2014.
En
effet,
les
communes
de
Polynésie
française
constituent
des
partenaires
importants
du
développement
du
Pays.
Par
ailleurs,
l’éclatement
géographique
rend
ce
partenariat
particulièrement
indispensable
pour
améliorer
la
vie
quotidienne
de la
population,
notamment
en
matière
d’eau
potable,
de
traitement
des
déchets,
de
protection
de
l’environnement,
de
transition
énergétique,
de
l’éducation
et de
la
jeunesse.
Le
partenariat
avec
les
instances
communales
constitue
un
axe
fort
de
gouvernance
du
Président
et de
son
gouvernement.
L’ensemble
des
octrois
financiers
consentis
par
le
Pays,
depuis
2014
jusqu’à
ce
jour,
aux
communes
de
l’archipel
des
îles
Sous-le-Vent,
représente
un
montant
total
d’environ
2,1
milliards
Fcfp,
dont
758
millions
Fcfp,
via
le
contrat
de
projets
I et
II
Etat
-
Polynésie
française
sur
les
projets
d’investissement
communaux,
pour
des
opérations
d’investissements
d’un
coût
total
de
4.6
milliards
Fcfp,
soit
un
taux
de
participation
du
Pays
d’environ
46 %.
47.3
% de
ces
octrois,
soit
à peu
près
1
milliard
Fcfp,
ont
été
dédiés
à la
réalisation
d’importants
travaux
sur
le
secteur
environnemental,
principalement
pour
des
opérations
d’adduction
d’eau
potable
et de
gestion
des
déchets.
Environ
14.3
%,
soit
303
millions
Fcfp,
ont
permis
aux
communes
des
îles
Sous-le-Vent
et à
la
communauté
de
communes
Hava’i
de
réaliser
des
travaux
d’investissement,
tels
que
les
rénovations
et
extensions
de
bâtiments
administratifs
et
techniques
nécessaires
au
bon
fonctionnement
des
services.
La
voirie,
dans
le
cadre
de
bétonnage
ou
bitumage
des
voies
d’accès,
est
le
troisième
secteur
très
sollicité,
avec
près
de
13%
des
octrois,
représentant
environ
274
millions
Fcfp.
Ces
soutiens
financiers
justifiés
et
aident
les
communes
des
archipels,
aux
moyens
plus
modestes,
à
développer
leur
collectivité.
Aménagement
du
domaine
Boubée
à
Raiatea
La
Polynésie
française
a
acquis
début
2020
le
domaine
Boubée,
à
Raiatea,
d'une
superficie
de
190
hectares.
La
Direction
de
l'agriculture,
affectataire
du
domaine,
a
réalisé
des
premières
études
pour
définir
un
plan
d'aménagement
global
et
durable
du
domaine
qui a
été
présenté
en
Conseil
des
ministres.
Ce
programme
dont
les
travaux
s'étaleront
sur
2021
et
2022
pour
un
coût
total
estimé
à 370
millions
Fcfp
prévoit
la
mise
en
place
dans
un
premier
temps
des
pistes
d’accès,
de la
création
d’un
lotissement
agricole
sur
59
hectares,
la
valorisation
des
ressources
forestières
sur
55
hectares,
le
tout
en
intégrant
à
cette
ambition
d’« agroécologie »
les
d'activités
touristiques
et de
randonnée.
Il
est
également
prévu
la
réservation
d'une
zone
destinée
aux
futurs
projets
d'urbanisation
et
d’infrastructures
publiques
(sur
13
hectares)
en
fonction
des
choix
et
besoins
qui
seront
exprimés
par
la
commune
et la
population
de
l’île.
Réglementation
de la
pêche
sur
le
domaine
public
maritime
à
Tautira
Le
Conseil
des
ministres
a
approuvé
la
mise
en
place
de la
Zone
de
Pêche
Réglementée
(ZPR)
de
Tautira.
Cette
nouvelle
ZPR
englobe
la
ZPR
Tahunatara
Vaionifa
No
Tautira
créée
par
l’arrêté
ndu
Conseil
des
ministres
du 12
juillet
2018.
Elle
est
issue
des
propositions
du
comité
de
gestion
qui
ont
fait
l’objet
d’une
consultation
de la
population
qui
s’est
déroulée
du 19
octobre
au 19
novembre
2020.
Au
niveau
de
cette
ZPR
qui
comprend
l’ensemble
de
l’espace
maritime
situé
au
droit
de la
commune
associée
de
Tautira,
de
nouvelles
règles ont
été
instaurées
:
la
pêche
des
ina’a
(alevins
de
gobiidés)
n’est
autorisée
qu’au
seul
moyen
d’une
épuisette ;
la
pêche
aux
Ature
(Selar
crumenophtalmus)
au
moyen
de
grands
filets
dans
la
baie
de
Tautira,
ne
sera
autorisée
que
de
8h
à
17h
(au
lieu
de
5h
à
17h).
Concernant
les
secteurs
Tahunatara
et
Vaionifa,
l’interdiction
de
pêche
a été
prolongée
jusqu’au
31
décembre
2022.
Ces
nouvelles
mesures
attestent
de la
prise
de
conscience
et de
l’implication
de la
population
concernant
la
nécessité
de
préserver
les
ressources
lagonaires.
Dates
d’ouverture
des
soldes
Le
Code
de
commerce
polynésien
prévoit
l’organisation
de
deux
ou
trois
périodes
de
soldes
chaque
année.
Pour
l’année
2021,
le
Conseil
des
ministres
s’est
rangé
à
l’avis
de la
CCISM,
et a
fixé
deux
périodes
de
soldes
:
Du
mercredi
20
janvier
au
dimanche
7
février
inclus ;
Et
du
mercredi
22
septembre
au
dimanche
10
octobre
inclus.
Aides
au
logement
aux
îles
Sous-le-Vent
pour
l’exercice
2020
En
dépit
des
mesures
d’adaptation
de
l’activité
administrative
pour
faire
face
à la
propagation
du
virus
COVID-19,
le
gouvernement
a
maintenu
en
2020
ses
actions
en
faveur
du
logement.
Les
chiffres
suivants en
témoignent
:
2 038
aides
destinées
à
l’amélioration
de
l’habitat
individuel
ont
été
engagées,
dont
369
concernent
des
administrés
des
îles
Sous-le-Vent ;
579
nouveaux
logements
ont
été
mis
en
chantier,
dont
68
aux
îles
Sous-le-Vent ;
1 121
aides
familiales
au
logement
ont
été
attribuées
sur
les
1
619
demandes
enregistrées ;
300
millions
Fcfp
ont
été
accordés
sous
la
forme
d’une
subvention
à
l’Agence
Immobilière
Sociale
de
Polynésie
française
afin
de
soutenir
l’activité
d’intermédiation
locative.
Par
ces
interventions,
le
gouvernement
confirme
que
le
logement
constitue,
aux
îles
Sous-le-Vent
aussi
l’une
de
ses
priorités.
A
11h30
le
président
Fritch
a
présenté
ses
voeux
à la
presse
réunie
à la
présidence.
Nous
publierons
son
discours
dès
qu'il
nous
sera
parvenu.
Ambiance
détendue
et
amicale
quelques
ministres
étaient
présents
comme
Jean
Christophe
Bouissou,
Tearii
Alpha,
Nicole
Bouteau,et
quelques
autres.
Les
représentants
de la
presse
écrite
et du
net
sans
compter
les
télévisions
avaient
eux
aussi
répondu
présents
à
l'invitation
du
président,
ce
dernier
très
heureux
de
savoir
que
la
Polynésie
était
un
site
choisi
dans
l'objectif
de
nombreux
tournages
de
films.
Un
buffet
copieux
fut
ensuite
proposé
aux
invités
du
président
qui
avaient
l'air
d'apprécier
ce
qu'ils
mettaient
dans
leurs
assiettes
sans
compter
en
dessert
de
délicieux
choux
à la
crème.
Edouard
Fritch
devait
avoir
mal
au
coude
à
force,
non
pas
de
serrer
des
mains
ou
d'embrasser
des
joues,
ce
qui
se ne
se
fait
plus,
au
profit
" du
coude
à
coude".
Le
président
Edouard
Fritch
a
reçu,
mardi
matin,
l’équipe
américaine
du
film
« Waltzing
with
Brando »,
qui
devrait
être
tourné
prochainement
en
Polynésie
française.
Bill
Fishman,
le
réalisateur,
Billy
Zane,
qui
incarnera
Marlon
Brando,
et
Dean
Bloxom,
le
financier,
ont
présenté
leur
projet
au
président.
Sébastien
Lecornu
visé
par
une
enquête
pour
prise
illégale
d’intérêts
Le
ministre
des
Outre-mers,
Sébastien
Lecornu,
fait
l’objet
d’une
enquête
préliminaire
du
parquet
national
financier,
pour
soupçons
de
prise
illégale
d’intérêts,
révèle
dans
son
édition
de
mercredi
Le
Canard
enchaîné.
Une
affaire
qui
concerne
ses
fonctions
précédentes,
alors
qu’il
était
président
du
département
de
l’Eure.
Il
lui
serait
reproché
d’avoir
siégé,
en
2016
et
2017,
comme
administrateur
de la
Société
des
autoroute
Paris-Normandie,
et
d’avoir
touché
7 874
euros
(939 600
Fcfp)
de
jetons
de
présence,
des
émoluments
que
l’on
retrouve
dans
sa
déclaration
à la
Haute
autorité
pour
la
transparence
de la
vie
publique.
Le
département
de
l’Eure
aurait
financé,
durant
cette
période,
au
moins
4
ouvrages
de la
société
d’autoroutes,
dont
« un
échangeur
de
l’A13
pour
lequel
le
département
a
allongé
un
million
d’euros ».
La
société
d’autoroutes
explique
qu’une
place
est
traditionnellement
réservée
au CA
pour
les
présidents
des
départements
desservis
par
les
autoroutes,
et le
cabinet
du
ministre
indique
que
le
ministre
« se
sent
à
l’aise,
il
assume
complètement. »
Voeux
à la
presse
du
président
Fritch
Mes
chers
amis,
Je
suis
heureux,
avec
le
gouvernement,
de
vous
recevoir
pour
cette
traditionnelle
cérémonie
des
vœux,
à
laquelle
ont
également
été
associés
les
directrices
et
directeurs
des
cabinets
ministériels.
L’année
qui
vient
de
s’écouler
a été
particulièrement
dure
pour
nous
tous.
Début
2020,
nous
avions
tous
pensé
poursuivre
sur
la
voie
de la
croissance
tant
les
indicateurs
économiques
étaient
positifs.
Mais
tous
ces
espoirs
ont
été
mis à
bas
avec
l’arrivée
subite
de
cette
pandémie
mondiale,
la
Covid
19.
Nous
connaissons
bien
les
épidémies
comme
celle
de la
dengue.
Nous
avons
surmonté
le
zika
ou le
chikungugnya.
Mais
la
Covid
19 a
surpris
le
monde
entier
par
la
rapidité
et
l’ampleur
de sa
propagation.
Nous
avons
tenté
de
bloquer
cette
propagation
en
Polynésie
en
fermant
nos
frontières
dès
le
mois
de
mars.
C’est
l’option
qu’ont
pris
beaucoup
de
nos
voisins
du
Pacifique
et
qui
s’y
tiennent
encore
à ce
jour.
Mais
nous
n’avons
pas
les
ressources
suffisantes
pour
vivre
en
autarcie,
notre
économie
étant
particulièrement
dépendante
de
l’extérieur,
et
notamment
pour
ce
qui
concerne
le
secteur
touristique.
Si
cette
pandémie
nous
a
affecté
sur
le
plan
sanitaire,
elle
a
également
frappé
notre
économie
de
plein
fouet.
Le
gouvernement,
avec
le
soutien
de
l’Assemblée,
a
très
rapidement
mobilisé
les
ressources
nécessaires
pour
soutenir
l’emploi
et
maintenir
les
entreprises
en
activité.
Pour
cette
année
2021,
vous
le
savez,
nous
avons
inscrit
au
budget
primitif
les
moyens
suffisants
pour
maintenir
en
activité
les
dispositifs
d’aide
à
l’économie
et à
l’emploi.
Nous
avons
également
établi
un
plan
de
relance
car
la
mobilisation
de la
commande
publique
est
plus
que
jamais
nécessaire,
même
si
des
investissements
privés
sont
toujours
bien
présents.
L’Etat
s’est
également
mobilisé
à nos
côtés
en
apportant
des
aides
financières
aux
entreprises
ou en
nous
accordant
un
prêt
qui
nous
a
permis
de
soutenir
notre
économie
et de
sauver
la
trésorerie
de la
CPS.
D’un
point
de
vue
sanitaire,
nous
avons
aussi
mobilisé
tous
les
moyens
nécessaires
à la
gestion
de
l’épidémie,
y
compris
en
affrétant
un
avion
d’Air
Tahiti
Nui
pour
aller
chercher
du
matériel
en
Chine.
Je
voudrais
ici
remercier
tous
les
personnels
de
santé,
ainsi
que
ceux
de
l’Institut
Malardé,
qui
se
sont
impliqués
sans
compter
dans
la
gestion
de
cette
crise
et
pour
aider
les
malades.
Mes
remerciements
vont
bien
sûr
également
aux
Eglises
et
aux
communes
qui
ont
été à
nos
côtés.
Ils
vont
aussi
à
notre
administration,
à nos
enseignants,
qui
ont
continué
à
faire
tourner
la
machine.
Et
puis
bien
sûr,
je ne
peux
vous
oublier,
vous
les
médias,
dans
ces
remerciements
puisque
vous
avez
joué
votre
rôle
en
relayant
les
messages
de
prévention.
Alors
bien
sûr,
le
gouvernement
a
essuyé
son
lot
de
critiques
dans
la
gestion
de la
crise,
à
commencer
par
les
syndicats
qui
auraient
préféré
que
nos
frontières
restent
fermées,
au
détriment
de
l’activité
économique.
Dans
la
critique,
les
réseaux
sociaux
sont
un
formidable
vecteur
pour
tous
ces
polynésiens
qui,
du
jour
au
lendemain,
sont
devenus
des
experts
en
tout.
La
critique
est
aisée,
surtout
lorsqu’on
est
devant
son
écran
d’ordinateur
et
dissimulé
par
un
pseudonyme.
Mais
il
est
normal
pour
des
hommes
et
des
femmes
politiques
d’être
remis
en
cause.
Ce
qui
est
moins
normal,
c’est
le
flot
d’insultes,
voire
de
menaces
de
mort,
qui
s’est
déversé
au
travers
des
réseaux
sociaux.
Rappelez-vous
ce
qui a
été
dit
quand
notre
députée
Maina
Sage
a
annoncé
avoir
été
contaminée.
Rappelez-vous
également
les
menaces
de
mort
contre
le
docteur
Raynal
qui
ont
fait
l’objet
d’une
saisine
du
tribunal.
Ce
sont
des
faits
extrêmement
graves
mais
qui
ne
correspondent
pas à
l’état
d’esprit
de la
majorité
des
Polynésiens.
Je
voudrais
quand
même
souligner
le
fait
que
la
plus
grande
partie
des
propos
injurieux
ont
été
tenus
dans
les
commentaires
des
articles
que
vous
publiez
tous
sur
Facebook.
J’en
appelle
donc
à ce
que
la
nécessaire
modération
des
commentaires
soit
effectuée
par
vos
soins,
et
pas
seulement
pour
ce
qui
concerne
la
Covid.
La
peur
de
cette
maladie
sur
laquelle
nous
n’avons
pas
fini
d’apprendre
a pu
rendre
les
gens
hargneux.
Mais
je
constate
qu’au
fil
du
temps,
avec
de la
pédagogie,
avec
de
bonnes
informations
comme
celles
que
vous
relayez,
nos
compatriotes
ont
appris
à
vivre
avec
ce
virus
et
dans
leur
grande
majorité
à
être
plus
sereins
face
à
lui.
Cette
année
2021
s’ouvre
sur
un
nouvel
espoir
avec
le
début
de la
campagne
vaccinale.
Mais
nous
savons
tous
qu’il
faudra
continuer
encore
de
longs
mois
à
respecter
les
gestes
barrières.
La
Covid
nous
aura
fait
réfléchir
sur
nos
modes
de
vie
et
sans
doute
sur
la
nécessité
de
modifier
nos
comportements.
Elle
nous
a
interpellé
sur
la
nécessité
d’accélérer
les
transitions
de
notre
société
des
transitions :
la
transition
alimentaire,
la
transition
environnementale,
la
transition
énergétique,
la
transition
numérique…
Plus
que
jamais
nous
devons
nous
engager
sur
le
chemin
d’une
moindre
dépendance
vis-à-vis
de
l’extérieur,
même
si le
tourisme
restera
un
pilier
de
notre
économie.
Notre
rôle,
c’est
de
penser
le
monde
de
demain
et de
diversifier
nos
ressources
économiques.
J’ai
confiance
dans
nos
compatriotes
pour
relever
ces
défis
et
j’ai
constaté
avec
satisfaction
que
de
nouveaux
métiers
étaient
apparus
avec
cette
crise,
preuve
de la
faculté
d’adaptation
des
polynésiens.
Lundi
11
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
:
99
nouveaux
cas,
17.340
cas
cumulés,
43
hospitalisations,
124
décès.
Le
compte
de
Trump
supprimé
depuis
la
Polynésie.
Le
PDG
de
Twitter
Jack
Dorsey
a
interdit
Trump
au
réseau
social
pendant
ses
vacances
en
Polynésie
française.
A
propos
Il
n'est
pas
bon
de se
montrer
en
première
ligne
dans
une
manifestation
violente.
Celle
menée
par
Trump
mercredi
dernier
a
fait
le
tour
du
monde,
résultat
les
principaux
meneurs
ont
tous
été
arrêtés
et
inculpés
sur
la
base
même
des
photos,
preuves
irréfutables
de
leur
présence
coléreuse.
On a
évidemment
remarqué
le
complotiste-comique,
torse
nu,
coiffé
de
cornes
de
bisons
qui
avait
entraîné
dans
sa
parodie
au
sein
du
capitole,
journalistes
et
photographes.
Ce
qui
n'a
pas
échappé
aux
autorités
qui
l'ont
arrêté,
c'est
sa
longue
lance
de 2
mètres
de
long
ornée
du
drapeau
américain
attaché
juste
sous
la
lame.
L'acte
d'accusation
qui
le
concernait
mentionnait
qu'il
avait
appelé
le
FBI
pour
confirmé
sa
présence
avec
d'autres
"patriotes"
répondant
ainsi
à un
appel
du
président
à
tous
les
"patriotes"
de
venir
à
Washington.
La
folie
collective
était
en
marche
et
rien
n'est
plus
dangereux.
Cinq
personnes
seraient
décédées
au
cours
de
cette
manifestation.
Le
Capitole,
très
vite
a été
isolé
après
l'installation
rapide
d'une
barrière
métallique
et la
présence
renforcée
des
forces
de
l'ordre
qui
ne
font
pas
dans
la
dentelle.
Bref,
le
résultat
c'est
la
demande
généralisée
du
peuple
américain
dans
sa
majorité,
de
demander
la
démission
de
Donald
Trump,
toujours
président
des
Etats
Unis
qui,
selon
les
sénateurs
américains,
a
sombré
dans
un
niveau
de
folie
absolument
impensable.
Fin
du
premier
chapitre.
Le
second
a
toute
sa
place
le 20
janvier
date
de
l'intronisation
de
Joe
Biden
à la
présidence
américaine.
Marseille
en
danger
viral
Huit
cas
du
variant
anglais
du
virus,
à
l'origine
de la
maladie,
ont
été
identifiés
au
sein
d'un
cluster
familial.
Les
pompiers
de
Marseille
ont
d'ailleurs
signalé
à la
suite
d'une
stratégie
prédictive
des
eaux
usées
une
circulation
plus
forte
du
virus
depuis
quelques
jours.
Huit
cas
du
variant
anglais
ont
déjà
été
dépistés
au
sein
d'une
famille.
Chaque
minute
compte
pour
endiguer
la
propagation
de la
souche
anglaise.
Le
préfet
des
Bouches
du
Rhône
a
assuré
que
tous
les
moyens
étaient
mis
en
oeuvre
pour
garantir
la
sécurité
sanitaire.
Les
personnes
testées
positives
sont
mises
à
l'isolement
immédiatement.
C'est
grave
!
Deux
gendarmes,
une
femme
et un
homme,
se
sont
suicidés
vendredi
dans
leurs
casernes
de
Lyon
et
Toulouse
avec
leurs
armes
de
service.
Pourquoi
?
A
Nouméa
plusieurs
grands
projets
sont
attendus
en
2021.
Espérons
pour
les
habitants
que
ce ne
soient
pas
des
voeux
pieux
comme
en
Polynésie
!
Samedi,
les
obsèques
du
maréchal
des
Logis
Tanerii
Mauri
décédé
au
Mali
le 28
décembre
se
sont
déroulées
à
l'Eglise
de la
Communauté
du
Christ
de
Papeete
en
présence
des
autorité
du
pays
ainsi
que
militaires
puis
son
corps
a été
transporté
au
cimetière
de
l'Uranie
où il
a été
inhumé
en
présence
de sa
famille
et de
ses
amis.
Pourquoi
la
France
poursuit-elle
son
emprise
du
Mali
? Les
guerres
coloniales
ont
pourtant
coûté
assez
de
vies
humaines.
Pour
empêcher
les
djiadistes
de
l'occuper
?
Mais
que
l'armée
utilise
alors
les
grands
moyens
et
non
le
tir
aux
pigeons.
Dimanche
10
janvier
2021
"Quant
quelqu'un
qui
n"a
même
pas
fait
son
service
militaire
te
dit "
On
est
en
guerre",
c'est
comme
si un
puceau
voulait
te
raconter
ses
histoires
de
cul"
"Espérons
qu'il
n'y
ait
pas
de
guerre,
Macron
serait
capable
de
nous
annoncer
que
nous
n'avons
plus
de
fusils
!"
Ce
pays
des
énarques
est
extraordinaire
il
faut
une
"attestation
papier
pour
sortir
de
chez
soi,"
mais"
tu
rentres
dans
le
pays
sans
papiers
"
Avant
de
faire
éclater
ce
papier
bulle,
souviens-toi
que
l'air
vient
de
Chine!
Quant
on
veut
piquer
du
miel
aux
abeilles
pour
les
rendre
moins
agressives,
on
les
enfume.
Pour
le
peuple,
c'est
pareil...
Le
vice
président
américain
Mike
Pence
à
terminé
une
journée
houleuse
au
Sénat
en
confirmant
la
victoire
de
Joe
Biden
avec
306
grands
électeurs
contre
232
pour
Donald
Trump
ayant
provoqué
un
malaise
palpable
hier
au
sein
de
son
propre
groupe
dont
certaines
grandes
figures
politiques
ont
démissionné
du
parti.
Vendredi
8
janvier
2021
Le
genre
humain
ne
change
pas à
travers
les
siècles,
le
sexe,
le
sadisme
et
l'argent
font
toujours
bon
ménage.
Ce
qui
est
perturbant
également
c'est
de
constater
que
les
mêmes
faits,
se
passent
souvent
dans
le
milieu
éducatif
du
primaire,
quand
les
enfants
sont
jeunes
et
malléables.
Alors,
et
c'est
un
constat,
certains
instituteurs
et
plus
tard
là
encore,
certains
professeurs
laissent
aller
leur
tempérament
violent
ou
sadique
sur
les
élèves.
Et
dire
qu'on
s'est
étonné
si
longtemps
du
comportement
des
nazis
dans
les
camps.
Certains
hommes
sont
"méchants"
et
ce,
depuis
leur
enfance
ou
recherchent
leur
plaisir,
celui
de
faire
mal
en
humiliant
des
élèves
choisis
pour
leur
faiblesse
de
caractère
dans
la
classe.
idem
dans
les
camps
de
prisonniers
de
guerre.
Ce
n'est
pas
nouveau.
Mais
c'est
toujours
choquant.
Cracher
dans
la
bouche
d'un
élève,
ce
n'est
pas
humiliant
c'est
de la
sauvagerie
maladive
dégoûtante
qui
mérite
même
et
surtout,
un
stage
en
asile
psychiatrique.
Ce
qui
est
toujours
malheureusement
répétitif
c'est
que
ces
faits
sont
certes
condamnés
par
la
justice,
et
encore,
mais
ne
freinent
pas
les
pervers
que
l'on
doit
absolument
écarter
de la
société
éducative.
Or,
le
pervers
en
question
condamné
en
2006
exerçait
toujours
en
2019
dans
la
fonction
publique
trop
souvent
responsable
de
laxisme
et
certainement
pas
d'un
prétendu
"problème
de
communication"
selon
la
défausse
stupide
de la
représentante
du
Pays
à la
barre
du
tribunal,
ces
faits
relèvent
du
comportement
d'un
malade
mental.
Ou
d'un
grand
vicieux.
Si
elle
ne
s'est
pas
rendu
compte
de
cela,
c'est
tout
aussi
gravissime
que
les
faits
eux-mêmes
!
Jeudi
7
janvier
2021
Point
de
situation
du
covid
-19
64
nouveaux
cas,
41
hospitalisations,
17.195 cas
cumulés
et
121
décès
Trump
lâché
par
les
siens.
L'Amérique
à
genoux...+
Venus
de
tout
le
pays,
des
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi,
dans
le
centre
de la
capitale
fédérale
pour
une
démonstration
de
force,
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle
en
faveur
de
Joe
Biden.
On
n'avait
jamais
vu
Washington
transformé
en
cirque
antique
où
les
hommes,
gladiateurs,
usaient
de
tout
ce
qui
leur
tombait
sous
la
main
pour
battre
leurs
adversaires
faisant
un
mort,
une
femme
qui
se
battait
elle
aussi.
Un
champ
de
bataille
sans
précédent
d'une
violence
stupéfiante
contre
quoi
ou
qui ?
Contre
la
démocratie
mais
surtout
deux
immenses
frondes,
l'une
contre
et
l'autre
favorable
au
président
Trump
,dont
la
majorité
aujourd'hui
demande
la
destitution.
Des
hordes
rivales
qui
voulaient
méchamment
en
découdre,
les
uns
favorables
à
Trump
qui
avait
bien
chauffé
ses
troupes,
pour
plus
tard
leur
demander
de se
calmer
devant
la
fureur
américaine
.
Une
véritable
émeute
mais
à
l'échelle
américaine.
Du
jamais
vu.
Par
ailleurs
le
désaveu
et la
bataille
de
rue
d'une
extraordinaire
violence
a
entraîné
la
fermeture
de
tous
les
réseaux
sociaux
empêchant
Trump
d'envoyer
des
messages
d'encouragement
à ses
troupes
dont
les
discours
haineux
donnaient
une
coloration
"
sanguine"
à
cette
crise
stupéfiante
qui a
focalisé
le
monde
entier
sur
les
écrans
de
télévision,
d'autant
que
l'on
a pu
constater
surtout
dans
les
premières
heures,
le
peu
de
police
envoyée
sur
place.
Bref
le
cirque
antique
ou
comme
certains
chroniqueurs
l'ont
dit
"la
bataille
à
l'africaine"
devant
le
Capitole
faisait
rage.
Peu
de
"black"
mais
une
grande
majorité
blanche,
excitée,
violente,
qui
se
fichait
de
violer
la
démocratie.
Bref
en
final
le
25°
amendement
fut
voté
par
le
congrès,le
vice
président
Mike
Pence
jusqu'au
20
janvier,
date
de
l'investiture
de
Joe
Biden,
qui
pourra
alors
prendre
la
destinée
américaine
en
mains
. Peu
à peu
la
violence
a
laissé
la
place
à un
calme
tout
relatif
dans
une
ville
dévastée.
Trump
restera
dans
l'Histoire
mais
couvert
d'un
voile
noir,
lâché
par
son
propre
cabinet
et
pratiquement
tous
ses
proches
collaborateurs.
Des
partisans
de
Donald
Trump
sont
entrés
dans
l'hémicycle
du
Congrès,
la
certification
de
l’élection
présidentielle
en
cours
alors
suspendue
mais
menée
à
bien
quelques
heures
plus
tard.
Quelle
nuit
!!!
Trump
se
croyant
victorieux
:
«
Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite]»,
a
lancé
le
président
américain
à ses
partisans.
avant
de
baisser
le
ton
plus
tard
quand
lui
même
a été
stupéfié
de
voir
finalement
ce
qu'il
avait
provoqué
« On
veut
Trump »,
« Stop
au
vol » :
des
milliers
de
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi
6 janvier,
dans
le
centre
de
Washington
pour
une
démonstration
de
force
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
« Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite] »,
a
lancé
le
président
américain
devant
eux,
sous
un
ciel
chargé
de
lourds
nuages,
à
deux
semaines
de la
prise
de
fonction
du
démocrate
Joe
Biden.
« Nous
avons
remporté
cette
élection,
et
nous
l’avons
remportée
largement »,
a-t-il
martelé,
contre
toute
évidence
et en
dépit
de
l’absence
de
preuves
accréditant
l’hypothèse
de
fraudes
électorales.
De
plus
en
plus
isolé,
Donald
Trump
s’en
est
pris
avec
virulence
à son
propre
camp
républicain.
Les
ténors
républicains
sont
« faibles »
et
« pathétiques »,
a-t-il
lancé
devant
ses
partisans,
la
Maison
Blanche
en
toile
de
fond.
De
son
côté,
le
vice-président,
Mike
Pence,
a
fait
savoir
qu’il
ne
s’opposerait
pas à
la
certification
de la
victoire
de
Joe
Biden
à la
présidentielle,
s’abritant
derrière
les
« contraintes »
de la
Constitution. Refuser
la
victoire
de
Biden
plongerait
la
démocratie
dans
une
« spirale
mortelle »,
a, de
son
côté,
déclaré
le
chef
des
sénateurs
républicains.
éfiant
les
consignes
sanitaires,
des
hommes
et
des
femmes
venus
de
tous
les
Etats-Unis
soutenir
le
président
sortant
attendaient
le
visage
démasqué,
qu’il
s’adresse
à eux
depuis
l’Ellipse,
esplanade
située
au
sud
de la
Maison
Blanche.
Donald
Trump,
qui
continue
de
nier
la
victoire
de
son
rival
démocrate,
encourageait
depuis
des
jours
ses
supporteurs
à
défiler
à
Washington
pour
cette
journée
qui
sera
« folle »,
a-t-il
prévenu.
Rapidement,
les
partisans
de
Trump
ont
essayé
d’accéder
au
Capitole
peu
après
le
discours
du
président
américain,
selon
des
images
rapportées
par
le
journaliste
américain
Elijah
Schaffer
sur
son
compte
Twitter.
La
police
a
alors
ordonné
l’évacuation
de
plusieurs
bâtiments
du
Congrès.
Le
jour
des
rois
(!)
le
conseil
des
ministres
a
fait
relâche
!
Le 6
janvier
c'est
le
jour
où
les
rois
mages
sont
venus
apporter
leurs
cadeaux
à
l'enfant-roi
Jésus
en se
prosternant
humblement
autour
de sa
couche.
Et
comme
nous
sommes
des
chrétiens
nous
ne
nous
prosternons
plus
mais
nous
nous
délectons
des
"galettes
des
rois
"
pour
devenir
roi
ou
reine
à
notre
tour
si on
tombe
sur
la
fève
!!!
La
tradition
perdure...un
peu
modifiée
il
est
vrai.
C'est
l'Epiphanie
:
fêtechrétienne qui
célèbre
leMessie venu
et
incarné
dans
le
monde
et
qui
reçoit
la
visite
et
l'hommage
demages.
Elle
a
lieu
le 6
janvier1.
Pour
les
catholiques,
depuis
1971,
dans
les
régions
où
l'Épiphanie
n'est
pas
un
jour
férié,
elle
peut
se
fêter
le
deuxième
dimanche
après Noël (c'est-à-dire
le
premier
dimanche
qui
suit
le1er janvier).
En
France,
c'est
le
cas
depuis
1802,
règle
qui a
été
instaurée
par
un
décret
du cardinal
Caprara,
légat
du
pape Pie
VII.
La
fête
s'appelle
aussi
– en
particulier
chez
les orthodoxes –
« Théophanie »,
qui
signifie
également
la
« manifestation
de
Dieu ».
Diverses
coutumes
sont
observées
à
cette
occasion.
En
France,
en
Suisse
et en
Belgique,
depuis
le
Moyen
Âge,
une
« galette
des
rois »
ou un
« gâteau
des
rois »,
pâtisseries
contenant
une
fève,
sont
partagées
ce
jour-là ;
celui
ou
celle
qui
trouve
la
fève
dans
sa
part
est
surnommé
« roi »
ou
« reine "
pour...un
jour
!
C'est
toujours
ça !
Communiqué
du
MEDEF
Polynésie
Française
du 06
janvier
2021
en
réponse
au
communiqué
de la
Ministre
du
Travail
qui
faisait
suite
à
l’interview
télévisé
du
Président
du
MEDEF
invité
le 29
Décembre
2020
sur
le
plateau
de
Polynésie
la 1ère.
Les
Organisations
Patronales
membres
du
MEDEF
Polynésie
Française
ci-après
cosignataires,
ne
peuvent
que
s’étonner
des
propos
tenus
par
Madame
la
Ministre
du
Travail,
à
l’encontre
de
leur
président
Frédéric
Dock,
élu
par
ses
pairs
pour
les
représenter
au
sein
de
l’écosystème
économique
et
social
polynésien.
Le
président
du
MEDEF
Polynésie
Française,
qui a
rappelé
à
plusieurs
reprises
toute
l’importance
du
rôle
de la
Direction
du
Travail,
est
parfaitement
légitime
à
poser
la
question
des
moyens,
des
compétences
et
des
missions
de ce
service
indispensable
à la
régulation
et au
contrôle
du
monde
du
travail.
Le
MEDEF
Polynésie
Française,
au
titre
de
ses
500
entreprises
représentant
plus
de 17
000
salariés,
a la
responsabilité
de
réagir,
aussi
bien
lorsqu’il
constate
les
dégâts
sociaux
et
économiques
des
tous
récents
conflits,
que
le
bilan
inquiétant
de
l’emploi.
C’est
ce
qu’a
rappelé
Frédéric
Dock,
son
président,
dans
son
intervention
télévisée.
Déjà
le 3
décembre
2020,
dans
son
discours
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
Française,
le
Président
Edouard
Fritch
affirmait
sa
volonté
d’ « ouvrir
avec
les
partenaires
sociaux,
le
vaste
chantier
de la
modernisation
du
Code
du
travail
ou,
dit
autrement,
de
l’attractivité
ou de
la
compétitivité
de
notre
Pays. »
Le
MEDEF
Polynésie
Française,
conscient
de
ces
enjeux,
maintient
son
engagement
au
côté
du
Gouvernement
et
avec
les
partenaires
sociaux
dans
la
modernisation
indispensable
de
notre
économie.
Papeete,
le 06
janvier
2021
NB :
décidément
la
ministre
en
question
n'a
toujours
pas
la
cote
!
La
France
reclasse
toujours
ses
perdants.
Agnès
Buzin
intègre
le
cabinet
du
directeur
général
de
l'Organisation
mondiale
de la
santé.
Malheureuse
candidate
à la
mairie
de
Paris,
elle
s'y
occupera
des
affaires
multilatérales
(
sic!)
L'ancienne
ministre
de la
santé
quitte
donc
son
poste
de
conseillère
du
XVII
arrondissement
de
Paris
pour
rejoindre
la
Suisse.
Elle
représentera
l'institution
auprès
du
G7,
de
l'ONU
ou de
la
Fondation
Bill
Gates.
Plus
intéressant
que
la
mairie
de
Paris.
Une
reclassée
!
Les
Etats
Unis
se
reclassent
seuls
"
besoin
de
personne"
dit
Trump
des
partisans
de
Donald
Trump
entrent
dans
le
Congrès,
la
certification
de
l’élection
présidentielle
suspendue
Venus
de
tout
le
pays,
des
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi,
dans
le
centre
de la
capitale
fédérale
pour
une
démonstration
de
force,
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
Le
Monde
avec
AFP
«
Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite]»,
a
lancé
le
président
américain
à ses
partisans.
AFP
« On
veut
Trump »,
« Stop
au
vol » :
des
milliers
de
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi
6 janvier,
dans
le
centre
de
Washington
pour
une
démonstration
de
force
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
« Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite] »,
a
lancé
le
président
américain
devant
eux,
sous
un
ciel
chargé
de
lourds
nuages,
à
deux
semaines
de la
prise
de
fonction
du
démocrate
Joe
Biden.
« Nous
avons
remporté
cette
élection,
et
nous
l’avons
remportée
largement »,
a-t-il
martelé,
contre
toute
évidence
et en
dépit
de
l’absence
de
preuves
accréditant
l’hypothèse
de
fraudes
électorales.
De
plus
en
plus
isolé,
Donald
Trump
s’en
est
pris
avec
virulence
à son
propre
camp
républicain.
Les
ténors
républicains
sont
« faibles »
et
« pathétiques »,
a-t-il
lancé
devant
ses
partisans,
la
Maison
Blanche
en
toile
de
fond.
De
son
côté,
le
vice-président,
Mike
Pence,
a
fait
savoir
qu’il
ne
s’opposerait
pas à
la
certification
de la
victoire
de
Joe
Biden
à la
présidentielle,
s’abritant
derrière
les
« contraintes »
de la
Constitution. Refuser
la
victoire
de
Biden
plongerait
la
démocratie
dans
une
« spirale
mortelle »,
a, de
son
côté,
déclaré
le
chef
des
sénateurs
républicains.
éfiant
les
consignes
sanitaires,
des
hommes
et
des
femmes
venus
de
tous
les
Etats-Unis
soutenir
le
président
sortant
attendaient
le
visage
démasqué,
qu’il
s’adresse
à eux
depuis
l’Ellipse,
esplanade
située
au
sud
de la
Maison
Blanche.
Donald
Trump,
qui
continue
de
nier
la
victoire
de
son
rival
démocrate,
encourageait
depuis
des
jours
ses
supporteurs
à
défiler
à
Washington
pour
cette
journée
qui
sera
« folle »,
a-t-il
prévenu.
Rapidement,
les
partisans
de
Trump
ont
essayé
d’accéder
au
Capitole
peu
après
le
discours
du
président
américain,
selon
des
images
rapportées
par
le
journaliste
américain
Elijah
Schaffer
sur
son
compte
Twitter.
La
police
a
alors
ordonné
l’évacuation
de
plusieurs
bâtiments
du
Congrès.
« Trump
est
mon
président »
Croisée
par
l’Agence
France-Presse,
Gail,
76 ans,
explique
être
venue
exprès
du
New
Jersey
parce
qu’elle
« ne
respecte
plus
le
système
électoral ».
« On
va
regagner
notre
nation ! »
Originaires
de
l’Oregon,
sur
la
Côte
ouest,
Katherine
Caldwell,
61 ans,
et
son
mari
ont
roulé
pendant
cinq
jours
pour
le
soutenir
dans
sa
croisade.
« Ils
ont
volé
l’élection »,
« j’en
suis
absolument
sûre »,
dit-elle.
D’ailleurs,
les
élections
sénatoriales
en
Géorgie
de la
veille
ont
aussi
vu de
« la
triche »,
assure-elle,
alors
que
les
démocrates
semblent
en
passe
de
remporter
les
deux
sièges
nécessaires
pour
reprendre
le
contrôle
du
Sénat.
« Ils
ont
encore
utilisé
les
machines
frauduleuses,
les
gens
en
Géorgie
sont
corrompus »,
assure
cette
femme,
coiffée
d’un
chapeau
blanc
de
cow-boy
qui
agite
un
grand
drapeau
rouge
barré
de la
mention
« Trump
est
mon
président ».
Par
crainte
d’éventuels
débordements,
les
commerces
ont
de
nouveau
installé
des
panneaux
en
bois
sur
leurs
vitrines,
plusieurs
routes
ont
été
coupées
à la
circulation
et
les
autorités
locales
ont
invité
la
population
à
rester
chez
elle.
Des
membres
de la
garde
nationale
ont
été
déployés
dès
mardi
et la
police,
qui a
déjà
arrêté,
lundi,
le
leader
de la
milice
d’extrême
droite
des
Proud
Boys,
a
fait
savoir
qu’elle
ne
tolérerait
aucune
infraction
aux
restrictions
sur
le
port
d’armes
à
feu.
De
précédentes
manifestations
avaient
été
émaillées
de
violences,
notamment
lors
d’affrontements
avec
des
contre-manifestants.
Au-delà
de la
base,
des
dizaines
d’élus
républicains
de la
Chambre
et du
Sénat
restent
fidèles
à
Donald
Trump
et
ont
promis
de
faire
retentir
leurs
doutes
dans
l’enceinte
du
Congrès,
qui
doit
officiellement
enregistrer,
mercredi,
le
vote
des
grands
électeurs :
306
pour
Joe
Biden,
232
pour
Donald
Trump.
Leurs
objections
ne
feront
pas
dérailler
cette
procédure,
la
dernière
avant
la
prestation
de
serment
du
démocrate
le
20 janvier,
mais
pourraient
la
ralentir.
Le
ministre
des
Outre-mer
a
présenté
un
projet
de
loi
ratifiant
l’ordonnance
n°
2020-1256
du 14
octobre
2020
étendant
et
adaptant
en
Polynésie
française
et en
Nouvelle-Calédonie
les
dispositions
de la
loi
n°
2019-1461
du 27
décembre
2019
relative
à
l’engagement
dans
la
vie
locale
et à
la
proximité
de
l’action
publique.
Cette
ordonnance
a
étendu
et
adapté
en
Polynésie
française
et en
Nouvelle-Calédonie
diverses
dispositions
de la
loi
du 27
décembre
2019
de
nature
à
renforcer
les
droits
des
élus
et à
faciliter
l’exercice
de
l’action
publique,
s’agissant
notamment
de la
formation
des
élus,
de la
possibilité
pour
le
maire
de
demander
au
haut-commissaire
de se
positionner
sur
une
question
de
droit,
de la
possibilité
pour
le
maire
de
prononcer
des
amendes
administratives
pour
faire
respecter
certaines
de
ses
décisions
de
police
ou
encore
de la
prise
en
charge
par
la
commune
des
frais
de
garde
des
enfants
et
des
personnes
en
situation
de
handicap
ou
dépendantes,
avec
un
financement
par
l’État
dans
les
communes
de
moins
de 3
500
habitants.
De
plus,
le
projet
de
loi
autorise
la
célébration
des
mariages
dans
les
mairies
annexes
des
communes
associées
de
Polynésie
française
pour
toute
personne
qui
réside
dans
la
commune,
et
non
dans
la
seule
commune
associée.
Cette
mesure
permet
ainsi,
pour
la
célébration
des
mariages,
aux
habitants
d’une
commune
de
pouvoir
disposer
de
l’ensemble
des
infrastructures
situées
sur
leur
commune,
sans
être
limitées
à
celles
de la
seule
commune
associée
dans
laquelle
ils
résident.
Mardi
5
janvier
2021
62
nouveaux
cas,
16.988
cas
cumulés,
43
hospitalisations,
121
décès
Allo...Jacques
Chirac
? Oui
vous
êtes
bien
au
CHPF
de
Polynésie
française.
Le
Tavini
n'en
peut
plus
de
taper
du
pied
de
colère
il
aurait,
bien
sûr,
préféré
qu'on
appelle
l'hôpital
d'un
grand
nom
maohi.
Mais"
Chirac"
le
monde
entier
le
connaît
et
ainsi
les
diverses
populations
qui
auront
besoin
de se
faire
soigner
retiendront
le
lieu
où il
faudra
se
rendre.
Je
me
souviens
de
son
premier
séjour
quand
il a
mis
le
pied
sur
la
terre
polynésienne,
j'entendais
les
commentaires
des
polynésiennes
"
il
est
beau"
!
disaient
elles
avec
un
grand
sourire
en se
poussant
du
coude
pour
se
rapprocher
sans
compter
les
embrassades,
alors
qu'il
accomplissait
son
pensum
:
serrer
les
mains
tendues
vers
lui
et
faire
des
bises
. "Ce
grand
fauve"
comme
on
l'appelait
dans
les
médias
parisiens
savaient
plaire
et
son
large
sourire
montrait
aux
Polynésiens
et
Polynésiennes
qu'il
était
heureux
d'être
arrivé
à
Tahiti
et
d'avoir
autour
du
cou
des
colliers
de
fleurs
jusqu'aux
yeux.
Je
dirais
à
nouveau
que
le
physique
d'un
homme
politique
compte
énormément
notamment
auprès
des
femmes
bien
sûr
mais
aussi
auprès
des
hommes
qui
savent
reconnaître
un
homme
politique
agréable,
qui
plait,
d'autant
plus,
ce
qui
ne
gâtait
rien,
qu'il
avait
la
manière
de
faire
des
cadeaux
sonnants
et
trébuchants
que
Gaston
Flosse
alors
président
du
Pays,
se
plaisait
à
relayer
auprès
de la
population
comme
doit
le
faire
tout
homme
politique
qui
reçoit
de
l'argent
de la
mère
patrie
pour
son
peuple
!
Il
est
certain
que
Chirac
comme
tout
le
monde
avait
des
défauts
mais
on ne
les
voyait
pas.
Sa
voix
forte
pour
se
faire
entendre
de
tous
ses
admirateurs,
l'annonce
des
subventions
destinées
à la
Polynésie
enthousiasmaient
la
foule.
Le
plus
heureux
n'était
peut-être
pas
Jacques
Chirac
mais
Gaston
Flosse
qui
voyait
les
Polynésiens
aussi
enthousiastes
que
lui
même.
Plus
jamais
un
homme
politique
de
passage
n'a
recueilli
autant
de
preuves
de
sympathie
de la
part
de la
foule.
Il
méritait
bien
d'avoir
son
nom
porté
sur
le
fronton
d'un
bâtiment
hospitalier
destiné
à
sauver
des
vies.
Juste
reconnaissance
méritée.
Le
CHPF
a été
rebaptisé
"
Hôpital
Jacques
Chirac"
en
catimini
lors
du
compte
rendu
du
dernier
conseil
des
ministres.
Des
cachotteries
enfantines
!
Faut
assumer
dans
la
vie
politique
!
Et
voilà
qu'arrive
la
première
affaire
politique
de
2021
!
Et
elle
arrive
par
qui ?
Mais
par
le
spécialiste
de la
recherche
minutieuse
des
affaires
politiques
douteuses
:
Yves
Conroy
.
Celui-ci
met
sur
le
devant
de la
scène
Edouard
Fritch,
René
Temearo
et
Nathalie
Bruand.
Conroy,
en
effet
a
déposé
sur
le
bureau
du
Tribunal
administratif
une
demande
d'annulation
d'une
décision
du
haut
commissaire.
Edouard
Fritch
avait
été
élu
vice-président
du
SPC.
Il
peut
cumuler
certes
les
deux
fonctions,
mais
l'une
d'entre
elle
ne
doit
pas
être
rémunérée
or,
elles
le
seraient
toutes
les
deux,
le
président
Fritch
n'ayant
pas
opté
pour
l'une
ou
l'autre.
Le
haut
commissaire
aurait
du
intervenir
dans
un
délai
donné
mais
il ne
l'a
pas
fait.
Le
redresseur
de
torts
Yves
Conroy
s'est
alors
saisi
de ce
manquement
et
l'a
porté
devant
le
Tribunal
administratif
le 12
février
2020
qui
lui,
s'est
défaussé
par
ordonnance
auprès
du
Conseil
d'Etat.
Ce
dernier
vient
de
répondre
que
cette
affaire
sera
jugée
le 6
janvier
2021
à
14h.
C'est
à
dire
demain
!
CONSEIL
D’ETAT
Section
du
Contentieux
1,
plilcG
du
Palais-Royal
75100
PARIS
CEDEX
01
Têl
.
01.40.20.80.83
Fàx
:
G7
4h
20
d$
9h
Notre
réf
:
N°
439105
Monsieur
Yves
CONROY
cl
PRÉSIDENCE
DE
LA
POI.YNESIE
FRANCAJSIi
Affaire
suivie
par
:
Mine
Rainalahanoharana
Paris,
le
29/12/20
M.
CONROY
Yvcs
PK
34.400
c/mer
98712
Papara
Polynésie
française
J'ai
l'honneur
de
vous
faire
connaître
que
l’affaire
enregistrée
sous
le
numero
cité
en
référence
et
dont
l'objet
est
brièvement
rappelé
ci-dessous
est
inscrite
au
rôle
de
la
séance
publique
de
jugement
du
06/01/2021
qiu
se
tiendra
à
14
heures
00
(l0èmc
et
9ème
chambres
réunies).
Ordonnance
n°
2000051
du
12
février
202s)
peu’
laquelle
le
président
du
tribunal
administratif
de
Polynésie
frcinçciise
a
transiil
ffi
Ou
Cons
eil
‹l’Etat,
en
ayylication
de
l'arlicfe
R.
351-2
elu
code
‹:le
justice
aclministrative,
la
t
equête
par
laquelle
M.
1"ves
Conroy
demande,
d’une
pcir.t,
l’annulation
de
la
décision
du
16
janvier
2020
du
haut-commissaire
de
la
République
en
Polynésie
française
refusant
de
constater
l’absence
d'oyfien
de
M.
René
femeharo
entre
des
fonctions
de
ministre
elu
gouve.Gnement
de
la
PoJyné›
ie
française
et
celles
de
président
du
centre
de
gestion
et
de
formation
(CCF)
et
d’autre
part
d’enjoindre
à
la
mêiiie
autorité
de
pren‹Ire
wt
arrété
constatant
le
défaut
d'option
et
le
renoncement
de
M,
Teineharo
à
ses
fonctions
de
ministre
du
gouvernement
de
la
Polynésie
française.
Rapporteur
public
:
M.
Alexandre
Lallet
Rapporteur
:
Monsieur
Bruno
Delsol
Fn
vertu
des
dispositions
combinées
des
articles
R.
432-1,
R.
613-5
et
R.
733-1
du
code
de
justice
administrative,
seuls
les
avocats
au
Conseil
d'Etat
ct
ä
la
Cour
de
Cassation
peuvent
r
'
esenter
des
observations
orales
le
jour
de
la
séance
de
jugement.
Les
décisions
sont
rendues
publiques
dans
un
délai
moyen
de
trois
semaines
après
la
séance
elles
sont
ensuite
notifiées
aux
parties
dans
un
délai
de
quinze
jours
environ.
Jc
vous
précise
que
cet
avis
constitue,
non
pas
une
convocation
mais
mn
élément
d’information
sur
la
date
de
l’audience
dont
il
ne
vous
sera
pas
possible
de
demander
le
Toutefois,
les
conditions
sanitaiies
actuelles
restreiignant
les
possibilités
d’accueil
dans
les
salles
d’audience,
je
vous
invite,
si
vous
souhaitez
assister
à
cette
séance,
à
en
informer
préalablement
et
au
plus
tard
la
veille,
le
greffe
et
à
vous
présenter
à
l'accueil
muni
du
présent
avis,
une
demi-heure
avant
l’heure
indiquée
ci-dessus.
J’appelle
enfin
votre
attention
sur
les
dispositions
régissant
la
tenue
de
l’audience
et
ses
prolongements,
figurant
aux
articles
R.
712-1
alinéa
5,
R.
731-1
ä
R.
731-3
et
R.
733-1
à
R.
733-3
du
code
de
justice
administrative
ci-après
reproduits.
Si
vous
souhaitez
faire
usage
de
la
possibilité
qui
vous
est
reconnue
par
l’article
R.
712-1
alinéa
5
du
code
de
justice
administrative
de
prendre
connaissance
du
sens
des
conclusions
du
rapporteur
public
avant
la
séance,
vous
pouvez
consulter
les
applications
Télérecours,
Télérecours
citoyens
ou
Sagace
qui’
seront
renseignées
à
cet
effet
dans
un
délai
de
l’ordre
de
deux
jours
avant
la
séance.
Si
vous
n’êtes
pas
en
mesure
de
consulter
en
ligne
ces
applications
vous
pouvez,
dans
ce
même
délai,
appéler
le
secrétariat
de
la
chambre
au
numéro
suivant
:
01
40
20
80
83.
Toutefois,
si
votre
affaire
relève
d’un
contentieux
Pour
lequel
le
ministère
d’un
avocat
au
Conseil
d’Etat
et
à
la
Cour
de
cassation
est
obligatoire,
vous
ne
pourrez
prendre
connaissance
du
sens
des
conclusions
que
par
l’intermédiaire
de
l’avocat
au
Conseil
d’Etat
et
à
la
Cour
de
cassation
que
vous
aurez
préalablement
constitué.
Je
vous
prie
de
bien
vouloir
recevoir,
Monsieur,
l’assurance
de
ma
considération
distinguée.
Pour
le
Secrétaire
du
Contentieux
Le
greffier
en
chef
de
la
l0ème
chaybre
Claudine
Ramalahanoharana
Le
bombardier
le
plus
grand
et le
plus
rapide
au
monde
jamais
construit
par
les
Etats
Unis
dans
le
cadre
d'un
plan
visant
à
construire
un
bombardier
stratégique
pour
la
pénétration
profonde
et
les
bombardements
nucléaires
pendant
la
guerre
froide,
l'aviation
nord
américaine
a
créé
un
prototype
étonnamment
futuriste
pour
son
époque
le
XB70
Valkyrie
Air
Tahiti
Nui
explique
Très
chers
Clients,
En
ce
début
d'année
2021,
peu
d’entre
nous
seront
malheureusement restés
indemnes
d’une
pandémie
que
nous
aurions
tous
souhaité
pouvoir
laisser
dernière
nous.
Cette
crise
sans
précédent
a
obligé
Air
Tahiti
Nui
à
répondre
sans
transition
à
de
nouveaux
défis
alors
qu’elle
achevait
à
peine
sa
transformation,
avec
en
fer
de
lance
ses
quatre
Tahitian
Dreamliner
flambant
neufs.
C’est
grâce
à
vous,
et
pour
vous,
que
nous
nous
sommes
adaptés
coûte
que
coûte
afin
de
continuer
à
vous
servir
et
à
servir
la
Polynésie.
Votre
confiance
et
votre
soutien
sont
les
moteurs
qui
nous
font
avancer
depuis
tant
d’années.
Nos
remerciements
les
plus
chaleureux
s’adressent
également
aux
institutions
qui
nous
donnent
les
ailes
pour
traverser
ces
turbulences
et
retrouver bientôt,
nous
l’espérons,
un
ciel
plus
clément.
Cette
année
2020
aura
été
émaillée
de
nombreux
défis
auxquels
les
équipes
d’Air
Tahiti
Nui
ont
répondu
sans
faillir,
travaillant
de
concert
avec
les
autorités
du
Pays,
de
l’Etat,
les
aéroports
et
nos
nombreux
partenaires
et
fournisseurs
afin
de
s’adapter.
Dès
le
mois
d’avril
et
jusqu’au
mois
de
juin,
la
compagnie
s’est
mobilisée
aux
côtés
des
autorités
afin
d’assurer
la
continuité
territoriale
qui
a
permis
à
plus
de
2500
voyageurs
de
retrouver
leurs
proches.
Sur
la
même
période,
c’est
également
près
de
105
tonnes
de
fret
qui
ont
pu
être
acheminées
vers
Tahiti
afin
de
lutter
contre
l’épidémie.
Les
contraintes
aux
frontières
nous
ont
obligés
à
adapter
de
manière
conséquente
notre
programme
de
vols.
Une
nouvelle
escale
technique
à
Vancouver
nous
a
permis
de
maintenir
notre
desserte
de
Paris,
tandis
que
notre
service
à
destination
de
Los
Angeles
au
départ
de
Tahiti
restait
préservé.
Nos
dessertes
d’Auckland
et
de
Tokyo
ont
malheureusement
été
suspendues
et
restent
à
ce
jour
fermées
jusqu’à
réouverture
des
frontières.
Parce
que
votre
sécurité
et
celle
de
notre
personnel
est
notre
priorité,
des
mesures
sanitaires
strictes
sont
aujourd’hui
imposées
sur
nos
vols
et
devront
être
maintenues
en
2021
tant
que
les
autorités
les
jugeront
nécessaires.
Ces
freins
ont
certainement
contraint
vos
projets
de
voyage.
Nous
nous
sommes
donc
mobilisés
pour
vous
apporter
plus
de
sérénité
:
des
tarifs
toujours
plus
accessibles
payables
en
plusieurs
fois,
une
grande
flexibilité
pour
la
modification
de
vos
réservations,
et
une
assurance
voyage
spécifique
couvrant
désormais
le
risque
épidémique.
Nous
sommes
également
heureux
de
vous
annoncer
qu’en
tant
que
membre
de
notre
programme
de
fidélité
Club
Tiare,
la
validité
de
vos
miles
devant
expirer
en
2020
sera
prolongée
jusqu’à
ce
que
de
meilleures
conditions
d’utilisation
soient
réunies.
Les
membres
Club
Tiare
Silver
et
Gold
garderont
également
leur
statut
et
l’ensemble
de
leurs
avantages
jusqu’au
31
décembre
2021.
Un
an
après
le
renouvellement
complet
de
notre
flotte,
nos
équipes
restent
mobilisées
afin
que
sécurité
rime
également
avec
confort
et
service.
C’est
donc
avec
une
grande
joie
que
nous
partageons
avec
vous
nos
nouvelles
récompenses
:
-
Prix
Grande
compagnie
cinq
étoiles
décerné
par
APEX
Official
Airline
Ratings
pour
la
2ème
année
consécutive,
-
Prix
Global
Traveler
de
la
meilleure
Compagnie
Aérienne
du
Pacifique
Sud
2020
pour
la
3ème
année
consécutive,
-
Prix
Global
Traveler
de
la
Meilleure
Compagnie
Aérienne
de
loisirs
2020
pour
la
2ème
année
consécutive.
Ces
récompenses
sont
aussi
les
vôtres.
Elles
montrent
combien
les
équipes
d’Air
Tahiti
Nui
s’engagent
chaque
jour
pour
vous
apporter
une
expérience
de
voyage
unique,
chaleureuse
et
toujours
plus
immergée
dans
la
magie
de
nos
îles.
Alors
que
nous
laissons
2020
derrière
nous, souhaitons
que
cette
nouvelle
année
nous offre
à
nouveau
la
possibilité
de
faire
ce
que
nous
aimons
le
plus
:
vous
faire
découvrir
le
monde
et
vivre
de
nouvelles
aventures
ensemble.
Tout
le
personnel
d’Air
Tahiti
Nui
se
joint
à
moi
pour
vous
souhaiter
une
très
bonne
année
2021
pleine de
nouveaux
voyages
!
Māuruuru
Michel
Monvoisin,
Président
Directeur
Général
d'Air
Tahiti
Nui
Un
grand
pas
très
maladroit
a été
franchi
par
l'Etat
vers
"la
limitation
d'expression
des
médecins".
La
nouvelle
année
commence
bien
mal
dans
cette
corporation,
c'est
tout
de
même
un scandale...d'Etat
!
Le Dr
J.P
Théron
vient
de
nous
faire
parvenir
une
information
qui
n'est
pas
piquée
des
vers
en ce
début
d'année
pourtant
calme
et
ensoleillé
mais
qui
risque
fort
de
mettre
le
monde
médical
en
ébullition.
Il
s'agit
d'un
décret
qui
fait
"honte"
à la
profession
médicale
"en
limitant
la
liberté
d'expression
des
médecins".Du
jamais
vu
comme
le
dit
le Dr
Théron !
Le
31
décembre
2020,
les
professeurs
Perronne
et
Trouillas
ainsi
que
quatre
autres
médecins
ont
attaqué
devant
le
Conseil
d'Etat
le
décret
du
22/12/20
visant
à
"limiter
la
liberté
d'expression
des
médecins".
A
l'heure
où la
presse
a
gagné
ses
galons
de
haute
lutte
dans
ce
domaine
voilà
que
conseil
d'Etat,
en
quel
honneur
"
vise
à
limiter
"la
sainte
liberté
d'expression
médicale."
Voici
ce
qu'en
pense
le Dr
Jean
Paul
Théron
et de
nombreux
autres
médecins
qui
se
soulèvent
d'indignation
à
juste
titre.
Pour
un
début
d'année,
le
conseil
d'Etat
fait
très
fort
qui
est à
la
manoeuvre
?
"
Nous
avons
honte
et
heureusement
nous
ne
sommes
pas
isolés
.
Mais
faut
il
que
notre
profession
se
soit
sclérosée
pour
accepter
de
telles
atteintes
à ce
qui a
toujours
fait
avancer,
la
médecine
comme
la
science
et
bien
avant
Avicenne...?
Faire
connaître,
faire
savoir,
partager
les
opinions.
Honte
aux
médecins
ou
non-médecins
qui
sont
à
l'origine
de de
ce
projet
de
loi
modificative
ou de
décret.
Dr
Jean
Paul
Théron.
31/12/2020:
Les
Professeurs
Perronne
et
Trouillas
ainsi
que
quatre
autres
médecins, ont
attaqué
devant
le
Conseil
d'Etat
(
C.E.)
le
décret
du
22/12/2020
visant
à
limiter
la
liberté
d'expression
des
médecins
A
propos...Il
faudra
désormais
attendre
la
fin
de
2021...
Et
voilà,
les
agapes
sont
pratiquement
finies
à
part
quelques
retardataires
qui
ne
peuvent
plus
décoller
de
leurs
chaises
ou
qui
ne le
souhaitent
pas.
Et
pourtant
il
faut
bien
que
les
fêtes,
les
dîners,
les
rires,
les
bulles
du
champagne
et
les
chansons
joyeuses
rejoignent
leurs
caches
jusqu'à
l'année
prochaine
en
laissant
la
place
aux
voeux
abondants
de la
famille
et
des
amis
ce
qui,
malheureusement,
n'a
jamais
empêché
les
accidents...
mortels.
Mais
ne
soyons
pas
déclinistes
en ce
moment.
Soyons
simplement
prudents
d'autant
qu'en
se
couchant
à 3h
du
matin,
on ne
se
lève
pas
aux
aurores...
6h.
du
matin,
la
ville
repue
dort
encore
. Pas
un
bruit
de
moteur,
les
rues
sont
désertes,
les
citoyens
qui
ont
fait
le
plein,
ronflent
en
dormant
et
même
les
oiseaux
ont
toujours
les
yeux
clos,
alors
que
l'aube
perce
les
petits
nuages
en
laissant
entrevoir
le
bleu
du
ciel.
La
fête
est "
finie"
pour
la
majorité
d'entre-nous
et
les
yeux
vaporeux
ont
du
mal a
retrouver
l'heure
fatidique
d'un
lever
difficile
pour
reprendre
le
boulot,
pour
certains
malchanceux
dont,
en
quelques
jours,il
faut
bien
l'avouer,
on a
perdu
l'habitude,
mais
ce
n'est
sans
doute
pas
encore,
le
jour
J !
Et
pourtant
quand
faut
y
aller,
faut
y
aller.
Et
encore
ce
n'est
pas
si
sûr.
On
pense
alors
à la
réponse
du
ministre
des
Finances
du
roi
Louis
XVI à
Marie
Antoinette
qui
voulait
ouvrir
un
crédit
: "Si
cela
est
possible,
madame
cela
est
fait.
Si
cela
est
impossible,
cela
se
fera."
Réponse
de
courtisan
habile
bien
sûr.
Ce
siècle
avait
du
talent!
Message
de
condoléances
suite
au
décès
de
Yannick
Amaru.
Déja
un
décès
et le
31
décembre...celui
d'un
homme
charmant.
Il
n'y a
pas
de
trêve
pour
la
faucheuse...
Le
président
Edouard
Fritch
et
son
gouvernement
saluent
la
mémoire
de
Jean,
dit
Yannick,
Amaru,
qui
est
décédé
le 31
décembre
dernier,
alors
qu’il
allait
avoir
89
ans.
Né
en
janvier
1932,
il a
effectué
une
partie
de sa
scolarité
en
France,
chez
les
frères
de
Plöermel,
puis
à
Aix-en-Provence,
pour
des
études
de
droit.
A
son
retour
en
Polynésie,
il
s’est
engagé
en
politique,
en
1965,
aux
débuts
du
Here
Ai’a,
puis
aux
côtés
de
Pouvana’a
a O’opa,
à son
retour
d’exil.
Elu
à
l’Assemblée
territoriale
de
1967
à
1972,
il
est
entré
au
Conseil
de
gouvernement,
en
1977,
aux
côtés
de
Francis
Sanford,
en
étant
en
charge
notamment
de
l’Aménagement,
des
travaux
publics,
et de
l’urbanisme.
Ayant
travaillé
également
aux
Affaires
économiques,
puis
au
service
des
Archives
du
gouvernement,
il a
aussi
été
le
premier
président
du
conseil
d’administration
de
TNTV
(Tahiti
Nui
Télévision),
depuis
la
création
de la
chaîne,
en
2000,
et ce
jusqu’en
2004.
A sa
famille,
et à
ses
proches,
le
président
et le
gouvernement
adressent
leurs
sincères
condoléances.
Vendredi
1er
janvier
2021
Premier
cadeau
de
l'année
à
l'Etat
du
président
Fritch
Nous
sommes
le
Ier
jour
d'une
nouvelle
année
et
déjà
une
info
assez
étonnante
arrive,
celle
de
voir
le
Pays
subventionner
l'Etat
! Il
lâche,
76
millions
Fcfp
pour
financer
la
construction
du
centre
d’hébergement
du
Criobe,
lire
ci-dessous
:
Le
conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
d’investissement
de 76
millions
afin
de
financer
la
construction
d’un
centre
d’hébergement
international
pour
le
compte
du
Centre
de
recherches
insulaires
et
observatoire
de
l’environnement
(Criobe).
Situé
à
Moorea
depuis
1971,
le
Criobe
est
une
structure
reconnue
au
niveau
national
et
international
dont
la
vocation
est
de
réaliser
des
programmes
de
recherche
scientifique.
Depuis
dix
ans,
il
coordonne
le
centre
d’excellence
national
pour
l’étude
des
récifs
coralliens
et
accueille
toujours
plus
d’experts
internationaux.
L’orientation
stratégique
de la
recherche
est
de
faire
de la
Polynésie
française
un
véritable
hub
scientifique
d’excellence
et
d’attractivité
dans
le
bassin
Pacifique,
et il
est
donc
devenu
nécessaire
de
mettre
à
disposition
un
centre
d’hébergement
international
adapté.
Ainsi,
les
locaux
actuels
seront
reconditionnés
en un
plateau
dédié
à
l’expérimentation
et
mis
au
service
des
utilisateurs
(chercheurs,
services
du
Pays,
gestionnaires…)
et en
bureaux
de
recherche
et
d’innovation.
Le
montant
de la
subvention
octroyée
a été
fixé
à
76 millions
Fcfp.
Le
démarrage
des
travaux
est
prévu
à
mi-2021
pour
une
durée
de 9
mois,
avec
une
livraison
au
second
trimestre
2022.
Jeudi
31
décembre
2020
Excellent
réveillon
à
tous
ceux
qui
vont
enterrer
l'année
2020
joyeusement
ce
soir.
Mardi
29
décembre
2020
Le
sapin
est
prêt
pour
recevoir
tous
les
cadeaux
!Heureux
moment
magique
de
Noël...
Coronavirus
: 99
nouveaux
cas
en
24H.
48
hospitalisations
en
cours
16.795
cas
cumulés
108
décès.
Mardi
29
décembre
2020
Et
pendant que
nous
souhaitons
à nos
amis,
à
notre
famille
d'être
heureux
en
2021,
des
jeunes
hommes
meurent
pour
libérer
le
Mali
d'un
joug
barbare.
Pourquoi
?
Pour
la
gloire
de
faire
flotter
le
drapeau
français
sur
des
pays
que
la
France
souhaite
occuper
pour
barrer
la
route
aux
tueurs
islamistes
. Ah,
bien
sûr
nous
menons
l'opération
Barkhane
car
la
persistance
de la
menace
régionale,
alourdit
par
la
mort
de
jeunes
français
cette
occupation,
avec
en
plus
la
collision
de
deux
hélicoptères.
Mais
bon
sang
, il
fallait
bien
tous
ces
morts
pour
poser
la
question
d'un
éventuel
retrait
des
troupes
de la
région
du
Sahel
?
41
morts
depuis
le
début
de
l'opération
et
pourquoi
?
Pourquoi
?
Pour
la
stabilité
de la
région
sous
le
joug
des
djihadistes,
enfin
plutôt
sous
celui
d'un
petit
califat
du
désert
qui
menace
de
s'emparer
de la
capitale
Bamako.
Barkhane
les
freine.
Le
combat
ferme
le
boulevard
aux
islamistes
dont
les
premières
victimes
seraient
les
Africains.
Certes,
mais
on a
envie
de
dire
" ça
suffit"
et ce
n'est
pas
le
projet
Takuba
qui
consiste
à
intégrer
de
petits
contingents
de
Forces
spéciales
européennes
qui
stoppera
la
menace
régionale
et
l'avancée
des
islamistes.
Alors
quoi
? Une
seule
chose:
rasez
leurs
bases
avec
nos
forces
aériennes
au
lieu
de se
lancer
dans
des
combats
traditionnels
mortels. On
a des
avions,
des
hélicos,
mais
que
l'armée
s'en
servent
au
lieu
de la
guérilla
et la
mort
de
nos
soldats.
Le
Mali
n'est
pas
un
maquis
corse.
Soyez
Américains
de
temps
en
temps
et
frappez
fort
ou
partez...
Tanerii
Mauri
du1er
Régiments
de
Chasseurs,
mort
pour
la
France.
Originaire
de
Papeete,
le
brigadier-chef Tanerii
Mauri (28
ans)
avait
rejoint
le 1er
Régiment
de
chasseurs le
4
juin
2013,
après
un
peu
moins
de
deux
ans
au du
régiment
d’infanterie
de
marine
du
Pacifique
–
Polynésie.
Il
sert
en
Sentinelle
en
2016,
puis,
en
mai
2017,
aux
Émirats
Arabes
Unis
au
sein
de
l’escadron
blindé
du 5e
Régiment
de
cuirassiers.
Il
est
en
Côté
d'Ivoire
d’octobre
2018
à
février
2019
comme
pilote
VBL.
Le 15
novembre,
il
est
envoyé
à
Barkhane
comme
adjoint
chef
de
patrouille. Il
était
célibataire
et
sans
enfant
Pierre
Cardin,
grand
nom
de la
mode
française,
est
mort
DISPARITION
Le
pionnier
du
prêt-à-porter
est
décédé
mardi
à
l'âge
de 98
ans
20
Minutes
avec
AFP
Pierre
Cardin
en
juin
2019.
—
BERTRAND
GUAY
/ AFP
Son
nom
est
l’un
des
plus
renommés
de la
mode
française.
Le
couturier
Pierre
Cardin est
décédé
mardi
à
l’âge
de 98
ans,
a
annoncé
sa
famille.
Fils
d’immigrés
italiens
devenu
un
homme
d’affaires
au
nom
mondialement
connu,
ce
styliste
visionnaire
et
pionnier
du
prêt-à-porter
est
mort
dans
la
matinée
à
l’hôpital
américain
de
Neuilly,
dans
l’ouest
de
Paris.
« Jour
de
grande
tristesse
pour
toute
notre
famille,
Pierre
Cardin
n’est
plus.
Le
grand
couturier
qu’il
fut,
a
traversé
le
siècle,
laissant
à la
France
et au
monde
un
héritage
artistique
unique
dans
la
mode
mais
pas
seulement »,
a
écrit
sa
famille
dans
un
communiqué.
« Ambition
tenace
et
audace »
Et de
poursuivre : « Nous
sommes
tous
fiers
de
son
ambition
tenace
et de
l’audace
dont
il a
fait
preuve
tout
au
long
de sa
vie.
Homme
moderne
aux
multiples
talents
et à
l’énergie
inépuisable,
il
s’est
inscrit
très
tôt
dans
les
flux
de la
mondialisation
des
biens
et
des
échanges. »
« Italien
de
naissance,
Pierre
Cardin
n’a
jamais
oublié
ses
origines
tout
en
portant
à la
France
un
amour
inconditionnel »,
écrivent
encore
ses
proches.
Pierre
Cardin
a,
avant
beaucoup
d’autres,
ouvert
un
« corner »
dans
un
grand
magasin
et
fait
défiler
des
hommes.
Il
avait
lancé
à
grande
échelle
un
système
de
licences
qui
lui
assurait
une
diffusion
dans
le
monde
entier,
apposant
son
nom
sur
des
produits
aussi
divers
que
des
cravates,
des
cigarettes,
des
parfums
ou de
l’eau
minérale.
Renommé
en
Asie
Il
s’était
très
tôt
tourné
vers
l’Asie
où il
jouissait
d’une
grande
notoriété : il
s’était
rendu
dès
1957
au
Japon,
alors
en
pleine
reconstruction,
et
avait
organisé
des
défilés
en
Chine
dès
1979.
« Suprême
consécration,
il
[fut]
le
premier
couturier
à
entrer
à
l’Académie
des
beaux-arts,
faisant
reconnaître
la
mode
comme
un
art à
part
entière.
En
atteste
aujourd’hui
son
épée
d’académicien
qu’il
a
lui-même
créée
et
sur
laquelle
sont
gravés
les
symboles
de sa
réussite »,
conclut
sa
famille.
Lundi
28
décembre
2020
Souhaitons
à
tous
une
semaine
cool
et
"maigre"
pour
apprécier
les
agapes
du 31
et du
1er
janvier
2021
où la
fête
battra
son
plein
pour
une
grande
majorité
de
Polynésiens
et où
les
repas
auront
été
concoctés
avec
le
plus
grand
soin.
C'est
que
ce
sont
des
dates
que
nul
ne
peut
oublier.
Souhaitons
surtout
que
2021
baignera
la
Polynésie
et le
reste
du
monde
en
guerre,
dans
le
bonheur
de
jours
enfin
tranquilles
pour
certains,
que
les
hommes
oublieront
leur
rancune,
leur
soif
de
batailles
et de
pouvoir,
leur
orgueil
aussi,
afin
de
favoriser
un
sentiment
qui
ne
s'altère
ni
avec
le
temps
ni
avec
les
évènements
en
principe,
l'amitié
pour
les
uns,
l'amour
pour
les
autres.
un
voeu
pieux
!
Je
souhaite
à
tous
mes
amis,
à
tous
mes
confrères,
proches
ou
lointains,
à ma
famille,
à
Gaston
Flosse
qui
frise
les
90
ans
d'un
pied
alerte,
à
ceux
qui
ont
mauvais
caractère
( il
parait
que
j'en
suis
mais
j'en
doute
!) de
devenir
en
2021,
"la
crème
des
hommes
et
des
femmes"
comme
disait
ma
grand-mère
corse
qui
avait
tout
laissé
pour
rejoindre
le
maquis
et se
battre
contre
l'occupant
dans
les
funestes
années
1940/42,
paix
à son
âme.
Mais
aussi
que
2021
ne
soit
que
du
bonheur,
grâce
à une
santé
de
fer
pour
tous,
contre
laquelle
les
coups
du
sort
viendront
se
fracasser..
Après
tout,
"why
not"
!!!
Vendredi
25
décembre
2020
:
Trop,
c'est
trop,régime
toute
la
semaine
pour
atteindre
sain
et
sauf
le
1er
janvier
2021
!
Jeudi
24
décembre
2020
:
Etat
du coronavirus
: 56
nouveaux
cas,
60
hospitalisations,
16.466
cas
cumulés, 107
décès
(
c'est
beaucoup!)
On ne
sera
pas
tous
heureux
ce
soir
!
Une
heure
plus
tard
: 84
nouveaux
cas,
52
hospitalisations,
108
décès,
16.550
cas
cumulés
A ce
jour
tous
les
compteurs
économiques
sont
au
rouge.
De
nombreuses
entreprises
annoncent
une
perte
de
leur
chiffre
d'affaires
de
50%.
Le
confinement
du
mois
de
mars
a
fait
des
dégâts
dans
le
milieu
économique.
Les
plus
touchées
des
entreprises
vont
obtenir
une
aide
du
pays
afin
d'éviter
des
licenciements.
Signature
de
convention
pour
l’avance
en
compte
courant
à
Tahiti
Nui
Hélicoptère
Le
Président
Edouard
Fritch
et le
président
directeur
général
de
Tahiti
Nui
Helicopters,
Mathieu
Bechonnet,
ont
signé,
jeudi
matin,
une
convention
relative
à
l’avance
en
compte
courant
octroyée
par
le
Pays
à
Tahiti
Nui
Helicopters.
La
signature
s’est
déroulée
en
présence
également
du
ministre
des
Finances
et de
l’Economie,
Yvonnick
Raffin.
Cette
convention
porte
notamment
sur
les
modalités
de
versement
de
cette
avance
en
compte
courant
de
200
millions
Fcfp.
Ces
moyens
financiers
vont
notamment
permettre
de
garantir
l’activité
des
transferts
sanitaires
des
habitants
des
îles
autres
que
Tahiti,
notamment
celles
des
Marquises,
vers
le
Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française.
Subvention
à
l’Agence
immobilière
sociale
de
Polynésie
française,
Rahu
Ora
Sur
proposition
du
ministre
du
Logement,
le
Conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
de
150
millions
Fcfp
en
faveur
de
l’association
Rahu
ora,
l’Agence
immobilière
sociale
de
Polynésie
française,
correspondant
à la
deuxième
tranche
de la
subvention
annuelle
prévue
pour
cette
association.
L’association
a
pour
activité
de
louer
des
logements
auprès
de
propriétaires
privés
et de
les
mettre
à
disposition
de
familles
modestes
connues
des
services
sociaux
et
répondant
aux
critères
d’éligibilité,
moyennant
une
participation
financière
de
leur
part,
qui
peut
correspondre
à un
tiers
du
loyer
ou à
un
tiers
des
revenus
du
ménage.
A cet
effet,
une
subvention
annuelle
de
300
millions
Fcfp
est
ainsi
prévue
pour
l’association,
afin
de
lui
permettre
de
compléter
les
loyers
des
biens
loués
et
d’intervenir
sur
les 3
volets
suivants
:
-
Volet
« urbain »
(jusqu’à
200
logements),
pour
rapprocher
les
familles
des
organismes
de
formation
ou de
leur
lieu
d’activité
professionnelle
-
Volet
« rural » (jusqu’à
25
logements),
pour
les
familles
qui
forment
le
projet
de
s’investir
dans
un
projet
d’exploitation
agricole
-
Volet
« étudiants »
(jusqu’à
50
logements),
pour
compléter
l’offre
de
logements
existante
(Université
de la
Polynésie
française,
Institut
de la
Jeunesse
et
des
sports
de la
Polynésie
française),
destinée
essentiellement
aux
étudiants
post-bac,
effectuant
des
études
supérieures.
Cette
subvention
a été
scindée
en 2
tranches
de
150
millions
Fcfp
chacune
pour
répondre
rapidement
aux
besoins
budgétaires
liés
à la
Covid-19.
La 1ère
tranche,
déjà
versée,
a
concerné
essentiellement
les
dépenses
relatives
au 1er
semestre
2020.
Celles
liées
au
second
semestre
ont
donc
nécessité
le
versement
de
cette
2ème
tranche.
Premier
bilan
des
formations
mises
en
oeuvre
par
le
SEFI
pour
les
personnes
sans
domicile
fixe
Depuis
le 4
décembre
2017,
5
formations
professionnelles
comprenant
de la
remobilisation,
de la
remise
à
niveau
ainsi
que
des
stages
pratiques
en
entreprises,
ont
été
mises
en
place
par
le
SEFI,
à
destination
d’un
public
extrêmement
éloigné
de
l’emploi,
le
public
des
sans
domicile
fixe
(SDF).
Chacune
de
ces
formations
a
fait
l’objet
de
réajustements
successifs
et
d’un
accompagnement
personnalisé,
pour
mieux
répondre
à
l’attente
et
aux
besoins
de ce
public
particulier
en
vue
de
son
insertion
sociale
et
professionnelle.
De
fait,
de
véritables
parcours
sur
mesure
ont
été
bâtis
pour
répondre
au
mieux
à la
situation
personnelle
de
chacun,
afin
d’essayer
d’atténuer
un à
un
les
freins
périphériques
à
l’emploi,
l’objectif
étant
leur
insertion
professionnelle.
Ainsi,
55
personnes
ont
bénéficié
de
formations.
A
l’issue
de
celles-ci,
38
stagiaires
SDF
sur
les
55
sont
allés
au
terme
de
leur
formation,
soit
un
taux
de
réussite
de
70%,
4
personnes
ont
obtenu
directement
un
contrat
de
travail
à
l’issue
de la
formation,
et 20
CAE
ont
été
accordés
en
fin
de
formation,
dans
le
secteur
marchand.
En
outre,
3
personnes
ont
été
orientées
vers
la
COTOREP
et
bénéficient
d’une
reconnaissance
de
travailleur
handicapé
en
milieu
adapté
ou
ordinaire
avec
des
mesures
d’aide
adaptées
(SITH).
Mercredi
23
décembre
2020
Et le
voilà
le
jour
tant
attendu,
il
arrive
auréolé
de
pluie
le
23,
avant-veille
du
jour
de
Noël
que
la
majorité
des
gens
fête
sans
plus
se
souvenir
de ce
pourquoi
ils
le
fêtent
!
Mais
à
Tahiti
le
soleil
et la
lune
manquent
à
l'appel
laissant
la
place
a la
pluie
qui
s'est
invitée
depuis
48h.
Ce
n'est
pas
coutumier
bien
que
ce
soit
l'époque
des
pluies.
Cette
pluie
là à
plus
de
vices
que
de
vertus.
Les
piscines
débordent,
les
plantes
sont
saoules,
les
rues
sont
dangereuses,
les
commerçants
la
maudissent
alors,
histoire
de
faire
un
geste
sympathique,
elle
s'arrête,
puis
reprend
quand
vous
pensez
que
c'est
fini,
plus
fort
encore.
Les
artificiers
vont
avoir
du
mal à
faire
partir
leur
feu
d'artifice
qui
n'a
d'ailleurs
pas
sa
place
à
Noël.
Chacun
son
programme.
A
Noël
une
bonne
partie
des
gens
les
plus
religieux
sont
à
l'église,et
pour
la
veille
du
jour
de
l'An,
qui
n'a
jamais
promis
une
année
sympathique
bien
que
des
millions
de
gens
se la
souhaitent
"bonne",
les
pétards
sont
rois.
Attachez
vos
chiens
ou
gardez
les
avec
vous
si
vous
les
aimez.
Quant
au
Covid,
il
déprime...
Que
voulez-vous
une
majorité
de
personnes
,
petits
et
grands,obéissants
aux
mots
d'ordre
restent
chez
eux.
Les
virus
ont
l'estomac
dans
les
talons,
pas
ceux
qui
font
la
fêtent
Que
voulez-vous
on ne
peut
pas
plaire
à
tout
le
monde
et
surtout
pas
au
Covid
19 !
Alors
bonnes
fêtes,
à la
maison
!
PS
Vous
pouvez
aller
faire
votre
shopping
chez
Carrefour
et
chez
Champion,
ça
marche
!
"Le
plan
France-relance"
dont
certains
appels
à
projets
sont
d'ores
et
déjà
applicables
en
Polynésie
s'articule
autour
de
trois
volets
:
l'écologie,la
compétitivité,
et la
cohésion.
Les
mesures
de ce
plan
entreront
en
vigueur
progressivement
jusqu'en
2022
mais
certains
appels
à
projets
du
Plan-France
relance,
sont
dès
aujourd'hui
applicables
en
Polynésie
française.
Yvonnick
Raffin
à
propos
de
l'impôt
sur
le
revenu,
tel
le
serpent
qui
se
mort
la
queue
à
épisodes
réguliers,à
dit
avec
bon
sens
: "
Je
ne
suis
pas
convaincu
que
procéder
par
mimétisme
par
rapport
aux
dispositions
nationales
soit
opportun".
Bien
vu !
Par
ailleurs
,
comme
d'autres
avant
lui,
il
est
persuadé
qu'il
y a
des
enseignements
à
tirer
de la
crise
actuelle
pour
modifier
au
mieux,
l'avenir
du
gouvernement
en
2021.
Impôt
sur
le
revenu
et
caisse
de
chômage
ne
sont
donc
pas à
l'ordre
du
jour.
Deux
cardinaux
dans
l'entourage
du
pape
positifs
au
Covid-19.
Dieu
n'épargne
pas
les
siens
!
Opération
solidarité
Le
cyclone
Yasa,
de
catégorie
5, a
frappé
l’île
de
Vanua
Levu,
à
Fidji,
le
jeudi
17
décembre
au
matin
précipitant
des
milliers
de
Fidjiens
dans
le
dénuement.
Le
gouvernement
fidjien
a
émis
le 21
décembre
un
appel
aux
dons
adressé
à
toutes
les
ambassades
et
aux
organisations
régionales
et
internationales
basées
à
Suva,
à
Fidji,
dont
le
Forum
des
îles
du
Pacifique.
Le
Président
Edouard
Fritch
a
annoncé
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
mardi
22
décembre,
que
le
Pays
allait
apporter
une
aide
en
nature
à la
population
de
Fidji,
avec
un
budget
pour
cette
opération
de 15
millions
de
Fcp.
Des
étudiants,
artistes
et
influenceurs
sur
les
réseaux
sociaux,
en
Polynésie,
ont
souhaité
également
s’associer
à
cette
opération,
pour
faire,
en
partenariat
avec
le
gouvernement
de la
Polynésie
française,
un
appel
à la
solidarité
à
tous
les
Polynésiens.
Solidarité
Fidji
2020
est
donc
un
appel
aux
dons
de
vêtements
divers
de
toutes
tailles
à
destination
des
habitants
des
îles
Fidji,
sous
le
haut
patronage
de la
Croix
Rouge
et du
Gouvernement
de la
Polynésie
française.
Ces
dons
pourront
être
déposés
soit
dans
les
mairies
des
communes
de
Tahiti
au
plus
tard
samedi
26
décembre
2020
à
midi
au
plus
tard,
soit
à la
Présidence
de la
Polynésie
française,
par
l’entrée
côté
Socredo,
(chapiteau,
à
l’arrière
du
bâtiment
principal),
jusqu’au
dimanche
27
décembre
à
midi,
soit
à
Aorai
Tini
Hau à
partir
du
mercredi
23
décembre
2020
jusqu’au
dimanche
27
décembre
2020
à
midi.
Compte-tenu
des
délais,
l’appel
aux
dons
n’est
destiné
qu’aux
habitants
de
Tahiti
et
Moorea.
Le
départ
du
navire
Tahiti
Nui,
qui
acheminera
les
dons,
est
prévu
le
lundi
28
décembre
2020
à
midi.
Dimanche
20
décembre
2020
Miss
Normandie
élue
Miss
France
2021,
aucune
miss
des
Outre-mer
dans
le
palmarès
Après
la
brune
tahitienne
Vaimalama
miss
France
2020,
voici
la
blonde
Miss
Normandie,Amandine
Petite
élue
Miss
France
2021,
lors
du
prestigieux
concours
La
nouvelle
miss
France
2021,
la
blondeur
de la
Normandie
Pour
les
100
ans
du
concours
de
beauté,
les
Outre-mer
ne
seront
malheureusement
pas
représentés
dans
le
palmarès,
après
deux
années
marquées
par
les
règnes
de la
Guadeloupéenne
Clémence
Botino
et de
la
Tahitienne
Vaimalama
Chaves.
C'est
Miss
Normandie
qui
remporte
le
titre
de
Miss
France
2021.
Elles
étaient
sept
candidates
pour
représenter
les
Outre-mer,
mais
aucune
n'a
malheureusement
atteint
le
tant
convoité
podium
de
Miss
France
2021.
C'est
Amandine
Petit,
Miss
Normandie, qui
a
finalement
obtenu
la
couronne
lors
de
cette
91ème
élection.
Miss
Provence est
la
1ère
dauphine,
suivie
de
Miss
Côte
d'Azur, deuxième
dauphine.
Courrier
de la
Réunion.
Nicole
Dubarry,
la
plume
plutôt
acérée
vit
et
écrit
dans
le
journal
de la
Réunion.
Nous
publions
ci-dessous
ses
remarques
sur
la
télévision
notamment
sur
un
surplus
de
pubs
! Pan
sur
le
bec !
PRÉCARITÉ
ET
TÉLÉVISION
Devenu
l’outil
premier
du
mensonge
et de
la
bêtise
, la
télévision
a une
urgence
absolue
:
faire
jaillir
une
étincelle
de
connaissance
et de
vérité
dans
ce
monde
ou la
précarité
gagne
de
plus
en
plus
de
terrain
et où
la
société
est
de
plus
en
plus
malade
de
ses
excès
Lors
d’un
discours
Emmanuel
Macron
avait
dit
parlant
de la
télévision
: « C
‘est
la
honte
de
notre
République
»
il
est à
présent
président
rien
a
changé
C’est
une
arme
de
destruction
massive
des
relations
humaines
.
Beaucoup
laisse
la
télé
organiser
leur
temps
de
loisir
,pourtant
elle
nous
plombe
le
moral
quand
le
ministre
de la
santé
énumère
le
nombre
de
morts
du
Covid
19 ,
plus
toutes
les
enquétes
criminelles
ou
l’on
voit
des
meurtres
en
direct
,
quel
impact
sur
les
jeunes
cerveaux
dont
la
sensibilité
est
en
baisse
croissante!
Quand
le
sordide
et
l’atteinte
à la
dignité
font
de
l’audit
mat
qu’elle
importance
!
Toutes
les
émissions
sans
exception
et
tout
naturellement
sont
entrecoupées
de
pubs.
Pubs
mensongères
pour
la
majorité
,
véritables
traques
boulimiques
de
profits
,fléau
absolu
de
notre
société
de
consommation
:des
pubs
renouvelées
sans
cesse
toutes
plus
idiotes
les
unes
que
les
autres
mais
grand
pouvoir
de
nuisance
:
abrutissement
complet
du
téléspectateur
déjà
hébété
par
la
médiocrité
du
programme
Alors
à
quand
un
bon
film
,
une
bonne
pièce
de
théâtre
mais
pas
déjà
vue
et
pas à
23 h
ms a
20 h
comme
en
métropole
on
peut
toujours
rêver
!!!!!!!
Pour
finir
sur u
ne
note
optimiste
et
malgré
l’austérité
et le
covid
qui
nous
guette
,
espérons
qu’en
cette
période
de
fêtes
notre
télévision
se
mettra
sur
son
31 et
nous
délivrera
un
grand
nombre
d’émissions
nouvelles
ruisselantes
de
musique
de
joie
de
paillettes
et
d’amour
afin
d’
illuminer
les
yeux
des
enfants
...et
les
nôtres
!
Joyeuses
fêtes
Nicole
Dubarry
Jeudi
17
décembre
2020
Emmanuel
Macron
a été
diagnostiqué
positif
au Covid-19.
Un
manque
de
respect
du
virus
envers
la
République
(sic!)
Le
président
de la
République
s’est
placé
en
isolement,
mais
« continuera
de
travailler ».
Le
premier
ministre,
Jean
Castex,
s’est
lui
aussi
isolé.
Etat
du
covid
19 :
144
nouveaux
cas,
16.118
cas
confirmés,
54
hospitalisations,
101
décès
Tahititoday
souhaite
à
tous
ses
lecteurs
de
très,
très
bonnes
fêtes
de
fin
d'année
et en
particulier
un
excellent
Noël.
A
propos
Le
nouvel
aménagement
de
l'esplanade
"Jacques
Chirac"
comme
l'avait
baptisé
dès
le
départ
Gaston
Flosse
l'avait
inspiré
sans
lui
donner
le
temps
de
réaliser
son
projet,
Michel
Buillard,
le
maire
de la
ville,
l'a
fait.
Les
invités
se
bousculaient
hier
lors
de
"l'ouverture
des
portes",avec
le
coup
de
ciseau
du
traditionnel
ruban
de
fleurs,
mais
le
promoteur
originel
n'a
pas
été
invité
à
célébrer
ce
qu'il
avait
programmé
il
y a
quelques
années.
Dommage
que
les
haines
d'amour
propre
soient
aussi
bétonnées
dans
le
coeur
de
certains
élus
polynésiens.
La
rancune
est
mauvaise
conseillère,
la
grandeur
d'âme
a
perdu
son
chemin
habituel,
celle
du
coeur,
la
réalisation
au
top
et
ceux
qui
n'avaient
jamais
pensé
à
utiliser
cet
emplacement
comme
les
Buillard,
Bouteau
etc..
péroraient
comme
s'ils
étaient
"papa,
mama"
du
projet.
Astap
!
Mais
le
principal
finalement,
c'est
qu'ils
aient
mené
le
projet
Flosse
à sa
finalité.
Coût
: un
milliard.
Rien
n'est
gratuit
à
Papeete.
Cette
esplanade
"
Jacques
Chirac"
a
donc
été
financée
par
le
port
autonome
sur
fonds
propre,
le
maire
de la
ville
n'ayant
pas
mis
un
sou..
L'ancien
président
n'ayant
pas
été
invité,
bien
sûr,
car
il
aurait
pu
détourner
l'attention
des
invités
sur
sa
personne
en
lieu
et
place
de
celle
des
vedettes
(sic)
actuelles,
les
invités
ont
été
sélectionnés
avec
soin,
car
on
gouverne
mieux
les
hommes
par
leur
orgueil
à
cuire
sous
le
soleil
que
par
leurs
vertus.
Ainsi
va la
vie
en
Polynésie,
le
principal
étant
la
concrétisation
petit
à
petit
de
l'embellissement
du
port
et de
la
ville,
il
n'est
que
temps,
a
partir
des
trottoirs
qui
en
ont
bien
besoin.
Prochaine
étape
prévue
il y
a
quelques
mois
par
le
président
du
pays,
les
gratte-ciels
sur
le
front
de
mer
(sic!!!).
L'ambition
n'a
pas
de
limite
à
force
de
rêver
de
Hawaï.
Flosse
imaginait,
lui,
de
faire
les
mêmes
jardins
à son
retour
de
Honolulu
à
l'aide
de
photos
prises
par
des
photographes
professionnels.
Edouard
Fritch
beaucoup
plus
ambitieux
rêve
de
faire
les
mêmes
"skyscrapers".
Chacun
ses
goûts.
En
attendant,
notre
voisine
les
Fidji
, est
balayée
par
le
super
cyclone
Yasa
l'un
des
plus
puissants
jamais
enregistrés
dans
le
Pacifique
sud
avec
des
rafales
terrifiantes
de...
345
Km/h,
générant
des
vagues
géantes
de 10
mètres
de
haut
selon
les
services
météorologiques.
Quid
de la
population
?
Pauvres
gens...
Le
code
électoral
fait
loi
Le 20
octobre
dernier,
le
tribunal
administratif
de
Papeete
avait
annulé
l'ensemble
des
élections
de
maires
délégués
qui
ne
respectaient
pas
la
nouvelle
mouture
du
code
électoral.
En
effet,
plusieurs
majorités
au
conseil
municipal
n'avaient
pas
respecté
la
loi
portée
par
la
sénatrice
Tapura
en
2016
pour
éviter
l'élection
de tāvana
délégués
issus
d'une
minorité
dans
les
communes
associées.
Pour
autant,
les
maires
fautifs
ne
semblent
toujours
pas
résolus
à
appliquer
la
loi,
puisque
nombre
d'entre
eux
ont
fait
appel
de la
décision
du
tribunal
administratif,
malgré
les
précisions
sans
appel
du
code
électoral
et de
la
juridiction
administrative…
Si
Tahiti
Infos
s'était
déjà
fait
l'écho
d'une
vague
d'appel
dans
les
communes
associées
de
Taha'a,
pourtant
à
majorité
Tapura,
il
faut
ajouter
à la
liste
les
appels
des
maires
de
Taiarapu
Est,
Hitia'a
o te
ra et
Tumara'a.
Dans
le
détail,
à
Taiarapu
Est,
c'est
l'élue
Béatrice
Lucas
qui
aurait
dû
décrocher
le
siège
de tāvana
déléguée.
À Hitia’a
o te
ra,
un
grand
remue-ménage
avait
été
ordonné
dans
les
communes
associées
de
Tiarei,
Mahaena
et
Hitia’a
où
des
listes
d’opposition
étaient
arrivées
en
tête,
respectivement
conduites
par
Dauphin
Domingo,
Victor
Tchoung
et
Alphonse
Seminadame.
Et à
Raiatea,
l’élection
de la
maire
déléguée
de
Tehurui
avait
été
annulée,
dans
la
commune
de Tumara'a.
Léontine
Ebera,
colistière
Tapura
Amui
et
proche
de
Cyril
Tetuanui
avait
été
déchue
au
profit
de
Rino
Opara.
Un
jeu
de
chaises
musicales
qui
attendra
donc
les
décisions
de la
cour
d'appel.
Rappelons
qu'à l’issue
du
dernier
scrutin
des
municipales,
nombreux
sont
les
maires
qui
ne
s'étaient
pas
résolus
à
suivre
les
dispositions
de la
loi
de
2016
relative
à
l’élection
des
conseillers
municipaux
dans
les
communes
associées
de la
Polynésie
française.
Le
texte
précisait
que
dans
les
communes
associées,
le
maire
délégué
devait
être
choisi
sur
la
liste
arrivée
en
tête
dans
la
section
de
commune
concernée, même
si
cette
liste
n’est
pas
celle
qui a
gagné
les
élections
sur
l’ensemble
de la
commune.
Mercredi
16
décembre
2020
Coronavirus
:
104
nouveaux
cas,
15.974
cas
cumulés,
56
hospitalisations
et 98
décès.
A
propos
Comment
peut-on
laisser
faire
ce
qui
suit
en
2020
?
Aucune
autorité
des
grands
pays
ne
tente
d'y
mettre
fin ?
Mais
que
de
souffrances
d'un
autre
âge
pour
certaines
femmes,enfants
et
hommes.
est-ce
tolérable
?
Non.
Seuls
les
maîtres
du
monde
pourraient
stopper
l'engrenage,
mais
ils
ne le
font
pas.
Lisez
c'est
édifiant.
Les
négriers
existent
toujours.
ONG =
ASSOCIATION
de
VOYOUS
L' Aquarius
est
un
ex-garde-côtes
allemand,
maintenant
propriété
de
l’entreprise
allemande
«
Jasmund
Shipping
» qui
l’a
immatriculé
à
Gibraltar
(paradis
fiscal)
et le
loue
à «
SOS
Méditerranée
»
(ONG
grassement
subventionnée).
Il
est
basé
à
Catane
en
Sicile
où il
attend,
rarement
plus
de
quelques
heures,
que
lui
soit
signalé
en
quel
point
précis
de la
côte
libyenne
ou il
doit
aller
chercher
son
fret
:
des
humains
que «
Jasmund
Shipping
»
facture
aux
ONG
3.000
€ -
par
tête
-
pour
le
transport
d’Afrique
en
Europe.
Car
il va
de
soi
que,
ces
pauvres
migrants
n’ayant
pas
les
moyens
de
payer
leur
transport
:
c’est
que
quelqu’un
d’autre
paie
pour
eux.
C’est
là
que
les
choses
deviennent
obscures.
Mais
ce
qui
est
certain,
c’est
que
depuis
le
départ
de
leur
village
jusqu’au
débarquement
dans
les
ports
de
l’Europe,
ils
n’ont
pas
déboursé
un
sou.
Le
schéma
est
le
suivant:
Des
rabatteurs
payés
par
les «
ONG
humanitaires
»
repèrent
dans
les
villages
majoritairement
sub-sahariens
et
d’Afrique
occidentale
des
jeunes
hommes
de
préférence
vigoureux,
comme
le
malien
Mamoudou
Gossama.
Ils
leur
font
miroiter
une
vie
formidable
en
Europe
qui
leur
permettra
de
vivre
confortablement
et
d’envoyer
de
l’argent
à
leurs
familles.
Un
pourcentage
de
jeunes
femmes
et
d’enfants
− de
l’ordre
de
10%
de
l’effectif
− y
est
ajouté
pour
avoir
de
quoi
faire
des
photos
et
des
vidéos
de
propagande
dramatiques
en
cas
de
problème.
Elles
feront
pleurer
les
foules
occidentales
pour
convaincre
les
peuples
européens
et
leurs
gouvernements
qu’il
est
inhumain
de
refuser
l’accueil
à ces
pauvres
«
réfugiés-naufragés
»
Ce
schéma
«
idéal
» est
un
DOUBLE-MENSONGE
Ils
ne
sont
ni
réfugiés
(mais
migrants
économiques),
ni
naufragés
(puisque
leur
naufrage-sauvetage
est
soigneusement
programmé).
Chassez
le
naturel…
Chargés
en
surnombre
dans
des
camions,
ils
sont
acheminés
en
Libye.
Là
ils
sont
enfermés
dans
des
conditions
inhumaines,
voire
des
cages,
et un
tri
est
effectué.
Une
partie
des
jeunes
mâles
et
les
plus
jolies
des
filles
sont
achetés
par
des
trafiquants
arabes
qui
les
revendent
à
d’autres
esclavagistes
arabes
jusqu’en
Arabie
et
dans
certains
Émirats.
Il
s’agit
là de
la
perpétuation
de la
multiséculaire
traite
d’esclaves
arabo-musulmane
autorisée
par
le
Coran.
Attention
: on
ne
dit
pas
n’importe
quoi
s’il
vous
plaît
!
Au
cours
du
voyage,
les
futurs
assistés
de la
générosité
européenne
sont
briefés
:
1.
jouer
les
victimes
de la
misère,
de
l’oppression
politique,
sociale,
sexuelle
ou
religieuse
dans
leur
pays
d’origine
;
2.
ne
pas
dire
un
mot
sur
la
gratuité
du
voyage
et au
contraire,
raconter
qu’il
leur
en a
coûté
2.000
€ ;
3.
ne
pas
parler
tout
de
suite
de
leurs
maux
physiques
(maladies
graves
et
contagieuses,
parasites
comme
la
gale,
MST,
etc.)
;
4.
cacher
qu’ils
ont
reçu
100
ou
200 €
avant
de
débarquer.
Un
téléphone
portable
ou
une
tablette
en
anglais,
arabe,
français
et
persan
+ une
liste
d’adresses
et de
numéros
de
téléphone
(2)
d’autres
associations
et de
services
publics
dans
les
villes
du
pays
où
ils
envisageaient
d’aller…
Les
habitants
de
Valence
et
environs,
où
ont
débarqué
les
Africains
de l’Aquarius,
ont
été
surpris
de
les
voir
sortir
des
billets
de 50
et
100 €
pour
payer
alcools,
restaurants,
cigarettes.
Environ
un
tiers
des
migrants
ont
disparu
très
vite
dans
la
nature,
jetant
dans
les
poubelles
de la
ville
les
vêtements
gris,
noirs
et
rouges
trop
voyants
que
leur
avait
donné
la
Croix
Rouge
espagnole.
QUI a
intérêt
à
financer
ce
trafic
humain
?
QUI
FINANCE
et
DANS
QUEL
INTÉRÊT
ce
trafic
négrier,
si
les
Noirs
amenés
en
Europe
sont
laissés
en
liberté
à
leur
arrivée
?
À long
terme,
les
entreprises
multinationales
et
les
grandes
entreprises
industrielles
qui
comptent
sur
une
main-d’œuvre
non
qualifiée
ou
formée
aux
frais
des
États,
qui
sera,
quand
elle
sera
devenu
«
employable
»,
payée
au
niveau
le
plus
bas,
ce
qui
contrariera
les
demandes
d’augmentations
salariales
des
ouvriers
européens.
Cette
main
d’œuvre
sera
docile,
au
moins
dans
les
premiers
temps.
Mais
on ne
trouve
pas
de
traces
de
financement
des
ONG
par
les
entreprises.
Pourquoi
vers
l’Europe
?
On
peut
se
demander
pourquoi,
si
l’objectif
de l’Aquarius
est
vraiment
de «
sauver
» des
malheureux
en
perdition,
ne
les
amène-il
pas
vers
les
ports
tunisiens
tout
proches
où
ils
seraient
réconfortés
et
soignés
?
Les
ânes
des
ONG
qui
programment
la
mort
de
l’Europe
D’abord
parce
qu’ils
n’ont
jamais
été
réellement
en
perdition
et,
comme
l’a
déclaré
Sophie
Beau,
porte-parole
de «
SOS
Méditerranée
»,
parce
que
le
droit
d’entrée
en
Tunisie
pour
les
migrants
est
plus
strict
que
les
droits
des
pays
C’est
pourquoi
le
gouvernement
italien
s’interroge
sur
les
rapports
négriers
entretenus
entre
« SOS
Méditerranée
» et
des
passeurs
qui
n’hésitent
pas à
saborder
les
embarcations
pour
placer
les
autorités
européennes
devant
le
fait
accompli.
Et
tous
oublient
l’essentiel
qui
est
de «
réparer
» la
Libye,
pays
détruit
en
2011,
date
de la
funeste
intervention
internationale,
qui
fermait
notre
frontière
sud-est.
Mairie
de
Marseille :
les
dessous
de la
démission
de
Michèle Rubirola
« Si
je ne
me
fais
pas
écraser,
je
serai
là »,
promettait
la
nouvelle
maire
de la
cité
phocéenne
il y
a
encore
deux
mois.
Mardi
15 décembre,
elle
a
pourtant
annoncé
qu’elle
allait
céder
son
poste
à
Benoît
Payan,
son
premier
adjoint
socialiste.
Publié
aujourd’hui
à
06h56,
mis à
jour
à
12h41
Michèle
Rubirola
lors
de
l’annonce
de sa
démission,
à la
mairie
de
Marseille,
le
15 décembre.
FRANCE
KEYSER
POUR
"LE
MONDE"
Le
scénario
ressemble
comme
deux
gouttes
d’eau
à
celui
du
Baron
noir,
ce
cacique
d’un
Parti
socialiste
(PS)
en
ruines
qui,
à
force
de
manœuvres,
réussit,
dans
la
série
française
de
Canal+,
à
accéder
au
pouvoir
tant
convoité.
Mardi
15 décembre,
dix
jours
avant
Noël,
Michèle
Rubirola
a
annoncé
qu’elle
« quittait
ses
fonctions »
et
souhaitait
échanger
sa
place
de
maire
de
Marseille
avec
son
premier
adjoint,
le
socialiste
Benoît
Payan,
qui
n’avait
pas
pu
mener
la
liste
de la
coalition
de
gauche
du
Printemps
marseillais
aux
dernières
élections
municipales.
A
16 h 15,
Michèle
Rubirola
gagne
d’un
pas
qu’elle
veut
décidé
–
elle
boite
en
effet
du
genou
et
vient
de
subir
des
infiltrations
–
la
grande
salle
des
mariages
de
l’hôtel
de
ville
de
Marseille,
où
l’attend
la
presse.
L’élue
écologiste
vient
de
quitter
son
bureau,
au
premier
étage
de la
mairie
– un
bureau
qu’elle
n’a
jamais
vraiment
décoré
ni
investi.
L’inscription
« Monsieur
le
Maire »
n’a
pas
été
modifiée.
Dans
la
grande
salle
des
mariages,
où
une
enfilade
de
cartouches
égrène
les
noms
de
ceux
qui
ont
dirigé
la
ville,
personne
n’a
non
plus
pris
le
temps
d’inscrire
le
sien.
Six
mois
après
son
élection,
Michèle
Rubirola,
première
femme
élue
à la
tête
de la
deuxième
ville
de
France,
ressemblait
toujours
à une
maire
fantôme.
Quand
elle
s’installe
au
pupitre,
dos à
la
Bonne
Mère,
mardi,
le
visage
de la
médecin
de
64 ans
semble
déjà
soulagé.
Elle
fait
face
à un
mur
de
journalistes
qui
attend
la
confirmation
d’une
décision
annoncée
dimanche
après-midi,
dans
la
mairie,
à
Benoît
Payan.
« Je
pars »,
lui
a-t-elle
dit,
en
expliquant
qu’une
opération
du
genou
lui
est
conseillée
début
2021
si
elle
ne
veut
pas
claudiquer
à
vie.
La
nouvelle
est
ensuite
distillée
dans
l’intimité
de
son
bureau
à ses
plus
proches
adjoints,
au
téléphone
à
quelques
amis,
puis
aux
membres
du
groupe
municipal
du
Printemps
marseillais
dans
une
salle
de
l’hôtel
de
ville,
en
début
d’après-midi.
Dans
la
matinée,
Michèle
Rubirola
a
aussi
officiellement
présenté
sa
démission
au
préfet
des
Bouches-du-Rhône.
Et
pris
le
temps
de
joindre
Anne
Hidalgo,
la
maire
de
Paris,
une
autre
femme,
pour
expliquer
les
raisons
de sa
démission
et
peut-être
chercher
un
brin
de
réconfort.
Une
maladie
qu’elle
n’a
jamais
nommée
Devant
la
presse,
elle
invoque
sa
santé.
Une
maladie
qu’elle
n’a
jamais
nommée
et
qui
lui a
valu
une
opération,
en
septembre,
puis
une
convalescence
de
quatre
semaines.
« Ces
épreuves
ne
m’empêchent
pas
de
servir
les
Marseillaises
et
les
Marseillais,
rassure-t-elle,
mais
elles
limitent
l’énergie
que
je
peux
y
consacrer.
Etre
maire
à
Marseille,
c’est
300 %
de
son
temps,
j’en
donne
150 %. »
Inauguration
du
nouvel
aménagement
de
l’esplanade
Chirac
La
cérémonie
s’est
déroulée
en
présence
également
du
ministre
des
Finances
et de
l’Economie,
Yvonnick
Raffin,
de la
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
du
ministre
des
Grands
travaux,
René
Temeharo,
du
président
de
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
Gaston
Tong
Sang,
et du
maire
de la
ville
de
Papeete,
Michel
Buillard.
Ce
nouveau
site
offre
désormais
à la
population
et
aux
visiteurs
des
aménagements
modernes.
Il
accueille
notamment
deux
restaurants,
Le
Moana,
d’une
surface
de
256m²,
pour
une
capacité
de
145
personnes.
Le
restaurant
est
prolongé
par
une
terrasse
deck
sur
l’eau,
et
offrira
une
carte
gastronomique
polynésienne.
Quant
au
deuxième
restaurant
de la
place,
le
Meherio
Tahitian
Bistro,
il
est
situé
au
cœur
de la
marina,
et
dispose
d’une
surface
de
571m².
Le
restaurant
à
l’étage,
et la
terrasse
«
lounge
»
avec
un
bar
en
rez-de-chaussée,
ont
une
capacité
d’accueil
de
360
personnes.
Des
bureaux
du
port,
destinés
aux
plaisanciers,
sont
également
implantés
dans
cette
zone
rénovée.
Situé
à
proximité
de la
marina,
cet
espace
a
pour
objectif
de
rendre
les
formalités
administratives
plus
accessibles.
Les
plaisanciers
pourront
en
effet
bénéficier
d’un
nouvel
espace
d’accueil
et de
sanitaires
neufs.
La
durée
de
travaux
a été
de 2
années,
et le
coût
total
de
l’investissement
de ce
nouveau
site
sur
le
front
de
mer,
a
été
de
1 016 245 583
Fcfp,
financés
par
le
Port
autonome
de
Papeete
sur
fonds
propres.
Les
travaux
de
construction
ont
été
menés
par
l’architecte
Alexis
Nguyen,
qui a
été
désigné
lauréat
du
concours
d’architecte
lancé
en
2014
pour
la
réalisation
de ce
projet.
Ce
nouvel
espace
s’inscrit
dans
l’aménagement
du
front
de
mer
de
Papeete,
mis
en
œuvre
par
le
Pays
et le
Port
autonome,
au
bénéfice
de la
population,
ainsi
que
des
touristes,
croisiéristes
et
plaisanciers
notamment.
Afin
de
garantir
la
continuité
des
soins
à
domicile
aux
personnes
atteintes
de
covid-19
et
prévenir
les
formes
graves
de la
maladie,
le
Pays
a
instauré,
jusqu’au
31
décembre
2020,
des
mesures
dérogatoires
de
prise
en
charge
en
tiers-payant
et à
100%
par
les
régimes
de
protection
sociale
pour
les
actes
suivants:
les
visites
à
domicile
du
médecin
libéral
pour
le
suivi
d’un
patient
atteint
de
covid-19,
les
actes
de
soins
infirmiers
prescrit
par
un
médecin
pour
la
surveillance
clinique
de
prévention
à
domicile
pour
les
patients
atteints
de
covid-19,
la
surveillance
à
distance
pour
le
suivi
de
patients
atteints
de
covid-19
par
tout
moyen
y
compris
téléphonique
afin
de
pouvoir
interpréter
à
distance
les
informations
nécessaires
à
l’évolution
de la
maladie
et
ainsi
pouvoir
adapter
la
prise
en
charge ainsi
que
la
consultation
à
distance
dans
la
limite
d’une
consultation
par
mois
de
patients
placés
en
longue-maladie
pour
un
motif
de
consultation
lié à
leur
pathologie.
Ces
mesures
dérogatoires
seront
reconduites
pour
une
durée
de
trois
mois
supplémentaires,
du 1er
janvier
2021
au
31 mars
2021.
Avance
en
compte-courant
à la
SAS
Tahiti
Nui
Helicopters
Après
un
événement
tragique
en
octobre
2019,
la
mise
en
place
d’une
flotte
d’hélicoptères
en
Polynésie
est
apparue
nécessaire
pour
assurer
les
évacuations
sanitaires
(évasans),
en
particulier
dans
l’archipel
des
îles
Marquises.
Un
tel
dispositif
suppose
en
outre
que
des
moyens
adaptés
soient
mobilisés.
A cet
égard,
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
sur
proposition
du
gouvernement
avait
approuvé,
la
prise
de
participation
de la
Polynésie
française
au
capital
de la
SAS
TNH
(Tahiti
Nui
Hélicoptères)
et à
l’attribution
d’une
avance
en
compte
courant
à
ladite
SAS.
Dans
la
continuité
de
cette
prise
de
participation,
eu
égard
à
l’intérêt
général
poursuivi
par
cette
société
en
matière
de
santé
publique,
il a
été
proposé
d’octroyer
une
avance
en
compte
courant
de
200
millions
Fcfp
à la
SAS
TNH.
Ces
moyens
financiers
permettront
de
garantir
l’activité
des
transferts
sanitaires
des
habitants
des
îles
autres
que
Tahiti,
notamment
celles
des
Marquises,
vers
le
Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française.
Maintien
du
prix
des
hydrocarbures
au 1er
janvier
2021
Dans
un
contexte
marqué
par
une
remontée
des
prix
du
pétrole,
portés
notamment
par
l’augmentation
de la
demande
de
brut
dans
la
perspective
de
reprise
de
l’économie
mondiale
après
l’annonce
de la
diffusion
de
vaccins
contre
la
Covid,
le
Conseil
des
ministres
a
décidé
de
maintenir
les
prix
des
carburants
à
leur
niveau
actuel
pour
le
mois
de
janvier
2021.
Horaires
de
vente
d’alcool
les
23,
24,
30 et
31
décembre
Dans
la
poursuite
du
double
objectif
de
permettre
la
tenue
des
réjouissances
de
fin
d’année
tout
en
garantissant
la
sécurité
sanitaire
de la
population,
le
Conseil
des
ministres
a
autorisé
les
débits
de
boissons
à
emporter
et
titulaires
des
licences
de 1ère
et 2ème
classe
à
vendre
des
boissons
alcoolisées
jusqu’à
20
heures,
au
lieu
de 18
heures,
les
23,
24,
30 et
31
décembre
2020.
La
vente
des
boissons
alcooliques
réfrigérées
et
des
boissons
d’alimentation
réfrigérées
reste
totalement
interdite.
Néanmoins,
cette
interdiction
ne
concerne
pas
les
commerces
de
détail
de
boissons
en
magasin
spécialisé
qui
sont
autorisés
à
vendre
à
emporter
des
boissons
alcooliques
réfrigérées
et
des
boissons
d’alimentation
réfrigérées
dans
les
conditions
définies
au
premier
alinéa
du
présent
article.
Ces
limitations
horaires
n’affectent
que
la
vente
des
boissons
non
hygiéniques.
Subvention
au
profit
de
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
pour
le
financement
de
plusieurs
opérations
Sur
proposition
du
ministre
du
Logement,
le
Conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
d'investissement
en
faveur
de
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
pour
financer
plusieurs
opérations:
Remise
en
état
de la
station
d’épuration
de la
résidence
Amoe
Dans
le
cadre
de
ses
actions,
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
va
procéder
aux
études
et
aux
travaux
de
remise
en
état
de la
station
d’épuration
du
domaine
« Amoe »
de la
commune
de
Mahina.
Cet
ouvrage
nécessite
une
réhabilitation
en
urgence
en
raison
notamment
des
risques
sanitaires
liés
aux
défauts
de
fonctionnement
de
cette
station
d’épuration.
Il
est à
noter
que
la
résidence
« Amoe
1 »,
dont
les
travaux
ont
démarré
en
Juin
2020
sera
également
reliée
à
cette
station
d’épuration.
Le
coût
total
de
cette
opération
est
estimé
à
42 millions
Fcfp
et
est
financé
à
100%
par
le
Pays,
pour
une
durée
totale
de 6
mois
de
travaux.
Rénovation
des
stations
d’épuration
des
lotissements
Timiona,
Atima
et
Luine
L’Office
polynésien
de
l’habitat
envisage
la
rénovation
de 3
stations
d’épuration
des
lotissements
« Atima »
de la
commune
de
Mahina,
et de
« Timiona »
et de
« Luine »
de la
commune
de
Papeete.
Cette
nouvelle
opération
consiste
à
prendre
en
compte,
soit
un
état
de
détérioration
aggravé,
soit
une
nécessité
d’augmenter
la
capacité
de
traitement
des
stations
d’épuration
de
Timiona,
Atima
et
Luine.
Le
coût
total
de
cette
opération
s’élève
à
100 000 000
Fcfp
et
est
financé
à
100%
par
le
Pays,
sur
une
durée
totale
de 12
mois
de
travaux.
Construction
de
maisons
de
quartier
pour
des
lotissements
OPH
L’Office
Polynésien
de
l’Habitat
va
procéder
aux
travaux
de
construction
de 4
maisons
de
quartier
pour
les
lotissements
« Mahititi
» de
la
commune
de
Papara,
« Titaviiri »
de la
commune
de
Teva
i
Uta,
« Teroma »
de la
commune
de
Faa’a,
et « Vaitemanu »
de
Uturoa,
à
Raiatea.
L’OPH
souhaite
avec
ces
constructions,
compléter
son
travail
effectué
dans
les
lotissements
afin
de
dynamiser
et
encourager
la
création
d’association
de
locataires.
Le
délai
de
réalisation
de ce
programme
est
de 12
mois
et le
coût
total
de
l’opération
est
de
200
millions
Fcfp
financé
à 100
% par
le
Pays.
Travaux
de
sécurisation
de
talus
de
l’opération
Titioro
Iti
L’Office
Polynésien
de
l’Habitat
envisage
de
réaliser
des
travaux
de
sécurisation
de
talus
de
l’opération
Titioro
Iti
de la
commune
de
Papeete
afin
de
protéger
les
logements
vis-à-vis
du
risque
de
chute
de
blocs.
Le
diagnostic
établi
par
un
géotechnicien
en
2019
mettait
en
évidence
la
présence
de
nombreuses
poches
scoriacées
et
l’état
de
vétusté́
des
protections
situées
en
amont
du
talus.
Les
travaux
comprennent
le
débroussaillage
et la
coupe
des
arbres,
la
purge
des
matériaux
qui
se
détachent,
des
ouvrages
de
gestion
des
eaux
pluviales,
la
remise
en
état
des
protections
existantes
et
enfin
la
sécurisation
par
grillage
plaqué
et
cloué.
Quelques
zones
ponctuelles
seront
gunitées.
Le
Dossier
de
Consultation
des
Entreprises
(DCE)
a
été́
mis
au
point
par
le
géotechnicien
qui
suivra
également
les
travaux.
Le
coût
total
de
cette
phase
de
travaux
est
estimé
à
30 millions
Fcfp
sur
une
durée
de 3
mois.
Mardi
15
décembre
2020
A
propos
Le
mois
de
décembre
représente
la
joie,
les
cadeaux,
les
enfants
qui
rient
de
bonheur
et de
surprise
et
nous,
adultes,
nous
sommes
tristes
quand
on
nous
apprend
la
mort
- en
ce
mois
festif
- de
nos
amis,
confrères
ou
autres
personnes
qui
sont
partis
pour
le
grand
voyage
sans
nous
prévenir.
Rien
ne
peut
jamais
être
parfait.
Mais
aimons
ceux
qui
nous
restent
et
apprécions
l'amitié
qu'ils
nous
apportent
et
que
nous
leur
rendons
bien.
Oublions
les
mauvais
coucheurs,
les
jaloux,
ceux
qui
pensent
tout
savoir
mais
qui
ne
savent
rien,
oublions
d'être
féroces
avec
nos
adversaires
et
modifions
un
peu
le
bon
mot
de
Voltaire
:Les
hommes
ressemblent
aux
girouettes.
Ils
se
fixent
quand
ils
se
rouillent
!"
Non,
non
pas
tous
ne se
rouillent.
il
fallait
bien
que
je le
dise
avant
de me
faire
hacher
menu
dans
cette
période
où
tout
doit
être
brillant
festif,
amical,
après
tout
je
n'ai
fait
que
plagier
Voltaire
mais
en
modifiant
un
mot
par
un
autre
car
Voltaire
parlait
des
femmes
et
non
des
hommes
bien
sûr!!!!
.
Donc
je
suis
à
l'abri
de la
vindicte
masculine...ouf
!
Dany
Dana,
président
de
l"association
Papeete
centre-ville
n'a
pas
l'air
inquiet
si
l'on
en
croit
son
large
sourire
à
côté
du
titre
des
Nouvelles
"
les
commerçants
de
Papeete
inquiets".
C'est
parce
qu'il
fait
confiance
aux
autorités
pour
redonner
"la
liberté
d'entreprendre
aux
commerçants"
en
faisant
lever
certaines
mesures
contraignantes
pour
animer
la
ville.
Dieu
le
bénisse
! Il
faut
en
profiter
c'est
l'époque
des
prières.
Or
déjà
une
quinzaine
de
commerces
ont
mis
la
clé
sous
la
porte
sur
un
total
de
300.
Les
plus
fragiles
financièrement
surtout
quand
il
faudra
rembourser
les
prêts
et
que
les
clients
feront
le
compte
de ce
qui
leur
reste
après
les
fêtes.
Qu'importe
tant
qu'il
y a
de la
vie,
y a
de
l'espoir...
La
présidente
du
tribunal
a de
l'humour,
c'est
toujours
sympathique
à la
place
qu'elle
occupe
et de
plus,
elle
a
fait
plaisir
aux
policiers
en
disant
: "Les
policiers
ne
sont
pas
payés
pour
se
faire
taper
dessus"
en
général
c'et
le
contraire!
mais
la
pêche
de
ces
derniers
jours
a été
bonne.
900
grammes
d'ice
saisis,
c'est
énorme
et
sept
individus
en
garde
à
vue.
Comme
quoi
les
uns
comme
les
autres
croient
toujours
qu'ils
passeront
à
travers
les
mailles
du
filet.
C'est
ignorer
le
coup
de
poignet
assuré
des
forces
de
l'ordre
a
lancer
le
dit
filet
! Des
professionnels
!
Banner,
le
chef
de la
police,
se
frotte
les
mains
!
Etat
du
coronavirus
à
Tahiti
:123
nouveaux
cas :
15.870
cas
cumulés
: 56
hospitalisations
: 97
décès
La
ministre
du
Tourisme
et du
Travail
reçoit
le
nouveau
directeur
de
l'antenne
polynésienne
de l'IEOM
La
ministre
du
Tourisme
et du
Travail,
Nicole
Bouteau,
a
reçu,
lundi
matin,
le
nouveau
directeur
de
l’antenne
polynésienne
de
l’Institut
d’émission
d’Outre-mer
(IEOM),
Fabrice
Dufresne,
qui a
succédé
en
octobre
dernier
à
Claude
Periou.
Cette
rencontre
a été
l’occasion
d’échanger
sur
la
situation
économique
de la
Polynésie
française
dans
un
contexte
de
crise
sanitaire
qui
aura
marqué
l'année
2020
et
impacté
fortement
l'économie
polynésienne.
La
ministre
a
dressé
un
bilan
de
l'activité
touristique
et
évoqué
les
perspectives
de
reprise
liées
dont
le
niveau
dépendra
de
l'évolution
de la
pandémie
dans
le
monde.
La
situation
de
l'emploi
a
également
été
au
centre
de
leurs
échanges
ainsi
que
les
mesures
de
soutien
aux
entreprises
polynésiennes
mises
en
place
tant
par
le
Pays
que
par
l’État,
ce
dernier
apportant
notamment
sa
garantie
dans
le
cadre
des
PGE
déployés
dans
le
cadre
de la
crise
que
traverse
la
Polynésie.
Ce
sont
ainsi
50
milliards
Fcfp
qui
ont
été
déployés
en
faveur
des
établissements
de
crédit
de la
place.
Nicole
Bouteau
a
invité
le
directeur
de
l'Institut
à
participer
aux
réunions
régulières
de
l'observatoire
du
tourisme.
Fabrice
Dufresne
s'est,
quant
à
lui,
proposé
d'intervenir
à
l'occasion
de
ces
rencontres
ou de
réunions
"stratégiques",
afin
de
partager
les
analyses
macroéconomiques
de l'IEOM.
Visite
des
structures
du
programme
Rori-aqua:
une
filière
prometteuse
Le
Vice-président
et
ministre
de
l’Economie
bleue,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
a
visité,
mardi,
la
première
écloserie
de
rori
titi
installée
à
Vaiaro
où
les
premières
pontes
ont
été
constatées.
Les
holothuries
à
mamelles
blanches
et
noires
(Holothuria
fuscogilva
et
Holothuria
whitmaei),
connues
sous
les
noms
de
rori
titi
‘uo
‘uo
et
rori
titi
‘ere
‘ere
sont
les
principales
espèces
pêchées
en
Polynésie
française
et
font,
depuis
2012,
l’objet
d’une
réglementation
en
matière
d’exploitation:
ouverture
temporaire
à la
pêche,
quotas
et
zones
définies,
mise
en
place
d’un
comité
local
avec
un
système
de
traçabilité.
Soucieuse
de
renforcer
sa
réglementation
et
d’inscrire
pleinement
cette
pêche
dans
une
démarche
d’exploitation
durable,
la
Direction
des
ressources
marines
(DRM)
va
lancer
plusieurs
études
sur
le
renouvellement
des
populations
exploitées
(données
biologiques
et
écologiques).
Les
résultats
obtenus
participeront
à une
meilleure
compréhension
et
protection
de
notre
écosystème
avec
la
possibilité
d’un
repeuplement
de
nos
lagons.
En
parallèle,
la
DRM
développe
un
programme
de
production
aquacole
appelé
Rori-Aqua.
Ce
projet
porté
par
le
Pays
s’appuie
sur
une
convention
de
collaboration
avec
un
investisseur
polynésien,
Auguste
Buluc,
et sa
société
Tahiti
Marine
Products
(TMP)
sélectionnée
après
appel
à
projets.
Ce
programme
collaboratif
intègre
également
l’Ifremer
qui
accueille
le
projet
sur
le
Centre
Ifremer
du
Pacifique
de
Vairao,
la
commune
de
Taiarapu-Ouest
et
les
pêcheurs.
Originaire
des
îles
Sous-le-Vent
et
professionnel
de la
pêche,
Auguste
Buluc
souhaite
développer
l’élevage
de
rori
afin
d’exploiter
les
propriétés
de
ces
espèces
dans
la
pharmacologie
et la
cosmétologie.
L’objectif
est,
à
terme,
de
proposer
à
l’export
des
produits
développés
en
laboratoire
sur
la
zone
biomarine
de
Faratea.
TMP
compte
aujourd’hui
quatre
employés
(un
biologiste
spécialiste
des
rori,
un
technicien
aquacole
polynésien
et
deux
aide-techniciens
de
Vairao),
complétés
par
un
appui
du
Pays
avec
deux
CAE
de
Vairao.
Il
s’agit
pour
cet
investisseur
privé
d’un
pari
audacieux
et
courageux
puisque
cette
filière
est
inexistante
à ce
jour
en
Polynésie
française
bien
qu’elle
s’annonce
prometteuse
au
regard
des
premiers
essais.
Bernard
Dumortier
un
ancien
journaliste
de la
Dépêche
écrit
:
Triste
d'apprendre
la
disparition
de
Jean-Claude
Soulier
et
Veerner
Bringold.
Je
les
avais
revus
tous
les
deux
lors
de
mon
dernier
passage
au
fenua
en
2005...
Jean-Claude
un
bon
localier
à
l'ancienne,
apprécié
et
qui
connaissait
tout
le
monde.
Weerner,
ancien
légionnaire,
baroudeur
et
accro
de la
photo
et à
la
bière...
La
fin
d'une
époque.
On le
les
oublie
pas.
Biz.
Bernie
Lundi
14
décembre
2020
Etat
du
coronavirus
: 129
nouveaux
cas,
15747
cas
cumulés,
60
hospitalisations,
96
décès
A
propos
Mais
quel
triste
mois
de
décembre
!
J'apprends
que
Veerner
Bringold
est
décédé,
je le
connaissais
très
peu
mais
aussitôt
après,
voilà
qu'on
m'écrit
que
Jean
Claude
Soulier
n'est
plus
de ce
monde
non
plus.
Cela
m'a
fait
un
choc,
d'autant
que
j'ai
sur
mon
bureau
chez
moi
une
photo
prise
dans
son
bureau
de la
Dépêche,
où il
me
prenait
par
les
épaules
en
souriant
. En
revanche
Jean
Claude
je le
connaissais
bien
puisque
nos
bureaux
se
jouxtaient
et
que
nous
étions
proches
tant
par
la
proximité
que
par
l'amitié
qui
s'est
malheureusement
peu à
peu
diluée
dans
le
temps
quand
ni
lui
,ni
moi,
n'étions
plus
voisins
de
bureaux
et
que
seul
le
téléphone
pouvait
encore
nous
relier.
Mais
pendant
plus
de 20
ans
que
dis
-je
30
ans
nous
avons
mêlé
nos
rires,
nos
peurs,
nos
colères,
nos
vaines
vengeances.
Bien
que
si
moi
j'en
avais,
Jean
Claude,
lui,
n'extériorisait
pas
les
siennes
autrement
que
dans
mon
bureau
quand
il
venait
se
plaindre
de sa
hiérarchie.
J'étais
sa
confidente
et il
était
le
mien
concernant
les
tracas
de
notre
métier.
Il ne
se
plaignait
qu'à
moi.
Il
acceptait
toutes
les
corvées
sans
se se
révolter
ouvertement
comme
faire
des
kilomètres
pour
aller
interviewer
un
quidam
que
personne
ne
connaissait,
mais
il
était
obéissant,
grommelait
en
douce
et
faisait
ce
qu'on
lui
demandait.
Nous
étions
très
différents,
je
n'avais
pas
son
caractère
respectueux.
J'
étais
une
rebelle
et
souvent
quand
il
venait
se
confier
dans
mon
bureau
je
lui
disais
"
mais
tu
n'as
qu'à
dire
non
!"
Pauvre
Jean
Claude
toujours
aimable,
prêt
à
rendre
service
aux
journalistes
qui
venaient
souvent
frapper
à sa
porte
pour
lui
demander
une
info,un
service,une
photo,
il
les
avait
toutes,
mais
quand
on
lui
faisait
un
coup
tordu,
alors
là,
il se
plaisait
à me
dire
par
téléphone
en me
regardant
par
la
vitre
mitoyenne
:
"lui,
c'est
vraiment
un
salaud
!".
Et on
savait
tous
de
qui
il
voulait
parler
!
J'aurais
aimé
lui
dire, au-revoir
Jean
Claude
...on
s'aimait
bien
!
Le
Président
Edouard
Fritch,
le
Vice-président
Tearii
Alpha,
en
charge
des
ressources
marines,
et le
maire
de Rangiroa,
Teina
Maraeura,
ont
assisté,
sur
l’atoll
de
Rangiroa,
à une
présentation
sur l’avancée
du programme
d'évaluation
de la
ressource
de
Oe’o.
Bourses
majorées:
le
Pays
soutient
les
jeunes
talents
polynésiens
Après
avoir
lancé
un
premier
appel
à
candidatures
pour
l’obtention
des
bourses
majorées
pour
l’année
universitaire
2020-2021,
la
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
en
charge
du
numérique,
Christelle
Lehartel,
et
l’ensemble
des
ministères,
ont
décidé
d’ouvrir
une
deuxième
session
de
campagne
pour
cette
année,
du 7
décembre
2020
au 29
janvier
2021.
Cette
nouvelle
opportunité
qui
s’offre
aux
jeunes
étudiants
polynésiens,
a
pour
vocation
d’enrichir
le
vivier
de
compétences
locales
parmi
une
liste
de
filières
prioritaires.
L’objectif
de ce
dispositif
est
notamment
d’accompagner
les
étudiants
ayant
un
projet
professionnel
bien
défini
et
souhaitant
participer
activement
au
développement
économique
de la
Polynésie.
Qui
en
sont
les
bénéficiaires
?
Les
jeunes
étudiants
motivés
à
poursuivre
leurs
études
pourront
bénéficier
de
cette
aide.
Après
étude
du
dossier
du
candidat
par
tous
les
ministères
lors
d’une
commission
d’attribution,
les
allocations
iront
aux
jeunes
les
plus
méritants
et
ayant
postulé
sur
les
filières
identifiées
par
le
gouvernement
et
règlementées
par
l’arrêté
du
Conseil
des
ministres
du 22
octobre
2020.
(voir
liste
des
filières
prioritaires
retenues
transmise
en
copie
de
cet
envoi).
Des
filières
pour
tous
les
profils
La
liste
des
filières
retenues
comme
prioritaires
a été
mise
à
jour.
Les
filières
pourvues
ont
été
retirées
de la
liste
initiale.
Vous
pouvez
la
consulter
sur
le
site
internet
de la
D.G.E.E.
(www.education.pf,
Rubrique
«
bourses
et
allocations
d’études).
Un
investissement
de la
part
des
jeunes
étudiants
mobilisés
Un
engagement
réel
est
attendu
dès
lors
où la
bourse
majorée
sera
attribuée.
L’accent
est
mis
sur
l’assiduité
dont
les
étudiants
feront
preuve
au
cours
de la
poursuite
de
leurs
études.
En
contrepartie
de
cette
allocation,
les
bénéficiaires
s’engageront
par
convention
à
revenir
exercer
en
Polynésie
Française,
après
l’obtention
du
diplôme
prévu
dans
la
filière
reconnue
prioritaire
par
le
Pays,
pour
une
durée
équivalente
au
double
du
nombre
d’année
d’études
financées.
Comment
constituer
un
dossier
?
Les
démarches
d’inscription
sont
entièrement
dématérialisées
et
accessibles
sur
le
site
de la
DGEE,
www.education.pf
à la
rubrique
bourses
d’études
/
bourses
majorées,
du 14
décembre
2020
au 29
janvier
2021.
Tout
dossier
incomplet
ou
arrivé
après
la
date
limite
sera
refusé.
Emmanuel
Macron
annonce
un
référendum
pour
inscrire
la
défense
du
climat
dans
la
Constitution
Au
terme
d'un
long
débat
avec
les
membres
de la
Convention
citoyenne
pour
le
climat,
le
président
a
promis
qu'il
soumettrait
aux
Français
l'inscription
d'un
impératif
écologique
dans
l'article
1 de
la
Constitution.
le
Figaro
Face
à la
crispation
des
membres
de la
convention
citoyenne
pour
le
climat,
Emmanuel
Macron
a
opté
pour
la
surprise
du
chef.
Un
référendum
sera
organisé
pour
inscrire
«la
préservation
de
l'environnement,
de la
biodiversité
et la
lutte
contre
le
dérèglement
climatique»
dans
l'article
premier
de la
Constitution.
«
Ça
sera
une
réforme
constitutionnelle
en un
article
», a
annoncé
le
président
de la
République
lundi
à
l'issue
d'une
rencontre
avec
les
conventionnels
organisée
au
Conseil
économique,
social
et
environnemental.
Elle
devra
d'abord
être
adoptée
par
le
Parlement
avant
d'être
soumise
aux
suffrages
des
Français.
Depuis
quelques
jours,
cette
hypothèse
était
réapparue
mais
jusqu'à
la
dernière
minute
rares
étaient
ceux
qui,
dans
l'entourage
du
chef
de
l'Etat,
savaient
qu'il
annoncerait
un
référendum,
lundi
soir,
devant
les
conventionnels.
Au
mois
de
juin,
Emmanuel
Macron
avait
évoqué
deux
référendums
possibles.
L'un
sur
la
constitution,
l'autre
sous
la
forme
d'un
questionnaire
à
choix
multiple.
C'est
finalement,
l'option
du
référendum
constitutionnel,
avec
la
question
la
plus
consensuelle
qui a
été
retenue.
«
Concrètement
on va
pouvoir
rendre
inconstitutionnel
quelques
futurs
projets
de
loi
climaticides.
C'est
fini
les
lois
mauvaises
pour
l'environnement
»,
s'est
félicité
Grégoire
Fraty,
le
cofondateur
de
l'Association
«
les
150
» qui
rassemble
les
membres
de la
Convention
citoyenne
pour
le
climat.
Cette
annonce,
ils
en
rêvaient.
«
C'est
symboliquement
important
pour
nous
»,
confiait
en
amont
Sylvain
Burquier,
un
Parisien
qui a
participé
aux
travaux
de la
CCC
qui
souhaite
que
les
Français
«
prennent
part
au
débat
et
prennent
en
main,
un
dimanche
matin,
leur
destin
politique
».
Rien
ne se
fera
derrière
le
rideau
Emmanuel
Macron
Une
annonce
d'autant
plus
bienvenue
pour
les
conventionnels
que
leurs
autres
propositions
font
face
aux
réserves
grandissantes
des
ministres
et
parlementaires
de la
majorité.
Le
président
de la
République
l'a
rappelé
lundi,
la
traduction
de
leurs
préconisations
dans
le
projet
de
loi
en
gestation
doit
se
faire
à
l'aune
du
contexte
économique
et
social.
L'euphorie
du
mois
juin
et la
promesse
de
transmettre
«
sans
filtre
» les
travaux
des
conventionnels
au
Parlement
a
laissé
place
à une
approche
plus
mesurée.
Crise
des
«
gilets
jaunes
»
«
Certains
secteurs
ont
été
totalement
sinistrés
» par
le
coronavirus,
a
rappelé
le
chef
de
l'État
en
préambule
d'une
longue
discussion
avec
la
CCC.
Tandis
que «
des
milliers
de
PME
sont
entre
la
vie
et la
mort
» il
faut
«
prendre
en
compte
cette
contrainte
qui
est
la
réalité
de
l'économie
et de
la
société
d'aujourd'hui
»,
a-t-il
dit
en
citant
les
secteurs
mal
en
point
du
transport
et de
la
publicité,
justement
dans
le
viseur
de la
CCC.
«
On ne
peut
pas
faire
comme
si
rien
ne
s'était
passé
», a
martelé
Emmanuel
Macron.
Tout
en
rappelant
que
la
CCC
est
née
de la
crise
des
«
gilets
jaunes
» et
de la
contestation
de la
taxe
carbone,
il a
estimé
qu'il
ne
fallait
pas «
reproduire
cette
erreur
» et
que «
les
choix
pris
pour
l'écologie
doivent
être
acceptables
par
les
Français
».
Autrement
dit,
pas
question
de
tapisser
sa
fin
de
quinquennat
de
nouvelles
taxes
et de
contraintes,
à
l'instar
de
celles
que
la
CCC
voudrait
imposer
aux
secteurs
de
l'aérien
ou du
logement.
«
Rien
ne se
fera
derrière
le
rideau
», a
promis
Emmanuel
Macron
tout
en
rappelant
les
règles
constitutionnelles
en
vigueur :
«
Ce
“sans
filtre”
ne
peut
être
ni
une
substitution
au
rôle
légitime
du
gouvernement
par
notre
constitution,
ou
celui
du
législateur,
qui
est
une
assemblée
de
citoyens
qui a
mandat
pour
représenter
le
peuple
(…)
Je ne
peux
institutionnellement
contraindre
ce
pouvoir
d'amendement.
»
Accompagné
de
sept
de
ses
ministres
dont
Barbara
Pompili,
Emmanuel
Macron
a
essayé
de
persuader
les
citoyens
que
sa
politique
écologique
est
ambitieuse.
«
Aucun
gouvernement
n'a
fait
autant
pour
l'écologie
»,
a-t-il
dit,
après
avoir
célébré
samedi
le
cinquième
anniversaire
de
l'Accord
de
Paris.
«
Est-ce
suffisant ?
Non.
Faut-il
faire
plus ?
Oui
», a
admis
le
chef
de
l'État
qui a
loué
son
plan
de
relance
qui
consacre
30
milliards
d'euros
à
l'écologie.
Tout
en
prenant
ses
distances
avec
les
réflexes
habituels
des
écologistes :
«
J'entends
qu'on
réussirait
ce
travail
que
si
les
interdits
que
l'on
met à
un
secteur
sont
bien
respectés.
Parfois
je
crois
qu'un
interdit
n'est
pas
la
meilleure
solution
». Il
préfère
«
embarquer
les
gens
dans
un
cercle
de
confiance
qui
est
un
cercle
d'exigence
».
Ainsi,
il
convient
de
faire
des
Français
qui
travaillent
dans
des
secteurs
polluants
«
des
alliés
» et
non «
des
gens
à qui
on
dicte
un
changement
de
vie
depuis
l'extérieur
».
Pas
sûr
que
les
citoyens
de la
Convention
citoyenne,
influencés
par
des
ONG
écologistes
de
plus
en
plus
radicales,
l'admettent
si
facilement.
«Il
ne
faut
pas
que
le
référendum
soit
l'arbre
qui
cache
la
forêt.
Il y
a pas
mal
de
nos
mesures
qui
ne
sont
plus
présentes»
dans
le
futur
projet
de
loi,
a mis
en
garde
Grégoire
Fraty.
L'annonce
du
président
de la
République
n'a
pas
manqué
de
faire
réagir
les
responsables
politiques.
«Même
si
cela
ne
cache
en
rien
le
manque
d'ambition
sur
le
reste,
la
réforme
de
l'article
premier
de la
Constitution
est
utile.
Mais
ira-t-elle
au
bout ?»,
s'est
interrogé
le
député
Matthieu
Orphelin,
ex-marcheur
proche
de
Nicolas
Hulot.
«Macron
c'est
le
coup
de
com'
permanent
»
Mêmes
doutes
à
droite.
«Macron
c'est
le
coup
de
com'
permanent»,
dénonce
le
président
des
sénateurs
LR
Bruno
Retailleau.
«Avec
le
“quoi
qu'il
en
coûte”
et
aujourd'hui
le
référendum,
Macron
est
clairement
en
campagne
présidentielle
mais
avec
les
moyens
de
l'Etat»,
a-t-il
fustigé.
Le
vice-président
de LR,
Guillaume
Peltier
dénonce
«l'art
du
cynisme
creux»
du
chef
de
l'Etat.
«Il
est
vrai
que
tant
de
nos
compatriotes
sont
“contre”
le
climat»,
ironise
le
député
du
Loir-et-Cher,
convaincu
que
la
question
ainsi
formulée
ne
provoquerait
qu'un
vote
unanime.
Ajoutant :
«Par
référendum,
les
urgences
sont
ailleurs :
la
laïcité
face
à
l'islam
politique
et
notre
souveraineté
sur
l'immigration.
Vivement
2022!»,
appuie-t-il.
Le
président
des
Patriotes
Florian
Philippot
évoque
pour
sa
part
un «un
référendum
“greenwashing”».
Quant
à
l'eurodéputé
RN
Nicolas
Bay
il
s'agace :
«Les
Français
ne
veulent
pas
d'un
référendum
sur
le
climat,
ils
veulent
un
référendum
sur
l'immigration».
Présidentielle
américaine :
Joe
Biden
dépasse
la
majorité
au
collège
électoral,
sa
victoire
confirmée
SCRUTIN
Les
résultats
ne
seront
toutefois
officiels
qu'après
validation
par
le
Congrès
le 6
janvier
Les
29
grands
électeurs
de
l'Etat
de
New
York
ont
voté
pour
Joe
Biden
le 14
décembre
2020.
—
Hans
Pennink/AP/SIPA
Il
était
14h26
quand
la
Californie
l’a
annoncé : ses
55
votes
ont
été
attribués
« à
Joseph
R.
Biden ».
De
quoi
catapulter
le
démocrate
au-dessus
de la
barre
des
270
grands
électeurs
du
collège
électoral
nécessaires
pour
être
élu
président
des
Etats-Unis.
Le
vote
d’Hawaï
se
fait
encore
attendre
mais
alors
qu’il
n’y a
eu
aucun
électeur
« indifèles »,
Joe
Biden
devrait
au
final
obtenir
306
voix
contre
232 à
Donald
Trump.
Sa
victoire
à
l’élection
présidentielle
ne
sera
toutefois
officialisée
que
le
6 janvier
après
la
certification
des
résultats
lors
d’un
vote
au
Congrès.
Les
recours
du
Donald
Trump
continuent,
vote
au
Congrès
le
6 janvier
Les
538
grands
électeurs
se
sont
réunis
dans
les
Capitoles
de
chaque
Etat
– à
l’exception
du
Nevada
qui a
choisi
un
vote
virtuel.
A la
mi-journée,
les
six
Etats
contestés
par
le
président
américain
se
sont
tous
prononcés
en
faveur
du
démocrate : Nevada,
Arizona,
Géorgie,
Pennsylvanie,
Wisconsin
et
Michigan.
Au
final,
aucun
électeur
ne
s’est
rebellé
contre
le
verdict
des
urnes.
Dans
trois
Etats
(Nevada,
Géorgie
et
Pennsylvanie),
des
républicains
ont
bien
organisé
un
contre-scrutin.
Mais
les
listes
qu’ils
ont
adoptées
n’avaient
pas
été
validées
au
préalable
par
les
legislatures.
Elles
ne
pourront
donc
pas
être
envoyées
au
Congrès
comme
listes
alternatives
(ce
qui
aurait
pu
provoquer
un
bras
de
fer
constitutionnel).
Malgré
plus
de 50
défaites
pour
ses
recours
devant
les
tribunaux,
dont
deux
devant
la
Cour
suprême,
Donald
Trump,
lui,
n’a
toujours
pas
reconnu
sa
défaite,
et
ses
contestations
pourraient
durer
jusqu’au
6 janvier.
C'est
à
cette
date
que
le
Congrès
se
réunia
pour
valider
les
votes
du
collège
électoral.
Un
élu
républicain,
Mo
Brooks,
a
déjà
prévenu
qu’il
déposerait
une
motion
pour
bloquer
les
grands
électeurs
de
plusieurs
Etats.
Mais
même
si un
sénateur
républicain
le
rejoint,
les
démocrates
sont
majoritaires
à la
Chambre
et
pourront
donc
bloquer
leur
action.
Joe
Biden
prêtera
serment
deux
semaines
plus
tard,
le
20 janvier.
Samedi
12
décembre
2020
Mauvaise
nouvelle
pour
ceux
qui
aiment
la
fête
Coronavirus
en
Polynésie :
Couvre-feu
maintenu
jusqu’au
15 janvier,
réveillons
de
Noël
et du
jour
de
l’An
inclus
EPIDEMIE
La
Polynésie
est
placé
sous
couvre-feu
depuis
le 24
octobre
Dominique
Sorain,
le
Haut-commissaire
de
Polynésie
—
RICHARD
BOUHET
/ AFP
La
Polynésie,
sous
couvre-feu
depuis
le
24 octobre
pour
lutter
contre
la
propagation
du
Covid-19,
étend
cette
mesure
jusqu’au
15 janvier,
réveillons
de
Noël
et du
Nouvel
An
inclus,
a
annoncé
vendredi
(samedi
heure
de
Paris),
Dominique
Sorain,
le
Haut-commissaire
de
Polynésie.
« Nous
avons
pris
la
décision
de
maintenir
l’ensemble
des
mesures
actuellement
en
vigueur
jusqu’au
15 janvier.
Le
couvre-feu
sera
donc
maintenu
sur
Tahiti
et
Moorea
de
21H00
à
4H00
et
avec
les
mêmes
conditions
de
déplacements
limités
et de
fermeture
des
établissements
recevant
du
public »,
a-t-il
déclaré
lors
d’un
point
presse
avec
le
président
de
Polynésie
Edouard
Fritch.
Pas
de
fêtes
tardives
Mais
« compte-tenu
de la
situation
sanitaire
encore
fragile
(…),
il
n’était
pas
possible
de
prendre
le
risque
de
suspendre
purement
et
simplement
le
couvre-feu
les
24 à
Noël et
31 décembre ».
Pour
ces
deux
soirs-là,
« nous
avons
décidé
de
décaler
l’horaire
du
couvre-feu
d’une
heure.
Ainsi
il
débutera
à
22h00
au
lieu
de
21h00 »,
a-t-il
précisé.
« Ce
sont
deux
nuits
de
festivités
marquées,
en
Polynésie,
par
de
nombreux
rassemblements
qui
sont
propices
à la
circulation
du
virus.
Mais
nous
avons
tout
de
même
voulu
faciliter
la
vie
des
personnes
qui
voudront
se
rendre
à
l’église
en
début
de
soirée,
pouvoir
rentrer
chez
elles
après
un
dîner
familial
en
petit
comité
ou
après
un
dîner
au
restaurant »,
a
justifié
le
Haut-commissaire.
Baisse
du
nombre
de
cas
mais
plateau
Le
nombre
de
cas
actifs
connu
en
Polynésie
est
actuellement
« proche
de
800 »,
loin
des
2.200
cas
actifs
enregistrés
en
moyenne
fin
octobre-début
novembre.
A
Tahiti
et
Moorea,
le
taux
d’incidence
sur
sept
jours
« a
diminué,
mais
reste
encore
de
l’ordre
de
300
(pour
100.000
personnes,
ndlr),
ce
qui
reste
élevé »,
le
seuil
d’alerte
maximal
étant
fixé
à 250
au
niveau
national,
a
souligné
Dominique Sorain.
Douze
décès
sont
à
déplorer
sur
une
semaine,
portant
le
nombre
de
morts
à 91
depuis
le
début
de
l’épidémie,
et 51
personnes
sont
actuellement
hospitalisées
dont
24 en
réanimation.
Les
premières
doses
de
vaccin
début
janvier
« Le
pic
épidémique
est
passé.
Le
nombre
de
nouvelles
contaminations
baisse »,
mais
« nous
restons
néanmoins
au-dessus
des
seuils
d’alertes
pour
Tahiti
et
Moorea »,
a
insisté
le
Haut-commissaire,
qui
évoque
« une
situation
délicate,
+ sur
le
fil
+ »,
qui
oblige
à
« poursuivre
nos
efforts
pour
se
mettre
à
l’abri
de ce
virus
qui
contamine
encore
entre
150
et
200
personnes
par
jour ».
Il a
par
ailleurs
annoncé
que
les
premières
doses
de
vaccin
seront
acheminées
vers
la
Polynésie
française
début
janvier.
Pêche
illégale:
90
kilos
de
langoustes
saisis
par
la
DRM
et
les
Douanes
Lors
d’une
opération
de
contrôle
menée
conjointement
par
la
Direction
des
ressources
marines
(DRM)
et
les
Douanes,
le
jeudi
3
décembre,
au
port
de
Papeete,
90
kilos
de
langoustes
(309
pièces)
ont
été
saisis
sur
un
navire.
L’infraction
constatée
portait
sur
la
taille
des
langoustes,
inférieure
à 20
cm,
et
sur
la
présence
d’individus
portant
des
œufs.
Si
la
langouste
est
fortement
appréciée,
notamment
pendant
les
fêtes,
ce
crustacé
fait
l’objet
d’une
réglementation
stricte
en
Polynésie
française.
Il
est
interdit
de
pêcher,
détenir,
transporter,
commercialiser
et
consommer
la
langouste
de
février
à
avril.
De
mai à
janvier,
son
exploitation
est
autorisée
sous
certaines
conditions:
une
taille
supérieure
à 20
cm et
les
femelles
ne
doivent
pas
porter
d’œufs.
Les
sanctions
encourues
sont
la
confiscation
des
produits
pêchés,
une
contravention
de 5e
classe
(jusqu’à
180 000
Fcfp)
et
des
poursuites
judiciaires.
Le
Pays
rappelle
l’importance
de
respecter
les
tailles
minimales
réglementaires
afin
de
permettre
à la
langouste
d’accomplir
son
cycle
de
reproduction
et de
se
régénérer.
Si
on
veut
que
les
générations
futures
puissent
consommer
de la
langouste
à
Noël
et
profiter
des
richesses
de
l’océan,
il
est
important
de
préserver
nos
ressources.
Vendredi
11
décembre
2020
Etat
du
coronavirus
ce
jour
: 83
nouveaux
cas,
15.618
cas
cumulés,
51
hospitalisations,
91
décès
(
attention
c'est
en
augmentation)
Le
Président
de la
Polynésie
française,
Edouard
Fritch,
le
Vice-président,
Tearii
Alpha,
le
ministre
des
Finances,
de
l’Economie,
en
charge
de
l’énergie,
Yvonnick
Raffin,
et le
ministre
de la
Culture
et de
l’environnement,
Heremoana
Maamaatuaiahutapu,
ont
participé,
jeudi
soir,
à une
table
ronde
virtuelle
de
haut
niveau
entre
les
dirigeants
du
Forum
des
Iles
du
Pacifique
et
les
grandes
nations
« Partenaires
du
dialogue
du
Forum »
à la
veille
du
cinquième
anniversaire
de
l’Accord
de
Paris.
A
propos
Le
thon,
c'est
bon
disait
Teva
Rohfritsch,
mais
l'eau,
c'est
cher
renchérissent
Flosse
et
Fritch
!
Quelle
fin
d'année
pour
Gaston
Flosse
et
Edouard
Fritch
d'être
condamnés
pour
avoir
"gratuitement
"trop
bu
d'eau"
de
leur
commune
de
Pirae
!
Enfin
"bu"
n'est
pas
le
terme
exact
car
tous
les
deux
apprécient
le
bon
vin,
mais
disons
"qu'ils
ont
utilisé
gratuitement
l'eau
de la
commune."
Et
non,
l'eau
n'est
pas
gratuite
mais
de là
à
rembourser
solidairement
683.000
euros
de
factures
d'eau
impayées
à la
commune,
40
ans
après
l'avoir
digérée
c'est
cher
pour
de
l'eau.
Si
nos
deux
compères
avaient
vidé
les
tonneaux
de
bons
vins
de
leur
base
communale
bras
dessus,
bras
dessous,,
tout
le
monde
s'en
serait
rendu
compte
car
ils
ne
seraient
pas
sortis
de la
mairie
indemnes,
mais
en
titubant
se
disant
qu'ils
s'aimaient..
Et la
population
de
Pirae
aurait
bien
rigolé
!
Bon,
ce
n'est
pas
le
cas.
Le
vin
est
sauf
et
l'amitié
à
l'eau
! On
ne
peut
pas
tout
avoir.
L’actuel
président
de la
Polynésie
française
et
maire
de
Pirae,
Edouard
Fritch,
figurait
donc
lui
aussi
sur
le
banc
des
prévenus,
pour
n’être
pas
intervenu
lorsqu’il
a
pris
les
rênes
de la
commune.
On ne
peut
pas
penser
à
tout
quand
on
est
maire
et
président
sans
être
un
saint.
Et
comme,
malgré
sa
lecture
quotidienne
de la
bible,
il
n'en
est
pas
un,
il a
donc
été
condamné
par
la
cour
d’appel
à une
amende
solidairement
avec
Gaston
Flosse
d’environ
8 300 euros.
(83
millions
cfp
fichtre
!)..,
juste
pour
une
histoire
d'O.
« Je
ne
peux
pas
être
satisfait »,
a
déclaré
son
avocat
outré,
au
sortir
de
l’audience.
On le
comprend
!
Celui-ci,
avait
plaidé
la
relaxe.
Il
va,
s’entretenir
avec
son
client
sur
l’éventualité
d’un
pourvoi
en
cassation.
C'est
encore
Clochemerle
! Et
si
Flosse
fait
du
Flosse,
Fritch
fait
du
Fritch
.De
quoi
rassurer
les
avocats.
Je
remarque
néanmoins
qu'à
90
ans,
il
n'est
que
temps,
que
Flosse
qui a
l'air
fatigué,
commence
à ne
plus
fréquenter
le
palais...de
justice.
A
Pirae
c'est
l'eau
qui
est
chère
mais
à
Paris,
juste
le
fait
de
mettre
un
téléphone
à
l'oreille
et
paf
vous
récoltez
non,
non,
pas
une
otite
mais
moins
douloureux
peut-être,
quatre
ans
de
prison
dont
deux
ans
ferme
surtout
quand
vous
prenez
le
surnom
de
Paul
Bismuth
qui
résonne
comme
la
marque
d'un
suppositoire.
Rassurez-vous
ce
n'en
est
pas
un
mais
le
nom
de
code
de
Nicolas
Sarkozy.
N'y
voyait
aucune
cause
à
effet.
Enfin
de
Pirae
à
Paris
certains
finissent
bien
l'année
!
Nous
leur
souhaitons
de
bonnes
fêtes,
mais
à
consommer
l'eau
avec
modération
Elle
est
plus
chère
que
le
vin
de
nos
jours...
Gaston
Flosse
nous
fait
parvenir
la
lettre
écrite
par
J.Teuira
le 17
mai
2011
adressée
au
président
de la
cour
des
comptes
dans
laquelle
le
rédacteur
revient
sur
les
accusations
contre
l'ancien
président
Flosse
en
rétablissant
la
vérité
des
faits
dès
le
mois
de
mai
2011,
comme
on
pourra
le
lire
ci-dessous
:
Coupure
électrique :
Incident
sur
ligne
TEP
EDT
ENGIE
informe
ses
clients
que
le
vendredi
11
décembre
2020
à
6h23,
un
incident
a
affecté
une
ligne
de
transport
électrique
de la
TEP
(Société
de
Transport
d'Énergie
électrique
en
Polynésie)
dans
la
vallée
de la
Papenoo.
En
cette
période
de
forte
production
d’hydroélectricité,
cet
incident
a
entraîné
la
perte
de
25%
de la
production
électrique,
soit
15 MW
sur
60
MW.
Afin
d’éviter
un
blackout
sur
Tahiti
et de
garantir
la
continuité
du
service
public
de
l’électricité,
EDT
ENGIE
a dû
procéder
à des
suspensions
d’alimentation
temporaires,
sur
des
équipements
électriques
desservant
environ
17
000
clients.
L’ensemble
des
clients
a été
réalimenté
au
bout
de 29
minutes.
La
production
hydroélectrique
a été
affectée
durant
2
heures.
EDT
ENGIE
présente
toutes
ses
excuses
à ses
clients
pour
cet
incident
indépendant
de sa
volonté,
et
les
remercie
pour
leur
compréhension.
Le
service
communication
EDT
ENGIE
Tollé
après
la
remise
par
Macron
de la
plus
haute
distinction
française
au
dictateur
egyptien
Sissi
en
toute
discrétion
DiPLOMATIE
Alors
qu'aucune
caméra
française
n'était
présente
quasiment
en
cachette,
le
président
égyptien
a
reçu
la
grand-croix
de la
Légion
d'honneur,
lundi
soir
!!!!!!!
Emmanuel
Macron
a
remis
à son
homologue
égyptien
Abdel
Fattah
al-Sissi
la
grand-croix
de la
Légion
d'honneur,
le 7
décembre
2020.
( par
20
Minutes)
Il
a
voulu
éviter
la
polémique,
elle
n’en
est
que
plus
forte.
Le
président
Emmanuel
Macron
a
remis
la
plus
haute
distinction
française
à son
homologue
égyptien
Abdel
Fattah
al-Sissi
lors
de
sa
visite
d’Etat
à
Paris,
a-t-on
confirmé
jeudi
à
l’Elysée
après
la
diffusion
d’images
par
la
seule
présidence
égyptienne.
Ces
images
de la
cérémonie,
filmées
lundi
soir
par
la
délégation
égyptienne,
ont
été
diffusées
en
France
par
l’équipe
de
l’émission
Quotidien
sur
la
chaîne
TMC.
La
remise
de
décoration
ne
figurait
pas à
l’agenda
officiel
du
président
Macron,
tout
comme
le
dîner
offert
dans
la
foulée
en
l’honneur
du
président
Sissi.
L’attribution
de la
grand-croix
de la
Légion
d’honneur
au
président
Sissi,
décrié
par
les
défenseurs
des
droits
humains
pour
la
répression
dans
son
pays,
a
suscité
des
réactions
outrées
sur
les
réseaux
sociaux.
« Exercice
imposé »
De
telles
attributions
relèvent
des
« exercices
imposés »
lors
des
visites
d’Etat,
relève-t-on
dans
l’entourage
du
président
Macron.
« Les
échanges
de
décorations
sont
l’un
des
éléments
traditionnels
des
visites
d’Etat,
qui
sont
rares,
une à
deux
par
an
France.
Et
comme
il
s’agit
de
chefs
d’Etat,
ils
reçoivent
la
plus
haute
distinction »,
renchérit
une
source
diplomatique
française.
Selon
le
site
de la
Grande
Chancellerie
de la
Légion
d’Honneur,
les
étrangers
peuvent
être
décorés
s’ils
ont
« rendu
des
services »
à la
France,
« encouragé
des
causes
qu’elle
défend »
comme
la
défense
des
droits
de
l’Homme,
ou
dans
le
cadre
de
visites
d’Etat
« au
titre
de la
réciprocité
diplomatique »
et
afin
de
soutenir
« la
politique
étrangère
de la
France ».
Le
président
Macron
a
ainsi
décerné
la
grand-croix
au
grand-duc
Henri
de
Luxembourg
en
2018,
selon
l’Elysée.
Les
rois
d’Espagne,
des
Pays-Bas
ou du
Maroc
et
plusieurs
présidents,
dont
le
russe
Vladimir
Poutine
(2006)
et le
polonais
Bronislaw
Komorowski
(2012),
l’avaient
aussi
reçue.
Procédure
de
retrait
contre
Assad
La
France
a par
ailleurs
engagé
sous
Emmanuel
Macron
une
procédure
de
retrait
de la
Légion
d’honneur
au
président
syrien
Bachar
al-Assad
en
raison
de la
guerre
civile
dans
ce
pays
depuis
2011
et de
la
répression
sanglante
engagée
par
le
régime
de
Damas.
Ce
dernier,
qui
avait
été
fait
grand-croix
par
Jacques
Chirac
en
2001,
l’a
finalement
rendue
après
la
participation
de
Paris
aux
frappes
contre
la
Syrie
en
avril 2018.
Pour
la
visite
du
président
Sissi,
les
cérémonies
aux
Invalides
et à
l’Arc
de
Triomphe,
l’arrivée
à
l’Elysée
pour
le
dîner
d’Etat
ou la
rencontre
avec
la
maire
de
Paris
Anne
Hidalgo,
n’étaient
pas
non
plus
ouvertes
aux
télévisions
françaises
et
agences
internationales.
« Sur
une
visite
d’Etat,
c’est
le
Quai
d’Orsay
qui
fixe
le
protocole
d’accréditation,
y
compris
pour
le
secteur
Hôtel
de
Ville.
Il
n’y a
pas
eu
d’accréditation
autorisée,
le
Quai
ne
l’a
pas
souhaité »,
a
déclaré
à cet
égard
un
proche
d’Anne
Hidalgo
à
l’AFP.
Mais
l’exécutif
dément
avoir
donné
des
consignes
aux
différents
hôtes
du
président
Sissi.
« La
seule
consigne
sur
cette
visite
c’était
que
chacun
gérait
sa
communication »,
assure-t-on
au
Quai
d’Orsay.
( par
20
Minutes)
Jeudi
10
décembre
2020
A
15h33
124
nouveaux
cas,
15535
cas
cumulés,
54
hospitalisations,
91
décès.
A
propos
Si je
suis
lucide
ce
matin,
c'est
sans
doute,
contrairement
à
d'autres
personnes
que
j'ai
mal
dormi
et du
coup
je
suis
particulièrement
volontiers
pessimiste
sur
la
société.
Je me
souviens
d'une
phrase
de
Gustave
Flaubert
"
Tout
le
rêve
de la
démocratie
est
d'élever
le
prolétaire
au
niveau
de la
bêtise
du
bourgeois.
Le
rêve
est
en
partie
accompli
!"
Vlan
!
Sachez
aussi,
que
peu
de
temps
après
avoir
fêté
son
80°
anniversaire
Anatole
France
assista
à une
manifestation
publique
en
son
honneur
au
palais
du
Trocadero
le 24
mai
1924.
On
raconte
qu'une
dame
lui
aurait
dit
en le
rencontrant
:
-
Oh
monsieur
France
comme
vous
avez
bonne
mine
!
-
Mais
oui
madame.
Mais
si
j'avais
20
ans,
vous
ne me
le
diriez
pas!
Alors
mes
amies
méfions-nous
des
réparties
peu
flatteuses.
A ce
propos,
lors
de la
visite
de
John
Fitzgezrald
Kennedy
en
France,de
Gaulle
fut
un
brin
agacé
par
le
succès
rencontré
par
Jackie
Kennedy.
Lors
d'un
dîner
officiel,
la
femme
du
président
américain
lui
annonça
avec
fierté
:
"Général
savez-vous
que
ma
famille
est
d'origine
française
?
- "Eh
bien
chère
madame",
répondit
de
Gaulle,"
figurez-vous
que
la
mienne
l'est
aussi
!"
Un
brin
de
perfidie
bien
élevée,
dans
la
réponse
du
général
tout
de
même.
Je me
souviens
que
Gaston
Flosse
ne
manquait
pas
d'esprit
non
plus.
A une
dame
qu'il
ne
connaissait
pas
et
qui
lui
demandait
lors
d'un
cocktail
: "Que
faut-il
faire
pour
vous
aider"?
Flosse
méfiant
avait
répondu
" "surtout
me
laisser
faire"!!
Elle
n'a
jamais
su,
si
c'était
du
lard
ou du
cochon!
Revenons
dans
le
présent
Un
couvre-feu
à
partir
de 20
heures,
qui
concernera
le
31
décembre
en
métropole.
Le
Premier
ministre
annonce,
à
partir
du 15
décembre
un
couvre-feu
à 20
heures,
au
lieu
de 21
heures,
jusqu'à
6
heures.
Il
concernera,
contrairement
à ce
qui a
été
annoncé,
le
soir
du 31
décembre.
«Noël
occupe
une
place
à
part
dans
nos
vies
et
traditions
»,
a-t-il
justifié,
en
rappelant
que
les
déplacements
seront
autorisés
le 24
décembre,
mais
avec
«pas
plus
de
six
adultes
à la
fois
».
Les
stades,
salles
de
cinéma
et
spectacles
«resteront
fermés
trois
semaines
de
plus
».
«Les
règles
posées
récemment
pour
les
lieux
de
cultes
ne
seront
pas
revues
à la
hausse
», a
ajouté
Jean
Castex.
«La
situation
sanitaire
pourrait
être
pire
en
janvier
», en
cas
de
réouverture
au 15
décembre.
Les
autres
établissements
recevant
du
public
devraient
rouvrir
le 20
janvier.
Le
vice
président
de la
Polynésie
française
Teari
Alpha
a
participé
jeudi
matin
à la
réunion
du
18°
forum
PTOM-UE
qui
s'est
tenu
exceptionnellement
par
visioconférence
des
Pays
et
Territoires
d'outre-mer
et
les
représentants
des
Etats
membres
de la
commission
européenne.
Discours
du
président
à
l'Assemblée
que
nous
publions
dans
son
intégralité.
Commentaires
dans
notre
édition
de
demain,
vendredi
11
décembre
2020
Voter
un
budget,
comme
vous
l’avez
fait
ces
derniers
jours,
ou
arrêter
un
plan
de
relance
tel
que
celui
qui
vous
est
présenté
aujourd’hui,
implique
lucidité
et
pragmatisme.
Mais
face
à des
bouleversements
d’une
ampleur
et
d’une
telle
brutalité,
que
nous
mesurons
encore
très
mal,
c’est
aussi
pour
nous
tous,
élus
comme
membres
du
gouvernement,
un
devoir.
Car,
malgré
les
10
mois
que
nous
venons
de
traverser,
le
plus
fort
de la
crise
économique,
sociale
et
financière
est
encore
devant
nous.
Nous
avons
pu
espérer,
un
temps,
que
la
parenthèse
se
refermerait
après
quelques
mois,
et
que
des
ajustements
et un
soutien
ponctuel
permettraient
de
retrouver
assez
rapidement
la
trajectoire
de
croissance
initiée
auparavant.
Ce ne
fut
pas
le
cas,
malheureusement.
Il va
falloir
nous
inscrire
dans
la
durée.
Les
conséquences
vont
être
plus
profondes,
plus
dures,
plus
radicales
que
celles
que
notre
Pays
a eu
à
envisager
ces
dernières
décennies.
Nous
n’allons
pas
seulement
devoir
réduire
les
effets
d’une
crise.
Il
nous
faut
nous
placer
dans
la
perspective
d’un
changement
pérenne,
un
changement
qui
va
nous
contraindre
à
repenser
nos
modèles,
à
négocier
une
transition,
tout
en
préservant
les
plus
fragiles
d’entre
nous.
Il
nous
faut
donc
être
à la
hauteur
de la
tâche,
et
collectivement.
Le
plan
que
nous
souhaitons
vous
présenter
aujourd’hui
est
sans
doute
encore
imparfait,
et
qui
sera
encore
enrichi
des
échanges
à
venir.
C’est
un
choix
que
nous
assumons
pleinement.
Devant
de
telles
difficultés
à
venir,
il
nous
a en
effet
semblé
important
non
pas
d’imposer
un
document
finalisé
dans
les
antichambres
ministérielles
mais
de
partager
sa
construction
avec
vous,
élus
de
l’Assemblée
et
avec
l’ensemble
des
acteurs
économiques.
Notre
objectif
est
de
partir,
dans
un
premier
temps,
de ce
premier
document
préparé
collégialement
par
le
gouvernement
pour
aboutir
à un
plan
de
relance
concerté
à la
fin
du
mois
de
janvier
prochain
avec
nos
partenaires
de la
société
civile.
Parce
que
la
population
attend
des
réponses,
nous
devons
être
rapides,
réalistes
mais
aussi
agiles.
Parce
que
l’avenir
reste
encore
incertain,
nous
devons
aussi
accepter
de
faire
évoluer,
quand
les
circonstances
l’exigent,
ce
qui
n’est
plus
adapté :
il
nous
faut
apprendre
à
être
agiles.
Ainsi,
ce
plan
est
et
doit
rester
évolutif.
Il
doit
conserver
sa
plasticité
face
à la
situation
sanitaire,
économique,
non
seulement
locale,
mais
aussi
internationale.
Il
est à
craindre,
ou du
moins
à
envisager,
que
nous
vivons
une
rupture,
un
moment
de
bascule,
où
les
échanges,
la
mobilité,
les
équilibres
tels
que
nous
les
avons
connus
vont
d’être
fortement
transformés.
Vous
le
savez,
le
Gouvernement
a
réagi
immédiatement,
élaborant
et
mettant
en
œuvre
un
plan
de
sauvegarde
dès
le
mois
de
mars
dernier,
grâce
aussi
à
votre
mobilisation
en
urgence
pour
voter
les
textes
nécessaires
à son
application.
Il
faut
noter
la
complémentarité
des
efforts
déployés,
entre
le
Pays
et
l’Etat,
mais
également
avec
le
volontarisme
des
Communes
et de
leurs
équipes
ainsi
que
des
entreprises.
Les
dispositifs
successifs
en
faveur
du
maintien
de
l’emploi
ont
été
efficaces,
les
effets
immédiats
ont
été
contenus.
Les
allègements
de
charges
et le
soutien
aux
entreprises
ont
également
permis
de
préserver
la
majeure
partie
de
notre
appareil
productif.
[ ]
Enfin
l’aide
aux
plus
démunis
continue
d’être
déployée,
et
devra
sans
aucun
doute
se
poursuivre
et
s’amplifier
pour
que
les
inégalités
ne
soient
pas
plus
exacerbées
qu’elles
ne le
sont
déjà
— et
là
encore
les
Tavana
et
leurs
équipes
communales
sont
aux
côtés
des
agents
publics
du
Pays
pour
porter
assistance
et
soutien
à
ceux
qui
en
ont
besoin.
Jusqu’à
présent
donc,
nous
avons
malgré
tout
contenu
et
atténué
les
principaux
effets
du
choc
économique
et
social
que
nous
traversons.
Si
nous
connaissons
déjà
une
forme
de
récession,
il
n’y a
pas
d’inflation
excessive,
pas
de
surcoût
majeur
des
énergies,
pas
de
licenciements
de
masse.
Mais,
vous
le
savez,
au
cours
de
l’année
à
venir,
et
sans
doute
les 2
années
qui
suivent,
de
nouvelles
difficultés
vont
s’ajouter
aux
turbulences
endurées
par
nos
familles
et
par
les
acteurs
de la
vie
économique.
On
peut
craindre
que
les
surendettements
et
des
bulles
financières,
mais
également
la
restructuration
des
entreprises
par
exemple,
aggravent
les
obstacles
à
surmonter.
Il
nous
faut
agir
et
réagir.
Il
nous
faut
anticiper,
nous
préparer
et
nous
adapter.
C’est
le
sens
de ce
plan
de
relance.
***
Si un
plan
de
transformation
économique
à
l’horizon
2030
est
une
nécessité
pour
nous
engager
collectivement
dans
des
perspectives
et
des
axes
qui
tiendront
compte
de
l’ensemble
des
leçons
à
tirer
des
bouleversements
que
nous
vivons
et
que
nous
allons
vivre
encore
plusieurs
mois,
nous
avons
besoin
d’un
plan
de
relance
sur 3
ans,
pour
accompagner
le
rebond
et la
transition
nécessaires,
pour
engendrer
une
dynamique
de
court
terme,
cruciale
pour
la
société
civile,
et
cruciale
également
pour
maintenir
l’équilibre
de
nos
comptes
publics.
C’est
un
premier
pas.
Ce
plan
doit
donc
être
conjoncturel,
se
concentrer
sur
ses
effets
immédiats,
avec
deux
axes
majeurs
qui
ont
déjà
été
énoncés
par
le
Président
:
• Le
premier
axe
est
celui
d’une
large
mobilisation
en
faveur
du
soutien
à
l’emploi,
à la
résilience
économique,
destiné
à
combattre
les
effets
directs
de la
pandémie
mondiale
à la
fois
de
manière
globale
et
plus
spécifiquement
sur
certains
secteurs
stratégiques
;
• Le
second
axe
est
celui
de la
solidarité,
qui
doit
être
renforcée,
puisque
ce
sont
les
plus
vulnérables
et
les
plus
modestes
qui
vont
souffrir
d’abord
et le
plus
durement.
Vous
venez
de
voter
le
budget
du
Pays,
je ne
reviens
donc
pas
sur
ce
qui
vous
a été
présenté
de
manière
détaillée
par
le
Président
du
Pays,
mais
comme
vous
le
savez,
au
final
56,3
milliards
de
crédits
de
paiement
seront
disponibles
en
2021
pour
le
plan
de
relance
et
les
investissements.
C’est
le
potentiel
global,
et il
dépendra
de
nos
capacités
d’exécution
de
pouvoir
les
injecter
et
les
consommer
en
temps
et en
heure.
C’est
notre
principal
défi.
Les
efforts
conjugués
de
l’Etat
et
des
Communes
doivent
venir
encore
amplifier
cette
dynamique.
Enfin,
les
investisseurs
privés
doivent
se
sentir
impliqués
et
invités
à
participer
à ces
efforts
sans
précédent.
Pour
établir
ce
premier
plan
de
relance,
plusieurs
objectifs
nous
ont
guidé,
et
chaque
mesure
a été
présentée
en
fiches
détaillées,
avec
un
énoncé
de la
problématique
soulevée,
un
descriptif
technique
ainsi
que
les
impacts
attendus
et
les
indicateurs
pour
les
évaluer.
Oui
ce
plan
de
relance
sera
suivi
comme
un
plan
de
vol
avec
des
tableaux
de
bord
tel
un
vol
aux
instruments.
•
Tout
d’abord,
pour
préserver
notre
capacité
de
production,
il
faut
que
les
entreprises
disposent
des
capitaux
et de
la
trésorerie
suffisante.
Plusieurs
mesures
concourent
à cet
objectif,
elles
seront
forcément
complémentaires
et
devront
viser
une
efficacité
maximale.
Certaines
mesures
concernent
directement
les
entreprises
disposant
de
nombreux
salariés,
tandis
que
d’autres
vont
venir
soutenir
la
viabilité
des
TPE
et
PME.
Préserver
les
fonds
propres,
c’est
garantir
aussi
leurs
capacités
d’adaptation,
tant
pendant
la
reprise
d’activité
des
prochains
mois
que
pour
la
transition
vis-à-vis
de
nouvelles
normes
liées
aux
échanges
et à
la
mobilité
qui
vont
s’imposer
au
niveau
international.
•
Ensuite,
les
objectifs
suivants
concernent
la
dynamique
de la
demande,
à la
fois
sur
la
consommation
des
ménages
et
celles
des
entreprises
entre
elles,
mais
également
la
commande
publique.
Les
carnets
de
commande
doivent
se
reconstituer
pour
les
secteurs
les
plus
touchés.
Les
investissements
localement
doivent
être
attractifs.
Je
souhaite
aussi
que
les
Polynésiennes
et
Polynésiens
qui
en
ont
les
capacités
préfèrent
investir
ici,
dans
notre
économie,
plutôt
qu’à
l’extérieur
du
Fenua.
Les
incitations
aussi
à la
consommation
locale
seront
déterminantes
pour
nous
soutenir
les
uns
les
autres.
S’agissant
de la
commande
publique,
je le
disais,
c’est
notre
défi.
2020
aura
été
une
année
record
en
termes
de
liquidation
et de
mandatement,
malgré
la
crise.
Nos
engagements,
les
dépenses
du
Pays,
sont
encore
plus
stratégiques
en
cette
période
qu’ils
ne
l’étaient
depuis
5
ans.
En
tant
que
Ministre
en
charge
de la
coordination
de
l’action
gouvernementale,
et en
soutien
au
Président
et au
Vice-Président,
je
veillerai
particulièrement
à
cette
question.
Outre
notre
efficacité
collective,
il
s’agit
là
aussi
d’initier
la
transformation
de
notre
économie
en
ciblant
à la
fois
les
projets
liés
à la
transition
énergétique
et
environnementale.
On ne
produira
plus
demain
comme
on le
faisait
hier.
•
D’autre
part,
dans
la
continuité
des
mesures
prises
depuis
mars
dernier,
nous
souhaitons
préserver
les
emplois
et
renforcer
les
compétences.
Les
dispositifs
de
maintien
de
l’emploi
vont
devoir
se
poursuivre
jusqu’à
ce
que
la
reprise
soit
avérée,
pour
ne
pas
mettre
les
entreprises
dans
l’obligation
de se
séparer
prématurément
de
leurs
équipes.
La
formation,
la
réorientation,
le
perfectionnement
vont
être
encouragés
durant
cette
période,
notamment
au
travers
de
l’apprentissage
et de
l’accompagnement
technique
aux
acteurs.
Et
dans
un
monde
du
travail
où la
digitalisation,
la
pluriactivité,
la
mobilité
professionnelle
au
cours
d’une
carrière
s’accentuent,
l’accélération
des
tendances
constatées
ces
dernières
années
semble
une
évidence.
Il
faut
pouvoir
y
répondre.
Il
faut
y
préparer
nos
populations
actives,
et en
particulier,
il
faut
que
l’insertion
professionnelle
de
notre
jeunesse
soit
au
centre
de
nos
préoccupations.
**
•
Viennent
ensuite
des
objectifs
sectoriels.
Notre
économie
dépend
de
plusieurs
grands
secteurs.
Soit
parce
que
ce
sont
des
héritages
des
décennies
passées
pour
certains,
soit
parce
qu’ils
dépendent
des
spécificités
géographiques
qui
sont
les
nôtres,
soit
parce
qu’ils
répondent
à des
enjeux
d’adaptation
aux
changements
qui
nous
font
face.
Au
premier
titre,
et ce
n’est
pas
une
surprise,
le
tourisme
est
un
moteur
évident
de
notre
économie
et
c’est
sans
doute
le
secteur
le
plus
impacté
directement
par
la
situation
actuelle.
La
remise
en
cause
de la
mobilité
et
des
échanges
internationaux,
là
encore,
frappe
de
plein
fouet
notre
première
industrie.
Il
convient
donc
d’être
à la
hauteur
de
ces
enjeux
et de
donner
des
perspectives
à nos
acteurs.
Il
nous
faut
aussi
ne
rien
lâcher
dans
un
environnement
extrêmement
concurrentiel.
La
reprise,
la
réouverture
des
destinations,
va
donner
lieu
à une
bataille
âpre
avec
nos
concurrents.
Là
aussi,
nous
devons
être
prêts.
Ensuite,
parmi
nos
ressources
propres,
la
pêche
hauturière,
la
pêche
côtière,
l’aquaculture
et la
perliculture,
piliers
de
l’économie
bleue,
sont
aujourd’hui
les
segments
les
plus
stratégiques.
Ils
étaient
déjà,
avant
la
crise,
dans
des
dynamiques
d’expansion
planifiées
avec
des
feuilles
de
route
construites
ou en
cours
de
construction.
Il va
nous
falloir
aller
plus
vite,
accélérer
leur
transformation
chaque
fois
que
nécessaire,
et
démultiplier
les
effets
induits.
Les
questions
notamment
de
commercialisation
à
l’international,
de
compétitivité,
d’ouverture
de
nouveaux
marchés
et
débouchés,
doivent
être
favorisées
à
court
terme
et
dès
que
les
possibilités
de
mobilité
reviendront.
Face
aux
transformations
mondiales,
nous
l’avons
vu
ces
derniers
mois
de
manière
plus
saillante
encore
que
les
années
précédentes,
notre
autonomie
alimentaire
d’une
part,
et
notre
autonomie
énergétique
d’autre
part,
sont
également
des
enjeux
de
premier
plan
si
nous
voulons
être
résilient,
et si
nous
voulons
être
en
capacité
de
nous
adapter
au
monde
tel
qu’il
sera
au
cours
de la
prochaine
décennie.
Edouard
Fritch
parle
vrai
C’est
du
bon
sens,
mais
derrière
l’affichage,
ce
sont
de
nombreux
défis
concrets
et
complexes
à
relever.
Il
faut
du
volontarisme,
mais
pas
seulement.
Les
constats
sont
clairs
:
nous
ne
sommes
pas
compétitifs,
ni au
niveau
international,
ni
même
au
niveau
régional.
Consommer
des
produits
locaux
revient
souvent
plus
cher
que
de
consommer
des
produits
importés.
Il en
va de
même
pour
notre
énergie.
Produire,
en
autonomie,
nos
propres
énergies
est
extrêmement
coûteux.
Pour
compenser
nos
désavantages,
il
nous
faut
non
seulement
une
vision
claire
et
soutenable
de ce
à
quoi
nous
souhaitons
parvenir,
mais
il
nous
faut
des
mécanismes
inédits,
des
circuits
de
production
et de
consommation
renouvelés.
Il
nous
a
semblé
pertinent
que
ce
plan
de
relance
s’inscrive
dans
ces
transitions,
et
renforce
ces
dynamiques.
Pour
en
finir
avec
les
objectifs
sectoriels,
là
encore
la
crise
aura
servi
de
catalyseur
et
d’accélérateur,
les
nouvelles
technologies,
notamment
digitales,
et
l’innovation
doivent
être
au
cœur
de
nos
démarches.
Le
Pays
s’est
déjà
fortement
engagé
dans
cette
voie
depuis
plusieurs
années.
Nous
avons
pu
mesurer
combien
nous
avons
non
seulement
encore
du
chemin
à
parcourir,
dans
nos
entreprises,
dans
nos
services
et
établissements,
mais
également
dans
notre
vie
de
tous
les
jours.
En
outre,
nous
pouvons
être
sur
certaines
techniques
ou
expérimentations,
à la
pointe
de la
recherche
et
des
avancées.
Outre
la
réduction
de la
fracture
numérique,
nous
devons
stimuler
certaines
formes
de
dématérialisation
et de
nouvelles
technologies
pensées
et
déployées
par
et
pour
les
insulaires
que
nous
sommes.
•
Enfin,
je
l’ai
annoncé
au
démarrage
de
cette
présentation,
l’objectif
de
protection
et de
solidarité
doit
être
au
cœur
de
notre
démarche.
Il
s’agit
de
cohésion,
il
s’agit
aussi
de
lutter
contre
les
inégalités
sociales.
Nous
avons
là
une
responsabilité
lourde.
D’abord,
il
nous
faut
garantir
l’équilibre
des
comptes
sociaux
du
Pays.
Notre
modèle
de
protection
sociale
est
mis à
rude
épreuve.
Il
faut
adapter
notre
modèle,
je
dirais
plus :
repenser
notre
modèle.
Il
nous
faut
là
aussi
évoluer
et
anticiper.
Notre
gestion
actuelle
de la
PSG
par
régimes,
et
non
par
branche,
touche
ses
limites.
Par
ailleurs,
notre
taux
de
pauvreté,
déjà
préoccupant,
risque
de
s’aggraver
rapidement.
Nous
devons
disposer
de
nouveaux
dispositifs
de
solidarité
et
d’aides
face
à la
précarité.
Ce
défi
nous
touche
toutes
et
tous.
Pas
uniquement
le
Gouvernement.
Il
touche
naturellement
les
communes,
et
l’ensemble
des
acteurs
publics,
mais
il
touche
aussi
l’ensemble
de
notre
société
civile.
Nous
devons
faire
corps
sur
ces
questions.
Notre
cohésion
doit
être
irréprochable.
La
réforme
s’impose
naturellement
d’elle
même
****
Voilà,
à
grands
traits,
l’ossature
du
plan
que
nous
vous
présentons.
Comme
je
l’annonçais
tantôt,
le
détail
des
mesures
va
encore
faire
l’objet
d’un
travail
dans
les
semaines
qui
viennent,
pour
être
affiné
et
précisé,
en
concertation,
jusqu’à
la
mi-janvier.
J’ai
également
demandé
à mes
équipes
de
pouvoir
disposer
d’une
vision
claire
de la
gouvernance
à
mettre
en
œuvre
pour
piloter
le
déploiement
de ce
plan.
Je
souhaite
que
l’on
puisse
s’assurer,
autant
le
Gouvernement
que
l’ensemble
de
nos
institutions,
ainsi
que
les
communes
et
nos
partenaires,
des
avancées
concrètes,
au
fur
et à
mesure
de
l’avancée
des
travaux.
Je
souhaite
une
méthode
inédite
de
gouvernance,
qui
tienne
compte
sans
doute
de
nos
faiblesses
et de
nos
points
à
améliorer
parfois
dans
le
suivi
de
certaines
feuilles
de
route,
mais
aussi
de
l’engagement
et de
l’implication
de
nos
agents
publics
et de
la
société
civile
qui
ne
ménagent
pas
leurs
efforts,
depuis
des
mois,
pour
faire
face
à une
situation
brutale
et
inédite.
Je
voudrais
les
en
remercier
publiquement.
Ainsi,
et
j’espère
que
c’est
aussi
votre
cas,
je
retiendrai
les
mots
d’efficacité,
de
solidarité,
de
cohésion
pour
caractériser
ce
plan.
Je
vous
le
répète,
il va
encore
évoluer
dans
les
semaines
à
venir,
n’hésitez
donc
pas à
nous
faire
remonter
vos
remarques
et
vos
suggestions.
Et il
sera
complété
également
à la
fois
par
le
plan
quinquennal
à
finaliser
avec
l’État,
et
par
un
plan
de
transformation
économique
à
l’échelle
de la
décennie.
Je
vous
remercie
de
votre
écoute,
et de
votre
engagement.