Que
cette
année
2021
soit
joyeuse,
nous
garde
loin
des
méchants
problèmes
de la
vie,
des
maladies,
du
Covid-19,
que
ce
noble
sentiment
qu'est
l'amitié
ne
soit
pas
un
vain
mot,
et
pourtant
il
l'est,souvent,
que
nos
soldats
sur
les
fronts
où le
fusil
claque
soient
saufs,et
retrouvent
leurs
familles
et
que
la
Polynésie
oubliant
les
sournois,
les
hypocrites,
les
orgueilleux
maladifs,
soit
véritablement
un
paradis
pour
tous
ceux
qui y
vivent
paisiblement.
Mardi
19
janvier
2021
A
propos
Tu
veux,
ou tu
veux
pas ?
En
Polynésie,
il
faut
croire
qu'
on
s'ennuie.
On a
donc
tout
le
temps
de
préparer
des
manifestations
sur
de
différents
collectifs.
Aucun
polynésien
n'a
peur
d'ingérer
toutes
sortes
de "rau
tahitien"
mais
tous
ou
presque,
manifestent
sur
les
risques
du
vaccin
contre
le
Covid-19
!
Encore
une
manif
alors
qu'il
est
plus
simple,
si
l'on
ne
veut
pas
d'un
vaccin
pouvant
vous
protéger
comme
le
rôle
de
tous
les
vaccins,
de ne
pas
se
faire
vacciner,
puisque
ce
n'est
pas
obligatoire.
Mais
manifester
son
choix
occupe
les
chômeurs
qui
ont
l'impression
de
faire
oeuvre
utile
sans
même
se
douter
qu'ils
font
peut-être
face
à la
mort
par
Covid.
Chacun
est
libre
de
ses
choix.
vivre
ou
mourir,
ne
dépend
que
de
chaque
individu.
Trois
vaccins
en un
le
BCG
est
injecté
aux
bébés
depuis
près
d'un
siècle.
Il
est
passé
dans
les
moeurs.
Dans
ces
conditions
pour
marcher
dans
les
pas
des
réfractaires,
plus
de la
moitié
du
globe
( des
millions
de
personnes)
est
donc
considérée
comme
" des
rats
de
laboratoire"!!
Tahiti
n'est
pas
le
centre
du
monde
contrairement
à ce
que
certains
peuvent
croire.
Tu
veux
ou tu
veux
pas ?
Si tu
veux
pas ,
ne te
fais
pas
vacciner.
Tu es
maître
de
ton
corps,
tu
peux
choisir
de
vivre
ou de
mourir
si le
virus,
sans
que
tu
t'en
doutes,
pénètre
dans
ton
sang
.
Le
vaccin
anti
corona
est
étudié,
décomposé
à la
loupe
par
les
scientifiques
et
mis
en
vente
comme
des
milliers
d'autres
médicaments
et
vaccins
tous
les
jours,
dès
l'autorisation
de la
Haute
autorité
médicale.
Ceux-là
n'ont
pas
eu la
médiatisation
du
corona
donc
ils
ne
font
pas
peur,
alors
nous
les
avalons
joyeusement,
ou on
nous
les
injecte
sans
ruer
dans
les
brancards.
Mais
si
l'on
en
croit
certains
il y
a
donc
des
"millions
et
des
millions
de
rats
sur
le
globe"
puisque
ils
comparent
ceux
qui
se
soignent
en
Polynésie
à des
"rats"
après
avoir
lu
quelques
élucubrations
de
citoyens-manipulateurs,
qui
se
prennent
pour
des
objecteurs
de
conscience
sur
internet,
la
nouvelle
bible
médicale...
Il
est
curieux
de
voir
des
pancartes
sur
le
torse
de
manifestants
sur
lesquelles
on
peut
lire
: "
Je ne
veux
pas
être
un
OGM"
!
Mais
personne
ne
l'oblige
à
l'être
!!!
Et
entre-nous
ils
avalent
presque
tous
les
jours
cette
protéine
car
les
agriculteurs
se
servent
quotidiennement
de
ces
organismes
modifiés
pour
faire
pousser,
grossir
et
grandir
plus
vite
fruits
et
légumes.
Alors....
Etat
des
méfaits
du
coronavirus
:
62
nouveaux
cas,
17.697
cas
cumulés,
38
hospitalisations
et...127
décès.(
vaccin
la
vie
ou
pas
vaccin
la
mort)
Affaire
JPK
:
La
Question
prioritaire
de
constitutionnalité
de
Francis
Stein
renvoyée
devant
le
Conseil
constitutionnel
La
Cour
de
cassation
à
Paris
vient
d'accepter
de
transmettre
au
Conseil
constitutionnel
une
"question
prioritaire
de
constitutionnalité"
(QPC)
déposée
par
l'avocat
de
Francis
Stein
dans
l'affaire
JPK.
Le 12
janvier
dernier,
la
Cour
de
cassation
à
Paris
a
accepté
la
transmission
au
Conseil
constitutionnel
d'une
"question
prioritaire
de
constitutionnalité"
(QPC)
déposée
par
l'avocat
de
Francis
Stein
dans
l'affaire
JPK
et
présentant
un
caractère
suffisamment
"sérieux".
L'ancien
amant
de
l'ex-compagne
du
journaliste
Jean-Pascal
Couraud,
disparu
dans
des
conditions
toujours
inexpliquées
en
1997,
avait
été
mis
en
examen
pour
"meurtre"
avec
sa
maîtresse
de
l'époque,
Miri
Tatarata,
le 28
juin
2019.
Les
deux
suspects
contestent
toujours
fermement
les
soupçons
du
juge
d'instruction
sur
leur
implication
dans
la
disparition
de
JPK.
Et
dans
le
cadre
de
leurs
recours
contre
leurs
mises
en
examen,
le
conseil
de
Francis
Stein,
Me
Arcus
Usang,
avait
déposé
deux
QPC
pour
contester
des
éléments
de
procédure
du
dossier.
La
semaine
dernière,
la
Cour
de
cassation
a
examiné
ces
deux
recours
pour
juger
s'ils
étaient
assez
pertinents
pour
être
examinés
en
dernier
ressort
par
les
Sages
du
Palais-Royal
à
Paris.
Et
les
deux
QPC
ont
connu
des
fortunes
diverses.
La
première
question
portait
sur
le
fait
que
le
code
de
procédure
pénale
"n’exige
ni
notification
préalable
à la
mise
en
examen
des
indices
graves
ou
concordants
que
le
juge
d’instruction
envisage
de
retenir
ni
motivation
de la
mise
en
examen".
Pour
l'avocat
de
Francis
Stein,
cette
disposition
poserait
un
problème
de
conformité
avec
la
Déclaration
des
droits
de
l’homme
et du
citoyen,
exposant
son
client
"à un
risque
d’atteinte
à ses
intérêts
et à
sa
liberté".
Question
pourtant
balayée
par
la
Cour
de
cassation,
puisque
n'étant
pas
"nouvelle"
pour
le
Conseil
constitutionnel.
La
seconde
QPC,
en
revanche,
a
retenu
l'attention
de la
Cour
de
cassation.
L'avocat
de
Francis
Stein
a,
cette
fois-ci,
relevé
que
le
code
de
procédure
pénale
ne
prévoyait
pas
qu'une
personne
comparaissant
devant
la
chambre
de
l'instruction
pour
contester
sa
mise
en
examen
"soit
informée
de
son
droit,
au
cours
des
débats,
de
faire
des
déclarations,
de
répondre
aux
questions
qui
lui
sont
posées
ou de
se
taire".
Dispositions
qui
pourraient,
toujours,
selon
l'avocat
de
Francis
Stein,
être
"contraires
au
principe
selon
lequel
nul
n’est
tenu
de
s’accuser
et
aux
droits
de la
défense",
garanti
par
la
Déclaration
des
Droits
de
l'Homme
de
1789.
Or,
pour
la
Cour
de
cassation,
cette
seconde
question
"présente
un
caractère
sérieux"
à
même
de
justifier
une
saisine
du
Conseil
constitutionnel.
Principale
conséquence
de ce
nouvel
aléa
de
procédure,
l'instruction
de
l'affaire
JPK
devra
vraisemblablement
attendre
la
position
du
Conseil
constitutionnel
pour
statuer
définitivement
sur
les
mises
en
examen
de
Francis
Stein
et
Miri
Tatarata.
Peut-être
pas
de
quoi
faire
"sauter
la
procédure",
mais
au
moins
retarder
une
information
judiciaire
rouverte
en
2004
et
déjà
vieille
de 16
ans…
Lundi
18
janvier
2021
A
propos
Qu'est-ce
que
la
politique
?
Il
n'appartirent
pas
aux
seuls
grand
hommes
d'avoir
de
graves
défauts,
bien
au
contraire,
ils
se
doivent
plus
que
d'autres,
d'être
proches
des
hommes
simples,
sans
flonflons,
car
la
parfaite
valeur
est
de
faire
sans
témoins,
ce
qu'on
serait
capable
de
faire
devant
tout
le
monde.
Mais
les
hommes
politiques,
par
essence
même,
se
doivent
de
montrer
à
l'opinion
ce
dont
ils
sont
capables
de
faire,
et
mieux,
de
réaliser
ce
qu'ils
proposent
lorsqu'ils
en
ont
la
possibilité.
On ne
leur
demande
pas
d'étaler
leurs
vertus
car
en
règle
générale,
l'hypocrisie
est
un
hommage
que
la
vie
rend
à la
vertu
et
c'est
une
grande
habilité
pour
ces
hommes
là,
que
de
savoir
la
cacher.
Il
est
vrai
cependant
que
le
monde
récompense
plus
souvent
les
apparences
du
mérite
que
le
mérite
lui-même.
Et
quand
par
malheur
on
fonde
un
édito
sur
les
mérites
d'un
homme
politique
qui
ne
brasse
pas
d'air
mais
passe
sa
vie a
réaliser
concrètement
ce
dont
il
rêve
quand
il en
a les
moyens,
c'est
du
favoritisme
ou de
"l'infobésité".
Une
manière
d'ingérer
l'info,
comme
me
l'avait
dit
Gérard
Davet
du
Monde
lorsqu'il
était
venu
rencontrer
Gaston
Flosse
ou de
retenir,
pour
la
répéter,une
bonne
phrase
d'un
discours
trop
long,
quand
les
premiers
mots
passés,
on
arrive
à la
fin
sans
se
souvenir
du
début.
Alors
en
vérité
qu'est-ce-que
la
politique
? Les
spécialistes
vous
diront
que
c'est
l'art
d'obtenir
l'argent
des
riches
ou du
pays
pour
finaliser
leurs
ambitions
afin
de se
faire
réélire
dans
des
campagnes
fatigantes
ou
encore
d'obtenir
les
suffrages
des
pauvres
sous
prétexte
de
les
protéger
les
uns
des
autres.
En
réalité
bien
souvent
en
politique
"on
succède
à des
imbéciles
que
l'on
remplace
par
des
incapables"...
ce
n'est
pas
moi
qui
le
dit
mais
La
Bruyère
en
1688.Il
disait
aussi
: "les
femmes
sont
extrêmes,
elles
sont
meilleures
ou
pires
que
les
hommes".
Et
oui !
Déjà...
------
Les
priorités
du
Parquet
:
la
drogue
et
particulièrement
"l'ice",
les
violences
familiales,et
autres,
la
dépendance
économique.
Puis
pose
du
bracelet
électronique
pour
briser
le
cycle
infernal
de
l'emprise
psychologique
de
l'homme
sur
la
femme
notamment
les
victimes
de
violences
conjugales
pour
lesquelles
ce
sera
une
protection
accrue
(
Hervé
Leroy,
procureur
de la
République
)
Celui-ci
n'a
pas
manqué
de
marquer
au
fer
rouge
les
gesticulations
de
certains
qui
ne
freineront
en
aucune
manière
l'action
de la
justice.
Pan
sur
le
bec !
Par
ailleurs
la
présidente
du
tribunal
de
première
instance
Laure
Camus
a
souhaité
développer
davantage
l'accès
au
"droit"
dans
les
îles.
Projet
de
juridiction
pour
l'année
2021.
Droit,
fermeté,
sévérité
pour
les
fautifs.
Qu'on
se le
dise....
"Que
dois-je
faire
?
M’immoler
?" :
Jack
Lang
agacé
par
le
rappel
d'une
tribune
pro-pédophilie
L'ouvrage
de
Camille
Kouchner,
intitulé
La
Familia
grande
(Seuil),
dans
lequel
elle
révèle
comment
son
beau-père,
le
politologue
Olivier
Duhamel
a
agressé
sexuellement
son
frère
jumeau
à la
fin
des
années
80,
est
sur
toutes
les
lèvres.
Alors
qu'une
enquête
a été
ouverte
par
le
parquet
de
Paris
pour
viols
et
agressions
sexuelles,
Jack
Lang
a
souhaité
réagir
à
cette
affaire.
"C'est
une
honte
ce
qui a
été
accompli
par
Olivier
Duhamel,
il
n'y a
pas
de
mot
pour
designer
l'inceste
et la
pédophilie",
a
fait
savoir
l'ancien
ministre
de la
Culture
au
micro
de
Europe
1.
Un
inceste
dénoncé
avec
force
par
Jack
Lang,
qui a
poussé
la
journaliste
Sonia
Mabrouk
qui
l'interviewait
à
rappeler
que
l'actuel
président
de
l'Institut
du
Monde
arabe
avait
toutefois
signé
une
tribune
en
1977
pour
décriminaliser
l'inceste.
"C'était
une
autre
époque,
c'était
une
connerie",
a
tonné
Jack
Lang,
regrettant
une
nouvelle
fois
cette
prise
de
position.
"Je
combats
et
j'ai
combattu
en
permanence
l'inceste,
la
pédophilie,
cette
violence
sexuelle,
j'ai
été
un
militant
permanent
des
violences
faites
aux
femmes
(...)
donc
je
n'ai
pas à
me
justifier",
s'est-il
emporté.
Une
signature
qu'il
dit
regretter
vivement
aujourd'hui.
"Que
dois-je
faire
? Je
dois
m'immoler
devant
vous
?" a
demandé
Jack
Lang,
fatigué
de
devoir
se
justifier,
"on a
fait
une
connerie
et
basta"
a-t-il
conclu,
alors
que
la
journaliste
se
défendait,
arguant
qu'elle
cherchait
seulement
à
comprendre.
Information
sur
les
tests
covid
19
pour
les
voyageurs
en
partance
de
Polynésie
française
Suite
aux
annonces
du
Premier
ministre
renforçant
les
mesures
sanitaires,
le
Gouvernement
a
modifié
les
conditions
sanitaires
concernant
les
voyages
à
destination
et en
provenance
des
Outre-mer
dans
le
décret
n°
2021-31
du 15
janvier
2021.
Ces
nouvelles
modalités
sont
à
retrouver
ci-dessous
:
-
Le
port
du
masque
est
obligatoire
dans
l’avion
et
dans
les
aéroports
pour
chaque
voyage ;
-
Les
voyageurs
qui
se
rendent
à
l’aéroport
pour
prendre
un
vol à
destination
des
Outre-mer
doivent
pouvoir
présenter
lors
d’un
contrôle
l’attestation
dérogatoire
de
déplacement
pendant
les
heures
de
couvre-feu
(disponible
sur
le
site
du
ministère
de
l’Intérieur).
De
l’Hexagone
vers
la
Polynésie
française
Conditions à
présenter
à
l’embarquement
:
Réalisation
un test
(moléculaire)
RT-PCR
du
SARS-CoV-2pratiqué
sur
un
prélèvement
réalisé
par
un
professionnel
de
santé
habilité
dans
les
3
jours
avant
l'embarquement
pour
tout
voyageur
d'au
moins
11
ans
et
être
déclaré
négatif.
À
défaut
d'en
obtenir
le
résultat
dans
les
temps
utiles,
une
attestation
de
réalisation
du
test
devra
être
présentée
à
1'entreprise
de
transport
aérien,
associée
à
un
résultat
négatif
à
un
test
antigénique
pratiqué
le
jour
de
l'embarquement ;
Justification
d’un
motif
impérieux
pour
les
passagers
à
destination
de
de
la
Polynésie
Française
(avec
des
adaptations
locales :
« les
activités
en
lien
avec
l’impératif
de
reprise
économique
du
territoire,
dont
notamment
l’investissement,
le
tourisme
ou
les
manifestations
culturelles
et
sportives. »
-
cf :
Arrêté
HC/4059/CAB
du
23
octobre
2020).
De la
Polynésie
française
vers
l’Hexagone
Les
voyageurs
en
provenance
de la
Polynésie
française
sont
exemptés
des
restrictions
d’entrée
en
France.
Ce
dispositif
pourrait
être
amené
à
évoluer
selon
la
situation
sanitaire.
Vous
trouverez
les
détails
du
dispositif
en
cliquant
sur
le
lien
suivant :
À
compter
du 26
janvier
2021,
le
centre
américain
de
contrôle
et de
prévention
des
maladies
(CDC)
exige
que
tous
les
passagers
âgés
de 2
ans
ou
plus
prévus
sur
un
vol à
destination
des
États-Unis,
quel
que
soit
leur
statut
vaccinal,
présentent
à
l’enregistrement
:
-
soit
un
résultat
de
test
viral
négatif
au
Covid-19
effectué
au
cours
des 3
jours
précédant
leur
vol
international ;
-
soit,
dans
le
cas
d’une
infection
antérieure
au
Covid-19,
au
cours
des 3
derniers
mois
avant
le
départ,
un
résultat
de
test
viral
positif,
ainsi
qu’une
lettre
officielle
d’un
médecin
indiquant
que
le
passager
est
complètement
rétabli
et
qu’il
est
autorisé
à
voyager.
Les
tests
virologiques
d’amplification
des
acides
nucléiques
RT-PCR
et
les
tests
antigéniques
rapides
sont
des
tests
acceptés
et
autorisés
par
l’autorité
sanitaire
de la
Polynésie
française.
Les
documents
de
résultat
de
test
doivent
clairement
mentionner
le
nom
de
l’autorité
médicale
ayant
effectué
le
test,
la
date
du
test,
le
type
de
test
effectué,
le
nom
du
voyageur
et le
résultat
du
test.
En
cas
de
résultat
négatif,
le
document
doit
clairement
stipuler
« ARN
NÉGATIF
SARS-COV2
NON
DÉTECTÉ
» ou
«
ANTIGÈNE
SARS-COV2
NON
DÉTECTÉ
» ou
«
COVID
19
NON
DETECTE
».
Les
autorités
du
Pays
s’organisent
pour
répondre
dès
le 26
janvier
2021
à
cette
nouvelle
exigence.
Les
précisions
sur
d’une
part
les
évolutions
du
dispositif
de
prélèvement
et
d’obtention
des
résultats.
Dans
l'immédiat,
l’Institut
Louis
Malardé
(ILM)
propose
aux
voyageurs,
en
partance
pour
les
Etats-Unis,
la
possibilité
d’effectuer
un
test
viral
au
Fare
COVID
de
l’ILMà
Papeete
(Croisement
de la
rue
des
Poilus
tahitiens
et de
la
rue
du 5
mars
1797),dans
les
conditions
suivantes :
Le
voyageur
doit
se
présenter
directement
sur
place sans
rendez-vous avec
son
titre
de
transport
3
jours
avant
son
voyage
pour
un
test
RT-PCR
ou la
veille
du
départ
pour
un
test
antigénique
(ou
le
matin
si le
voyage
est
le
soir
même).
Un
agent
de
l’ILM
remettra
au
voyageur
un
document
avec
son
identifiant
et
les
indications
d’accès
au
serveur
internet
sur
lequel
il
pourra
récupérer
son
attestation
de
résultat.
Horaires
:
Lundi
au
samedi
de
7h30
à
15h00
en
journée
continue
et
dimanche
de
7h30
à
12h00.
Coût
pour
un
test
RT-PCR
: 17
100
Fcfp
par
personne.*
Coût
pour
un
test
antigénique
: 5
700
Fcfp
par
personne.
Modes
de
paiement acceptés :
espèces
en
Fcfp,
carte
bancaire
(sauf
American
Express)
et
chèque
pour
les
résidents
de
Polynésie
française
Un
médecin
a
décidé
de
vacciner
un
Anglais,
un
Français,
un
Allemand
et un
Américain.
Il
dit à
l'Anglais
:
-
C'est
par
ici
votre
vaccin
s'il
vous
plaît.
- Je
ne
veux
pas!
-
Allez
! Un
gentleman
se
ferait
vacciner.
Et
l'Anglais
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
à
l'Allemand:
-
Maintenant
c'est
ton
tour.
- Non
merci
!
-
C'est
un
ordre
!
Et
l'allemand
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
a
l’Américain
:
-
Maintenant,
c'est
à
votre
tour.
- En
aucun
cas !
-
Mais
vous
savez,
votre
voisin
s'est
fait
vacciner.
Et
l’américain
s'est
fait
vacciner.
Le
médecin
s'adresse
au
Français
:
- A
vous
maintenant
!
- Je
ne me
ferai
pas
vacciner
!
-
Allez,
un
gentleman
se
ferait
vacciner.
- En
aucune
façon
!
-
C'est
un
ordre
!
- Non
!
-
Vous
savez,
votre
voisin
s'est
fait
vacciner...
- Je
m'en
fous
!
-
Écoutez...
qui
êtes-vous
exactement
?
- un
Français.
- Ah,
un
Français
! De
toutes
façons,
vous
n'avez
pas
droit
au
vaccin.
-
COMMENT
ÇA,
JE N'Y
AI
PAS
DROIT
???!!!
....
et le
Français
se
fit
vacciner
!
(Excellent!)
Desserte
aérienne
:
Air
Tahiti
Nui
couronnée
pour
la 3°
années
consécutive
du
prix
de la
meilleure
compagnie
aérienne
du
Pacifique
sud à
l'occasion
des
Global
Travelers'
GT
Tested
Ready
Survey
awards.
Elle
ne
s'est
pas
arrêtée
là et
a
raflé
quatre
autres
prix.
Malgré
le
contexte
actuel
ATN
conserve
donc
sa
place
de
premier
transporteur
aérien
du
pacifique
Sud
et
collectionne
les
prix
!
Etat
du
coronavirus
: 45
nouveaux
cas,
17.645
cas
cumulés,
33
hospitalisations,
126
décès
archive
Jeudi
14
janvier
2021
A
propos
Stupéfiant
!
Mais
qu'est
ce
donc
qui
est
stupéfiant
?
Vous
ne le
devinerez
jamais
car
voilà
plus
d'un
an
que
je
n'avais
pas
rencontré
l'ancien
président
Gaston
Flosse.
Incroyable
!
Retraité
lui ?
Retiré
de la
vie
politique
?
Faut
pas
rêver
! Il
est
apparu
en
bermuda,
pâlement
bronzé,
son
récent
passage
dans
les
bras
crochus
du
virus
au
lieu
de
friper
son
visage
et
son
corps
comme
on
pouvait
s'y
attendre
lui a
donné,
contrairement
à la
majorité
d'entre-nous,
atteint
par
le
corona,
une
nouvelle
vitalité
.
J'ai
vu un
dynamisme
époustouflant,
frappant
l'imagination
car
je
pensais
trouver
un
homme
affaibli,
vieilli,et
bien
non,
croyez
le ou
pas,
visage
reposé,
joues
encore
rondes
et
rosées,
yeux
pétillants
d'intelligence,
il
passait
presque
les
parpaings
aux
ouvriers
de la
maison,
une
quasi
ruine,
qu'il
rénove,
des
fondations
aux
plafonds.
Cet
homme
n'est
pas
humain,
c'est
une
machine
extra-terrestre.
Car
entre
les
parpaings
et
ses
documents,
il
peaufine
son
avenir
politique.
Et
oui !
Il a
modifié
son
"statut
de
Pays
associé
"en
"Etat
associé"
sa
mise
en
retrait
de la
vie
politique
publique,
plus
une
solide
atteinte
du
coronavirus,
au
lieu
de
l'abattre
l'ont
boosté.
Il
prépare
les
prochaines
élections
avec
la
même
ténacité
qu'il
y a
dix
ans.
l'homme
n'a
pas
changé,
au
contraire,
il
s'est
amélioré,
croyez-le
ou
pas,
l'avenir
le
confirmera
, il
sera
vigilant
pour
ne
pas
reproduire
les
faux
pas
du
passé.
Cela
dit,
cette
volonté
tenace
dans
les
yeux
vifs
de
l'ancien
président
de se
battre
toujours
et
encore,
l'a
transformé
en
légende
vivante.
Il
reproduit
avec
bonheur
et
surtout
avec
Pascale
Haiti
qui
lui
prouve
son
amour
dans
un
soutien
quotidien
sans
failles,
son
avenir
politique
loin
d'être
terminé,
mais
au
contraire
ravigoté
par
la
fidélité
de
ses
partisans,
par
Pascale,
ce
bulldozer,
la
gardienne
féroce
de
son
homme,
sa
cuisinière
sourcilleuse
sur
les
doses
de
nourriture
qu'elle
prépare
pour
lui.
Ni
beaucoup,
ni
trop
peu.
Juste
ce
"qu'il
doit"
manger
pour
être
en
forme.
C'est
certainement
beaucoup
grâce
à
elle
si
les
yeux
de
Gaston
Flosse
rayonnent
et si
son
tonus
fait
des
étincelles
malgré
une
démarche
qu'il
a
toujours
eu un
peu
raide
depuis
l'opération
de sa
hanche.
Sa
vision
politique
s'est
modifiée
avec
les
coups
du
sort
et de
ses
adversaires,
" le
Pays
associé
est
devenu
l'Etat
associé".
Il
s'est
gardé
de
trop
m'en
dire,
il
sait
que
je ne
suis
pas
d'accord,
mais
on
sent
que
cet
homme
n'a
pas
pardonné
à
ceux
qui
ont
voulu
le
piétiner,
l'éliminer
et à
mon
avis
il
risque
fort
après
cette
"
fausse"
retraite,
rebondir
comme
le
diable
de la
boite
des
enfants,
avec
pour
seul
horizon,
de
fissurer
le
pouvoir
,sans
l'espoir
d'y
prétendre.
Vraiment
?!...
Pour
le
moment.
Par
ailleurs
autre
chose
m'a
frappé
dans
cette
conversation
quand
il a
évoqué
presque
avec
tendresse,
mais
beaucoup
de
regrets,
celui
qui
l'a
poussé
avec
l'aide
de
l'Etat
d'alors,
hors
de
son
pré
carré
.
Exceptionnel
bonhomme
:
Gaston
Flosse,
malgré
tous
les
coups
du
sort
!
Le
premier
conseil
des
ministres
de
l’année
s’est
tenu,
mercredi,
à
Uturoa,
sous
la
présidence
d’Edouard
Fritch.
Le
Président
et
les
membres
du
gouvernement
ont
également
eu
une
série
de
rencontres
et de
visites
sur
le
terrain,
à
Raiatea,
à
cette
occasion.
A
propos
"Pan
!
Touché
!"
Le
Canard
enchaîné
a
frappé,
Libé
à
suivi
et le
parquet
national
a
confirmé
qu'une
enquête
avait
bien
été
ouverte
visant
le
ministre
de
Macron,
Sébastien
Lecornu.
Cette
enquête
ne
date
pas
d'hier
mais
de
2019
et
concerne
des
chefs
de
prise
illégale
d'intérêt
mais
surtout
d'omission
de
déclaration
à la
haute
Autorité
pour
la
transparence
de la
vie
publique.
Cela
ne
pardonne
pas
!!
Cette
dernière
cependant,
interrogée,a
indiqué
"n'avoir
identifié
aucune
omission
substantielle
dans
les
déclarations
de
monsieur
Lecornu
et
n'avait
donc
pas
saisi
le
parquet.
Et
voilà,
c'est
encore
le
sport
préféré
des
Français
: la
dénonciation.
Celle-ci
est
faite
par
un
banquier
des
collectivité
locales
reconverti
dans
l"énergie,
et
concerne
la
double
casquette
en
2019
de
Sébastien
Lecornu
avant
sa
désignation
au
gouvernement
,par
une
certaine
Eliane
Houlette
alors
chef
du
PNF.
Plainte
aussitôt
confiée
à
l'Office
central
de
lutte
contre
la
corruption
et
les
infractions
financières
et
fiscales.
Oups
!
Voilà,
Lecornu
mal
barré
quand
vous
avez
le
malheur
de
tomber
entre
les
mains
crochus
de
ces
organismes
qui
ne
laissent
pas
un
centime
passer
dans
les
mailles
du
filet.
Plusieurs
ministres
d'Emmanuel
Macron
sentent
actuellement
le
vent
du
boulet,
en
faisant
l'objet
d'une
enquête.
Par
ailleurs,
la
cour
de
justice
de la
République
enquête
depuis
juillet
sur
les
anciens"
premier
ministre"
ou
ministres
d'Edouard
Philip
:
Sibeth
Ndiaye
et
Agnès
Buzin
mais
aussi
sur
l'actuel
ministre
de la
santé
Olivier
Véran
pour
leur
gestion
de
l'épidémie
de
coronavirus
!
Mais
ce
n'est
pas
tout
et
c'est
à
croire
que
la
Justice
lave
son
linge
sale
de
2020
pour
repartir
du
bon
pied
en
2021.
L'actuel
garde
des
sceaux
Eric
Dupond-Moretti
est
lui
aussi
visé
par
une
enquête
judiciaire,
il y
aurait
une
taupe
dans
les
parages.
Le
ministre
de
l'Intérieur
Gérald
Darmanin
l'est
aussi
mais
pour
"viol"
et
trois
ou
quatre
autres
ministres
pour
des
soupçons
d'abus
de
confiance.
Autan
dire
que "
ça
chauffe"
!
Macron
fait-il
le
vide
pour
en
prendre
des
neufs
? Il
faut
dire
que
Dupond-Moretti
s'est
attiré
les
foudres
de
ses
ex
amis
en
ordonnant
une
enquête
administrative
il y
a
quelques
mois
contre
trois
magistrats
du
parquet
national
financier.On
lui
reproche
également
d'avoir
ouvert
une
enquête
administrative
à
l'encontre
du
magistrat
Edouard
Levrault
qui
avait
dénoncé
des
pressions
lorsqu'il
était
juge
d'instruction
à
Monaco.
On ne
pardonne
rien
! Il
faut
savoir
qu'avant
de
devenir
ministre,
Dupond-Moretti
avait
été
l'avocat
d'un
policier
mis
en
examen
par
ce
magistrat
et
avait
critiqué
les
méthodes
du
juge.
dans
ce
milieu
où
l'on
manie
avec
adresse
le
boomerang
comme
on
peut
le
voir,et
où
tout
peut,
un
jour,
vous
revenir
dans
une
frappe,
terrible
et
imparable
car
imprévue
!
Alois
Alzheimer
a dit
:
"2020
c'était
quand
même
une
chouette
année
quand
on y
repense
"
MOT
DU
PRESIDENT
DE
LA
POLYNESIE
FRANCAISE
GESTION
DE
L’EPIDEMIE
de
la
COVID
14
JANVIER
2021
Mesdames
et
messieurs,
Je
voudrais
à
nouveau
vous
adresser,
à
vous
les
journalistes
et à
notre
population,
mes
meilleurs
vœux
de
bonne
santé,
de
paix
et de
joie.
Que
cette
année
2021
soit,
pour
nous
tous,
l’année
de
l’espérance
et de
la
guérison.
Que
nos
bonnes
relations
avec
l’État
vécues
en
2020,
et en
particulier
avec
le
Haut-commissaire
et
ses
équipes,
se
poursuivent.
Elles
ont
été
un
facteur
capital
dans
la
gestion
coordonnée
et
raisonnée
de la
crise.
Nous
avons
chacun
fait
preuve
d’humilité
et
mis
en
avant
l’intérêt
et la
protection
de
nos
populations.
Une
gestion
non
coordonnée
et
sans
dialogue
de la
crise,
aurait
été
une
catastrophe
sanitaire
et
une
faillite
probable
de
notre
Pays.
Le
Haut-commissaire
a
joué
sa
partition
sécuritaire
dans
le
respect
de
ses
prérogatives,
et
moi
la
mienne
avec
mes
ministres
dans
le
respect
de
notre
Autonomie.
Continuer
à
travailler
ensemble
en
2021
pour
l’intérêt
de
notre
Pays,
en
bonne
compréhension
et
respect
mutuel,
est
mon
vœu
le
plus
cher.
***
La
Polynésie
a
reçu,
la
semaine
dernière,
un
premier
lot
de
14
625
vaccins
Pfizer.
Je
remercie
le
gouvernement
national,
et en
particulier
les
Ministres
de la
Santé
et
des
Outre-mer,
Olivier
VERAN
et
Sébastien
LECORNU,
d’avoir
bien
voulu
nous
réserver
ce
premier
quota
sur
la
1ère
commande
destinée
à la
métropole,
et ce
malgré
les
besoins
urgents
du
gouvernement.
Aussi,
nous
nous
activons
à
organiser
les
premières
vaccinations
sur
la
base
de
ces
14
625
doses.
Par
la
suite,
nous
seront
approvisionnés
toutes
les 3
semaines.
QUI,
QUAND
et OÙ
procèderons-nous
à ces
premières
vaccinations
?
Avant
de
répondre
à ces
questions,
je
vous
informe
que
la
vaccination
sera
volontaire
et
gratuite
pour
tous.
Je
répète
« vaccination
volontaire
et
gratuite pour
tous
».
Aussi,
il
n’y a
pas
lieu
de
polémiquer
sur
la
vaccination.
Ceux
et
celles
qui
doutent
de
l’utilité
du
vaccin
sont
libres
de
rester
dans
le
doute.
Aucune
contrainte
ne
sera
exercée
sur
ces
personnes.
De
toute
façon,
la
demande
de
vaccination
en
Polynésie
est
importante.
Le
protocole
médical
recommande
2
injections
par
personne
à
trois
semaines
d’intervalle.
De ce
fait,
le
premier
lot
reçu
nous
permet
de
vacciner
immédiatement
7 500
personnes.
QUI ?
Ce
sont
les
personnes
considérées
comme
prioritaires
qui
seront
vaccinées
en
premier.
Ce
seront
les
personnes
âgées
de 75
ans
et
plus,
et
les
personnels
de
santé.
Pour
les
personnels
de
santé,
il
s’agira
des
personnels
en
établissements
sanitaires
de la
Direction
de la
santé
publique,
du
CHPF,
des
cliniques
Cardella
et
Paofai,
du
Centre
Te
Tiare,
des
centres
Dialisis,
ISIS
et
Apair-Apurad.
Il
s’agira
également
des
professionnels
libéraux,
tels
que
les
médecins,
les
infirmiers,
les
Kinésithérapeutes,
les
sage-femmes,
les
dentistes.
Nous
intégrerons
également
les
personnels
des
hôpitaux
de
Raiatea
et
ceux
de
Nukuhiva
dans
un
second
temps.
Et
enfin,
l’autre
groupe
prioritaire
concerne
les
personnes
âgées
de 75
ans
et
plus,
de
Tahiti
et de
Moorea,
et
plus
particulièrement
les
personnes
âgées
possédant
un
carnet
rouge
de
longue
maladie.
Je
répète
que
pour
ces
personnels
de
santé
publique
et
privée,
pour
les
personnes
âgées,
la
vaccination
sera
« volontaire
et
gratuite ».
Nous
voulons
d’une
part,
sécuriser
et
préserver
toutes
nos
forces
opérationnelles
médicales
et
d’autre
part,
protéger
nos
personnes
fragiles
et en
particulier
nos
matahiapo.
J’informe
également
que
les
personnes,
de
tout
âge,
qui
ont
été
infectées
par
le
coronavirus,
il y
a
moins
de 3
mois,
n’ont
pas
d’utilité
à
être
vaccinées,
car
elles
sont
immunisées.
QUAND
?
La
vaccination
de
ces
premiers
publics
démarrera
le 18
Janvier
et
s’étalera
sur
le
mois
de
Février
2021.
OÙ ?
Les
centres
de
vaccinations
fixés
sont
:
- le
kiosque
Info-Santé
situé
à
Papeete,
Rue
Destremeau,
proche
de
l’ancien
hôpital
Vaiami
;
-
l’hôpital
de
Taravao
;
- le
dispensaire
de
Moorea
situé
à
Afareiatu
;
- les
dispensaires
de
Mahina,
Mataiea,
Papara,
Paea,
Punaauia
et
Faaa
;
- et
dans
les
communes
de
Tahiti
non
pourvues
de
dispensaire,
des
équipes
mobiles
vaccineront
dans
les
mairies.
Les
vaccinations
se
feront
dans
une
salle
dédiée
de la
mairie.
Les
équipes
municipales
s’organiseront
pour
recenser
les
personnes
prioritaires
voulant
se
faire
vacciner,
et
rempliront
une
fiche
d’information
sur
l’état
de
santé
du
volontaire.
Les
vaccinations
se
feront
dans
une
salle
dédiée
de la
mairie.
Ces
fiches
seront
transmises
à la
Direction
de la
santé
qui
fera
une
pré-sélection
en
fonction
de
votre
état
de
santé.
Vous
serez
appelé
par
téléphone
pour
vous
présenter
au
dispensaire
ou au
lieu
désigné
pour
être
vacciné.
CONDITIONS
?
Les
personnes
allant
se
faire
vacciner
seront
reçues
par
un
médecin
qui
procèdera
aux
vérifications
d’usage
:
allergies,
contre-indication.
Puis,
on
procèdera
à la
vaccination.
Le
centre
de
vaccination
vous
donnera
de
suite,
une
fiche
de
rendez-vous
pour
la
seconde
injection.
Cette
seconde
injection
sera
effectuée
au
21ème
jour
après
la
première
vaccination,
et
aussi
dans
les
mêmes
conditions.
Nous
voulons,
chers
amis,
être
en
mesure
de
ralentir
la
diffusion
du
virus.
Telles
sont
les
informations
précises
que
nous
sommes
en
mesure
de
vous
livrer
concernant
cette
première
phase
de
vaccination,
avec
les
produits
Pfizer.
Coopération
Union
Européenne-Polynésie
française :
Comité
de
suivi
du
rapport
annuel
d’exécution
2019
Le
comité
de
suivi
du
rapport
annuel
d’exécution
(RAE)
de la
coopération
entre
l’Union
Européenne
et la
Polynésie
française
s’est
déroulé,
jeudi
après-midi,
à la
Présidence,
sous
l’égide
du
Vice-Président
de la
Polynésie
française,
Tearii
Te
Moana
Alpha.
L’Etat
y
était
représenté
par
la
Secrétaire
générale
adjointe
du
Haut-Commissaire
de la
République
en
Polynésie
française,
Cécile
Zaplana,
et la
Commission
européenne
par
Pierre-Henri
Helleputte,
Chef
du
Bureau
pour
les
Pays
et
Territoires
d’Outre-Mer
du
Pacifique
à
Nouméa,
par
visioconférence.
Evènement
important
de la
coopération
bilatérale
entretenue
entre
l’Union
européenne
et la
Polynésie
française,
ce
rendez-vous
permet
de
dresser
chaque
année,
le
bilan
de
l’ensemble
des
actions
engagées
durant
l’année
écoulée.
C’est
un
forum
d’échanges
sur
les
progrès
réalisés,
les
difficultés
rencontrées
et
les
perspectives
de
coopération
future
entre
l’UE
et la
Polynésie
française.
En
mars
2019,
la
Polynésie
française
a eu
l’honneur
d’accueillir
à
Tahiti
le 17ème
Forum
annuel
de
dialogue
UE-PTOM,
sous
la
présidence
du
Commissaire
européen
à la
coopération
internationale
et au
développement
Neven
Mimica.
Précédé
de la
17ème
Conférence
ministérielle
de
l’Association
des
PTOM,
l’OCTA,
cet
évènement
majeur
du
dialogue
tripartite
entre
la
Commission
européenne,
les
Etats
membres
et
les
PTOM
a
permis
de
discuter
des
questions
essentielles
du
partenariat
post-2020
au
travers
des
négociations
sur
l’adoption
de la
future
décision
d’association
outre-mer,
y
inclus
le
Groenland
(la
DAO),
du
cadre
financier
pluriannuel
2021-2027,
des
accords
post-Cotonou
ou
encore
du
Brexit.
L’année
2019
a
également
été
marquée
par
la
poursuite
des
travaux
d’assainissement
des
eaux
usées
de la
ville
de
Papeete,
financés
au
travers
du 10ème
FED
territorial,
avec
la
pose
de
100%
et de
90%
des
linéaires
pour
les
deux
marchés
de
travaux
conclus.
Ces
travaux
se
sont
achevés
en
septembre
2020
et
seront
réceptionnés
très
prochainement.
Dans
le
cadre
du 11ème
FED
territorial,
le
Pays
a
reçu
le 27
décembre
2019
un 2ème
décaissement
d’un
montant
de
883
millions
Fcfp
(soit
7,4
M. €)
en
appui
budgétaire
à la
mise
en
œuvre
de la
stratégie
sectorielle
du
tourisme
2015-2020.
Mercredi
13
janvier
2021
A
propos
Non
la
"presse"
n'a
pas
été
recadrée
par
le
président
du
pays
hier,
jour
des
voeux
présidentiels
aux
journalistes.
Il ne
faut
pas
confondre
"
réseaux
sociaux"
et
presse
traditionnelle
et
lorsque
Edouard
Fritch
appelle
à
plus
de
modération
sur
les
réseaux
sociaux,
il
vaut
mieux
ne
pas
confondre
entre
les
commentaires
des
dits
réseaux
sociaux
qui
n'ont
rien
à
voir
avec
ce
que
les
journaux
peuvent
relater.
La
presse
traditionnelle
n'a
donc
pas
été
recadrée
par
le
président,
mais
seuls,
ce
que
certains
plumitifs
expriment
sur
ces
réseaux.
où,
comme
l'a
relevé
le
président
du
pays,
se
déverse
un
flot
d'insultes,
voire
de
"menaces
de
mort"
ou
encore
qui
se
disent
"
experts
en
tout"
du
jour
au
lendemain
notamment
sur "Facebook"
Il a
donc
recommandé
aux
rédacteurs
de
Facebook
qui
ne
sont
pas
"la
presse"
d'être
plus
modérés
à
l'avenir.
En
revanche,
il
s'est
longuement
exprimé
sur
l'équipe
américaine
du
film
"
Waltzing
with
Brando"
qui
sera
une
formidable
publicité
pour
la
Polynésie
française
quand
le
film
en
salle
retracera
la
découverte
du
pays
par "
Marlon
Brando"
alias
la
remarquable
interprétation
par
Billy
Zane
de
Brando
et de
Tahiti.
A
relever
que
l'acteur
Billy
Zane
dans
ce
rôle
qui
lui
va
comme
un
gant
est
véritablement
une
réelle
incarnation
physique
de
Brando
dans
le
film,
grâce
aussi
aux
experts
du
maquillage.
Bravo
donc
aux
artistes
et
réalisateur
Bill
Fishman,
de ce
film
qui
ne
manquera
pas
d'avoir
un
large
succès
quand
il
sortira
sur
les
écrans.
Etat
du
coronavirus
: 80
nouveaux
cas,
17.483
cas
confirmés,
40
hospitalisations,
124
décès.
Compte
rendu
du
conseil
des
ministres.(extrait)
Projet
de
construction
d’un
nouveau
centre
administratif
des
îles
Sous-le-Vent
à
Uturoa
L’actuel
centre
administratif
des
îles
Sous-le-Vent,
situé
dans
le
centre-ville
d’Uturoa,
est
constitué
de
cinq
bâtiments
à
ossature
en
bois
de
type
« fare
MTR ».
Au
recensement
effectué
en
mai
dernier,
huit
subdivisions
administratives,
regroupant
48
agents,
y
sont
logées.
Le
projet
de
construction
d’un
nouveau
centre
administratif
a été
présenté
en
Conseil
des
ministres.
Il
consiste
à reconstruire
une
structure
« en
dur »
sur
le
même
site.
Cette
option
présente
les
avantages
de
maintenir
le
nouveau
centre
administratif
dans
le
centre-ville
d’Uturoa
et de
ne
pas
nécessiter
de
foncier
supplémentaire.
Pendant
les
travaux,
il
est
prévu
de
reloger
les
subdivisions
dans
les
locaux
loués
à
Uturoa
et de
compléter
les
besoins
par
des
conteneurs
aménagés.
L’actuel
centre
administratif
d’Uturoa
représente
une
surface
couverte
de
1678m2.
La
surface
du
nouveau
centre
administratif
devra
être
déterminée
en
prenant
aussi
en
compte
les
besoins
des
futures
subdivisions
déconcentrées
qui
seraient
amenées
à
ouvrir
à
Raiatea.
L’ensemble
pourra
être
construit
sur
plusieurs
niveaux.
Le
projet
pourra
inclure
aussi
un
parking
ouvert
au
public
pour
augmenter
l’offre
de
stationnement
du
centre-ville
d’Uturoa.
Il
intégrera
des
objectifs
de
développement
durable
comme
prévus
dans
le
Code
polynésien
des
marchés
publics.
Aides
aux
communes
des
îles
Sous-le-Vent
Dans
le
cadre
de sa
réunion
exceptionnelle
à
Raiatea,
le
Conseil
des
ministres
a
opéré
un
état
des
soutiens
financiers
du
Pays
au
profit
des
communes
de
l’archipel
des
îles
Sous-le-vent,
depuis
2014.
En
effet,
les
communes
de
Polynésie
française
constituent
des
partenaires
importants
du
développement
du
Pays.
Par
ailleurs,
l’éclatement
géographique
rend
ce
partenariat
particulièrement
indispensable
pour
améliorer
la
vie
quotidienne
de la
population,
notamment
en
matière
d’eau
potable,
de
traitement
des
déchets,
de
protection
de
l’environnement,
de
transition
énergétique,
de
l’éducation
et de
la
jeunesse.
Le
partenariat
avec
les
instances
communales
constitue
un
axe
fort
de
gouvernance
du
Président
et de
son
gouvernement.
L’ensemble
des
octrois
financiers
consentis
par
le
Pays,
depuis
2014
jusqu’à
ce
jour,
aux
communes
de
l’archipel
des
îles
Sous-le-Vent,
représente
un
montant
total
d’environ
2,1
milliards
Fcfp,
dont
758
millions
Fcfp,
via
le
contrat
de
projets
I et
II
Etat
-
Polynésie
française
sur
les
projets
d’investissement
communaux,
pour
des
opérations
d’investissements
d’un
coût
total
de
4.6
milliards
Fcfp,
soit
un
taux
de
participation
du
Pays
d’environ
46 %.
47.3
% de
ces
octrois,
soit
à peu
près
1
milliard
Fcfp,
ont
été
dédiés
à la
réalisation
d’importants
travaux
sur
le
secteur
environnemental,
principalement
pour
des
opérations
d’adduction
d’eau
potable
et de
gestion
des
déchets.
Environ
14.3
%,
soit
303
millions
Fcfp,
ont
permis
aux
communes
des
îles
Sous-le-Vent
et à
la
communauté
de
communes
Hava’i
de
réaliser
des
travaux
d’investissement,
tels
que
les
rénovations
et
extensions
de
bâtiments
administratifs
et
techniques
nécessaires
au
bon
fonctionnement
des
services.
La
voirie,
dans
le
cadre
de
bétonnage
ou
bitumage
des
voies
d’accès,
est
le
troisième
secteur
très
sollicité,
avec
près
de
13%
des
octrois,
représentant
environ
274
millions
Fcfp.
Ces
soutiens
financiers
justifiés
et
aident
les
communes
des
archipels,
aux
moyens
plus
modestes,
à
développer
leur
collectivité.
Aménagement
du
domaine
Boubée
à
Raiatea
La
Polynésie
française
a
acquis
début
2020
le
domaine
Boubée,
à
Raiatea,
d'une
superficie
de
190
hectares.
La
Direction
de
l'agriculture,
affectataire
du
domaine,
a
réalisé
des
premières
études
pour
définir
un
plan
d'aménagement
global
et
durable
du
domaine
qui a
été
présenté
en
Conseil
des
ministres.
Ce
programme
dont
les
travaux
s'étaleront
sur
2021
et
2022
pour
un
coût
total
estimé
à 370
millions
Fcfp
prévoit
la
mise
en
place
dans
un
premier
temps
des
pistes
d’accès,
de la
création
d’un
lotissement
agricole
sur
59
hectares,
la
valorisation
des
ressources
forestières
sur
55
hectares,
le
tout
en
intégrant
à
cette
ambition
d’« agroécologie »
les
d'activités
touristiques
et de
randonnée.
Il
est
également
prévu
la
réservation
d'une
zone
destinée
aux
futurs
projets
d'urbanisation
et
d’infrastructures
publiques
(sur
13
hectares)
en
fonction
des
choix
et
besoins
qui
seront
exprimés
par
la
commune
et la
population
de
l’île.
Réglementation
de la
pêche
sur
le
domaine
public
maritime
à
Tautira
Le
Conseil
des
ministres
a
approuvé
la
mise
en
place
de la
Zone
de
Pêche
Réglementée
(ZPR)
de
Tautira.
Cette
nouvelle
ZPR
englobe
la
ZPR
Tahunatara
Vaionifa
No
Tautira
créée
par
l’arrêté
ndu
Conseil
des
ministres
du 12
juillet
2018.
Elle
est
issue
des
propositions
du
comité
de
gestion
qui
ont
fait
l’objet
d’une
consultation
de la
population
qui
s’est
déroulée
du 19
octobre
au 19
novembre
2020.
Au
niveau
de
cette
ZPR
qui
comprend
l’ensemble
de
l’espace
maritime
situé
au
droit
de la
commune
associée
de
Tautira,
de
nouvelles
règles ont
été
instaurées
:
la
pêche
des
ina’a
(alevins
de
gobiidés)
n’est
autorisée
qu’au
seul
moyen
d’une
épuisette ;
la
pêche
aux
Ature
(Selar
crumenophtalmus)
au
moyen
de
grands
filets
dans
la
baie
de
Tautira,
ne
sera
autorisée
que
de
8h
à
17h
(au
lieu
de
5h
à
17h).
Concernant
les
secteurs
Tahunatara
et
Vaionifa,
l’interdiction
de
pêche
a été
prolongée
jusqu’au
31
décembre
2022.
Ces
nouvelles
mesures
attestent
de la
prise
de
conscience
et de
l’implication
de la
population
concernant
la
nécessité
de
préserver
les
ressources
lagonaires.
Dates
d’ouverture
des
soldes
Le
Code
de
commerce
polynésien
prévoit
l’organisation
de
deux
ou
trois
périodes
de
soldes
chaque
année.
Pour
l’année
2021,
le
Conseil
des
ministres
s’est
rangé
à
l’avis
de la
CCISM,
et a
fixé
deux
périodes
de
soldes
:
Du
mercredi
20
janvier
au
dimanche
7
février
inclus ;
Et
du
mercredi
22
septembre
au
dimanche
10
octobre
inclus.
Aides
au
logement
aux
îles
Sous-le-Vent
pour
l’exercice
2020
En
dépit
des
mesures
d’adaptation
de
l’activité
administrative
pour
faire
face
à la
propagation
du
virus
COVID-19,
le
gouvernement
a
maintenu
en
2020
ses
actions
en
faveur
du
logement.
Les
chiffres
suivants en
témoignent
:
2 038
aides
destinées
à
l’amélioration
de
l’habitat
individuel
ont
été
engagées,
dont
369
concernent
des
administrés
des
îles
Sous-le-Vent ;
579
nouveaux
logements
ont
été
mis
en
chantier,
dont
68
aux
îles
Sous-le-Vent ;
1 121
aides
familiales
au
logement
ont
été
attribuées
sur
les
1
619
demandes
enregistrées ;
300
millions
Fcfp
ont
été
accordés
sous
la
forme
d’une
subvention
à
l’Agence
Immobilière
Sociale
de
Polynésie
française
afin
de
soutenir
l’activité
d’intermédiation
locative.
Par
ces
interventions,
le
gouvernement
confirme
que
le
logement
constitue,
aux
îles
Sous-le-Vent
aussi
l’une
de
ses
priorités.
A
11h30
le
président
Fritch
a
présenté
ses
voeux
à la
presse
réunie
à la
présidence.
Nous
publierons
son
discours
dès
qu'il
nous
sera
parvenu.
Ambiance
détendue
et
amicale
quelques
ministres
étaient
présents
comme
Jean
Christophe
Bouissou,
Tearii
Alpha,
Nicole
Bouteau,et
quelques
autres.
Les
représentants
de la
presse
écrite
et du
net
sans
compter
les
télévisions
avaient
eux
aussi
répondu
présents
à
l'invitation
du
président,
ce
dernier
très
heureux
de
savoir
que
la
Polynésie
était
un
site
choisi
dans
l'objectif
de
nombreux
tournages
de
films.
Un
buffet
copieux
fut
ensuite
proposé
aux
invités
du
président
qui
avaient
l'air
d'apprécier
ce
qu'ils
mettaient
dans
leurs
assiettes
sans
compter
en
dessert
de
délicieux
choux
à la
crème.
Edouard
Fritch
devait
avoir
mal
au
coude
à
force,
non
pas
de
serrer
des
mains
ou
d'embrasser
des
joues,
ce
qui
se ne
se
fait
plus,
au
profit
" du
coude
à
coude".
Le
président
Edouard
Fritch
a
reçu,
mardi
matin,
l’équipe
américaine
du
film
« Waltzing
with
Brando »,
qui
devrait
être
tourné
prochainement
en
Polynésie
française.
Bill
Fishman,
le
réalisateur,
Billy
Zane,
qui
incarnera
Marlon
Brando,
et
Dean
Bloxom,
le
financier,
ont
présenté
leur
projet
au
président.
Sébastien
Lecornu
visé
par
une
enquête
pour
prise
illégale
d’intérêts
Le
ministre
des
Outre-mers,
Sébastien
Lecornu,
fait
l’objet
d’une
enquête
préliminaire
du
parquet
national
financier,
pour
soupçons
de
prise
illégale
d’intérêts,
révèle
dans
son
édition
de
mercredi
Le
Canard
enchaîné.
Une
affaire
qui
concerne
ses
fonctions
précédentes,
alors
qu’il
était
président
du
département
de
l’Eure.
Il
lui
serait
reproché
d’avoir
siégé,
en
2016
et
2017,
comme
administrateur
de la
Société
des
autoroute
Paris-Normandie,
et
d’avoir
touché
7 874
euros
(939 600
Fcfp)
de
jetons
de
présence,
des
émoluments
que
l’on
retrouve
dans
sa
déclaration
à la
Haute
autorité
pour
la
transparence
de la
vie
publique.
Le
département
de
l’Eure
aurait
financé,
durant
cette
période,
au
moins
4
ouvrages
de la
société
d’autoroutes,
dont
« un
échangeur
de
l’A13
pour
lequel
le
département
a
allongé
un
million
d’euros ».
La
société
d’autoroutes
explique
qu’une
place
est
traditionnellement
réservée
au CA
pour
les
présidents
des
départements
desservis
par
les
autoroutes,
et le
cabinet
du
ministre
indique
que
le
ministre
« se
sent
à
l’aise,
il
assume
complètement. »
Voeux
à la
presse
du
président
Fritch
Mes
chers
amis,
Je
suis
heureux,
avec
le
gouvernement,
de
vous
recevoir
pour
cette
traditionnelle
cérémonie
des
vœux,
à
laquelle
ont
également
été
associés
les
directrices
et
directeurs
des
cabinets
ministériels.
L’année
qui
vient
de
s’écouler
a été
particulièrement
dure
pour
nous
tous.
Début
2020,
nous
avions
tous
pensé
poursuivre
sur
la
voie
de la
croissance
tant
les
indicateurs
économiques
étaient
positifs.
Mais
tous
ces
espoirs
ont
été
mis à
bas
avec
l’arrivée
subite
de
cette
pandémie
mondiale,
la
Covid
19.
Nous
connaissons
bien
les
épidémies
comme
celle
de la
dengue.
Nous
avons
surmonté
le
zika
ou le
chikungugnya.
Mais
la
Covid
19 a
surpris
le
monde
entier
par
la
rapidité
et
l’ampleur
de sa
propagation.
Nous
avons
tenté
de
bloquer
cette
propagation
en
Polynésie
en
fermant
nos
frontières
dès
le
mois
de
mars.
C’est
l’option
qu’ont
pris
beaucoup
de
nos
voisins
du
Pacifique
et
qui
s’y
tiennent
encore
à ce
jour.
Mais
nous
n’avons
pas
les
ressources
suffisantes
pour
vivre
en
autarcie,
notre
économie
étant
particulièrement
dépendante
de
l’extérieur,
et
notamment
pour
ce
qui
concerne
le
secteur
touristique.
Si
cette
pandémie
nous
a
affecté
sur
le
plan
sanitaire,
elle
a
également
frappé
notre
économie
de
plein
fouet.
Le
gouvernement,
avec
le
soutien
de
l’Assemblée,
a
très
rapidement
mobilisé
les
ressources
nécessaires
pour
soutenir
l’emploi
et
maintenir
les
entreprises
en
activité.
Pour
cette
année
2021,
vous
le
savez,
nous
avons
inscrit
au
budget
primitif
les
moyens
suffisants
pour
maintenir
en
activité
les
dispositifs
d’aide
à
l’économie
et à
l’emploi.
Nous
avons
également
établi
un
plan
de
relance
car
la
mobilisation
de la
commande
publique
est
plus
que
jamais
nécessaire,
même
si
des
investissements
privés
sont
toujours
bien
présents.
L’Etat
s’est
également
mobilisé
à nos
côtés
en
apportant
des
aides
financières
aux
entreprises
ou en
nous
accordant
un
prêt
qui
nous
a
permis
de
soutenir
notre
économie
et de
sauver
la
trésorerie
de la
CPS.
D’un
point
de
vue
sanitaire,
nous
avons
aussi
mobilisé
tous
les
moyens
nécessaires
à la
gestion
de
l’épidémie,
y
compris
en
affrétant
un
avion
d’Air
Tahiti
Nui
pour
aller
chercher
du
matériel
en
Chine.
Je
voudrais
ici
remercier
tous
les
personnels
de
santé,
ainsi
que
ceux
de
l’Institut
Malardé,
qui
se
sont
impliqués
sans
compter
dans
la
gestion
de
cette
crise
et
pour
aider
les
malades.
Mes
remerciements
vont
bien
sûr
également
aux
Eglises
et
aux
communes
qui
ont
été à
nos
côtés.
Ils
vont
aussi
à
notre
administration,
à nos
enseignants,
qui
ont
continué
à
faire
tourner
la
machine.
Et
puis
bien
sûr,
je ne
peux
vous
oublier,
vous
les
médias,
dans
ces
remerciements
puisque
vous
avez
joué
votre
rôle
en
relayant
les
messages
de
prévention.
Alors
bien
sûr,
le
gouvernement
a
essuyé
son
lot
de
critiques
dans
la
gestion
de la
crise,
à
commencer
par
les
syndicats
qui
auraient
préféré
que
nos
frontières
restent
fermées,
au
détriment
de
l’activité
économique.
Dans
la
critique,
les
réseaux
sociaux
sont
un
formidable
vecteur
pour
tous
ces
polynésiens
qui,
du
jour
au
lendemain,
sont
devenus
des
experts
en
tout.
La
critique
est
aisée,
surtout
lorsqu’on
est
devant
son
écran
d’ordinateur
et
dissimulé
par
un
pseudonyme.
Mais
il
est
normal
pour
des
hommes
et
des
femmes
politiques
d’être
remis
en
cause.
Ce
qui
est
moins
normal,
c’est
le
flot
d’insultes,
voire
de
menaces
de
mort,
qui
s’est
déversé
au
travers
des
réseaux
sociaux.
Rappelez-vous
ce
qui a
été
dit
quand
notre
députée
Maina
Sage
a
annoncé
avoir
été
contaminée.
Rappelez-vous
également
les
menaces
de
mort
contre
le
docteur
Raynal
qui
ont
fait
l’objet
d’une
saisine
du
tribunal.
Ce
sont
des
faits
extrêmement
graves
mais
qui
ne
correspondent
pas à
l’état
d’esprit
de la
majorité
des
Polynésiens.
Je
voudrais
quand
même
souligner
le
fait
que
la
plus
grande
partie
des
propos
injurieux
ont
été
tenus
dans
les
commentaires
des
articles
que
vous
publiez
tous
sur
Facebook.
J’en
appelle
donc
à ce
que
la
nécessaire
modération
des
commentaires
soit
effectuée
par
vos
soins,
et
pas
seulement
pour
ce
qui
concerne
la
Covid.
La
peur
de
cette
maladie
sur
laquelle
nous
n’avons
pas
fini
d’apprendre
a pu
rendre
les
gens
hargneux.
Mais
je
constate
qu’au
fil
du
temps,
avec
de la
pédagogie,
avec
de
bonnes
informations
comme
celles
que
vous
relayez,
nos
compatriotes
ont
appris
à
vivre
avec
ce
virus
et
dans
leur
grande
majorité
à
être
plus
sereins
face
à
lui.
Cette
année
2021
s’ouvre
sur
un
nouvel
espoir
avec
le
début
de la
campagne
vaccinale.
Mais
nous
savons
tous
qu’il
faudra
continuer
encore
de
longs
mois
à
respecter
les
gestes
barrières.
La
Covid
nous
aura
fait
réfléchir
sur
nos
modes
de
vie
et
sans
doute
sur
la
nécessité
de
modifier
nos
comportements.
Elle
nous
a
interpellé
sur
la
nécessité
d’accélérer
les
transitions
de
notre
société
des
transitions :
la
transition
alimentaire,
la
transition
environnementale,
la
transition
énergétique,
la
transition
numérique…
Plus
que
jamais
nous
devons
nous
engager
sur
le
chemin
d’une
moindre
dépendance
vis-à-vis
de
l’extérieur,
même
si le
tourisme
restera
un
pilier
de
notre
économie.
Notre
rôle,
c’est
de
penser
le
monde
de
demain
et de
diversifier
nos
ressources
économiques.
J’ai
confiance
dans
nos
compatriotes
pour
relever
ces
défis
et
j’ai
constaté
avec
satisfaction
que
de
nouveaux
métiers
étaient
apparus
avec
cette
crise,
preuve
de la
faculté
d’adaptation
des
polynésiens.
Lundi
11
janvier
2021
Etat
du
coronavirus
:
99
nouveaux
cas,
17.340
cas
cumulés,
43
hospitalisations,
124
décès.
Le
compte
de
Trump
supprimé
depuis
la
Polynésie.
Le
PDG
de
Twitter
Jack
Dorsey
a
interdit
Trump
au
réseau
social
pendant
ses
vacances
en
Polynésie
française.
A
propos
Il
n'est
pas
bon
de se
montrer
en
première
ligne
dans
une
manifestation
violente.
Celle
menée
par
Trump
mercredi
dernier
a
fait
le
tour
du
monde,
résultat
les
principaux
meneurs
ont
tous
été
arrêtés
et
inculpés
sur
la
base
même
des
photos,
preuves
irréfutables
de
leur
présence
coléreuse.
On a
évidemment
remarqué
le
complotiste-comique,
torse
nu,
coiffé
de
cornes
de
bisons
qui
avait
entraîné
dans
sa
parodie
au
sein
du
capitole,
journalistes
et
photographes.
Ce
qui
n'a
pas
échappé
aux
autorités
qui
l'ont
arrêté,
c'est
sa
longue
lance
de 2
mètres
de
long
ornée
du
drapeau
américain
attaché
juste
sous
la
lame.
L'acte
d'accusation
qui
le
concernait
mentionnait
qu'il
avait
appelé
le
FBI
pour
confirmé
sa
présence
avec
d'autres
"patriotes"
répondant
ainsi
à un
appel
du
président
à
tous
les
"patriotes"
de
venir
à
Washington.
La
folie
collective
était
en
marche
et
rien
n'est
plus
dangereux.
Cinq
personnes
seraient
décédées
au
cours
de
cette
manifestation.
Le
Capitole,
très
vite
a été
isolé
après
l'installation
rapide
d'une
barrière
métallique
et la
présence
renforcée
des
forces
de
l'ordre
qui
ne
font
pas
dans
la
dentelle.
Bref,
le
résultat
c'est
la
demande
généralisée
du
peuple
américain
dans
sa
majorité,
de
demander
la
démission
de
Donald
Trump,
toujours
président
des
Etats
Unis
qui,
selon
les
sénateurs
américains,
a
sombré
dans
un
niveau
de
folie
absolument
impensable.
Fin
du
premier
chapitre.
Le
second
a
toute
sa
place
le 20
janvier
date
de
l'intronisation
de
Joe
Biden
à la
présidence
américaine.
Marseille
en
danger
viral
Huit
cas
du
variant
anglais
du
virus,
à
l'origine
de la
maladie,
ont
été
identifiés
au
sein
d'un
cluster
familial.
Les
pompiers
de
Marseille
ont
d'ailleurs
signalé
à la
suite
d'une
stratégie
prédictive
des
eaux
usées
une
circulation
plus
forte
du
virus
depuis
quelques
jours.
Huit
cas
du
variant
anglais
ont
déjà
été
dépistés
au
sein
d'une
famille.
Chaque
minute
compte
pour
endiguer
la
propagation
de la
souche
anglaise.
Le
préfet
des
Bouches
du
Rhône
a
assuré
que
tous
les
moyens
étaient
mis
en
oeuvre
pour
garantir
la
sécurité
sanitaire.
Les
personnes
testées
positives
sont
mises
à
l'isolement
immédiatement.
C'est
grave
!
Deux
gendarmes,
une
femme
et un
homme,
se
sont
suicidés
vendredi
dans
leurs
casernes
de
Lyon
et
Toulouse
avec
leurs
armes
de
service.
Pourquoi
?
A
Nouméa
plusieurs
grands
projets
sont
attendus
en
2021.
Espérons
pour
les
habitants
que
ce ne
soient
pas
des
voeux
pieux
comme
en
Polynésie
!
Samedi,
les
obsèques
du
maréchal
des
Logis
Tanerii
Mauri
décédé
au
Mali
le 28
décembre
se
sont
déroulées
à
l'Eglise
de la
Communauté
du
Christ
de
Papeete
en
présence
des
autorité
du
pays
ainsi
que
militaires
puis
son
corps
a été
transporté
au
cimetière
de
l'Uranie
où il
a été
inhumé
en
présence
de sa
famille
et de
ses
amis.
Pourquoi
la
France
poursuit-elle
son
emprise
du
Mali
? Les
guerres
coloniales
ont
pourtant
coûté
assez
de
vies
humaines.
Pour
empêcher
les
djiadistes
de
l'occuper
?
Mais
que
l'armée
utilise
alors
les
grands
moyens
et
non
le
tir
aux
pigeons.
Dimanche
10
janvier
2021
"Quant
quelqu'un
qui
n"a
même
pas
fait
son
service
militaire
te
dit "
On
est
en
guerre",
c'est
comme
si un
puceau
voulait
te
raconter
ses
histoires
de
cul"
"Espérons
qu'il
n'y
ait
pas
de
guerre,
Macron
serait
capable
de
nous
annoncer
que
nous
n'avons
plus
de
fusils
!"
Ce
pays
des
énarques
est
extraordinaire
il
faut
une
"attestation
papier
pour
sortir
de
chez
soi,"
mais"
tu
rentres
dans
le
pays
sans
papiers
"
Avant
de
faire
éclater
ce
papier
bulle,
souviens-toi
que
l'air
vient
de
Chine!
Quant
on
veut
piquer
du
miel
aux
abeilles
pour
les
rendre
moins
agressives,
on
les
enfume.
Pour
le
peuple,
c'est
pareil...
Le
vice
président
américain
Mike
Pence
à
terminé
une
journée
houleuse
au
Sénat
en
confirmant
la
victoire
de
Joe
Biden
avec
306
grands
électeurs
contre
232
pour
Donald
Trump
ayant
provoqué
un
malaise
palpable
hier
au
sein
de
son
propre
groupe
dont
certaines
grandes
figures
politiques
ont
démissionné
du
parti.
Vendredi
8
janvier
2021
Le
genre
humain
ne
change
pas à
travers
les
siècles,
le
sexe,
le
sadisme
et
l'argent
font
toujours
bon
ménage.
Ce
qui
est
perturbant
également
c'est
de
constater
que
les
mêmes
faits,
se
passent
souvent
dans
le
milieu
éducatif
du
primaire,
quand
les
enfants
sont
jeunes
et
malléables.
Alors,
et
c'est
un
constat,
certains
instituteurs
et
plus
tard
là
encore,
certains
professeurs
laissent
aller
leur
tempérament
violent
ou
sadique
sur
les
élèves.
Et
dire
qu'on
s'est
étonné
si
longtemps
du
comportement
des
nazis
dans
les
camps.
Certains
hommes
sont
"méchants"
et
ce,
depuis
leur
enfance
ou
recherchent
leur
plaisir,
celui
de
faire
mal
en
humiliant
des
élèves
choisis
pour
leur
faiblesse
de
caractère
dans
la
classe.
idem
dans
les
camps
de
prisonniers
de
guerre.
Ce
n'est
pas
nouveau.
Mais
c'est
toujours
choquant.
Cracher
dans
la
bouche
d'un
élève,
ce
n'est
pas
humiliant
c'est
de la
sauvagerie
maladive
dégoûtante
qui
mérite
même
et
surtout,
un
stage
en
asile
psychiatrique.
Ce
qui
est
toujours
malheureusement
répétitif
c'est
que
ces
faits
sont
certes
condamnés
par
la
justice,
et
encore,
mais
ne
freinent
pas
les
pervers
que
l'on
doit
absolument
écarter
de la
société
éducative.
Or,
le
pervers
en
question
condamné
en
2006
exerçait
toujours
en
2019
dans
la
fonction
publique
trop
souvent
responsable
de
laxisme
et
certainement
pas
d'un
prétendu
"problème
de
communication"
selon
la
défausse
stupide
de la
représentante
du
Pays
à la
barre
du
tribunal,
ces
faits
relèvent
du
comportement
d'un
malade
mental.
Ou
d'un
grand
vicieux.
Si
elle
ne
s'est
pas
rendu
compte
de
cela,
c'est
tout
aussi
gravissime
que
les
faits
eux-mêmes
!
Jeudi
7
janvier
2021
Point
de
situation
du
covid
-19
64
nouveaux
cas,
41
hospitalisations,
17.195 cas
cumulés
et
121
décès
Trump
lâché
par
les
siens.
L'Amérique
à
genoux...+
Venus
de
tout
le
pays,
des
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi,
dans
le
centre
de la
capitale
fédérale
pour
une
démonstration
de
force,
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle
en
faveur
de
Joe
Biden.
On
n'avait
jamais
vu
Washington
transformé
en
cirque
antique
où
les
hommes,
gladiateurs,
usaient
de
tout
ce
qui
leur
tombait
sous
la
main
pour
battre
leurs
adversaires
faisant
un
mort,
une
femme
qui
se
battait
elle
aussi.
Un
champ
de
bataille
sans
précédent
d'une
violence
stupéfiante
contre
quoi
ou
qui ?
Contre
la
démocratie
mais
surtout
deux
immenses
frondes,
l'une
contre
et
l'autre
favorable
au
président
Trump
,dont
la
majorité
aujourd'hui
demande
la
destitution.
Des
hordes
rivales
qui
voulaient
méchamment
en
découdre,
les
uns
favorables
à
Trump
qui
avait
bien
chauffé
ses
troupes,
pour
plus
tard
leur
demander
de se
calmer
devant
la
fureur
américaine
.
Une
véritable
émeute
mais
à
l'échelle
américaine.
Du
jamais
vu.
Par
ailleurs
le
désaveu
et la
bataille
de
rue
d'une
extraordinaire
violence
a
entraîné
la
fermeture
de
tous
les
réseaux
sociaux
empêchant
Trump
d'envoyer
des
messages
d'encouragement
à ses
troupes
dont
les
discours
haineux
donnaient
une
coloration
"
sanguine"
à
cette
crise
stupéfiante
qui a
focalisé
le
monde
entier
sur
les
écrans
de
télévision,
d'autant
que
l'on
a pu
constater
surtout
dans
les
premières
heures,
le
peu
de
police
envoyée
sur
place.
Bref
le
cirque
antique
ou
comme
certains
chroniqueurs
l'ont
dit
"la
bataille
à
l'africaine"
devant
le
Capitole
faisait
rage.
Peu
de
"black"
mais
une
grande
majorité
blanche,
excitée,
violente,
qui
se
fichait
de
violer
la
démocratie.
Bref
en
final
le
25°
amendement
fut
voté
par
le
congrès,le
vice
président
Mike
Pence
jusqu'au
20
janvier,
date
de
l'investiture
de
Joe
Biden,
qui
pourra
alors
prendre
la
destinée
américaine
en
mains
. Peu
à peu
la
violence
a
laissé
la
place
à un
calme
tout
relatif
dans
une
ville
dévastée.
Trump
restera
dans
l'Histoire
mais
couvert
d'un
voile
noir,
lâché
par
son
propre
cabinet
et
pratiquement
tous
ses
proches
collaborateurs.
Des
partisans
de
Donald
Trump
sont
entrés
dans
l'hémicycle
du
Congrès,
la
certification
de
l’élection
présidentielle
en
cours
alors
suspendue
mais
menée
à
bien
quelques
heures
plus
tard.
Quelle
nuit
!!!
Trump
se
croyant
victorieux
:
«
Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite]»,
a
lancé
le
président
américain
à ses
partisans.
avant
de
baisser
le
ton
plus
tard
quand
lui
même
a été
stupéfié
de
voir
finalement
ce
qu'il
avait
provoqué
« On
veut
Trump »,
« Stop
au
vol » :
des
milliers
de
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi
6 janvier,
dans
le
centre
de
Washington
pour
une
démonstration
de
force
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
« Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite] »,
a
lancé
le
président
américain
devant
eux,
sous
un
ciel
chargé
de
lourds
nuages,
à
deux
semaines
de la
prise
de
fonction
du
démocrate
Joe
Biden.
« Nous
avons
remporté
cette
élection,
et
nous
l’avons
remportée
largement »,
a-t-il
martelé,
contre
toute
évidence
et en
dépit
de
l’absence
de
preuves
accréditant
l’hypothèse
de
fraudes
électorales.
De
plus
en
plus
isolé,
Donald
Trump
s’en
est
pris
avec
virulence
à son
propre
camp
républicain.
Les
ténors
républicains
sont
« faibles »
et
« pathétiques »,
a-t-il
lancé
devant
ses
partisans,
la
Maison
Blanche
en
toile
de
fond.
De
son
côté,
le
vice-président,
Mike
Pence,
a
fait
savoir
qu’il
ne
s’opposerait
pas à
la
certification
de la
victoire
de
Joe
Biden
à la
présidentielle,
s’abritant
derrière
les
« contraintes »
de la
Constitution. Refuser
la
victoire
de
Biden
plongerait
la
démocratie
dans
une
« spirale
mortelle »,
a, de
son
côté,
déclaré
le
chef
des
sénateurs
républicains.
éfiant
les
consignes
sanitaires,
des
hommes
et
des
femmes
venus
de
tous
les
Etats-Unis
soutenir
le
président
sortant
attendaient
le
visage
démasqué,
qu’il
s’adresse
à eux
depuis
l’Ellipse,
esplanade
située
au
sud
de la
Maison
Blanche.
Donald
Trump,
qui
continue
de
nier
la
victoire
de
son
rival
démocrate,
encourageait
depuis
des
jours
ses
supporteurs
à
défiler
à
Washington
pour
cette
journée
qui
sera
« folle »,
a-t-il
prévenu.
Rapidement,
les
partisans
de
Trump
ont
essayé
d’accéder
au
Capitole
peu
après
le
discours
du
président
américain,
selon
des
images
rapportées
par
le
journaliste
américain
Elijah
Schaffer
sur
son
compte
Twitter.
La
police
a
alors
ordonné
l’évacuation
de
plusieurs
bâtiments
du
Congrès.
Le
jour
des
rois
(!)
le
conseil
des
ministres
a
fait
relâche
!
Le 6
janvier
c'est
le
jour
où
les
rois
mages
sont
venus
apporter
leurs
cadeaux
à
l'enfant-roi
Jésus
en se
prosternant
humblement
autour
de sa
couche.
Et
comme
nous
sommes
des
chrétiens
nous
ne
nous
prosternons
plus
mais
nous
nous
délectons
des
"galettes
des
rois
"
pour
devenir
roi
ou
reine
à
notre
tour
si on
tombe
sur
la
fève
!!!
La
tradition
perdure...un
peu
modifiée
il
est
vrai.
C'est
l'Epiphanie
:
fêtechrétienne qui
célèbre
leMessie venu
et
incarné
dans
le
monde
et
qui
reçoit
la
visite
et
l'hommage
demages.
Elle
a
lieu
le 6
janvier1.
Pour
les
catholiques,
depuis
1971,
dans
les
régions
où
l'Épiphanie
n'est
pas
un
jour
férié,
elle
peut
se
fêter
le
deuxième
dimanche
après Noël (c'est-à-dire
le
premier
dimanche
qui
suit
le1er janvier).
En
France,
c'est
le
cas
depuis
1802,
règle
qui a
été
instaurée
par
un
décret
du cardinal
Caprara,
légat
du
pape Pie
VII.
La
fête
s'appelle
aussi
– en
particulier
chez
les orthodoxes –
« Théophanie »,
qui
signifie
également
la
« manifestation
de
Dieu ».
Diverses
coutumes
sont
observées
à
cette
occasion.
En
France,
en
Suisse
et en
Belgique,
depuis
le
Moyen
Âge,
une
« galette
des
rois »
ou un
« gâteau
des
rois »,
pâtisseries
contenant
une
fève,
sont
partagées
ce
jour-là ;
celui
ou
celle
qui
trouve
la
fève
dans
sa
part
est
surnommé
« roi »
ou
« reine "
pour...un
jour
!
C'est
toujours
ça !
Communiqué
du
MEDEF
Polynésie
Française
du 06
janvier
2021
en
réponse
au
communiqué
de la
Ministre
du
Travail
qui
faisait
suite
à
l’interview
télévisé
du
Président
du
MEDEF
invité
le 29
Décembre
2020
sur
le
plateau
de
Polynésie
la 1ère.
Les
Organisations
Patronales
membres
du
MEDEF
Polynésie
Française
ci-après
cosignataires,
ne
peuvent
que
s’étonner
des
propos
tenus
par
Madame
la
Ministre
du
Travail,
à
l’encontre
de
leur
président
Frédéric
Dock,
élu
par
ses
pairs
pour
les
représenter
au
sein
de
l’écosystème
économique
et
social
polynésien.
Le
président
du
MEDEF
Polynésie
Française,
qui a
rappelé
à
plusieurs
reprises
toute
l’importance
du
rôle
de la
Direction
du
Travail,
est
parfaitement
légitime
à
poser
la
question
des
moyens,
des
compétences
et
des
missions
de ce
service
indispensable
à la
régulation
et au
contrôle
du
monde
du
travail.
Le
MEDEF
Polynésie
Française,
au
titre
de
ses
500
entreprises
représentant
plus
de 17
000
salariés,
a la
responsabilité
de
réagir,
aussi
bien
lorsqu’il
constate
les
dégâts
sociaux
et
économiques
des
tous
récents
conflits,
que
le
bilan
inquiétant
de
l’emploi.
C’est
ce
qu’a
rappelé
Frédéric
Dock,
son
président,
dans
son
intervention
télévisée.
Déjà
le 3
décembre
2020,
dans
son
discours
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
Française,
le
Président
Edouard
Fritch
affirmait
sa
volonté
d’ « ouvrir
avec
les
partenaires
sociaux,
le
vaste
chantier
de la
modernisation
du
Code
du
travail
ou,
dit
autrement,
de
l’attractivité
ou de
la
compétitivité
de
notre
Pays. »
Le
MEDEF
Polynésie
Française,
conscient
de
ces
enjeux,
maintient
son
engagement
au
côté
du
Gouvernement
et
avec
les
partenaires
sociaux
dans
la
modernisation
indispensable
de
notre
économie.
Papeete,
le 06
janvier
2021
NB :
décidément
la
ministre
en
question
n'a
toujours
pas
la
cote
!
La
France
reclasse
toujours
ses
perdants.
Agnès
Buzin
intègre
le
cabinet
du
directeur
général
de
l'Organisation
mondiale
de la
santé.
Malheureuse
candidate
à la
mairie
de
Paris,
elle
s'y
occupera
des
affaires
multilatérales
(
sic!)
L'ancienne
ministre
de la
santé
quitte
donc
son
poste
de
conseillère
du
XVII
arrondissement
de
Paris
pour
rejoindre
la
Suisse.
Elle
représentera
l'institution
auprès
du
G7,
de
l'ONU
ou de
la
Fondation
Bill
Gates.
Plus
intéressant
que
la
mairie
de
Paris.
Une
reclassée
!
Les
Etats
Unis
se
reclassent
seuls
"
besoin
de
personne"
dit
Trump
des
partisans
de
Donald
Trump
entrent
dans
le
Congrès,
la
certification
de
l’élection
présidentielle
suspendue
Venus
de
tout
le
pays,
des
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi,
dans
le
centre
de la
capitale
fédérale
pour
une
démonstration
de
force,
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
Le
Monde
avec
AFP
«
Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite]»,
a
lancé
le
président
américain
à ses
partisans.
AFP
« On
veut
Trump »,
« Stop
au
vol » :
des
milliers
de
partisans
de
Donald
Trump
se
sont
retrouvés,
mercredi
6 janvier,
dans
le
centre
de
Washington
pour
une
démonstration
de
force
au
moment
où le
Congrès
a
commencé
à
certifier
les
résultats
de la
présidentielle.
« Nous
n’abandonnerons
jamais.
Nous
ne
concéderons
jamais
[la
défaite] »,
a
lancé
le
président
américain
devant
eux,
sous
un
ciel
chargé
de
lourds
nuages,
à
deux
semaines
de la
prise
de
fonction
du
démocrate
Joe
Biden.
« Nous
avons
remporté
cette
élection,
et
nous
l’avons
remportée
largement »,
a-t-il
martelé,
contre
toute
évidence
et en
dépit
de
l’absence
de
preuves
accréditant
l’hypothèse
de
fraudes
électorales.
De
plus
en
plus
isolé,
Donald
Trump
s’en
est
pris
avec
virulence
à son
propre
camp
républicain.
Les
ténors
républicains
sont
« faibles »
et
« pathétiques »,
a-t-il
lancé
devant
ses
partisans,
la
Maison
Blanche
en
toile
de
fond.
De
son
côté,
le
vice-président,
Mike
Pence,
a
fait
savoir
qu’il
ne
s’opposerait
pas à
la
certification
de la
victoire
de
Joe
Biden
à la
présidentielle,
s’abritant
derrière
les
« contraintes »
de la
Constitution. Refuser
la
victoire
de
Biden
plongerait
la
démocratie
dans
une
« spirale
mortelle »,
a, de
son
côté,
déclaré
le
chef
des
sénateurs
républicains.
éfiant
les
consignes
sanitaires,
des
hommes
et
des
femmes
venus
de
tous
les
Etats-Unis
soutenir
le
président
sortant
attendaient
le
visage
démasqué,
qu’il
s’adresse
à eux
depuis
l’Ellipse,
esplanade
située
au
sud
de la
Maison
Blanche.
Donald
Trump,
qui
continue
de
nier
la
victoire
de
son
rival
démocrate,
encourageait
depuis
des
jours
ses
supporteurs
à
défiler
à
Washington
pour
cette
journée
qui
sera
« folle »,
a-t-il
prévenu.
Rapidement,
les
partisans
de
Trump
ont
essayé
d’accéder
au
Capitole
peu
après
le
discours
du
président
américain,
selon
des
images
rapportées
par
le
journaliste
américain
Elijah
Schaffer
sur
son
compte
Twitter.
La
police
a
alors
ordonné
l’évacuation
de
plusieurs
bâtiments
du
Congrès.
« Trump
est
mon
président »
Croisée
par
l’Agence
France-Presse,
Gail,
76 ans,
explique
être
venue
exprès
du
New
Jersey
parce
qu’elle
« ne
respecte
plus
le
système
électoral ».
« On
va
regagner
notre
nation ! »
Originaires
de
l’Oregon,
sur
la
Côte
ouest,
Katherine
Caldwell,
61 ans,
et
son
mari
ont
roulé
pendant
cinq
jours
pour
le
soutenir
dans
sa
croisade.
« Ils
ont
volé
l’élection »,
« j’en
suis
absolument
sûre »,
dit-elle.
D’ailleurs,
les
élections
sénatoriales
en
Géorgie
de la
veille
ont
aussi
vu de
« la
triche »,
assure-elle,
alors
que
les
démocrates
semblent
en
passe
de
remporter
les
deux
sièges
nécessaires
pour
reprendre
le
contrôle
du
Sénat.
« Ils
ont
encore
utilisé
les
machines
frauduleuses,
les
gens
en
Géorgie
sont
corrompus »,
assure
cette
femme,
coiffée
d’un
chapeau
blanc
de
cow-boy
qui
agite
un
grand
drapeau
rouge
barré
de la
mention
« Trump
est
mon
président ».
Par
crainte
d’éventuels
débordements,
les
commerces
ont
de
nouveau
installé
des
panneaux
en
bois
sur
leurs
vitrines,
plusieurs
routes
ont
été
coupées
à la
circulation
et
les
autorités
locales
ont
invité
la
population
à
rester
chez
elle.
Des
membres
de la
garde
nationale
ont
été
déployés
dès
mardi
et la
police,
qui a
déjà
arrêté,
lundi,
le
leader
de la
milice
d’extrême
droite
des
Proud
Boys,
a
fait
savoir
qu’elle
ne
tolérerait
aucune
infraction
aux
restrictions
sur
le
port
d’armes
à
feu.
De
précédentes
manifestations
avaient
été
émaillées
de
violences,
notamment
lors
d’affrontements
avec
des
contre-manifestants.
Au-delà
de la
base,
des
dizaines
d’élus
républicains
de la
Chambre
et du
Sénat
restent
fidèles
à
Donald
Trump
et
ont
promis
de
faire
retentir
leurs
doutes
dans
l’enceinte
du
Congrès,
qui
doit
officiellement
enregistrer,
mercredi,
le
vote
des
grands
électeurs :
306
pour
Joe
Biden,
232
pour
Donald
Trump.
Leurs
objections
ne
feront
pas
dérailler
cette
procédure,
la
dernière
avant
la
prestation
de
serment
du
démocrate
le
20 janvier,
mais
pourraient
la
ralentir.
Le
ministre
des
Outre-mer
a
présenté
un
projet
de
loi
ratifiant
l’ordonnance
n°
2020-1256
du 14
octobre
2020
étendant
et
adaptant
en
Polynésie
française
et en
Nouvelle-Calédonie
les
dispositions
de la
loi
n°
2019-1461
du 27
décembre
2019
relative
à
l’engagement
dans
la
vie
locale
et à
la
proximité
de
l’action
publique.
Cette
ordonnance
a
étendu
et
adapté
en
Polynésie
française
et en
Nouvelle-Calédonie
diverses
dispositions
de la
loi
du 27
décembre
2019
de
nature
à
renforcer
les
droits
des
élus
et à
faciliter
l’exercice
de
l’action
publique,
s’agissant
notamment
de la
formation
des
élus,
de la
possibilité
pour
le
maire
de
demander
au
haut-commissaire
de se
positionner
sur
une
question
de
droit,
de la
possibilité
pour
le
maire
de
prononcer
des
amendes
administratives
pour
faire
respecter
certaines
de
ses
décisions
de
police
ou
encore
de la
prise
en
charge
par
la
commune
des
frais
de
garde
des
enfants
et
des
personnes
en
situation
de
handicap
ou
dépendantes,
avec
un
financement
par
l’État
dans
les
communes
de
moins
de 3
500
habitants.
De
plus,
le
projet
de
loi
autorise
la
célébration
des
mariages
dans
les
mairies
annexes
des
communes
associées
de
Polynésie
française
pour
toute
personne
qui
réside
dans
la
commune,
et
non
dans
la
seule
commune
associée.
Cette
mesure
permet
ainsi,
pour
la
célébration
des
mariages,
aux
habitants
d’une
commune
de
pouvoir
disposer
de
l’ensemble
des
infrastructures
situées
sur
leur
commune,
sans
être
limitées
à
celles
de la
seule
commune
associée
dans
laquelle
ils
résident.
Mardi
5
janvier
2021
62
nouveaux
cas,
16.988
cas
cumulés,
43
hospitalisations,
121
décès
Allo...Jacques
Chirac
? Oui
vous
êtes
bien
au
CHPF
de
Polynésie
française.
Le
Tavini
n'en
peut
plus
de
taper
du
pied
de
colère
il
aurait,
bien
sûr,
préféré
qu'on
appelle
l'hôpital
d'un
grand
nom
maohi.
Mais"
Chirac"
le
monde
entier
le
connaît
et
ainsi
les
diverses
populations
qui
auront
besoin
de se
faire
soigner
retiendront
le
lieu
où il
faudra
se
rendre.
Je
me
souviens
de
son
premier
séjour
quand
il a
mis
le
pied
sur
la
terre
polynésienne,
j'entendais
les
commentaires
des
polynésiennes
"
il
est
beau"
!
disaient
elles
avec
un
grand
sourire
en se
poussant
du
coude
pour
se
rapprocher
sans
compter
les
embrassades,
alors
qu'il
accomplissait
son
pensum
:
serrer
les
mains
tendues
vers
lui
et
faire
des
bises
. "Ce
grand
fauve"
comme
on
l'appelait
dans
les
médias
parisiens
savaient
plaire
et
son
large
sourire
montrait
aux
Polynésiens
et
Polynésiennes
qu'il
était
heureux
d'être
arrivé
à
Tahiti
et
d'avoir
autour
du
cou
des
colliers
de
fleurs
jusqu'aux
yeux.
Je
dirais
à
nouveau
que
le
physique
d'un
homme
politique
compte
énormément
notamment
auprès
des
femmes
bien
sûr
mais
aussi
auprès
des
hommes
qui
savent
reconnaître
un
homme
politique
agréable,
qui
plait,
d'autant
plus,
ce
qui
ne
gâtait
rien,
qu'il
avait
la
manière
de
faire
des
cadeaux
sonnants
et
trébuchants
que
Gaston
Flosse
alors
président
du
Pays,
se
plaisait
à
relayer
auprès
de la
population
comme
doit
le
faire
tout
homme
politique
qui
reçoit
de
l'argent
de la
mère
patrie
pour
son
peuple
!
Il
est
certain
que
Chirac
comme
tout
le
monde
avait
des
défauts
mais
on ne
les
voyait
pas.
Sa
voix
forte
pour
se
faire
entendre
de
tous
ses
admirateurs,
l'annonce
des
subventions
destinées
à la
Polynésie
enthousiasmaient
la
foule.
Le
plus
heureux
n'était
peut-être
pas
Jacques
Chirac
mais
Gaston
Flosse
qui
voyait
les
Polynésiens
aussi
enthousiastes
que
lui
même.
Plus
jamais
un
homme
politique
de
passage
n'a
recueilli
autant
de
preuves
de
sympathie
de la
part
de la
foule.
Il
méritait
bien
d'avoir
son
nom
porté
sur
le
fronton
d'un
bâtiment
hospitalier
destiné
à
sauver
des
vies.
Juste
reconnaissance
méritée.
Le
CHPF
a été
rebaptisé
"
Hôpital
Jacques
Chirac"
en
catimini
lors
du
compte
rendu
du
dernier
conseil
des
ministres.
Des
cachotteries
enfantines
!
Faut
assumer
dans
la
vie
politique
!
Et
voilà
qu'arrive
la
première
affaire
politique
de
2021
!
Et
elle
arrive
par
qui ?
Mais
par
le
spécialiste
de la
recherche
minutieuse
des
affaires
politiques
douteuses
:
Yves
Conroy
.
Celui-ci
met
sur
le
devant
de la
scène
Edouard
Fritch,
René
Temearo
et
Nathalie
Bruand.
Conroy,
en
effet
a
déposé
sur
le
bureau
du
Tribunal
administratif
une
demande
d'annulation
d'une
décision
du
haut
commissaire.
Edouard
Fritch
avait
été
élu
vice-président
du
SPC.
Il
peut
cumuler
certes
les
deux
fonctions,
mais
l'une
d'entre
elle
ne
doit
pas
être
rémunérée
or,
elles
le
seraient
toutes
les
deux,
le
président
Fritch
n'ayant
pas
opté
pour
l'une
ou
l'autre.
Le
haut
commissaire
aurait
du
intervenir
dans
un
délai
donné
mais
il ne
l'a
pas
fait.
Le
redresseur
de
torts
Yves
Conroy
s'est
alors
saisi
de ce
manquement
et
l'a
porté
devant
le
Tribunal
administratif
le 12
février
2020
qui
lui,
s'est
défaussé
par
ordonnance
auprès
du
Conseil
d'Etat.
Ce
dernier
vient
de
répondre
que
cette
affaire
sera
jugée
le 6
janvier
2021
à
14h.
C'est
à
dire
demain
!
CONSEIL
D’ETAT
Section
du
Contentieux
1,
plilcG
du
Palais-Royal
75100
PARIS
CEDEX
01
Têl
.
01.40.20.80.83
Fàx
:
G7
4h
20
d$
9h
Notre
réf
:
N°
439105
Monsieur
Yves
CONROY
cl
PRÉSIDENCE
DE
LA
POI.YNESIE
FRANCAJSIi
Affaire
suivie
par
:
Mine
Rainalahanoharana
Paris,
le
29/12/20
M.
CONROY
Yvcs
PK
34.400
c/mer
98712
Papara
Polynésie
française
J'ai
l'honneur
de
vous
faire
connaître
que
l’affaire
enregistrée
sous
le
numero
cité
en
référence
et
dont
l'objet
est
brièvement
rappelé
ci-dessous
est
inscrite
au
rôle
de
la
séance
publique
de
jugement
du
06/01/2021
qiu
se
tiendra
à
14
heures
00
(l0èmc
et
9ème
chambres
réunies).
Ordonnance
n°
2000051
du
12
février
202s)
peu’
laquelle
le
président
du
tribunal
administratif
de
Polynésie
frcinçciise
a
transiil
ffi
Ou
Cons
eil
‹l’Etat,
en
ayylication
de
l'arlicfe
R.
351-2
elu
code
‹:le
justice
aclministrative,
la
t
equête
par
laquelle
M.
1"ves
Conroy
demande,
d’une
pcir.t,
l’annulation
de
la
décision
du
16
janvier
2020
du
haut-commissaire
de
la
République
en
Polynésie
française
refusant
de
constater
l’absence
d'oyfien
de
M.
René
femeharo
entre
des
fonctions
de
ministre
elu
gouve.Gnement
de
la
PoJyné›
ie
française
et
celles
de
président
du
centre
de
gestion
et
de
formation
(CCF)
et
d’autre
part
d’enjoindre
à
la
mêiiie
autorité
de
pren‹Ire
wt
arrété
constatant
le
défaut
d'option
et
le
renoncement
de
M,
Teineharo
à
ses
fonctions
de
ministre
du
gouvernement
de
la
Polynésie
française.
Rapporteur
public
:
M.
Alexandre
Lallet
Rapporteur
:
Monsieur
Bruno
Delsol
Fn
vertu
des
dispositions
combinées
des
articles
R.
432-1,
R.
613-5
et
R.
733-1
du
code
de
justice
administrative,
seuls
les
avocats
au
Conseil
d'Etat
ct
ä
la
Cour
de
Cassation
peuvent
r
'
esenter
des
observations
orales
le
jour
de
la
séance
de
jugement.
Les
décisions
sont
rendues
publiques
dans
un
délai
moyen
de
trois
semaines
après
la
séance
elles
sont
ensuite
notifiées
aux
parties
dans
un
délai
de
quinze
jours
environ.
Jc
vous
précise
que
cet
avis
constitue,
non
pas
une
convocation
mais
mn
élément
d’information
sur
la
date
de
l’audience
dont
il
ne
vous
sera
pas
possible
de
demander
le
Toutefois,
les
conditions
sanitaiies
actuelles
restreiignant
les
possibilités
d’accueil
dans
les
salles
d’audience,
je
vous
invite,
si
vous
souhaitez
assister
à
cette
séance,
à
en
informer
préalablement
et
au
plus
tard
la
veille,
le
greffe
et
à
vous
présenter
à
l'accueil
muni
du
présent
avis,
une
demi-heure
avant
l’heure
indiquée
ci-dessus.
J’appelle
enfin
votre
attention
sur
les
dispositions
régissant
la
tenue
de
l’audience
et
ses
prolongements,
figurant
aux
articles
R.
712-1
alinéa
5,
R.
731-1
ä
R.
731-3
et
R.
733-1
à
R.
733-3
du
code
de
justice
administrative
ci-après
reproduits.
Si
vous
souhaitez
faire
usage
de
la
possibilité
qui
vous
est
reconnue
par
l’article
R.
712-1
alinéa
5
du
code
de
justice
administrative
de
prendre
connaissance
du
sens
des
conclusions
du
rapporteur
public
avant
la
séance,
vous
pouvez
consulter
les
applications
Télérecours,
Télérecours
citoyens
ou
Sagace
qui’
seront
renseignées
à
cet
effet
dans
un
délai
de
l’ordre
de
deux
jours
avant
la
séance.
Si
vous
n’êtes
pas
en
mesure
de
consulter
en
ligne
ces
applications
vous
pouvez,
dans
ce
même
délai,
appéler
le
secrétariat
de
la
chambre
au
numéro
suivant
:
01
40
20
80
83.
Toutefois,
si
votre
affaire
relève
d’un
contentieux
Pour
lequel
le
ministère
d’un
avocat
au
Conseil
d’Etat
et
à
la
Cour
de
cassation
est
obligatoire,
vous
ne
pourrez
prendre
connaissance
du
sens
des
conclusions
que
par
l’intermédiaire
de
l’avocat
au
Conseil
d’Etat
et
à
la
Cour
de
cassation
que
vous
aurez
préalablement
constitué.
Je
vous
prie
de
bien
vouloir
recevoir,
Monsieur,
l’assurance
de
ma
considération
distinguée.
Pour
le
Secrétaire
du
Contentieux
Le
greffier
en
chef
de
la
l0ème
chaybre
Claudine
Ramalahanoharana
Le
bombardier
le
plus
grand
et le
plus
rapide
au
monde
jamais
construit
par
les
Etats
Unis
dans
le
cadre
d'un
plan
visant
à
construire
un
bombardier
stratégique
pour
la
pénétration
profonde
et
les
bombardements
nucléaires
pendant
la
guerre
froide,
l'aviation
nord
américaine
a
créé
un
prototype
étonnamment
futuriste
pour
son
époque
le
XB70
Valkyrie
Air
Tahiti
Nui
explique
Très
chers
Clients,
En
ce
début
d'année
2021,
peu
d’entre
nous
seront
malheureusement restés
indemnes
d’une
pandémie
que
nous
aurions
tous
souhaité
pouvoir
laisser
dernière
nous.
Cette
crise
sans
précédent
a
obligé
Air
Tahiti
Nui
à
répondre
sans
transition
à
de
nouveaux
défis
alors
qu’elle
achevait
à
peine
sa
transformation,
avec
en
fer
de
lance
ses
quatre
Tahitian
Dreamliner
flambant
neufs.
C’est
grâce
à
vous,
et
pour
vous,
que
nous
nous
sommes
adaptés
coûte
que
coûte
afin
de
continuer
à
vous
servir
et
à
servir
la
Polynésie.
Votre
confiance
et
votre
soutien
sont
les
moteurs
qui
nous
font
avancer
depuis
tant
d’années.
Nos
remerciements
les
plus
chaleureux
s’adressent
également
aux
institutions
qui
nous
donnent
les
ailes
pour
traverser
ces
turbulences
et
retrouver bientôt,
nous
l’espérons,
un
ciel
plus
clément.
Cette
année
2020
aura
été
émaillée
de
nombreux
défis
auxquels
les
équipes
d’Air
Tahiti
Nui
ont
répondu
sans
faillir,
travaillant
de
concert
avec
les
autorités
du
Pays,
de
l’Etat,
les
aéroports
et
nos
nombreux
partenaires
et
fournisseurs
afin
de
s’adapter.
Dès
le
mois
d’avril
et
jusqu’au
mois
de
juin,
la
compagnie
s’est
mobilisée
aux
côtés
des
autorités
afin
d’assurer
la
continuité
territoriale
qui
a
permis
à
plus
de
2500
voyageurs
de
retrouver
leurs
proches.
Sur
la
même
période,
c’est
également
près
de
105
tonnes
de
fret
qui
ont
pu
être
acheminées
vers
Tahiti
afin
de
lutter
contre
l’épidémie.
Les
contraintes
aux
frontières
nous
ont
obligés
à
adapter
de
manière
conséquente
notre
programme
de
vols.
Une
nouvelle
escale
technique
à
Vancouver
nous
a
permis
de
maintenir
notre
desserte
de
Paris,
tandis
que
notre
service
à
destination
de
Los
Angeles
au
départ
de
Tahiti
restait
préservé.
Nos
dessertes
d’Auckland
et
de
Tokyo
ont
malheureusement
été
suspendues
et
restent
à
ce
jour
fermées
jusqu’à
réouverture
des
frontières.
Parce
que
votre
sécurité
et
celle
de
notre
personnel
est
notre
priorité,
des
mesures
sanitaires
strictes
sont
aujourd’hui
imposées
sur
nos
vols
et
devront
être
maintenues
en
2021
tant
que
les
autorités
les
jugeront
nécessaires.
Ces
freins
ont
certainement
contraint
vos
projets
de
voyage.
Nous
nous
sommes
donc
mobilisés
pour
vous
apporter
plus
de
sérénité
:
des
tarifs
toujours
plus
accessibles
payables
en
plusieurs
fois,
une
grande
flexibilité
pour
la
modification
de
vos
réservations,
et
une
assurance
voyage
spécifique
couvrant
désormais
le
risque
épidémique.
Nous
sommes
également
heureux
de
vous
annoncer
qu’en
tant
que
membre
de
notre
programme
de
fidélité
Club
Tiare,
la
validité
de
vos
miles
devant
expirer
en
2020
sera
prolongée
jusqu’à
ce
que
de
meilleures
conditions
d’utilisation
soient
réunies.
Les
membres
Club
Tiare
Silver
et
Gold
garderont
également
leur
statut
et
l’ensemble
de
leurs
avantages
jusqu’au
31
décembre
2021.
Un
an
après
le
renouvellement
complet
de
notre
flotte,
nos
équipes
restent
mobilisées
afin
que
sécurité
rime
également
avec
confort
et
service.
C’est
donc
avec
une
grande
joie
que
nous
partageons
avec
vous
nos
nouvelles
récompenses
:
-
Prix
Grande
compagnie
cinq
étoiles
décerné
par
APEX
Official
Airline
Ratings
pour
la
2ème
année
consécutive,
-
Prix
Global
Traveler
de
la
meilleure
Compagnie
Aérienne
du
Pacifique
Sud
2020
pour
la
3ème
année
consécutive,
-
Prix
Global
Traveler
de
la
Meilleure
Compagnie
Aérienne
de
loisirs
2020
pour
la
2ème
année
consécutive.
Ces
récompenses
sont
aussi
les
vôtres.
Elles
montrent
combien
les
équipes
d’Air
Tahiti
Nui
s’engagent
chaque
jour
pour
vous
apporter
une
expérience
de
voyage
unique,
chaleureuse
et
toujours
plus
immergée
dans
la
magie
de
nos
îles.
Alors
que
nous
laissons
2020
derrière
nous, souhaitons
que
cette
nouvelle
année
nous offre
à
nouveau
la
possibilité
de
faire
ce
que
nous
aimons
le
plus
:
vous
faire
découvrir
le
monde
et
vivre
de
nouvelles
aventures
ensemble.
Tout
le
personnel
d’Air
Tahiti
Nui
se
joint
à
moi
pour
vous
souhaiter
une
très
bonne
année
2021
pleine de
nouveaux
voyages
!
Māuruuru
Michel
Monvoisin,
Président
Directeur
Général
d'Air
Tahiti
Nui
Un
grand
pas
très
maladroit
a été
franchi
par
l'Etat
vers
"la
limitation
d'expression
des
médecins".
La
nouvelle
année
commence
bien
mal
dans
cette
corporation,
c'est
tout
de
même
un scandale...d'Etat
!
Le Dr
J.P
Théron
vient
de
nous
faire
parvenir
une
information
qui
n'est
pas
piquée
des
vers
en ce
début
d'année
pourtant
calme
et
ensoleillé
mais
qui
risque
fort
de
mettre
le
monde
médical
en
ébullition.
Il
s'agit
d'un
décret
qui
fait
"honte"
à la
profession
médicale
"en
limitant
la
liberté
d'expression
des
médecins".Du
jamais
vu
comme
le
dit
le Dr
Théron !
Le
31
décembre
2020,
les
professeurs
Perronne
et
Trouillas
ainsi
que
quatre
autres
médecins
ont
attaqué
devant
le
Conseil
d'Etat
le
décret
du
22/12/20
visant
à
"limiter
la
liberté
d'expression
des
médecins".
A
l'heure
où la
presse
a
gagné
ses
galons
de
haute
lutte
dans
ce
domaine
voilà
que
conseil
d'Etat,
en
quel
honneur
"
vise
à
limiter
"la
sainte
liberté
d'expression
médicale."
Voici
ce
qu'en
pense
le Dr
Jean
Paul
Théron
et de
nombreux
autres
médecins
qui
se
soulèvent
d'indignation
à
juste
titre.
Pour
un
début
d'année,
le
conseil
d'Etat
fait
très
fort
qui
est à
la
manoeuvre
?
"
Nous
avons
honte
et
heureusement
nous
ne
sommes
pas
isolés
.
Mais
faut
il
que
notre
profession
se
soit
sclérosée
pour
accepter
de
telles
atteintes
à ce
qui a
toujours
fait
avancer,
la
médecine
comme
la
science
et
bien
avant
Avicenne...?
Faire
connaître,
faire
savoir,
partager
les
opinions.
Honte
aux
médecins
ou
non-médecins
qui
sont
à
l'origine
de de
ce
projet
de
loi
modificative
ou de
décret.
Dr
Jean
Paul
Théron.
31/12/2020:
Les
Professeurs
Perronne
et
Trouillas
ainsi
que
quatre
autres
médecins, ont
attaqué
devant
le
Conseil
d'Etat
(
C.E.)
le
décret
du
22/12/2020
visant
à
limiter
la
liberté
d'expression
des
médecins
A
propos...Il
faudra
désormais
attendre
la
fin
de
2021...
Et
voilà,
les
agapes
sont
pratiquement
finies
à
part
quelques
retardataires
qui
ne
peuvent
plus
décoller
de
leurs
chaises
ou
qui
ne le
souhaitent
pas.
Et
pourtant
il
faut
bien
que
les
fêtes,
les
dîners,
les
rires,
les
bulles
du
champagne
et
les
chansons
joyeuses
rejoignent
leurs
caches
jusqu'à
l'année
prochaine
en
laissant
la
place
aux
voeux
abondants
de la
famille
et
des
amis
ce
qui,
malheureusement,
n'a
jamais
empêché
les
accidents...
mortels.
Mais
ne
soyons
pas
déclinistes
en ce
moment.
Soyons
simplement
prudents
d'autant
qu'en
se
couchant
à 3h
du
matin,
on ne
se
lève
pas
aux
aurores...
6h.
du
matin,
la
ville
repue
dort
encore
. Pas
un
bruit
de
moteur,
les
rues
sont
désertes,
les
citoyens
qui
ont
fait
le
plein,
ronflent
en
dormant
et
même
les
oiseaux
ont
toujours
les
yeux
clos,
alors
que
l'aube
perce
les
petits
nuages
en
laissant
entrevoir
le
bleu
du
ciel.
La
fête
est "
finie"
pour
la
majorité
d'entre-nous
et
les
yeux
vaporeux
ont
du
mal a
retrouver
l'heure
fatidique
d'un
lever
difficile
pour
reprendre
le
boulot,
pour
certains
malchanceux
dont,
en
quelques
jours,il
faut
bien
l'avouer,
on a
perdu
l'habitude,
mais
ce
n'est
sans
doute
pas
encore,
le
jour
J !
Et
pourtant
quand
faut
y
aller,
faut
y
aller.
Et
encore
ce
n'est
pas
si
sûr.
On
pense
alors
à la
réponse
du
ministre
des
Finances
du
roi
Louis
XVI à
Marie
Antoinette
qui
voulait
ouvrir
un
crédit
: "Si
cela
est
possible,
madame
cela
est
fait.
Si
cela
est
impossible,
cela
se
fera."
Réponse
de
courtisan
habile
bien
sûr.
Ce
siècle
avait
du
talent!
Message
de
condoléances
suite
au
décès
de
Yannick
Amaru.
Déja
un
décès
et le
31
décembre...celui
d'un
homme
charmant.
Il
n'y a
pas
de
trêve
pour
la
faucheuse...
Le
président
Edouard
Fritch
et
son
gouvernement
saluent
la
mémoire
de
Jean,
dit
Yannick,
Amaru,
qui
est
décédé
le 31
décembre
dernier,
alors
qu’il
allait
avoir
89
ans.
Né
en
janvier
1932,
il a
effectué
une
partie
de sa
scolarité
en
France,
chez
les
frères
de
Plöermel,
puis
à
Aix-en-Provence,
pour
des
études
de
droit.
A
son
retour
en
Polynésie,
il
s’est
engagé
en
politique,
en
1965,
aux
débuts
du
Here
Ai’a,
puis
aux
côtés
de
Pouvana’a
a O’opa,
à son
retour
d’exil.
Elu
à
l’Assemblée
territoriale
de
1967
à
1972,
il
est
entré
au
Conseil
de
gouvernement,
en
1977,
aux
côtés
de
Francis
Sanford,
en
étant
en
charge
notamment
de
l’Aménagement,
des
travaux
publics,
et de
l’urbanisme.
Ayant
travaillé
également
aux
Affaires
économiques,
puis
au
service
des
Archives
du
gouvernement,
il a
aussi
été
le
premier
président
du
conseil
d’administration
de
TNTV
(Tahiti
Nui
Télévision),
depuis
la
création
de la
chaîne,
en
2000,
et ce
jusqu’en
2004.
A sa
famille,
et à
ses
proches,
le
président
et le
gouvernement
adressent
leurs
sincères
condoléances.
Vendredi
1er
janvier
2021
Premier
cadeau
de
l'année
à
l'Etat
du
président
Fritch
Nous
sommes
le
Ier
jour
d'une
nouvelle
année
et
déjà
une
info
assez
étonnante
arrive,
celle
de
voir
le
Pays
subventionner
l'Etat
! Il
lâche,
76
millions
Fcfp
pour
financer
la
construction
du
centre
d’hébergement
du
Criobe,
lire
ci-dessous
:
Le
conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
d’investissement
de 76
millions
afin
de
financer
la
construction
d’un
centre
d’hébergement
international
pour
le
compte
du
Centre
de
recherches
insulaires
et
observatoire
de
l’environnement
(Criobe).
Situé
à
Moorea
depuis
1971,
le
Criobe
est
une
structure
reconnue
au
niveau
national
et
international
dont
la
vocation
est
de
réaliser
des
programmes
de
recherche
scientifique.
Depuis
dix
ans,
il
coordonne
le
centre
d’excellence
national
pour
l’étude
des
récifs
coralliens
et
accueille
toujours
plus
d’experts
internationaux.
L’orientation
stratégique
de la
recherche
est
de
faire
de la
Polynésie
française
un
véritable
hub
scientifique
d’excellence
et
d’attractivité
dans
le
bassin
Pacifique,
et il
est
donc
devenu
nécessaire
de
mettre
à
disposition
un
centre
d’hébergement
international
adapté.
Ainsi,
les
locaux
actuels
seront
reconditionnés
en un
plateau
dédié
à
l’expérimentation
et
mis
au
service
des
utilisateurs
(chercheurs,
services
du
Pays,
gestionnaires…)
et en
bureaux
de
recherche
et
d’innovation.
Le
montant
de la
subvention
octroyée
a été
fixé
à
76 millions
Fcfp.
Le
démarrage
des
travaux
est
prévu
à
mi-2021
pour
une
durée
de 9
mois,
avec
une
livraison
au
second
trimestre
2022.
Jeudi
31
décembre
2020
Excellent
réveillon
à
tous
ceux
qui
vont
enterrer
l'année
2020
joyeusement
ce
soir.
Mardi
29
décembre
2020
Le
sapin
est
prêt
pour
recevoir
tous
les
cadeaux
!Heureux
moment
magique
de
Noël...
Coronavirus
: 99
nouveaux
cas
en
24H.
48
hospitalisations
en
cours
16.795
cas
cumulés
108
décès.
Mardi
29
décembre
2020
Et
pendant que
nous
souhaitons
à nos
amis,
à
notre
famille
d'être
heureux
en
2021,
des
jeunes
hommes
meurent
pour
libérer
le
Mali
d'un
joug
barbare.
Pourquoi
?
Pour
la
gloire
de
faire
flotter
le
drapeau
français
sur
des
pays
que
la
France
souhaite
occuper
pour
barrer
la
route
aux
tueurs
islamistes
. Ah,
bien
sûr
nous
menons
l'opération
Barkhane
car
la
persistance
de la
menace
régionale,
alourdit
par
la
mort
de
jeunes
français
cette
occupation,
avec
en
plus
la
collision
de
deux
hélicoptères.
Mais
bon
sang
, il
fallait
bien
tous
ces
morts
pour
poser
la
question
d'un
éventuel
retrait
des
troupes
de la
région
du
Sahel
?
41
morts
depuis
le
début
de
l'opération
et
pourquoi
?
Pourquoi
?
Pour
la
stabilité
de la
région
sous
le
joug
des
djihadistes,
enfin
plutôt
sous
celui
d'un
petit
califat
du
désert
qui
menace
de
s'emparer
de la
capitale
Bamako.
Barkhane
les
freine.
Le
combat
ferme
le
boulevard
aux
islamistes
dont
les
premières
victimes
seraient
les
Africains.
Certes,
mais
on a
envie
de
dire
" ça
suffit"
et ce
n'est
pas
le
projet
Takuba
qui
consiste
à
intégrer
de
petits
contingents
de
Forces
spéciales
européennes
qui
stoppera
la
menace
régionale
et
l'avancée
des
islamistes.
Alors
quoi
? Une
seule
chose:
rasez
leurs
bases
avec
nos
forces
aériennes
au
lieu
de se
lancer
dans
des
combats
traditionnels
mortels. On
a des
avions,
des
hélicos,
mais
que
l'armée
s'en
servent
au
lieu
de la
guérilla
et la
mort
de
nos
soldats.
Le
Mali
n'est
pas
un
maquis
corse.
Soyez
Américains
de
temps
en
temps
et
frappez
fort
ou
partez...
Tanerii
Mauri
du1er
Régiments
de
Chasseurs,
mort
pour
la
France.
Originaire
de
Papeete,
le
brigadier-chef Tanerii
Mauri (28
ans)
avait
rejoint
le 1er
Régiment
de
chasseurs le
4
juin
2013,
après
un
peu
moins
de
deux
ans
au du
régiment
d’infanterie
de
marine
du
Pacifique
–
Polynésie.
Il
sert
en
Sentinelle
en
2016,
puis,
en
mai
2017,
aux
Émirats
Arabes
Unis
au
sein
de
l’escadron
blindé
du 5e
Régiment
de
cuirassiers.
Il
est
en
Côté
d'Ivoire
d’octobre
2018
à
février
2019
comme
pilote
VBL.
Le 15
novembre,
il
est
envoyé
à
Barkhane
comme
adjoint
chef
de
patrouille. Il
était
célibataire
et
sans
enfant
Pierre
Cardin,
grand
nom
de la
mode
française,
est
mort
DISPARITION
Le
pionnier
du
prêt-à-porter
est
décédé
mardi
à
l'âge
de 98
ans
20
Minutes
avec
AFP
Pierre
Cardin
en
juin
2019.
—
BERTRAND
GUAY
/ AFP
Son
nom
est
l’un
des
plus
renommés
de la
mode
française.
Le
couturier
Pierre
Cardin est
décédé
mardi
à
l’âge
de 98
ans,
a
annoncé
sa
famille.
Fils
d’immigrés
italiens
devenu
un
homme
d’affaires
au
nom
mondialement
connu,
ce
styliste
visionnaire
et
pionnier
du
prêt-à-porter
est
mort
dans
la
matinée
à
l’hôpital
américain
de
Neuilly,
dans
l’ouest
de
Paris.
« Jour
de
grande
tristesse
pour
toute
notre
famille,
Pierre
Cardin
n’est
plus.
Le
grand
couturier
qu’il
fut,
a
traversé
le
siècle,
laissant
à la
France
et au
monde
un
héritage
artistique
unique
dans
la
mode
mais
pas
seulement »,
a
écrit
sa
famille
dans
un
communiqué.
« Ambition
tenace
et
audace »
Et de
poursuivre : « Nous
sommes
tous
fiers
de
son
ambition
tenace
et de
l’audace
dont
il a
fait
preuve
tout
au
long
de sa
vie.
Homme
moderne
aux
multiples
talents
et à
l’énergie
inépuisable,
il
s’est
inscrit
très
tôt
dans
les
flux
de la
mondialisation
des
biens
et
des
échanges. »
« Italien
de
naissance,
Pierre
Cardin
n’a
jamais
oublié
ses
origines
tout
en
portant
à la
France
un
amour
inconditionnel »,
écrivent
encore
ses
proches.
Pierre
Cardin
a,
avant
beaucoup
d’autres,
ouvert
un
« corner »
dans
un
grand
magasin
et
fait
défiler
des
hommes.
Il
avait
lancé
à
grande
échelle
un
système
de
licences
qui
lui
assurait
une
diffusion
dans
le
monde
entier,
apposant
son
nom
sur
des
produits
aussi
divers
que
des
cravates,
des
cigarettes,
des
parfums
ou de
l’eau
minérale.
Renommé
en
Asie
Il
s’était
très
tôt
tourné
vers
l’Asie
où il
jouissait
d’une
grande
notoriété : il
s’était
rendu
dès
1957
au
Japon,
alors
en
pleine
reconstruction,
et
avait
organisé
des
défilés
en
Chine
dès
1979.
« Suprême
consécration,
il
[fut]
le
premier
couturier
à
entrer
à
l’Académie
des
beaux-arts,
faisant
reconnaître
la
mode
comme
un
art à
part
entière.
En
atteste
aujourd’hui
son
épée
d’académicien
qu’il
a
lui-même
créée
et
sur
laquelle
sont
gravés
les
symboles
de sa
réussite »,
conclut
sa
famille.
Lundi
28
décembre
2020
Souhaitons
à
tous
une
semaine
cool
et
"maigre"
pour
apprécier
les
agapes
du 31
et du
1er
janvier
2021
où la
fête
battra
son
plein
pour
une
grande
majorité
de
Polynésiens
et où
les
repas
auront
été
concoctés
avec
le
plus
grand
soin.
C'est
que
ce
sont
des
dates
que
nul
ne
peut
oublier.
Souhaitons
surtout
que
2021
baignera
la
Polynésie
et le
reste
du
monde
en
guerre,
dans
le
bonheur
de
jours
enfin
tranquilles
pour
certains,
que
les
hommes
oublieront
leur
rancune,
leur
soif
de
batailles
et de
pouvoir,
leur
orgueil
aussi,
afin
de
favoriser
un
sentiment
qui
ne
s'altère
ni
avec
le
temps
ni
avec
les
évènements
en
principe,
l'amitié
pour
les
uns,
l'amour
pour
les
autres.
un
voeu
pieux
!
Je
souhaite
à
tous
mes
amis,
à
tous
mes
confrères,
proches
ou
lointains,
à ma
famille,
à
Gaston
Flosse
qui
frise
les
90
ans
d'un
pied
alerte,
à
ceux
qui
ont
mauvais
caractère
( il
parait
que
j'en
suis
mais
j'en
doute
!) de
devenir
en
2021,
"la
crème
des
hommes
et
des
femmes"
comme
disait
ma
grand-mère
corse
qui
avait
tout
laissé
pour
rejoindre
le
maquis
et se
battre
contre
l'occupant
dans
les
funestes
années
1940/42,
paix
à son
âme.
Mais
aussi
que
2021
ne
soit
que
du
bonheur,
grâce
à une
santé
de
fer
pour
tous,
contre
laquelle
les
coups
du
sort
viendront
se
fracasser..
Après
tout,
"why
not"
!!!
Vendredi
25
décembre
2020
:
Trop,
c'est
trop,régime
toute
la
semaine
pour
atteindre
sain
et
sauf
le
1er
janvier
2021
!
Jeudi
24
décembre
2020
:
Etat
du coronavirus
: 56
nouveaux
cas,
60
hospitalisations,
16.466
cas
cumulés, 107
décès
(
c'est
beaucoup!)
On ne
sera
pas
tous
heureux
ce
soir
!
Une
heure
plus
tard
: 84
nouveaux
cas,
52
hospitalisations,
108
décès,
16.550
cas
cumulés
A ce
jour
tous
les
compteurs
économiques
sont
au
rouge.
De
nombreuses
entreprises
annoncent
une
perte
de
leur
chiffre
d'affaires
de
50%.
Le
confinement
du
mois
de
mars
a
fait
des
dégâts
dans
le
milieu
économique.
Les
plus
touchées
des
entreprises
vont
obtenir
une
aide
du
pays
afin
d'éviter
des
licenciements.
Signature
de
convention
pour
l’avance
en
compte
courant
à
Tahiti
Nui
Hélicoptère
Le
Président
Edouard
Fritch
et le
président
directeur
général
de
Tahiti
Nui
Helicopters,
Mathieu
Bechonnet,
ont
signé,
jeudi
matin,
une
convention
relative
à
l’avance
en
compte
courant
octroyée
par
le
Pays
à
Tahiti
Nui
Helicopters.
La
signature
s’est
déroulée
en
présence
également
du
ministre
des
Finances
et de
l’Economie,
Yvonnick
Raffin.
Cette
convention
porte
notamment
sur
les
modalités
de
versement
de
cette
avance
en
compte
courant
de
200
millions
Fcfp.
Ces
moyens
financiers
vont
notamment
permettre
de
garantir
l’activité
des
transferts
sanitaires
des
habitants
des
îles
autres
que
Tahiti,
notamment
celles
des
Marquises,
vers
le
Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française.
Subvention
à
l’Agence
immobilière
sociale
de
Polynésie
française,
Rahu
Ora
Sur
proposition
du
ministre
du
Logement,
le
Conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
de
150
millions
Fcfp
en
faveur
de
l’association
Rahu
ora,
l’Agence
immobilière
sociale
de
Polynésie
française,
correspondant
à la
deuxième
tranche
de la
subvention
annuelle
prévue
pour
cette
association.
L’association
a
pour
activité
de
louer
des
logements
auprès
de
propriétaires
privés
et de
les
mettre
à
disposition
de
familles
modestes
connues
des
services
sociaux
et
répondant
aux
critères
d’éligibilité,
moyennant
une
participation
financière
de
leur
part,
qui
peut
correspondre
à un
tiers
du
loyer
ou à
un
tiers
des
revenus
du
ménage.
A cet
effet,
une
subvention
annuelle
de
300
millions
Fcfp
est
ainsi
prévue
pour
l’association,
afin
de
lui
permettre
de
compléter
les
loyers
des
biens
loués
et
d’intervenir
sur
les 3
volets
suivants
:
-
Volet
« urbain »
(jusqu’à
200
logements),
pour
rapprocher
les
familles
des
organismes
de
formation
ou de
leur
lieu
d’activité
professionnelle
-
Volet
« rural » (jusqu’à
25
logements),
pour
les
familles
qui
forment
le
projet
de
s’investir
dans
un
projet
d’exploitation
agricole
-
Volet
« étudiants »
(jusqu’à
50
logements),
pour
compléter
l’offre
de
logements
existante
(Université
de la
Polynésie
française,
Institut
de la
Jeunesse
et
des
sports
de la
Polynésie
française),
destinée
essentiellement
aux
étudiants
post-bac,
effectuant
des
études
supérieures.
Cette
subvention
a été
scindée
en 2
tranches
de
150
millions
Fcfp
chacune
pour
répondre
rapidement
aux
besoins
budgétaires
liés
à la
Covid-19.
La 1ère
tranche,
déjà
versée,
a
concerné
essentiellement
les
dépenses
relatives
au 1er
semestre
2020.
Celles
liées
au
second
semestre
ont
donc
nécessité
le
versement
de
cette
2ème
tranche.
Premier
bilan
des
formations
mises
en
oeuvre
par
le
SEFI
pour
les
personnes
sans
domicile
fixe
Depuis
le 4
décembre
2017,
5
formations
professionnelles
comprenant
de la
remobilisation,
de la
remise
à
niveau
ainsi
que
des
stages
pratiques
en
entreprises,
ont
été
mises
en
place
par
le
SEFI,
à
destination
d’un
public
extrêmement
éloigné
de
l’emploi,
le
public
des
sans
domicile
fixe
(SDF).
Chacune
de
ces
formations
a
fait
l’objet
de
réajustements
successifs
et
d’un
accompagnement
personnalisé,
pour
mieux
répondre
à
l’attente
et
aux
besoins
de ce
public
particulier
en
vue
de
son
insertion
sociale
et
professionnelle.
De
fait,
de
véritables
parcours
sur
mesure
ont
été
bâtis
pour
répondre
au
mieux
à la
situation
personnelle
de
chacun,
afin
d’essayer
d’atténuer
un à
un
les
freins
périphériques
à
l’emploi,
l’objectif
étant
leur
insertion
professionnelle.
Ainsi,
55
personnes
ont
bénéficié
de
formations.
A
l’issue
de
celles-ci,
38
stagiaires
SDF
sur
les
55
sont
allés
au
terme
de
leur
formation,
soit
un
taux
de
réussite
de
70%,
4
personnes
ont
obtenu
directement
un
contrat
de
travail
à
l’issue
de la
formation,
et 20
CAE
ont
été
accordés
en
fin
de
formation,
dans
le
secteur
marchand.
En
outre,
3
personnes
ont
été
orientées
vers
la
COTOREP
et
bénéficient
d’une
reconnaissance
de
travailleur
handicapé
en
milieu
adapté
ou
ordinaire
avec
des
mesures
d’aide
adaptées
(SITH).
Mercredi
23
décembre
2020
Et le
voilà
le
jour
tant
attendu,
il
arrive
auréolé
de
pluie
le
23,
avant-veille
du
jour
de
Noël
que
la
majorité
des
gens
fête
sans
plus
se
souvenir
de ce
pourquoi
ils
le
fêtent
!
Mais
à
Tahiti
le
soleil
et la
lune
manquent
à
l'appel
laissant
la
place
a la
pluie
qui
s'est
invitée
depuis
48h.
Ce
n'est
pas
coutumier
bien
que
ce
soit
l'époque
des
pluies.
Cette
pluie
là à
plus
de
vices
que
de
vertus.
Les
piscines
débordent,
les
plantes
sont
saoules,
les
rues
sont
dangereuses,
les
commerçants
la
maudissent
alors,
histoire
de
faire
un
geste
sympathique,
elle
s'arrête,
puis
reprend
quand
vous
pensez
que
c'est
fini,
plus
fort
encore.
Les
artificiers
vont
avoir
du
mal à
faire
partir
leur
feu
d'artifice
qui
n'a
d'ailleurs
pas
sa
place
à
Noël.
Chacun
son
programme.
A
Noël
une
bonne
partie
des
gens
les
plus
religieux
sont
à
l'église,et
pour
la
veille
du
jour
de
l'An,
qui
n'a
jamais
promis
une
année
sympathique
bien
que
des
millions
de
gens
se la
souhaitent
"bonne",
les
pétards
sont
rois.
Attachez
vos
chiens
ou
gardez
les
avec
vous
si
vous
les
aimez.
Quant
au
Covid,
il
déprime...
Que
voulez-vous
une
majorité
de
personnes
,
petits
et
grands,obéissants
aux
mots
d'ordre
restent
chez
eux.
Les
virus
ont
l'estomac
dans
les
talons,
pas
ceux
qui
font
la
fêtent
Que
voulez-vous
on ne
peut
pas
plaire
à
tout
le
monde
et
surtout
pas
au
Covid
19 !
Alors
bonnes
fêtes,
à la
maison
!
PS
Vous
pouvez
aller
faire
votre
shopping
chez
Carrefour
et
chez
Champion,
ça
marche
!
"Le
plan
France-relance"
dont
certains
appels
à
projets
sont
d'ores
et
déjà
applicables
en
Polynésie
s'articule
autour
de
trois
volets
:
l'écologie,la
compétitivité,
et la
cohésion.
Les
mesures
de ce
plan
entreront
en
vigueur
progressivement
jusqu'en
2022
mais
certains
appels
à
projets
du
Plan-France
relance,
sont
dès
aujourd'hui
applicables
en
Polynésie
française.
Yvonnick
Raffin
à
propos
de
l'impôt
sur
le
revenu,
tel
le
serpent
qui
se
mort
la
queue
à
épisodes
réguliers,à
dit
avec
bon
sens
: "
Je
ne
suis
pas
convaincu
que
procéder
par
mimétisme
par
rapport
aux
dispositions
nationales
soit
opportun".
Bien
vu !
Par
ailleurs
,
comme
d'autres
avant
lui,
il
est
persuadé
qu'il
y a
des
enseignements
à
tirer
de la
crise
actuelle
pour
modifier
au
mieux,
l'avenir
du
gouvernement
en
2021.
Impôt
sur
le
revenu
et
caisse
de
chômage
ne
sont
donc
pas à
l'ordre
du
jour.
Deux
cardinaux
dans
l'entourage
du
pape
positifs
au
Covid-19.
Dieu
n'épargne
pas
les
siens
!
Opération
solidarité
Le
cyclone
Yasa,
de
catégorie
5, a
frappé
l’île
de
Vanua
Levu,
à
Fidji,
le
jeudi
17
décembre
au
matin
précipitant
des
milliers
de
Fidjiens
dans
le
dénuement.
Le
gouvernement
fidjien
a
émis
le 21
décembre
un
appel
aux
dons
adressé
à
toutes
les
ambassades
et
aux
organisations
régionales
et
internationales
basées
à
Suva,
à
Fidji,
dont
le
Forum
des
îles
du
Pacifique.
Le
Président
Edouard
Fritch
a
annoncé
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
mardi
22
décembre,
que
le
Pays
allait
apporter
une
aide
en
nature
à la
population
de
Fidji,
avec
un
budget
pour
cette
opération
de 15
millions
de
Fcp.
Des
étudiants,
artistes
et
influenceurs
sur
les
réseaux
sociaux,
en
Polynésie,
ont
souhaité
également
s’associer
à
cette
opération,
pour
faire,
en
partenariat
avec
le
gouvernement
de la
Polynésie
française,
un
appel
à la
solidarité
à
tous
les
Polynésiens.
Solidarité
Fidji
2020
est
donc
un
appel
aux
dons
de
vêtements
divers
de
toutes
tailles
à
destination
des
habitants
des
îles
Fidji,
sous
le
haut
patronage
de la
Croix
Rouge
et du
Gouvernement
de la
Polynésie
française.
Ces
dons
pourront
être
déposés
soit
dans
les
mairies
des
communes
de
Tahiti
au
plus
tard
samedi
26
décembre
2020
à
midi
au
plus
tard,
soit
à la
Présidence
de la
Polynésie
française,
par
l’entrée
côté
Socredo,
(chapiteau,
à
l’arrière
du
bâtiment
principal),
jusqu’au
dimanche
27
décembre
à
midi,
soit
à
Aorai
Tini
Hau à
partir
du
mercredi
23
décembre
2020
jusqu’au
dimanche
27
décembre
2020
à
midi.
Compte-tenu
des
délais,
l’appel
aux
dons
n’est
destiné
qu’aux
habitants
de
Tahiti
et
Moorea.
Le
départ
du
navire
Tahiti
Nui,
qui
acheminera
les
dons,
est
prévu
le
lundi
28
décembre
2020
à
midi.
Dimanche
20
décembre
2020
Miss
Normandie
élue
Miss
France
2021,
aucune
miss
des
Outre-mer
dans
le
palmarès
Après
la
brune
tahitienne
Vaimalama
miss
France
2020,
voici
la
blonde
Miss
Normandie,Amandine
Petite
élue
Miss
France
2021,
lors
du
prestigieux
concours
La
nouvelle
miss
France
2021,
la
blondeur
de la
Normandie
Pour
les
100
ans
du
concours
de
beauté,
les
Outre-mer
ne
seront
malheureusement
pas
représentés
dans
le
palmarès,
après
deux
années
marquées
par
les
règnes
de la
Guadeloupéenne
Clémence
Botino
et de
la
Tahitienne
Vaimalama
Chaves.
C'est
Miss
Normandie
qui
remporte
le
titre
de
Miss
France
2021.
Elles
étaient
sept
candidates
pour
représenter
les
Outre-mer,
mais
aucune
n'a
malheureusement
atteint
le
tant
convoité
podium
de
Miss
France
2021.
C'est
Amandine
Petit,
Miss
Normandie, qui
a
finalement
obtenu
la
couronne
lors
de
cette
91ème
élection.
Miss
Provence est
la
1ère
dauphine,
suivie
de
Miss
Côte
d'Azur, deuxième
dauphine.
Courrier
de la
Réunion.
Nicole
Dubarry,
la
plume
plutôt
acérée
vit
et
écrit
dans
le
journal
de la
Réunion.
Nous
publions
ci-dessous
ses
remarques
sur
la
télévision
notamment
sur
un
surplus
de
pubs
! Pan
sur
le
bec !
PRÉCARITÉ
ET
TÉLÉVISION
Devenu
l’outil
premier
du
mensonge
et de
la
bêtise
, la
télévision
a une
urgence
absolue
:
faire
jaillir
une
étincelle
de
connaissance
et de
vérité
dans
ce
monde
ou la
précarité
gagne
de
plus
en
plus
de
terrain
et où
la
société
est
de
plus
en
plus
malade
de
ses
excès
Lors
d’un
discours
Emmanuel
Macron
avait
dit
parlant
de la
télévision
: « C
‘est
la
honte
de
notre
République
»
il
est à
présent
président
rien
a
changé
C’est
une
arme
de
destruction
massive
des
relations
humaines
.
Beaucoup
laisse
la
télé
organiser
leur
temps
de
loisir
,pourtant
elle
nous
plombe
le
moral
quand
le
ministre
de la
santé
énumère
le
nombre
de
morts
du
Covid
19 ,
plus
toutes
les
enquétes
criminelles
ou
l’on
voit
des
meurtres
en
direct
,
quel
impact
sur
les
jeunes
cerveaux
dont
la
sensibilité
est
en
baisse
croissante!
Quand
le
sordide
et
l’atteinte
à la
dignité
font
de
l’audit
mat
qu’elle
importance
!
Toutes
les
émissions
sans
exception
et
tout
naturellement
sont
entrecoupées
de
pubs.
Pubs
mensongères
pour
la
majorité
,
véritables
traques
boulimiques
de
profits
,fléau
absolu
de
notre
société
de
consommation
:des
pubs
renouvelées
sans
cesse
toutes
plus
idiotes
les
unes
que
les
autres
mais
grand
pouvoir
de
nuisance
:
abrutissement
complet
du
téléspectateur
déjà
hébété
par
la
médiocrité
du
programme
Alors
à
quand
un
bon
film
,
une
bonne
pièce
de
théâtre
mais
pas
déjà
vue
et
pas à
23 h
ms a
20 h
comme
en
métropole
on
peut
toujours
rêver
!!!!!!!
Pour
finir
sur u
ne
note
optimiste
et
malgré
l’austérité
et le
covid
qui
nous
guette
,
espérons
qu’en
cette
période
de
fêtes
notre
télévision
se
mettra
sur
son
31 et
nous
délivrera
un
grand
nombre
d’émissions
nouvelles
ruisselantes
de
musique
de
joie
de
paillettes
et
d’amour
afin
d’
illuminer
les
yeux
des
enfants
...et
les
nôtres
!
Joyeuses
fêtes
Nicole
Dubarry
Jeudi
17
décembre
2020
Emmanuel
Macron
a été
diagnostiqué
positif
au Covid-19.
Un
manque
de
respect
du
virus
envers
la
République
(sic!)
Le
président
de la
République
s’est
placé
en
isolement,
mais
« continuera
de
travailler ».
Le
premier
ministre,
Jean
Castex,
s’est
lui
aussi
isolé.
Etat
du
covid
19 :
144
nouveaux
cas,
16.118
cas
confirmés,
54
hospitalisations,
101
décès
Tahititoday
souhaite
à
tous
ses
lecteurs
de
très,
très
bonnes
fêtes
de
fin
d'année
et en
particulier
un
excellent
Noël.
A
propos
Le
nouvel
aménagement
de
l'esplanade
"Jacques
Chirac"
comme
l'avait
baptisé
dès
le
départ
Gaston
Flosse
l'avait
inspiré
sans
lui
donner
le
temps
de
réaliser
son
projet,
Michel
Buillard,
le
maire
de la
ville,
l'a
fait.
Les
invités
se
bousculaient
hier
lors
de
"l'ouverture
des
portes",avec
le
coup
de
ciseau
du
traditionnel
ruban
de
fleurs,
mais
le
promoteur
originel
n'a
pas
été
invité
à
célébrer
ce
qu'il
avait
programmé
il
y a
quelques
années.
Dommage
que
les
haines
d'amour
propre
soient
aussi
bétonnées
dans
le
coeur
de
certains
élus
polynésiens.
La
rancune
est
mauvaise
conseillère,
la
grandeur
d'âme
a
perdu
son
chemin
habituel,
celle
du
coeur,
la
réalisation
au
top
et
ceux
qui
n'avaient
jamais
pensé
à
utiliser
cet
emplacement
comme
les
Buillard,
Bouteau
etc..
péroraient
comme
s'ils
étaient
"papa,
mama"
du
projet.
Astap
!
Mais
le
principal
finalement,
c'est
qu'ils
aient
mené
le
projet
Flosse
à sa
finalité.
Coût
: un
milliard.
Rien
n'est
gratuit
à
Papeete.
Cette
esplanade
"
Jacques
Chirac"
a
donc
été
financée
par
le
port
autonome
sur
fonds
propre,
le
maire
de la
ville
n'ayant
pas
mis
un
sou..
L'ancien
président
n'ayant
pas
été
invité,
bien
sûr,
car
il
aurait
pu
détourner
l'attention
des
invités
sur
sa
personne
en
lieu
et
place
de
celle
des
vedettes
(sic)
actuelles,
les
invités
ont
été
sélectionnés
avec
soin,
car
on
gouverne
mieux
les
hommes
par
leur
orgueil
à
cuire
sous
le
soleil
que
par
leurs
vertus.
Ainsi
va la
vie
en
Polynésie,
le
principal
étant
la
concrétisation
petit
à
petit
de
l'embellissement
du
port
et de
la
ville,
il
n'est
que
temps,
a
partir
des
trottoirs
qui
en
ont
bien
besoin.
Prochaine
étape
prévue
il y
a
quelques
mois
par
le
président
du
pays,
les
gratte-ciels
sur
le
front
de
mer
(sic!!!).
L'ambition
n'a
pas
de
limite
à
force
de
rêver
de
Hawaï.
Flosse
imaginait,
lui,
de
faire
les
mêmes
jardins
à son
retour
de
Honolulu
à
l'aide
de
photos
prises
par
des
photographes
professionnels.
Edouard
Fritch
beaucoup
plus
ambitieux
rêve
de
faire
les
mêmes
"skyscrapers".
Chacun
ses
goûts.
En
attendant,
notre
voisine
les
Fidji
, est
balayée
par
le
super
cyclone
Yasa
l'un
des
plus
puissants
jamais
enregistrés
dans
le
Pacifique
sud
avec
des
rafales
terrifiantes
de...
345
Km/h,
générant
des
vagues
géantes
de 10
mètres
de
haut
selon
les
services
météorologiques.
Quid
de la
population
?
Pauvres
gens...
Le
code
électoral
fait
loi
Le 20
octobre
dernier,
le
tribunal
administratif
de
Papeete
avait
annulé
l'ensemble
des
élections
de
maires
délégués
qui
ne
respectaient
pas
la
nouvelle
mouture
du
code
électoral.
En
effet,
plusieurs
majorités
au
conseil
municipal
n'avaient
pas
respecté
la
loi
portée
par
la
sénatrice
Tapura
en
2016
pour
éviter
l'élection
de tāvana
délégués
issus
d'une
minorité
dans
les
communes
associées.
Pour
autant,
les
maires
fautifs
ne
semblent
toujours
pas
résolus
à
appliquer
la
loi,
puisque
nombre
d'entre
eux
ont
fait
appel
de la
décision
du
tribunal
administratif,
malgré
les
précisions
sans
appel
du
code
électoral
et de
la
juridiction
administrative…
Si
Tahiti
Infos
s'était
déjà
fait
l'écho
d'une
vague
d'appel
dans
les
communes
associées
de
Taha'a,
pourtant
à
majorité
Tapura,
il
faut
ajouter
à la
liste
les
appels
des
maires
de
Taiarapu
Est,
Hitia'a
o te
ra et
Tumara'a.
Dans
le
détail,
à
Taiarapu
Est,
c'est
l'élue
Béatrice
Lucas
qui
aurait
dû
décrocher
le
siège
de tāvana
déléguée.
À Hitia’a
o te
ra,
un
grand
remue-ménage
avait
été
ordonné
dans
les
communes
associées
de
Tiarei,
Mahaena
et
Hitia’a
où
des
listes
d’opposition
étaient
arrivées
en
tête,
respectivement
conduites
par
Dauphin
Domingo,
Victor
Tchoung
et
Alphonse
Seminadame.
Et à
Raiatea,
l’élection
de la
maire
déléguée
de
Tehurui
avait
été
annulée,
dans
la
commune
de Tumara'a.
Léontine
Ebera,
colistière
Tapura
Amui
et
proche
de
Cyril
Tetuanui
avait
été
déchue
au
profit
de
Rino
Opara.
Un
jeu
de
chaises
musicales
qui
attendra
donc
les
décisions
de la
cour
d'appel.
Rappelons
qu'à l’issue
du
dernier
scrutin
des
municipales,
nombreux
sont
les
maires
qui
ne
s'étaient
pas
résolus
à
suivre
les
dispositions
de la
loi
de
2016
relative
à
l’élection
des
conseillers
municipaux
dans
les
communes
associées
de la
Polynésie
française.
Le
texte
précisait
que
dans
les
communes
associées,
le
maire
délégué
devait
être
choisi
sur
la
liste
arrivée
en
tête
dans
la
section
de
commune
concernée, même
si
cette
liste
n’est
pas
celle
qui a
gagné
les
élections
sur
l’ensemble
de la
commune.
Mercredi
16
décembre
2020
Coronavirus
:
104
nouveaux
cas,
15.974
cas
cumulés,
56
hospitalisations
et 98
décès.
A
propos
Comment
peut-on
laisser
faire
ce
qui
suit
en
2020
?
Aucune
autorité
des
grands
pays
ne
tente
d'y
mettre
fin ?
Mais
que
de
souffrances
d'un
autre
âge
pour
certaines
femmes,enfants
et
hommes.
est-ce
tolérable
?
Non.
Seuls
les
maîtres
du
monde
pourraient
stopper
l'engrenage,
mais
ils
ne le
font
pas.
Lisez
c'est
édifiant.
Les
négriers
existent
toujours.
ONG =
ASSOCIATION
de
VOYOUS
L' Aquarius
est
un
ex-garde-côtes
allemand,
maintenant
propriété
de
l’entreprise
allemande
«
Jasmund
Shipping
» qui
l’a
immatriculé
à
Gibraltar
(paradis
fiscal)
et le
loue
à «
SOS
Méditerranée
»
(ONG
grassement
subventionnée).
Il
est
basé
à
Catane
en
Sicile
où il
attend,
rarement
plus
de
quelques
heures,
que
lui
soit
signalé
en
quel
point
précis
de la
côte
libyenne
ou il
doit
aller
chercher
son
fret
:
des
humains
que «
Jasmund
Shipping
»
facture
aux
ONG
3.000
€ -
par
tête
-
pour
le
transport
d’Afrique
en
Europe.
Car
il va
de
soi
que,
ces
pauvres
migrants
n’ayant
pas
les
moyens
de
payer
leur
transport
:
c’est
que
quelqu’un
d’autre
paie
pour
eux.
C’est
là
que
les
choses
deviennent
obscures.
Mais
ce
qui
est
certain,
c’est
que
depuis
le
départ
de
leur
village
jusqu’au
débarquement
dans
les
ports
de
l’Europe,
ils
n’ont
pas
déboursé
un
sou.
Le
schéma
est
le
suivant:
Des
rabatteurs
payés
par
les «
ONG
humanitaires
»
repèrent
dans
les
villages
majoritairement
sub-sahariens
et
d’Afrique
occidentale
des
jeunes
hommes
de
préférence
vigoureux,
comme
le
malien
Mamoudou
Gossama.
Ils
leur
font
miroiter
une
vie
formidable
en
Europe
qui
leur
permettra
de
vivre
confortablement
et
d’envoyer
de
l’argent
à
leurs
familles.
Un
pourcentage
de
jeunes
femmes
et
d’enfants
− de
l’ordre
de
10%
de
l’effectif
− y
est
ajouté
pour
avoir
de
quoi
faire
des
photos
et
des
vidéos
de
propagande
dramatiques
en
cas
de
problème.
Elles
feront
pleurer
les
foules
occidentales
pour
convaincre
les
peuples
européens
et
leurs
gouvernements
qu’il
est
inhumain
de
refuser
l’accueil
à ces
pauvres
«
réfugiés-naufragés
»
Ce
schéma
«
idéal
» est
un
DOUBLE-MENSONGE
Ils
ne
sont
ni
réfugiés
(mais
migrants
économiques),
ni
naufragés
(puisque
leur
naufrage-sauvetage
est
soigneusement
programmé).
Chassez
le
naturel…
Chargés
en
surnombre
dans
des
camions,
ils
sont
acheminés
en
Libye.
Là
ils
sont
enfermés
dans
des
conditions
inhumaines,
voire
des
cages,
et un
tri
est
effectué.
Une
partie
des
jeunes
mâles
et
les
plus
jolies
des
filles
sont
achetés
par
des
trafiquants
arabes
qui
les
revendent
à
d’autres
esclavagistes
arabes
jusqu’en
Arabie
et
dans
certains
Émirats.
Il
s’agit
là de
la
perpétuation
de la
multiséculaire
traite
d’esclaves
arabo-musulmane
autorisée
par
le
Coran.
Attention
: on
ne
dit
pas
n’importe
quoi
s’il
vous
plaît
!
Au
cours
du
voyage,
les
futurs
assistés
de la
générosité
européenne
sont
briefés
:
1.
jouer
les
victimes
de la
misère,
de
l’oppression
politique,
sociale,
sexuelle
ou
religieuse
dans
leur
pays
d’origine
;
2.
ne
pas
dire
un
mot
sur
la
gratuité
du
voyage
et au
contraire,
raconter
qu’il
leur
en a
coûté
2.000
€ ;
3.
ne
pas
parler
tout
de
suite
de
leurs
maux
physiques
(maladies
graves
et
contagieuses,
parasites
comme
la
gale,
MST,
etc.)
;
4.
cacher
qu’ils
ont
reçu
100
ou
200 €
avant
de
débarquer.
Un
téléphone
portable
ou
une
tablette
en
anglais,
arabe,
français
et
persan
+ une
liste
d’adresses
et de
numéros
de
téléphone
(2)
d’autres
associations
et de
services
publics
dans
les
villes
du
pays
où
ils
envisageaient
d’aller…
Les
habitants
de
Valence
et
environs,
où
ont
débarqué
les
Africains
de l’Aquarius,
ont
été
surpris
de
les
voir
sortir
des
billets
de 50
et
100 €
pour
payer
alcools,
restaurants,
cigarettes.
Environ
un
tiers
des
migrants
ont
disparu
très
vite
dans
la
nature,
jetant
dans
les
poubelles
de la
ville
les
vêtements
gris,
noirs
et
rouges
trop
voyants
que
leur
avait
donné
la
Croix
Rouge
espagnole.
QUI a
intérêt
à
financer
ce
trafic
humain
?
QUI
FINANCE
et
DANS
QUEL
INTÉRÊT
ce
trafic
négrier,
si
les
Noirs
amenés
en
Europe
sont
laissés
en
liberté
à
leur
arrivée
?
À long
terme,
les
entreprises
multinationales
et
les
grandes
entreprises
industrielles
qui
comptent
sur
une
main-d’œuvre
non
qualifiée
ou
formée
aux
frais
des
États,
qui
sera,
quand
elle
sera
devenu
«
employable
»,
payée
au
niveau
le
plus
bas,
ce
qui
contrariera
les
demandes
d’augmentations
salariales
des
ouvriers
européens.
Cette
main
d’œuvre
sera
docile,
au
moins
dans
les
premiers
temps.
Mais
on ne
trouve
pas
de
traces
de
financement
des
ONG
par
les
entreprises.
Pourquoi
vers
l’Europe
?
On
peut
se
demander
pourquoi,
si
l’objectif
de l’Aquarius
est
vraiment
de «
sauver
» des
malheureux
en
perdition,
ne
les
amène-il
pas
vers
les
ports
tunisiens
tout
proches
où
ils
seraient
réconfortés
et
soignés
?
Les
ânes
des
ONG
qui
programment
la
mort
de
l’Europe
D’abord
parce
qu’ils
n’ont
jamais
été
réellement
en
perdition
et,
comme
l’a
déclaré
Sophie
Beau,
porte-parole
de «
SOS
Méditerranée
»,
parce
que
le
droit
d’entrée
en
Tunisie
pour
les
migrants
est
plus
strict
que
les
droits
des
pays
C’est
pourquoi
le
gouvernement
italien
s’interroge
sur
les
rapports
négriers
entretenus
entre
« SOS
Méditerranée
» et
des
passeurs
qui
n’hésitent
pas à
saborder
les
embarcations
pour
placer
les
autorités
européennes
devant
le
fait
accompli.
Et
tous
oublient
l’essentiel
qui
est
de «
réparer
» la
Libye,
pays
détruit
en
2011,
date
de la
funeste
intervention
internationale,
qui
fermait
notre
frontière
sud-est.
Mairie
de
Marseille :
les
dessous
de la
démission
de
Michèle Rubirola
« Si
je ne
me
fais
pas
écraser,
je
serai
là »,
promettait
la
nouvelle
maire
de la
cité
phocéenne
il y
a
encore
deux
mois.
Mardi
15 décembre,
elle
a
pourtant
annoncé
qu’elle
allait
céder
son
poste
à
Benoît
Payan,
son
premier
adjoint
socialiste.
Publié
aujourd’hui
à
06h56,
mis à
jour
à
12h41
Michèle
Rubirola
lors
de
l’annonce
de sa
démission,
à la
mairie
de
Marseille,
le
15 décembre.
FRANCE
KEYSER
POUR
"LE
MONDE"
Le
scénario
ressemble
comme
deux
gouttes
d’eau
à
celui
du
Baron
noir,
ce
cacique
d’un
Parti
socialiste
(PS)
en
ruines
qui,
à
force
de
manœuvres,
réussit,
dans
la
série
française
de
Canal+,
à
accéder
au
pouvoir
tant
convoité.
Mardi
15 décembre,
dix
jours
avant
Noël,
Michèle
Rubirola
a
annoncé
qu’elle
« quittait
ses
fonctions »
et
souhaitait
échanger
sa
place
de
maire
de
Marseille
avec
son
premier
adjoint,
le
socialiste
Benoît
Payan,
qui
n’avait
pas
pu
mener
la
liste
de la
coalition
de
gauche
du
Printemps
marseillais
aux
dernières
élections
municipales.
A
16 h 15,
Michèle
Rubirola
gagne
d’un
pas
qu’elle
veut
décidé
–
elle
boite
en
effet
du
genou
et
vient
de
subir
des
infiltrations
–
la
grande
salle
des
mariages
de
l’hôtel
de
ville
de
Marseille,
où
l’attend
la
presse.
L’élue
écologiste
vient
de
quitter
son
bureau,
au
premier
étage
de la
mairie
– un
bureau
qu’elle
n’a
jamais
vraiment
décoré
ni
investi.
L’inscription
« Monsieur
le
Maire »
n’a
pas
été
modifiée.
Dans
la
grande
salle
des
mariages,
où
une
enfilade
de
cartouches
égrène
les
noms
de
ceux
qui
ont
dirigé
la
ville,
personne
n’a
non
plus
pris
le
temps
d’inscrire
le
sien.
Six
mois
après
son
élection,
Michèle
Rubirola,
première
femme
élue
à la
tête
de la
deuxième
ville
de
France,
ressemblait
toujours
à une
maire
fantôme.
Quand
elle
s’installe
au
pupitre,
dos à
la
Bonne
Mère,
mardi,
le
visage
de la
médecin
de
64 ans
semble
déjà
soulagé.
Elle
fait
face
à un
mur
de
journalistes
qui
attend
la
confirmation
d’une
décision
annoncée
dimanche
après-midi,
dans
la
mairie,
à
Benoît
Payan.
« Je
pars »,
lui
a-t-elle
dit,
en
expliquant
qu’une
opération
du
genou
lui
est
conseillée
début
2021
si
elle
ne
veut
pas
claudiquer
à
vie.
La
nouvelle
est
ensuite
distillée
dans
l’intimité
de
son
bureau
à ses
plus
proches
adjoints,
au
téléphone
à
quelques
amis,
puis
aux
membres
du
groupe
municipal
du
Printemps
marseillais
dans
une
salle
de
l’hôtel
de
ville,
en
début
d’après-midi.
Dans
la
matinée,
Michèle
Rubirola
a
aussi
officiellement
présenté
sa
démission
au
préfet
des
Bouches-du-Rhône.
Et
pris
le
temps
de
joindre
Anne
Hidalgo,
la
maire
de
Paris,
une
autre
femme,
pour
expliquer
les
raisons
de sa
démission
et
peut-être
chercher
un
brin
de
réconfort.
Une
maladie
qu’elle
n’a
jamais
nommée
Devant
la
presse,
elle
invoque
sa
santé.
Une
maladie
qu’elle
n’a
jamais
nommée
et
qui
lui a
valu
une
opération,
en
septembre,
puis
une
convalescence
de
quatre
semaines.
« Ces
épreuves
ne
m’empêchent
pas
de
servir
les
Marseillaises
et
les
Marseillais,
rassure-t-elle,
mais
elles
limitent
l’énergie
que
je
peux
y
consacrer.
Etre
maire
à
Marseille,
c’est
300 %
de
son
temps,
j’en
donne
150 %. »
Inauguration
du
nouvel
aménagement
de
l’esplanade
Chirac
La
cérémonie
s’est
déroulée
en
présence
également
du
ministre
des
Finances
et de
l’Economie,
Yvonnick
Raffin,
de la
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
du
ministre
des
Grands
travaux,
René
Temeharo,
du
président
de
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
Gaston
Tong
Sang,
et du
maire
de la
ville
de
Papeete,
Michel
Buillard.
Ce
nouveau
site
offre
désormais
à la
population
et
aux
visiteurs
des
aménagements
modernes.
Il
accueille
notamment
deux
restaurants,
Le
Moana,
d’une
surface
de
256m²,
pour
une
capacité
de
145
personnes.
Le
restaurant
est
prolongé
par
une
terrasse
deck
sur
l’eau,
et
offrira
une
carte
gastronomique
polynésienne.
Quant
au
deuxième
restaurant
de la
place,
le
Meherio
Tahitian
Bistro,
il
est
situé
au
cœur
de la
marina,
et
dispose
d’une
surface
de
571m².
Le
restaurant
à
l’étage,
et la
terrasse
«
lounge
»
avec
un
bar
en
rez-de-chaussée,
ont
une
capacité
d’accueil
de
360
personnes.
Des
bureaux
du
port,
destinés
aux
plaisanciers,
sont
également
implantés
dans
cette
zone
rénovée.
Situé
à
proximité
de la
marina,
cet
espace
a
pour
objectif
de
rendre
les
formalités
administratives
plus
accessibles.
Les
plaisanciers
pourront
en
effet
bénéficier
d’un
nouvel
espace
d’accueil
et de
sanitaires
neufs.
La
durée
de
travaux
a été
de 2
années,
et le
coût
total
de
l’investissement
de ce
nouveau
site
sur
le
front
de
mer,
a
été
de
1 016 245 583
Fcfp,
financés
par
le
Port
autonome
de
Papeete
sur
fonds
propres.
Les
travaux
de
construction
ont
été
menés
par
l’architecte
Alexis
Nguyen,
qui a
été
désigné
lauréat
du
concours
d’architecte
lancé
en
2014
pour
la
réalisation
de ce
projet.
Ce
nouvel
espace
s’inscrit
dans
l’aménagement
du
front
de
mer
de
Papeete,
mis
en
œuvre
par
le
Pays
et le
Port
autonome,
au
bénéfice
de la
population,
ainsi
que
des
touristes,
croisiéristes
et
plaisanciers
notamment.
Afin
de
garantir
la
continuité
des
soins
à
domicile
aux
personnes
atteintes
de
covid-19
et
prévenir
les
formes
graves
de la
maladie,
le
Pays
a
instauré,
jusqu’au
31
décembre
2020,
des
mesures
dérogatoires
de
prise
en
charge
en
tiers-payant
et à
100%
par
les
régimes
de
protection
sociale
pour
les
actes
suivants:
les
visites
à
domicile
du
médecin
libéral
pour
le
suivi
d’un
patient
atteint
de
covid-19,
les
actes
de
soins
infirmiers
prescrit
par
un
médecin
pour
la
surveillance
clinique
de
prévention
à
domicile
pour
les
patients
atteints
de
covid-19,
la
surveillance
à
distance
pour
le
suivi
de
patients
atteints
de
covid-19
par
tout
moyen
y
compris
téléphonique
afin
de
pouvoir
interpréter
à
distance
les
informations
nécessaires
à
l’évolution
de la
maladie
et
ainsi
pouvoir
adapter
la
prise
en
charge ainsi
que
la
consultation
à
distance
dans
la
limite
d’une
consultation
par
mois
de
patients
placés
en
longue-maladie
pour
un
motif
de
consultation
lié à
leur
pathologie.
Ces
mesures
dérogatoires
seront
reconduites
pour
une
durée
de
trois
mois
supplémentaires,
du 1er
janvier
2021
au
31 mars
2021.
Avance
en
compte-courant
à la
SAS
Tahiti
Nui
Helicopters
Après
un
événement
tragique
en
octobre
2019,
la
mise
en
place
d’une
flotte
d’hélicoptères
en
Polynésie
est
apparue
nécessaire
pour
assurer
les
évacuations
sanitaires
(évasans),
en
particulier
dans
l’archipel
des
îles
Marquises.
Un
tel
dispositif
suppose
en
outre
que
des
moyens
adaptés
soient
mobilisés.
A cet
égard,
l’Assemblée
de la
Polynésie
française,
sur
proposition
du
gouvernement
avait
approuvé,
la
prise
de
participation
de la
Polynésie
française
au
capital
de la
SAS
TNH
(Tahiti
Nui
Hélicoptères)
et à
l’attribution
d’une
avance
en
compte
courant
à
ladite
SAS.
Dans
la
continuité
de
cette
prise
de
participation,
eu
égard
à
l’intérêt
général
poursuivi
par
cette
société
en
matière
de
santé
publique,
il a
été
proposé
d’octroyer
une
avance
en
compte
courant
de
200
millions
Fcfp
à la
SAS
TNH.
Ces
moyens
financiers
permettront
de
garantir
l’activité
des
transferts
sanitaires
des
habitants
des
îles
autres
que
Tahiti,
notamment
celles
des
Marquises,
vers
le
Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française.
Maintien
du
prix
des
hydrocarbures
au 1er
janvier
2021
Dans
un
contexte
marqué
par
une
remontée
des
prix
du
pétrole,
portés
notamment
par
l’augmentation
de la
demande
de
brut
dans
la
perspective
de
reprise
de
l’économie
mondiale
après
l’annonce
de la
diffusion
de
vaccins
contre
la
Covid,
le
Conseil
des
ministres
a
décidé
de
maintenir
les
prix
des
carburants
à
leur
niveau
actuel
pour
le
mois
de
janvier
2021.
Horaires
de
vente
d’alcool
les
23,
24,
30 et
31
décembre
Dans
la
poursuite
du
double
objectif
de
permettre
la
tenue
des
réjouissances
de
fin
d’année
tout
en
garantissant
la
sécurité
sanitaire
de la
population,
le
Conseil
des
ministres
a
autorisé
les
débits
de
boissons
à
emporter
et
titulaires
des
licences
de 1ère
et 2ème
classe
à
vendre
des
boissons
alcoolisées
jusqu’à
20
heures,
au
lieu
de 18
heures,
les
23,
24,
30 et
31
décembre
2020.
La
vente
des
boissons
alcooliques
réfrigérées
et
des
boissons
d’alimentation
réfrigérées
reste
totalement
interdite.
Néanmoins,
cette
interdiction
ne
concerne
pas
les
commerces
de
détail
de
boissons
en
magasin
spécialisé
qui
sont
autorisés
à
vendre
à
emporter
des
boissons
alcooliques
réfrigérées
et
des
boissons
d’alimentation
réfrigérées
dans
les
conditions
définies
au
premier
alinéa
du
présent
article.
Ces
limitations
horaires
n’affectent
que
la
vente
des
boissons
non
hygiéniques.
Subvention
au
profit
de
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
pour
le
financement
de
plusieurs
opérations
Sur
proposition
du
ministre
du
Logement,
le
Conseil
des
ministres
a
octroyé
une
subvention
d'investissement
en
faveur
de
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
pour
financer
plusieurs
opérations:
Remise
en
état
de la
station
d’épuration
de la
résidence
Amoe
Dans
le
cadre
de
ses
actions,
l’Office
Polynésien
de
l’Habitat
va
procéder
aux
études
et
aux
travaux
de
remise
en
état
de la
station
d’épuration
du
domaine
« Amoe »
de la
commune
de
Mahina.
Cet
ouvrage
nécessite
une
réhabilitation
en
urgence
en
raison
notamment
des
risques
sanitaires
liés
aux
défauts
de
fonctionnement
de
cette
station
d’épuration.
Il
est à
noter
que
la
résidence
« Amoe
1 »,
dont
les
travaux
ont
démarré
en
Juin
2020
sera
également
reliée
à
cette
station
d’épuration.
Le
coût
total
de
cette
opération
est
estimé
à
42 millions
Fcfp
et
est
financé
à
100%
par
le
Pays,
pour
une
durée
totale
de 6
mois
de
travaux.
Rénovation
des
stations
d’épuration
des
lotissements
Timiona,
Atima
et
Luine
L’Office
polynésien
de
l’habitat
envisage
la
rénovation
de 3
stations
d’épuration
des
lotissements
« Atima »
de la
commune
de
Mahina,
et de
« Timiona »
et de
« Luine »
de la
commune
de
Papeete.
Cette
nouvelle
opération
consiste
à
prendre
en
compte,
soit
un
état
de
détérioration
aggravé,
soit
une
nécessité
d’augmenter
la
capacité
de
traitement
des
stations
d’épuration
de
Timiona,
Atima
et
Luine.
Le
coût
total
de
cette
opération
s’élève
à
100 000 000
Fcfp
et
est
financé
à
100%
par
le
Pays,
sur
une
durée
totale
de 12
mois
de
travaux.
Construction
de
maisons
de
quartier
pour
des
lotissements
OPH
L’Office
Polynésien
de
l’Habitat
va
procéder
aux
travaux
de
construction
de 4
maisons
de
quartier
pour
les
lotissements
« Mahititi
» de
la
commune
de
Papara,
« Titaviiri »
de la
commune
de
Teva
i
Uta,
« Teroma »
de la
commune
de
Faa’a,
et « Vaitemanu »
de
Uturoa,
à
Raiatea.
L’OPH
souhaite
avec
ces
constructions,
compléter
son
travail
effectué
dans
les
lotissements
afin
de
dynamiser
et
encourager
la
création
d’association
de
locataires.
Le
délai
de
réalisation
de ce
programme
est
de 12
mois
et le
coût
total
de
l’opération
est
de
200
millions
Fcfp
financé
à 100
% par
le
Pays.
Travaux
de
sécurisation
de
talus
de
l’opération
Titioro
Iti
L’Office
Polynésien
de
l’Habitat
envisage
de
réaliser
des
travaux
de
sécurisation
de
talus
de
l’opération
Titioro
Iti
de la
commune
de
Papeete
afin
de
protéger
les
logements
vis-à-vis
du
risque
de
chute
de
blocs.
Le
diagnostic
établi
par
un
géotechnicien
en
2019
mettait
en
évidence
la
présence
de
nombreuses
poches
scoriacées
et
l’état
de
vétusté́
des
protections
situées
en
amont
du
talus.
Les
travaux
comprennent
le
débroussaillage
et la
coupe
des
arbres,
la
purge
des
matériaux
qui
se
détachent,
des
ouvrages
de
gestion
des
eaux
pluviales,
la
remise
en
état
des
protections
existantes
et
enfin
la
sécurisation
par
grillage
plaqué
et
cloué.
Quelques
zones
ponctuelles
seront
gunitées.
Le
Dossier
de
Consultation
des
Entreprises
(DCE)
a
été́
mis
au
point
par
le
géotechnicien
qui
suivra
également
les
travaux.
Le
coût
total
de
cette
phase
de
travaux
est
estimé
à
30 millions
Fcfp
sur
une
durée
de 3
mois.
Mardi
15
décembre
2020
A
propos
Le
mois
de
décembre
représente
la
joie,
les
cadeaux,
les
enfants
qui
rient
de
bonheur
et de
surprise
et
nous,
adultes,
nous
sommes
tristes
quand
on
nous
apprend
la
mort
- en
ce
mois
festif
- de
nos
amis,
confrères
ou
autres
personnes
qui
sont
partis
pour
le
grand
voyage
sans
nous
prévenir.
Rien
ne
peut
jamais
être
parfait.
Mais
aimons
ceux
qui
nous
restent
et
apprécions
l'amitié
qu'ils
nous
apportent
et
que
nous
leur
rendons
bien.
Oublions
les
mauvais
coucheurs,
les
jaloux,
ceux
qui
pensent
tout
savoir
mais
qui
ne
savent
rien,
oublions
d'être
féroces
avec
nos
adversaires
et
modifions
un
peu
le
bon
mot
de
Voltaire
:Les
hommes
ressemblent
aux
girouettes.
Ils
se
fixent
quand
ils
se
rouillent
!"
Non,
non
pas
tous
ne se
rouillent.
il
fallait
bien
que
je le
dise
avant
de me
faire
hacher
menu
dans
cette
période
où
tout
doit
être
brillant
festif,
amical,
après
tout
je
n'ai
fait
que
plagier
Voltaire
mais
en
modifiant
un
mot
par
un
autre
car
Voltaire
parlait
des
femmes
et
non
des
hommes
bien
sûr!!!!
.
Donc
je
suis
à
l'abri
de la
vindicte
masculine...ouf
!
Dany
Dana,
président
de
l"association
Papeete
centre-ville
n'a
pas
l'air
inquiet
si
l'on
en
croit
son
large
sourire
à
côté
du
titre
des
Nouvelles
"
les
commerçants
de
Papeete
inquiets".
C'est
parce
qu'il
fait
confiance
aux
autorités
pour
redonner
"la
liberté
d'entreprendre
aux
commerçants"
en
faisant
lever
certaines
mesures
contraignantes
pour
animer
la
ville.
Dieu
le
bénisse
! Il
faut
en
profiter
c'est
l'époque
des
prières.
Or
déjà
une
quinzaine
de
commerces
ont
mis
la
clé
sous
la
porte
sur
un
total
de
300.
Les
plus
fragiles
financièrement
surtout
quand
il
faudra
rembourser
les
prêts
et
que
les
clients
feront
le
compte
de ce
qui
leur
reste
après
les
fêtes.
Qu'importe
tant
qu'il
y a
de la
vie,
y a
de
l'espoir...
La
présidente
du
tribunal
a de
l'humour,
c'est
toujours
sympathique
à la
place
qu'elle
occupe
et de
plus,
elle
a
fait
plaisir
aux
policiers
en
disant
: "Les
policiers
ne
sont
pas
payés
pour
se
faire
taper
dessus"
en
général
c'et
le
contraire!
mais
la
pêche
de
ces
derniers
jours
a été
bonne.
900
grammes
d'ice
saisis,
c'est
énorme
et
sept
individus
en
garde
à
vue.
Comme
quoi
les
uns
comme
les
autres
croient
toujours
qu'ils
passeront
à
travers
les
mailles
du
filet.
C'est
ignorer
le
coup
de
poignet
assuré
des
forces
de
l'ordre
a
lancer
le
dit
filet
! Des
professionnels
!
Banner,
le
chef
de la
police,
se
frotte
les
mains
!
Etat
du
coronavirus
à
Tahiti
:123
nouveaux
cas :
15.870
cas
cumulés
: 56
hospitalisations
: 97
décès
La
ministre
du
Tourisme
et du
Travail
reçoit
le
nouveau
directeur
de
l'antenne
polynésienne
de l'IEOM
La
ministre
du
Tourisme
et du
Travail,
Nicole
Bouteau,
a
reçu,
lundi
matin,
le
nouveau
directeur
de
l’antenne
polynésienne
de
l’Institut
d’émission
d’Outre-mer
(IEOM),
Fabrice
Dufresne,
qui a
succédé
en
octobre
dernier
à
Claude
Periou.
Cette
rencontre
a été
l’occasion
d’échanger
sur
la
situation
économique
de la
Polynésie
française
dans
un
contexte
de
crise
sanitaire
qui
aura
marqué
l'année
2020
et
impacté
fortement
l'économie
polynésienne.
La
ministre
a
dressé
un
bilan
de
l'activité
touristique
et
évoqué
les
perspectives
de
reprise
liées
dont
le
niveau
dépendra
de
l'évolution
de la
pandémie
dans
le
monde.
La
situation
de
l'emploi
a
également
été
au
centre
de
leurs
échanges
ainsi
que
les
mesures
de
soutien
aux
entreprises
polynésiennes
mises
en
place
tant
par
le
Pays
que
par
l’État,
ce
dernier
apportant
notamment
sa
garantie
dans
le
cadre
des
PGE
déployés
dans
le
cadre
de la
crise
que
traverse
la
Polynésie.
Ce
sont
ainsi
50
milliards
Fcfp
qui
ont
été
déployés
en
faveur
des
établissements
de
crédit
de la
place.
Nicole
Bouteau
a
invité
le
directeur
de
l'Institut
à
participer
aux
réunions
régulières
de
l'observatoire
du
tourisme.
Fabrice
Dufresne
s'est,
quant
à
lui,
proposé
d'intervenir
à
l'occasion
de
ces
rencontres
ou de
réunions
"stratégiques",
afin
de
partager
les
analyses
macroéconomiques
de l'IEOM.
Visite
des
structures
du
programme
Rori-aqua:
une
filière
prometteuse
Le
Vice-président
et
ministre
de
l’Economie
bleue,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
a
visité,
mardi,
la
première
écloserie
de
rori
titi
installée
à
Vaiaro
où
les
premières
pontes
ont
été
constatées.
Les
holothuries
à
mamelles
blanches
et
noires
(Holothuria
fuscogilva
et
Holothuria
whitmaei),
connues
sous
les
noms
de
rori
titi
‘uo
‘uo
et
rori
titi
‘ere
‘ere
sont
les
principales
espèces
pêchées
en
Polynésie
française
et
font,
depuis
2012,
l’objet
d’une
réglementation
en
matière
d’exploitation:
ouverture
temporaire
à la
pêche,
quotas
et
zones
définies,
mise
en
place
d’un
comité
local
avec
un
système
de
traçabilité.
Soucieuse
de
renforcer
sa
réglementation
et
d’inscrire
pleinement
cette
pêche
dans
une
démarche
d’exploitation
durable,
la
Direction
des
ressources
marines
(DRM)
va
lancer
plusieurs
études
sur
le
renouvellement
des
populations
exploitées
(données
biologiques
et
écologiques).
Les
résultats
obtenus
participeront
à une
meilleure
compréhension
et
protection
de
notre
écosystème
avec
la
possibilité
d’un
repeuplement
de
nos
lagons.
En
parallèle,
la
DRM
développe
un
programme
de
production
aquacole
appelé
Rori-Aqua.
Ce
projet
porté
par
le
Pays
s’appuie
sur
une
convention
de
collaboration
avec
un
investisseur
polynésien,
Auguste
Buluc,
et sa
société
Tahiti
Marine
Products
(TMP)
sélectionnée
après
appel
à
projets.
Ce
programme
collaboratif
intègre
également
l’Ifremer
qui
accueille
le
projet
sur
le
Centre
Ifremer
du
Pacifique
de
Vairao,
la
commune
de
Taiarapu-Ouest
et
les
pêcheurs.
Originaire
des
îles
Sous-le-Vent
et
professionnel
de la
pêche,
Auguste
Buluc
souhaite
développer
l’élevage
de
rori
afin
d’exploiter
les
propriétés
de
ces
espèces
dans
la
pharmacologie
et la
cosmétologie.
L’objectif
est,
à
terme,
de
proposer
à
l’export
des
produits
développés
en
laboratoire
sur
la
zone
biomarine
de
Faratea.
TMP
compte
aujourd’hui
quatre
employés
(un
biologiste
spécialiste
des
rori,
un
technicien
aquacole
polynésien
et
deux
aide-techniciens
de
Vairao),
complétés
par
un
appui
du
Pays
avec
deux
CAE
de
Vairao.
Il
s’agit
pour
cet
investisseur
privé
d’un
pari
audacieux
et
courageux
puisque
cette
filière
est
inexistante
à ce
jour
en
Polynésie
française
bien
qu’elle
s’annonce
prometteuse
au
regard
des
premiers
essais.
Bernard
Dumortier
un
ancien
journaliste
de la
Dépêche
écrit
:
Triste
d'apprendre
la
disparition
de
Jean-Claude
Soulier
et
Veerner
Bringold.
Je
les
avais
revus
tous
les
deux
lors
de
mon
dernier
passage
au
fenua
en
2005...
Jean-Claude
un
bon
localier
à
l'ancienne,
apprécié
et
qui
connaissait
tout
le
monde.
Weerner,
ancien
légionnaire,
baroudeur
et
accro
de la
photo
et à
la
bière...
La
fin
d'une
époque.
On le
les
oublie
pas.
Biz.
Bernie
Lundi
14
décembre
2020
Etat
du
coronavirus
: 129
nouveaux
cas,
15747
cas
cumulés,
60
hospitalisations,
96
décès
A
propos
Mais
quel
triste
mois
de
décembre
!
J'apprends
que
Veerner
Bringold
est
décédé,
je le
connaissais
très
peu
mais
aussitôt
après,
voilà
qu'on
m'écrit
que
Jean
Claude
Soulier
n'est
plus
de ce
monde
non
plus.
Cela
m'a
fait
un
choc,
d'autant
que
j'ai
sur
mon
bureau
chez
moi
une
photo
prise
dans
son
bureau
de la
Dépêche,
où il
me
prenait
par
les
épaules
en
souriant
. En
revanche
Jean
Claude
je le
connaissais
bien
puisque
nos
bureaux
se
jouxtaient
et
que
nous
étions
proches
tant
par
la
proximité
que
par
l'amitié
qui
s'est
malheureusement
peu à
peu
diluée
dans
le
temps
quand
ni
lui
,ni
moi,
n'étions
plus
voisins
de
bureaux
et
que
seul
le
téléphone
pouvait
encore
nous
relier.
Mais
pendant
plus
de 20
ans
que
dis
-je
30
ans
nous
avons
mêlé
nos
rires,
nos
peurs,
nos
colères,
nos
vaines
vengeances.
Bien
que
si
moi
j'en
avais,
Jean
Claude,
lui,
n'extériorisait
pas
les
siennes
autrement
que
dans
mon
bureau
quand
il
venait
se
plaindre
de sa
hiérarchie.
J'étais
sa
confidente
et il
était
le
mien
concernant
les
tracas
de
notre
métier.
Il ne
se
plaignait
qu'à
moi.
Il
acceptait
toutes
les
corvées
sans
se se
révolter
ouvertement
comme
faire
des
kilomètres
pour
aller
interviewer
un
quidam
que
personne
ne
connaissait,
mais
il
était
obéissant,
grommelait
en
douce
et
faisait
ce
qu'on
lui
demandait.
Nous
étions
très
différents,
je
n'avais
pas
son
caractère
respectueux.
J'
étais
une
rebelle
et
souvent
quand
il
venait
se
confier
dans
mon
bureau
je
lui
disais
"
mais
tu
n'as
qu'à
dire
non
!"
Pauvre
Jean
Claude
toujours
aimable,
prêt
à
rendre
service
aux
journalistes
qui
venaient
souvent
frapper
à sa
porte
pour
lui
demander
une
info,un
service,une
photo,
il
les
avait
toutes,
mais
quand
on
lui
faisait
un
coup
tordu,
alors
là,
il se
plaisait
à me
dire
par
téléphone
en me
regardant
par
la
vitre
mitoyenne
:
"lui,
c'est
vraiment
un
salaud
!".
Et on
savait
tous
de
qui
il
voulait
parler
!
J'aurais
aimé
lui
dire, au-revoir
Jean
Claude
...on
s'aimait
bien
!
Le
Président
Edouard
Fritch,
le
Vice-président
Tearii
Alpha,
en
charge
des
ressources
marines,
et le
maire
de Rangiroa,
Teina
Maraeura,
ont
assisté,
sur
l’atoll
de
Rangiroa,
à une
présentation
sur l’avancée
du programme
d'évaluation
de la
ressource
de
Oe’o.
Bourses
majorées:
le
Pays
soutient
les
jeunes
talents
polynésiens
Après
avoir
lancé
un
premier
appel
à
candidatures
pour
l’obtention
des
bourses
majorées
pour
l’année
universitaire
2020-2021,
la
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
en
charge
du
numérique,
Christelle
Lehartel,
et
l’ensemble
des
ministères,
ont
décidé
d’ouvrir
une
deuxième
session
de
campagne
pour
cette
année,
du 7
décembre
2020
au 29
janvier
2021.
Cette
nouvelle
opportunité
qui
s’offre
aux
jeunes
étudiants
polynésiens,
a
pour
vocation
d’enrichir
le
vivier
de
compétences
locales
parmi
une
liste
de
filières
prioritaires.
L’objectif
de ce
dispositif
est
notamment
d’accompagner
les
étudiants
ayant
un
projet
professionnel
bien
défini
et
souhaitant
participer
activement
au
développement
économique
de la
Polynésie.
Qui
en
sont
les
bénéficiaires
?
Les
jeunes
étudiants
motivés
à
poursuivre
leurs
études
pourront
bénéficier
de
cette
aide.
Après
étude
du
dossier
du
candidat
par
tous
les
ministères
lors
d’une
commission
d’attribution,
les
allocations
iront
aux
jeunes
les
plus
méritants
et
ayant
postulé
sur
les
filières
identifiées
par
le
gouvernement
et
règlementées
par
l’arrêté
du
Conseil
des
ministres
du 22
octobre
2020.
(voir
liste
des
filières
prioritaires
retenues
transmise
en
copie
de
cet
envoi).
Des
filières
pour
tous
les
profils
La
liste
des
filières
retenues
comme
prioritaires
a été
mise
à
jour.
Les
filières
pourvues
ont
été
retirées
de la
liste
initiale.
Vous
pouvez
la
consulter
sur
le
site
internet
de la
D.G.E.E.
(www.education.pf,
Rubrique
«
bourses
et
allocations
d’études).
Un
investissement
de la
part
des
jeunes
étudiants
mobilisés
Un
engagement
réel
est
attendu
dès
lors
où la
bourse
majorée
sera
attribuée.
L’accent
est
mis
sur
l’assiduité
dont
les
étudiants
feront
preuve
au
cours
de la
poursuite
de
leurs
études.
En
contrepartie
de
cette
allocation,
les
bénéficiaires
s’engageront
par
convention
à
revenir
exercer
en
Polynésie
Française,
après
l’obtention
du
diplôme
prévu
dans
la
filière
reconnue
prioritaire
par
le
Pays,
pour
une
durée
équivalente
au
double
du
nombre
d’année
d’études
financées.
Comment
constituer
un
dossier
?
Les
démarches
d’inscription
sont
entièrement
dématérialisées
et
accessibles
sur
le
site
de la
DGEE,
www.education.pf
à la
rubrique
bourses
d’études
/
bourses
majorées,
du 14
décembre
2020
au 29
janvier
2021.
Tout
dossier
incomplet
ou
arrivé
après
la
date
limite
sera
refusé.
Emmanuel
Macron
annonce
un
référendum
pour
inscrire
la
défense
du
climat
dans
la
Constitution
Au
terme
d'un
long
débat
avec
les
membres
de la
Convention
citoyenne
pour
le
climat,
le
président
a
promis
qu'il
soumettrait
aux
Français
l'inscription
d'un
impératif
écologique
dans
l'article
1 de
la
Constitution.
le
Figaro
Face
à la
crispation
des
membres
de la
convention
citoyenne
pour
le
climat,
Emmanuel
Macron
a
opté
pour
la
surprise
du
chef.
Un
référendum
sera
organisé
pour
inscrire
«la
préservation
de
l'environnement,
de la
biodiversité
et la
lutte
contre
le
dérèglement
climatique»
dans
l'article
premier
de la
Constitution.
«
Ça
sera
une
réforme
constitutionnelle
en un
article
», a
annoncé
le
président
de la
République
lundi
à
l'issue
d'une
rencontre
avec
les
conventionnels
organisée
au
Conseil
économique,
social
et
environnemental.
Elle
devra
d'abord
être
adoptée
par
le
Parlement
avant
d'être
soumise
aux
suffrages
des
Français.
Depuis
quelques
jours,
cette
hypothèse
était
réapparue
mais
jusqu'à
la
dernière
minute
rares
étaient
ceux
qui,
dans
l'entourage
du
chef
de
l'Etat,
savaient
qu'il
annoncerait
un
référendum,
lundi
soir,
devant
les
conventionnels.
Au
mois
de
juin,
Emmanuel
Macron
avait
évoqué
deux
référendums
possibles.
L'un
sur
la
constitution,
l'autre
sous
la
forme
d'un
questionnaire
à
choix
multiple.
C'est
finalement,
l'option
du
référendum
constitutionnel,
avec
la
question
la
plus
consensuelle
qui a
été
retenue.
«
Concrètement
on va
pouvoir
rendre
inconstitutionnel
quelques
futurs
projets
de
loi
climaticides.
C'est
fini
les
lois
mauvaises
pour
l'environnement
»,
s'est
félicité
Grégoire
Fraty,
le
cofondateur
de
l'Association
«
les
150
» qui
rassemble
les
membres
de la
Convention
citoyenne
pour
le
climat.
Cette
annonce,
ils
en
rêvaient.
«
C'est
symboliquement
important
pour
nous
»,
confiait
en
amont
Sylvain
Burquier,
un
Parisien
qui a
participé
aux
travaux
de la
CCC
qui
souhaite
que
les
Français
«
prennent
part
au
débat
et
prennent
en
main,
un
dimanche
matin,
leur
destin
politique
».
Rien
ne se
fera
derrière
le
rideau
Emmanuel
Macron
Une
annonce
d'autant
plus
bienvenue
pour
les
conventionnels
que
leurs
autres
propositions
font
face
aux
réserves
grandissantes
des
ministres
et
parlementaires
de la
majorité.
Le
président
de la
République
l'a
rappelé
lundi,
la
traduction
de
leurs
préconisations
dans
le
projet
de
loi
en
gestation
doit
se
faire
à
l'aune
du
contexte
économique
et
social.
L'euphorie
du
mois
juin
et la
promesse
de
transmettre
«
sans
filtre
» les
travaux
des
conventionnels
au
Parlement
a
laissé
place
à une
approche
plus
mesurée.
Crise
des
«
gilets
jaunes
»
«
Certains
secteurs
ont
été
totalement
sinistrés
» par
le
coronavirus,
a
rappelé
le
chef
de
l'État
en
préambule
d'une
longue
discussion
avec
la
CCC.
Tandis
que «
des
milliers
de
PME
sont
entre
la
vie
et la
mort
» il
faut
«
prendre
en
compte
cette
contrainte
qui
est
la
réalité
de
l'économie
et de
la
société
d'aujourd'hui
»,
a-t-il
dit
en
citant
les
secteurs
mal
en
point
du
transport
et de
la
publicité,
justement
dans
le
viseur
de la
CCC.
«
On ne
peut
pas
faire
comme
si
rien
ne
s'était
passé
», a
martelé
Emmanuel
Macron.
Tout
en
rappelant
que
la
CCC
est
née
de la
crise
des
«
gilets
jaunes
» et
de la
contestation
de la
taxe
carbone,
il a
estimé
qu'il
ne
fallait
pas «
reproduire
cette
erreur
» et
que «
les
choix
pris
pour
l'écologie
doivent
être
acceptables
par
les
Français
».
Autrement
dit,
pas
question
de
tapisser
sa
fin
de
quinquennat
de
nouvelles
taxes
et de
contraintes,
à
l'instar
de
celles
que
la
CCC
voudrait
imposer
aux
secteurs
de
l'aérien
ou du
logement.
«
Rien
ne se
fera
derrière
le
rideau
», a
promis
Emmanuel
Macron
tout
en
rappelant
les
règles
constitutionnelles
en
vigueur :
«
Ce
“sans
filtre”
ne
peut
être
ni
une
substitution
au
rôle
légitime
du
gouvernement
par
notre
constitution,
ou
celui
du
législateur,
qui
est
une
assemblée
de
citoyens
qui a
mandat
pour
représenter
le
peuple
(…)
Je ne
peux
institutionnellement
contraindre
ce
pouvoir
d'amendement.
»
Accompagné
de
sept
de
ses
ministres
dont
Barbara
Pompili,
Emmanuel
Macron
a
essayé
de
persuader
les
citoyens
que
sa
politique
écologique
est
ambitieuse.
«
Aucun
gouvernement
n'a
fait
autant
pour
l'écologie
»,
a-t-il
dit,
après
avoir
célébré
samedi
le
cinquième
anniversaire
de
l'Accord
de
Paris.
«
Est-ce
suffisant ?
Non.
Faut-il
faire
plus ?
Oui
», a
admis
le
chef
de
l'État
qui a
loué
son
plan
de
relance
qui
consacre
30
milliards
d'euros
à
l'écologie.
Tout
en
prenant
ses
distances
avec
les
réflexes
habituels
des
écologistes :
«
J'entends
qu'on
réussirait
ce
travail
que
si
les
interdits
que
l'on
met à
un
secteur
sont
bien
respectés.
Parfois
je
crois
qu'un
interdit
n'est
pas
la
meilleure
solution
». Il
préfère
«
embarquer
les
gens
dans
un
cercle
de
confiance
qui
est
un
cercle
d'exigence
».
Ainsi,
il
convient
de
faire
des
Français
qui
travaillent
dans
des
secteurs
polluants
«
des
alliés
» et
non «
des
gens
à qui
on
dicte
un
changement
de
vie
depuis
l'extérieur
».
Pas
sûr
que
les
citoyens
de la
Convention
citoyenne,
influencés
par
des
ONG
écologistes
de
plus
en
plus
radicales,
l'admettent
si
facilement.
«Il
ne
faut
pas
que
le
référendum
soit
l'arbre
qui
cache
la
forêt.
Il y
a pas
mal
de
nos
mesures
qui
ne
sont
plus
présentes»
dans
le
futur
projet
de
loi,
a mis
en
garde
Grégoire
Fraty.
L'annonce
du
président
de la
République
n'a
pas
manqué
de
faire
réagir
les
responsables
politiques.
«Même
si
cela
ne
cache
en
rien
le
manque
d'ambition
sur
le
reste,
la
réforme
de
l'article
premier
de la
Constitution
est
utile.
Mais
ira-t-elle
au
bout ?»,
s'est
interrogé
le
député
Matthieu
Orphelin,
ex-marcheur
proche
de
Nicolas
Hulot.
«Macron
c'est
le
coup
de
com'
permanent
»
Mêmes
doutes
à
droite.
«Macron
c'est
le
coup
de
com'
permanent»,
dénonce
le
président
des
sénateurs
LR
Bruno
Retailleau.
«Avec
le
“quoi
qu'il
en
coûte”
et
aujourd'hui
le
référendum,
Macron
est
clairement
en
campagne
présidentielle
mais
avec
les
moyens
de
l'Etat»,
a-t-il
fustigé.
Le
vice-président
de LR,
Guillaume
Peltier
dénonce
«l'art
du
cynisme
creux»
du
chef
de
l'Etat.
«Il
est
vrai
que
tant
de
nos
compatriotes
sont
“contre”
le
climat»,
ironise
le
député
du
Loir-et-Cher,
convaincu
que
la
question
ainsi
formulée
ne
provoquerait
qu'un
vote
unanime.
Ajoutant :
«Par
référendum,
les
urgences
sont
ailleurs :
la
laïcité
face
à
l'islam
politique
et
notre
souveraineté
sur
l'immigration.
Vivement
2022!»,
appuie-t-il.
Le
président
des
Patriotes
Florian
Philippot
évoque
pour
sa
part
un «un
référendum
“greenwashing”».
Quant
à
l'eurodéputé
RN
Nicolas
Bay
il
s'agace :
«Les
Français
ne
veulent
pas
d'un
référendum
sur
le
climat,
ils
veulent
un
référendum
sur
l'immigration».
Présidentielle
américaine :
Joe
Biden
dépasse
la
majorité
au
collège
électoral,
sa
victoire
confirmée
SCRUTIN
Les
résultats
ne
seront
toutefois
officiels
qu'après
validation
par
le
Congrès
le 6
janvier
Les
29
grands
électeurs
de
l'Etat
de
New
York
ont
voté
pour
Joe
Biden
le 14
décembre
2020.
—
Hans
Pennink/AP/SIPA
Il
était
14h26
quand
la
Californie
l’a
annoncé : ses
55
votes
ont
été
attribués
« à
Joseph
R.
Biden ».
De
quoi
catapulter
le
démocrate
au-dessus
de la
barre
des
270
grands
électeurs
du
collège
électoral
nécessaires
pour
être
élu
président
des
Etats-Unis.
Le
vote
d’Hawaï
se
fait
encore
attendre
mais
alors
qu’il
n’y a
eu
aucun
électeur
« indifèles »,
Joe
Biden
devrait
au
final
obtenir
306
voix
contre
232 à
Donald
Trump.
Sa
victoire
à
l’élection
présidentielle
ne
sera
toutefois
officialisée
que
le
6 janvier
après
la
certification
des
résultats
lors
d’un
vote
au
Congrès.
Les
recours
du
Donald
Trump
continuent,
vote
au
Congrès
le
6 janvier
Les
538
grands
électeurs
se
sont
réunis
dans
les
Capitoles
de
chaque
Etat
– à
l’exception
du
Nevada
qui a
choisi
un
vote
virtuel.
A la
mi-journée,
les
six
Etats
contestés
par
le
président
américain
se
sont
tous
prononcés
en
faveur
du
démocrate : Nevada,
Arizona,
Géorgie,
Pennsylvanie,
Wisconsin
et
Michigan.
Au
final,
aucun
électeur
ne
s’est
rebellé
contre
le
verdict
des
urnes.
Dans
trois
Etats
(Nevada,
Géorgie
et
Pennsylvanie),
des
républicains
ont
bien
organisé
un
contre-scrutin.
Mais
les
listes
qu’ils
ont
adoptées
n’avaient
pas
été
validées
au
préalable
par
les
legislatures.
Elles
ne
pourront
donc
pas
être
envoyées
au
Congrès
comme
listes
alternatives
(ce
qui
aurait
pu
provoquer
un
bras
de
fer
constitutionnel).
Malgré
plus
de 50
défaites
pour
ses
recours
devant
les
tribunaux,
dont
deux
devant
la
Cour
suprême,
Donald
Trump,
lui,
n’a
toujours
pas
reconnu
sa
défaite,
et
ses
contestations
pourraient
durer
jusqu’au
6 janvier.
C'est
à
cette
date
que
le
Congrès
se
réunia
pour
valider
les
votes
du
collège
électoral.
Un
élu
républicain,
Mo
Brooks,
a
déjà
prévenu
qu’il
déposerait
une
motion
pour
bloquer
les
grands
électeurs
de
plusieurs
Etats.
Mais
même
si un
sénateur
républicain
le
rejoint,
les
démocrates
sont
majoritaires
à la
Chambre
et
pourront
donc
bloquer
leur
action.
Joe
Biden
prêtera
serment
deux
semaines
plus
tard,
le
20 janvier.
Samedi
12
décembre
2020
Mauvaise
nouvelle
pour
ceux
qui
aiment
la
fête
Coronavirus
en
Polynésie :
Couvre-feu
maintenu
jusqu’au
15 janvier,
réveillons
de
Noël
et du
jour
de
l’An
inclus
EPIDEMIE
La
Polynésie
est
placé
sous
couvre-feu
depuis
le 24
octobre
Dominique
Sorain,
le
Haut-commissaire
de
Polynésie
—
RICHARD
BOUHET
/ AFP
La
Polynésie,
sous
couvre-feu
depuis
le
24 octobre
pour
lutter
contre
la
propagation
du
Covid-19,
étend
cette
mesure
jusqu’au
15 janvier,
réveillons
de
Noël
et du
Nouvel
An
inclus,
a
annoncé
vendredi
(samedi
heure
de
Paris),
Dominique
Sorain,
le
Haut-commissaire
de
Polynésie.
« Nous
avons
pris
la
décision
de
maintenir
l’ensemble
des
mesures
actuellement
en
vigueur
jusqu’au
15 janvier.
Le
couvre-feu
sera
donc
maintenu
sur
Tahiti
et
Moorea
de
21H00
à
4H00
et
avec
les
mêmes
conditions
de
déplacements
limités
et de
fermeture
des
établissements
recevant
du
public »,
a-t-il
déclaré
lors
d’un
point
presse
avec
le
président
de
Polynésie
Edouard
Fritch.
Pas
de
fêtes
tardives
Mais
« compte-tenu
de la
situation
sanitaire
encore
fragile
(…),
il
n’était
pas
possible
de
prendre
le
risque
de
suspendre
purement
et
simplement
le
couvre-feu
les
24 à
Noël et
31 décembre ».
Pour
ces
deux
soirs-là,
« nous
avons
décidé
de
décaler
l’horaire
du
couvre-feu
d’une
heure.
Ainsi
il
débutera
à
22h00
au
lieu
de
21h00 »,
a-t-il
précisé.
« Ce
sont
deux
nuits
de
festivités
marquées,
en
Polynésie,
par
de
nombreux
rassemblements
qui
sont
propices
à la
circulation
du
virus.
Mais
nous
avons
tout
de
même
voulu
faciliter
la
vie
des
personnes
qui
voudront
se
rendre
à
l’église
en
début
de
soirée,
pouvoir
rentrer
chez
elles
après
un
dîner
familial
en
petit
comité
ou
après
un
dîner
au
restaurant »,
a
justifié
le
Haut-commissaire.
Baisse
du
nombre
de
cas
mais
plateau
Le
nombre
de
cas
actifs
connu
en
Polynésie
est
actuellement
« proche
de
800 »,
loin
des
2.200
cas
actifs
enregistrés
en
moyenne
fin
octobre-début
novembre.
A
Tahiti
et
Moorea,
le
taux
d’incidence
sur
sept
jours
« a
diminué,
mais
reste
encore
de
l’ordre
de
300
(pour
100.000
personnes,
ndlr),
ce
qui
reste
élevé »,
le
seuil
d’alerte
maximal
étant
fixé
à 250
au
niveau
national,
a
souligné
Dominique Sorain.
Douze
décès
sont
à
déplorer
sur
une
semaine,
portant
le
nombre
de
morts
à 91
depuis
le
début
de
l’épidémie,
et 51
personnes
sont
actuellement
hospitalisées
dont
24 en
réanimation.
Les
premières
doses
de
vaccin
début
janvier
« Le
pic
épidémique
est
passé.
Le
nombre
de
nouvelles
contaminations
baisse »,
mais
« nous
restons
néanmoins
au-dessus
des
seuils
d’alertes
pour
Tahiti
et
Moorea »,
a
insisté
le
Haut-commissaire,
qui
évoque
« une
situation
délicate,
+ sur
le
fil
+ »,
qui
oblige
à
« poursuivre
nos
efforts
pour
se
mettre
à
l’abri
de ce
virus
qui
contamine
encore
entre
150
et
200
personnes
par
jour ».
Il a
par
ailleurs
annoncé
que
les
premières
doses
de
vaccin
seront
acheminées
vers
la
Polynésie
française
début
janvier.
Pêche
illégale:
90
kilos
de
langoustes
saisis
par
la
DRM
et
les
Douanes
Lors
d’une
opération
de
contrôle
menée
conjointement
par
la
Direction
des
ressources
marines
(DRM)
et
les
Douanes,
le
jeudi
3
décembre,
au
port
de
Papeete,
90
kilos
de
langoustes
(309
pièces)
ont
été
saisis
sur
un
navire.
L’infraction
constatée
portait
sur
la
taille
des
langoustes,
inférieure
à 20
cm,
et
sur
la
présence
d’individus
portant
des
œufs.
Si
la
langouste
est
fortement
appréciée,
notamment
pendant
les
fêtes,
ce
crustacé
fait
l’objet
d’une
réglementation
stricte
en
Polynésie
française.
Il
est
interdit
de
pêcher,
détenir,
transporter,
commercialiser
et
consommer
la
langouste
de
février
à
avril.
De
mai à
janvier,
son
exploitation
est
autorisée
sous
certaines
conditions:
une
taille
supérieure
à 20
cm et
les
femelles
ne
doivent
pas
porter
d’œufs.
Les
sanctions
encourues
sont
la
confiscation
des
produits
pêchés,
une
contravention
de 5e
classe
(jusqu’à
180 000
Fcfp)
et
des
poursuites
judiciaires.
Le
Pays
rappelle
l’importance
de
respecter
les
tailles
minimales
réglementaires
afin
de
permettre
à la
langouste
d’accomplir
son
cycle
de
reproduction
et de
se
régénérer.
Si
on
veut
que
les
générations
futures
puissent
consommer
de la
langouste
à
Noël
et
profiter
des
richesses
de
l’océan,
il
est
important
de
préserver
nos
ressources.
Vendredi
11
décembre
2020
Etat
du
coronavirus
ce
jour
: 83
nouveaux
cas,
15.618
cas
cumulés,
51
hospitalisations,
91
décès
(
attention
c'est
en
augmentation)
Le
Président
de la
Polynésie
française,
Edouard
Fritch,
le
Vice-président,
Tearii
Alpha,
le
ministre
des
Finances,
de
l’Economie,
en
charge
de
l’énergie,
Yvonnick
Raffin,
et le
ministre
de la
Culture
et de
l’environnement,
Heremoana
Maamaatuaiahutapu,
ont
participé,
jeudi
soir,
à une
table
ronde
virtuelle
de
haut
niveau
entre
les
dirigeants
du
Forum
des
Iles
du
Pacifique
et
les
grandes
nations
« Partenaires
du
dialogue
du
Forum »
à la
veille
du
cinquième
anniversaire
de
l’Accord
de
Paris.
A
propos
Le
thon,
c'est
bon
disait
Teva
Rohfritsch,
mais
l'eau,
c'est
cher
renchérissent
Flosse
et
Fritch
!
Quelle
fin
d'année
pour
Gaston
Flosse
et
Edouard
Fritch
d'être
condamnés
pour
avoir
"gratuitement
"trop
bu
d'eau"
de
leur
commune
de
Pirae
!
Enfin
"bu"
n'est
pas
le
terme
exact
car
tous
les
deux
apprécient
le
bon
vin,
mais
disons
"qu'ils
ont
utilisé
gratuitement
l'eau
de la
commune."
Et
non,
l'eau
n'est
pas
gratuite
mais
de là
à
rembourser
solidairement
683.000
euros
de
factures
d'eau
impayées
à la
commune,
40
ans
après
l'avoir
digérée
c'est
cher
pour
de
l'eau.
Si
nos
deux
compères
avaient
vidé
les
tonneaux
de
bons
vins
de
leur
base
communale
bras
dessus,
bras
dessous,,
tout
le
monde
s'en
serait
rendu
compte
car
ils
ne
seraient
pas
sortis
de la
mairie
indemnes,
mais
en
titubant
se
disant
qu'ils
s'aimaient..
Et la
population
de
Pirae
aurait
bien
rigolé
!
Bon,
ce
n'est
pas
le
cas.
Le
vin
est
sauf
et
l'amitié
à
l'eau
! On
ne
peut
pas
tout
avoir.
L’actuel
président
de la
Polynésie
française
et
maire
de
Pirae,
Edouard
Fritch,
figurait
donc
lui
aussi
sur
le
banc
des
prévenus,
pour
n’être
pas
intervenu
lorsqu’il
a
pris
les
rênes
de la
commune.
On ne
peut
pas
penser
à
tout
quand
on
est
maire
et
président
sans
être
un
saint.
Et
comme,
malgré
sa
lecture
quotidienne
de la
bible,
il
n'en
est
pas
un,
il a
donc
été
condamné
par
la
cour
d’appel
à une
amende
solidairement
avec
Gaston
Flosse
d’environ
8 300 euros.
(83
millions
cfp
fichtre
!)..,
juste
pour
une
histoire
d'O.
« Je
ne
peux
pas
être
satisfait »,
a
déclaré
son
avocat
outré,
au
sortir
de
l’audience.
On le
comprend
!
Celui-ci,
avait
plaidé
la
relaxe.
Il
va,
s’entretenir
avec
son
client
sur
l’éventualité
d’un
pourvoi
en
cassation.
C'est
encore
Clochemerle
! Et
si
Flosse
fait
du
Flosse,
Fritch
fait
du
Fritch
.De
quoi
rassurer
les
avocats.
Je
remarque
néanmoins
qu'à
90
ans,
il
n'est
que
temps,
que
Flosse
qui a
l'air
fatigué,
commence
à ne
plus
fréquenter
le
palais...de
justice.
A
Pirae
c'est
l'eau
qui
est
chère
mais
à
Paris,
juste
le
fait
de
mettre
un
téléphone
à
l'oreille
et
paf
vous
récoltez
non,
non,
pas
une
otite
mais
moins
douloureux
peut-être,
quatre
ans
de
prison
dont
deux
ans
ferme
surtout
quand
vous
prenez
le
surnom
de
Paul
Bismuth
qui
résonne
comme
la
marque
d'un
suppositoire.
Rassurez-vous
ce
n'en
est
pas
un
mais
le
nom
de
code
de
Nicolas
Sarkozy.
N'y
voyait
aucune
cause
à
effet.
Enfin
de
Pirae
à
Paris
certains
finissent
bien
l'année
!
Nous
leur
souhaitons
de
bonnes
fêtes,
mais
à
consommer
l'eau
avec
modération
Elle
est
plus
chère
que
le
vin
de
nos
jours...
Gaston
Flosse
nous
fait
parvenir
la
lettre
écrite
par
J.Teuira
le 17
mai
2011
adressée
au
président
de la
cour
des
comptes
dans
laquelle
le
rédacteur
revient
sur
les
accusations
contre
l'ancien
président
Flosse
en
rétablissant
la
vérité
des
faits
dès
le
mois
de
mai
2011,
comme
on
pourra
le
lire
ci-dessous
:
Coupure
électrique :
Incident
sur
ligne
TEP
EDT
ENGIE
informe
ses
clients
que
le
vendredi
11
décembre
2020
à
6h23,
un
incident
a
affecté
une
ligne
de
transport
électrique
de la
TEP
(Société
de
Transport
d'Énergie
électrique
en
Polynésie)
dans
la
vallée
de la
Papenoo.
En
cette
période
de
forte
production
d’hydroélectricité,
cet
incident
a
entraîné
la
perte
de
25%
de la
production
électrique,
soit
15 MW
sur
60
MW.
Afin
d’éviter
un
blackout
sur
Tahiti
et de
garantir
la
continuité
du
service
public
de
l’électricité,
EDT
ENGIE
a dû
procéder
à des
suspensions
d’alimentation
temporaires,
sur
des
équipements
électriques
desservant
environ
17
000
clients.
L’ensemble
des
clients
a été
réalimenté
au
bout
de 29
minutes.
La
production
hydroélectrique
a été
affectée
durant
2
heures.
EDT
ENGIE
présente
toutes
ses
excuses
à ses
clients
pour
cet
incident
indépendant
de sa
volonté,
et
les
remercie
pour
leur
compréhension.
Le
service
communication
EDT
ENGIE
Tollé
après
la
remise
par
Macron
de la
plus
haute
distinction
française
au
dictateur
egyptien
Sissi
en
toute
discrétion
DiPLOMATIE
Alors
qu'aucune
caméra
française
n'était
présente
quasiment
en
cachette,
le
président
égyptien
a
reçu
la
grand-croix
de la
Légion
d'honneur,
lundi
soir
!!!!!!!
Emmanuel
Macron
a
remis
à son
homologue
égyptien
Abdel
Fattah
al-Sissi
la
grand-croix
de la
Légion
d'honneur,
le 7
décembre
2020.
( par
20
Minutes)
Il
a
voulu
éviter
la
polémique,
elle
n’en
est
que
plus
forte.
Le
président
Emmanuel
Macron
a
remis
la
plus
haute
distinction
française
à son
homologue
égyptien
Abdel
Fattah
al-Sissi
lors
de
sa
visite
d’Etat
à
Paris,
a-t-on
confirmé
jeudi
à
l’Elysée
après
la
diffusion
d’images
par
la
seule
présidence
égyptienne.
Ces
images
de la
cérémonie,
filmées
lundi
soir
par
la
délégation
égyptienne,
ont
été
diffusées
en
France
par
l’équipe
de
l’émission
Quotidien
sur
la
chaîne
TMC.
La
remise
de
décoration
ne
figurait
pas à
l’agenda
officiel
du
président
Macron,
tout
comme
le
dîner
offert
dans
la
foulée
en
l’honneur
du
président
Sissi.
L’attribution
de la
grand-croix
de la
Légion
d’honneur
au
président
Sissi,
décrié
par
les
défenseurs
des
droits
humains
pour
la
répression
dans
son
pays,
a
suscité
des
réactions
outrées
sur
les
réseaux
sociaux.
« Exercice
imposé »
De
telles
attributions
relèvent
des
« exercices
imposés »
lors
des
visites
d’Etat,
relève-t-on
dans
l’entourage
du
président
Macron.
« Les
échanges
de
décorations
sont
l’un
des
éléments
traditionnels
des
visites
d’Etat,
qui
sont
rares,
une à
deux
par
an
France.
Et
comme
il
s’agit
de
chefs
d’Etat,
ils
reçoivent
la
plus
haute
distinction »,
renchérit
une
source
diplomatique
française.
Selon
le
site
de la
Grande
Chancellerie
de la
Légion
d’Honneur,
les
étrangers
peuvent
être
décorés
s’ils
ont
« rendu
des
services »
à la
France,
« encouragé
des
causes
qu’elle
défend »
comme
la
défense
des
droits
de
l’Homme,
ou
dans
le
cadre
de
visites
d’Etat
« au
titre
de la
réciprocité
diplomatique »
et
afin
de
soutenir
« la
politique
étrangère
de la
France ».
Le
président
Macron
a
ainsi
décerné
la
grand-croix
au
grand-duc
Henri
de
Luxembourg
en
2018,
selon
l’Elysée.
Les
rois
d’Espagne,
des
Pays-Bas
ou du
Maroc
et
plusieurs
présidents,
dont
le
russe
Vladimir
Poutine
(2006)
et le
polonais
Bronislaw
Komorowski
(2012),
l’avaient
aussi
reçue.
Procédure
de
retrait
contre
Assad
La
France
a par
ailleurs
engagé
sous
Emmanuel
Macron
une
procédure
de
retrait
de la
Légion
d’honneur
au
président
syrien
Bachar
al-Assad
en
raison
de la
guerre
civile
dans
ce
pays
depuis
2011
et de
la
répression
sanglante
engagée
par
le
régime
de
Damas.
Ce
dernier,
qui
avait
été
fait
grand-croix
par
Jacques
Chirac
en
2001,
l’a
finalement
rendue
après
la
participation
de
Paris
aux
frappes
contre
la
Syrie
en
avril 2018.
Pour
la
visite
du
président
Sissi,
les
cérémonies
aux
Invalides
et à
l’Arc
de
Triomphe,
l’arrivée
à
l’Elysée
pour
le
dîner
d’Etat
ou la
rencontre
avec
la
maire
de
Paris
Anne
Hidalgo,
n’étaient
pas
non
plus
ouvertes
aux
télévisions
françaises
et
agences
internationales.
« Sur
une
visite
d’Etat,
c’est
le
Quai
d’Orsay
qui
fixe
le
protocole
d’accréditation,
y
compris
pour
le
secteur
Hôtel
de
Ville.
Il
n’y a
pas
eu
d’accréditation
autorisée,
le
Quai
ne
l’a
pas
souhaité »,
a
déclaré
à cet
égard
un
proche
d’Anne
Hidalgo
à
l’AFP.
Mais
l’exécutif
dément
avoir
donné
des
consignes
aux
différents
hôtes
du
président
Sissi.
« La
seule
consigne
sur
cette
visite
c’était
que
chacun
gérait
sa
communication »,
assure-t-on
au
Quai
d’Orsay.
( par
20
Minutes)
Jeudi
10
décembre
2020
A
15h33
124
nouveaux
cas,
15535
cas
cumulés,
54
hospitalisations,
91
décès.
A
propos
Si je
suis
lucide
ce
matin,
c'est
sans
doute,
contrairement
à
d'autres
personnes
que
j'ai
mal
dormi
et du
coup
je
suis
particulièrement
volontiers
pessimiste
sur
la
société.
Je me
souviens
d'une
phrase
de
Gustave
Flaubert
"
Tout
le
rêve
de la
démocratie
est
d'élever
le
prolétaire
au
niveau
de la
bêtise
du
bourgeois.
Le
rêve
est
en
partie
accompli
!"
Vlan
!
Sachez
aussi,
que
peu
de
temps
après
avoir
fêté
son
80°
anniversaire
Anatole
France
assista
à une
manifestation
publique
en
son
honneur
au
palais
du
Trocadero
le 24
mai
1924.
On
raconte
qu'une
dame
lui
aurait
dit
en le
rencontrant
:
-
Oh
monsieur
France
comme
vous
avez
bonne
mine
!
-
Mais
oui
madame.
Mais
si
j'avais
20
ans,
vous
ne me
le
diriez
pas!
Alors
mes
amies
méfions-nous
des
réparties
peu
flatteuses.
A ce
propos,
lors
de la
visite
de
John
Fitzgezrald
Kennedy
en
France,de
Gaulle
fut
un
brin
agacé
par
le
succès
rencontré
par
Jackie
Kennedy.
Lors
d'un
dîner
officiel,
la
femme
du
président
américain
lui
annonça
avec
fierté
:
"Général
savez-vous
que
ma
famille
est
d'origine
française
?
- "Eh
bien
chère
madame",
répondit
de
Gaulle,"
figurez-vous
que
la
mienne
l'est
aussi
!"
Un
brin
de
perfidie
bien
élevée,
dans
la
réponse
du
général
tout
de
même.
Je me
souviens
que
Gaston
Flosse
ne
manquait
pas
d'esprit
non
plus.
A une
dame
qu'il
ne
connaissait
pas
et
qui
lui
demandait
lors
d'un
cocktail
: "Que
faut-il
faire
pour
vous
aider"?
Flosse
méfiant
avait
répondu
" "surtout
me
laisser
faire"!!
Elle
n'a
jamais
su,
si
c'était
du
lard
ou du
cochon!
Revenons
dans
le
présent
Un
couvre-feu
à
partir
de 20
heures,
qui
concernera
le
31
décembre
en
métropole.
Le
Premier
ministre
annonce,
à
partir
du 15
décembre
un
couvre-feu
à 20
heures,
au
lieu
de 21
heures,
jusqu'à
6
heures.
Il
concernera,
contrairement
à ce
qui a
été
annoncé,
le
soir
du 31
décembre.
«Noël
occupe
une
place
à
part
dans
nos
vies
et
traditions
»,
a-t-il
justifié,
en
rappelant
que
les
déplacements
seront
autorisés
le 24
décembre,
mais
avec
«pas
plus
de
six
adultes
à la
fois
».
Les
stades,
salles
de
cinéma
et
spectacles
«resteront
fermés
trois
semaines
de
plus
».
«Les
règles
posées
récemment
pour
les
lieux
de
cultes
ne
seront
pas
revues
à la
hausse
», a
ajouté
Jean
Castex.
«La
situation
sanitaire
pourrait
être
pire
en
janvier
», en
cas
de
réouverture
au 15
décembre.
Les
autres
établissements
recevant
du
public
devraient
rouvrir
le 20
janvier.
Le
vice
président
de la
Polynésie
française
Teari
Alpha
a
participé
jeudi
matin
à la
réunion
du
18°
forum
PTOM-UE
qui
s'est
tenu
exceptionnellement
par
visioconférence
des
Pays
et
Territoires
d'outre-mer
et
les
représentants
des
Etats
membres
de la
commission
européenne.
Discours
du
président
à
l'Assemblée
que
nous
publions
dans
son
intégralité.
Commentaires
dans
notre
édition
de
demain,
vendredi
11
décembre
2020
Voter
un
budget,
comme
vous
l’avez
fait
ces
derniers
jours,
ou
arrêter
un
plan
de
relance
tel
que
celui
qui
vous
est
présenté
aujourd’hui,
implique
lucidité
et
pragmatisme.
Mais
face
à des
bouleversements
d’une
ampleur
et
d’une
telle
brutalité,
que
nous
mesurons
encore
très
mal,
c’est
aussi
pour
nous
tous,
élus
comme
membres
du
gouvernement,
un
devoir.
Car,
malgré
les
10
mois
que
nous
venons
de
traverser,
le
plus
fort
de la
crise
économique,
sociale
et
financière
est
encore
devant
nous.
Nous
avons
pu
espérer,
un
temps,
que
la
parenthèse
se
refermerait
après
quelques
mois,
et
que
des
ajustements
et un
soutien
ponctuel
permettraient
de
retrouver
assez
rapidement
la
trajectoire
de
croissance
initiée
auparavant.
Ce ne
fut
pas
le
cas,
malheureusement.
Il va
falloir
nous
inscrire
dans
la
durée.
Les
conséquences
vont
être
plus
profondes,
plus
dures,
plus
radicales
que
celles
que
notre
Pays
a eu
à
envisager
ces
dernières
décennies.
Nous
n’allons
pas
seulement
devoir
réduire
les
effets
d’une
crise.
Il
nous
faut
nous
placer
dans
la
perspective
d’un
changement
pérenne,
un
changement
qui
va
nous
contraindre
à
repenser
nos
modèles,
à
négocier
une
transition,
tout
en
préservant
les
plus
fragiles
d’entre
nous.
Il
nous
faut
donc
être
à la
hauteur
de la
tâche,
et
collectivement.
Le
plan
que
nous
souhaitons
vous
présenter
aujourd’hui
est
sans
doute
encore
imparfait,
et
qui
sera
encore
enrichi
des
échanges
à
venir.
C’est
un
choix
que
nous
assumons
pleinement.
Devant
de
telles
difficultés
à
venir,
il
nous
a en
effet
semblé
important
non
pas
d’imposer
un
document
finalisé
dans
les
antichambres
ministérielles
mais
de
partager
sa
construction
avec
vous,
élus
de
l’Assemblée
et
avec
l’ensemble
des
acteurs
économiques.
Notre
objectif
est
de
partir,
dans
un
premier
temps,
de ce
premier
document
préparé
collégialement
par
le
gouvernement
pour
aboutir
à un
plan
de
relance
concerté
à la
fin
du
mois
de
janvier
prochain
avec
nos
partenaires
de la
société
civile.
Parce
que
la
population
attend
des
réponses,
nous
devons
être
rapides,
réalistes
mais
aussi
agiles.
Parce
que
l’avenir
reste
encore
incertain,
nous
devons
aussi
accepter
de
faire
évoluer,
quand
les
circonstances
l’exigent,
ce
qui
n’est
plus
adapté :
il
nous
faut
apprendre
à
être
agiles.
Ainsi,
ce
plan
est
et
doit
rester
évolutif.
Il
doit
conserver
sa
plasticité
face
à la
situation
sanitaire,
économique,
non
seulement
locale,
mais
aussi
internationale.
Il
est à
craindre,
ou du
moins
à
envisager,
que
nous
vivons
une
rupture,
un
moment
de
bascule,
où
les
échanges,
la
mobilité,
les
équilibres
tels
que
nous
les
avons
connus
vont
d’être
fortement
transformés.
Vous
le
savez,
le
Gouvernement
a
réagi
immédiatement,
élaborant
et
mettant
en
œuvre
un
plan
de
sauvegarde
dès
le
mois
de
mars
dernier,
grâce
aussi
à
votre
mobilisation
en
urgence
pour
voter
les
textes
nécessaires
à son
application.
Il
faut
noter
la
complémentarité
des
efforts
déployés,
entre
le
Pays
et
l’Etat,
mais
également
avec
le
volontarisme
des
Communes
et de
leurs
équipes
ainsi
que
des
entreprises.
Les
dispositifs
successifs
en
faveur
du
maintien
de
l’emploi
ont
été
efficaces,
les
effets
immédiats
ont
été
contenus.
Les
allègements
de
charges
et le
soutien
aux
entreprises
ont
également
permis
de
préserver
la
majeure
partie
de
notre
appareil
productif.
[ ]
Enfin
l’aide
aux
plus
démunis
continue
d’être
déployée,
et
devra
sans
aucun
doute
se
poursuivre
et
s’amplifier
pour
que
les
inégalités
ne
soient
pas
plus
exacerbées
qu’elles
ne le
sont
déjà
— et
là
encore
les
Tavana
et
leurs
équipes
communales
sont
aux
côtés
des
agents
publics
du
Pays
pour
porter
assistance
et
soutien
à
ceux
qui
en
ont
besoin.
Jusqu’à
présent
donc,
nous
avons
malgré
tout
contenu
et
atténué
les
principaux
effets
du
choc
économique
et
social
que
nous
traversons.
Si
nous
connaissons
déjà
une
forme
de
récession,
il
n’y a
pas
d’inflation
excessive,
pas
de
surcoût
majeur
des
énergies,
pas
de
licenciements
de
masse.
Mais,
vous
le
savez,
au
cours
de
l’année
à
venir,
et
sans
doute
les 2
années
qui
suivent,
de
nouvelles
difficultés
vont
s’ajouter
aux
turbulences
endurées
par
nos
familles
et
par
les
acteurs
de la
vie
économique.
On
peut
craindre
que
les
surendettements
et
des
bulles
financières,
mais
également
la
restructuration
des
entreprises
par
exemple,
aggravent
les
obstacles
à
surmonter.
Il
nous
faut
agir
et
réagir.
Il
nous
faut
anticiper,
nous
préparer
et
nous
adapter.
C’est
le
sens
de ce
plan
de
relance.
***
Si un
plan
de
transformation
économique
à
l’horizon
2030
est
une
nécessité
pour
nous
engager
collectivement
dans
des
perspectives
et
des
axes
qui
tiendront
compte
de
l’ensemble
des
leçons
à
tirer
des
bouleversements
que
nous
vivons
et
que
nous
allons
vivre
encore
plusieurs
mois,
nous
avons
besoin
d’un
plan
de
relance
sur 3
ans,
pour
accompagner
le
rebond
et la
transition
nécessaires,
pour
engendrer
une
dynamique
de
court
terme,
cruciale
pour
la
société
civile,
et
cruciale
également
pour
maintenir
l’équilibre
de
nos
comptes
publics.
C’est
un
premier
pas.
Ce
plan
doit
donc
être
conjoncturel,
se
concentrer
sur
ses
effets
immédiats,
avec
deux
axes
majeurs
qui
ont
déjà
été
énoncés
par
le
Président
:
• Le
premier
axe
est
celui
d’une
large
mobilisation
en
faveur
du
soutien
à
l’emploi,
à la
résilience
économique,
destiné
à
combattre
les
effets
directs
de la
pandémie
mondiale
à la
fois
de
manière
globale
et
plus
spécifiquement
sur
certains
secteurs
stratégiques
;
• Le
second
axe
est
celui
de la
solidarité,
qui
doit
être
renforcée,
puisque
ce
sont
les
plus
vulnérables
et
les
plus
modestes
qui
vont
souffrir
d’abord
et le
plus
durement.
Vous
venez
de
voter
le
budget
du
Pays,
je ne
reviens
donc
pas
sur
ce
qui
vous
a été
présenté
de
manière
détaillée
par
le
Président
du
Pays,
mais
comme
vous
le
savez,
au
final
56,3
milliards
de
crédits
de
paiement
seront
disponibles
en
2021
pour
le
plan
de
relance
et
les
investissements.
C’est
le
potentiel
global,
et il
dépendra
de
nos
capacités
d’exécution
de
pouvoir
les
injecter
et
les
consommer
en
temps
et en
heure.
C’est
notre
principal
défi.
Les
efforts
conjugués
de
l’Etat
et
des
Communes
doivent
venir
encore
amplifier
cette
dynamique.
Enfin,
les
investisseurs
privés
doivent
se
sentir
impliqués
et
invités
à
participer
à ces
efforts
sans
précédent.
Pour
établir
ce
premier
plan
de
relance,
plusieurs
objectifs
nous
ont
guidé,
et
chaque
mesure
a été
présentée
en
fiches
détaillées,
avec
un
énoncé
de la
problématique
soulevée,
un
descriptif
technique
ainsi
que
les
impacts
attendus
et
les
indicateurs
pour
les
évaluer.
Oui
ce
plan
de
relance
sera
suivi
comme
un
plan
de
vol
avec
des
tableaux
de
bord
tel
un
vol
aux
instruments.
•
Tout
d’abord,
pour
préserver
notre
capacité
de
production,
il
faut
que
les
entreprises
disposent
des
capitaux
et de
la
trésorerie
suffisante.
Plusieurs
mesures
concourent
à cet
objectif,
elles
seront
forcément
complémentaires
et
devront
viser
une
efficacité
maximale.
Certaines
mesures
concernent
directement
les
entreprises
disposant
de
nombreux
salariés,
tandis
que
d’autres
vont
venir
soutenir
la
viabilité
des
TPE
et
PME.
Préserver
les
fonds
propres,
c’est
garantir
aussi
leurs
capacités
d’adaptation,
tant
pendant
la
reprise
d’activité
des
prochains
mois
que
pour
la
transition
vis-à-vis
de
nouvelles
normes
liées
aux
échanges
et à
la
mobilité
qui
vont
s’imposer
au
niveau
international.
•
Ensuite,
les
objectifs
suivants
concernent
la
dynamique
de la
demande,
à la
fois
sur
la
consommation
des
ménages
et
celles
des
entreprises
entre
elles,
mais
également
la
commande
publique.
Les
carnets
de
commande
doivent
se
reconstituer
pour
les
secteurs
les
plus
touchés.
Les
investissements
localement
doivent
être
attractifs.
Je
souhaite
aussi
que
les
Polynésiennes
et
Polynésiens
qui
en
ont
les
capacités
préfèrent
investir
ici,
dans
notre
économie,
plutôt
qu’à
l’extérieur
du
Fenua.
Les
incitations
aussi
à la
consommation
locale
seront
déterminantes
pour
nous
soutenir
les
uns
les
autres.
S’agissant
de la
commande
publique,
je le
disais,
c’est
notre
défi.
2020
aura
été
une
année
record
en
termes
de
liquidation
et de
mandatement,
malgré
la
crise.
Nos
engagements,
les
dépenses
du
Pays,
sont
encore
plus
stratégiques
en
cette
période
qu’ils
ne
l’étaient
depuis
5
ans.
En
tant
que
Ministre
en
charge
de la
coordination
de
l’action
gouvernementale,
et en
soutien
au
Président
et au
Vice-Président,
je
veillerai
particulièrement
à
cette
question.
Outre
notre
efficacité
collective,
il
s’agit
là
aussi
d’initier
la
transformation
de
notre
économie
en
ciblant
à la
fois
les
projets
liés
à la
transition
énergétique
et
environnementale.
On ne
produira
plus
demain
comme
on le
faisait
hier.
•
D’autre
part,
dans
la
continuité
des
mesures
prises
depuis
mars
dernier,
nous
souhaitons
préserver
les
emplois
et
renforcer
les
compétences.
Les
dispositifs
de
maintien
de
l’emploi
vont
devoir
se
poursuivre
jusqu’à
ce
que
la
reprise
soit
avérée,
pour
ne
pas
mettre
les
entreprises
dans
l’obligation
de se
séparer
prématurément
de
leurs
équipes.
La
formation,
la
réorientation,
le
perfectionnement
vont
être
encouragés
durant
cette
période,
notamment
au
travers
de
l’apprentissage
et de
l’accompagnement
technique
aux
acteurs.
Et
dans
un
monde
du
travail
où la
digitalisation,
la
pluriactivité,
la
mobilité
professionnelle
au
cours
d’une
carrière
s’accentuent,
l’accélération
des
tendances
constatées
ces
dernières
années
semble
une
évidence.
Il
faut
pouvoir
y
répondre.
Il
faut
y
préparer
nos
populations
actives,
et en
particulier,
il
faut
que
l’insertion
professionnelle
de
notre
jeunesse
soit
au
centre
de
nos
préoccupations.
**
•
Viennent
ensuite
des
objectifs
sectoriels.
Notre
économie
dépend
de
plusieurs
grands
secteurs.
Soit
parce
que
ce
sont
des
héritages
des
décennies
passées
pour
certains,
soit
parce
qu’ils
dépendent
des
spécificités
géographiques
qui
sont
les
nôtres,
soit
parce
qu’ils
répondent
à des
enjeux
d’adaptation
aux
changements
qui
nous
font
face.
Au
premier
titre,
et ce
n’est
pas
une
surprise,
le
tourisme
est
un
moteur
évident
de
notre
économie
et
c’est
sans
doute
le
secteur
le
plus
impacté
directement
par
la
situation
actuelle.
La
remise
en
cause
de la
mobilité
et
des
échanges
internationaux,
là
encore,
frappe
de
plein
fouet
notre
première
industrie.
Il
convient
donc
d’être
à la
hauteur
de
ces
enjeux
et de
donner
des
perspectives
à nos
acteurs.
Il
nous
faut
aussi
ne
rien
lâcher
dans
un
environnement
extrêmement
concurrentiel.
La
reprise,
la
réouverture
des
destinations,
va
donner
lieu
à une
bataille
âpre
avec
nos
concurrents.
Là
aussi,
nous
devons
être
prêts.
Ensuite,
parmi
nos
ressources
propres,
la
pêche
hauturière,
la
pêche
côtière,
l’aquaculture
et la
perliculture,
piliers
de
l’économie
bleue,
sont
aujourd’hui
les
segments
les
plus
stratégiques.
Ils
étaient
déjà,
avant
la
crise,
dans
des
dynamiques
d’expansion
planifiées
avec
des
feuilles
de
route
construites
ou en
cours
de
construction.
Il va
nous
falloir
aller
plus
vite,
accélérer
leur
transformation
chaque
fois
que
nécessaire,
et
démultiplier
les
effets
induits.
Les
questions
notamment
de
commercialisation
à
l’international,
de
compétitivité,
d’ouverture
de
nouveaux
marchés
et
débouchés,
doivent
être
favorisées
à
court
terme
et
dès
que
les
possibilités
de
mobilité
reviendront.
Face
aux
transformations
mondiales,
nous
l’avons
vu
ces
derniers
mois
de
manière
plus
saillante
encore
que
les
années
précédentes,
notre
autonomie
alimentaire
d’une
part,
et
notre
autonomie
énergétique
d’autre
part,
sont
également
des
enjeux
de
premier
plan
si
nous
voulons
être
résilient,
et si
nous
voulons
être
en
capacité
de
nous
adapter
au
monde
tel
qu’il
sera
au
cours
de la
prochaine
décennie.
Edouard
Fritch
parle
vrai
C’est
du
bon
sens,
mais
derrière
l’affichage,
ce
sont
de
nombreux
défis
concrets
et
complexes
à
relever.
Il
faut
du
volontarisme,
mais
pas
seulement.
Les
constats
sont
clairs
:
nous
ne
sommes
pas
compétitifs,
ni au
niveau
international,
ni
même
au
niveau
régional.
Consommer
des
produits
locaux
revient
souvent
plus
cher
que
de
consommer
des
produits
importés.
Il en
va de
même
pour
notre
énergie.
Produire,
en
autonomie,
nos
propres
énergies
est
extrêmement
coûteux.
Pour
compenser
nos
désavantages,
il
nous
faut
non
seulement
une
vision
claire
et
soutenable
de ce
à
quoi
nous
souhaitons
parvenir,
mais
il
nous
faut
des
mécanismes
inédits,
des
circuits
de
production
et de
consommation
renouvelés.
Il
nous
a
semblé
pertinent
que
ce
plan
de
relance
s’inscrive
dans
ces
transitions,
et
renforce
ces
dynamiques.
Pour
en
finir
avec
les
objectifs
sectoriels,
là
encore
la
crise
aura
servi
de
catalyseur
et
d’accélérateur,
les
nouvelles
technologies,
notamment
digitales,
et
l’innovation
doivent
être
au
cœur
de
nos
démarches.
Le
Pays
s’est
déjà
fortement
engagé
dans
cette
voie
depuis
plusieurs
années.
Nous
avons
pu
mesurer
combien
nous
avons
non
seulement
encore
du
chemin
à
parcourir,
dans
nos
entreprises,
dans
nos
services
et
établissements,
mais
également
dans
notre
vie
de
tous
les
jours.
En
outre,
nous
pouvons
être
sur
certaines
techniques
ou
expérimentations,
à la
pointe
de la
recherche
et
des
avancées.
Outre
la
réduction
de la
fracture
numérique,
nous
devons
stimuler
certaines
formes
de
dématérialisation
et de
nouvelles
technologies
pensées
et
déployées
par
et
pour
les
insulaires
que
nous
sommes.
•
Enfin,
je
l’ai
annoncé
au
démarrage
de
cette
présentation,
l’objectif
de
protection
et de
solidarité
doit
être
au
cœur
de
notre
démarche.
Il
s’agit
de
cohésion,
il
s’agit
aussi
de
lutter
contre
les
inégalités
sociales.
Nous
avons
là
une
responsabilité
lourde.
D’abord,
il
nous
faut
garantir
l’équilibre
des
comptes
sociaux
du
Pays.
Notre
modèle
de
protection
sociale
est
mis à
rude
épreuve.
Il
faut
adapter
notre
modèle,
je
dirais
plus :
repenser
notre
modèle.
Il
nous
faut
là
aussi
évoluer
et
anticiper.
Notre
gestion
actuelle
de la
PSG
par
régimes,
et
non
par
branche,
touche
ses
limites.
Par
ailleurs,
notre
taux
de
pauvreté,
déjà
préoccupant,
risque
de
s’aggraver
rapidement.
Nous
devons
disposer
de
nouveaux
dispositifs
de
solidarité
et
d’aides
face
à la
précarité.
Ce
défi
nous
touche
toutes
et
tous.
Pas
uniquement
le
Gouvernement.
Il
touche
naturellement
les
communes,
et
l’ensemble
des
acteurs
publics,
mais
il
touche
aussi
l’ensemble
de
notre
société
civile.
Nous
devons
faire
corps
sur
ces
questions.
Notre
cohésion
doit
être
irréprochable.
La
réforme
s’impose
naturellement
d’elle
même
****
Voilà,
à
grands
traits,
l’ossature
du
plan
que
nous
vous
présentons.
Comme
je
l’annonçais
tantôt,
le
détail
des
mesures
va
encore
faire
l’objet
d’un
travail
dans
les
semaines
qui
viennent,
pour
être
affiné
et
précisé,
en
concertation,
jusqu’à
la
mi-janvier.
J’ai
également
demandé
à mes
équipes
de
pouvoir
disposer
d’une
vision
claire
de la
gouvernance
à
mettre
en
œuvre
pour
piloter
le
déploiement
de ce
plan.
Je
souhaite
que
l’on
puisse
s’assurer,
autant
le
Gouvernement
que
l’ensemble
de
nos
institutions,
ainsi
que
les
communes
et
nos
partenaires,
des
avancées
concrètes,
au
fur
et à
mesure
de
l’avancée
des
travaux.
Je
souhaite
une
méthode
inédite
de
gouvernance,
qui
tienne
compte
sans
doute
de
nos
faiblesses
et de
nos
points
à
améliorer
parfois
dans
le
suivi
de
certaines
feuilles
de
route,
mais
aussi
de
l’engagement
et de
l’implication
de
nos
agents
publics
et de
la
société
civile
qui
ne
ménagent
pas
leurs
efforts,
depuis
des
mois,
pour
faire
face
à une
situation
brutale
et
inédite.
Je
voudrais
les
en
remercier
publiquement.
Ainsi,
et
j’espère
que
c’est
aussi
votre
cas,
je
retiendrai
les
mots
d’efficacité,
de
solidarité,
de
cohésion
pour
caractériser
ce
plan.
Je
vous
le
répète,
il va
encore
évoluer
dans
les
semaines
à
venir,
n’hésitez
donc
pas à
nous
faire
remonter
vos
remarques
et
vos
suggestions.
Et il
sera
complété
également
à la
fois
par
le
plan
quinquennal
à
finaliser
avec
l’État,
et
par
un
plan
de
transformation
économique
à
l’échelle
de la
décennie.
Je
vous
remercie
de
votre
écoute,
et de
votre
engagement.
Le
général
de
Gaulle
résuma
un
jour
l'art
militaire
en
une
phrase
:-"
La
guerre
c'est
comme
la
chasse.
Sauf
qu'à
la
guerre,
les
lapins
tirent
!"
Antonin
Dubost,
président
du
Sénat
sous
la
troisième
république
en
1918
et
candidat
à la
présidence
de la
République
fit
grief
à
Clemenceau
qui
soutenait
le
candidat
radical
: "
Vous
ne me
soutenez
pas.
Vous
dites
à
tout
le
monde
que
je
suis
un
imbécile.
Je ne
suis
pourtant
pas
plus
bête
qu'un
autre.
-Quel
autre
?
A
la
suite
d'une
erreur
de
date
nous
avions
relevé
la
mise
sous
contrôle
judiciaire
de
Dominique
Auroy...mais
en...novembre
2011
! De
l'eau
a
coulé
sous
les
ponts
depuis
, il
passera
un
excellent
Noêl,
nous
nous
excusons
pour
cette
erreur
!
Modification
des
modèles
de
carnets
à
souches
de
contravention
Le
Conseil
des
ministres
a
adopté
les
nouveaux
modèles
de
carnets
à
souches
de
contravention,
principalement
utilisés
pour
relever
les
infractions
les
plus
courantes
au
code
de la
route
de la
Polynésie
française
(stationnement
interdit,
excès
de
vitesse,
etc.)
suivant
la
procédure
de
l’amende
forfaitaire.
En
effet,
ces
infractions
donnent
lieu
à
l’établissement
d’un
avis
de
contravention
et
d’une
carte
de
paiement,
qui
sont
remis
au
contrevenant
au
moment
de la
constatation
de
l’infraction,
ou à
défaut
adressés
à son
domicile.
La
régie
de
recette
du
guichet
unique
de la
Direction
des
affaires
foncières
est
désormais
en
charge
du
recouvrement
des
amendes
forfaitaires,
entrainant
la
nécessaire
modification
des
modèles
de
carnets
à
souches
de
contravention.
Cette
modification
permet
ainsi
de
mener
les
procédures
jusqu’à
leur
terme
tant
du
côté
des
contrevenants,
en
actualisant
les
moyens
de
paiement
de
l’amende
que
de
l’administration,
en
sécurisant
la
procédure.
Dans
un
souci
économique
et
écologique,
les
anciens
modèles
de
carnets
à
souches
de
contravention
resteront
utilisables,
sans
incidence
sur
la
procédure,
jusqu’à
l’épuisement
des
stocks
afin
de
laisser
toute
latitude
à
l’officier
du
ministère
public
de
s’organiser
pour
la
commande
et la
diffusion
des
nouveaux
modèles
de
carnets.
A
propos
Décidément
rien
ne va
plus
au
fenua,
les
huîtres
perlières
sont
empoisonnées
par
le
plastique,
la
fourmi
jaune
attaque
les
Gambier,
dans
la
nuit
du 20
au 21
décembre,Jupiter
et
Saturne,
phénomènene
rare,
vont
se
rapprocher
comme
jamais,
la
violence
domestique
fait
des
ravages
dans
les
ménages.
Enfin,
on
relève
178
cas
de
covid
en
Polynésie,
62
personnes
hospitalisées
dont
28 en
réanimation
et 7
décès
depuis
le 4
décembre
2020,total
du
mois
: 86
décès.
Claude
Panero
pressentie
depuis
quelques
semaines
pour
prendre
en
charge
le
CHPF.
Noël
2020
ne
sera
sans
doute,
pas
bon
pour
tout
le
monde
même
si
vous
achetez
au
fenua
comme
la
presse
vous
le
conseille
tous
les
jours
! A
part
ça,
tout
va
très
bien,
même
la
pluie
s'est
arrêtée,
place
au
nettoyage...Attention
:.Edouard
Fritch
ne va
pas
lever
le
couvre-feu
qui
se
maintiendra
jusqu'à
la
fin
du
mois
de
janvier,
avec
un
petit
aménagement
pour
Noël
parait-il.
Message
de
condoléances
et
rappel
des
mesures
de
sécurité
pour
la
pêche
sous-marine
C’est
avec
une
profonde
émotion
que
le
Président
Edouard
Fritch,
et
que
le
Vice-président,
ministre
en
charge
de
l’Economie
bleue,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
ont
appris
le
décès
d’un
pêcheur
sous-marin
à
Arutua,
aux
Tuamotu.
Ce
nouveau
drame
porte
à
sept
le
nombre
de
victimes
dans
le
cadre
de la
pratique
de la
pêche
sous-marine
cette
année.
Cette
activité
exercée
par
de
nombreuses
personnes
en
Polynésie
française
n’est
pas
sans
risques,
c’est
pourquoi
le
Pays
soutient
depuis
plusieurs
années
les
actions
menées
en
faveur
de la
protection
des
pêcheurs.
Samedi
dernier,
le
Vice-président
rencontrait
à
Papeari
les
représentants
de la
Fédération
tahitienne
de
sports
subaquatiques
de
compétition
dans
le
cadre
d’une
session
de
formation
aux
risques
liés
à
cette
pratique.
Les
accidents
en
mer
ne
sont
pas
une
fatalité
et le
Pays
va
renforcer
son
engagement
pour
sensibiliser
et
former
un
large
public
aux
règles
essentielles
de
sécurité.
Les
deux
principales
règles
étant
de ne
jamais
chasser
seul
et de
connaître
ses
limites.
Le
Président
et le
Vice-président,
en
charge
de
l’Economie
bleue,
adressent
leurs
condoléances
et
expriment,
à
quelques
jours
des
fêtes
de
Noël,
leur
sentiment
de
solidarité
à
l’égard
de la
famille
du
pêcheur
et de
ses
proches.
Amendement
Lurel
pour
l'Outre-mer
:
adopté
fin
novembre,
il
est
finalement
rabaissé
à 100
millions
d'euros
Alors
que
le
Sénat
se
prononce
sur
le
budget
2021,
l'amendement
Lurel
en
faveur
de
l'Outre-mer
a
quant
à lui
été
rétréci
après
une
seconde
délibération
ce
lundi.
Initialement
prévu
à 2,5
milliards
d'euros,
il a
été
ramené
à 100
millions
d'euros.
Outre-mer
la
1ère
(avec
AFP)
•
Le
Sénat,
dominé
par
l'opposition
de
droite,
a
adopté
ce
mardi
en
première
lecture,
après
l'Assemblée
nationale,
le
projet
de
budget
hors
norme
pour
2021
du
fait
du
Covid,
mais
après
l'avoir
marqué
de
son
empreinte.
Les
sénateurs
ont
achevé
hier
l'examen
de ce
projet
de
loi
de
finances
et
son
plan
de
relance
de
100
milliards
d'euros.
Le
vote
solennel
avait
lieu
cet
après-midi.
Le
texte
modifié
a
donc
été
voté
par
211
voix
pour
(LR,
grande
majorité
des
centristes,
Indépendants)
et 96
voix
contre
(PS,
CRCE
à
majorité
communiste
et
écologistes).
Le
groupe
RDPI
à
majorité
En
Marche
s'est
abstenu,
de
même
que
la
majeure
partie
du
groupe
RDSE
à
majorité
radicale.
Amendement
Lurel
nettemment
rétréci
Côté
"dépenses",
les
Sénat
a
voté
les
crédits
de la
majorité
des
"missions"
de
l'Etat,
le
plus
souvent
avec
des
modifications.
La
mission
"plan
de
relance"
par
exemple,
qui
représente
un
peu
plus
d'un
tiers
du
plan
gouvernemental,
avec
36,4
milliards
d'euros
en
autorisations
d'engagement
répartis
entre
écologie,
compétitivité
et
cohésion
des
territoires,
a été
votée
au
terme
d'un
débat
chaotique.
Lors
d'une
seconde
délibération
demandée
par
la
commission
des
Finances,
le
Sénat
est
aussi
finalement
revenu
lundi
soir
sur
l'amendement
à 2,5
milliards
d'euros
du
Sénateur
guadeloupéen
Victorin
Lurel
(PS)
en
faveur
de
l'Outre-mer
: son
adoption
surprise
fin
novembre
avait
semé
la
confusion.
Le
président
PS de
la
commission
des
Finances
Claude
Raynal
avait
pointé
du
doigt
à
l'époque
unproblème "d'équilibre
budgétaire" avec
d'autres
amendements
insuffisamment
gagés,
ce
dernier "[faisant] exploser
tous
les
compteurs."
L'amendement
de
Victorin
Lurel
en
faveur
de
l'Outre-mer
a
finalement
été
ramené
à 100
millions
d'euros.
Mardi
8
décembre
2020
Etat
du
coronavirus
:
178
nouveaux
cas,
15
332
cas
cumulés,
62
hospitalisations,
86
décès.
Nicolas
Sarkozy
a
écopé
d'une
peine
très
lourde
dans
l'affaire
des
écoutes:
4 ans
de
prison
dont
deux
ferme.
Cela
aurait
pu
être
pire.
Il
est
jugé
pour
"corruption
active"
et
"trafic
d'influence"et
accusé
d'avoir
noué
un
pacte
de
corruption
avec
le
magistrat
Gilbert
Azibert
pour
obtenir
des
informations
sur
une
procédure
judiciaire
le
concernant.
L'ancien
chef
de
l'Etat
a
martelé
qu'il
n'avait
jamais
trafiqué
de sa
vie.
Il
encourait
une
peine
de
prison
de
dix
ans
et
une
amende
d'un
million
d'euros.
Des
peines
similaires
avaient
été
requises
contre
l'ancien
magistrat
Gilbert
Azibert
et
contre
Thierry
Herzog,
l'avocat
historique
de
Nicolas
Sarkozy
avec
interdiction
d'exercer
son
métier
pendant
cinq
ans.
Deux
ans
de
prison
quand
même
pour
Sarkozy
ancien
président
de la
République,
c'est
lourd
!
A
propos
A
chaque
fois
que
je
lis
le
journal
à la
rubrique
politique,
je me
dis "
je
suis
contente
de ne
plus
en
faire
activement
!"
Flosse
a bu
le
calice,Chirac
n'y a
pas
coupé,
Sarkozy
est
en
train
de le
boire
aussi
et
nombreux
sont
ceux
qui
l'ont
bu.
Le
procès
des
écoutes
fait
à
Nicolas
Sarkozy
en ce
moment
a
permis
à cet
homme,
avocat
de
métier,
d'être
offensif
à la
barre
et de
dénoncer
"
une
traque
judiciaire
"
à son
encontre
repris
par
toute
la
presse
spécialisée.
Un
véritable
roman
policier
avec
soupçon
de
financement
libyen
de sa
campagne
présidentielle
de
2007
jusqu'à
découvrir
une
ligne
téléphonique
avec
son
avocat
sous
le
nom
de
code
de
"Paul
Bismuth".
Un
bon
polar
en
perspective.
La
justice
lui
reproche
d'avoir
donné
" des
coups
de
pouce"
ainsi
que
son
avocat,
à un
personnage
dont
on
n'avait
jamais
entendu
parler
pour
l'aider
à
sortir
d'un
mauvais
pas
judiciaire.
Sarkozy
avait
d'ailleurs
répondu
au
juge
qui
le
lui
reprochait
:
mon
avocat
m'avait
demandé
de
donner
un
coup
de
pouce
à
Mr.A
or ma
vie a
été
de
donner
des
"coups
de
pouce"
aux
uns
et
aux
autres
au
cours
de ma
vie
parce
que
c'est
40
ans
de
politique."
Aucun
homme
politique
ne
peut
nier
ce
fait
qui
fait
partie
de
"la
carrière".
Mais
dans
le
cas
présent
et
bien
que
retraité
de la
vie
politique
Nicolas
Sarkozy
encourt
avec
les
deux
prévenus
rien
moins
que
dix
ans
d'emprisonnement
et un
million
de
frs
d'amende
pour,
selon
la
formule
désormais
consacrée
"
corruption
et
trafic
d'influence
d'un
délinquant
chevronné."
(lire
ci-dessus)
Alors
messires
et
gentes
dames,
réfléchissez
bien
avant
de
vous
lancer...en
politique."
Car
si un
jour
vous
avez
besoin
de
toutes
les
personnes
qui
pensent,
le
juge
pourra
vous
répondre
: "
ce
n'est
pas
suffisant,
la
cour
a
besoin
de la
majorité"!
Ce
qui
veut
dire
que
vous
l'aurez
"in
the
baba"
!
A
propos
de
vaccination
En
droit
français
le consentement
du
malade
aux
soins
est
une
obligation
consécutive
au
caractère
contractuel
de la
relation
médecin-malade.
Le
consentement
doit
être
libre
c'est
à
dire
en
l'absence
de
contrainte
et
éclairé
c'est
à
dire
précédé
d'une
information.
Entretien
avec
le
ministre
de
l’Education
nationale,
Jean-Michel
Blanquer
La
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
Christelle
Lehartel,
a
rencontré,
lundi
à
Paris,
le
ministre
de
l’Education
nationale,
de la
jeunesse
et
des
sports
Jean-Michel
Blanquer,
dans
les
locaux
de
son
ministère.
Lors
de
cette
rencontre,
la
ministre
a pu
faire
le
point
sur
la
politique
éducative
de la
Polynésie
française
et
sur
la
préparation
de la
rentrée
scolaire
2021-2022.
Les
échanges
ont
aussi
porté
sur
des
préoccupations
communes,
notamment
les
conséquences
de la
crise
sanitaire
pour
les
élèves,
les
familles
et
les
personnels
de
l’Education.
Les
conséquences
de la
complexité
archipélagique
de la
Polynésie,
en
matière
d’éducation
et de
développement
du
numérique
éducatif
pour
tous,
ont
également
été
abordées
à
cette
occasion.
Quatre
agents
de la
DPAM
reçoivent
leurs
cartes
d’assermentation
La
directrice
de la
Direction
polynésienne
des
affaires
maritimes
(DPAM),
Cathy
Rocheteau,
a
procédé
lundi,
dans
les
locaux
de la
DPAM
à
Fare
Ute,
à la
remise
des
cartes
d’assermentation
à
quatre
agents
de la
DPAM
en
charge
de la
sécurité
des
navires:
Bonvicini
Teriitehau,
Thierry
Martin,
Yves
Martin
et
Teinamai
Faaruia-Germain.
Ces
cartes
confèrent
désormais
aux
quatre
agents
de la
DPAM
des
prérogatives
exceptionnelles
dans
l’exercice
de
leurs
missions
de
contrôle
et de
sécurité
des
navires.
En
effet,
les
agents
assermentés
pourront
mener
les
actions
de
contrôle
relevant
de la
police
de
sécurité
des
navires,
dans
le
cadre
des
procédures
d’attributions,
de
renouvellement
et de
retrait
de
titres
de
navigation
des
navires.
Ils
pourront
rechercher
et
constater
les
infractions
découlant
de la
loi
du 5
juillet
modifiée
et de
ses
textes
d’application
subséquents,
et
constater
les
infractions
à la
réglementation
en
vigueur,
afférente
à la
sécurité
de la
navigation
et de
la
sécurité
de la
circulation
maritime
dans
les
eaux
intérieures.
Cette
carte
donne
un
réel
pouvoir
à son
détenteur
dans
le
cadre
de
ses
missions.
Ces
pouvoirs
découlent
de la
loi
qui
fixe
les
compétences
de la
Polynésie
française,
et de
sa
reconnaissance
par
les
autorités.
La
carte
est
d’ailleurs
signée
du
Président
de la
Polynésie
française.
Ce
faisant,
le
Président
de la
Polynésie
française
requiert
toutes
les
autorités
constituées
de
prêter
à
l’agent
assermenté,
une
aide,
un
appui
et
une
protection
dans
tout
ce
qui
se
rattache
à
l’exercice
des
fonctions
qui
lui
sont
confiées.
Pour
ce
faire,
les
agents
sont
nommés
par
arrêté
du
Président
de la
Polynésie
française
publié
au
Journal
officiel
de la
Polynésie
française
(JOPF).
Ils
reçoivent
un
agrément
du
procureur
de la
République
et
ils
ont
prêté
serment
devant
le
Tribunal
civile
de
Papeete.
L’agent
est
commissionné
par
arrêté
du
Président
de la
Polynésie
française
publié
au
JOPF
et sa
carte
d’assermentation
est
visée
par
le
greffe
du
Tribunal,
signé
par
le
Président
et le
chef
de
service
puis
notifié
à
l’intéressé.
Lors
de
son
serment,
l’agent
a
juré
et
promis
de
bien
et
loyalement
remplir
ses
fonctions
et
d’observer
en
tous
les
devoirs
qu’elle
impose.
L’agent
a
juré
également
de ne
rien
révéler
ou
utiliser
de ce
qui
sera
porté
à sa
connaissance
à
l’occasion
de
ses
fonctions.
Réunion
avec
le
bureau
de l’UPJ
Le
bureau
de
l’Union
Polynésienne
de la
Jeunesse
(UPJ)
a été
reçu,
mardi
matin,
par
le
Président
Edouard
Fritch,
et le
ministre
de la
Culture,
en
charge
de la
jeunesse,
Heremoana
Maamaatuaiahutapu.
L’UPJ
a
présenté
ses
projets
pour
les
mois
à
venir.
Il a
d’abord
été
rappelé
que
l’UPJ
a été
créée
il y
a 42
ans
et
que
cette
union
regroupe
44
associations,
dont
notamment
la
FOL,
les
écoles
protestantes
du
dimanche,
l’UTFSCF,
Arii
Heiva
Rau,
l’UCJG,
l’AFOCAL,
Puna
Reo,
les
Scouts
et
guides
de
France,
l’association
Hotuarea,
le
MEJ,
ou
encore
Positive
Riding
Vibes.
L’UPJ
accentue
beaucoup
ses
interventions
pour
des
formations
en
faveur
de la
jeunesse,
tel
que
le
BAFA,
et
porte
également
des
évènements
comme
le
Taurea
Awards,
le
Taurea
Move,
Upa
Nui,
mais
aussi
organise
des
camps
pour
des
adolescents,
et
accompagne
les
stagiaires
placés
en
service
civique.
Pour
le
bureau
actuel
de l’UPJ,
le
thème
central
qui
guidera
les
actions
futures
est
intitulé
Te
Aroha,
la
Bienveillance.
L’un
des
piliers
les
plus
importants
de l’UPJ
réside
dans
les
actions
de
prévention
et de
construction
identitaire
des
jeunes.
Cette
rencontre
a
permis
d’échanger
sur
les
enjeux,
les
moyens,
et
les
problématiques
liées
à la
jeunesse.
Le
président
Fritch
a
souligné
l’importance
de la
thématique
de la
jeunesse
pour
les
familles,
les
maires
et
les
autorités
du
Pays.
Il a
insisté
sur
la
nécessité
pour
l’UPJ
de
collaborer
avec
les
maires
qui
eux
aussi
se
préoccupent
de la
jeunesse
de
leur
commune.
Le
président
a
manifesté
une
écoute
attentive
et a
fait
des
propositions
constructives
sur
les
moyens
souhaités.
« J’ACHÈTE
AU
FENUA POUR
NOËL
»
LA
CCISM
LANCE
UNE
CAMPAGNE
DE
COMMUNICATION
EN
SOUTIEN
AUX
ENTREPRISES
DU
FENUA
La
CCISM
s'est
mobilisée
dès
les
débuts
de la
crise
sanitaire,
pour
soutenir
les
patentés,
les
chefs
d’entreprises,
les
commerçants…
En
complément
des
actions
d'accompagnement
déjà
menées,
la
CCISM
avec
le
soutien
de
ses
partenaires
Papeete
Centre-Ville
(PCV)
et
TNTV,
lance
une
nouvelle
campagne
de
communication
«
J’achète
au
fenua
pour
noël»,
afin
de
soutenir
les
entreprises
du
fenua
en
période
de
fêtes.
Le
message
de
cette
campagne
« Pour
les
fêtes,
je
donne
du
sens
à mes
achats.
J’achète
au
fenua,
je
soutiens
l’emploi
et
l’économie
locale.
»
vise
à
mobiliser
les
Polynésiens
autour
de
l’enjeu
économique
et
citoyen
qu’engendre
la
crise
actuelle
en
période
de
fêtes.
«
Nous
sommes
dans
une
dynamique
de
sauvegarde
de
l’activité
économique
locale
et
avons
décidé
de
mettre
en
place
pour
les
fêtes,
une
action
qui
fait
appel
à la
solidarité,
en
soutien
aux
entreprises
impactées
par
les
conséquences
de la
crise.
Nous
souhaitons
ainsi
encourager
le
« consommons
au
fenua »
pour
les
fêtes
afin
de
préserver
l’activité
et
l’économie
polynésienne.
»
explique,
Stéphane
Chin
Loy,
président
de la
CCISM.
L’objectif
de
cette
campagne
est
de
faire
prendre
conscience
aux
consommateurs
Polynésiens,
qu’ils
sont
tous
acteurs
et
ont
le
pouvoir
d’agir,
pour
relancer
l’activité
et
l’économie
polynésienne
en
privilégiant
les
achats
au
fenua.
Les
entreprises
de
tous
secteurs
d’activités
confondus,
sont
invitées
à
s’approprier
cette
campagne
afin
de
promouvoir
ce
mouvement
et
d’animer
leurs
points
de
vente
en
s’appuyant
sur
un
kit
de
promotion
téléchargeable
sur
le
site
internet
de la
CCISM.
Cette
campagne
qui
sensibilise
également
au
respect
des
gestes
barrières,
sera
déployée
du 09
au 24
décembre
2020,
et se
déclinera
avec
le
soutien
des
partenaires
et
médias
à
travers
une
communication
sur
le
web
et
les
réseaux
sociaux
notamment
via
une
page
Facebook
dédiée
J'Achète
au
Fenua
pour
Noël,
regroupant
les
offres
spéciales
et
solutions
comme
le
« Click
&
Collect »
pour
les
achats
de
Noël,
d’affichage
urbain
et
dans
les
vitrines
des
enseignes
participantes
ou
encore
de
vidéos
promotionnelles
diffusées
sur
le
web
et en
télévision.
Toutes
demandes
d’inscription
et de
renseignements
peuvent
être
adressées
à
Odile
TCHEOU
au 40
47 27
68 ou
par
email
odilet@ccism.pf
.
18ème
conférence
ministérielle
de
l’Association
des
pays
et
territoires
d’outre-mer
pour
les
années
2019
et
2020
Le
Président
de la
Polynésie
française,
Edouard
Fritch,
et le
Vice-président
de la
Polynésie
française,
Tearii
Te
Moana
Alpha,
ont
participé,
mardi
matin,
à la
18ème
conférence
ministérielle
de
l’Association
des
Pays
et
territoires
d’outre-mer
(OCTA)
qui
s’est
tenue
exceptionnellement
par
visioconférence.
Cet
évènement,
présidé
par
le
président
sortant
de l’OCTA
et
Premier
ministre
de
Curaçao,
Eugène
Rhuggenaath,
a été
l’occasion
de
dresser
le
bilan
des
réalisations
de l’OCTA
durant
les
années
2019
et
2020
ainsi
que
de
présenter
la
feuille
de
route
de
l’Association
pour
2021.
L’état
d’avancement
des
discussions
avec
les 9
territoires
britanniques
membres
de l’OCTA,
qui
ne
sont
plus
considérés
comme
des
Pays
et
territoires
d’outre-mer
(PTOM)
associés
à
l’Union
européenne
(UE)
depuis
le 1er
février
2020,
date
du
Brexit,
a
également
été
présenté
par
le
Premier
ministre
de
Curaçao.
Le
retrait
de l’OCTA
des
territoires
britanniques
est
en
effet
attendu
d’ici
mars
2021.
Enfin,
la
déclaration
politique
de l’OCTA
et
les
résolutions
administratives
pour
les
années
2019
et
2020
ont
été
adoptées
à
l’unanimité
par
les
délégations
présentes.
La
déclaration
politique
de
l’Association
formalise
ainsi
les
positions
communes
des
PTOM
sur
plusieurs
sujets
majeurs
tels
que
les
orientations
stratégiques
du
partenariat
UE-PTOM,
les
conséquences
socio-économiques
de la
crise
Covid-19,
la
révision
de la
décision
d’association
outre-mer
ou
encore
l’assistance
financière
de
l’Union
européenne
pour
la
période
2021-2027.
A
l’issue
de
l’évènement,
le
Président
du
gouvernement
de la
Nouvelle-Calédonie,
Thierry
Santa,
a été
élu à
la
Présidence
de
l’Association
pour
l’année
2021.
A
Noumea
ça
chauffe
!
Blocages,
embouteillages,
et
même
des
affrontements,
ce
matin
à
Nouméa,
entre
des
militants
de l’ICAN
et
les
forces
de
l'ordre, après
la
rupture
du
dialogue
dans
le
dossier
"usine
du
Sud". Le
dossier
est
explosif :
il
s'agit
de la
reprise
de
l’usine
de
traitement
de
nickel
et de
cobalt
du
groupe
brésilien
Vale.
Cette
opération
dans
le
secteur
sensible
du
nickel
électrise
le
climat
entre
les
indépendantistes
et
les
loyalistes.
Lundi
7décembre
2020
A
propos
La
France
a
changé
de
braquet
La
lecture
des
quotidiens
aujourd'hui
concernant
la
Polynésie
politique
devient
parfois
de
plus
en
plus
abscons.
Certains
en
particulier
posent
les
questions
et
donnent
les
réponses.
Ils
devraient
savoir
que
plus
c'est
long,
plus
c'est
lumineux,
pour
celui
qui
se
fait
plaisir
en
écrivant
et
moins
la
lumière
illumine
les
ténèbres
de la
compréhension
polynésienne
qui
s'arrête
de
lire
à la
deuxième
ligne,
mieux,
une
fois
lu le
terme
de
"processus
d'autodétermination"
qui
fait
soudain
irruption.
Alors
certes
les
représentants
à
l'Assemblée
font
écho
auprès
de
leurs
propre
population
et à
leur
manière
bien
sûr,
de ce
qui
s'est
dit à
l'ONU.
On
retiendra
simplement
que
la
France
a
changé
de
braquet
et
qu'elle
n'est
plus
véritablement
opposée
à
discuter
d'un
processus
d'autodétermination
"
nous
souhaitons
que
la
décision
d'inscription
de la
Polynésie
française
sur
la
liste
des
territoires
non
autonomes
soit
revue
pour
tenir
compte
de la
réalité
et
respecter
la
volonté
de la
population
polynésienne"
Comme
quoi
tout
arrive
à qui
sait
attendre
sachant
qu'Edouard
Fritch
a
plaidé
le 8
octobre
2019
devant
la
commission
de
l'ONU
en
listant
tout
ce
que
le
pays
a
obtenu
de
haute
lutte(
statut
Flosse
2004)
et
qui
fait,
par
voie
de
conséquence,
de la
Polynésie
française,
un
pays
autonome
(mais
avec
les
subsides
de la
métropole
heureusement.)
La
France
a
donc
souhaité
que
la
décision
d'inscription
de la
Polynésie
française
sur
la
liste
des
territoires
non
autonomes
soit
revue
pour
tenir
compte
de la
réalité
et de
la
volonté
de la
population
et
des
élus
bien
sûr.
Quand
aux
indépendantistes
locaux,
ils
se
réjouissent,
aussi,
de ce
grand
écart
de la
France
à
l'ONU
entre
2018/
2019
et
2020.
Conclusion
:
"tout
le
monde
il
est
beau,
tout
le
monde
il
est
gentil
! "
Ledroit
des
peuples
à
disposer
d'eux-mêmes,
ou droit
à
l’autodétermination,
est
le
principe
issu
du droit
international selon
lequel
chaquepeuple dispose
ou
devrait
disposer
du
choix
libre
et
souverain
de
déterminer
la
forme
de
sonrégime
politique,
indépendamment
de
toute
influence
étrangère.
Aucun
texte
cependant
ne
définit
clairement
la
notion
de
« peuple ».
Nous
opterions
par :
l'ensemble
des
hommes
et
des
femmes
d'un
pays
ayant
la
même
citoyenneté
ou
vivant
dans
le
pays
concerné
depuis
un
certain
nombre
d'années.
Bref,
ce
droit
aujourd'hui
est
bien
réel.
Et si
la
France
nous
mettait
devant
le
fait
à
accomplir
!?
Le
CESEC
contraint
de
rendre
son
avis
trop
rapidement
à son
goût
sur
le
statut
artistique
Le
CESEC
a été
saisi
selon
la
procédure
d’urgence,
prévue
par
l’article
151-II
de la
loi
organique
n°2004-192
du 27
février
2004,
et a
été
contraint
de
rendre
son
avis
dans
un
délai
de 15
jours.
Il
aurait
souhaité
disposer
d’un
délai
d’un
mois,
lui
permettant
d’examiner
le
projet
de
texte
plus
en
profondeur
et
dans
de
meilleures
conditions.
il
constate
que
malgré
les
états
généraux
de
2009
et la
consultation
de
2014,
la
réalité
économique
des
artistes
reste
très
précaire.
La
carte
d’artiste
professionnel
et la
carte
d’artiste
émergent
constituent
une
avancée
encourageante
dans
la
reconnaissance
de
l’artiste.
Ce
projet
constitue
une
étape
supplémentaire
vers
l’amélioration
et la
reconnaissance
du
statut
artistique,
social
et
économique
de
l’artiste.
il
souligne
également
qu’il
ne
dispose
pas à
ce
jour
d’une
image
globale
de la
situation
du
monde
artistique
en
Polynésie
française
et de
ses
évolutions.
A
tout
le
moins,
les
enjeux
de ce
secteur
en
Polynésie
française
ont
pu
faire
l’objet
de
travaux
deréflexion
lors
des
états
généraux
de
l’outre-mer
en
2009
et de
la
consultation
dénommée
Honorahu’a
en
2014. Pour
sensibiliser
et
obtenir
l’adhésion
des
publics
visés
au
dispositif
proposé,
le
CESEC
préconise
de
poursuivre
les
efforts
en
matière
d’information
et de
communication
auprès
des
artistes
en
Polynésie
française
et
des
acteurs
concernés.
Afin
de
conserver
et
promouvoir
la
diversité
et la
richesse
des
disciplines
et
pratiques
artistiques,
le
CESEC
recommande
de
porter
une
attention
particulière
sur
les
définitions
retenues
par
le
projet
de
texte,
l’étendue
de
son
champ
d’application,
les
indices
de
professionnalité
et de
qualité
artistique.
Il
considère
par
ailleurs,
que
les
règles
d’affiliation
prévues
par
les
régimes
de
Protection
Sociale
Généralisée
(PSG)
doivent
s’appliquer
aux
artistes.
Dès
lors
qu’ils
sont
titulaires
d’une
carte
d’artiste
professionnel
ou
émergent,
il
rappelle
qu’ils
doivent
s’acquitter
de
leurs
obligations
sociales,
qu’ils
relèvent
du
RGS
ou du
RNS.
S’agissant
de
l’instauration
du
« 1%
artistique »,
le
CESEC
propose
d’envisager
l’extension
de
cette
mesure
à
d’autres
types
d’ouvrages
publics
et
aux
opérations
de
rénovation
de
bâtiments
et
ouvrages
publics.
Il
préconise
que
les
entités
privées
polynésiennes
qui
permettent
aux
artistes
d’exprimer
leur
art
et
d’en
vivre,
puissent
bénéficier
de
déductions
fiscales.
A
titre
d’exemple,
cela
permettrait
à
tout
restaurateur
ou
hôtel
faisant
appel
à des
groupes
de
musique
ou
danse,
orchestres
ou
autres
artistes,
dont
au
moins
un
membre
est
détenteur
de la
carte
d’artiste
professionnel,
d’adjoindre
le
numéro
de
carte
à la
facture
de sa
prestation.
A la
fin
de
l’année,
l’exploitant
de
l’établissement
pourrait
faire
valoir
ces
activités
et
ainsi
solliciter
un
bonus
fiscal
en
relation
au
montant
des
factures
concernées.
L’avantage
serait
de
favoriser
l’activité
artistique
en
incitant
les
exploitants
d’établissements
à
faire
appel
aux
artistes. L’avantage
fiscal
devrait
prévoir
un
plafond
de
revenus
au-delà
duquel
le
régime
fiscal
de
droit
commun
devra
s’appliquer.
Par
ailleurs,
il
recommande
de
prévoir
et
d’organiser
les
moyens
et
procédures
permettant
d’assurer
l’inventaire,
la
gestion
et la
conservation
des
œuvres
artistiques
dans
les
meilleures
conditions.
Enfin,
le
CESEC
préconise
de
poursuivre
la
démarche
visant
à
consolider
le
statut
d’artiste
et à
lui
conférer
toute
sa
place
dans
la
politique
culturelle
de la
Polynésie
française,
notamment
par
la
création
d’un
environnement
favorable
à son
soutien
et
son
développement.
A ce
titre,
la
protection
et la
valorisation
du
patrimoine
artistique
et
culturel
constituent
un
volet
qui
mérite
également
toute
l’attention
des
pouvoirs
publics.
Conclusion
:Au
regard
des
observations
et
recommandations
qui
précèdent,
le
CESEC
émet
un
avis
favorable
au
projet
de
loi
du
pays
qui
lui
est
soumis.
L’avis
du
CESEC
a été
voté
à 39
voix
POUR,
0
CONTRE,
1
Abstention.
Ils
n'iront
pas
au
paradis...
! Et
ils
s'en
fichent
!
Le
mois
de
Noël,
cela
devrait
être
le
mois
du
bonheur,
de
l'espérance,
de la
joie
des
enfants,
des
remises
de
peine
pour
les
prisonniers,
et
bien
pourtant
non !
Certains
êtres
humains
sont
méchants
sans
même
le
savoir,
parfois.
Tout
le
monde,
certes,
ne
peut
pas
être
gentil
ou
généreux.
Bienvenue
sur
la
planète
Terre
à
laquelle
nous
devons
nous
habituer.
Gentils
ou
méchants,
ce
scénario
auquel
nous
sommes
tous
confrontés
risque
de se
reproduire
encore
et
encore
. Un
expert
de la
vie
avec
lequel
j'évoquais
le
cas
de
cet
ami
bloqué
(
l'amitié
n'est
pas
un
vain
mot)
professionnellement
par
"un
méchant"
qui
le
condamnait,
compte
tenu
de sa
position,
et
probablement
avec
l'accord
de la
hiérarchie
du
méchant,
à
vivre
sans
un
kopeck,
me
révulse.
Quoi
de
plus
humiliant
pour
un
homme
bardé
de
diplômes
dans
la
catégorie
médicale
de
s'exiler
pour
survivre,
à
cause
d'un
"homme
mauvais"
qui
lui a
trouvé
tous
les
défauts
de la
Terre,
de la
Lune
et de
Saturne
et
ce,
pendant
son
mandat
de
ministre
bien
sûr
au
cours
duquel
il
peut
pérorer
dans
la
presse
ou à
la
télévision
pour
donner
des
conseils(sic!)
alors
que
le
président
de ce
pays,
d'un
mot,
pourrait
enrayer
le
mauvais
personnage.
Pendant
ce
temps
la
victime,
que
l'ONU,
respecte,
partira,
une
fois
encore,
loin
des
siens,
en
mission,
soigner
des
Nigériens,
des
Maliens,
des
Haïtiens
au
lieu
des
Polynésiens
qui
ont
pourtant
besoin
de
médecins
.
Il y
a
quelque
chose
de
pathétique,
qu’il
faut
savoir.
c’est
important
!
il
faut
savoir
que
ce
scénario
auquel
nous
sommes
tous
confrontés,
un
jour
ou
l'autre,
risque
de se
reproduire
dans
la
vie
de
chacun.
Alors
que
faire
quand
un
despote,
copain
comme
cochon
avec
le
despote
hiérarchiquement
son
supérieur,
projette
sur
vous
une
méchanceté
gratuite
vous
pénalisant,
vous
la
victime
et sa
famille....A
moins
d'un
miracle
de
Noël
auquel
moi,
je ne
crois
pas
puisque
ce
sont
des
méchants,
méchants
ils
resteront
!
Bien
sûr,
dans
la
vie
il
faut
apprendre
à se
défendre,
c'est
la
jungle,
il
convient
donc
de se
faire
respecter
et de
se
protéger
contre
certaines
personnes
manipulatrices
narcissiques,
rongées
de
haine.
Hélas,
nous
allons
rencontrer
des
hommes
qui
sont
tout
simplement
méchants
sans
aucune
raison
"apparente".
La
jalousie
y est
souvent
pour
quelque
chose
mais
aussi
et
surtout
la
rancune
"plaisir
mauvais"
qui
les
rend
plus
forts
aujourd'hui.
En
business
sûrement.
Médicalement
naze.
Fort
heureusement
celui
auquel
nous
pensons
n'exerce
plus,
il
n'en
a
plus
besoin
entre
ses
affaires
et
son
ministère
qui
lui
interdit
pourtant
de
monter
de
multiples
sociétés
commerciales.
Ce
dont
il
n'a
cure,
et
les
autorités
aussi
!
Alors
pourquoi
se
gêner
puisque
en
étant
ministre
de la
Santé,
il
fait
ce
qu'il
veut
?
La
roue
de la
vie
tourne,
parfois
à
vide
pendant
un
certain
temps,
puis
finalement
à
plein
rendement
un
jour
ou
l'autre.
Vous
vous
souviendrez
longtemps
de
ceux
qui
vous
ont
fait
du
mal,
pourtant
grenouilles
de
bénitier
pour
les
uns,
soumis
à
l'argent
pour
les
autres.
Qu'ils
aillent
au
diable
en ce
mois
de la
naissance
du
christ
roi
qui
les
voit
et
s'en
souviendra
le
jour
J
venu
!
Mais
visiblement,
comme
ils
n'y
croient
pas,
vogue
la
galère....
« Tout
ce
qui
nous
irrite
chez
les
autres
nous
conduit
à
une
meilleure
connaissance
de
nous-mêmes. »
Les
membres
du
CESEC
se
réunissent
en
assemblée
plénière
le
lundi
7
décembre
2020
à
8h30
pour :
1)
Etude
avant
adoption
du
projet
d’avis
sur
le
projet
de
loi
du
pays
portant
reconnaissance
des
professions
artistiques
de
Polynésie
française
et
diverses
mesures
de
soutien
à
ces
professions
;
2)
Présentation
de
M.
René
GALZIN,
Directeur
d’Etudes
Emérite
à
l’Ecole
Pratique
des
Hautes
Etudes
relative
à
l’Herbivorie
et
la
Résilience
;
Coronavirus
:
187
nouveaux
cas -
14
559
cas
cumulés,
70
hospitalisations,
76
décès
Décès
du
président
Valéry
Giscard
d'Estaing
à
l'âge
de 94
ans
du
coronavirus,
précurseur
de la
modernité,
auquel
les
Français
doivent
de
grandes
réformes
comme
le
vote
à 18
ans
au
lieu
de 21
ans,
la
légalisation
de
l'avortement
pour
éviter
les
avortements
clandestins
dont
nombreux
entraînaient
la
mort
des
femmes,
la
loi
sur
le
divorce
pour
coller
à la
réalité
de la
société,
la
réforme
de
l'audiovisuel,
de
l'éducation
:
collège
unique,
la
réforme
du
conseil
constitutionnel
etc..
.Par
ailleurs
j'ai
eu le
privilège
de
dîner
à
l'hôtel
Tahiti
lors
de la
visite
du
président
Giscard
d'Estaing
en
Polynésie,
celui-ci
invité
à un
dîner
offert
par
Francis
Sanford
et
Alec
Ata.
Ce
dernier
pour
la
petite
histoire,
m'avait
demandé
de
lui
prêter,
pour
la
table
d'honneur
mon
service
de
table
Louis
XV
cadeau
de
mariage
offert
par
mes
parents
. Ce
que
je
fis
malgré
mes
réticences
compte
tenu
du
prix
d'une
assiette,
dont
les
bordures
étaient
dorées
à
l'or
fin.
Il
n'y a
pas
eu de
casse
ni de
dommages
et
j'ai
eu
l'honneur
de
dîner
presque
en
face
du
président
Valery
Giscard
d'Estaing
avec
lequel
j'ai
échangé
quelques
mots
!
Cela
ne
s'oublie
pas !
Dans
un
communiqué,
l'ancien
président
François
Hollande
a lui
aussi
rendu
hommage
à
Valéry
Giscard
d'Estaing.
«
Il
demeurera
l'homme
qui a
modernisé
la
France.
Son
septennat
a été
marqué
par
de
grandes
réformes
comme
la
majorité
civile
à 18
ans,
l'accès
à
l'IVG
pour
les
femmes,
la
généralisation
de la
protection
sociale.
Résolument
européen,
il a
contribué
au
renforcement
du
couple
Franco-allemand,
à la
mise
en
place
de
l'union
monétaire
et à
l'ouverture
du
Marché
commun...
Aujourd'hui,
notre
pays
perd
un
homme
d'état
qui a
fait
le
choix
de
l'ouverture
au
monde
et
qui
pensait
que
l'Europe
était
la
condition
pour
le
France
soit
plus
grande.
»
0h25 : «
L'artisan
de
nouvelles
libertés
publiques
»
pour
Marine
Le
Pen
La
présidente
du
Rassemblement
national
s'est
aussi
exprimée
sur
le
décès
de
l'ancien
président
de la
République. «
Président
d'une
France
en
crise,
il
fut
l'artisan
de
nouvelles
libertés
publiques
et un
ardent
soutien
du
progrès
technologique.
En
2018,
il
confessa
que
sa
plus
grande
erreur
fut
d'instaurer
le
regroupement
familial.
»
a-t-elle
écrit
sur
Twitter.
0h18 : L'Auvergne endeuillée
Si
Valéry
Giscard
d'Estaing
a été
président
de la
République,
il a
aussi
été
l'homme
politique
de
toute
une
région,
en
restant
plus
de 18
ans
président
de la
région
Auvergne.
« La
Montagne
», le
journal
local,
lui
rend
hommageune
belle
Une.
23h59 : Sarkozy
loue
un
homme
« qui
a
fait
honneur
à la
France
»
Dans
un
texte
communiqué
sur
Twitter,
Nicolas
Sarkozy
a
fait
part
de sa
«
grande
tristesse
». «
Il
aura
toute
sa
vie
oeuvré
au
renforcement
des
liens
entre
les
nations
européennes,
cherché
et
réussi
à
moderniser
la
vie
politique,
et
consacré
sa
grande
intelligence
à
l'analyse
des
problèmatiques
internationales
les
plus
complexes.
Il
est
un
homme
qui a
fait
honneur
à la
France,
un
homme
pour
qui
j'ai
éprouvé
de
l'admiration
et
avec
qui
j'ai
toujours
eu
plaisir
à
débattre
».
23h51 : Le
«
style
VGE »
en
images
Grâce
à nos
confrères
de
l'INA.
Son
célèbrissime
« Au
Revoir
»
restera
comme
un
moment
marquant
de la
Ve
République.
23h36 : Une
minute
de
silence
au
Sénat
Alors
que
l'on
était
encore
en
séance,
la
nouvelle
de la
mort
de
Valéry
Giscard
d'Estaing
est
tombée.
Les
Sénateurs
ont
procédé
à une
minute
de
silence
en
hommage
à
l'ancien
président.
Coronavirus
: 157nouveaux
cas,
14.716
cas
cumulés,
84
hospitalisations
en
cours,
77
décès.
Le
procès
Tefana
La
cour
de
cassation
a
deux
possibilités
dans
cette
affaire
"Tefana".
Soit
elle
accepte
la
demande
de
renvoi
pour
"suspicion
légitime"
portant
sur
l'ensemble
de la
cour
d'appel
et
dans
ce
cas,
le
procès
ne
pourra
être
que
renvoyé
devant
une
autre
juridiction,
soit
elle
rejette
le
recours
ou
plutôt
les
recours
et il
conviendra
d'attendre
la
reprise
du
procès
de
Radio
Tefana
à la
mi
février
dans
la
continuité
des
débats.
Une
accalmie
!
Mais
la
politique
ne
pouvant
être
dissociée
concerne
tous
les
domaines
reconnues
par
la
société,
il
faut
bien
que
quelqu'un
tranche.
Et ce
quelqu'un,
ne
peut
être
que
la
justice
à condition
bien
sûr
qu'elle
soit
impartiale
! Je
ne
sais
plus
qui a
dit :
"
L'art
de la
guerre
est
l'art
de
détruire
les
hommes
comme
la
politique
est
l'art
de
les
tromper
!"
En
plein
dans
le
mille,
mais,
ce
quelqu'un
a
fait
l'impasse
sur
la
justice.!
Et
c'est
cette
malheureuse
République
qui a
pour
obligation
d'intégrer
"la
justice"
dans
une
dignité
qu'elle
ne
peut
jeter
aux
orties.
Toutefois
si
l'on
regarde
bien
tandis
que
France
et
Europe
rêvent,
en
idéalistes,
d'une
extension
du
Droit
international,
elles
peuvent
aussi
s'accommoder
d'une
kyrielle
de
régimes
compromis
selon
leur
propre
intérêt.
Commission
d’enquête
Covid-19 :
les
députés
pointent
les
défaillances
au
sommet
de
l’Etat
La
commission
d’enquête
parlementaire
de
l’Assemblée
nationale
a
adopté
son
rapport,
mercredi.
Selon
les
informations
du
« Monde »,
les
députés
soulignent
une
série
de
manquements
des
pouvoirs
publics
en
amont
de la
crise
sanitaire
conférence
de
presse
de la
remise
du
rapport
de la
commission
d’enquête
parlementaire
de
l’Assemblée
nationale
sur
la
gestion
de la
crise
sanitaire,
à
Paris,
le
2 décembre.
JEAN-CLAUDE
COUTAUSSE
POUR
"LE
MONDE"
L’heure
des
comptes.
Après
six
mois
d’auditions
à
l’Assemblée
nationale,
parfois
longues
et
arides,
la
commission
d’enquête
parlementaire
chargée
d’évaluer
la
réponse
à la
crise
sanitaire,
qui a
fait
plus
de
50 000
morts
en
France,
a
conclu
ses
travaux
et
finalisé
son
rapport,
sous
l’égide
du
député
Les
Républicains
(LR)
Eric
Ciotti.
Les
députés
de la
commission,
présidée
par
le
député
La
République
en
marche
(LRM)
Julien
Borowczyk,
ont
pu
consulter
le
texte
mardi
1er décembre,
sous
l’étroite
surveillance
d’huissiers
de
l’Assemblée,
afin
de
limiter
le
risque
de
fuites.
Ils
se
sont
réunis,
mercredi
2 décembre,
à
9 h 30,
pour
l’adopter,
malgré
l’abstention
des
membres
LRM
de la
commission.
Mais
les
députés
LR,
déterminés
à
« dire
la
vérité
aux
Français »,
devaient
en
dévoiler
sans
attendre
les
grandes
lignes,
à
l’occasion
d’une
conférence
de
presse
prévue
mercredi
à
l’issue
du
vote.
Un
exercice
périlleux
alors
que
la
France,
qui a
amorcé
un
déconfinement
à
petits
pas,
n’est
toujours
pas
sortie
de la
deuxième
vague
du
Covid-19.
Eric
Ciotti,
qui a
toujours
répété
ne
pas
vouloir
transformer
la
commission
d’enquête
en
tribunal,
devait
préciser
en
introduction
que
l’objectif
de
celle-ci
n’avait
pas
été
de
rechercher
des
responsabilités
individuelles
mais
d’essayer
d’éclairer
un
certain
nombre
de
dysfonctionnements,
afin
qu’ils
ne se
reproduisent
plus.
Ce
qui
n’empêche
pas
des
conclusions
sévères
sur
le
fond.
Selon
les
informations
du
Monde,
recoupées
auprès
de
plusieurs
membres
de la
commission,
le
rapport
pointe
en
effet
une
série
de
défaillances
et de
cafouillages
au
plus
haut
sommet
de
l’Etat,
en
amont
et
pendant
la
crise.
Au
conseil
des
ministres
(Extrait)
Compte
rendu
du
Conseil
des
ministres
Relations
entre
les
usagers
et
l’administration
:
généralisation
de
l’accusé
de
réception
Le
Conseil
des
ministres
a
adopté
un
arrêté
relatif
aux
accusés
de
réception
délivrés
par
l’administration
de la
Polynésie
française
et
les
mentions
minimales
que
doit
contenir
celui-ci.
Il
s’agit
d’une
mesure
d’application
de la
récente
loi
du
Pays
du 8
octobre
2020
relative
aux
relations
entre
l’administration
polynésienne
et
ses
usagers.
A
cette
occasion,
une
circulaire
a
également
été
édictée
afin
de
rappeler
aux
agents
de
l’administration
certains
bonnes
pratiques
afin
d’accompagner
au
mieux
les
administrés
dans
leurs
démarches
administratives.
Régime
de
retraite
pour
les
ministres
des
cultes
et
membres
des
congrégations,
associations
et
collectivités
religieuses
Cet
arrêté
permet
l’entrée
en
vigueur
de la
réforme
de
l’assurance
retraite
issue
de la
loi
du
Pays
du 24
août
2020,
laquelle
donne
la
possibilité
aux
ministres
des
cultes
et
aux
membres
des
congrégations,
associations
et
collectivités
religieuses
de
bénéficier
du
régime
de
retraite
en
tranche
A des
salariés,
sur
la
base
du
dispositif
d’assurance
volontaire,
dont
ils
étaient
jusqu’alors
exclus.
Désormais,
le
régime
d’assurance
volontaire
à la
retraite
est
ouvert
aux
catégories
socio-professionnelles
non-salariées
mais
également
aux
catégories
religieuses
non-salariées.
L’assuré
volontaire
est
soumis
au
principe
du
paiement
de la
double
cotisation
patronale
et
ouvrière
telle
que
définie
pour
le
régime
des
salariés.
Cette
décision
offre
aujourd’hui
la
possibilité
aux
ministres
du
culte
qui
le
souhaitent
de
cotiser
à
l’assurance
retraite
et de
bénéficier,
après
cessation
totale
d’activité,
d’une
pension
vieillesse.
Budget
2021
du
régime
général
des
salariés
Le
Conseil
des
ministres
a
rendu
exécutoire
38
délibérations
du
Conseil
d’administration
de la
Caisse
de
prévoyance
sociale
(CPS)
portant
sur
le
budget
2021
du
régime
général
des
salariés.
Le
budget
est
constitué
de
101,859
milliards
Fcfp
de
charges
(dont
notamment
6,736
milliards
Fcfp
au
titre
des
prestations
familiales,
42,797
milliards
Fcfp
au
titre
de
l’assurance
maladie,
39,163
milliards
Fcfp
au
titre
de la
retraite
tranche
A, et
8,202
milliards
Fcfp
au
titre
de la
retraite
tranche
B,
pour
ce
qui
est
des
principales
branches)
et
91,693
milliards
Fcfp
de
produits.
La
synthèse
du
budget
annuel
2021
du
régime
des
salariés
traduit,
certes
une
prudence
sur
le
maintien
de
l’activité
salariale,
en
revanche,
elle
garantit
tous
les
droits
des
assurés
sociaux,
tant
en
termes
de
couverture
maladie
que
de
retraite,
ainsi
que
le
maintien
des
conditions
d’exercice
des
structures
de
santé
privées
et
publiques,
afin
de
leur
permettre
de
continuer
le
service
rendu
à la
population
lors
de la
sortie
de la
crise
du
covid-19.
Cela
occasionne
bien
évidemment
un
déficit
global,
sans
précédent,
de
-10,166
milliards
Fcfp
(dont
notamment
-4,142
milliards
Fcfp
au
titre
de
l’assurance
maladie,
-7,197
milliards
Fcfp
au
titre
de la
retraite
tranche
A et
-882
millions
Fcfp
au
titre
de la
retraite
tranche
B)
qu’il
conviendra
de
couvrir
lors
des
exercices
à
venir.
Il
convient
de
noter
qu’en
mobilisant
des
financements
publics
conséquents,
le
Pays
s’est
engagé
à
prendre
en
charge
l’intégralité
de
l’impact
de la
crise
sanitaire
(transports
sanitaires
aériens
et
terrestres
des
patients
des
îles,
hébergement
lié
aux
évasans
et à
la
quarantaine,
etc).
Il
faut
saluer
encore,
l’implication
du
Pays,
qui a
garanti
l’emprunt
de
trésorerie
contracté
par
la
CPS,
pour
assurer
le
paiement
de
toutes
les
prestations
aux
ressortissants
du
régime
des
salariés.
En
définitive,
les
orientations
définies
par
le
ministère
en
charge
de la
protection
sociale
généralisée
ont
par
conséquent
été
retenues
par
le
conseil
d’administration
du
régime
des
salariés,
mais
la
réforme
de la
PSG
revêt
à
nouveau
un
caractère
d’urgence
qui
devra
obligatoirement
être
associée
aux
conditions
de la
reprise
économique.
Les
exercices
budgétaires
à
venir
devront,
à
minima,
couvrir
le
déficit
constaté,
ainsi
que
la
charge
de
remboursement
de
l’emprunt
de
trésorerie.
Organisation
du
transport
aérien
interinsulaire
en
Polynésie
française
Le
Conseil
des
ministres
a
approuvé
six
projets
de
textes
visant
à
mettre
en
œuvre
les
dispositions
de la
loi
du
Pays
du 25
février
2016
relatives
aux
conditions
d’exploitation
de
l’activité
de
transporteur
dans
le
secteur
aérien
public
interinsulaire.
Après
avoir
adopté
la
délibération
de
l’Assemblée
de la
Polynésie
française
du 30
juillet
2020
fixant
les
conditions
d’octroi
de la
licence
d’exploitation
dans
le
secteur
du
transport
aérien
interinsulaire,
le
Conseil
des
ministres
s’est
prononcé
favorablement
sur
la
création
d’un
Fonds
de
continuité
territoriale
aérienne
interinsulaire
(FCTAI).
Ce
fonds
a
pour
objet
de
garantir
la
mobilité
des
populations
enclavées
par
le
biais
des
transports
aériens.
Mardi
1er
décembre
2020
Coronavirus
:
187
nouveaux
cas -
14.559
cas
cumulés,
70
hospitalisations
et 76
décès.
Le Dr
Pascal
Szym
ne
laisse
personne
indifférent
(à
gauche).
Il se
bat
pour
soigner.
Le
ministre
de la
Santé
bureau
et
domicile
perquisitionnés
durant
l'été.
Homme
d'affaires
plus
que
médecin,
il
n'exerce
plus.
Il
est
entré
dans
le
gouvernement
Fritch...malgré
sa
réputation
d'affairiste
qu'il
pourra
exercer
tranquillement
et
barre
la
route
hospitalière
au Dr
Szym.
Elle
est
pas
belle
la
vie
en
Polynésie
quand
la
jalousie
et la
rancune
prennent
le
pas
sur
la
raison ?!
Szym
Raynal
Toujours
la
haine
des
plus
forts,
malgré
le
calendrier...
Nous
rentrons
aujourd'hui
dans
le
mois
le
plus
religieux
mais
le
plus
goûteux
du
calendrier,
plus
que
celui
d'avril.
Le
chocolat
y est
roi
et
les
menus
des
dîners
rivalisent
de
mets
qui
font
fuir
nos
hésitations
quant
à
prendre
quelques
kilos.
Ce
n'est
pas
tous
les
jours
que
nous
pourrons
nous
laisser
aller
à
bien
manger,et
nous
délecter
des
bûches
en
tout
parfum
en
disant
"merci
mon
dieu"
Alors
profitons-en,et
pour
une
fois
sans
modération
!
Oscar
Temaru
pourra
cesser
son
jeûne
un
instant,
son
procès
ayant
été
renvoyé
au 15
février
dans
"l
affaire
de
Radio
Tefana"."
L'affaire"
un
grand
mot
par
rapport
aux
"affaires"
qui
déchirent
le
monde
entier.
Mais
il
est
vrai
qu'en
Polynésie,
les
mots
se
veulent
à la
hauteur
des
grandes
affaires
d'ailleurs.
Quelques
paroles
donc
entre
le
procureur
Hervé
Leroy
et la
présidente
de la
cour
d'appel
au
coin
d'une
porte
qui
s'est
ouverte
à ce
moment
là,
après
tout
ce
n'était
peut-être
qu'un
"bonjour"
et
c'est
le
temps
d'un
"soupçon
de
partialité",
permettant
aux
avocats
de
faire
renvoyer
"l'affaire"
devant
une
autre
juridiction.
En
vérité
"les
petites
affaires"
deviennent
en
Polynésie
de "
grandes
affaires"
aussi
bien
pour
la
justice
que
pour
les
avocats
et
les
médias
!
Bien
plus
grave
est
un
assassin
qui
vient
de
faire
encore
deux
victimes
de
plus
pendant
le
week
end,
le
Covid-19,
sans
que
l'on
puisse
le
mettre
en
garde
à vue
alors
qu'il
active
sa
progression,
276
cas
de
plus
ayant
été
détectés
dans
les
72h.
du
week
end.
Un
autre
cas
risque
fort
d'être
médiatisé
en
dehors
du
Covid,
tout
de
même
"mortel",
celui
de la
haine
entre
médecins
dans
une
bataille
d'ego
qui
n'en
finit
pas.
Alors
que
l'hôpital
a
besoin
de
soignants,
que
l'on
fait
venir
à
grands
frais
des
médecins
de
l'extérieur,
le
ministre
(ancien
médecin)Jacques
Raynal,
refuse
au Dr
Szym
"libre",
a
précisé
ce
dernier,
"de
travailler
jour
et
nuit"
si
nécessaire,
afin
de
faire
son
devoir
de
médecin
dans
une
pandémie
telle
que
nous
la
vivons
aujourd'hui.
Refus
du
ministre
de la
Santé,
qui
lui
voue
une
rancune
féroce
pour
des
chamailleries
syndicales
anciennes.
Et
pourtant,
ce
dernier,
bien
qu'étant
fonctionnaire,
s'est
gavé
en
créant
des
sociétés
"
médicales"
qui
l'enrichissent
chaque
jour
un
peu
plus
sans
que
le
président
du
pays
ne
lui
ordonne
de ne
plus
outrepasser
ses
droits
au
regard
de la
fonction
publique.
Selon
nos
informations,
des
perquisitions
avaient
été
menées
le
jeudi
11
juin,
dès
7h,
dans
les
locaux
du
ministère
de la
Santé,
du
"groupe
Medex"
et
dans
la
maison
du
ministre.
Jacques
Raynal,
ministre
de la
Santé,
soupçonné
de
délits
de
favoritisme
et
conflits
d'intérêts.
Soit
le
président
du
pays
laisse
faire
le "médecin-business
man"
en
question
parce
que
cela
l'arrange,
soit
il
n'en
a
cure
.
Toutefois,sans
permettre
à
l'autre
médecin
de se
rendre
utile,
poursuivi
de la
vindicte
du
business
man-médecin,mais
néanmoins
"ministricule"
Or
seul
le
président
du
pays
peut
lui
rendre
justice
en le
laissant
travailler
là où
le
besoin
s'en
fait
grandement
sentir.
Vous
trouvez
que
c'est
honnête
?
Non,puisqu'on
lui
refuse
ce
droit,
la
Polynésie
gouvernée
de
cette
manière,
c'est
pire
que
Clochemerle,
c'est
la
pire
des
choses
que
:
l'injustice
!
Cinq
entreprises
locales
relèvent
les
Challenges
pour
un
Fenua
durable
et se
voient
labellisées
Pour
cette
2e
édition,
4
entreprises
ont
reçu
le
label
niveau
OR :
Bora
Bora
Cultural
Lagoon
Tour,
la
Conserverie
du
Pacifique
(COPA),
le
Domaine
Pari
Pari
et le
Siège
de la
Banque
SOCREDO,
et
l’entreprise
Bora
Bora
Services
a
obtenu
le
label
niveau
ARGENT.
Lancé
en
octobre
2018
par
la
CCISM,
en
partenariat
avec
l’ADEME,
la
DIREN
et le
Syndicat
Fenua
Ma,
le
label
Challenges
pour
un
Fenua
durable
a
pour
objectif
d’inciter
et
favoriser
les
commerçants
ou
artisans
à
s’engager
dans
des
actions
concrètes
de
développement
durable.
Depuis
sa
création,
ce
sont
aujourd’hui
9
entreprises
qui
font
partie
des
labellisées
(4
entreprises
en
2019
et 5
cette
année).
Les 5
entreprises
à
présent
labellisées
niveau
OR et
niveau
ARGENT
pour
une
durée
de 3
ans,
accompagnées
par
les
conseillers
de la
cellule
Qualité,
Hygiène,
Sécurité
et
Environnement
(QHSE)
de la
CCISM,
ont
relevés,
en
plus
de
ceux
obligatoires,
plus
de 13
challenges
optionnels
parmi
une
liste
répartie
en 7
thématiques
que
sont :
les
déchets,
l’eau,
l’énergie,
les
produits
et
services
de
développement
durable,
le
transport,
mobilité
et
déplacement,
le
développement
local
et
sociétal
et
enfin
la
sensibilisation
au
développement
durable.
Les
entreprises
qui
souhaitent
obtenir
le
label
Challenges
pour
un
Fenua
durable
peuvent
s’inscrire
auprès
de la
cellule
Qualité,
Hygiène,
Sécurité
et
Environnement
(QHSE)
de la
CCISM.
Le
CESEC
a
examiné
un
projet
d’avis
sur
le
projet
de «
loi
du
pays
»
instituant
une
aide
à
l’investissement
des
ménages
pour
la
construction,
l’acquisition
ou
les
travaux
d’aménagement,
d’extension
ou de
rénovation
d’un
logement
à
usage
d’habitation
principale.
Les
professionnels
du
secteur
du
bâtiment,
les
sous-traitants
et
intervenants
dans
l’aménagement,
comme
dans
de
nombreux
autres
secteurs
économiques,
souffrent
de la
crise
économique
actuellement
traversée
par
la
Polynésie
française.
Le
CESEC
reconnait
la
nécessité
de
soutenir
ce
secteur
porteur
en
termes
d’emplois
et de
flux
financiers.
Des
efforts
sont
portés
par
le
Pays
pour
tenter
de
pallier
une
partie
de
ces
difficultés,
notamment
par
la
modification
récente
du
Code
polynésien
des
marchés
publics.
Les
mesures
ainsi
proposées,
et
notamment
la
mesure
nouvelle
d’une
aide
à
l’investissement
exceptionnelle,
viennent
en
écho
à la
recommandation
émise
par
l’Institution
lors
de
l’examen
du
projet
de
loi
du
pays
portant
relèvement
temporaire
du
seuil
de
dispense
de
procédures
pour
les
marchés
publics
de
travaux
et
d’expérimentation
sur
des
marchés
réservés.
Le
CESEC
avait
en
effet
recommandé
que
la
commande
privée
puisse
également
être
facilitée
afin
de
favoriser
les
chantiers
du
BTP,
notamment
en
facilitant
l’octroi
des
permis
de
construire
et en
envisageant
de
nouvelles
aides
à
l’investissement
des
ménages.
La
relance
économique
de la
Polynésie
française
doit
constituer
une
priorité.
Elle
ne
doit
pas
pour
autant
entrainer
des
effets
d’aubaine
et
toutes
les
mesures
proposées
doivent
être
évaluées,
budgétées
et
contrôlées,
tant
dans
leur
mise
en
place
que
dans
leurs
effets.
D’une
manière
générale,
et de
l’avis
de
l’ensemble
des
intervenants
auditionnés,
le
CESEC
estime
que
ce
dispositif
est
nécessaire
mais
doit
se
conjuguer
avec
d’autres
dispositifs.
Il
demande
au
gouvernement
d’étudier
d’autres
possibilités
d’aménagements
notamment
financiers,
telles
que
les
réductions
des
droits
d’enregistrement,
de
l’impôt
foncier
même
pour
ceux
n’étant
pas
primo-acquéreurs,
de la
TVA
sur
les
constructions.
Aussi,
au
titre
des
aides
à
l’investissement
des
ménages,
le
CESEC
rappelle
les
recommandations
suivantes :
Fournir
des
données
précises
sur
l’application
des
précédents
dispositifs ;
Pérenniser
ces
aides
selon
une
programmation
pluriannuelle
(hors
aide
exceptionnelle) ;
S’assurer
que
la
notion
de
« ménage »
n’empêche
pas
les
foyers
les
plus
modestes
d’en
bénéficier ;
Poursuivre
les
travaux
avec
les
autorités
du
pays
et
les
établissements
bancaires
favorisant
l’inclusion
bancaire
des
populations
les
plus
fragiles ;
Réintégrer
les
terrasses
couvertes
comme
éligibles
aux
mesures
d’aménagement ;
Faciliter
l’octroi
des
permis
de
construire
et
accélérer
la
délivrance
des
certificats
de
mise
en
conformité ;
Etendre
le
dispositif
aux
copropriétaires
(immeubles
bâtis
ou
lotissements) ;
Octroyer
des
taux
préférentiels
aux
prêts
liés
à
ces
aides ;
Mettre
en
place,
après
échanges
avec
les
autorités
compétentes
en
la
matière,
un
Prêt
à
Taux
Zéro
pour
les
ménages
les
plus
modestes ;
Réserver
une
partie
de
l’enveloppe
budgétaire
à
des
ménages
présentant
des
critères
géographiques
à
déterminer ;
Encadrer
de
façon
stricte
les
motifs
entrainant
un
remboursement
total
ou
partiel
de
l’aide
octroyée ;
Fournir
aux
services
instructeurs les
moyens
nécessaires
à
l’exercice
de
leurs
rôles
de
conseil
et
de
contrôle
;
Préciser
la
notion
d’entrepreneur
en
exigeant
des
garanties
de
la
part
de
ces
derniers.
Compte
tenu
de
l’importance
du
nombre
des
observations
et
recommandations
qui
précèdent,
et
sous
réserve
que
celles-ci
soient
retenues,
le
Conseil
économique,
social,
environnemental
et
culturel
émet
un
avis
favorable
au
projet
de «
loi
du
pays
»
instituant
une
aide
à
l’investissement
des
ménages
pour
la
construction,
l’acquisition
ou
les
travaux
d’aménagement,
d’extension
ou de
rénovation
d’un
logement
à
usage
d’habitation
principale.
L’avis
du
CESEC
a été
voté
à 38
voix
POUR,
0
CONTRE,
0
Abstentions
De
plus,
à
l’occasion
de la
Journée
mondiale
de
lutte
contre
le
sida,
le
président
M.
Eugène
SOMMERS
et
les
membres
de
l’institution
ont
porté
le
ruban
rouge
durant
cette
assemblée
plénière,
en
signe
de
soutien
aux
victimes
de ce
virus.
Un
grand
mauruuru
à
l’association
« Agir
contre
le
sida »
pour
la
fabrication
artisanale
et la
distribution
des
rubans
aux
conseillers.
Conseil
d’administration
de
Tahiti
Tourisme:
un
budget
2021
consacré
à la
reconquête
des
marchés
La
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
a
participé,
lundi
après-midi,
au
conseil
d’administration
de
Tahiti
Tourisme
consacré
au
budget
2021
du
groupement
et à
son
plan
d'actions.
Alors
que
le
budget
2020
de
Tahiti
Tourisme
a dû
être
révisé
à
plusieurs
reprises
tout
au
long
de
l'année
du
fait
de la
crise
économique
que
traverse
le
Pays
du
fait
de la
pandémie
qui
sévit
depuis
plusieurs
mois
à
travers
le
monde,
l'exercice
2021
sera
marqué
par
une
baisse
de
15%
du
budget
du
groupement.
Cette
baisse
est
répercutée
sur
le
budget
des
actions
déployées
à
l'international
et
sur
les
opérations
marketing
et de
communication
globale.
Le
budget
présenté
à la
discussion
et à
l'adoption
des
administrateurs
du
groupement
a
fait
l'objet
de
réunions
de
travail
des
différentes
commissions
thématiques
mises
en
place
récemment
afin
d'associer
les
professionnels
à
l'élaboration
du
plan
d'actions
de
Tahiti
Tourisme
et
des
budgets
nécessaires
à
leur
mise
en
œuvre.
Ainsi
sur
le
plan
international,
les
axes
stratégiques
2021
seront
de
reconquérir
et
capitaliser
sur
les
marchés
prioritaires
pour
à
minima
doubler
la
fréquentation
touristique
de
2020
en
sachant
que,
pour
un
certain
nombre
de
marchés,
il
n'est
pas
envisagé
de
réouverture
avant
la
fin
du
1er
trimestre
2021,
voir
pour
certains
pas
avant
la
fin
du
1er
semestre
2021.
Tahiti
Tourisme
s'attachera
à
renforcer
la
formation
des
réseaux
de
distribution
et de
vente
et
optimisera
le
soutien
à la
commercialisation
de la
destination.
Afin
de
réaliser
des
économies
d'échelle
et de
mutualiser
les
moyens
dédiés
à la
promotion
de la
destination
Tahiti
et
ses
îles
à
l'international,
le
conseil
d'administration
a
également
pris
la
décision
de
fermer
certaines
représentations
internationales:
le
marché
canadien
sera
désormais
géré
par
l'équipe
basée
aux
États-Unis
qui
reprend
l'appellation
"Tahiti
Tourisme
North
America".
Tahiti
Tourisme
France
assurera
également
la
promotion
de la
destination
sur
la
Belgique
et le
Luxembourg.
Enfin,
la
représentation
de la
destination
sur
le
marché
allemand
s'occupera
aussi
de la
Suisse.
Sur
le
plan
marketing
et de
la
communication,
l’accent
sera
mis
sur
le
digital;
le
budget
consacré
au
matériel
promotionnel
type
dépliants,
brochure,
guides,
etc,
en
version
papier
est
en
forte
diminution,
l'objectif
étant
rapidement
de ne
s'appuyer
que
des
supports
numériques.
Lors
d'événements
récents,
des
journalistes
de
Brut
et de
France
3 à
Paris,
de
Médiabask
à
Bayonne,
notamment,
ont
été
pris
à
partie
ou
agressés
par
des
agents
des
forces
de
l'ordre.
Dernier
fait
en
date,
un
photojournaliste
collaborateur
de
l'AFP
et
Polka
Magazine
à
nouveau
à
Paris,
a été
blessé
samedi,
déclenchant
une
enquête
administrative
interne
au
sein
de la
police.
Identifiés
comme
journalistes,
ces
confrères
exerçaient
librement
leur
profession,
lors
de
reportages
concernant
le
confinement
ou
des
manifestations.
Les
violences
sont
à
dénoncer
d'où
qu'elles
viennent,
y
compris
bien
sûr
lorsqu'elles
ciblent
des
policiers.
La
commission
de la
carte
d'identité
des
journalistes
professionnels
(CCIJP)
tient
toutefois
à
exprimer
son
indignation
face
à de
tels
faits
et à
apporter
son
soutien
aux
journalistes
touchés
et à
l'ensemble
de la
profession.
Elle
dénonce
ces
atteintes
au
droit
à
l'information,
inacceptables
dans
notre
démocratie.
Elle
s'inquiète
des
textes
de
loi
votés
ou en
préparation
sur
ces
sujets
et du
risque
qu'ils
font
peser
sur
la
liberté
de la
presse.
La
commission
de la
carte
d'identité
des
journalistes
professionnels
Paris
le 30
novembre
2020
Macron
fâché
!
Selon
nos
informations,
le
président
de
la
République
était
"dans
une
colère
froide",
lors
de
la
réunion
réunissant
le
Premier
ministre,
Gérald
Darmanin
et
les
présidents
des
groupes
de
députés
de
la
majorité.
Il
a
demandé
à
ses
interlocuteurs
comment
le
cheminement
laissant
penser
à
une
limitation
de
la
liberté
de
la
presse
avait
été
possible
et
"sifflé
la
fin
de
la
récré".
Le
penseur
de
la
raison
raisonnante,
l
Emmanuel
Macron,
se
fâche.
« Nous
savons
que
des
doutes
persistent
encore »
et
« nous
devons
éteindre
ces
doutes »
car
« lorsqu’une
telle
incompréhension
ne
cesse
de
s’intensifier
sur
un
sujet
aussi
fondamental,
nous
avons
le
devoir
de
nous
interroger
collectivement »,
a
justifié
Christophe
Castaner
lors
d’une
conférence
de
presse
à
l’Assemblée.
L’article 24,
voté
en
première
lecture
à
l’Assemblée
nationale,
prévoit
de
pénaliser
la
diffusion
malveillante
de
l’image
des
policiers
et
des
gendarmes.
Il
est
d’autant
plus
critiqué
par
les
oppositions
qu’une
succession
d’affaires
de
violences
policières
présumées
a
suscité
une
vive
émotion dans
le
pays
au
cours
des
derniers
jours.
A
propos
"Novembre
noir"
Les
images
vues
ce
week
end à
la
télévision
de la
police
tabassant
des
hommes
arrêtés,
poussés
contre
un
mur,
a
révolté
un
grand
nombre
de
citoyens.
Voilà
un
"Novembre
noir",
espérons-le,
qui
ne
nous
arrivera
pas
ici
en
Polynésie
française,
Mario
Banner,
responsable
de la
DSP y
veille.
Voilà
des
moments
où on
aimerait
ne
constater
que
le
bon
côté
de la
vie
en
société.
Il
est
des
jours
où
l'on
voudrait
aussi
avoir
tort
d'avoir
prédit
des
désordres
écologiques,
politiques
ou
culturels
qui
ne
seraient
plus
que
des
hypothèses
comme
l'aggravation
des
inégalités.
La
Polynésie,
elle
aussi,
et
l'on
peut
le
constater
parfois,
n'est
pas
innocente
en la
matière.
L'exaspération
des
écarts
de
niveau
de
vie
n'atteint
pas
le
degré
qu'elle
peut
avoir
en
métropole
à
laquelle
s'ajoute
l'arrivée
de
migrants
qui
ne
savent
plus
où
déposer
leur
pauvre
pécule
et se
protéger
de
l'hiver.
L'éloignement
de la
Polynésie
est
devenu
son
heaume
de
protection
contre
les
nuisances
du
monde
actuel,
y
compris
celle
de
l'impossibilité
d'un
envahissement
par
un
radeau
de la
méduse
bondé
d'hommes,
à la
recherche
d'un
sanctuaire
qui
n'existe
plus,
par
ailleurs
trop
loin
pour
s'y
rendre
et
être
abordé,
car
perdu
en
plein
Pacifique.
Notre
bouée
de
sauvetage
en
quelque
sorte.
Oui,
je
vous
l'accorde,
c'est
égoïste
mais
tellement
humain
!
Sauf
que
le
coronavirus
n'a
pas
besoin
de
radeau,
lui,
pour
voyager.
Il
attaque
et
ravage
sans
exception.
Seul,
le
masque
peut
encore
vous
protéger
à
condition
de le
mettre
sur
nez
et
bouche.
Si
votre
nez
reste
à
l'air,
évidemment
qu'il
peut
inhaler
le
virus
chercheur
d'habitat.
Totale
nouveauté,
les
deux
vaccins
en
question sont
basés
sur
l'ARN
messager,
une
séquence
codée
qui
envoie
des
instructions
contre
le
virus.
De
quoi
s'agit-il ?
Quelles
sont
les
différences
avec
les
vaccins
créés
contre
d'autres
virus
plus
"classiques" ?
Retour
sur
cette technologie
qui
n'avait
encore
jamais
été
autorisée
pour
un
usage
en
santé
humaine.
Alors
que
la technique
traditionnelle
des
vaccins
consiste
à
injecter
un
virus
inactivé
(ou
atténué)
pour
que
le
corps
apprenne
à
s'en
défendre,
la
technique
de
l'ARN
messager
consiste,
elle,
à
envoyer
un
message
à
l'organisme
sous
la
forme
d'un
morceau
d'ADN.
Son
but
est
d'inciter
l'organisme
à
fabriquer
lui-même
une
fraction
inactive
du
virus,
puis
les
anticorps
pour
lutter
contre
ce
virus",
résume
le
magazine
Bûche
des
îles,
du
bout
du
monde
!
Dans
cette
bûche,
The
Brando
met
en
avant
les
saveurs
de
Polynésie
alliant
la
noix
de
coco,
et le
Aito,
cet
arbre
qui
pousse
sur
les
terres
polynésiennes.
Fila
ou
‘Aito
est
un
arbre
indigène
en
Polynésie
orientale
qui
doit
son
nom
tahitien
de
‘Aito
(guerrier)
à
son
bois
résistant,
très
dur,
comme
les
vaillants
combattants
des
îles.
Ingrédients
:
Mousse
coco,
Crémeux
chocolat
à l’aito
fumé,
copeaux
de
chocolat
70%.
Le
Aito
est
un
bois
de
fer !
On
salive
rien
que
de la
voir
!
Laetitia
V I G
N A U
(06
78 56
99
53)
Samedi
28
novembre
2020
Producteur
tabassé
à
Paris :
« Emmanuel
Macron
est
en
pleine
crise
politique »
INTERVIEW
Pour
Philippe
Moreau
Chevrolet,
expert
en
communication,
la
colère
noire
d’Emmanuel
Macron
sur
Twitter
marque
encore
une
fois
son
désir,
et
son
impossibilité,
à
gouverner
seul
20
minutes
Emmanuel
Macron
est
rentré
dans
une
colère
noire
ce
vendredi
—
Jacques
Witt/SIPA
Dans
une
période
de
forte
contestation
politique,
notamment
sur
la
loi
« sécurité
globale »
et
sur
les
violences
policières,
Emmanuel
Macron
a
sorti
la
sulfateuse
vendredi
soir.
Le
président
de
la
République
a
rédigé
une
série
de
tweets
d’une
rare
fermeté
sur
ces
questions.
Pour
le
communicant Philippe
Moreau
Chevrolet,
cette
intervention,
nécessaire,
isole
encore
un
peu
plus
le
président.
Rarement
Emmanuel
Macron
n’avait
soufflé
pareil
colère.
Vendredi
soir,
le
président
de la
République
a
publié
une
série
de
tweets d’une
extrême
fermeté
au
sujet
des
remous
causés
par
la
loi
« sécurité
globale »
et le
débat
sur
les violences
policières,
notamment
après
les
images
d’un
producteur
de
musique
passé
à
tabac
par
les
forces
de
l’ordre.
Pour
Philippe
Moreau
Chevrolet,
professeur
de
communication
politique
et
président
de
MCBG
Conseil,
agence
spécialisée
dans
la
communication
personnelle
des
dirigeants,
cette
colère
sonne
à la
fois
comme
une
tentative
d’apaiser
les
tensions
et
comme
une
vive
critique
de
certains
membres
de
son
gouvernement.
C’est
la
première
fois
qu’on
voit
une
telle
colère
sur
Twitter
de la
part
d’Emmanuel
Macron.
Qu’indique
le
choix
de
cette
communication ?
La
réaction
d’Emmanuel
Macron
est
inédite
par
le
canal
qu’il
utilise
–
Twitter
– qui
est
habituellement
négligé
au
profit
de la
télévision
ou
des
médias
traditionnels.
En
utilisant
Twitter,
le
président
veut
envoyer
un
message
rassurant
en
premier
lieu
à
la
presse,
qui
utilise
massivement
cet
outil
et
se montre
très
critique
envers
la
loi «
sécurité
globale »,
et
aux
élites.
Sur
la
forme,
le
message
est
ferme,
notamment
grâce
à
l’emploi
de
mot
définitif
tel
que
« je
ne
permettrai
jamais »
ou
« toujours »..
Le
mot
« jamais »
est
d’ailleurs
utilisé
à
sept
reprises
par
Emmanuel
Macron. Cela
donne
à son
message
une
allure
de
réprimande,
notamment
envers
les
membres
de
son
gouvernement.
Le
président
qui
prend
ainsi
la
parole,
est-ce
justement
un
désaveu
pour
Gérald
Darmanin
et
Jean
Castex ?
On a
le
sentiment
d’un
« recadrage »
du
ministre
de
l’Intérieur,
déjà
confronté
à une
crise
de
confiance,
par
le
président. Le
Premier
ministre
est
quant
à lui
encore
une
fois
totalement
mis
de
côté.
Il
était
déjà
marginalisé
par
le
recours
systématique
au
Conseil
de
défense,
qui
traduit
une
présidentialisation
encore
accrue
du
régime,
et
prive
dans
les
faits
Jean
Castex
de
toute
autorité.
Si la
forme
est
colérique,
le
fond
du
message
est
finalement
assez
neutre,
prenant
à
tour
de
rôle
le
parti
de
chaque
camp…
Sur
le
fond,
le
message
du
président
est
un
modèle
de
centrisme
et de
« en
même
temps ».
Loin
de
cautionner
le
mouvement
de
contestation
contre
la
police,
Emmanuel
Macron
condamne
également
ceux
qui
agressent
la
police
et
les
agresseurs
au
sein
de la
police. Ce
qui
aboutit
à un
rappel
à
l’ordre
républicain
assez
classique.
Cette
intervention
était-elle
nécessaire ?
Il
est
obligé
d’intervenir
pour
calmer
le
jeu
face
à la
double
fronde
qu’affronte
Gérald
Darmanin.
Fronde
de la
presse,
avec
une
union
inédite
de
l’ensemble
des
titres
de
presse
contre
lui.
Fronde
de sa
propre
majorité.
Avec
le
président
de
l’Assemblée
nationale
et le
président
du
Sénat,
deux
des
principaux
personnages
de
l’Etat,
qui
critiquent la
politique
gouvernementale
et
ont
été
jusqu’à
rappeler
à
l’ordre
son
supposé
bras
droit,
le
Premier
ministre.
A
force
de
gouverner
sans
le
parlement,
Emmanuel
Macron
risque
de
l’avoir
contre
lui.
Le
président
est
en
pleine
crise
politique.
Ne
prend-t-il
pas
malgré
tout
un
risque ?
Cette
mise
en
scène
de la
colère
répond
à une
urgence
médiatique
et
politique
mais
elle
est
risquée
à
trois
niveaux : elle
risque
d’être
démentie
par
les
faits
si le
gouvernement
a
effectivement
perdu
le
contrôle
de
« sa »
police,
elle
fragilise
la
position
du
ministre
de l’Interieur
et
c’est
un
signe
de
faiblesse.
Vendredi
27
novembre
2020
Coronavirus
:
213
nouveaux
cas,
14096
cas
en
tout,
82
hospitalisations,
73
décès.
Audience
:Polynésie
première
repasse
devant
son
principal
concurrent
TNTV
(il
n'y
en a
pas
d'autres)
et
occupe
la
tête
du
classement
en
termes
d'audience
cumulée
du
lundi
au
vendredi
par
rapport
au
précédent
sondage.
Oscar,
report
de la
sellette
Renvoi
de
l'affaire
"
Radio
Tefana"
à la
demande
des
avocats
d'Oscar
Temaru
pour
"
suspicion
légitime"
auprès
de la
Chambre
criminelle
de la
cour
de
cassation.
Les
avocats
soupçonnent,
en
effet,
la
cour
d'appel
de
faire
preuve
d'un
manque
d'impartialité.
Dans
l'attente
de la
réponse
de la
plus
haute
juridiction
de
l'ordre
judiciaire,
le
procès
a été
suspendu
jusqu'à
lundi
matin.
La
personnalité
judiciaire
que
mettent
en
cause
les
avocats
d'
Oscar
Temaru
pour
"suspicion
légitime"
n'est
rien
moins
que
le
procureur
de la
République.
Allez
hop!
Procès
renvoyé
jusqu'à
lundi
matin.
L'affaire
n'est
pas
si
grave
ce
qui
est
l'est
davantage,
c'est
plutôt
la
condamnation
en
première
instance
du
conseiller-maire
de
Faa'a
devant
payer
une
amende
de
cinq
millions
de
Frs
et
six
mois
de
prison
avec
sursis.
La
cour
de
Cassation
n'étant
pas
tenue
à un
délai,
le
procès
pourrait
de
nouveau
être
suspendu
lundi
si la
décision
du
juge
n'est
pas
encore
prononcée.
Pour
l'avocat
Me
Dubois
ce
procès
doit
être
dépaysé
compte
tenu
des
animosités
personnelles
qui
opposent
un
membre
du
ministère
public
à
l'un
des
prévenus.
Pendant
ce
temps
à
Paris
le
gouvernement
se
débat
dans
"confinement"
ou
pas
"confinement".
Le
principe
du
confinement
a été
élargie
à 20
Kms
pendant
3
heures
jusqu'au
15
décembre.
Puis
ce
confinement
sera
remplacé
par
un
couvre
feu
nocturne
de
21h.
à 7h
du
matin
jusqu'à
la
fin
du
mois
de
janvier
avec
un
nombre
limité
de
convives
lors
des
festivités
de
Noël.
Les
stations
de
ski
seront
par
ailleurs
ouvertes
à
Noël
mais
les
remontées
mécaniques
resteront
fermées
! Bon
courage
si
vous
aimez
skier,
faudra
d'abord
monter
!.
Nicolas
Sarkozy
n'est
pas
prêt
à
aller
faire
du
ski,
l'affaire
des
écoutes
se
tiendra
en
décembre.
Le
tribunal
a
rejeté
toute
demande
de
renvoi.
Ce
procès
inédit
durera
trois
semaines
car
jamais
aucun
chef
d'Etat
n'a
été
jugé
pour
corruption
passive
sous
la V°
République.
Tenter
de
corrompre
un
juge
en
plus
du
financement
libyen,
c'est
lourd
à
défendre
!!!
Décidément
en ce
moment
les
producteurs
de
films
ont
le
choix
entre
la
sordide
affaire
Daval
et
les
écoutes
de
Nicolas
Sarkozy.
Enfin
les
plus
malheureux
seront
sans
aucun
doute
les
employés
de l'OPT
à
Tahiti
qui
devront
faire
front
avec
le
ralentissement
du
trafic
aérien
et la
fermeture
du
ciel
néo-zélandais
entraînant
certains
colis
à se
lancer
dans
un
parcours
du
combattant
pour
arriver
jusque
dans
nos
petits
souliers
!
Sans
compter
que
la
fermeture
du
ciel
néo-zélandais
à
double
tour,
oblige
l'OPT
à
faire
acheminer
les
colis
de
Noël
et le
courrier
par.....
bateau.
Quant
à
nous,
nous
accueillons
le
soleil
avec
joie
après
les
pluies
diluviennes
de
quelques
jours.
"Pourvu
que
ça
dure
!"
comme
disait
une
célèbre
corse...
la
mère
de
Napoléon
en
pensant
à son
fils
couronné
empereur
de
tous
les
Français.
Au
CESC
Les
membres
du
CESEC
se
réunissent
en
assemblée
plénière
le
mardi
1er
décembre
2020
à
8h30
pour :
1)
Etude
avant
adoption
du
projet
d’avis
sur
le
projet
de
loi
du
pays
instituant
une
aide
à
l’investissement
des
ménages
pour
la
construction,
l’acquisition
ou
les
travaux
d’aménagement,
d’extension
ou de
rénovation
d’un
logement
à
usage
d’habitation
principale
;
2)
Présentation
du
Projet
2027
du
Comité
Olympique
de la
Polynésie
française
(COPF),
par
son
président
M.
Louis
PROVOST
;
Ca va
mal a
Paris
Violences
policières:
Homme
noir
tabassé
à
Paris:
un
quatrième
policer
suspendu.
Pire
qu'à
Los
Angelès
Quatre
membres
des
forces
de
l’ordre
ont
été
sanctionnés
jeudi
pour
avoir
insulté
et
frappé
un
producteur
de
musique
samedi
à
Paris.
Soi-disant
pour
défaut
de
port
du
masque.
Trois
policiers
français
ont
été
suspendus
jeudi,
après
le
tabassage
d’un
producteur
de
musique
noir,
documenté
par
une
vidéo
largement
diffusée
sur
les
réseaux
sociaux.
Cela
intervient
en
pleine
polémique
sur
le
droit
de
filmer
les
forces
de
l’ordre
en
opération
L’affaire
a
éclaté
à la
faveur
de la
publication
par
le
site
Loopsider
d’images
qui
montrent
un
homme
noir
appelé
«Michel»
roué
de
coups
par
des
fonctionnaires
de
police
dans
l’entrée
d’un
studio
de
musique
à
Paris.
«On
m’a
dit
sale
nègre
plusieurs
fois
et en
me
donnant
des
coups
de
poing»,
a
lui-même
dénoncé
la
victime
en
venant
porter
plainte,
avec
son
avocate,
au
siège
parisien
de
l’Inspection
générale
de la
police
nationale
(IGPN).
«Des
gens
qui
doivent
me
protéger
m’agressent
(...),
je
n’ai
rien
fait
pour
mériter
ça»,
a-t-il
poursuivi
devant
la
presse.
«Je
voudrais
juste
que
le
travail
(de
l’IGPN,
ndlr)
soit
fait»,
a-t-il
dit
au
sortir
de sa
déposition.
«Je
n'ai
aucun
doute
là-dessus»,
a-t-il
ajouté.
Le
ministre
de
l’Intérieur
intervient
Sitôt
les
images
diffusées
sur
les
réseaux
sociaux,
le
ministre
de
l’Intérieur
Gérald
Darmanin,
qui
sera
auditionné
lundi
par
la
commission
des
Lois
de
l’Assemblée
nationale,
a
demandé
au
préfet
de
police
de
Paris
Didier
Lallement
de
suspendre
les
policiers
concernés.
Il a
annoncé
jeudi
soir
qu’il
demanderait
leur
«révocation»,
dès
que
les
faits
seront
établis
par
la
justice.
Par
ailleurs,
un
quatrième
policier
a été
suspendu,
selon
une
source
proche
du
dossier.
Le
procureur
de
Paris
Rémy
Heitz
a
souhaité
que
l’IGPN,
saisie
du
dossier,
enquête
«le
plus
rapidement
possible».
«C’est
une
affaire
extrêmement
importante
à mes
yeux
et
que
je
suis
personnellement
depuis
samedi»,
a-t-il
dit à
l’AFP.
Trois
premiers
ont
d’abord
été
suspendus.
Puis
un
quatrième,
arrivé
en
renfort
et
soupçonné
d’avoir
lancé
une
grenade
lacrymogène
dans
le
studio
de
musique,
a à
son
tour
été
suspendu,
a
indiqué
dans
la
soirée
à
l’AFP
une
source
proche
du
dossier.
«Révocation»
demandée
Invité
du
20h00
de
France
2,
Gérald
Darmanin
a
annoncé
qu’il
demanderait
«la
révocation»
des
policiers,
«dès
que
les
faits
seront
établis
par
la
justice».
Il
les a
accusés
d’avoir
«sali
l’uniforme
de la
République».
Interrogé
sur
une
éventuelle
démission
du
préfet
de
police
de
Paris,
Didier
Lallement,
le
ministre
a dit
souhaiter
qu’il
continue
«d’exercer
ses
fonctions».
Gérald
Darmanin
a été
reçu
par
le
président
Emmanuel
Macron
jeudi
après
midi,
selon
une
source
gouvernementale.
Interrogé,
l’Elysée
a
seulement
indiqué
que
le
président
suit
la
situation
de
près.
Plusieurs
proches
du
président
de la
République
ont
exprimé
sur
Twitter
leur
indignation
après
le
passage
à
tabac
du
producteur.
Dans
une
rare
déclaration
publique,
le
procureur
de
Paris
Rémy
Heitz
a
souhaité
que
l’IGPN,
saisie
du
dossier,
enquête
«le
plus
rapidement
possible».
Déclaration
mensongère
Selon
leur
procès-verbal
consulté
par
l’AFP,
les
trois
policiers
sont
intervenus
samedi
pour
tenter
d’interpeller
«Michel»
pour
défaut
de
port
du
masque.
«Alors
que
nous
tentons
de
l’intercepter,
il
nous
entraîne
de
force
dans
le
bâtiment»,
écrivent-ils.
Sur
les
images
de
vidéosurveillance
de ce
studio
on
voit
les
trois
fonctionnaires
de
police
entrer
dans
le
studio
en
agrippant
l’homme
puis
le
frapper
à
coups
de
poing,
de
pied
ou de
matraque.
Dans
leur
rapport,
les
policiers
ont
écrit
que
l’homme
les
avait
frappés.
Selon
ces
mêmes
images,
«Michel»
résiste
en
refusant
de se
laisser
embarquer,
puis
tente
de se
protéger
le
visage
et le
corps.
Il ne
semble
pas
porter
de
coups.
La
scène
dure
cinq
minutes.
Des
personnes
qui
se
trouvaient
dans
le
sous-sol
du
studio
parviennent
ensuite
à
rejoindre
l’entrée,
provoquant
le
repli
des
policiers
et la
fermeture
de la
porte
du
studio.
Les
policiers
tentent
ensuite
de
forcer
la
porte
et
jettent
à
l’intérieur
du
studio
une
grenade
lacrymogène.
«Une
milice
barbare
hors
de
contrôle»
Après
l’interpellation,
l’homme
a
dans
un
premier
temps
été
placé
en
garde
à vue
dans
le
cadre
d’une
enquête
ouverte
pour
«violences
sur
personne
dépositaire
de
l’autorité
publique»
et
«rébellion».
Mais
le
parquet
de
Paris
a
classé
cette
enquête
et
ouvert
mardi
une
nouvelle
procédure
pour
«violences
par
personnes
dépositaires
de
l’autorité
publique»
et
«faux
en
écriture
publique».
«Si
nous
n’avions
pas
les
vidéos,
mon
client
serait
peut-être
actuellement
en
prison»,
a dit
à
l’AFP,
Me
Hafida
El
Ali,
avocate
de
«Michel».
Son
client
bénéficie
d’une
interruption
temporaire
de
travail
de
six
jours.
«Sur
ces
images,
ce
n’est
pas
une
police
républicaine
mais
une
milice
barbare
hors
de
contrôle»,
a
dénoncé
sur
twitter
le
leader
de la
gauche
radicale
Jean-Luc
Mélenchon.
Jeudi
26
novembre
2020
L'invité
de
mercredi
25
novembre,
le
commandant
de la
DSP
Mario
Banner
par
Natacha
Scylagi
sur
Polynésie
première
En
24h.
100
nouveaux
cas
de
coronavirus,
13.883
cas
cumulés,
78
hospitalisations
et 72
décès.
C'est
grave
!
Selon
le
dernier
sondage
Polynésie 1ère,
toujours
leader
sur
les
tranches
infos.
A
propos
Natacha
, oui
c'est
moi !
Chaque
semaine,
Polynésie
première
consacre
l'éclatante
victoire
de
Natacha
dans
son
émission
"
Sans
tabou".
Sauf
hier
soir.
C'est
qu'en
effet
à
force
de
certitudes
la
journaliste
a
joué
non
pas
son
rôle,
mais
celui
de
garde-chiourme,
donnant
ou
refusant
la
parole
à ses
élèves,
invités
transis
lors
de
l'émission
"sans
Tabou",
débitant
d'une
voix
monocorde,
sans
passion,
rude,
son
"chapo"
introductif
concernant
son
invité
en
l'occurrence
Mario
Banner,patron
de la
DSP,
dévasté
par
des
tics
nerveux
tout
au
long
du "
débat"
si
l'on
peut
appeler
ce à
quoi
nous
avons
assisté,
"un
débat".
Question/réponse
sans
aucun
rebondissement
de la
part
de la
journaliste.
Une
fois
la
réponse
apportée,
hop,
on
passe
à la
suivante.
Natacha
était
loin
du
philosophe
qui
tua
son
dieu,
détruisit
son
aura
et
nia,
se
faisant,
sa
célébrité
sur
l'autel
de
son
autorité,
ne
laissant
même
pas
la
parole
à son
autre
invité
l'avocat
Thibault
Millet,
qui,
de
temps
en
temps
osait
transgresser
la
règle
imposée
avec
rappel
à
l'ordre
établi
du
style
: "
vous
ne
parlez
pas
quand
je
parle,
en
revanche
je
peux
vous
couper
quand
vous
parlez
!"
.
Natacha
l'anthropophage
du
mercredi,
cheveux
savamment
placés,
fine
silhouette,
mais
autorité
de
matrone,
journaliste
pétrie
d'une
volonté
de
puissance,
mais
aussi
d'une
contrefaçon
insupportable
d'assurance
parfois,
laissant
entendre
que
"le
chef",
non
ce
n'était
plus
Banner
mais
elle,
Natacha,qui
s'employait
avec
plus
ou
moins
de
bonheur
à
excaver
l'âme
de
ses
invités,
en se
prenant
pour
Nietzsche.
Ce
qui
pouvait
être
supportable
sans
le
ton
monocorde,
sans
passion,
sans
un
sourire,
sans
naturel,
juste
avec
la
lecture
de sa
composition
française
retraçant
le CV
de
son
invité.
Heureusement
que
Mario
Banner
a
tenté
de
montrer
son
esprit
étalon
avec
plus
ou
moins
de
succès.
Oui
c'est
vrai,
une
part
de
l'humanité
est
toujours
esclave
de
l'autre
et la
liberté
intérieure
dans
un
"sans
tabou"
sans
transcendance
nous
a
hier
soir,
déçu.
Heureusement
que
nous
avons
tout
de
même
cerné
un
peu
plus
la
personnalité
et le
caractère
tenace
de
Mario
Banner
qui a
réussi
le
tour
de
force
d'abattre
tous
les
bastions
qui
se
dressaient
sur
sa
route,
réussissant
concours
et
examens
avec
brio,
pour
enfin
être
nommé
commissaire
de
police,
chef
de la
DSP
dans
son
pays
et
reprenant,du
coup,
quand
il le
fallait
la
journaliste
téméraire,
écorchant
ainsi
l'assurance
sans
faille
de
Natacha
! Ce
qui
n'était
ni
évident,
ni
facile
puisqu'elle
pouvait
parler
en
même
temps
que
son
autre
invité,
comme
elle
l'a
fait
avec
l'avocat
Thibault
Millet
sans
aucune
gêne,
la
gêne,
c'est
l'avocat
qui
en
était
pétri.
Pour
en
revenir
à la
Natacha
d'hier,
rien
de
grand
ne
s'est
accompli
sur
son
plateau
de
télévision.
Aucun
grain
de
passion
pouvant
électriser
de
son
frisson
la
réussite
de
l'émission,
laquelle
hier
n'a
pas
tenu
en
haleine
les
téléspectateurs
avec
une
lecture
insipide,
loin
de
toute
chaleur
, du
parcours
brillant
pourtant,
du
directeur
de la
DSP.
On
avait
connu
mieux
de la
part
de la
journaliste
de
Polynésie
première.
Dommage.
La
discrimination
par
l’accent
bientôt
réprimée
? Une
proposition
de
loi
examinée
jeudi
à
l’Assemblée
nationale.
N'y a
t il
pas
d'autres
sujets
plus
importants
?
Le
texte,
que
le
groupe
Agir,
allié
à la
majorité,
doit
présenter,
vise
à
rajouter
le
mot
« accent »
à la
longue
liste
des
causes
de
discriminations
sanctionnées
par
le
code
pénal
et le
code
du
travail.
Le
Monde
avec
AFP
La
loi
réprime
déjà
les
discriminations
fondées
sur
l’origine,
le
sexe
ou le
handicap,
entre
autres.
Une
proposition
de
loi
pourrait
bientôt
ajouter
un
autre
motif :
l’accent,
susceptible
de
constituer
un
obstacle,
notamment
à
l’emploi,
pour
les
« minorités
audibles ».
La
mesure,
soutenue
par
le
député
de
l’Hérault
Christophe
Euzet,
fait
partie
de
textes
que
le
groupe
Agir,
allié
à la
majorité,
doit
présenter,
jeudi
26 novembre,
dans
le
cadre
de sa
« niche »,
un
créneau
réservé
aux
groupes
pour
promouvoir
leurs
propres
propositions
ou
résolutions.
La
commission
des
lois
de
l’Assemblée
nationale
l’a
validé
le
18 novembre,
ouvrant
la
voie
à une
possible
adoption
dans
l’hémicycle
en
première
lecture
ce
jeudi.
« A
l’heure
où
les
minorités
“visibles”
bénéficient
de la
préoccupation
légitime
des
pouvoirs
publics,
les
minorités
“audibles”
sont
les
grandes
oubliées
du
contrat
social
fondé
sur
l’égalité »,
plaide
M.
Euzet
dans
son
exposé
des
motifs.
Sa
proposition
vise
donc
à
rajouter
un
simple
mot,
« l’accent »,
à la
longue
liste
des
causes
de
discriminations
sanctionnées
par
le
code
pénal
ainsi
que
le
code
du
travail :
origine,
sexe,
orientation
sexuelle,
situation
de
famille,
handicap,
grossesse,
patronyme,
opinion
politique,
appartenance
syndicale,
croyance
religieuse,
etc.
La
proposition
veut
promouvoir
« la
diversité
de
prononciation
de la
langue
française »,
en
« prohibant
les
“discriminations
par
l’accent”
que
l’on
constate
factuellement
dans
les
fonctions
impliquant,
tout
particulièrement,
une
expression
publique ».
« Uniformité
lissée »
de
l’expression
publique
M.
Euzet
juge
« indispensable »,
en
cette
« période
de
doute
quant
à la
cohésion
des
territoires
qui
fondent
la
nation,
d’adresser
un
signe
de
reconnaissance
fort,
en
favorisant
la
revalorisation
des
prononciations
“atypiques” ».
« Les
accents
n’ont
aucun
droit
de
cité
sur
les
chaînes
de
radio
et de
télévision,
dans
le
monde
politique
et à
la
tête
des
grandes
fonctions,
administrations
ou
entreprises
publiques
françaises »,
assure
le
député.
« Notre
nation,
qui
se
félicite
souvent
de la
grande
diversité
de
ses
terroirs,
désole
donc,
paradoxalement,
par
l’uniformité
lissée
de
son
expression
publique »,
déplore
l’élu
natif
de
Perpignan
et à
l’accent
méridional.
Parmi
les
textes
de la
« niche »
du
groupe
Agir
validés
en
commission,
une
proposition
de
loi
de
Paul
Christophe
(Nord)
vise
à
améliorer
les
conditions
de
présence
parentale
auprès
d’un
enfant
souffrant
d’une
pathologie
lourde.
Actuellement,
310
jours
sont
prévus
dans
le
cadre
du
congé
de
présence
parentale
(CPP)
et de
l’allocation
journalière
de
présence
parentale
(AJPP),
dans
la
limite
d’une
durée
de
trois
ans.
Pour
le
cas
demandant
une
présence
plus
longue,
le
texte
propose
de
renouveler
cette
période,
« permettant
de
doubler
le
nombre
de
jours
mobilisables
pour
les
parents ».
Cette
mesure
« pragmatique
et
humaniste »
a
reçu
le
feu
vert
de
l’ensemble
des
groupes
politiques
au
sein
de la
commission
des
affaires
sociales
de
l’Assemblée,
en
vue
de
son
adoption
le
26 novembre.
Une
autre
proposition
de
loi,
soumise
par
Dimitri
Houbron
(Nord)
et
validée
en
commission,
contient
une
série
de
mesures
destinées
à
« améliorer
la
justice
de
proximité »,
dans
le
but
de
rendre
« plus
efficaces
les
réponses
pénales
constituées
par
les
alternatives
aux
poursuites »
décidées
par
un
procureur
Mercredi
25
novembre
2020
Diego
Maradona,
véritable
légende
du
football,
est
mort
à
l'âge
de 60
ans.
trop
jeune
pour
mourir
!
Mario
Banner,
le
patron
redouté
de la
DSP
sera
l'invité
de
Sans
Tabou
ce
soir
à
18h30
sur
Polynésie
la
première.
Avec
ce
temps
là,
l'audimat
à
n'en
pas
douter,
sera
important.
Il
l'aurait
été
même
sans
la
pluie
!
Extrait
du
conseil
des
ministres
non
synthétisé
et en
dehors
de la
longue
liste
des
subventions
en
tous
genres,
nous
avons
sélectionné
ce
qui
suit
:
Journée
de
lutte
contre
les
violences
faites
aux
femmes
Afin
de
lutter
contre
les
violences
conjugales,
la
Direction
des
Solidarités,
de la
Famille
et de
l’Egalité
(DSFE)
a
pris
le
parti
de
développer
des
actions
visant
à
encourager
la
communication
au
sein
du
couple.
Ainsi,
une
première
campagne
de
communication
visuelle
a été
réalisée
en
utilisant
comme
support
la
façade
arrière
des
Util’bus
de
Taiarapu-Est
et
Pirae,
(fin
2019
et
2020).
Le
message
principal
« Te
here
to
taua
ia
puai »,
illustre
le
fait
que
l’amour,
l’échange
et la
communication,
constituent
les
racines
et la
force
d’un
couple.
Dans
la
continuité
de la
campagne
de
communication
visuelle,
une
campagne
d’affichage
a
précisé
ce
premier
message
en
ciblant
principalement
un
public
jeune
(souvent
le
plus
à
même
de
s’imprégner
de
messages
de
prévention
primaire).
Ces
supports
ont
largement
été
diffusés
dans
les
circonscriptions
relevant
de la
DSFE,
dans
les
communes
ainsi
que
dans
les
lycées.
Cette
première
approche
visait
ainsi
des
jeunes
inscrits
dans
une
relation
récente.
Le
principal
objectif
était
d’insister
sur
l’importance
du
dialogue,
de
l’écoute
et du
respect
mutuel.
Dans
un
premier
temps,
et à
l’occasion
de la
Journée
de
lutte
contre
les
violences
faites
aux
femmes
le 25
novembre,
des
visuels
sur
le
thème
retenu
feront
l’objet
d’une
diffusion
sur
les
réseaux
sociaux.
Par
la
suite,
et
dès
que
possible,
en
fonction
des
contraintes
d’édition
et
d’impression,
des
affiches
seront
produites
et
viendront
compléter
la
campagne
sur
les
réseaux
sociaux.
Enfin,
en
2021,
ce
projet
entrera
dans
une
deuxième
phase
qui
repose
sur
l’expérience
de
couples
prêts
à
communiquer
sur
leur
vécu,
leurs
tranches
de
vie,
leurs
échecs
ou
leurs
réussites.
Insister
sur
la
communication
bienveillante
dans
le
couple,
sur
la
solidarité,
donner
à
voir
des
exemples
de
couples
résilients
sont
tout
autant
de
thèmes
inscrits
dans
une
même
logique
de
prévention.
Point
sur
les
ateliers
d’éducation
à la
non-violence
Dans
le
cadre
de la
feuille
de
route
du
ministère
de la
Famille,
un
programme
d’éducation
et de
transformation
de la
société
a été
fixé.
L’objectif est
de
développer
la
qualité
des
comportements
et
des
relations
en
réponse
aux
actes
de
violence
que
connaissent
de
nombreuses
familles.
Le 30
septembre
dernier,
ont
ainsi
débuté,
à
Papeete
et à
Taravao,
les
premiers
ateliers
d’éducation
à la
non-violence
et à
la
paix,
organisés
par
la
DSFE
(Direction
des
solidarités,
de la
famille
et de
l’égalité)
et à
l’initiative
du
ministère
de la
Famille,
au
bénéfice
de
deux
groupes
de
quinze
personnes.
Cette
première
sensibilisation
a
permis
aux
participants,
afin
de
cultiver
des
relations
pacifiées,
d’approfondir
la
connaissance
et
l’estime
de
soi
et de
l’autre,
de
communiquer
de
façon
efficace
et
bienveillante
et de
créer
des
conditions
favorables
à la
réalisation
de
soi,
à la
consolidation
du
lien
social
et à
la
solidarité.
Les
cinq
modules
de
bases
viennent
d’être
clôturés
après
presque
deux
mois,
à
raison
d’une
journée
de
travail
tous
les
quinze
jours.
Cela
représente
35h
d’accompagnement
par
des
professionnels
de la
médiation
et du
coaching.
Les
témoignages
recueillis
confirment
la
nécessité
de
poursuivre
et
multiplier
ces
ateliers.
Les
groupes
se
retrouveront
de
nouveau
au
mois
de
décembre
pour
deux
séances
d’ancrage
de
leurs
acquisitions.
Des
groupes
de
personnes
sont
composés
de
profils
différents:
accueillants
familiaux,
enseignants
à la
retraite,
gens
de
ménage,
pasteur,
personnes
ayant
perdu
leur
emploi
suite
à la
crise
sanitaire
du
Covid,
etc.
Les
participants
ont
apprécié
la
richesse
de
cette
mixité.
Tous
ont
exprimé
leur
satisfaction
quand
à
cette
opportunité
qui
leur
a été
offerte
alors
que
certaines
n’auraient
jamais
imaginé
bénéficier
d’une
telle
formation.
Ils
en
sont
ressortis
avec
« beaucoup
d’assurance
personnelle ».
Ils
ont
appris
à
écouter
l’autre
sans
juger
et à
observer
sans
interpréter.
Ils
ont
une
meilleure
perception
des
situations
qu’ils
vivent
en
famille
et au
travail
ce
qui
leur
donne
une
capacité
à
réagir
de
façon
plus
adaptée.
Les
participants
à ces
ateliers
sont
ainsi
convaincus
« que
ce
programme
pourra
changer
et
améliorer
la
vie
des
personnes
qui
ont
besoin
d’aide »
et
souhaitent
« que
cette
formation
s’étende
au
maximum
afin
que
la
paix
et la
sérénité
règne
dans
nos
familles
et
que
la
violence
sous
toutes
ses
formes
disparaisse
de
nos
foyers ».
Le
Pays
et
Air
Tahiti
viennent
de
signer
une
convention
pour
une
subvention
de
450
millions
cfp.
Elle
doit
permettre
à Air
Tahiti
d’assurer
la
desserte
des
26
destinations
déficitaires
de
son
réseau.
Une
situation
rendue
encore
plus
difficile
depuis
la
crise
covid.
Le
Président,
Edouard
Fritch,
et le
directeur
général
de la
compagnie
Air
Tahiti,
Manate
Vivish,
ont
signé
une
convention,
lundi
après-midi,
à la
Présidence.
Celle-ci
concrétise
l’octroi
d’une
subvention
de
450
millions
Fcfp
pour
garantir
le
désenclavement
des
populations
de 26
destinations.
Ces
destinations
sont
les
suivantes:
Maupiti
pour
les
îles
Sous-le-Vent,
Ua
Pou
et Ua
Huka
pour
les
Marquises,
Takapoto,
Takaroa,
Aratika,
Kauehi,
Katiu,
Niau,
Kaukura,
Hikueru
et
Apataki
pour
les
Tuamotu
Nord,
Anaa,
Faaite,
Napuka,
Puka
Puka,
Fakahina,
Fangatau,
Tatakoto,
Pukarua,
Reao,
Raroia,
Takume,
Tureia,
Nukutavake
et
Vaitahi
pour
les
Tuamotu
Est.
La
pandémie
de la
Covid-19
et
les
conséquences
économiques
provoquées
par
la
suspension
puis
la
réduction
des
dessertes
internationales
ont
fortement
dégradé
la
situation
financière
de la
compagnie
Air
Tahiti.
Dans
ce
contexte,
un
certain
nombre
de
décisions
avaient
été
prises
par
la
direction
générale
de la
compagnie,
parmi
lesquelles
l’arrêt
de la
desserte
de 26
destinations
en
déficit
structurel
d’exploitation.
Cette
dernière
décision
ne
pouvait
laisser
les
autorités
du
Pays
indifférentes.
En
effet,
le
Pays
ne
pouvait
accepter
que
la
décision
d’une
société
privée
enclave
les
archipels
polynésiens,
et
les
prive
d’accès
aux
services
publics
de
transport,
de
formation,
de
santé
et de
communication
qui
constituent
le
principe
fondamental
de la
continuité
territoriale.
C’est
donc
dans
ce
cadre
qu’une
convention
a été
signée
le
1er
juillet
entre
le
Pays
et la
compagnie
aérienne
portant
notamment
sur
les
points
suivants
:
- la
reprise
des
vols
sur
tout
le
réseau
de
tous
les
archipels
selon
un
programme
de
vols
établi
conjointement
sur
les
destinations
déficitaires
à
compter
du
mois
de
juillet
;
-
l’engagement
du
versement
par
le
Pays
d’une
aide
financière
de
450
millions
Fcfp
permettant
la
reprise
immédiate
des
dessertes
déficitaires
pour
le
reste
de
l’année
en
cours
;
- la
fixation
par
le
Pays
du
programme
de
vols,
de
l’itinérance
ainsi
que
des
fréquences
;
- la
fixation
par
le
Pays
des
tarifs
après
consultation
de
l’opérateur,
et
ce,
afin
de
mener
une
politique
de
baisse
des
prix
des
billets
sur
ces
destinations.
Les
parties
signataires
se
félicitent
de
cet
accord
pour
préserver
le
principe
de
continuité
territoriale
par
voie
aérienne
des
populations
de
ces
26
îles
et ce
afin
de
satisfaire
leur
besoin
de
mobilité
interinsulaire.
Neuf
anciens
agents
de la
commune
de
Faaa
ont
déposé
un
recours
au
tribunal
administratif.
Ils
souhaitent
obtenir
le
versement
d’une
indemnité
de
départ
volontaire
qui
avait
été
instituée
par
le
conseil
municipal
en
2018
et
leur
avait
été
promise
s’ils
quittaient
les
effectifs
communaux.
Le
rapporteur
public
a
conclu
que
la
promesse
étant
illégale,
la
commune
n’a
pas à
la
tenir.
Oups
!
Conseils
du Dr
Bonnie
Henry
médecin
chef
en
Colombie
Britannique
Enfin,
un
message
rassurant
sur
le
virus
Bonnie
Henry,
est
médecin-chef
de la
Colombie-Britannique.
Elle
a
contribué
à
faire
tomber
le
virus
dans
la
province,
ses
conseils
ci-dessous
valent
la
peine
d'être
notés.
Elle
travaille
avec
des
virus
depuis
20
ans.
1.
Il se
peut
que
nous
devions
vivre
avec
la
C19
pendant
des
mois
ou
des
années.
Ne le
nions
pas
et ne
paniquons
pas.
Ne
rendons
pas
nos
vies
inutiles.
Apprenons
à
vivre
avec
ce
fait.
2.
Vous
ne
pouvez
pas
détruire
les
virus
C19
qui
ont
pénétré
les
parois
cellulaires
en
buvant
des
litres
d'eau
chaude
-
vous
allez
simplement
aux
toilettes
plus
souvent
!
3. Se
laver
les
mains
et
maintenir
une
distance
physique
de
deux
mètres
est
la
meilleure
méthode
pour
votre
protection.
4.
Si
vous
n'avez
pas
de
patient
C19 à
la
maison,
il
n'est
pas
nécessaire
de
désinfecter
les
surfaces
de
votre
maison.
5.
Les
marchandises
emballées,
les
pompes
à
essence,
les
caddies
et
les
guichets
automatiques
ne
causent
pas
d'infection.
Si
vous
vous
lavez
les
mains,
vivez
votre
vie
comme
d'habitude.
6.
La
C19
n'est
pas
une
infection
alimentaire.
Elle
est
associée
à des
gouttes
d'infection
comme
la
«grippe».
Il
n'y a
aucun
risque
démontré
que
la
C19
soit
transmis
par
les
aliments.
7.
Vous
pouvez
perdre
votre
odorat
avec
de
nombreuses
allergies
et
infections
virales.
Ce
n'est
qu'un
symptôme
non
spécifique
de la
C19.
8.
Une
fois
à la
maison,
vous
n'avez
pas
besoin
de
changer
vos
vêtements
de
toute
urgence
et
d'aller
vous
doucher
! La
pureté
est
une
vertu,
la
paranoïa
ne
l'est
pas.
9.
La
C19
ne
reste
pas
longtemps
dans
l'air.
Il
s'agit
d'une
infection
respiratoire
par
gouttelettes
qui
nécessite
un
contact
étroit.
10.
L'air
est
pur,
vous
pouvez
vous
promener
dans
les
jardins
et
dans
les
parcs
(en
gardant
simplement
votre
distance
de
protection
physique).
11.
Il
suffit
d'utiliser
un
savon
normal
contre
la
C19
et
non
un
savon
antibactérien.
C'est
un
virus,
pas
une
bactérie.
12.
Vous
n'avez
pas à
vous
soucier
de
vos
commandes
de
nourriture.
Mais
vous
pouvez
tout
réchauffer
au
micro-ondes,
si
vous
le
souhaitez.
13.
Les
chances
de
ramener
C19 à
la
maison
avec
vos
chaussures,
c'est
comme
être
frappé
par
la
foudre
deux
fois
par
jour.
Je
travaille
contre
les
virus
depuis
20
ans -
les
infections
par
goutte
ne se
propagent
pas
comme
ça !
14.
Vous
ne
pouvez
pas
être
protégé
du
virus
en
prenant
du
vinaigre,
du
jus
de
canne
à
sucre
et du
gingembre
! Ces
produits
favorisent
l'immunité,
mais
ne
sont
pas
un
remède.
15.
Le
port
d'un
masque
pendant
de
longues
périodes
interfère
avec
votre
respiration
et
vos
niveaux
d'oxygène.
Portez-le
uniquement
dans
les
foules.
16.
Le
port
de
gants
est
également
une
mauvaise
idée;
le
virus
peut
s'accumuler
dans
le
gant
et se
transmettre
facilement
si
vous
touchez
votre
visage.
17.
Mieux
vaut
se
laver
les
mains
régulièrement.
L'immunité
est
grandement
affaiblie
en
restant
toujours
dans
un
environnement
stérile.
18.
Même
si
vous
mangez
des
aliments
stimulant
le
système
immunitaire,
veuillez
sortir
régulièrement
de
chez
vous
pour
vous
rendre
dans
n'importe
quel
parc
/
plage.
19.
L'immunité
est
augmentée
par
L'EXPOSITION
AUX
AGENTS
PATHOGÈNES,
et
non
en
restant
assis
à la
maison
et en
consommant
des
aliments
frits
/
épicés
/
sucrés
et
des
boissons
gazeuses
!
Soyez
intelligent
et
restez
informé
!
Vivez
la
vie
raisonnablement
et
pleinement
!
Mardi
24
novembre
2020
Décidément
le
virus
ne
cesse
d'augmenter
231
nouveaux
cas
soit
13517
cas
cumulés,
75
hospitalisations
et 70
décès
A
propos
Parlez-vous
français
?
Joe
Biden
s'est
entouré
de
personnalités
qui
comprennent
et
parlent
couramment
le
français.
Antony
Blinken,
futur
secrétaire
d'Etat
dans
le
prochain
gouvernement
Biden,
parle
couramment
le
français
et a
même
passé
son
bac
en
France.
Kamala
Harris
première
vice-présidente
de
l'histoire
américaine
a
vécu
10
ans
au
Canada
français
et
parle
aussi
avec
aisance
notre
langue,
peut-être
avec
un
accent
savoureux,
pour
donner
quelques
exemples.
Biden
a un
faible
pour
tout
ce
qui
est
français
et
par
les
temps
qui
courent
il ne
faut
pas
bouder
les
bonnes
nouvelles.
surtout
lorsqu'elles
reproduisent
avec
bonheur
un
bon
contact
avec
tout
ce
qui
est
français,
pas
seulement
le
fromage
(!) y
compris
la
langue,
une
courroie
de
transmission
à ne
pas
négliger
dans
un
univers
anglophobe.
Quant
aux
Français
ils
devront
faire
un
effort
pour
parler
correctement
l'anglais,
une
langue
bien
plus
facile
que
le
français
dont
la
grammaire
joue
plus
d'un
tour
aux
étrangers.
Le
penseur
de la
raison
raisonnante,
de la
dialectique
triomphante,
Hegel,
offre
la
lumière
de la
possible
connaissance
à
ceux
qui
font
l'effort
d'apprendre.
En
fait,
une
part
de
l'humanité
sera
l'esclave
de
l'autre
dans
un
monde
où
l'anglais
est
roi.
Mais
le
philosophe
nous
a
aussi
appris
que
les
grands
hommes
cultiveront
la
tyrannie
des
sondages
et de
l'argent,
plus
supportable,
en
vérité,
que
celles
des
baïonnettes
quand
même.
Il
nous
a
appris
aussi
que
rien
de
grand
ne
s'est
accompli
dans
le
monde
"sans
passion"
Celle
de
notre
temps
qui
nous
excite
et
nous
fait
peur
tour
à
tour,
en
électrisant
parfois
de
ses
frissons,
l'échine
des
jours.
Confinement :
Que
retenir
de
l’allocution
d’Emmanuel
Macron ?
Emmanuel
Macron
s’est
exprimé
ce
mardi
à
20h
depuis
l’Elysée
pour
annoncer
de
nouvelles
perspectives
dans
la
lutte
contre l’épidémie
de
coronavirus.
Il a
précisé
un calendrier
en
trois
étapes,
dont
un déconfinement
le
15 décembre,
si
la
situation
sanitaire
le
permet.
Sera-t-il
possible
de
faire
ses
courses
de
Noël,
de
partir
en
vacances,
de
faire
la
fête
en
famille ?
Emmanuel Macron
a
répondu
aux
questions
que
se
posaient
les
Français,
ce
mardi soir,
au
cours
de son
allocution
télévisée.
En
précisant
trois
étapes,
dont
la levée
du
confinement,
qui
interviendrait
potentiellement
le
15 décembre.
20
Minutes
revient
ce
qui
va se
passer
dans
chaque
domaine.
Des
progrès
dans
la
lutte
contre
l’épidémie
Le
Président
de la
République
a
annoncé
des
résultats
encourageants
dans
le
combat
pour
ralentir
la
circulation
du
coronavirus.
« Le
nombre
de
cas
positifs
a
fortement
reculé »,
a-t-il
déclaré,
expliquant
qu’il
y
avait
20.000
cas
par
jour
en
moyenne
la
semaine
dernière.
Le
nombre
de
personnes
hospitalisées
en
réanimation
est
passé
à
4.300
ce
mardi.
« Le
pic
de la
seconde
vague
est
passé »,
a-t-il
affirmé.
En
félicitant
les
Français : « Vos efforts
ont
payé ».
Il a
aussi
fixé
un
cap
pour
que
la
politique
de
tests
soit
plus
efficace : « Début
janvier,
aucun
test
ne
devra
mettre
plus
de 24
heures
entre
sa
demande et
son
résultat »,
a-t-il
demandé.
Le
Président
souhaite
davantage
de
fermeté
vis-à-vis
des
personnes
qui
sont
malades
et
qui
refusent
de
rester
chez
elles : « Je
souhaite
que
le
gouvernement
et le
Parlement
prévoient
les
conditions
pour
s’assurer
de
l’isolement des
personnes
contaminées,
y
compris
de
manière
plus
contraignante »,
a
déclaré
le
chef
de
l’Etat,
en
promettant
que
« ces
personnes
seront
accompagnées
sur
le
plan
matériel,
sanitaire,
psychologique ».
Les
magasins
rouverts
sous
conditions
Emmanuel Macron veut
permettre
aux
Français
d’effectuer
leurs achats
de
Noël.
Il a
annoncé
la
réouverture
des
commerces
dits
« non
essentiels »,
comme
les
librairies
ou
les
boutiques
de
vêtements
et
tous
les
autres,
qui
interviendra dès
ce
samedi
matin.
Mais
avec
un
protocole
sanitaire
strict.
Et en
fermant
au
plus
tard
à
21h.
Les
déplacements
davantage
possibles…
avant
un
potentiel
déconfinement
L’attestation
de
déplacement
reste
en
vigueur,
mais
à
partir
de
samedi,
les
Français
pourront
sortir
trois heures
par
jour au
lieu
d’une
et
circuler
dans
un
rayon
de 20
kilomètres
au
lieu
d’un
kilomètre.
Le
télétravail
quand
il
est
possible,
reste
aussi
la
norme.
Et si
le
15 décembre,
la
France
enregistre
moins
de
5.000
contaminations
au coronavirus
par
jour
et
compte
moins
de
2.500
personnes
en
réanimation,
« le
confinement
sera
alors
levé »,
a
annoncé
Emmanuel
Macron.
Mais
un
couvre-feu
sera
instauré
de
21h à
7h du
matin.
Sauf
le 24
et le
31 décembre
« où
l’on
pourra
circuler
librement »,
a
précisé
le
président.
Des
réveillons
raisonnables
et
sécurisés
Ouf,
on
pourra
partager
la
dinde
et la
bûche
à
plusieurs. Si
le
chef
de
l’Etat
n’a
pas
fixé
de
jauge
pour
les
réunions
de
famille,
il a
tout
de
même
demandé
aux
Français
de
« limiter
le
nombre
d’adultes
présents ».
Il a
beaucoup
insisté
sur
le
respect
des
mesures
barrières
à
domicile.
« Portons
un
masque
y
compris
à la
maison,
si
des
parents
et
amis
s’y
trouvent ».
Il ne
sera
en
revanche
pas
possible
de
partir
skier
à
Noël,
mais
Emmanuel
Macron
a
évoqué
la
possibilité
de
permettre
un
accès
aux
sports
d’hiver
« courant
janvier ».
Des
annonces
pour
les
élèves
et
les
étudiants
A
partir
de
samedi,
les
activités
extrascolaires
en
plein
air
seront
à
nouveau
possibles.
Quant
aux
lycées,
contraints
pour
l’heure
d’accueillir
en
demi-groupes
les
élèves,
ils
pourraient
à
nouveau
proposer
des
cours
à
100 %
en
présentiel
à
partir
du
20 janvier,
si le
nombre
de
contaminations
quotidiennes
par
le
Covid-19
en
France
reste
sous
la
barre
des
5.000,
Et
quinze
jours
plus
tard,
les
universités
pourraient
elles
aussi
rouvrir
leurs
portes
à
tous
les
étudiants.
Les
lieux
de
cultes
rouverts
avec
une
jauge
A
partir
de
samedi,
il
sera
possible
d’aller
y
prier,
mais
en
comité
restreint.
Car
le
gouvernement
a
limité
les
offices à
30
personnes.
Une
date
pour
la
réouverture
des
théâtres,
des
musées et
des
cinémas
Si le
15 décembre,
la
situation
sanitaire
s’est
arrangée
dans
les
conditions
précisées
plus
haut,
ces
lieux
de
culture
pourront
rouvrir
dans
le
cadre
d’un
protocole
strict.
Les
restaurants,
bars,
discothèques,
parcs
d’attractions
et salles
de
sport toujours
dans
l’expectative
Ce
n’est
pas
encore
demain
que
ces
lieux
vont
pouvoir
accueillir
du
public.
Mais
si le
nombre
de
cas
de
coronavirus
est
inférieur
à
5.000
le
20 janvier,
« on
pourra
prendre
de
nouvelles
décisions »,
a
déclaré
le
président,
évoquant la
réouverture
potentielle
des
restaurants
et
des
salles
de
sport.
Aucune
date
n’est
en
revanche
fixée
pour
les
bars
et
les
discothèques.
Conscient
de
cette
échéance
encore
lointaine,
Emmanuel
Macron
a
annoncé
de
nouvelles
aides
pour
toutes
ces
entreprises.
« Les
restaurants,
les
bars,
les
salles
de
sport,
les
discothèques,
tous
les
établissements
qui
resteront
fermés
administrativement
se
verront
verser,
quelle
que
soit
leur
taille,
20 %
de
leur
chiffre
d’affaires
de
l’année
2019
si
cette
option
est
préférable
pour
eux
aux
10.000
euros
du
fonds
de
solidarité »,
a-t-il
déclaré.
Une campagne
de
vaccination
qui
se
précise
« Je
ne
rendrai
pas
la
vaccination
obligatoire »,
a
annoncé
Emmanuel
Macron,
précisant
que
les
personnes
fragiles
en
seraient
les
premières
bénéficiaires.
Certains
vaccins
seront
disponibles
dès
la
fin
décembre
ou au
début
du
mois
de
janvier.
Et
une
seconde
génération
de
vaccins
arrivera
au
printemps.
Le
président
a
aussi
annoncé
la
création
d’un
comité
scientifique
de
suivi
du
vaccin
et
d’un
collectif
citoyen.
Avec
l’objectif
de
garantir
le
plus
de
transparence
possible.
Signature
de
convention
entre
le
Pays
et
Air
Tahiti
Celle-ci
concrétise
l’octroi
d’une
subvention
de
450
millions
Fcfp
pour
garantir
le
désenclavement
des
populations
de 26
destinations.
Ces
destinations
sont
les
suivantes:
Maupiti
pour
les
îles
Sous-le-Vent,
Ua
Pou
et Ua
Huka
pour
les
Marquises,
Takapoto,
Takaroa,
Aratika,
Kauehi,
Katiu,
Niau,
Kaukura,
Hikueru
et
Apataki
pour
les
Tuamotu
Nord,
Anaa,
Faaite,
Napuka,
Puka
Puka,
Fakahina,
Fangatau,
Tatakoto,
Pukarua,
Reao,
Raroia,
Takume,
Tureia,
Nukutavake
et
Vaitahi
pour
les
Tuamotu
Est.
La
pandémie
de la
Covid-19
et
les
conséquences
économiques
provoquées
par
la
suspension
puis
la
réduction
des
dessertes
internationales
ont
fortement
dégradé
la
situation
financière
de la
compagnie
Air
Tahiti.
Dans
ce
contexte,
un
certain
nombre
de
décisions
avaient
été
prises
par
la
direction
générale
de la
compagnie,
parmi
lesquelles
l’arrêt
de la
desserte
de 26
destinations
en
déficit
structurel
d’exploitation.
Cette
dernière
décision
ne
pouvait
laisser
les
autorités
du
Pays
indifférentes.
En
effet,
le
Pays
ne
pouvait
accepter
que
la
décision
d’une
société
privée
enclave
les
archipels
polynésiens,
et
les
prive
d’accès
aux
services
publics
de
transport,
de
formation,
de
santé
et de
communication
qui
constituent
le
principe
fondamental
de la
continuité
territoriale.
C’est
donc
dans
ce
cadre
qu’une
convention
a été
signée
le
1er
juillet
entre
le
Pays
et la
compagnie
aérienne
portant
notamment
sur
les
points
suivants
:
- la
reprise
des
vols
sur
tout
le
réseau
de
tous
les
archipels
selon
un
programme
de
vols
établi
conjointement
sur
les
destinations
déficitaires
à
compter
du
mois
de
juillet
;
-
l’engagement
du
versement
par
le
Pays
d’une
aide
financière
de
450
millions
Fcfp
permettant
la
reprise
immédiate
des
dessertes
déficitaires
pour
le
reste
de
l’année
en
cours
;
- la
fixation
par
le
Pays
du
programme
de
vols,
de
l’itinérance
ainsi
que
des
fréquences
;
- la
fixation
par
le
Pays
des
tarifs
après
consultation
de
l’opérateur,
et
ce,
afin
de
mener
une
politique
de
baisse
des
prix
des
billets
sur
ces
destinations.
Les
parties
signataires
se
félicitent
de
cet
accord
pour
préserver
le
principe
de
continuité
territoriale
par
voie
aérienne
des
populations
de
ces
26
îles
et ce
afin
de
satisfaire
leur
besoin
de
mobilité
interinsulaire.
Fera-t-il
beau
demain
?C'est
ce
que
nous
dira
peut-être
la
nouvelle
directrice
de
météo
France!
La
nouvelle
directrice
de
Météo-France
en
Polynésie,
Sophie
Martinoni-Lapierre,
a été
reçue,
lundi
après-midi,
par
le
Président
Edouard
Fritch.
L’entretien
s’est
déroulé
en
présence
également
de
deux
cadres
de
Météo-France
en
Polynésie.
La
directrice
a
présenté
les
nouveaux
enjeux
importants
liés
à la
science
de la
météorologie,
en
particulier
dans
le
cadre
du
changement
climatique
et du
réchauffement
de la
planète.
Météo-France
en
Polynésie
va
accroître
le
nombre
de
stations
d’observation
automatisées
sur
20
nouveaux
sites.
La
densification
du
réseau
d’observations
est
nécessaire
afin
de
collecter
les
informations
les
plus
précises
et
les
plus
fiables
pour
les
prévisions
météorologiques.
Cette
densification
du
système
d’observations
s’appuie
également
sur
un
effectif
permanent
de 77
agents
répartis
sur
l’ensemble
de la
Polynésie.
Une
convention
de
partenariat
entre
la
Polynésie
française
et
Météo
France
est
en
préparation.
Elle
portera
sur
divers
sujets
tels
que
l’aspect
régional
du
changement
climatique,
l’hydrométéorologie
et la
gestion
de la
ressource
en
eaux.
Météo-France
est,
en
outre,
en
train
de
mener
une
étude
de
faisabilité
relative
à
l’implantation
d’un
radar
météorologique
à
Tahiti.
Ce
nouvel
équipement
sera
de
nature
à
augmenter
la
fiabilité
des
prévisions.
Le
Président
Edouard
Fritch
a
souligné
l’importance
des
données
météorologiques
pour
la
gestion
de
notre
Pays
afin
d’éviter
des
catastrophes
environnementales
telles
que
celles
subies
ces
dernières
années.
Il
souhaite,
en ce
sens,
intensifier
la
coopération
entre
le
Pays
et
Météo-France.
Qantas:
Covid-19:
Qantas
exigera
la
vaccination
de
ses
passagers
La
compagnie
aérienne
australienne
a
annoncé
lundi
que
cette
obligation
entrera
en
vigueur
pour
tous
les
passagers
de
ses
vols
internationaux
dès
qu'un
vaccin
sera
disponible
pour
le
public
.Qantas
a
supprimé
8.500
emplois
et
cloué
au
sol
plus
de
200
avions
en
raison
de la
baisse
du
trafic
aérien
dû à
la
pandémie.
Gregg
Porteous/Destination
NSW /
via
REUTERS
La
compagnie
aérienne
australienne
Qantas
va
rendre
la
vaccination
contre
le
Covid-19
obligatoire
pour
tous
les
passagers
de
ses
vols
internationaux,
a
annoncé
lundi
23
novembre
son
patron,
assurant
cette
exigence
allait
probablement
devenir
«courante»
dans
le
secteur.
L'obligation
d'être
vacciné
contre
le
Covid-19
pour
voyager
sur
Qantas
entrera
en
vigueur
dès
qu'un
vaccin
sera
disponible
pour
le
public,
a
indiqué
le
PDG
de la
compagnie,
Alan
Joyce.
Une
petite
histoire
pour
les
profs
éponymes
(
comme
quand
ils
apprenaient
à
leurs
élèves
"nos
ancêtres
les
gaulois!")
et
une
grande
histoire
sur
la
pratique
de la
laïcite
Au
lycée,
dans
le
93,
en
cours
d'histoire,
le
professeur
pose
une
question
qui
va se
révéler
lourde
de
conséquences
:
Qui a
cassé
le
vase
de
Soissons
?
Ce
n’est
pas
moi,
m'sieur
dit
Mohamed
Ce
n’est
pas
moi
non
plus
crie
Rachid
Ni
moi,
dit
Mouloud
C'est
pas
moi
missié
dit
Mustapha
Et
toute
la
classe
braille
et
nie
avoir
cassé
le
vase,
ce
qui
finit
d'anéantir
le
pauvre
prof.
Le
soir
même,
après
les
cours,
il va
raconter
au
directeur
ce
qui
s'est
passé
dans
sa
classe.
C'est
trop
grave,
il
faut
prévenir
l'Inspecteur
d'Académie
!
L'inspecteur
vient
le
lendemain
et
après
s'être
fait
relater
les
faits,
dit :
Ça va
trop
loin,
il
faut
en
aviser
le
Ministère.
Et
les
voilà,
tous
les
trois,
le
lendemain
à
Paris
au
Ministère
de
l'Éducation
Nationale.
Ils
racontent
ce
qui
s'est
passé
à
Blanker,
le
ministre,
qui
les
écoute
avec
attention.
Après
un
moment
de
réflexion,
Blanquer
va
fouiller
dans
ses
poches
et en
sort
deux
billets
de 50
euros
qu'il
tend
au
professeur
en
lui
disant
:
Pas
de
vagues
avec
les
musulmans
et
pas
de
scandale
en
période
électorale,
surtout
pas !
Prenez
cet
argent,
vous
rachetez
un
autre
vase,
vous
le
mettez
à la
place
du
premier,
vous
ne
dites
rien
à
personne,
et on
étouffe
l'affaire
! (
l'air
du
temps
!)transmis
par
Pascal
Szym)
Hold
up
-
L’Institut
Pasteur
n’entend
pas
rester
silencieux.
Mise
en
cause
dans
le
documentaire
controversé
“Hold-up”,
la
fondation
va
déposer
plainte
contre
le
réalisateur
Pierre
Barnérias,
rapportent
ce
lundi
23
novembre Libération et LCI.
Le
documentaire
consacré
au
coronavirus
et
signé Pierre
Barnérias
et
Christophe
Cossé
s’est
fait
remarquer
dès
sa
sortie
le 11
novembre.
Notamment
à
cause
de
plusieurs
séquences
et
affirmations
controversées, que Le
HuffPost a
vérifiées.
L’une
d’entre
elles
concerne
par
exemple
l’origine
du
coronavirus:
dans
le
documentaire,
certains
intervenants
n’hésitent
pas à
affirmer
que
le
Sars-Cov2
a été
créé
dans
un
laboratoire,
à
partir
d’un
Sras
modifié
avec
une
partie
du
génome
de la
malaria. Cette
théorie
est
loin
d’être
nouvelle.
Peu
après
l’apparition
du
virus
en
France,
une
vidéo
abondamment
relayée
sur
les
réseaux
sociaux
accusait
ainsi
l’Institut
Pasteur
d’avoir
fabriqué
le
Covid-19,
brevet
(sorti
de
son
contexte)
à
l’appui.
Bien
que
démentie
à de
nombreuses
reprises,
l’idée
est
cependant
de
nouveau
évoquée
dans
“Hold-up”.
Ce
qui a
provoqué
la
colère
de
l’Institut
Pasteur,
qui a
annoncé
sa
volonté
de se
pourvoir
en
justice
“suite
à la
diffusion
de
plusieurs
vidéos
virales”.
Lundi
23
novembre
2020
Coronavirus
:
308
nouveaux
cas -
13286
cas
cumulés
81
hospitalisations
- 68
décès
A
propos
Le
"papy
coquin"
(
non
ce
n'est
pas
ce
que
vous
croyez
!)
Oscar
Temaru,
on le
sait
depuis
longtemps,
peut-être
pas
les
nouveaux
venus
dans
la
presse
locale,
mais
il
est,
à
n'en
pas
douter,
un
"petit
coquin".
Il
invite
la
presse
pour
évoquer
son
procès
en
appel
de
radio
Tefana.
Bien.
Tous
les
journaleux
se
précipitent.
Mais
fatalitas,
comme
d'habitude
Il
consacrera
le
temps
qui
lui
était
imparti,
pour
donner
en
quelque
sorte
des
"conseils
nutritionnels"
aux
journalistes
qui
s'étaient
déplacés
et
qui
n'en
avaient
rien
à
cirer.
C'est
le
cas
de le
dire
puisqu'ils
n'étaient
pas
venus
pour
savoir
comment
éplucher
une
carotte
ou un
concombre
afin
de
garder
leur
saveur
!
Du
procès
?
Mais
quel
procès
! Le
but
de
cette
conférence
de
presse
était
réservé,
en
fait,
à
ce
qu'il
avait
envie
d'apprendre
aux
"jeunots"de
la
presse,
à
savoir
"
tout,
sauf
son
procès
de
l'affaire
radio
Tefana.
Il a
par
conséquent
laissé
tomber
la
raison
de sa
conférence
de
presse
qui
avait,
bien
sûr,
appâté
quelques
rédacteurs,et
a
enfourché
son
dada
en
faisant
la
leçon
du
bon
prof
de
cuisine,
donnant
les
conseils
qu'il
affectionne
du
"bien
manger"
aux
courageux
qui
s'étaient
déplacés
un
samedi
matin
en y
ajoutant
même,
les
bienfaits
du
jeûne
thérapeutique
allant
de
pair
avec
l'anticovid
au
niveau
de la
santé.
" "Tenez,
leur
a-t-il,
conseillé
"prenez
modèle
sur
les
footballeurs
professionnels
internationaux
ils
n'ont
pas
été
in
fectés
par
le Covid"
ils
ont
une
alimentation
saine
. Et
pan,
fermez
le
ban
de la
conférence
de
presse
pas
question
de
parler
du
procès
de
radio
Tefana.
Oscar
a
toujours
été
un
gros
malin
surtout
lorsqu'il
prend
son
air
malicieux
de
"papy"
qui
se
paye
votre
tête,
souriant
dans
son
masque
du
bon
tour
qu'il
vous
joue
!
En
attendant,
Edouard
Fritch
ne
rit
pas,
il a
travaillé
sur
la
sauvegarde
de
l'emploi,
le
Diese
et le
Deserti.
Le
premier
est
un
dispositif
de
sécurité
exceptionnelle
destiné
aux
entreprises
en
difficulté
au
plan
de
l'emploi
de
leurs
salariés,
"le
deserti",
lui,
concerne
les
travailleurs
indépendants
patentés
exerçant
une
activité
non
salariée.
Ces
nouvelles
modalités
seront
applicables
à
compter
du
Ier
janvier.
Enfin,
une
bonne
nouvelle,
six
tonnes
de
colis
arrivés
pile
poil
pour
Noël,
bloqués
depuis
presque
un an
(février
dernier)
en
provenance
d'Asie
et
d'Océanie
dressant
une
montagne
de
1000
sacs
verts
et
bleus
jusqu'ici
bloqués
à la
poste
en
provenance
de
pays
différents
.
Bref,
ils
sont
là et
feront
d'heureux
destinataires.
"Tout
arrive
à qui
sait
attendre"
est
le
slogan
de
Fare
Rata,
qui
n'est
pas
responsable
de ce
retard,
faut-il
le
dire.
Noêl
ne se
fera
pas
en
visioconférence,
mais
ne
sera
pas
comme
d'habitude
en
métropole
Au-delà
des
questions
économiques
cruciales
liées
à
cette
période,
le
gouvernement
va
devoir
répondre
à ce
casse-tête : faut-il
permettre
aux
Français
de se
retrouver
en
famille
au
risque
de
relancer
l’épidémie ? « C’est
difficile
pour
l’exécutif
car
les
vacances
sont
très
attendues.
Il
est
donc
important
de
diminuer
le
nombre
de
contaminations
jusqu’au
19 décembre
[début
des
vacances
scolaires],
remarque
le
député
LREM
de
Paris
Pacôme
Rupin.
Si le
virus
circule
à
30.000
contaminations
par
jour
comme
aujourd’hui,
on
risque
l’explosion.
Ce
sera
beaucoup
moins
le
cas si
on
est à
300,
comme
au
début
de
l’été. »
Pour
autant,
l’exécutif
ne
semble
pas
décidé
à
faire
une
croix
sur
Noël,
décision
qui
serait
explosive
socialement,
à
l’heure
où
il
s'inquiète
déjà
de
l'augmentation
du
nombre
de
dépressions
dans
le
pays.
« Noël
ne se
fera
pas
en
visioconférence,
mais
il ne
sera
pas
comme
d’habitude.
Il y
aura
probablement
des
recommandations
pour
limiter
le
nombre
de
personnes »,
estime
Anne
Genetet.
« Les
gens
ont
bien
compris
que
ça ne
serait
pas
les
grandes
cousinades,
mais
un
Noël
dans
le
cercle
familial
restreint »,
ajoute
Pacôme
Rupin.
Si
les
Français
peuvent
déjà
réserver
leurs
billets
de
train
pour
Noël,
il
est
encore
trop
tôt
pour
dire
si
les
trains
pourront
circuler,
a
prévenu
vendredi
le
ministre
délégué
aux
Transports
Jean-Baptiste
Djebbari.
A un
mois
du
réveillon,
le
temps
presse.
Des
précisions
devraient
être
apportées
sur
ces
questions
dans
la
semaine.
« On
donnera
quelques
perspectives
pour
que
les
gens
puissent
s’organiser,
notamment
ce
qui
concerne
les
déplacements.
Mais
tout
restera
au
conditionnel »,
dit-on
prudemment
à
Matignon.
Mais
l’inquiétude
pourrait
en
réalité
se
concentrer
sur
une
autre
fête,
comme
le
souligne Anne
Genetet : « A
Noël,
on
pourra
s’amuser
et
partager
un
repas
en
gardant
ses
distances.
Ce
sera
beaucoup
plus
compliqué
pour
le
réveillon
du
31 décembre,
où
l’on
fait
plutôt
la
fête
debout,
collés
les
uns
aux
autres,
notamment
chez
les
jeunes… »
Paris :
Plusieurs
centaines
de
migrants
montent
un
campement
place
de la
République
MOBILISATION
Des
migrants
en
errance
autour
de
Paris depuis
le
démantèlement
d’un
important
camp
d’exilés
20
Minutes
avec
AFP
Plusieurs
centaines
de
migrants
montent
un
campement
place
de la
République
à
Paris.
—
AFP
Des
centaines
et
des
centaines
de
tentes
installées
sur
la
place
de la
République.
Ce
lundi
soir,
plusieurs
centaines
de
migrants,
en
errance
depuis
le
démantèlement
d’un
important
camp
d’exilés
la
semaine
dernière,
ont
monté un
campement
dans
le
centre
de
Paris
pour
être
à
leur
tour
mis à
l’abri
en
pleine
pandémie
de
coronavirus.
« On
était
sur
le
campement,
on a
été
virés
le
jour
où
les
autres
ont
été
emmenés
dans
les
bus
(pour
être
mis à
l’abri)
et
depuis
on
est à
nouveau
dans
la
rue
où la
police
ne
nous
laisse
pas
dormir »,
a
expliqué
Mahdi
Jafari,
un
Afghan
de 19
ans,
en
installant
sa
tente
sur
les
coups
de 19
heures.
Des
policiers enlèvent
des
tentes
« Ils
ont
été
laissés
sur
le
carreau
et
invisibilisés,
mais
eux
aussi
ont
besoin
d’un
hébergement,
surtout
en
pleine
crise
sanitaire »,
a
abondé
Maël
de
Marcellus,
responsable
parisien
de
l’association
Utopia56,
qui a
aidé
les
exilés,
quasi
exclusivement
des
Afghans,
à
installer
500
tentes
sur
cette
place
centrale
de la
capitale.
Mais
dès
20
heures,
les
forces
de
l’ordre
ont
commencé
à
enlever
une
partie
des
tentes,
parfois
avec
des
exilés
encore
à
l’intérieur,
et
sous
les
huées
des
militants
et
des
migrants.
Pourtant,
selon
les
associations
de
défense
des
migrants,
les
400 à
500
migrants
qui
se
sont
installés
place
de la
République
« ne
partiront
que
lorsqu’une
solution
d’hébergement
sera
trouvée »
Démantèlement
d’un
campement
à
Saint-Denis
Plus
de
3.000
personnes,
principalement
des
hommes
afghans,
avaient
bénéficié
d’une
mise
à
l’abri
dans
des
centres
d’accueil
ou
des
gymnases
en
Ile-de-France
mardi
dernier,
à
l’issue
du
démantèlement
d'un
très
important
campement
informel
qui
s’était
constitué
depuis
l’été
sous
une
bretelle
d’autoroute
près
du
Stade
de
France,
à
Saint-Denis
(Seine-Saint-Denis).
Mais
entre
500
et
1.000
personnes
n’avaient
pas
bénéficié
de
cette
opération
et se
trouvaient
depuis
en
errance
dans
les
rues
en
lisière
de
Paris,
selon
les
associations
qui
leur
viennent
en
aide
et
qui
dénoncent
notamment
des
abus
policiers.
La
semaine
dernière,
la
vidéo
diffusée
par
un
journaliste
de
l’errance
forcée
de
certains
de
ces
exilés,
forcés
à
marcher
toute
la
nuit
encadrés
par
des
policiers
qui
refusent
de
les
laisser
s’installer
pour
dormir,
avait
notamment
suscité
une
vague
d’indignation
dans
le
milieu
associatif
et
politique.
« La
constitution
de
tels
campements
n’est
pas
acceptable »
Dans
la
soirée,
la
préfecture
a
réagi
par
voie
de
communiqué
de
presse : « La
constitution
de
tels
campements,
organisée
par
certaines
associations,
n’est
pas
acceptable.
La
préfecture
de
police
a donc
procédé
immédiatement
à la
dispersion
de
cette
occupation
illicite
de
l’espace
public. »
La
préfecture
a
indiqué
que
« toutes
les
personnes
en
besoin
d’hébergement
sont
invitées
à se
présenter
dans
les
accueils
de
jour
où
des
orientations
vers
des
solutions
d’hébergement
adaptées
à
leur
situation
sont
proposées
très
régulièrement
aux
migrants
par
l’Etat
et
ses
partenaires
associatifs.
A
titre
d’illustration,
64
personnes
ont
pu
être
orientées
par
ce
biais,
vendredi
dernier. »
Affaire
des
"écoutes":
"Je
ne
suis
pas
un
pourri"
se
défend
Nicolas
Sarkozy
(
pour
ceux
qui
ont
du
temps
pour
lire
l'histoire
de la
France
contemporaine)
L’ancien
chef
de
l’État
est
jugé
pour
corruption
et
trafic
d’influence
à
partir
de ce
lundi
à
Paris
dans
l’affaire
dite
des
écoutes.
Nicolas
Sarkozy
s’y
rendra,
plus
combatif
que
jamais.
"Je
ne
suis
pas
un
pourri",
se
défend-il.
Photo
Nicolas
DE
SAKUTIN/AFP
Le
moment
est
historique
mais
il
s’est
préparé.
Nicolas
Sarkozy
est
jugé
à
partir
de
ce
lundi
pour
corruption
par
le
tribunal
correctionnel
de
Paris.
L’ancien
chef
de
l’Etat
(2007-2012)
se
rendra
à la
barre,
face
à ses
juges,
combattant
comme
jamais.
Ce
sera
une
première
par
le
motif
d’accusation
et
surtout
par
la
présence
du
président.
En
décembre
2011,
le
président
Jacques
Chirac,
jugé
et
condamné
pour
l’affaire
des
emplois
fictifs
de la
ville
de
Paris
quinze
ans
après
les
faits
ne
s’était
pas
rendu
au
tribunal
pour
raisons
de
santé,
ni
lors
du
procès,
ni
lors
du
jugement.
Pourquoi
l’ancien
président
est
jugé
« En
matière
judiciaire,
il
vaut
mieux
avoir
un
passé
qu’un
avenir
» :
cette
phrase
assassine
d’Alain
Juppé
lors
de la
primaire
de
2016
avait
fait
son
petit
effet.
Tout
comme
celle
de
François
Fillon
: «
Imagine-t-on
le
général
de
Gaulle
mis
en
examen
?».
Nicolas
Sarkozy,
lui,
a
plusieurs
fers
au
feu
judiciaire.
L’affaire
des
écoutes
lui a
valu
d’être
placé
en
garde
à vue
en
2014.
Là
aussi
c’était
une
première
pour
un
ancien
chef
de
l’État.
Son
procès,
qui
s’ouvre
aujourd’hui,
trouve
son
origine
dans
des
écoutes
judiciaires
dans
le
cadre
de
l’enquête
sur
les
soupçons
de
financement
libyen
de sa
campagne
présidentielle
de
2007.
Des
écoutes
téléphoniques
entre
Nicolas
Sarkozy
et
son
avocat
Thierry
Herzog
laissent
à
penser
que
les
deux
hommes
cherchaient
à
obtenir
auprès
d’un
magistrat
des
informations
sur
une
décision
judiciaire
concernant
l’ancien
chef
de
l’État
en
échange
d’un
poste
bien
placé
à
Monaco.
Embarrassantes
conversations
•
Nicolas
Sarkozy
sera
défendu
par
Me
Jacqueline
Laffont,
avocate
par
ailleurs
d’Alexandre
Benalla
et de
Nicolas
Hulot
qui
se
substitue
à
Pierre
Haïk,
l’avocat
star
des
affaires
politico-financières
en
retrait
depuis
18
mois.
•
Thierry
Herzog
aura
pour
avocat
Me
Hervé
Temime,
ténor
du
barreau
de
Paris.
•
Gilbert
Azibert,
haut
magistrat
en
retraite,
ne
sera
sans
doute
pas
présent
à
l’audience,
étant
personne
à
risque
pour
le
Covid-19.
Les
conversations
des
trois
hommes
seront
au
cœur
des
débats.
➤ Le
30
janvier
2014,
sur
sa
ligne
non
officielle
dite
« Bismuth »,
Me
Herzog
explique
à
Nicolas
Sarkozy
la
position
du
parquet
général
de la
Cour
de
cassation,
qui
s’annonce
favorable
à une
annulation
de la
saisie
des
agendas
de
l’ex-chef
de
l’État
dans
le
dossier
Bettencourt,
instruit
à
Bordeaux. Finalement,
il a
obtenu
un
non-lieu
dans
ce
dossier.
A
l’époque,
l’avocat
rapporte
un
échange
avec
« Gilbert »,
magistrat
à la
Cour
mais
qui
n’intervient
pas
dans
ce
dossier.
Il
indique
que
ce
dernier
« a
eu
accès »
à un
autre
document,
pourtant
confidentiel :
« l’avis »
du
conseiller
rapporteur.
.
➤ Le
5
février,
Me
Herzog
réitère
l’optimisme
de
Gilbert
Azibert,
qui
devait
rencontrer
un
autre
magistrat
de la
Cour
« pour
bien
lui
expliquer
ce
qu’il
faudrait ».
« Moi,
je le
fais
monter »,
dit
Nicolas
Sarkozy.
Son
avocat
évoque
l’intérêt
du
magistrat
pour
un
poste
au
Conseil
d’État
à
Monaco.
« Je
l’aiderai »,
insiste
l’ex-président.
➤ Le
23
février,
l’ex-président
doit
se
rendre
dans
la
Principauté.
Me
Herzog
lui
rappelle
« de
dire
un
mot
pour
Gilbert s’il
a
l’occasion ».
Nicolas
Sarkozy
acquiesce.
« Il
est
dans
les
favoris
mais
si tu
donnes
un
coup
de
main,
ce
sera
toujours
mieux »,
dit
l’avocat.
➤ Le
25
février,
Nicolas
Sarkozy
répète
qu’il
fera
« la
démarche ».
Le
jour
suivant,
pourtant,
il
assure
sur
sa
ligne
officielle
qu’il
n’a
finalement
pas
parlé
du
magistrat
au
ministre
d’État
du
“Rocher":
« Ça
m’embête
de
demander
quelque
chose
alors
que
je
connais
pas
très
bien ».
➤ Le
3
mars,
lors
d’un
appel
entre
Me
Herzog
et
Gilbert
Azibert,
l’avocat
annonce
que
« la
démarche
à
Monaco
a été
faite »
et
suggére
qu’ils
sont
au
courant
des
écoutes:
« Je
te
raconterai
de
vive
voix la
dernière
péripétie. On
a été
obligés
de
dire
certaines
choses
au
téléphone parce
qu’on
a
appris
certaines
choses ».
Paul
Bismuth
à la
barre
!
Détail
caustique
de
l’affaire
:
Nicolas
Sarkozy
utilisait
un
téléphone
au
nom
de «
Paul
Bismuth
», un
ancien
camarade
de
classe
pour
communiquer
avec
son
avocat
Thierry
Herzog;
ce
dernier
sera
sur
le
banc
des
prévenus
avec
l’ex-chef
d’État
et
Gilbert
Azibert.
Nicolas
Sarkozy
et
Thierry
Herzog
sont
amis
depuis
trente
ans.
Herzog
est
l’un
des
pénalistes
les
plus
réputés
du
barreau
de
Paris.
Il a
notamment
obtenu
un
non-lieu
pour
Nicolas
Sarkozy
dans
l’affaire
Bettencourt.
Le
troisième
prévenu,
Gilbert
Azibert,
73
ans,
était
avocat
général
dans
une
chambre
civile
de la
Cour
de
Cassation
au
moment
des
faits.
Il
est
aujourd’hui
en
retraite.
Il
est
accusé
d’avoir
voulu
influencer
l’avocat
général
en
charge
du
dossier
concernant
Nicolas
Sarkozy
pour
obtenir
un
poste
de
prestige
à
Monaco.
« Je
ne
suis
pas
un
pourri
! »
Quelle
ligne
de
défense
pour
Nicolas
Sarkozy
?
Depuis
le
début
de
ses
nombreux
déboires
avec
la
justice,
outre
les
failles
de
procédures,
l’ancien
loctaire
de
l’Elysée
dénonce
l’instrumentalisation
de la
justice.
Sur
cette
affaire,
pendant
les
sept
années
d’instruction,
il a
multiplié
les
recours
mais
sans
succès,
Depuis
plusieurs
mois,
il
s’en
prend
aux
magistrats,
notamment
au
parquet
financier
et
plus
ou
moins
directement
aux
organisations
syndicales
de
magistrats
avec
qui
il
est
engagé
dans
un
véritable
bras
de
fer
depuis
quasiment
20
ans
(lire
par
ailleurs)
Sur
les
faits
qui
lui
sont
reprochés,
il se
défend
aussi
en
constatant
que
Gilbert
Azibert
n’a
rien
obtenu
et
que
lui-même
n’a
pas
fait
la
démarche
auprès
des
autorités
monégasques
pour
obtenir
le
poste
très
convoité.
« Je
m’expliquerai
devant
le
tribunal
parce
que
moi
j’ai
toujours
fait
face
à mes
obligations.
Je ne
suis
pas
un
pourri
»,
a-t-il
déclaré
à nos
confrères
de
BFM.
Qui
est
la
taupe
?
Les
échanges
entre
Paul
Bismuth,
alias
Nicolas
Sarkozy,
et
Thierry
Herzog,
ont
d’un
coup
changé,
ce
qui
laisse
penser
qu’ils
ont
pris
conscience
qu’ils
étaient
écoutés.
Si
c’est
le
cas,
qui
est
la «
taupe
» qui
les a
avertis
? Les
enquêteurs
ont
cherché,
en
vain,
y
compris
en
épluchant
les
facturations
détaillées
de
plusieurs
ténors
du
barreau,
dont
Eric
Dupond-Moretti,
actuel
Garde
des
Sceaux.
Un
procédé
qui a
rendu
les
avocats
furieux.
L’argument
pourrait
être
repris
au
cours
de
l’audience
notamment
par
Me
Temime,
défenseur
de
Thierry
Herzog
Ce
procès
a
donc
tout
pour
être
digne
d’une
grande
série.
Sauf
que
ce
n’est
pas
de la
fiction.
Vingt
ans
de
bras
de
fer
Entre
l’ancien
président
de la
République
et
les
juges,
la
relation
est
une
confrontation
permanente.
Elle
ne
date
pas
la
fameuse
phrase
de
2009
dans
laquelle
il
les
traite
de «
petits
pois
sans
saveur».
Ministre
de
l’Intérieur
en
2002,
il
accusait
ouvertement
et
régulièrement
les
juges
de «
laxisme
»
avec
les
délinquants
des
quartiers.
«
Qu’on
m’explique
comment
on
empêche
un
délinquant
de
récidiver
si on
n’a
pas
le
courage
de le
mettre
en
prison
? »
lance-t-il
aux
magistrats
de
Seine-Saint-Denis
après
l’agression
de
deux
CRS à
Corbeil-Essonne
(2004).
La
fureur
des
syndicats
de
magistrats
ne
l’a
pas
empêché
de
récidiver
en
2011
: le
Président
imputait
l’assassinat
de la
petite
Laetitia
Perrais
par
Tony
Meilhon
à des
«
dysfonctionnements
» des
magistrats
nantais.
Suppression
du
juge
d’instruction,
création
des
jurys
populaires,
pouvoirs
renforcés
du
parquet
: il
n’a
pu
mener
des
réformes
qui
irritaient
les
juges.
A
chaque
fois,
leurs
syndicats
ont
réagi
avec
virulence
et
son
propre
camp
ne
l’a
pas
suivi.
Le
syndicat
de la
magistrature
(SM)
a
même
appelé
à
voter
pour
François
Hollande
en
2012.
Dans
l’affaire
du
finacemetn
libyen,
les
syndicats
de
magistrats
ont
dénoncé
« une
forme
de
pression
inacceptable
et
intolérable
sur
les
magistrats
instructeurs
».
Nicolas
Sarkozy
persiste:
«
J’ai
été
traîné
dans
la
boue. ce
dossier
est
truffé
de
faux
».
Sarkozy
et
les
affaires
Affaire
Bygmalion
Nicolas
Sarkozy
sera
jugé
du 17
mars
au 15
avril
2021
en
correctionnelle.
Il
est
mis
en
examen
pour
financement
illégal
de sa
campagne
présidentielle
de
2012
,
dans
le
cadre
de
l’affaire
Bygmalion.
Affaire
du
financement
libyen
Dans
cette
affaire,
Nicolas
Sarkozy
a été
mis
en
examen
pour
corruption
passive,
financement
illégal
de
campagne
électorale
et
recel
de
fonds
publics
libyens.
Il
demande
que
cette
mise
en
examen
soit
levée
suite
aux
récentes
déclarations
récentes
de
l’intermédiaire
libanais,
soupçonné
d’avoir
porté
les
valises
de
billets
:
Ziad
Takieddine
innocente
l’ancien
président
après
l’avoir
accusé.
Affaire
Bettencourt
Mis
en
examen
pour
abus
de
faiblesse,
Nicolas
Sarkozy
a
bénéficié
d’un
non-lieu.
Affaire
Karachi
Dans
l’affaire
Karachi
qui
porte
sur
les
rétrocommissions
pour
le
financement
de la
campagne
d’Édouard
Balladur
en
1993,
il
n’a
été
entendu
que
comme
simple
témoin.
Il
reste
la
figure
tutélaire
de la
droite
Nicolas
Sarkozy
ne
fait
plus
de «
politique
électorale
». Il
l’a
dit,
l’a
écrit.
Mais
rien
n’y
fait…
Orpheline
d’un
candidat
indiscutable
pour
la
présidentielle
de
2022,
la
base
de la
droite
se
tourne
vers
lui
comme
un
deus
ex
machina.
Comment
ses
fans
ne
croiraient-ils
pas à
un
éternel
retour
?
Après
avoir
abandonné
la
politique
en
2012
au
lendemain
de sa
défaite
face
à
François
Hollande,
il
est
revenu
en
2014.
Il a
pris
la
tête
de
son
parti,
l’a
rebaptisé
LR
(Les
Républicains),
l’a
restructuré.
Avant
de
perdre
largement
la
primaire
de la
droite
face
à
François
Fillon.
Depuis,
Nicolas
Sarkozy
n’a
pas
perdu
son
aura
à
droite.
Ceux
qui
ont
de
l’ambition
frappent
à son
bureau
de la
rue
Miromesnil.
Ils
repartent
avec
quelques
conseils
et
une
photo
à
poster
sur
Twitter.
L’ex-chef
d’Etat
reçoit
aussi
des «
marcheurs
»,
quitte
à
agacer
son
camp.
Il ne
dit
jamais
beaucoup
de
mal
d’Emmanuel
Macron,
mais
rate
rarement
François
Hollande.
De la
politique
aux
affaires
Le
reste
du
temps,
il
siège
dans
des
conseils
d’administration
de
grands
groupes
et
donne
des
conférences
à
l’étranger.
Il
écrit
aussi.
Dans
son
dernier
livre,
« Le
temps
des
tempêtes
»
(éditions
de L’Observatoire),
il
détaille
le
récit
de
l’exercice
du
pouvoir,
sans
s’épargner,
mais
en
vantant
quand
même
son
action.
C’est
ce
qu’il
fera
aussi
devant
le
tribunal.
Avec
l’énergie
inépuisable
qui
lui
est
reconnue,
il se
battra
«
pour
prouver
son
innocence
et
rétablir
son
honneur
». Il
dénonce
« un
scandale
qui
restera
dans
les
annales
». Il
risque
dix
ans
de
prison,
mais
n’y
songe
même
pas.
Il
n’a
pas
l’âme
d’un
perdant.
Samedi
21
novembre
2020
A
propos
La
lutte
contre
la
violence
"
Moi
je
veux
bien",
mais
il
faut
être
costaud
pour
tenir
tête
à un
tane
en
colère,
surtout
quand
il
n'a
pas
eu sa
ration
de
tendresse
mais
à la
place
trop
d'alcool.
Le
collectif
des
femmes
n'a
peur
de
rien
et
milite
pour
le "
respect".
Un
mot
qui
ne
touche
pas
beaucoup
les
messieurs
en
colère..
Regardez
les
animaux
en
rut
vous
aurez
beau
leur
proposer
une
carotte,
elle
le
rendra
encore
plus
furieux.
Dans
ce
cas
là,
une
seule
chose
à
faire
,abandonnez
le
terrain,
retirez-vous
doucement
sur
la
pointe
des
pieds.
Un
homme
alcoolique
ou un
homme
violent,
cela
ne se
guérit
pas
d'une
pichenette.
La
violence
fait
partie
des
hommes
et
même
parfois
des
femmes
. Le
plus
doux
des
messieurs
peut
avoir,
lorsqu'il
se
sait
tromper
par
sa
femme,
des
réactions
très
dures;,
voire
criminelles..
Son
amour
mais
aussi,son
amour
propre
sont
alors
touchés,
la
jalousie
prend
le
dessus
,c'est
le
marteau
de la
violence
qui
prend
le
relais,
on ne
peut
pas
lui
murmurer
"
tiens
mon
chéri
ouvre
la
bouche
et
avale
ça va
te
calmer"
et à
moins
de
doper
l'homme
jaloux
en
colère
dont
le
raisonnement
s'est
enfuit
dans
les
limbes
de
son
cerveau,
vous
ne le
calmerez
pas
avec
des
mots
doux
et
les
câlins
seront
refusés
net
et
pris
pour
de la
moquerie,
ce
sera
pire.
Le
plus
terrible
c'est
de
constater
qu'une
fois
mis
en
colère
un
homme
peut
revenir
à
l'âge
des
cavernes
et
l'on
découvre
alors
que
des
siècles
de
civilisation
ont
passé
mais
qu'il
est
resté
"brut
de
décoffrage".
Et
là,
il
n'y a
rien
à
faire
sauf
casser
tous
vos
meubles
avec
lui
sachant
que
c'est
lui
qui
paiera
les
neufs
...en
principe
!
Reste
tout
de
même
a
savoir
que
l'alcool
en
règle
générale
est
malheureusement
le
détonateur
et
qu'un
homme
normal,
que
dire
des
sportifs,
vous
réduira
très
vite
en
chair
à
pâté.
Un
conseil
:
fuyez
et
surtout
ne
fanfaronnez
pas
si
vous
ne
cherchez
pas à
vous
faire
transformez
en
punching
ball.,
le
courage
ne va
pas
jusque
là,
vous
faire
démolir
le
portrait
e..t
le
reste
par
la
supériorité
masculine
naturelle. Dieu
a
inventé
la
fuite,
profitez
en, ce
n'est
pas
honteux.
On ne
peut
pas
lutter
contre
un
tank
!!!!!
Jonathann
Daval,
jugé
depuis
lundi
pour
le
meurtre
de sa
femme
Alexia
qu'il
reconnaît,
a été
condamné
ce
samedi
à 25
ans
de
prison
par
la
cour
d'assises
de la
Haute-Saône.
Jonathann
Daval
a
été
condamné
samedi
à
25
ans
de
réclusion
criminelle
par
la
Cour
d'assises
de
la
Haute-Saône
pour
le
meurtre
de
sa
femme
Alexia
en
octobre
2017,
au
terme
d'une
affaire
et
d'un
procès
extrêmement
médiatisés.
A
l'énoncé
du
verdict,
rendu
après
environ
deux
heures
et
demi
de
délibéré,
l'accusé
est
resté
calme
et
impassible.
M.
Daval
a
regardé
sa
propre
famille
tandis
que
sur
les
bancs
des
parties
civiles,
Jean-Pierre
Fouillot,
le
père
d'Alexia,
a
passé
un
bras
autour
des
épaules
de
son
épouse
Isabelle,
mère
de
la
victime.
Ce
verdict
est
inférieur
aux
réquisitions
de
l'avocat
général,
qui
avait
réclamé
dans
la
matinée
la
réclusion
criminelle
à
perpétuité
à
l'encontre
de
cet
informaticien
de
36
ans.
Invité
à
s'exprimer
une
dernière
fois
en
début
d'après-midi
avant
que
la
Cour
ne
se
retire,
M.
Daval,
qui
avait
reconnu
durant
le
procès
l'intention
homicide,
a
fixé
les
parents
d'Alexia
avant
de
leur
dire
:
"Pardon.
Pardon".
M.
Daval
avait
déjà
présenté
ses
"excuses"
aux
parties
civiles
à
l'ouverture
lundi
du
procès,
émotionnellement
très
intense.
"Je
crois
qu'il
l'a
tuée
parce
qu'Alexia
voulait
le
quitter,
tout
simplement"
"C'est
peut
être
pas
adapté,
mais
je
voudrais
d'abord
avoir
des
excuses,
même
si
c'est
pas
excusable
ce
que
j'ai
fait",
avait
déclaré
le
trentenaire,
la
voix
étranglée
par
l'émotion.
Samedi
matin,
l'avocat
général,
Emmanuel
Dupic,
avait
requis
la
réclusion
à
perpétuité
à
l'encontre
de
Jonathann
Daval,
qui
comparaissait
pour
"meurtre
sur
conjoint".
"Je
crois
qu'il
l'a
tuée
parce
qu'Alexia
voulait
le
quitter,
tout
simplement",
avait
soutenu
M.
Dupic.
Alexia
Fouillot,
une
employée
de
banque
de
29
ans,
avait
été
retrouvée
morte
dans
un
bois
de
Haute-Saône
le
30
octobre
2017.
C'est
son
mari
Jonathann
qui
avait
donné
l'alerte
en
premier,
affirmant
que
son
épouse
n'était
jamais
rentrée
de
son
jogging.
Il
avait
été
arrêté
en
janvier
2018
après
avoir
joué
le
veuf
éploré
pendant
trois
mois.
Selon
la
défense,
le
meurtre
s'est
noué
lors
d'une
violente
dispute
sur
fond
de
graves
problèmes
conjugaux.
Après
de
multiple
revirements,
dont
la
mise
en
cause
de
sa
belle-famille,
il
a
reconnu
le
meurtre
de
sa
femme
au
cours
d'une
violente
dispute
conjugale
ainsi
que
la
crémation
de
son
corps
Jonathann
Daval
a
été
condamné
ce
samedi
à
25
ans
de
réclusion
criminelle
par
la
Cour
d’assises
de
la
Haute-Saône
pour
le
meurtre
de
sa
femme
Alexia
en
octobre 2017,
au
terme
d’une
affaire
et
d’un
procès
extrêmement
médiatisés.
Après
deux
heures
et
demi
de
délibéré
les
jurés
ont
donc
rendu
un
verdict
plus
clément
que
les
réquisitions
de
l’avocat
général
Emmanuel
Dupic,
qui
avait
demandé
la
réclusion
criminelle
à
perpétuité.
Dans
son
box,
Jonathann
Daval
a
accueilli
la
décision,
impassible.
« Pardon,
pardon »,
avait-il
imploré,
son
regard
tourné
vers
les
parents
d’Alexia,
avant
que
la
cour
ne
se
retire
pour
délibérer
en
début
d’après-midi.
Dans
son
réquisitoire,
Emmanuel
Dupic
avait
pointé
un
« crime
conjugal
(…)
presque
parfait »,
perpétré
selon
lui
par
l’accusé
au
motif
qu’Alexia
voulait
le
quitter,
ses
défenseurs
mettant
en
garde
contre
une
« boucherie
judiciaire ».
Le
procureur
en
avait
appelé
aussi
au
« courage »
des
jurés.
« Du
fait
de
la
médiatisation
de
cette
affaire,
cette
décision
sera
regardée »,
avait-il
relevé,
avant
de
requérir
« la
réclusion
criminelle
à
perpétuité »,
sans
peine
de
sûreté.
Là
aussi,
Jonathann
Daval
n’avait
guère
bronché.
« Je
crois
(…)
qu’il
l’a
tuée
parce
qu’Alexia
voulait
le
quitter,
tout
simplement »,
avait
soutenu
Emmanuel
Dupic
qui
a
dépeint
l’accusé
en
« manipulateur »
et
en
« menteur ».
« Épouvantable »
Ce
crime
« particulièrement
épouvantable »,
c’est
« une
affaire
de
crime
conjugal
qui
est
devenue,
en
raison
de
la
médiatisation,
extrêmement
emblématique »,
avait-il
également
souligné,
rejetant
par
ailleurs
la
thèse
d’un
meurtre
commis
après
une
simple
dispute
conjugale.
« Un
monde
s’écroule
pour
Jonathann
Daval.
Alexia
met
fin
à
la
relation »
et
« le
scénario
c’était
ça,
on
ne
devait
pas
retrouver
le
cadavre,
Jonathann
restait
dans
cette
famille »,
selon
Emmanuel
Dupic,
d’où
la
dissimulation
du
corps
dans
un
bois
et,
surtout,
la
tentative
d’incinération.
« La
vérité
n’est
pas
entendable : c’est
épouvantable
de
tuer
une
femme
parce
que
vous
ne
voulez
pas
qu’elle
vous
quitte »,
a
encore
fustigé
l’avocat
général.
Un
meurtre
« pas
prémédité »
pour
son
avocat
Avocat
de
Jonathan
Daval,
Me
Randall
Schwrdorffer
a
assuré
que
le
meurtre
n’était
« pas
prémédité,
pas
réfléchi ».
« C’est
ce
qu’on
appelle
"un
coup
de
sang" »,
a-t-il
lancé
d’une
voix
de
stentor.
« La
perpétuité
c’est
une
peine
qu’on
prononce
pour
les
criminels
les
plus
dangereux
de
la
société : Francis
Heaulmes,
tueur
d’enfants,
Michel
Fourniret,
Marc
Dutroux,
Guy
Georges…
Quel
est
le
point
commun
avec
Jonathann
Daval ? Aucun.
Si,
la
médiatisation »,
a
poursuivi
Me
Schwerdorffer,
qui
a
arpenté
la
cour
d’assises
faisant
face
aux
jurés.
« Jonathann
est
effectivement
un
criminel.
Il
ne
le
conteste
pas,
vous
allez
le
juger.
Mais
un
jugement
ce
n’est
pas
une
vengeance.
Ce
qu’on
vous
réclame,
sur
les
bancs
des
parties
civiles,
c’est
une
vengeance,
à
cause
des
médias,
des
mensonges,
parce
qu’il
a
trahi
ses
beaux-parents
(…)
Tout
ce
qui
fait
l’affaire
Daval,
c’est
la
médiatisation »,
a-t-il
insisté.
Sa
consoeur,
Me
Ornella
Spatafora,
a
quant
à
elle
rejeté
toute
« dangerosité
criminologique »
de
son
client,
exhortant
les
jurés
à
prononcer
« une
peine
juste »
qui
« sanctionnera
Jonathann
pour
ce
qu’il
a
fait
et
l’homme
qu’il
est ».
Au
cours
des
débats,
Jonathann
Daval,
un
informaticien
de
36
ans,
a
reconnu
avoir
tué
intentionnellement
son
épouse.
« J’ai
plus
d’avenir
(…)
Je
dois
payer
pour
les
actes
que
j’ai
commis »,
a
admis
vendredi
ce
trentenaire
émacié
aux
allures
de
frêle
adolescent,
victime
mercredi
soir
d’un
malaise
vagal
en
plein
interrogatoire.
« Morsure »
Jeudi,
il
était
longuement
revenu
sur
le
soir
du
crime,
qui
s’était
déroulé
à
leur
domicile
dans
la
nuit
du
27
au
28 octobre
2017,
sur
fond
de
difficultés
conjugales
aiguës : Alexia
souhaitait
ardemment
un
enfant
mais
son
mari,
qui
souffrait
de
troubles
de
l’érection,
la
fuyait
de
plus
en
plus.
Ce
soir-là,
il
dit
avoir
refusé
une
relation
sexuelle
à
son
épouse.
Une
violente
dispute
aurait
alors
éclaté.
Le
facteur
déclenchant ? Alexia
l’aurait
mordu,
selon
ses
dires,
provoquant
sa
rage : « La
morsure,
ça
m’a
mis
hors
de
moi ».
Il
la
frappe
et
l’étrangle : c’est
« la
colère
de
toutes
ces
années
qui
est
ressortie
(…)
D’où
l’étranglement
pour
qu’elle
se
taise »,
a-t-il
dit,
arguant
qu’Alexia
« l’humiliait ».
Le
lendemain
il
emporte
le
corps
dans
un
bois
et
y
met
le
feu
avant
de
donner
l’alerte,
soutenant
que
sa
femme
n’est
pas
revenue
de
son
jogging.
Le
corps
d’Alexia
sera
retrouvé
deux
jours
plus
tard.
Pendant
trois
mois,
son
visage
de
veuf
éploré
apparaîtra
dans
tous
les
médias,
contribuant
à
alimenter
la
médiatisation
intense
de
cette
affaire
en
pleine
vague
Vendredi
20
novembre
2020
Coronavirus
:
A
15h.
162
nouveaux
cas,
12.978
depuis
le 13
septembre,
85
hospitalisés
63
décès
A
propos
"
Que
l'Etat
apporte
sa
contribution"
et
que
ça
saute
!
Aurait
pu
ajouter
le
président
du
Medef.
J'adore
cette
petite
phrase
enfin
cette
injonction,
dite
d'un
air
martial
par
le
président
du
Medef,
Frédéric
Dock.
Ben,
dame
oui
alors,
qu'est-ce
qu'ils
attendent
à
Paris
pour
nous
prouver
leur
solidarité
à
coup
de
milliards
!
Après
tout
on
fait
partie
de la
République.
Certes
nous
n'avons
pas
l'impôt
sur
le
revenu
auquel
se
plient
tous
les
métropolitains,
nous
avons
des
aides
financières
en
tout
genre,
le
gouvernement
polynésien
est
loin
d'être
dans
la
misère,
cela
tout
le monde
le
sait
mais
la
groinfritude
nous
a
toujours
animé.
Pas
forcément
pour
le
meilleur
du
quidam
du
coin
d'ailleurs.
C'est
à
dire
que
nos
gouvernants
locaux
en
veulent
toujours
plus,
alors
aujourd'hui
l'Etat
ayant
pris
la
décision
de
fermer
le
tourisme
métropolitain,
il
doit
payer.
C'est
simple
et ça
coule
de
source
comme
dirait
l'autre.
Oui
mais...
mais
la
Polynésie
n'est
pas
un
département
qui,
s'il
l'était,
mériterait
toute
l'attention
de
l'Etat,
nous
paierions
des
impôts
et
notamment
celui
qui
fait
très
mal
aux
plus
fortunés
:
l'impôt
sur
le
revenu.
Le
hic
c'est
que
nous
nous
sommes
battus
"becs
et
ongles"
pour
ne
pas
dépendre
de
Paris
et ne
pas
lui
payer
d'impôts.
C'est
cela
l'autonomie.
Et
royale,
la
France
jacobine
à
l'époque
nous
l'a
donnée
certes
du
bout
des
lèvres.
Nous
sommes
donc
"autonome",
donc
nous
pouvons
nous
débrouiller
seuls,
sans
l'aide
de la
métropole
qui
paye
déjà
une
longue
liste
de
ses
responsabilités,
ne
serait-ce
que
la
facture
de
l'éducation
!!!
Un
gouffre,
plus
le
reste...
Frédéric
Dock,
le
président
du
Medef,
martial,
a
résumé
la
situation
en
quelques
mots
directs
"
Que
l'Etat
apporte
sa
contribution."La
liste
des
aides
qu'elle
apporte
est
pourtant
longue.
Il
aurait
pu y
mettre
les
formes
aussi
puisque
nous
sommes
"autonome"
c'est
à
dire
libre
de
faire
ce
que
nous
voulons
et de
nous
gouverner
comme
notre
gouvernement
l'entend,
que
cela
nous
plaise
ou
non !
A
l'écouter,
il
aurait
pu
ajouter
un
"sinon"
à la
fin
de
phrase
. Or
"
l'autonomie"
statut
unique
novateur
au
sein
de la
république"
fut
gagné
de
haute
lutte
en
1984
puis
modifié
dans
la
loi
de
2004.
Nous
l'avons
voulu
ce
statut,
et
quand
nous
souhaitons
l'aide
de
l'Etat
la
moindre
des
choses
est
d'y
mettre
les
formes
d'autant
que
l'Etat
Macron
n'est
pas
du
genre
à se
mettre
au
garde
à
vous
à
l'annonce
autoritaire
du
Médef
!Je
sens
que
celui-ci
ne va
pas
leur
plaire
outre
mesure
!
Constat
:
Jacques
Raynal:
« Le
gouvernement
est
totalement
opposé
au
confinement
»
Holà
camarade,
le
gouvernement
n'a
pas a
décider
du
confinement,
c'est
l'Etat
qui
décide
donc
son
représentant
le
haut
commissaire
et
pas
le
sieur
Raynal
qui
n'a
pas
son
mot à
dire
ni le
gouvernement
local
d'ailleurs
à
moins
de se
mettre
d'accord
avec
le
haut
commissaire.
Non
mais,
pour
qui
se
prend-t-il
? Il
devrait
plutôt
s'occuper
de
ses
petites
affaires.
A
moins
qu'il
ne
soit
devenu
le
porte-parole
du
gouvernement
local
!! Ce
qui
n'est
pas
le
cas.
Le
gouvernement
renforce
son
plan
de
sauvegarde
des
emplois
La
pandémie
de la
Covid-19
qui
frappe
le
monde
depuis
des
mois,
n’a
pas
épargné
la
Polynésie,
entrainant
une
crise
économique
et
sociale
sans
précédent.
Cette
crise
marquée
par
l’arrêt
quasi-total
de
l’activité
économique,
a
nécessité,
dès
le 20
mars
2020,
une
réaction
forte
et
rapide
du
Pays
ainsi
qu’une
mobilisation
de
ses
capacités
financières
pour
soutenir
le
Plan
de
Sauvegarde
de
l’économie
polynésienne
et la
préservation
des
emplois.
Avec
une
économie
qui
repose
en
grande
partie
sur
la
circulation
des
biens
et
des
personnes,
ce
sont
principalement
les
secteurs
du
tourisme,
du
transport
aérien,
de la
perliculture
et de
la
pêche
qui
sont
les
plus
touchés.
RES
:
Revenu
Exceptionnel
de
Solidarité
en
faveur
des
salariés
IE
:
Indemnité
Exceptionnelle
en
faveur
des
salariés
en
CDD,
extras,
intérimaires
IS
:
Indemnité
de
Solidarité
en
faveur
des
entrepreneurs
indépendants
Par
ailleurs,
le
Pays
a
également
créé
la
CAES
permettant
aux
foyers
ne
disposant
d’aucun
revenu de
recevoir
un
revenu
de
subsistance
en
contrepartie
de
travaux
d’intérêt
général
et de
solidarité.
Economie:
A
Paris,
Tearii
Alpha
évoque
l’après
crise
covid
Le
vice-président
de la
Polynésie
française,
Tearii
Alpha,
à la
demande
du
président
Edouard
Fritch,
a
rencontré,
vendredi,
Annick
Girardin,
ministre
de la
Mer,
et
Sébastien
Lecornu,
ministre
des
Outre-mer.
A
chaque
fois,
il a
présenté
la
vision
d’une
coopération
nouvelle
du
Pays
avec
l’Etat
mais
aussi
l’Union
européenne.
Objectif
avoué:
moins
dépendre
des
transferts
publics
et
développer
d’autres
économies
que
celle
du
tourisme,
comme
les
économies
bleu,
verte,
numérique,
de
service
ou
encore
de la
connaissance.
De
toute
évidence,
les
leçons
de la
crise
sanitaire
ont
été
tirées.
Face
au
ministre
des
Outre-mer,
Tearii
Alpha
a
certes
évoqué
ses
entretiens
avec
Julien
Denormandie,
ministre
de
l’Agriculture
et de
l’alimentation,
Antoine
Petit
PDG
du
CNRS
ou
encore
Annick
Girardin,
ministre
de la
Mer,
mais
il a
surtout
plaidé
pour
de
nouvelles
relations
avec
l’Etat
marquées
par
un
soutien
en
faveur
d’une
diversification
de
l’économie
polynésienne.
Pour
l’économie
verte,
l’ère
du
changement
est
amorcée
avec
le
prochain
schéma
directeur
de
l’agriculture
dont
les
principaux
objectifs
seront
d’une
part,
la
sécurité
alimentaire
et
d’autre
part
le
renforcement
de la
continuité
territoriale
entre
Tahiti
et
les
archipels.
Pour
l’économie
bleue,
le
vice-président
a
souligné
qu’avant
de
penser
aller
sur
mars,
il
faudrait
d’abord
s’intéresser
aux
grands
fonds
marins
et
notamment
ceux
de
Polynésie
française.
De
même,
outre
le
renouvellement
de la
flottille
de
pêche
ou
encore
la
formation
d’excellence
aux
métiers
de la
mer,
il a
insisté
sur
le
fait
que
la
labellisation
européenne
du
marché
de
Papeete
permettrait
une
distribution
sur
le
marché
européen
du
thon
pêché
dans
la
zone
avec
une
réelle
traçabilité.
Sur
ce
sujet,
Tearii
Alpha
n’a
pas
hésité
à
parler
de
«
l’ambition
maritime
de la
Polynésie
française
»
la
distinguant
des
autres
PTOM
français
du
Pacifique.
Valoriser
le
décalage
horaire
Evoquant
d’ailleurs
l’Union
Européenne,
il a
indiqué
que
l’heure
était
venue
de
repositionner
la
Polynésie
française
en
tant
que
Pays
et
Territoire
d’Outre-mer
(PTOM)
et
d’entrer
dans
une
relation
d’intérêt,
comme
le
président
de la
République
en
avait
émis
le
souhait.
L’idée
du
gouvernement
de la
Polynésie
française,
pays
stable
de la
zone,
est
de
devenir
une
place
forte
de
l’Europe
dans
le
bassin
Pacifique.
Cela
est
d’autant
plus
justifié
à ses
yeux
qu’elle
est
située
exactement
sur
l’axe
Indo-Pacifique.
Tearii
Alpha
a
souligné
que
l’influence
de la
Chine
et
des
Etats-Unis
allaient
grandissantes
et
que
pour
que
la
paix
soit
durable,
il
fallait
un
troisième
intervenant,
ce
que
l’Europe
se
devait
d’être.
En
2022,
la
France
va
prendre,
pour
six
mois,
la
présidence
de
l’Union
européenne,
l’occasion
d’avancer
sur
ces
dossiers,
ce
dont
a
convenu
Sébastien
Lecornu.
Enfin,
sur
cet
axe
Indo-Pacifique,
le
vice-président
demeure
convaincu
que
la
Polynésie
peut
développer
une
économie
de
services
grâce
au
décalage
horaire
de 12
heures.
Cela
créerait
des
emplois
sur
place
et
augmenterait
la
compétitivité
des
entreprises
françaises
qui
fonctionneraient
douze
heures
jour
en
métropole
et
douze
heures
jour
en
Polynésie
française.
«
Notre
résilience
économique
passe
par
la
revalorisation
de ce
décalage
horaire
»,
a-t-il
martelé.
Jeudi
19
novembre
2020
Coronavirus
:
12.816
cas
cumulés
- 229
nouveaux
cas -
87
hospitalisations-
62
décès.
A
propos
Quand
la
tuberculose
était
éradiquée
dans
pratiquement
tous
les
pays
"
civilisés"
alors
qu'elle
frappait
ceux
dont
la
misère
était
importante
et
favorable
à
l'évolution
et à
la
transmission
de la
maladie,
la
Polynésie
il y
a
quelques
années
enregistraient
encore
de
nombreux
cas.
Aujourd'hui
le
sida
une
autre
maladie
des
pauvres
en
2020
prend
la
relève,
la
nature
ayant
comme
chacun
sait
horreur
du
vide
et
par
voie
de
conséquence
touche
toujours
le
pays
et
pire,
l'on
assiste
à une
flambée
d'infections
sexuellement
transmissibles
graves
pour
un
territoire
médicalement
moderne
:
Tuberculose,
sida,
syphilis
et
aujourd'hui
coronavirus,
la
Polynésie
ne se
prive
pas
des
poisons
de la
société
actuelle
pratiquement
éradiqués
sur
la
planète,
sauf
dans
les
pays
où la
misère
frappe
les
populations.
Mais
en
Polynésie,catalogué
pays
riche,
ces
poisons
tueurs,
ne
devraient
plus
exister
dans
ces
types
de
maladies.
Mais
voilà,
le
hic
c'est
qu'ils
sont
sexuellement
transmissibles
et
là,
il
est
difficile
de
faire
entendre
raison
aux
"actifs
sexuels"
dont
le
pays
regorge.
Pas
question
donc
de
dépoussiérer
les
esprits
sinon
les
corps
et
faute
de
prendre
les
précautions
conseillées
par
les
médecins,
les
poisons
poursuivent
leurs
courses
macabres
dans
le
corps
des
humains
très
vite
dotés
d'un
viatique
maléfique
inconscient.
L'utopîe
hait
la conciliation,
chacun
pense
à la
base
qu'il
ou
elle
ne
risque
rien,sans
se
douter
que
la
maladie
couve
dans
le
gouffre
du
corps
humain,
plus
insidieuse
que
jamais.Champ
libre
lorsque
le
corps
n'est
pas
protégé
par
des
préservatifs
dont
se
moquent
de
nombreux
jeunes
gens
qui
ainsi
risquent
leur
vie
notamment
quand
les
rencontres
fortuites
sont
nombreuses
et
qu'un
préservatif
enraye
leur
plaisir
mais
leur
sauvant
sans
doute
la
vie.
La
Polynésie
n'étant
pas
dotée
d'un
gouvernement
innovant
et
moderne
continue
à
chercher
des
terrains
pour
ensevelir
ses
morts
alors
qu'elle
pourrait
construire
un
crématorium
comme
se
dotent
presque
tous
les
pays
dans
les
villes
modernes
ce
qui
réduiraient
aussi
les
voyages
vers
la
Nouvelle
Zélande
des
familles
qui
le
peuvent.
Il
faudra
bien
y
venir
un
jour
ou
l'autre
d'autant
que
les
religions
du
pays
n'y
sont
pas
opposées.
Nous
ne
sommes
pas
encore,
tant
s'en
faut,
dans
une
démocratie
moderne
mais
dans
une
démocratie
pétrie
de
ses
vieux
tabu
qui
évolue
lentement
mais
rapidement
aussi
dans
certains
secteurs.
Pas
toujours
les
bons
d'ailleurs.
La
loi
de
Pays
sur
le
transport
maritime
est
précisée
Le
cadre
juridique
du
transport
interinsulaire
a été
mis à
jour
par
la
loi
de
Pays
du 25
février
2016.
Cette
dernière
met
en
place
un
encadrement
de
cette
activité
concurrentielle
de
transport
par
délivrance
d’une
licence
d’exploitation
aux
opérateurs.
Elle
propose
également
une
organisation
générale
du
transport
interinsulaire
maritime
et
aérien
et
des
missions
de
service
public
liées
à ce
transport
interinsulaire.
Après
quatre
années
de
pratique,
cette
loi
doit
être
légèrement
modifiée,
d’une
part,
pour
assurer
une
meilleure
lisibilité
de la
loi
et de
ses
textes
d’application
et,
d’autre
part,
pour
préciser
les
conditions
dans
lesquelles
les
communes
peuvent
exercer
leur
compétence
en
matière
de
transport
inter-îles.
Enfin,
pour
étendre
le
régime
des
sanctions
à
l’ensemble
des
manquements
relatifs
aux
obligations
de
service
public
imposées
aux
opérateurs.
Pour
assurer
une
meilleure
lisibilité,
un
certain
nombre
de
termes
et
d’expressions
ont
été
mieux
définies:
le
transport
intérieur,
le
transport
interinsulaire,
le
transport
intra
communal,
le
transport
intercommunal
et le
transport
intra-communauté
de
communes.
Ces
précisions
évitent
les
erreurs
d’interprétation
qui
ont
parfois
pu
poser
quelques
difficultés
dans
le
passé.
Pour
permettre
aux
communes
et
communautés
de
communes
de
mettre
en
oeuvre
la
compétence
de «
transport
inter-iles
»
prévue
dans
le
CGCT,
le
code
général
des
collectivités
territoriales,
les
précisions
nécessaires
ont
été
introduites
dans
la
loi.
Les
règles
générales
relatives
au
transport
maritime
intérieur
sont
édictées
par
la
Polynésie
française,
cette
matière
ne
relevant
pas
de la
compétence
de
l’Etat.
La
Polynésie
française
a
souhaité
que
le
transport
maritime
interinsulaire
s’exerce
sous
certaines
conditions,
à
savoir
:
-un
cadre
concurrentiel,
et
-
aux
risques
et
périls
de
l’exploitant,
-
sous
le
couvert
d’une
autorisation
administrative
préalable
pouvant
comporter
si
nécessaire
des
obligations
de
service
public,
-
dans
le
cadre
d’une
inter-modalité
entre
modes
de
transport.
Les
modifications
apportées
étendent
ces
notions
à
l’ensemble
du
transport
intérieur,
sachant
que
chaque
autorité
organisatrice
du
transport
reste
maîtresse
de la
mise
en
œuvre
du
transport
relevant
de sa
compétence.
A
l'Assemblée
ce
matin
Réponse
à la
question
orale
de
Madame
Sylviane
TEROOATEA
Madame
la
représentante,
Vous
indiquez
que
toutes
les
îles
de la
Polynésie
sont
à
présents
touchés
par
la
covid-19
et
souhaitez
savoir
s’il
est
prévu
de
mettre
un
dispositif
de
prise
de
température
à
l’aéroport
des
îles
de la
Polynésie
française
afin
de
limiter
les
risques
pour
la
population.
Tout
d’abord,
je
tiens
à
préciser
la
situation
épidémique
dans
les
îles.
A la
date
du
17/11/2020,
les
nombres
de
cas
actifs
dans
les
îles
autres
que
les
îles
du
vent
sont
les
suivants :
-
66
cas
confirmés
aux
îles
sous
le
vent ;
-
18
aux
Tuamotu-Gambiers
(Hao,
Makemo,
Rangiroa,
Takapoto) ;
-
1 aux
Marquises
(Hiva
Oa) ;
-
1 aux
Australes
(Rurutu).
Une
circulation
virale
est
effective
dans
les
îles
de
Raiatea,
Huahine
et
Bora
bora.
Dans
les
autres
îles,
il
s’agit
encore
de
cas
isolés.
La
protection
des
îles
par
la
prise
de
température
aux
aéroports
n’est
pas
une
solution
qui a
été
retenue.
En
effet,
la
covid-19
est
une
maladie
dont
les
symptômes
les
plus
couramment
observés
sont
les
maux
de
tête,
les
symptômes
« ORL »
de
type
obstruction
nasale,
rhinorrhée,
toux,
et
maux
de
gorge,
perte
du
gout
et/ou
de
l’odorat,
ainsi
que
la
fatigue.
La
fièvre
est
également
un
symptôme
évocateur
de la
covid-19
mais
présent
dans
moins
de la
moitié
des
cas.
Madame
Chantal
GALENON,Représentante
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
française
Madame
la
présidente
Je
vous
remercie
Madame
la
Présidente
de la
commission
de
l’éducation,
de
l’enseignement
supérieur,
de la
jeunesse
et
des
sports
de
m’interpeller
aujourd’hui
sur
le
sujet
de la
vie
étudiante
en
Polynésie
française,
thématique
qui
regroupe,
en
effet,
les
différents
aspects
de
votre
question
orale.
Les
éléments
de
contexte
sont
les
suivants :
2090
lycéens
polynésiens
ont
obtenu
leur
bac
cette
année.
Le
doublement
des
bacheliers
en 20
ans
avec
un
augmentation
significative
ces
dernières
années
va
dans
le
sens
de
l’objectif
fixé
par
le
ministère
en
charge
de
l’éducation :
l’élévation
générale
du
niveau
de
qualification
des
jeunes,
facteur
d’intégration
sociale.
Nous
ne
pouvons
que
nous
en
réjouir.
Permettez-moi
de
rappeler
que,
depuis
2018,
le
gouvernement
de la
Polynésie
française,
à la
demande
du
président
Edouard
FRITCH,
a mis
en
place
de
nouveaux
dispositifs
à
destination
des
étudiants
tels
que
le
transport
terrestre
et
maritime
gratuit
pour
tous
les
étudiants
post-bac
ou
encore
l’aide
au
permis
de
conduire.
De
plus,
cette
année,
c’est
426
étudiants
(74
Paraita
+ 327
sur
Outumaoro)
qui
ont
pu
bénéficier
d’un
logement
étudiant
avec
une
augmentation
de
54% %
de
nos
capacités
d’hébergement
étudiant
par
rapport
à
l’année
universitaire
2019/2020
grâce
notamment
à
l’ouverture
des
nouveaux
bâtiments
du
CHE
d’Outumaoro
et
l’année
précédente
de la
résidence
Paraita.
La
construction
de
nouveaux
logements
étudiants
est
en
cours
d’étude
au
Ministère
du
Logement.
La
problématique
du
transport
étudiant,
du
logement
ou
encore
du
financement
du
permis
de
conduire
ont
été
des
points
prioritaires
mis
en
évidence
lors
des
premières
assises
de la
vie
étudiante
que
j’ai
organisées
le 19
juin
2019
sur
le
site
de
cette
assemblée
et
pour
lesquels
le
gouvernement
a
répondu
rapidement
par
la
mise
œuvre
des
dispositifs
que
j’ai
cités
au
début
de
mon
propos.
C’est
lors
de
ces
assises
également
que
la
création
d’un
guichet
unique
type
CROUS
a été
abordée.
Avec
l’Université
de la
Polynésie
française
et
les
représentants
étudiants,
ainsi
que
d’autres
partenaires
institutionnels
de
l’État
et du
Pays,
nous
avons
entamé
dès
2019
un
premier
travail
de
fond
sur
le
guichet
unique,
avant
l’apparition
de la
COVID.
Les
travaux
de
réflexion
en la
matière
ne se
sont
pas,
pour
autant
arrêtés.
La
pandémie
a mis
en
évidence
de
nouvelles
problématiques
pour
lesquelles
nous
devons
apporter
des
réponses
concrètes.
Des
groupes
de
travail
sont
mis
en
place
selon
les
missions
initiale
d’un
CROUS
incluant
les
groupes
de
travail
sur
les
stages/emplois
étudiants
et
les
transports.
../
Dès
le 1
décembre
2020,
mon
ministère
emploie
une
chargée
de
mission
« référente
vie
étudiante »
dont
la
mission
sera
de
faciliter
la
coordination
interservices
et
interministérielle
pour
accompagner
et
suivre
les
étudiants
polynésiens
en
Polynésie
française,
en
métropole
et à
l’international.
Elle
devra
notamment
finaliser
la
mise
en
œuvre
d’une
interface
numérique
d’indentification
et de
suivi
des
étudiants
au et
hors
Fenua.
Le
cahier
des
charges
est
prêt,
un
premier
appel
d’offre
s’est
avéré
infructueux
avant
la
crise
de la
COVID.
Il
est
en
passe
d’être
relancé.
La
fiche
de
poste
de ce
chargé
de
mission
a été
largement
publiée
et le
profil
retenu
est
une
jeune
femme
titulaire
d’un
master
ayant
fait
ses
études
en
Polynésie,
en
métropole
et
ayant
des
expériences
professionnelles.
Elle
a
vécu
les
différentes
étapes
que
vivent
les
étudiants
en
métropole.
En
2021,
j’entamerai
une
réflexion
avec
les
différents
partenaires
de la
vie
étudiante
sur
les
dispositifs
de
bourses
et
d’allocations
d’études
aux
étudiants.
Je
rappelle
que
le
budget
consacré
à ces
aides
s’élève
à
1,13
milliards
par
an
dont
475
millions
consacrés
à
l’enseignement
supérieur.
Nous
continuerons
le
chantier
déjà
entamé
de la
mise
en
place
du
guichet
unique
qui
aura
la
charge :
-
de
faciliter
et
accompagner
les
Polynésiens,
qui
souhaitent
poursuivre
leurs
études
supérieures,
tant
en
Polynésie
même,
qu’en
France
métropolitaine
ou à
l’international,
dans
leurs
démarches ;
-
D’apporter
aux
étudiants
des
solutions
concrètes
aux
difficultés
rencontrées
dans
leur
vie
d’étudiant ;
-
De
promouvoir
la
santé
et la
culture,
en
facilitant
l’accès
aux
soins
comme
à un
médecin
ou à
un
psychologue,
et
aux
loisirs
culturels.
Mais
l’action
gouvernementale
se
concentrera
aussi
sur
la
lutte
contre
la
précarité
étudiante.
-
Pour
rappel,
durant
le
confinement,
mon
ministère
via
la
DGEE
a
débloqué
des
fonds
en
urgence
permettant
de
fournir
des
repas
aux
étudiants
bloqués
dans
leur
chambre
universitaire.
-
En
collaboration
avec
le
ministère
de la
solidarité
via
la
DSFE
et la
DPDJ,
et
les
représentants
étudiants,
nous
avons
entamé
un
recensement
des
besoins
urgents
des
étudiants.
Des
aides
sociales
en
denrées
alimentaires
et en
produit
d’hygiène
seront
attribuées,
à
terme,
à
ceux
qui
sont
en
difficulté.
Cette
intervention
ponctuelle
est
une
réponse
urgente
à la
précarité
étudiante,
en
mobilisant
pleinement
en
parallèle
les
fonds
d’action
sociale.
-
Le
mercredi
2
décembre,
une
réunion
est
programmée
avec
l’État
pour
faire
un
bilan
du
dispositif
d'aide
au
logement
étudiant
et
dégager
des
perspectives
en
faveur
des
jeunes
étudiants.
-
De
plus,
la
Polynésie
française
fait
acte
de
candidature
pour
la
rentrée
2021
en
partenariat
avec
l’UPF
pour
ouvrir
au
lycée
d’Uturoa
le
dispositif
« campus
connecté »
qui
sera
appelé
« archipels
connectés »
proposant
à des
bacheliers
de
l’île
de
suivre
à
distance
des
formations
proposées
dans
un
catalogue
élargi.
Cette
expérience,
si
elle
est
concluante
pourra
être
dupliquée.
-
Dès
le
début
de
l’année
2021,
je
proposerai
en
conseil
des
ministres
la
modification
de
l’arrêté
modifié
366
CM
qui
régit
les
modalités
d’organisation
et
d’attribution
des
allocations
d’études
du
Pays
afin
de
verser
dès
le
mois
de
juin
2021
aux
étudiants
inscrits
en
Polynésie
un
dixième
mois
de
bourses
au
lieu
de
neuf
prévus.
Réponse
à la
question
orale
de
Nicole
Sanquer
Madame
la
représentante,
vous
interrogez
le
gouvernement
sur
la
gestion
des
conséquences
économiques
de la
crise
sanitaire
sans
précédent
que
nous
traversons
depuis
le
mois
de
mars
dernier.
Concernant
le
bilan
des
aides
à
l'emploi
versées
au
titre
de
2020,
la
Ministre
du
Travail
viendra
à
votre
rencontre
dans
les
prochains
jours
pour
vous
présenter
le
bilan
du
plan
de
Sauvegarde
des
Emplois
mis
en
place
en
mars
dernier.
Elle
vous
présentera
également,
comme
ce
fut
le
cas
devant
le
Conseil
des
ministres
hier,
les
propositions
d’évolution
de
ces
dispositifs
exceptionnels
de
soutien
à
l'emploi
que
sont
le
DIESE,
le
DESETI
mais
également
la
CSE.
Cette
présentation
se
fera
au
sein
de la
commission
de
l'emploi
présidée
par
Madame
Virginie
Bruant.
Sur
les
12
milliards
mobilisés
par
le
Pays,
car
vos
informations
sont
exactes,
madame
la
Représentante,
il
s’agit
bien
de 12
milliards,
sur
ces
12
milliards
disais-je
3,3
milliards
ont
été
consacrés
aux
aides
relatives
aux
dispositifs
durant
les
deux
mois
de
confinement
entre
fin
mars
et
fin
mai,
puis
3,1
milliards
au
DIESE,
DESETI
et
CSE
depuis
le
mois
de
juin.
Si
l’on
y
ajoute
les
5,3
milliards
prévus
initialement
au
budget
2020
pour
les
autres
mesures
d'aide
à
l'emploi,
on
retrouve
bien
ces
12
milliards.
Et
ce
n’est
hélas
pas
fini.
C’est
pourquoi,
compte
tenu
de
l’inscription
de la
crise
sanitaire
dans
la
durée
et de
la
dégradation
de la
situation
financière
des
entreprises,
les
dispositifs
DIESE
et
DESETI,
bâtis
dans
l’urgence
à la
sortie
du
confinement,
doivent
évoluer
pour
soutenir
plus
durablement
les
entreprises,
salariés
et
patentés.
C’est
le
travail
entrepris
par
la
Ministre
du
Travail
qui
vous
sera
présenté
comme
je
vous
le
disais
en
introduction
de
mon
propos.
Mercredi
18
novembre
2020
A
propos
Pas
touche
au
grisbi
! Et
encore
moins
à
l'accent
!
Marges
de
manoeuvre
réduites
pour
le
gouvernement,
pénalisant
les
citoyens,
mais
train
de
vie
maintenu
pour
celui-ci,
sans
restriction
sur
les
salaires
de
nos
ministres
alors
qu'ils
devraient
donner
l'exemple.
" Pas
touche
au
grisbi"
est
sa
devise.
Mais
les
communes
ont
moins
de
chance.
Les
prévisions
fiscales
sont
en
forte
baisse,
le
tourisme
est
quasi
inexistant,
le
choc
économique,
conséquence
du
covid,
sera
très
dur
en
2021
mais
pas
pour
le
gouvernement
qui
maintiendra
son
train
de
vie.
Ben
voyons
! Ils
n'ont
pas à
soulever
des
montagnes,
pas
même
mériter
de la
patrie
réellement.
Ce
n'est
pas
politiquement
correct
de le
dire
mais
c'est
ainsi.
En
fait
le
masque
a du
bon
il
cache
des
joues
rebondies.
Ils
prennent
des
visages
sérieux
et
sévères
pour
montrer
au
bon
peuple
combien
ils
souffrent
de
devoir
serrer
les
boulons
mais
en
faisant
remarquer
pour
atténuer
la
douloureuse
que
les
bénéfices
imposables
des
entreprises
sont
revus
à la
baisse
Le
budget
atteint
tout
de
même
196
milliards.
L'impôt
sur
les
bénéfices
réduits
aux
acquêts
et
voilà
le
gouvernement
dans
l'obligation
de
"taper"
dans
la
réserve
du
fonds
d'investissement
et de
garantie
de la
dette
.
C'est
que
tout
va
mal
surtout
pour
le
budget
des
communes.
Reste
tout
de
même
au
gouvernement
à
redéployer
les
crédits
existants,
mais
pas
de
problème
pour
les
budgets
de
fonctionnement
des
ministères
et
des
services
qui
sont
eux
reconduits
sans
restriction.
Les
voyages
n'ont
pas
été
effacés,les
indemnités
ont
tout
de
même
été
augmentées
pour
faciliter
les
déplacements
et
voyages
de
ces
messieurs."Tutto
va
bene".
A
Paris,
Ils
vont
trouver
des
députés
qui
n'ont
rien
d'autres
à
faire
qu'à
légiférer
sur
les
"accents"
véritables
discrimination"
ou
glottophobie
c'est
à
dire
toutes
les
formes
de
moqueries
ou de
discriminations
basées
sur
l'accent
d'une
personne
et
prendre
le
contre-pied
en
faisant
la
promotion
de la
"France
des
accents".
Dans
ce
cas
régalons-nous
de
l'accent
marseillais
!!
Mais
tout
de
même
passer
des
heures
à
discuter
des
accents
à
l'Assemblée
nationale
alors
que
les
français
souffrent
de
multiples
façons,
cela
prête
à
rire
ou à
pleurer...
La
pluie
s'en
est
allée
vers
d'autres
cieux
que
polynésiens,
le
soleil
brille,
la
vie
est
belle,
surtout
pour
le
gouvernement
qui
planifie
ses
déplacements
vers...Paris
! Que
voulez-vous
il
faut
bien
prévoir
les
achats
de
Noêl
!
Faudra-t-il
que
nos
représentants
s'expriment
avec
l'accent
tahitien
pour
faire
couleur
locale
et
être
dans
l'air
du
temps
!?
"Ce
serait
'astap"!!
Train
de
vie
maintenu
pour
le
gouvernement,
à
réduire
pour
les
communes
Niveau
dépenses,
le
gouvernement
joue
la
continuité
et
les
vases
communicants
en
redéployant
notamment
les
crédits
déjà
existants.
Les
budgets
de
fonctionnement
des
ministères
et
des
services
"sont
globalement
reconduits"
(+1%)
avec
des
charges
de
personnel
stables
autour
de 31
milliards
(+0.2%).
Comme
Tahiti
Infos
l’a
révélé,
le
gouvernement
avait
utilisé
un
petit
artifice
juridique
discret
pour
augmenter
ses
indemnités
et
faciliter
les
déplacements
et
voyages
des
ministres.
La
tendance
pour
2021
n’est
pas à
l’économie
et
les
perspectives
de
limitations
de
déplacement
n’ont
pas
ou
peu
affecté
les
prévisions
en la
matière.
Les
indemnités
gouvernementales
sont
ainsi
budgétées
à
hauteur
de
136,4
millions
de
Fcfp
contre
123,9
millions
il y
a un
an.
Soit
une
hausse
indemnitaire
de
10%
pour
un
gouvernement
désormais
réduit
d’une
unité.
Au
niveau
des
frais
de
mission
et de
déplacements
prévus
l’année
prochaine,
la
facture
gouvernementale
est
estimée
à
45,3
millions
contre
47,7
soit
une
baisse
de
-5%.
Signe
d’une
épidémie
qui
ne
sera
vraisemblablement
pas
rapidement
contenue,
le
Pays
prévoit
également
une
augmentation
de
26%
de la
subvention
à
l'institut
Louis
Malardé
(ILM)
"afin
de
faire
face
à la
charge
d'activité
supplémentaire
liée
à la
réalisation
des
tests
de
dépistage
de la
Covid-19,
à
l'embauche
de
chercheurs,
à
l'acquisition
de
matériels,
ainsi
qu'au
recrutement
de
personnels
complémentaires".
CNRS:
Tearii
Alpha
en
pays
de
connaissance
Le
Vice-président
de la
Polynésie
française,
Tearii
Alpha,
a été
reçu,
mardi
à
Paris,
par
le
président
directeur
général
du
Centre
National
de la
Recherche
Scientifique
(CNRS),
Antoine
Petit.
Ensemble,
ils
ont
échangé
sur
les
moyens
de
donner
un
essor
à
l'économie
de la
connaissance
au
fenua.
"On
évoque
beaucoup
les
économies
verte,
bleue
et
même
touristique
mais
il y
a
aussi
l'économie
de la
connaissance
et
tout
ce
que
peut
apporter
la
Recherche
et le
Développement
au
Produit
Intérieur
Brut",
a
rappelé
Tearii
Alpha. Selon
le
Vice-président,
l'économie
de la
connaissance
est
aussi
une
solution
pour
valoriser
le
potentiel
endémique
polynésien.
C'est
pourquoi
le
Pays
et le
CNRS,
déjà
représenté
par
le
CRIOBE
à
Moorea,
vont
travailler
sur
une
convention
cadre
afin
de
confirmer
l'ancrage
du Centre
National
de la
Recherche
Scientifique
en
Polynésie
française.
Lettre
de
Mme
de
Sévigné
à sa
fille,
le
jeudi
30
Avril
1687.
Un
air
de
ressemblance
!
>
"Surtout,
ma
chère
enfant,
ne
venez
point
à
Paris
!
Plus
personne
ne
sort,
de
peur
de
voir
ce
fléau
s’abattre
sur
nous.
Il se
propage
comme
un
feu
de
bois
sec.
Le
roi
et
Mazarin
nous
confinent
tous
dans
nos
appartements.
Monsieur
Vatel,
qui
reçoit
ses
charges
de
marée,
pourvoie
à nos
repas
qu'il
nous
fait
livrer,
Cela
m’attriste,
je me
réjouissais
d’aller
assister
aux
prochaines
représentations
d’une
comédie
de
Monsieur
Corneille
“Le
Menteur”,
dont
on
dit
le
plus
grand
bien.
Nous
nous
ennuyons
un
peu
et je
ne
peux
plus
vous
narrer
les
dernières
intrigues
à la
Cour,
ni
les
dernières
tenues
à la
mode.
Heureusement,
je
vois
discrètement
ma
chère
amie,
Marie-Madeleine
de
Lafayette,
nous
nous
régalons
avec
les
Fables
de
Monsieur
de La
Fontaine,
dont
celle,
très
à
propos,
« Les
animaux
malades
de la
peste
» ! «
Ils
ne
mouraient
pas
tous,
mais
tous
étaient
frappés
»".
Je
vous
envoie
deux
drôles
de
masques
;
c’est
la
grand'mode.
tout
le
monde
en
porte
à
Versailles.
C’est
un
joli
air
de
propreté,
qui
empêche
de se
contaminer,
Et
voilà
quand
c'est
fini
ça
recommence.
Du
haut
en
bas
de
l'échelle
quand
quelqu'un
est
pointé
du
doigt
il
vous
dira
c'est
pas
moi,
c'est
lui,
en
montrant,
un
membre
de sa
hiérarchie
avec
lequel
généralement
il ne
s'entend
pas
puisqu'il
faut
toujours
un
responsable.
En
Polynésie
plus
qu'ailleurs.
Les
avocats
le
savent
bien
et
quoi
de
plus
parlant
que
de
montrer
du
doigt
la
dite
hiérarchie
de
leur
client.
C'est
pas
moi,
c'est
lui !
Mario
Banner,
un
fin
limier,
personne
n'en
doute
est
depuis
trop
longtemps
à la
tête
de la
DSP
pour
s'enferrer
dans
"des
irrégularités
massives"ce
dont
l'avocat
du
plaignant
dans
l'affaire
des
procurations
l'accuse.
Mais
il
faut
un
responsable,
et le
chef
a une
cible
tatouée
sur
sa
chemise.
Le
doigt
vengeur
désigne
donc
Mario
Banner,
rien
moins
que
le
chef
suprême
de la
DSP .
Il en
fallait
un
c'est
donc
lui
qui
aurait
demandé
à ses
agents
de
commettre
des
fraudes
électorales
!!! A
croire
que
le
solide
"grizzli"
aurait
pété
un
plomb
! Et
du
coup
le
voilà
plombé
à son
tour.
C'est
tellement
facile
de
dire
que
l'enquête
de
Mario
Banner
manquait
"d'impartialité
!"
Un
nouvel
imbroglio
de
jalousie
dans
lequel
se
complaisent
les
gens
ayant
des
comptes
à
régler.
TNTV
suspend
ses
journaux
Le
gouvernement
a été
informé
que
TNTV
était
contrainte
de
suspendre
provisoirement
la
réalisation
de
ses
journaux
télévisés
en
raison
d’une
forte
suspicion
de
foyer
de
contamination
au
Covid
19 au
sein
de
l’entreprise.
Le
gouvernement
apporte
tout
son
soutien
aux
salariés
de la
télé
du
Pays
et
salue
l’attitude
responsable
de la
chaine,
alors
que
les
journalistes
auraient
bien
entendu
préféré
continuer
leur
mission
de
service
public
pour
informer
la
population.
Les
journalistes
sont
naturellement
plus
exposés
en
raison
de
leur
présence
quotidienne
sur
le
terrain,
et ce
même
s’ils
suivent
et
respectent
les
mesures
de
protection.
Nul
n’est
à
l’abri
du
virus
et le
gouvernement
rappelle
à
chacun
l’importance
des
mesures
barrières
et
l’utilité
de ne
jamais
relâcher
la
vigilance.
Nous
souhaitons
tous
que
TNTV
puisse
reprendre
rapidement
le
cours
normal
de
ses
émissions.
Toute
prescription
et
dispensation
d’un
médicament
en
dehors
de
son
AMM
demeurent
sous
la
responsabilité
pleine
et
entière
des
médecins
et
des
pharmaciens.
Dans
tous
les
cas,
la
prescription
hors
AMM
impose
une
information
éclairée
du
patient
sur
les
bénéfices
et
risques
encourus
et
sur
l’absence
de
remboursement
par
la
CPS.
Le
ministère
de la
Santé
alerte
les
professionnels
de
santé
et
les
patients
sur
les
risques
liés
à
l'utilisation
de ce
médicament
qui,
sans
suivi
médical
approprié,
peuvent
conduire
à une
hospitalisation.
Prise
de
fonction
de
Vincent
FABRE,
nouveau
directeur
de la
Caisse
de
Prévoyance
Sociale
Suite
à sa
nomination
au
poste
de
directeur
général
de la
Caisse
de
Prévoyance
Sociale
de
Polynésie
française
le
vendredi
13
novembre
dernier,
Vincent
FABRE
a
pris
ses
fonctions
et a
été
présenté
officiellement
au
Conseil
d’Administration
de la
CPS
ce
mardi
17
novembre
2020.
Cet
homme
souriant
et
décontracté
n'est
pas
un
inconnu
!
Diplômé
d’une
Ecole
Supérieure
de
Commerce,
Vincent
FABRE
était
jusqu’alors
directeur
exécutif
stratégie
et
développement
de la
Banque
Socredo.
Entré
en
1995
dans
cet
établissement,
il a
gravi
successivement
les
échelons,
occupant
les
postes
de
comptable,
contrôleur
de
gestion,
directeur
financier
et
Fondé
de
pouvoir.
Il a
aussi
occupé
le
poste
de
directeur
général
de la
filiale
Océanienne
des
services
bancaires
(OSB),
remplaçant
au
pied
levé
M.
Michel
MONVOISIN,
avant
de
réintégrer
la
Socredo.
Parallèlement
à ses
activités
professionnelles,
il
s’est
également
beaucoup
investi
dans
la
société
civile ;
il
est
notamment
le
président
de la
Fondation
Agir
contre
l’Exclusion
(FACE)
depuis
sa
création
en
2016.
Il a
aussi
été
président
de
l’Organisation
des
professionnels
de
l’économique
numérique
(OPEN),
trésorier
de la
French
Tech
Polynésie,
membre
du
CESEC
et
Vice-président
du
MEDEF
en
charge
de
l’innovation
et du
développement
durable.
Le
nouveau
directeur
s’est
dit
très
fier
de
rejoindre
la
noble
institution
qu’est
la
Caisse
de
Prévoyance
Sociale,
et
mesurer
la
responsabilité
et
les
attentes
liées
à ce
poste.
Il a
tenu
à
remercier
le
Président
du
Pays,
le
ministre
des
finances,
de
l’économie,
en
charge
de
l’énergie,
de la
PSG
et de
l’action
gouvernementale,
ainsi
que
le
président
du
Conseil
d’administration
de la
CPS
et
les
administrateurs
pour
leur
confiance.
Enfin,
il a
rappelé
qu’au
regard
de la
situation
de la
Protection
Sociale
Généralisée
(PSG),
la
CPS
sera
une
véritable
force
de
proposition
pour
identifier
et
mettre
en
œuvre
les
actions
nécessaires
à une
réforme
profonde
de
notre
système,
et a
remercié
l’ensemble
du
personnel
pour
son
engagement
au
service
de la
population.
"Il y
a des
chapelles
et
puis
il y
a des
savants
fous"
dixit
un
certain
ministre
local
à
propos
de la
Chloroquine.
Et il
oublie
de
dire
" il
y a
aussi
des
ministres
qui
n'y
connaissent
rien,
leur
diplôme
datant
de
Mathusalem
!!"Dans
quelle
catégorie
se
situe-t-il
celui-là
?
Message
de
condoléances
suite
aux
décès
des
élèves
du
lycée
Ihi-tea
no
Vavau
de
Bora
Bora
Le
Président
de la
Polynésie
française,
Édouard
Fritch,
la
ministre
de
l’Education,
de la
modernisation
de
l’administration,
Christelle
Lehartel
et
l’ensemble
du
gouvernement,
ont
appris,
avec
tristesse,
le
décès
d’élèves
du
lycée
Ihi-tea
no
Vavau
de
Bora
Bora
suite
à un
accident
de la
route
ce
week-end.
Le
Président
Édouard
Fritch,
en
son
nom,
et au
nom
du
ministre
en
charge
de
l’éducation
et de
l’ensemble
du
gouvernement,
présente
ses
sincères
condoléances
à
leurs
parents,
leur
famille
et à
l’ensemble
de
leurs
proches.
Ce
drame
affecte
l’ensemble
de la
communauté
éducative
du
lycée
Ihi-tea
no
Vavau
de
Bora
Bora,
direction,
personnels
enseignants,
non
enseignants,
parents
et
élèves.
Le
gouvernement
leur
apporte
tout
son
soutien
face
à
cette
terrible
épreuve.
L'ancien
président
Valéry
Giscard
d'Estaing
hospitalisé
SANTE
L'ancien
président
de la
République
est
hospitalisé
depuis
dimanche
soir
au
CHU
Trousseau
de
Tours
20
Minutes
avec
AFP
L'ancien
président
Valéry
Giscard
d'Estaing
hospitalisé
à
Tours
(Archives)
—
Roger
Askew/Shutterstoc/SIPA
L’ancien
président
de la
République,
Valéry
Giscard
d'Estaing
est
hospitalisé
depuis
dimanche
soir
au
CHU
Trousseau
de
Tours,
a-t-on
appris
lundi
de
sources
concordantes.
Agé
de 94
ans,
VGE,
qui
séjournait
dans
sa
propriété
d’Authon
(Loir-et-Cher),
a été
admis
dans
« le
service
de
cardiologie »
de
l’hôpital
de
Tours,
a
indiqué
son
entourage.
De
son
côté,
le
président
du
conseil
départemental
du
Loir-et-Cher
Nicolas
Perruchot
a
assuré qu’au
moment
de sa
prise
en
charge,
dimanche
soir,
« il
n’y
avait
pas
de
critère
de
gravité ».
« Une
insuffisance
cardiaque »
« Il
a été
évacué
en
hélicoptère,
mais
je
crois
que
c’est
la
procédure
habituelle
quand
on
est
un
ancien
président
de la
République »,
a-t-il
ajouté,
en
précisant
avait
eu
« des
nouvelles
rassurantes
en
début
d’après-midi »
lundi.
Selon
son
entourage,
l’ancien
Président
aurait
eu
une
« insuffisance
cardiaque ».
De
même
source,
Valéry
Giscard
d’Estaing
« est
très
fatigué
mais
il va
mieux
qu’hier
et
que
ce
matin ».
Selon
ses
proches,
l’ancien
chef
de
l’Etat
(1974-1981)
parvient
toutefois
à
parler.
Son
épouse
Anne-Aymone
l’a
vu
lundi
et
retournera
le
voir
mardi.
Valéry
Giscard
d’Estaing
avait
été
hospitalisé
quelques
jours
mi-septembre
à
l’hôpital
Georges-Pompidou
pour
une
légère
infection
aux
poumons.
Les
médecins
avaient
toutefois
écarté
une
infection
au
coronavirus,
selon
son
cabinet,
qui
avait
alors
parlé
d'« un
traitement
de
quelques
jours ».
Air
France-KLM
recherche
6 milliards
d’euros
supplémentaires
pour
assurer
son
avenir
La
France
et
les
Pays-Bas
pourraient
apporter
respectivement
3 milliards
et
1 milliard,
tandis
que
le
groupe
veut
lever
2 milliards
d’euros
de
prêts
hybrides
sur
les
marchés.
A
l’aéroport
international
Paris-Charles
De
Gaulle,
terminal
2E,
zone
des
départs,
en
avril.
LAURENT
GRANDGUILLOT
/ REA
C’est
la
douche
écossaise
pour
Air
France.
Ces
dernières
semaines,
les
mesures
de
reconfinement,
adoptées
un
peu
partout
en
Europe,
ont
renvoyé
aux
calendes
grecques
les
espoirs
d’une
reprise,
au
moins
ponctuelle,
de
l’activité
pour
les
vacances
de
Noël.
Un
mauvais
coup
pour
l’entreprise,
qui
avait
anticipé,
« malgré
la
crise,
un
potentiel
de
croissance
de
21 %
entre
novembre 2020
et
février 2021 »
vers
les
Antilles
et La
Réunion.
Dans
le
même
temps,
les
annonces
de la
mise
au
point
toute
proche
de
plusieurs
vaccins
contre
le
Covid-19,
ont
fait
flamber
le
cours
de
Bourse
d’Air
France-KLM.
En
une
semaine,
le
titre
de la
compagnie
franco-néerlandaise
a
gagné
27 %,
pour
s’établir
un
peu
au-dessus
de
4 euros.
Il
n’empêche,
même
un
peu
revigorée
sur
les
marchés,
Air
France-KLM
sait
déjà
que
les
prochains
mois
vont
être
très
difficiles.
Son
activité
est
au
plus
bas,
et
les
perspectives
de
redémarrage
s’éloignent.
« Les
scénarios
de
reprise
doivent
être
révisés
à la
baisse,
et
les
perspectives
à
court
et
moyen
terme
ne
sont
pas
encourageantes »,
avoue
la
direction.
Alors
qu’elle
prévoyait
une
activité
en
baisse,
en
décembre,
de
seulement
20 %
par
rapport
à
2019,
Air
France
s’attend
désormais
à un
repli
de
60 %.
Selon
nos
informations,
la
compagnie
perdrait
15 millions
d’euros
par
jour.
« Nous
nous
rapprochons
du
montant
des
pertes
que
nous
avons
connues
lors
de la
première
phase
de
l’épidémie »,
s’inquiète
un
syndicaliste.
Il
faut
dire
que
les
vols
d’Air
France
sonnent
creux,
avec
« un
taux
de
remplissage
moyen
de
30 % »,
signale
un
autre
dirigeant
syndical
de la
compagnie.
Seule
consolation,
la
très
bonne
tenue
du
fret,
qui
rapporte
désormais
48 %
des
revenus
des
vols
long-courriers.
Décès
:
Quatre
morts
sur
les
routes
polynésiennes
ce
week
end
Un
conseil
d'administration
de la
CPS
se
tiendra
demain,
Mardi
17
Novembre
2020,
au
3ème
étage
de la
CPS,
avec
à
l'ordre
du
jour
la
présentation
du
nouveau
directeur
général,
M.
Vincent
FABRE.
Welcome
!
A
propos
Décalage
grave
La
Polynésie
française
enregistre
un
nouveau
record
Vous
savez
bien
que
la
Polynésie
est
la
meilleure
en
tout,
à
entendre
les
responsables
du
pays,
haut
commissaire
compris
qui
ne
veut
pas
déplaire.
Seulement
voilà,
"l'organisme
mondial
du
contrôle
des
maladies"
donne
justement
un
avis
totalement
opposé
et
j'ai
tendance
à les
croire,
eux..
Alors
que
le
haut
commissaire
et le
président
du
pays
se
gargarisent
des
bons
résultats
du
pays
sur
la
bataille
du
coronavirus,
la
Polynésie
monte
sur
la
troisième
marche
du
Podium
mais
en
étant
championne
des
pays
les
plus
touchés.
Quoiiii
!?
Mais
c'est
faux
! Et
non
c'est
juste,
car
les
organismes
au
plan
mondial
font
état
de
nos
mauvais
résultats.
La
France
fait
triste
mine
bien
sûr,elle
comptait
sur
nous
pour
obtenir
des
médailles.
Pfitt...
L'augmentation
du
nombre
de
cas
résultant
du
comportement
"laxiste"
des
Polynésiens
selon
le Ht
Commissaire
Dominique
Sorain,
qui
ne le
dit
pas
comme
moi,
en
préférant
jouer
"mollo"
avance
: "
cela
aurait
pu
être
évité
!"
Fermez
le
ban,
c'est
lui,
entre
autres
"babar"
qui
aurait
dû y
veiller.
En
période
de
crise
ces
politiques,
fonctionnaires
et
autres
ne
sont
plus
perçues
avec
autant
d'indulgence.
Arrêtez
les
applaudissements.
Sortez
et
mettez
vos
masques.
C'est
mieux
que
rien
pour
lutter
contrer
le
virus
qui,
aujourd'hui
encore,
peut
être
déclaré
champion
en
Polynésie
résultant,
selon
les
responsables,
du
comportement
de
nos
concitoyens.
Un
mauvais
point
pour
le
ministre
de la
Santé
Jacques
Raynal
( et
tutti
quanti!)
qui
ne
cesse
de
dire
en
utilisant
la
parade
enfantine
"c'est
pas
moi,
c'est
eux
les
fautifs
!!!"
Regardez
comme
il
est
mignon,
yeux
pétillants,
au-dessus
de
son
masque
un
vrai
playboy
mystérieusement
"coquinou"
sur
les
photos
de
Tahiti
infos
qui
visiblement
à un
gros
faible
pour
lui.
Il ne
mérite
pourtant
pas
la
"une"
avec
de si
mauvais
résultats,
mais
que
voulez-vous,
"le
coeur
a ses
raisons
que
la
raison
ne
connaît
pas",
n'est
ce
pas ?
Dans
la
phrase
de
Raynal
"eux"
étant
ceux
qui
ne se
sont
pas
pliés
à la
réglementation.
Et
pour
une
fois
il
n'a
pas
tort
! La
partie
est
loin
d'être
gagnée
et le
niveau
de
contamination
l'un
des
plus
élevé
en
Europe.53
morts
et 13
nouveaux
décès
en
une
semaine.
pas
de
quoi
pavoiser.
Il ne
faut
pas
sauver
que
le
soldat
"Economie"
et
malgré
cela,
pas
de
mesures
fortes,malgré
contamination
et
décès
au
plus
haut.
Mais
que
voulez-vous
il
faut
épargner
à
tout
prix
ce
qui
nous
fait
vivre
et
surtout
ne
pas
déplaire
.
Alors,
c'est
clair
:
confinement
et
fermeture
des
écoles,
pas
question.
Le
corona
a
gagné
la
première
manche
du
championnat
et du
coup,
la
Polynésie
aussi
!
Triste
record
en
attendant
le
vaccin...
!
Georges
Patient
et
Teva
Rohfritsch
ont
été
nommés
rapporteurs
spéciaux
du
budget
Outre-mer
au
Sénat
Pour
la
Polynésie
française,
les
dotations
dites
de la
«
dette
nucléaire »
sont
préservées
et
reconduites.
J’ai
formulé
deux
points
d’attention
: sur
les
crédits
consacrés
à la
prochaine
convention
santé-solidarité
qui
doit
être
conclue
prochainement
et
sur
les
reliquats
du
contrat
de
projet
qui
prend
fin
le
31/12/2020.
Il
faut
que
l’État
tienne
ses
engagements.
Un
rattrapage
sur
le
prochain
contrat
de
développement
et de
transformation
pourrait
être
une
solution.
Nous
avons
enfin
formulé
notre
vigilance
sur
la
territorialisation
du
Plan
de
Relance
et
les
procédures
d’appels
à
projet
pour
que
nos
territoires
ultramarins
puissent
y
accéder.
Nous
ne
souhaitons
pas
être
à la
périphérie
de
l’effort
national
de
Relance,
ni
ajouté
à la
crise
que
nous
subissons,
le
poids
de
l’éloignement
de
Paris.
Nous
veillerons
sur
ce
sujet.
Je
sais
pouvoir
compter
sur
l’écoute
et la
force
d’action
de
notre
ministre
Sébastien
Lecornu
pour
faire
entendre
la
voix
de
nos
outre-mer
en
cette
période
tendue.
Il
s’investit
pleinement.
Nous
aussi
avec
lui
! »
« Oui
et
c’est
l’objet
de
nos
discussions
du
moment.
Je
milite
avec
le
président
Fritch
pour
que
l’argument
statutaire
ne
masque
pas
la
vision
de
l’État
sur
la
criante
précarité
dans
laquelle
sont
plongées
les
populations
de
nos
collectivités
du
Pacifique
depuis
mars
2020.
Cette
crise
est
d’abord
sanitaire
et on
parle
bien
de la
sauvegarde
de la
vie
humaine
des
citoyens
français
que
nous
sommes.
Elle
est
devenue
financière
et
économique.
L’enjeu
est
désormais
la
paix
sociale
et la
vie
de
nos
familles
plongées
dans
la
précarité
en
particulier
dans
les
secteurs
du
tourisme
(première
industrie
du
Pays)
et de
la
perliculture. Par
effet
mécanique
toute
notre
économie
est
fragilisée
et
nos
ressources
amputées
par
la
crise.
Notre
pays
de
270
000
habitants
répartis
sur 5
millions
de km²
d’océan
ne
peut
pas
faire
face,
seul,
aux
besoins
financiers
colossaux
en
matière
d’aide
et
d’intervention
en
période
de
tension
sanitaire,
ni
assumer
seul
le
coût
de la
relance.
Je ne
peux
pas
croire
qu’en
cette
période
de
crise
mondiale,
la
solidarité
nationale
ne
s’exprime
qu’au
travers
d’une
bonification
de
prêt
de l’AFD.
Attention,
nous
sommes
bien
heureux
de
l’avoir
obtenue
car
nous
nous
sentions
bien
seuls
à
faire
face
concrètement
sur
le
plan
financier.
Le
Fonds
de
solidarité
nationale
en
aide
aux
petites
entreprises
et
les
PGE
ont
été
étendus
progressivement
à nos
territoires
de
l’article
74 et
c’est
une
bonne
chose
aussi,
nous
en
sommes
reconnaissants.
Nous
savons
que
le
ministère
des
Outre-mer
s’est
battu
pour
nous
sur
ces
sujets.
Nous
ne
comprenons
pas
néanmoins
pourquoi
l’argument
statutaire
prévaudrait
sur
l’aide
exceptionnelle
de
l’État
au
chômage
partiel
et
alors
que
ça
n’a
pas
été
un
obstacle
sur
les
aides
directes
aux
entreprises. Nous
avons
besoin
à
titre
très
exceptionnel
du
chômage
partiel
pour
un
temps
limité
sur
des
secteurs
prioritaires
:
le tourisme (hébergement,
restauration,
bars,
discothèques
et
activités
de
loisirs), le transport
aérien
et la
perliculture.
La
Polynésie
est
prête
à
étudier
un
partenariat
sur
ce
thème
mais
il
faut
aller
vite
et
surtout
que
l’État
en
accepte
le
principe.
Huit
mois
se
sont
écoulés
depuis
le
premier
confinement.
Après
2025,
retour
à la
normale
avec
un
secteur
touristique
polynésien
qui
aura
un
visage
bien
différent…
Le
tourisme
va
changer
selon
Sylvain
Petit
Les
chercheurs
notentdeux
autres
conséquences
probables
de la
crise.
D’abord
un
repli
identitaire,
que
l’on
voit
dans
le
monde
entier
comme
à
Tahiti.
Ici,
le
secteur
du
tourisme
est
blâmé
pour
le
retour
de
l’épidémie
dans
nos
îles.
Peut-être
que
cette
attitude
laissera
des
séquelles
de
long
terme
et
que
l’attitude
positive
des
Polynésiens
envers
le
tourisme
deviendra
désormais
teinté
de
doute...
L’autre
conséquence
sera
la
conséquence
de la
grave
crise
économique
provoquée
par
la
pandémie.
De
nombreuses
entreprises
locales
et
internationales
sont
en
difficulté
et
beaucoup
vont
fermer ;
On
peut
donc
s’attendre
à une
très
forte
concurrence
dans
les
années
qui
viennent,
puis
à des
faillites
ou à
des
rachats
massifs.
Au
final,
il
restera
beaucoup
moins
d’acteurs
économiques
et
donc
de
concurrence.
C’est
particulièrement
attendu
dans
le
secteur
du
transport
aérien
et de
l’hôtellerie…
Les
résultats
complets
de
l’étude
seront
communiqués
par
le
Centre
d’Études
du
Tourisme
en
Océanie-Pacifique
(CETOP)
et l’UPF
dans
les
jours
qui
viennent.
Vous
pouvez
contacter
le
CETOP
par
mail
à
cetop@upf.pf
ou
suivre
son
actualité
sur
Facebook,
@cetop.upf.
Courrier
Elections
américaines,
"l'impression
d'un
vieux
polar
américain
des
années
50 !"
Je
viens
de
lire
votre
article
de
samedi
où
vous
écrivez
«
Victoire
confirmée
pour
Joe
Biden,
306-232.
Le
dépouillement
a
tenu
l’Amérique
en
haleine.
[…] »
Mais…n’est-ce
toujours
pas
fini
? (LCI)
Actuellement,
sauf
erreur
de ma
part,
le
comptage
est
de
226 à
232
en
faveur
de
Trump,
attention,
sans
que
rien
ne
dise
qu’il
a
gagné.
Tous
les
états
non-validés
sont
en
affaires
aux
tribunaux
où
les
Républicains
réclament
un
comptage
manuel
et la
non-considération
des
votes
frauduleux.
En
petit
florilège
:
votes
de
personnes
décédées,
bulletins
par
correspondances
reçus
la
veille
de la
date
d’expédition
inscrite
sur
l’enveloppe,
bulletins
par
correspondance
sans
date
d’expédition,
sans
enveloppe,
bulletins
de
vote
par
correspondance
«
Trump
»
retrouvés
dans
des
poubelles,
signatures
manquantes,
pièces
d’identités
non-vérifiées,
observateurs
Républicains
interdits
d’observer
le
dépouillement,
dans
certains
états
mis à
distance
même
par
les
forces
de
l’ordre,..
À
cette
heure
les
affaires
ne
sont
pas
finies,
les
témoignages
de
fraude
sous
serment
auprès
des
tribunaux
s’accumulent,
les
preuves
sont
présentées,
des
arrestations
ont
lieu
et
les
Démocrates
ont
fait
appels
dans
chaque
état
pour
qu’il
n’y
ai
pas
de
recomptage.
Et en
regardant
les
médias
Démocrates,
CNN,
ABC,
MSNBC,..
nous
nageons
dans
un
autre
monde,
Joseph
Biden
est
vainqueur
et
rien
de
tout
cela
n’existe,
ce
dont
on ne
parle
pas,
n’existe
pas.
En
contre-balance
aux
informations
des
médias
Démocrates,
il
est
intéressant
d’écouter
une
opinion
contradictoire,
comme
par
le
média
d’investigation,
un
peu
comme
notre
Médiapart,
mais
Républicain,
The
Gateway
Pundit.
Honnêtement,
ces
élections
me
donnent
l’impression
d’un
vieux
polar
américain
des
années
50
tellement
c’est
aberrant.
JRH
Samedi
14
novembre
2020
A
propos
Covid
19 :
Triste
record,
la
Polynésie
au
1er
rang
européen
des
pays
les
plus
touchés
selon
Visactu
et le
"Centre
européen
de
prévention
et de
contrôle
des
maladies".
Avec
1603
personnes
infectées
pour
100.000
habitants
entre
le 29
octobre
et le
11
novembre,
la
Polynésie
est
le
pays
le
plus
touché
en
Europe
selon
l'agence
de
presse
Visactu.
Ses
chiffres
sont,
en
effet,
alarmants
pour
la
Polynésie
sur
son
compte
twitter
concernant
le
taux
d'incidence
du
covid
dans
la
population.
On
ne
sait
pas
utiliser
ceux
que
l'on
a !
. En
ces
temps
de
Covid-19,
l’hôpital
est
sous
tension.
On se
focalise
beaucoup
sur
les
budgets
trop
serrés
et on
oublie
trop
souvent
que
le
personnel
aussi
fait
défaut
pour
pouvoir
augmenter
le
nombre
de
lits.
Et
pas
de
manière
seulement
conjoncturelle,
même
si
son
manque
est
plus
criant
aujourd’hui
qu’hier.
Avant
l’épidémie
déjà,
il
manquait
plus
de
1 000 infirmières
et
aides-soignantes
en
Ile-de-France.
Chaque
année,
l’Assistance
publique-Hôpitaux
de
Paris
(APHP)
ferme
des
lits
pour
cette
raison.
Quid
de la
Polynésie
?
Et
pourtant,
des
infirmiers
et
infirmières
formées
en
France
pourraient
les
suppléer
si on
y
regardait
bien.
Et
avant
ça si
on
regardait
autour
de
nous
les
médecins
au
chômage.
Mais
oui
ils
ne
sont
pas
nombreux
mais
il en
existe.
Par
ailleurs
plusieurs
milliers
de
diplômés
d’Etat
attendent
un
emploi
au
sud.
Ils
et
elles
ont
réussi
leur
examen,
à
l’issue
d’une
formation
suffisamment
solide
pour
être
capables
d’ausculter,
de
faire
un
diagnostic
et
même
d’établir
l’ordonnance
de
patients
qui
ne
verront
jamais
de
médecin
dans
ce
pays
où
ils
font
cruellement
défaut.
Ces
jeunes
professionnels
attendent
que
l’Etat
les
recrute
car,
faute
de
couverture
sociale,
il
n’existe
évidemment
pas
de
secteur
libéral.
Alors
si
d’un
côté
on
manque
de
professionnels
formés
et si
de
l’autre
ils
sont
trop
nombreux
pour
avoir
un
travail,
pourquoi
ne
pas
accueillir
ces
renforts
dans
les
hôpitaux
métropolitains,et
îliens
après
une
formation
complémentaire
qui
pourrait
être
mise
en
œuvre
dans
les
nombreux
dispensaires ?
D’ailleurs,
ce
questionnement
pourrait
être
plus
large,
le
confinement
ayant
montré
que
la
main-d’œuvre
ne
manque
pas
seulement
au
sein
du
système
médical.
Au
printemps,
alors
que
4 millions
de
personnes
étaient
au
chômage
et
près
de
8 millions
au
chômage
technique
en
France,
les
agriculteurs
n’ont
pas
trouvé
suffisamment
de
monde
pour
ramasser
toutes
les
fraises.
Et
plus
récemment,
début
octobre,
il a
fallu
organiser
un
pont
aérien
entre
la
Corse
et le
Maroc
pour
que
la
clémentine
de
Corse
puisse
être
récoltée.On
peut
le
regretter,
mais
c’est
une
réalité.
Avec
l’ouverture
du
marché
du
travail
européen,
la
France,
l’Allemagne
et
l’Italie
ont
pu
compter
sur
la
main-d’œuvre
polonaise
ou
roumaine.
Mais
pour
les
mêmes
raisons
démographiques
que
dans
le
reste
de
l’Europe,
cette
main-d’œuvre
n’est
pas
intarissable.
Depuis
une
dizaine
d’années,
les
entreprises
technologiques
de
l’Union
européenne
(UE)
se
disputent
les
ingénieurs
et
informaticiens.
L’Allemagne
s’en
sort
pour
l’heure
en
attirant
les
jeunes
des
pays
méditerranéens :
Portugal,
Espagne,
Italie,
Grèce…
Victoire
confirmée
pour
Joe
Biden
aux
Etats
Unis
306-232.
Le
dépouillement
a
tenu
l’Amérique
en
haleine,
mais
la
victoire
de
Joe
Biden
à la
présidentielle
américaine
devrait
au
final
être
confortable,
avec
un
net
avantage
au
collège
électoral
et
plus
de
5 millions
de
voix
d’écart
–
même
si on
est
loin
de la
vague
bleue
annoncée.
Vendredi,
les
médias
américains
ont
projeté
la
victoire
du
démocrate
en
Géorgie,
et
celle
de
Donald
Trump
en
Caroline
du
Nord.
Avec,
sur
le
papier,
un
total
306
grands
électeurs,
Joe
Biden
possède
une
marge
de
sécurité
importante
sur
la
majorité
absolue
(270).
Et
même
avec
un
recompte
en
cours
en
Géorgie,
et un
autre
possible
dans
le
Wisconsin,
Donald
Trump,
qui
conteste
les
résultats,
aurait
besoin
de
renverser
les
résultats
dans
trois
ou
quatre
Etats
pour
créer
la
surprise
lors
du
vote
du
collège
électoral
le
14 décembre
prochain.
Félicitations
de la
Chine
Même
si
les
résultats
ne
seront
pas
certifiés
avant
plusieurs
semaines,
les
dirigeants
du
monde
entier
ont
déjà
félicité
Joe
Biden
pour
sa
victoire.
Vendredi,
Pékin
a
rejoint
le
reste
de la
communauté
internationale,
indiquant
« respecter
le
choix
du
peuple
américain ».
Georges
Madaraz,
grand
reporter
raconte
:
Visite
de la
Boisserie,
maison
du
général
de
Gaule.
J'ai
découvert,sur
la
gauche
du
cabinet
où il
cachait
son
téléphone
au
rez-de-chaussée,
et
sur
le
mur
qui
longe
l'escalier
pour
gagner
le
premier
étage,toute
une
collection
de
casse-tête
marquisien
sculptés
(énormes)
ainsi
que
des
lances
marquisiennes.
Ce ne
sont
pas
de
petits
souvenirs
mais
carrément
une
exposition
mise
en
valeur
pour
être
vue.
Etonnant!
Vendredi
13
novembre
2020
Pour
un
jour
de
chance,
c'est
pas
de
chance
il
pleut
et
mle
dessin
est
bloqué
!
Les
touristes
métropolitains
ne
sont
plus
autorisés
à
voyager
en
Polynésie
Le
tourisme
ne
fait
plus
partie
des
dérogations
possible
permettant
aux
passagers
en
provenance
de
métropole
de se
rendre
en
Polynésie
française.
Nouveau
coup
dur
pour
le
principal
secteur
économique
en
Polynésie
française.
Les
touristes
originaires
de
métropole
ne
sont
plus
autorisés
à se
rendre
au
fenua.
Une
décision
qui
résulte
des
dernières
mesures
sanitaires
interdisant
les
déplacements
au
sein
de
l'hexagone,
qui
ne
sont
plus
en
adéquation
avec
la
dérogation
exceptionnelle
accordée
à la
Polynésie
française
depuis
la
réouverture
des
frontières
le 15
juillet
dernier.
En
effet,
depuis
le
premier
confinement
et la
fermeture
des
frontières
au
fenua,
les
mesures
sanitaires
prises
au
niveau
national
interdisent
tout
déplacement
de
personne
par
transport
public
aérien
entre
la
Polynésie
française
et
tout
point
du
territoire
de la
République
sauf
dérogations
pour
"un
motif
impérieux
d'ordre
personnel
ou
familial,
un
motif
de
santé
relevant
de
l'urgence,
un
motif
professionnel
ne
pouvant
être
différé".
Et
depuis
le 15
juillet
dernier,
la
Polynésie
française
a
obtenu
du
gouvernement
central
à
Paris
une
dérogation
plus
spécifique
pour
permettre
la
reprise
du
tourisme
sur
le
territoire
: "un
motif
en
lien
avec
l’impératif
de
reprise
économique
du
territoire,
dont
notamment
l’investissement,
le
tourisme
ou
les
manifestations
culturelles".
Depuis
cette
date,
c'est
ce
dernier
motif
qui
permettait
aux
touristes
métropolitains
d'être
autorisés
à se
rendre
au
fenua.
Or le
dernier
confinement
prononcé
en
métropole
"interdit
actuellement
les
déplacements
de
personnes
hors
de
leur
lieu
de
résidence"
sans
prévoir
la
dérogation
de
reprise
économique
spécifique
à la
Polynésie
française.
Le
haut-commissariat
a
confirmé
mercredi
l'information
dans
un
communiqué
diffusé
sur
son
site
Internet
:
"Les
déplacements
au
sein
du
territoire
hexagonal
liés
à
l’impératif
de
reprise
économique
de la
Polynésie
française
ne
figurent
pas
dans
la
liste
des
dérogations
et
sont
donc
interdits
jusqu’à
nouvel
ordre".
Interrogée
par
nos
confrères
de
Radio
1, la
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
a
déploré
"un
coup
dur
pour
notre
tourisme,
pour
l’aérien,
pour
toute
l’industrie".
Affaire
de la
citerne
d’Erima
en
appel :
l’avocat
général
demande
l’inéligibilité
à vie
contre
Gaston
Flosse,
90
ans.
Gaston
Flosse
apparait
bien
fatigué
sur
la
photo
parue
dans
les
Nouvelles
concernant
cette
vieille
affaire
de la
citerne
d'Erima.
Edouard
Fritch
passe
encore
entre
les
gouttes
avec
une
simple
amende
mais
Gaston
Flosse
risque
entre
autres
une
inéligibilité
à vie
ce
qui
ne
doit
pas
saper
son
moral
à 90
ans
sans
compter
deux
ans
de
prison
avec
sursis
et
dix
millions
d'amende.
Quand
on
écoute
sa
défense
on
est
sensible
à ses
arguments
concernant
l'aide
que
cette
eau
apportait
à 23
familles
. La
justice
aurait
même
pu
s'en
dispenser
par
simple
humanité,
mais
ce
n'est
pas
son
fort
d'autant,
selon
elle,
que
ce
sont
les
administrés
de
Pirae
qui
avaient
la
charge
financière
de la
distribution
d'eau
au
domicile
du
maire
(sic!)
de
Erima
à
Arue.
"
C'est
pas
bien,
ça !"
mais
les
maires
et
présidents
en
exercice
ont
des
avantages
que
le
simple
pékin
n'a
pas !
Bref,
au
bout
de 20
ans
on
pouvait
penser
les
faits
prescrits
mais
cela
était
sans
compter
une
lettre
anonyme
reçue
par
le
parquet.
La
délation
toujours
fait
son
oeuvre
et
certains
Polynésiens
ont
hérité
des
Français
cet
art
de la
dénonciation
anonyme
qui a
fait
rage
pendant
la
guerre
et
après,
en
métropole.
Même
la
gestapo
pendant
la
dernière
guerre
étaient
dégoûtée
de
recevoir
sur
bureau
autant
de
lettres
de
dénonciations.
Les
temps
ont
ils
changé
? Il
faut
croire
que
non
puisque
c'est
par
une
lettre
anonyme
que
la
justice
a
appris,
parait-il,
le
détournement.
Edouard
Fritch,
le
roi
de
l'esquive,
pareil
à
lui-même,
bien
que
complice
des
faits,
avec
un
mea
culpa
et
tête
baissée
du
repenti,a
avoué
sa
complicité
concernant
le
détournement
d'eau
qui
lui
était
aussi
reproché
en
disant
qu'à
l'époque
une
convention
entre
Arue
et
Pirae
n'était
pas
possible.
Pas
d'inéligibilité
pour
lui
cependant,
mais
une
petite
amende
de
1,5
million
de
francs.
La
cour
d'appel
rendra
son
délibéré
le 10
décembre
prochain.
15h :
Opération
d’affichage
de la
nouvelle
campagne
de la
Direction
de la
Santé
« Mets
ton
masque »,
dans
la
ville
de
Papeete,
par
les
interprètes
de la
chanson
sur
le
même
thème,
accompagnés
de
leurs
amis
DJ.
Place
Tarahoi
Pour
des
raisons
sanitaires,
le
collège
de
Rangiroa
n’accueillera
pas
les
élèves
externes
et
demi-pensionnaires
à
compter
du
vendredi
13
novembre
pour
une
durée
de 7
jours. L’établissement
reste
ouvert
pour
les
personnels
afin
d’assurer
le
suivi
pédagogique
et
pour
les
internes
avec
un
dispositif
d’isolement
pour
les
cas
positifs
covid+.
Jeudi
12
novembre
2020
Ce
soir
à
21.05
une
séquence
de »Envoyé
spécial »
(France
2)
sera
consacrée
à
Jonathan
Daval
qui a
étranglé
son
épouse
et
brûlé
son
cadavre
près
de
Gray
(20km
de
Pesmes).
Son
procès,
classé
« grand
procès »
aura
lieu
à
Vesoul
du 16
au 20
novembre
Conservateur,
Churchill
ne
manquait
pas
d'humour
pour
fustiger
ses
adversaires
socialistes
:"
Christophe
Colomb
fut
le
premier
socialiste
: il
ne
savait
pas
où il
allait,
il
ignorait
où il
se
trouvait,
et il
faisait
tout
ça
aux
frais
du
contribuable
!"
Malgré
toutes
ses
gesticulations
Trump,
devra,
de
gré
ou
de
force,
quitter
le
pouvoir
dans
un
premier
temps,
mais
il
scande
"
I'll
be
back"!
Comment
le
Parti
républicain
a-t-il
réagi
face
à
l’attitude
du
président
sortant
? On
a
l’impression
que
ceux
qui
l’ont
lâché
sont
ceux
qui
avaient
déjà
pris
leurs
distances
avec
lui
depuis
longtemps.
Mais
on
retrouve
les
fractures
habituelles
au
sein
du
parti
républicain
selon
les
spécialistes
de ce
mouvement
.
Clan
très
soudé
autour
de
Trump
à la
Maison
blanche,
puis.
des
élus
républicains
qui
ont
été
totalement
convertis
et
qui
dépendent
des
électeurs
de
Donald
Trump.
Et
puis
il y
a
cette
troisième
couche,
le
parti
lui-même,
la
structure,
avec
ses
élus
issus
de l’establishment,
qui
eux
sont
attachés
à la
vérité
des
chiffres
et
des
faits
et
comprennent
très
bien
que
cette
élection
est
incontestable.
Donald
Trump
malgré
toutes
ses
gesticulations
et
ses
habitudes
de
s’arranger
avec
la
vérité,
va
devoir
accepter
que
le 20
janvier
à 12
h 01,
il
devra,
de
gré
ou de
force,
quitter
le
pouvoir.
Certains
dans
son
premier
cercle
commencent
à
comprendre
que
c’est
dans
son
intérêt
d’accepter
plus
tôt
que
plus
tard
cette
réalité.
Maintenant
il y
a
aussi
l’agenda
personnel
de
Donald
Trump.
On ne
sait
pas
dire
s’il
s’accroche
au
pouvoir
par
pur
ego,
ou si
c’est
dû au
gouffre,
notamment
judiciaire,
qui
s’ouvre
devant
lui
(Donald
Trump
est
visé
par
deux
enquêtes
liées
à ses
affaires,
qui
pourraient
chacune
lui
valoir
des
poursuites,
)
Quoiqu'il
en
soit,
il a
une
belle
occasion
de
lancer
un
média
que
l'on
peut
qualifier
selon
l'attitude
du
moment
de
"ultra
conservateur"
car
que
fera-t-il
sinon
ce
qu'il
a
promis
une
fois
qu'il
ne
sera
plus
à la
maison
blanche
en
janvier
prochain
?
L'hypothèse
retenue
parmi
le
flot
de
procédures
évoquées
relayées
par
un
journaliste
proche
de
CNN
serait
la
création
d'une
"Trump
TV"
ce
qui
lui
permettrait
de
rivaliser
avec
Fox
News
tout
en
lui
permettant
de
conserver
un
lien
médiatique
fort
avec
ses
soutiens.
N'oublions
pas
que
Trump
a été
battu
avec
71
millions
de
votes
tombés
dans
son
escarcelle
électorale,
le
chiffre
le
plus
haut
jamais
atteint
par
un
président
sortant.
Ce
n'est
pas
rien
! 0r
il se
dit
dans
les
allées
du
pouvoir
que
Trump
pourrait
gagner
de
nouveaux
électeurs
et
convaincre
ainsi
les
plus
dépolitisés,
d'autant
que
la
jeune
garde
du
parti
républicain
qui
n'entend
pas
abandonner,
se
sait
totalement
dépendante
des
électeurs
trumpistes
qui
avaient
adhéré
au
discours
alternatif
de
Trump.
Constitutionnellement,
il en
a le
droit.
et il
pense
fortement
à une
candidature
en
2024
qui
pour
lui,
est
l’hypothèse
numéro
1
selon
des
proches
journalistes.
Il
pourrait
se
servir
d’un
crochet
médiatique
avec
une «
Trump
TV »
en
gardant
toujours
dans
sa
tête
un
objectif
politique.
Mais...mais
tout
dépendra
surtout,
s’il
peut
se
dépêtrer
de
ses
nombreux
procès.
The
story
is
not
over
!
.
Extrait
d'une
interview
américaine
:
Et si
Trump
ne se
représente
pas,
qui
pourrait
mener
le
Parti
républicain
en
2024
?+
Le
Parti
républicain
a
compris
que
sa
base
avait
évolué,
qu’il
fallait
s’adapter
et
servir
aux
électeurs
une
sorte
de
récit
de
l’Amérique
gagnante,
nativiste
et
anarcho-conservatrice.
Quand
on
regarde
les
premières
intentions
de
vote
pour
la
primaire
2024,
deux
personnalités
se
dégagent
:
d’abord
Donald
Trump
Jr.,
le
fils
de
Donald
Trump
lui-même.
Et
Tucker
Carlson,
éditorialiste
à Fox
News,
qui
est
un
peu
le «
Zemmour
américain
». Si
ce
n’est
pas
l’un
de
ces
deux
personnages,
on
voit
des
jeunes
loups
du
Parti
républicains
(Josh
Hawley,
Mike
Lee
ou
Tom
Cotton)
qui
sont
des
produits
du
sérail,
se
convertir
et
adopter
toutes
les
idées
du
trumpisme.
Ces
trois
personnalités
ont
déjà
effectué
avant
même
l’élection
2020
des
déplacements
dans
les
États
clés
des
primaires
de
2024.
Vaccin :
les
fondateurs
de
BioNTech,
les
« Curie »
du
coronavirus
Ugur
Sahin
et
Özlem
Türeci,
couple
à la
ville
comme
au
laboratoire,
sont
les
deux
fondateurs
de
BioNTech,
entreprise
allemande
qui a
annoncé
il y
a
quelques
jours
que
son
vaccin
développé
avec
l’Américain
Pfizer
contre
le
Covid-19
était
efficace
à
90 %
en
phase
trois
des
essais
cliniques.
Portrait.
La
PME
BioNTech
est
située
12
chemin
de la
mine
d’or
à
Mayence.
Mais
ses
deux
fondateurs,
Ugur
Sahin
et
Özlem
Türeci,
couple
à la
ville
comme
au
laboratoire,
n’ont
pas
attendu
sa
cotation
à
l’indice
Nasdaq
de
Wall
Street
pour
entrer
dans
le
palmarès
des
Allemands
les
plus
riches.
En
2016,
ils
ont
vendu
leur
première
entreprise
de
biotechnologie
plus
de
420 millions
d’euros.
Après
un
début
de
carrière
dans
des
cliniques
universitaires,
durant
lequel
la
passion
de la
recherche
les
rapproche,
les
deux
oncologues
décident
de
monter
leur
propre
structure
pour
faire
avancer
la
science.
L’ivresse
de la
recherche
Une
manière
peut-être
de
contourner
le
fameux
plafond
de
verre
dont
souffrent
beaucoup
d’immigrés
en
Allemagne.
Adolescent,
Ugur
Sahin
a
failli
ne
pas
aller
au
lycée :
ses
enseignants
voulaient
l’orienter
vers
une
scolarité
technique,
il a
fallu
l’opiniâtreté
d’un
de
ses
voisins
allemands
pour
qu’il
décroche
une
place
au
Gymnasium,
lui
ouvrant
la
voie
vers
des
études
supérieures.
Le
gamin
immigré
de
Cologne,
arrivé
à
quatre
ans
dans
les
bagages
de
son
père
ouvrier
à la
chaîne
chez
Ford,
compense
par
le
travail.
Des
heures
à la
bibliothèque
où il
avale
déjà
des
ouvrages
de
vulgarisation
scientifiques…
Étudiant
en
médecine,
c’est
au
laboratoire
qu’il
passe
ses
nuits,
happé
par
l’ivresse
de la
recherche.
Aujourd’hui,
face
à la
pression
internationale
liée
à
l’attente
d’un
vaccin,
c’est
encore
le
goût
du
travail
bien
fait
qui
permet
au
quinquagénaire
de
tenir.
« Je
me
concentre
sur
ce
que
j’ai
à
faire,
et je
ne
pense
pas
au
reste »,
confie-t-il
dans
une
des
rares
interviews
données
cet
automne.
Pionnière
de
l’immunothérapie
contre
le
cancer
Sa
femme,
Özlem
Türeci,
53
ans,
a un
parcours
différent :
née
en
Allemagne,
elle
grandit
dans
le
sillage
de
son
père
médecin
dans
un
hôpital
catholique,
où
elle
est
fascinée
par
les
nonnes
en
cornette.
Au
cours
de
ses
études,
elle
devient
une
pionnière
de
l’immunothérapie
contre
le
cancer,
dont
elle
préside
aujourd’hui
la
Fondation
Européenne.
Elle
est
la
directrice
scientifique
de
BioNTech.
« Ensemble,
le
couple
est
une
dream
team »,
témoigne
l’un
des
leurs
compagnons
de
longue
date,
même
si,
frêles
silhouettes
en
blouse
blanche,
ils
sont
du
genre
à
préférer
se
faire
oublier.
Jusqu’à
cette
année,
à
l’exception
de la
presse
spécialisée,
c’étaient
des
quasi-inconnus.
Le
29 octobre
dernier,
lors
d’une
conférence
organisée
par
le
journal
local
Wiesbadener
Zeitung
, un
journaliste
demande
à
Ugur
Sahin
s’il
a des
dons
extra-lucides
pour
avoir
eu
l’intuition
si
tôt
de se
mettre
à
chercher
un
vaccin
pour
le
coronavirus.
Il
répond
presque
en
s’excusant :
« Euh…
nnn…
non…
c’est
juste
que
j’aime
beaucoup
lire
les
publications
scientifiques
et en
janvier
il y
a eu
un
article
qui
m’a
fait
comprendre
que
l’épidémie
n’allait
pas
rester
au
niveau
local
en
Chine.
En
conséquence,
nous
nous
sommes
sentis
obligés
de
faire
quelque
chose. »
La
PME
de
près
de
1 500
salariés
met
toute
son
énergie
dans
ce
projet,
désigné
avec
un
nom
de
code
ambitieux :
« Vitesse-Lumière ».
En
moyenne,
il
faut
dix
ans
pour
développer
un
vaccin
contre
un
virus.
En
coopération
avec
le
laboratoire
américain
Pfizer,
ces
enfants
de
l’immigration
turque,
formés
en
Allemagne,
sont
en
passe
d’y
arriver
en un
an.
11,76
milliards
Fcfp
d’investissements
privés
soutenus
par
le
Pays
au
titre
de la
défiscalisation
locale
Sous
la
présidence
du
ministre
des
Finances,
de
l’économie,
en
charge
de
l’énergie,
de la
protection
sociale
généralisée
et de
la
coordination
de
l’action
gouvernementale,
Yvonnick
Raffin,
la
commission
consultative
des
agréments
fiscaux
du 10
novembre
a
émis
un
avis
favorable
sur 4
dossiers
relatifs
à
deux
projets
hôteliers,
un
projet
d’acquisition
de
navires
de
charter
nautique
et un
projet
industriel.
L’ensemble
de
ces
projets
représente
un
montant
d’investissement
global
de
11,76
milliards
Fcfp.
Le
montant
de
l’aide
accordée
par
le
Pays,
sous
la
forme
de
crédits
d’impôts
et
d’exonérations
de
l’impôt
sur
les
sociétés
en
phase
d’exploitation,
s’élève
à
5,08
milliards
Fcfp.
L’ensemble
de
ces
projets
permettra
la
création
de 79
emplois
directs
dès
la
mise
en
exploitation
des
investissements
et le
maintien
de
401
emplois
en
phase
de
réalisation
et
185
en
phase
d’exploitation.
Les
demandes
d’agrément
seront
présentées
prochainement
en
commission
du
contrôle
budgétaire
et
financier
à
l’Assemblée
de la
Polynésie
française.
Mardi
10
novembre
2020
Pfizer
vient
d'
annoncer
que
son
vaccin
est
"efficace
à
90%"
contre
le
Covid-19,
Un
vaccin
développé
par
Pfizer
(Etats-Unis)
et
BioNTech
(Allemagne)
est
"efficace"
à 90%
contre
le
Covid-19
selon
l'essai
à
grande
échelle
de
phase
3
actuellement
en
cours.
A
propos
Le
privé
contre
le
public
!
On ne
cesse
de
nous
dire
, les
temps
changent
!
Malheureusement
non,
ils
ne
changent
pas.
Mais
pas
du
tout.
Les
fonctionnaires
en
veulent
toujours
plus
ils
sont
pourtant
les
favoris
du
système
français
avec
la
garantie
de
toucher
leurs
salaires
et
leurs
primes
à la
fin
du
mois
quoi
qu'il
arrive,
ce
qui
n'est
pas
le
cas
de
tous
les
citoyens.
Quels
sont
les
avantages
des
fonctionnaires
créant
une
grande
disparité
:
Effectifs
trop
nombreux,
emploi
à
vie,
avancement
par
l’ancienneté,
retraite,
pension
de
réversion,
mise
en
disponibilité…
Avec
la
refonte
de la
fonction
publique
prévue
par
l’État,
la
guerre
des
deux
France
semble
relancée
: le
privé
contre
le
public.
Les
fonctionnaires
sont-ils
des
privilégiés
?
Vieille
polémique
toujours
d’actualité,
l’opposition
entre
secteurs
public
et
privé
a
été
relancée
par
le
gouvernement
avec
la
présentation
de
son
projet
de
réforme
de
la
fonction
publique,
qui
prévoyait
initialement
la
suppression
de
120.000
postes
d’ici
2022,
sur
un
total
d’environ
5,5
millions
de
fonctionnaires.
Objectif
:
moderniser
et
flexibiliser
la
fonction
publique
en
réduisant
notamment
le
nombre
d’agents
sous
statut
et
en
facilitant,
au
contraire,
les
embauches
de
contractuels
pour
des
durées
déterminées.
Sans
compter
le
bonus
des
primes
en
tous
genres
En
2019,
l’État
a
consacré
96,3
milliards
Fcfp
à
l’accompagnement
de la
collectivité,
majoritairement
en
faveur
de
l’éducation,
13,4
milliards
aux
communes,
et
76,5
milliards
à
l’exercice
de
ses
propres
compétences.
C’est
1,5
milliard
Fcfp
de
moins
qu’en
2018,
la
plus
faste
des
dix
dernières
années.
L’État
a
dépensé
186,3
milliards
en
Polynésie
en
2019.
À
titre
de
comparaison,
le
budget
primitif
du
Pays
pour
cette
année
2019
était
de
167,4
milliards.
HCPF
52%
de ce
montant,
soit
96,6
milliards,
est
consacré
au
soutien
des
compétences
de la
Polynésie.
C’est
l’éducation
qui
en
consomme
la
majeure
partie
(64,9
milliards),
avec
la
rémunération
de
5 734
agents.
Le
reste
est
versé
au
titre
des
engagements
contractuels
de
l’État
(dotation
globale
d’autonomie,
contrat
de
projets,
fonds
exceptionnel
d’investissement,
RSPF,
investissements
prioritaires).
On
peut
notamment
citer
les
dépenses
d’infrastructures
(4,9
milliards),
de
santé
(2,5
milliards)
et de
logement
(453,5
millions).
En
second
lieu,
l’État
consacre
41%
de
ses
dépenses
globales
(76,5
milliards
Fcfp)
à
l’exercice
de
ses
propres
compétences.
Justice,
sécurité,
enseignement
supérieures
et
recherche
représentent
35,8
milliards
Fcfp.
L’essentiel
des
dépenses
de
l’État
est
consacré
à la
rémunération
de
ses
10 321
agents
fonctionnaires
et
contractuels.
Enfin,
le
reste
est
constitué
des
pensions
civiles
et
militaires
(27,1
milliards)
et
des
dépenses
propres
des
administrations
de
l’État.
Enfin,
13,4
milliards
Fcfp
(7%
des
dépenses
globales,
en
hausse
de
370
millions)
viennent
appuyer
les
compétences
des
communes,
tant
en
fonctionnement
qu’en
investissement.
Il
s’agit
par
exemple
des
constructions
et
rénovations
des
équipements
scolaires
et
municipaux,
ou
des
aides
à
l’adduction
en
eau
potable
et au
traitement
des
déchets.
La
défiscalisation
nationale
a
représenté
une
aide
de
15,2
milliards
Fcfp
en
2019,
répartis
sur 8
programmes
d’investissement,
dans
les
transports,
le
logement,
la
téléphonie
mobile
et le
tourisme
nautique.
MAIS
pour
les
fonctionnaires
qui
ont
tout
de
même
la
garantie
de
toucher
leur
paye
tous
les
mois,
ce
n'est
pas
suffisant
!
Ils
sont
pourtant
gâtés
par
rapport
à
d'autres
qui
ne
touchent
aucune
prime,
Covid
ou
autres!
-
Trente-quatre
agents
du
Haut-commissariat
demandent
que
leur
"prime
exceptionnelle"
de 40
000 à
120
000
Fcfp
versée
en
raison
de
leur
"continuité
d'activité"
en
période
de
Covid
soit
indexée,
à
l'instar
de
leurs
collègues
agents
de la
police
ou
des
services
pénitentiaires.
Le 14
mai
dernier,
un
décret
était
venu
fixer
le
montant
d'une
"prime
exceptionnelle"
pouvant
aller
de 39
532 à
119
781
Fcfp
pour
les
fonctionnaires
et
agents
contractuels
de
l'Etat
qui
avaient
assuré
la
"continuité
des
services
publics"
pendant
la
période
d'urgence
sanitaire
de
mars
dernier
liée
à
l'épidémie
de
Covid-19.
Il
s'agissait
de
compenser
le
"surcroît
de
travail
significatif
durant
cette
période",
que
ces
agents
aient
été
en
présentiel
ou en
télétravail.
Une
prime
déterminée
par
l'employeur,
de
surcroît
"exonérée
de
cotisations
et
contributions
sociales
ainsi
que
d'impôt
sur
le
revenu",
et
dont
le
montant
indexé
varie
donc
de 72
738 à
220
397
Fcfp.
Et
c'est
là où
le
bât
blesse.
Dans
un
courrier
daté
du 3
août
dernier,
les
agents
du
Haut-commissariat
ont
été
informés
de ce
que
leur
"indemnité
exceptionnelle
n'est
pas
indexée".
A
travers
leurs
syndicats
A
ti'a
i
mua,
CFDT
et
Fo-Fsmi,
34
agents
ont
envoyé
un
courrier
au
haut-commissaire,
lui
rappelant
qu'il
n'y
actuellement
aucun
texte
qui
interdit
à
l'Etat
"d'indexer
les
primes
de
toute
nature
qu'elles
soient
exceptionnelles
ou
pas
dès
lors
qu'elles
sont
payées
en
euros".
Des
agents
qui
revendiquent
l'indexation
de
leur
prime
Covid,
à
l'instar
de
leurs
collègues
de la
police
ou
des
services
pénitentiaires.
Par
souci
"d'égalité
de
traitement
et
surtout
du
respect
des
textes
en
vigueur
en
matière
de
rémunérations",
les
agents
réclament
donc
"le
paiement
des
sommes
dues"
et
affirment
qu'ils
n'hésiteront
pas à
porter
au
contentieux
cet
"oubli"
de
l'Etat.
Une
solution
qui,
selon
eux,
n'aura
pour
conséquence
que
de
faire
"perdre
du
temps
à
tous
car
son
résultat
parait
évident".
Toujours
plus
pour
les
veinards
Le 14
mai
dernier,
un
décret
était
venu
fixer
le
montant
d'une
"prime
exceptionnelle"
pouvant
aller
de 39
532 à
119
781
Fcfp
pour
les
fonctionnaires
et
agents
contractuels
de
l'Etat
qui
avaient
assuré
la
"continuité
des
services
publics"
pendant
la
période
d'urgence
sanitaire
de
mars
dernier
liée
à
l'épidémie
de
Covid-19.
Il
s'agissait
de
compenser
le
"surcroît
de
travail
significatif
durant
cette
période",
que
ces
agents
aient
été
en
présentiel
ou en
télétravail.
Une
prime
déterminée
par
l'employeur,
de
surcroît
"exonérée
de
cotisations
et
contributions
sociales
ainsi
que
d'impôt
sur
le
revenu",
et
dont
le
montant
indexé
varie
donc
de 72
738 à
220
397
Fcfp.
Et
c'est
là où
le
bât
blesse.
Dans
un
courrier
daté
du 3
août
dernier,
les
agents
du
Haut-commissariat
ont
été
informés
de ce
que
leur
"indemnité
exceptionnelle
n'est
pas
indexée".
A
travers
leurs
syndicats
A
ti'a
i
mua,
CFDT
et
Fo-Fsmi,
34
agents
ont
envoyé
un
courrier
au
haut-commissaire,
lui
rappelant
qu'il
n'y
actuellement
aucun
texte
qui
interdit
à
l'Etat
"d'indexer
les
primes
de
toute
nature
qu'elles
soient
exceptionnelles
ou
pas
dès
lors
qu'elles
sont
payées
en
euros".
Des
agents
qui
revendiquent
l'indexation
de
leur
prime
Covid,
à
l'instar
de
leurs
collègues
de la
police
ou
des
services
pénitentiaires.
Par
souci
"d'égalité
de
traitement
et
surtout
du
respect
des
textes
en
vigueur
en
matière
de
rémunérations",
les
agents
réclament
donc
"le
paiement
des
sommes
dues"
et
affirment
qu'ils
n'hésiteront
pas à
porter
au
contentieux
cet
"oubli"
de
l'Etat.
Une
solution
qui,
selon
eux,
n'aura
pour
conséquence
que
de
faire
"perdre
du
temps
à
tous
car
son
résultat
parait
évident".
Lundi
9
novembre
2020
Donald
Trump :
ce
joli
pactole
que
va
lui
rapporter
la
Maison-Blanche
En
quittant
le
pouvoir,
Donald
Trump
pourra
compter
sur
une
retraite
dorée
sur
tranche
avec
de
juteux
bonus
à la
clé…
De
quoi
fourbir
ses
armes.
Tout
n'est
pas
perdu
pour
Donald
Trump :
son
départ
de la
Maison-Blanche
lui
permettra
au
moins
de
toucher
une
retraite
confortable
pour
le
restant
de
ses
jours.
À
savoir
210 000 dollars
par
an,
plus
une
pension
pour
Melania,
sans
compter
de
multiples
avantages,
comme
des
frais
de
voyage,
un
bureau
et un
secrétariat
payés
aux
frais
de
l'État,
des
soins
médicaux,
une
assurance-maladie
sur
mesure,
sans
oublier
les
services
de
protection
rapprochée,
pour
lui
et
ses
proches…
Au
final,
la
note
est
plutôt
salée
puisqu'elle
représente
environ
un
million
de
dollars
par
an
pour
chaque
ancien
président.
Le
montant
de la
pension,
fixée
chaque
année
par
le
Congrès,
fait
l'objet
d'une
réforme
à la
baisse
qui
n'a
toujours
pas
abouti,
et
donc
qui
ne
concernera
pas
Donald
Trump,
comme
le
rappelle
le
site
de
Capital.
Des
millions
à
venir
À
cette
rente
qui
permet
d'assurer
un
train
de
vie
plus
que
correct il
faut
ajouter
tous
les
juteux
bonus
que
confère
le
statut
d'ancien
président
des
États-Unis.
Et
sur
ce
plan-là,
on
peut
être
sûr
que
Trump
fera
jouer
à
fond
son
sens
du
marketing
avec
des
conférences
négociées
à
prix
d'or
(jusqu'à
500 000 dollars
l'intervention)
et
des
contrats
avec
les
chaînes
américaines
ou
les
magnats
de
l'édition.
On se
souvient
que
les
Obama
ont
ainsi
négocié
un
accord
de
65 millions
de
dollars
avec
Penguin
Random
House
pour
écrire
leurs
deux
livres
personnels
–
Bill
Clinton
avait
obtenu
15 millions.
Même
s'il
a
mordu
la
poussière,
Trump
est
loin
d'avoir
dit
son
dernier
mot :
il
peut
compter
sur
une
base
solide
d'électeurs
frustrés,
qui
se
feront
une
joie
d'acheter
ses
livres
ou de
le
suivre
sur
les
écrans
–
on
lui
prête
l'envie
de
lancer
sa
propre
chaîne
de
télévision…
Quant
aux
conférences
sur
la
politique
ou le
management,
elles
peuvent
se
révéler
de
véritables
poules
aux
œufs
d'or
à
moyen
terme :
CNN
estime
ainsi
que
les
Clinton
auraient
touché
pas
moins
de
150 millions
de
dollars
d'honoraires
pour
plus
de 720 conférences
en
quinze
ans…
Que
fera
demain
Donald
Trump ?
Touchera-t-il
seulement
l'argent
des
contribuables
américains
pour
sa
retraite ?
Pendant
quatre
ans,
il a
ainsi
refusé
d'encaisser
son
salaire
sur
ses
comptes,
préférant
en
faire
don à
de
multiples
administrations
gouvernementales,
dont
l'agriculture,
la
santé
publique,
la
sécurité
intérieure
ou
l'aide
aux
vétérans…
On
sait
qu'il
possède
une
fortune
impressionnante,
estimée
à
plus
de
deux
milliards
de
dollars
par
le
magazine
Forbes,
constituée
d'appartements
new-yorkais,
d'hôtels,
de
gratte-ciel,
de
terrains
et de
placements
financiers…
Mais,
selon
les
dernières
révélations
du
New
York
Times,
sa
situation
financière
reste
fragile
en
raison
d'une
dette
cumulée
de
300 millions
de
dollars
– ses
terrains
de
golf
sont
ainsi
particulièrement
déficitaires.
Sans
compter
la
note
de
frais
d'avocats
qui
devrait
exploser
dans
les
prochains
mois
avec
les
multiples
recours
engagés
à
l'issue
des
élections
et
les
procès
à
venir…
Trump
est
actuellement
visé
par
deux
enquêtes,
au
pénal
et au
civil,
pour
fraudes
fiscales
et
dissimulation
d'actifs
sur
la
Trump
Organization,
initiées
par
le
procureur
de
Manhattan
et la
procureure
de
l'État
de
New
York.
L'ex-président
sait
qu'on
ne
lui
fera
aucun
cadeau
et
qu'il
aura
plus
que
jamais
besoin
de
cash.
Selon
le
Wall
Street
Journal,
les
appels
aux
dons
que
son
équipe
multiplie
ces
derniers
jours
serviront
autant
à
financer
l'offensive
judiciaire
contre
les
hypothétiques
fraudes
qu'à
rembourser
la
dette
de sa
campagne
de
réélection.
Et
les
millions
que
pourra
lui
rapporter
demain
son
passage
à la
Maison-Blanche
ne
seront
pas
de
trop
pour
financer
une
retraite
qui
s'annonce
particulièrement
chahutée…
Dimanche
8
novembre
2020
(
suite)
Donald
Trump
de
retour
à la
Maison
Blanche
après
que
les
médias
ont
déclaré
Joe
Biden
vainqueur
de
l’élection
présidentielle,
le 7
novembre.
CARLOS
BARRIA
/
REUTERS
Donald
Trump
a
quitté
la
Maison
Blanche
en
président
samedi
matin
7 novembre,
et
s’en
est
revenu
en
« canard
boiteux »,
l’expression
qui
désigne
un
élu
en
fin
de
mandat
et
dont
le
remplaçant
est
déjà
désigné.
Entre-temps,
l’agence
de
presse
Associated
Press
avait
accordé
la
Pennsylvanie
et
ses
vingt
grands
électeurs
au
démocrate
Joe
Biden.
Le « pire
candidat
de
l’histoire
de la
politique »
venait
de
lui
dénier
le
second
mandat
qu’il
considérait
comme
indispensable
pour
son
standing.
Il
n’était
plus
président
qu’à
titre
provisoire.
Le
président
n’a
pas
réagi
immédiatement
à la
nouvelle
parce
qu’il
parcourait
son
golf
de
Virginie.
Le
temps
était
radieux
pour
un
début
novembre
et il
pouvait
encore
s’accrocher
à
l’espoir
de
recours
devant
les
tribunaux
qui
provoqueraient
le
plus
spectaculaire
renversement
de
l’histoire
politique
des
Etats-Unis.
Donald
Trump
rentre
à la
Maison
Blanche
après
sa
partie
de
golf,
pendant
laquelle
a été
annoncée
la
victoire
de
Joe
Biden,
le 7
novembre.
CARLOS
BARRIA
/
REUTERS
« J’AI
GAGNÉ
CETTE
ÉLECTION,
DE
BEAUCOUP »,
avait-il
répété
sur
son
compte
Twitter
avant
d’informer
les
fidèles
de la
tenue
imminente
d’une
conférence
de
presse
qui
allait
tout
changer
mais
qui
s’est
transformée
en
embarras.
Une
erreur
d’adresse
a
expédié
le
fidèle
Rudy
Giuliani
non
pas
dans
un
hôtel
cossu
de
Philadelphie,
mais
devant
l’entrepôt
d’un
magasin
de
jardinage,
coincé
entre
un
crématorium
et
une
boutique
borgne
consacrée
à une
littérature,
disons,
spécialisée.
L’avocat
du
président
y a
défendu
avec
énergie
un
dossier
pratiquement
vide.
Par
abnégation,
ou
par
la
force
de
l’habitude.
Le
magasin
borgne
a
suscité
plus
d’intérêt.
Une
foule
en
liesse
célèbre
un
autre
que
lui
Le
pire
était
à
venir
pour
Donald
Trump.
Sa
partie
de
golf
terminée,
il a
repris
la
route
de la
Maison
Blanche
pour
découvrir
une
foule
qui
ne
pensait
plus
à le
conspuer,
ce
qui
aurait
témoigné
au
moins
d’une
marque
d’attention,
mais
qui
célébrait
et
chantait
un
autre
que
lui.
Reclus
ensuite
dans
la
bâtisse
présidentielle,
il
n’a
pas
pu ne
pas
entendre
sa
clameur,
ni le
bruit
des
feux
d’artifices
tirés
en
signe
d’allégresse.
D
Des
feux
d’artifice
sont
tirés
près
de la
Maison
Blanche
pour
célébrer
la
victoire
de
Joe
Biden,
à
Washington,
le 7
novembre.
ALEX
EDELMAN
/ AFP
Une
semaine
plus
tôt,
Donald
Trump
se
régénérait
dans
les
hourras
des
fidèles
rassemblés
à
chacune
des
étapes
d’un
stupéfiant
marathon
de
meetings.
L’élection
présidentielle
n’était
pas
jouée
et il
était
encore
adulé
et
applaudi,
y
compris
lorsqu’il
se
dandinait
sans
véritable
grâce
au
rythme
d’une
rengaine
disco.
Il
était
au
centre
de
tout,
à
tout
instant
et
pour
toute
chose.
Pendant
qu’une
fête
se
déroulait
désormais
dont
il
n’était
pas
le
héros,
le
président
défait
s’est
tourné
vers
son
dernier
allié,
son
compte
Twitter,
pour
réitérer
ses
accusations
de
fraude
massive,
et de
complot
ourdi
pour
causer
sa
perte.
L’indignation
s’est
exprimée
à
nouveau
en
lettres
majuscules,
mais
ces
dernières
ont
du
mal à
soutenir
la
comparaison
avec
celles
qui
allaient
s’afficher
dans
la
nuit
à la
« une »
des
journaux
et
qui
composaient
la
sentence
redoutée :
« Biden
beats
Trump »
(Biden
bat
Trump),
ou sa
variante,
« Biden
defeats
Trump »
Dimanche
8
novembre
2020
Goodbye
Donald,
Hi
Joe !
Les
quiproquos
s'enchaînent
sur
Donald
Tump.
Si
celui-ci
avait
gagné
les
élections,
les
américains
républicains
auraient
chanté
ses
louanges.
Il en
avait
un
gros
paquet
dans
son
cabas,
75
millions,
ce
n'est
pas
rien
!
Mais
"Sleepy
Joe"
en
avait
davantage.
Visiblement
le
surnom
que
certains
avaient
donné
à
Biden
ne
lui
allait
pas.
Il a
fait
une
campagne
au
pas
de
course
et de
danse,
sans
doute
aussi,
pour
prouver
qu'il
était
un
septuagénaire,
mais
un
septuagénaire
dynamique,
alerte,
plein
de
ressources
comme
on
l'est
de
nos
jours
à
plus
de 70
ans,
en
tenant
la
dragée
haute
à
Donald Trump
plus
jeune
que
lui.
Et
c'est
lui
qui a
gagné
haut
la
main
au
grand
soulagement
des
américains
et
sans
doute
aussi
du
monde
entier
en
dehors
des
"fans"trumpistes.
C'est
lui
qui a
reçu
une
ovation
de la
foule
et
les
félicitations
des
présidents
du
monde
qui
n'appréciaient
pas
outre
mesure
le
caractère
entier
de
Trump
qui
tirait
un
trait
sec
sur
des
institutions
reconnues
notamment
en
Europe.
Les
drames
de la
vie
de
Biden
et sa
souffrance
ne
l'ont
pas
abattu
et
l'ont
sans
doute
rendu
plus
fort.
On ne
le
connaissait
pas,
il va
nous
surprendre
et a
bien
l'intention
de
reprendre
à son
compte
toutes
les
grandes
sélections
politico-économiques
et
sociales
qu'avait
rejeté
Donald
Trump.
J'ai
pensé
un
moment
que
ce
Trump
là
pouvait
faire
de
grandes
choses
aux
Etats
Unis.
C'est
Biden
qui a
bien
l'intention
de
les
faire
avec
le
soutien
des
grands
de ce
monde.
Mea
culpa
!
Welcome
Joe !
Joe
Biden
au
lendemain
de l'annonce
de sa
victoire
sur Trump
Donald
Trump
a
quitté
la
Maison
Blanche
en
président
samedi
matin
7 novembre,
et
s’en
est
revenu
en
« canard
boiteux »,
l’expression
qui
désigne
un
élu
en
fin
de
mandat
et
dont
le
remplaçant
est
déjà
désigné.
Entre-temps,
l’agence
de
presse
Associated
Press
avait
accordé
la
Pennsylvanie
et
ses
vingt
grands
électeurs
au
démocrate
Joe
Biden.
Le « pire
candidat
de
l’histoire
de la
politique »
venait
de
lui
dénier
le
second
mandat
qu’il
considérait
comme
indispensable
pour
son
standing.
Il
n’était
plus
président
qu’à
titre
provisoire.
Le
président
n’a
pas
réagi
immédiatement
à la
nouvelle
parce
qu’il
parcourait
son
golf
de
Virginie.
Le
temps
était
radieux
pour
un
début
novembre
et il
pouvait
encore
s’accrocher
à
l’espoir
de
recours
devant
les
tribunaux
qui
provoqueraient
le
plus
spectaculaire
renversement
de
l’histoire
politique
des
Etats-Unis.
donald
Trump
rentre
à la
Maison
Blanche
après
sa
partie
de
golf,
pendant
laquelle
a été
annoncée
la
victoire
de
Joe
Biden,
le 7
novembre.
CARLOS
BARRIA
/
REUTERS
« J’AI
GAGNÉ
CETTE
ÉLECTION,
DE
BEAUCOUP »,
avait-il
répété
sur
son
compte
Twitter
avant
d’informer
les
fidèles
de la
tenue
imminente
d’une
conférence
de
presse
qui
allait
tout
changer
mais
qui
s’est
transformée
en
embarras.
Une
erreur
d’adresse
a
expédié
le
fidèle
Rudy
Giuliani
non
pas
dans
un
hôtel
cossu
de
Philadelphie,
mais
devant
l’entrepôt
d’un
magasin
de
jardinage,
coincé
entre
un
crématorium
et
une
boutique
borgne
consacrée
à une
littérature,
disons,
spécialisée.
L’avocat
du
président
y a
défendu
avec
énergie
un
dossier
pratiquement
vide.
Par
abnégation,
ou
par
la
force
de
l’habitude.
Le
magasin
borgne
a
suscité
plus
d’intérêt.
Pour
l'anecdote
nous
relevons
l'article
de
Paul
Guyonnet
qui a
laissé
entendre
que
Trump
voulait
donner
une
grande
conférence
de
presse,mais
qu'il
s'est
juste
trompé
de
"Four
Seasons"!
ça va
barder
pour
ses
communicants
!!
L'équipe
de
campagne
de
Donald
Trump
a cru
convoquer
une
conférence
de
presse
dans
un
prestigieux
hôtel
de
Philadelphie,
mais
c'est
en
réalité
le
parking
d'un
paysagiste
qui a
été
réservé...
(Photo:
AFP &
Twitter)
ÉTATS-UNIS
- Une
scène
sortie
tout
droit
d’une
série
comique
absurde.
Comme
depuis
le
mardi
3
novembre,
Donald
Trump
continuait
de
répéter
ce
samedi
7
qu’il
avait
gagné
l’élection
présidentielle
et
que
les
annonces
donnant
Joe
Biden
vainqueur
s’appuyaient
uniquement
sur
des
bulletins
illégaux,
notamment
dus
au
vote
par
correspondance.
Alors
pour
lancer
sa
contre-offensive
juridique
dans
l’État-clé
de
Pennsylvanie,
il a
convoqué
une
grande
conférence
de
presse
à
l’hôtel
Four
Seasons
de
Philadelphie,
envoyant
ses
avocats
expliquer
aux
médias
du
monde
entier
qu’il
y a
eu de
la
fraude
électorale
lors
du
scrutin.
Une
annonce
faite,
comme
souvent
avec
le
président
sortant,
sur
Twitter.
Dans
la
foulée,
les
hôtels
Four
Seasons
de la
plus
grande
ville
de
Pennsylvanie
ont
annoncé
qu’ils
n’avaient
rien
à
voir
avec
l’événement
de la
campagne
de
Donald
Trump.
Et
pour
cause:
c’est
en
réalité
le
parking
d’une
boutique
d’aménagement
paysagiste
nommée
“Four
Seasons
Total
Landscaping”
qui
avait
en
réalité
été
réservé.
Une
minuscule
échoppe
située
à la
limite
entre
“Philly”
et sa
banlieue,
au
beau
milieu
d’une
zone
industrielle
pleine
de
garages
comme
en
ont
toutes
les
villes
américaines,
juste
en
face
d’un
crématorium.
Surréaliste.
D’autant
que
de
façon
surprenante,
les
avocats
de
Donald
Trump
ont
décidé
de
jouer
le
jeu
jusqu’au
bout,
et
c’est
effectivement
là,
devant
une
façade
vert
bouteille
recouverte
à la
hâte
d’affiches
de
campagne
que
s’est
tenu
la
fameuse
conférence
de
presse.
On
imagine
que
la
personne
qui a
confirmé
la
réservation
à
l’entourage
du
milliardaire
aura
un
jour
une
fort
belle
anecdote
à
raconter...
Jean-Luc
Mélenchon
«
propose
» sa
candidature
à la
présidentielle
de
2022
POLITIQUE
Le
leader
de la
France
insoumise,
Jean-Luc
Mélenchon,
a
« proposé »
dimanche
soir
sur
TF1
sa
candidature
à
l’élection
présidentielle
de
2022
20
Minutes
avec
AFP
Jean-Luc
Melenchon,
le
leader
de La
France
Insoumise
—
CELINE
BREGAND/SIPA
Le
leader
de la
France
insoumise,
Jean-Luc
Mélenchon,
a
« proposé »
dimanche
soir
sur
TF1
sa
candidature
à
l’élection
présidentielle
de
2022
à
condition
toutefois
de
réunir
« 150.000
signatures
de
parrainage ».
« Oui
je
suis
prêt »
« Oui
je
suis
prêt.
Je
propose
ma
candidature
mais
à une
condition
(…)
je
serai
candidat
définitivement
si et
seulement
si
j’ai
recueilli
150.000
signatures
de
parrainage »,
a-t-il
déclaré
au
journal
de 20
heures,
précisant
qu’aucun
autre
insoumis
avait
souhaité
être
candidat.
Jean-Luc
Mélenchon
est
le
deuxième
candidat
déclaré
pour
2022
après
la
présidente
du
Rassemblement
national,
Marine
Le
Pen.
«A ce
moment-là,
je me
sentirai
investi
par
le
peuple»,
a
ajouté
le
président
des
députés
Insoumis,
déjà
candidat
en
2012
et
2017.
« Il
faut
allumer
une
lumière
»
Il a
précisé
qu'aucun
autre
Insoumis
n'avait
souhaité
être
candidat.
Jean-Luc Mélenchon
est
le
troisième
candidat
déclaré
pour
2022
après
la
présidente
du
Rassemblement
national,
Marine
Le
Pen,
et le
président
de
Debout
la
France
Nicolas
Dupont-Aignan.
«Quand
tout
va
mal,
et
que
cela
semble
nuit
noire
pour
beaucoup
de
monde
qui
ne
trouvent
pas
leur
compte
dans
cette
société,
il
faut
allumer
une
lumière»,
a dit
Jean-Luc
Mélenchon,
en
référence
au
contexte
sanitaire
et
sécuritaire
difficile
en
France.
«Mon
intention
est
de
déconfiner
les
esprits
et
d'aider
à se
projeter
sur
l'avenir»,
a-t-il
scandé,
affirmant
que
2022
était
pour
le
pays
«le
moment
de
changer»
de
trajectoire.
Le
député
des
Bouches-du-Rhône,
69
ans,
a
promis
que
sa
candidature
ne
serait
«pas
qu'un
homme,
mais
aussi
un
programme
(...)
dont
la
philosophie
est
l'harmonie
entre
êtres
humains
et
avec
la
nature».
Polynésie
- Un
des
fondateurs
du
Tavini
et
ancien
représentant
à
l'assemblée
de la
Polynésie
Myron
Mataoa
est
décédé
ce
vendredi
à
l'âge
de 75
ans.
Myron
Mataoa,
âgé
de 75
ans,
est
décédé
ce
vendredi
en
début
d'après-midi.
Ancien
pilier
du
Tavini
huiraatira,
puisqu'il
faisait
partie
des
fondateurs
de ce
parti.
Myron
a
siégé
à
l'assemblée
de la
Polynésie
ainsi
qu'au
conseil
municipal
de
Pape'ete.
Ce
dernier
a
aussi
été
élu à
l'académie
tahitienne
le 30
juin
1978
et y
a été
installé
en
décembre
de la
même
année.
En
2018,
se
sentant
écarté
du
parti
bleu
ciel,
Myron
rejoint
le
parti
orange
de
Gaston
Flosse.
Le
président
du
Pays
Edouard
Fritch,
au
travers
d'un
communiqué,
décrit
Myron
Mataoa
comme
étant
un
"homme
de
foi
impliqué
dans
sa
congrégation
religieuse
(...).
Dans
les
moments
de
tensions
entre
les
différents
partis
politiques,
il a
toujours
cherché
à
apaiser
et à
rapprocher
les
points
de
vue.
Il
laissera
le
souvenir
d’un
homme
sympathique,
bonhomme
et
pétri
d’empathie".
Samedi
7
novembre
2020
Victoire
de
Joe
Biden
qui
deviendra
le
46°
président
des
Etats
Unis.
Un
président
qui
sera
incontestablement
plus
sage
que
Donald
Trump,
il
faut
bien
l'avouer
et
qui
sera
adoubé
officiellement
au
mois
de
janvier.
il
n'existe
pas
de
ministère
de
l'intérieur
pour
promulguer
les
résultats
de
l'élection.
Il
existe
cependant
un
deal
avec
Associated
press
qui
est
désigné
pour
annoncer
le
nom
du
vainqueur.
Information
qui
vaut
information
officielle...C'est
ainsi
depuis
une
éternité...C'est
donc
la
presse
qui a
donné
le
nom
du
vainqueur
,Joe
Biden
!
Cet
homme,
c'est
évident,
est
beaucoup
plus
rassurant
que
Donald
Trump
pour
la
majorité
des
Américains,
sachant
tout
de
même
que
les
supporters
trumpistes
se
comptent
en
millions
d'individus.
Joe
Biden,
lui,
assume
son
nouveau
rôle
avec
un
grand
calme
et
quelques
pas
de
danse,
tandis
que
Donald
Trump
pour
cacher
sa
déception
est
parti
jouer
au
golf
ce
week
end.
Nous
avons
pu
suivre
cette
Amérique
si
différente
de la
France
mais
qui
vient
de
prouver
qu'elle
n'était
pas
Zorro
en
cachant
son
désarroi
sans
violence
mais
en se
fracturant
cependant
politiquement.
Joe
Biden
selon
la
loi
américaine
prêtera
serment
le 20
janvier
à la
grande
joie
de
ses
70
millions
d'électeurs.
D'ici
là,
espérons
que
le
calme
et le
bonheur
des
gagnants
perdurera
sans
aucune
violence
de
trumpistes
déçus.
Pendant
ce
temps,le
golf
mis à
part,
Trump
prépare
déjà
sa
riposte
avec
ses
avocats
en
peaufinant
sa
campagne
judiciaire.
Remarquons
que
la
Pennsylvanie
a
fait
basculer
les
électeurs
dans
le
camp
de
Joe
Biden
élu
par
7%
des
grands
électeurs.
Anyway,
game
is
not
over,
4
years
to
wait
or
less
for
Trump
if....
qui
aura
alors
le
même
âge
que
Biden
aujourd'hui
!
Vendredi
6
novembre
2020
A
propos
Trump
s'est
auto-volé
!
Donald
Trump
se
sabote
lui-même
!
Comment
la
victoire
pouvait-elle
lui
être
volée
? En
dépassant
les
bornes
il
s'est
mis
le
monde
des
journalistes
à
dos,
y
compris
certains
électeurs
de
son
propre
camp.
Deux
jours
après
une
première
sortie
du
même
genre
dans
la
nuit
qui
avait
suivi
l’élection,
le
président
américain
a
encore
listé
les
États
où,
selon
lui
,le
comptage
des
voix
devrait
s’arrêter
et
celui
où
des
“fraudes”
seraient
commises.
Mais
s’ils
avaient
diffusé
en
intégralité
ces
propos
mensongers
mardi
soir,
les
médias
américains
ont
rapidement
décidé
de
lui
couper
le
sifflet
ce
coup-ci,
laissant
la
démocratie
faire
son
œuvre.
Sur
MSNBC
par
exemple,
le
spécialiste
en
matière
de
droit
constitutionnel
qui
parlait
avant
l’intervention
de
Donald
Trump
n’a
même
pas
eu le
temps
de
prendre
une
pause
qu’il
était
déjà
rappelé
pour
corriger
les
propos
présidentiels.
Et
d’expliquer
qu’aucun
“vote
illégal”
n’avait
pour
l’heure
été
rapporté
dans
cette
élection
aux
États-Unis
-au
contraire
de ce
que
disait
le
président-
et
que
la
victoire
de
Donald
Trump
ne
pouvait
aucunement
être
déclarée,
au
contraire
de ce
que
disait
le
président.
De
son
côté,
la
chaîne
conservatrice
Fox
News
(qui
soutient
de
moins
en
moins
Donald
Trump)
a
affiché
rapidement
un
bandeau
expliquant
que
le
président
américain
“prétendait”
qu’il
y
avait
eu de
la
fraude
et
des
tentatives
pour
biaiser
l’élection.
Ironiquement,
la
formulation
choisie
pouvait(volontairement?)
se
lire
comme
allant
encore
plus
loin
et
accusant
directement
Donald
Trump
d’être
en
train
de
tricher.
A
notre
avis
à ce
train
là il
ne va
pas
s'en
sortir
car
les
uns
après
les
autres
vont
le
laisser
tomber
et
piétiner
la
gadoue
dans
laquelle
colle
la
semelle
de
ses
chaussures.
Mais
qui
donc
le
conseille
? Si
tant
est
qu'il
écoute
un de
ses
conseillers
!
Pourtant
des
dizaines
de
millions
d'Américains
ont
prouvé
qu'ils
avaient
confiance
en
lui
en
votant
"
Trump".
Ils
auraient
aimé,
ceux-là,
avoir
un
homme
fort,
honnête
et en
bonne
santé
pour
représenter
les
Etats
d'Amérique
plutôt
qu'une
frêle
silhouette
à la
démarche
saccadée
qu'un
souffle
un
peu
trop
fort
peut
faire
chavirer.
Mais
Trump
ne
changera
pas
et
ses
excès
le
précipitent
un
peu
plus
chaque
jour
vers
un
précipice
d'où
il ne
sortira,
peut-être,
que
dans
4
ans.
le
temps
de se
refaire
une
santé
! Et
encore...
Présentation
du
projet
de
rénovation
du
Sofitel
Moorea
Ia
Ora
Beach
Resort
Entouré
du
ministre
des
Finances
et de
l'économie,
Yvonnick
Raffin,
et de
la
ministre
du
Tourisme,
Nicole
Bouteau,
le
Président
Edouard
Fritch
a
reçu,
jeudi
après-midi,
le
représentant
du
propriétaire
de
l'hôtel
Sofitel
Moorea
Ia
Ora
Beach
Resort,
Jean-Luc
Jaumouille,
directeur
administratif
et
financier
du
groupe
Wane,
venu
présenter
le
projet
de
rénovation
de
l'établissement
hôtelier
nouvellement
acquis
par
Louis
Wane.
Il
s'agit
d'un
projet
ambitieux
non
seulement
de
rénovation
mais
aussi
de
développement
de sa
capacité
d'accueil
qui
se
verra
augmentée
d'une
vingtaine
d'unités
venant
s'ajouter
aux
113
actuelles.
Le
souhait
du
propriétaire
est
également
une
montée
en
gamme
de
l'établissement
dont
le
classement
5
étoiles
sera
sollicité.
Il
souhaite
également
lui
donner
une
dimension
environnementale
par
l'utilisation
d'énergie
renouvelable
et un
programme
de
valorisation
de la
biodiversité
marine.
Ce
projet
permettra
non
seulement
le
maintien
des
emplois
existants
mais
surtout
la
création
de
nombreux
emplois
tant
durant
la
phase
de
travaux
que
pour
l'exploitation
de
l'hôtel.
Ce
chantier
permettra
de
faire
travailler
les
producteurs
de
couverture
en
pandanus
de
l'île
de
Maiao,
notamment,
dont
c'est
la
principale
ressource.
Cet
hôtel
emblématique
de
l'île
de
Moorea
est
idéalement
localisé
et
bénéficie
non
seulement
de la
clientèle
internationale
mais
également
du
tourisme
d'intérieur
notamment
durant
les
périodes
de
vacances
scolaires
et
les
week-ends.
Le
projet
sera
prochainement
présenté
au
conseil
municipal
de
Moorea.
Cette
rencontre
a
également
été
l'occasion
de
faire
un
point
de
l'état
d'avancement
des
travaux
de
rénovation
et
d'extension
du
Méridien
Bora
Bora
fermé
prématurément
du
fait
de la
crise
sanitaire,
le
groupe
Wane
ayant
décidé
d'avancer
le
calendrier
initial
de ce
projet.
Disposant
de 98
unités
(chambres,
bungalows
et
villas
sur
pilotis),
cet
hôtel
verra
également
sa
capacité
augmentée
de 40
unités
supplémentaires.
Toutes
les
parties
communes
seront
refaites.
Les
bungalows
existants
verront
leurs
espaces
intérieurs
complètement
rénovés
et
leurs
terrasses
extérieures
élargies.
S'agissant
d'un
programme
de
travaux
importants,
la
réouverture
du
resort
est
prévue
pour
le
second
semestre
2022.
Avant
la
Covid,
l'établissement
affichait
un
taux
moyen
de
remplissage
de
plus
de
80%.
Enfin,
le
chantier
de
l'hôtel
Tahiti,
situé
à la
sortie
de
Faaa
et
l'entrée
Ouest
de la
ville
de
Papeete,
appartenant
également
au
groupe,
est
en
bonne
voie
d'avancement.
A sa
réouverture
prévue
dans
le
courant
du
1er
semestre
2021,
l'hôtel
5
étoiles
disposera
de
200
chambres.
Jeudi
5
novembre
2020
"Quand
je
donne
une
place
je
fais
un
ingrat
et
cent
mécontents"
Louis
XIV (
déja!)
160
millions
d'électeurs
ont
voté
aux
Etats
Unis
A
propos
(info
ce
matin
de
notre
correspondant
JRH)
Mardi
soir
Joe
Biden
était
donné
comme
chacun
sait
à 219
grands
électeurs,
et
Donald
Trump
le
battait
avec
un
score
plus
important.
Mercredi
matin,
le
Michigan
a
soudain
tourné
son
compas
vers
les
démocrates,
d'autres
Etats
également.
Biden
comme
relevé
était
alors
à 264
bulletins
mais
au
grand
étonnement
général.
les
démocrates
crient
victoire.
S'installe
alors
une
grosse
suspicion
de
fraude
à
grande
échelle
selon
le
FBI
et
d'autres
services
internes
en
alerte
pour
énième
vérification.
Surprise,
fraude
détectée
dans
l'Arizona,
d'où
11
points
de
moins
pour
les
démocrates,
Biden
redescend
à
253.
Ce
n'est
pas
tout,
les
démocrates
font
parvenir
des
milliers
de
bulletins
de
vote
après
l'heure
de
fermeture
du
scrutin
des
votes
électroniques
en
faveur
des
démocrates
et
dans
le
même
temps
des
bulletins
républicains
sont
massivement
trouvés
marqués
au
surligneur
les
rendant
illisibles
aux
machines
qui
les
déclarent
nuls.
Selon
notre
correspondant
cette
élection
est
la
première
de
toute
l'histoire
américaine
a
être
marquée
par
une
fraude
aussi
massive.
6h.00
ce
matin
:Donald
Trump,
sauf
rebond,
est
en
train
de se
faire
avoir
par
le
frêle
vieillard
à la
démarche
vacillante,
Joe
Biden
qui
frise
la
victoire.
C'est
qu'en
effet
après
le
Wisconsin
et le
Michigan
repris
à
Donald
Trump
avec
l'Arizona,
Joe
Biden
dispose
de
264
grands
électeurs.
Si..il
prenait
le
Nevada,
il
arriverait
ainsi
à
capter
270
sièges,
le
chiffre
magique
pour
devenir
le
46°
président
des
Etats
Unis.
Mais
attention
de ne
pas
chanter
victoire
trop
tôt.
Donald
Trump,
tel
un
taureau
dans
l'arène,
avait
hier,
plus
de
220.000
voix
d'avance.
Joe
Biden
au
cours
des
meetings
ne
cessent
de
clamer
qu'il
va
gagner
la
bataille
contre
son
rival
Trump.
Il
n'est
pas
bon
de
faire
cocorico
gagnant
avant
la
fin
de la
course
. La
presse
ne
parle
plus
que
de
lui
aux
Etats
Unis
et
refoule
Donald
Trump
dans
l'ombre
du
possible
vaincu.
Ce
qui
n'est
pas
juste.
Mais
"tel
le
taureau
des
Ardennes"
Trump
fait
appel
au
judiciaire
en
demandant
un
recomptage
des
suffrages
et un
examen
des
bulletins
comptés.
Bref
les
deux
hommes
font
feu
de
tout
bois
pour
devenir
le
vainqueur
et
pour
y
arriver
les
croche-pieds
sont
nombreux
: 160
millions
d'électeurs
ont
voté
soit
une
participation
record
de
66,9%
des
électeurs
qui
ont
pulvérisé
leur
score
de
2016.
Jamais
le
suspens
n'aura
été
aussi
grand
lors
de
l'élection
d'un
président
aux
Etats
Unis.
Ni
les
candidats
aussi
différents.
Dans
ce
chaos
où de
nombreux
Etats
ont
été
débordés
par
la
tonne
de
bulletins
envoyés
par
correspondance
en
raison
de la
crise
sanitaire,
les
Américains
vont
devoir
attendre
encore
pas
mal
de
temps
avant
de
souffler.
Et
des
coups
tordus
il y
en a
déjà
, les
besaces
des
deux
hommes
en
sont
pleines.
Mercredi
4
novembre
2020
"Si
la
méchanceté
n'existait
pas,
il
n'y
aurait
aucun
mérite
à
être
gentil."
Philippe
Geluck
A
propos
+
L'ex
et le
nouveau
président
!
Non,
raté
!
Election
américaine,
ce
n'est
plus
tout
a
fait
un
suspens
!
Les
sondages
donnaient Joe
Biden grand
favori
pourl'élection
présidentielle américaine,
mais
rien
n'est
gagné
pour
le
démocrate.
À
21h.
hier
soir,
235 grands
électeurs
ont
voté
pour
Joe
Biden
contre
213
pourDonald
Trump.
Pour
remporter
l'élection,
le
gagnant
devra
totaliser
au
moins
270 grands
électeurs
sur
538. "Il
y
avait
une
dynamique
Trump
qu'on
avait
sous-évaluée
en
2016
et
qu'on
a
encore
sous-évaluée
cette
fois-ci",
a
expliqué
sur
France
info
l'historien
Thomas
Snégaroff
hier
soir
L'analyse
de
Snégaroff
est
simple
:Donald
Trump
a
sûrement
gagné
des
voix
depuis
2016,
mais
dire
qu'il
a
élargi
sa
base
électorale
c'est
un
peu
excessif.
Il
est
précoce
de
faire
des
analyses
sur
les
résultats.
Il y
a
deux
heures,
le
Wisconsin
était
un
État
pour
Donald
Trump
et
finalement
c'est
Joe
Biden
qui
est
devant.
Ce
qui a
permis
à
Donald
Trump
de
gagner
la
Floride
et de
performer
dans
d'autres
États
du
Sud,
notamment,
c'est
qu'il
a
fait
mieux
qu'en
2016
avec
l'électorat
des
hommes
et
particulièrement
ceux
issus
des
minorités.
Les
minorités
étaient
très
mobilisées
et on
les
avait
attribuées
quasi
intégralement
à Joe
Biden
de
manière
pavlovienne
or
beaucoup
de
Latinos,
de
noirs,
ont
été
attirés
par
le
discours
qui
lui
ressemble,
très
viril
de
Donald
Trump.
Pour
eux,
Biden
c'est
un
peu
de l'anti
raciste
'à la
papa'.
Si
vous
ne
votez
pas
pour
moi
et
que
vous
êtes
noir
c'est
que
vous
n'êtes
pas
noir.
Ils
n'ont
plus
envie
d'être
traités
comme
ça.
Du
coup
et à
contrario,le
discours
pro
business,
c'est
par
l'économie
que
vous
allez
vous
en
sortir,
a
pris
dans
une
certaine
partie
de la
population.
Joe
Biden
fantomatique
fait-il
mieux
qu'Hillary
Clinton
en
2016 ?
Il
fait
mieux
qu'Hillary
Clinton
c'est
clair.
Il a
réussi
à
faire
cela,
mais
si au
final
il ne
réussit
qu'à
gagner
l'Arizona
on
pourra
se
dire
que
c'était
beaucoup
d'efforts
pour
pas
grand-chose.
Ce
qui
est
intéressant
c'est
qu'on
voit
qu'il
a eu
du
mal à
réussir
là où
Hillary
Clinton
avait
échoué.
On
avait
dit
que
c'était
parce
qu'elle
n'avait
pas
fait
campagne,
qu'elle
avait
été
nulle
comme
candidate
et
que
les
Américains
la
détestent,
mais
on se
rend
compte
qu'il
y
avait
aussi
une
forte
dynamique
Trump
sous-évaluée
en
2016
et
encore
sous-évaluée
cette
fois-ci.
Ce
qui
est
intéressent
dans
les
derniers
meetings
de
Trump
c'est
que
contrairement
à
Biden
il
est
allé
là où
Biden
n'est
pas
allé,
dans
des
lieux
particuliers
où il
a
montré
son
énergie,
sa
force
et sa
volonté.
Et le
résultat
est
là.
Il
n'y a
aucun
doute
sur
sa
victoire
: il
sera
président
des
Etats
Unis
d'Amérique
une
nouvelle
fois.
Son
adversaire
n'est
pas à
la
hauteur.
Trop
frêle
!
Mais
hélas...
En
fait,Trump
a
voulu
prouver,
c'est
dans
sa
nature,
qu'il
ne
craignait
pas
de se
rendre
dans
des
quartiers
touchés
par
la
crise
et y
rencontrer
les
Américains
pauvres
de
nationalités
originelles
différentes
en
leur
apportant
ce
qui
est
nécessaire
à la
vie
:
l'espoir.
Ce
que
les
commentateurs
ont
qualifié
de
"fort"
dans
un
pays
en
crise
tant
Trump
en
vrai
caméléon
a
bien
senti
en
s'y
identifiant
en
pleurant
presque
avec
ces
hommes
et
ces
femmes
là,
les
plus
déshérités
en
expliquant
ce
que
lui
ferait.
Mais
remarquons
aussi
combien
certains
commentateurs
et
citoyens
dans
le
public
ce
sont
trompés
sur
lui
dans
un
passé
pas
si
lointain
en le
traitant
de "
clown"
et
autres
qualificatifs
désobligeants.
Il
est
tout
sauf
un
clown
:
intelligent,
rusé,
sachant
plaire
en
apportant
à ses
concitoyens
ce en
quoi
ils
ont
besoin
de
croire.
Il
est
habile,
sent
les
choses
et
les
gens
,
c'est
sa
force.
Et
les
Américains
aiment
les
hommes
forts
contrairement
aux
Français
qui
les
craignent.
Ce
n'est
pas
fini
! Et
pourtant,
depuis
cette
nuit,
oui
c'est
fini
! Et
les
américains
ont
dorénavant
comme
président,
un
homme
qui
ne
correspond
pas à
leur
tempérament.
tant
pis
pour
eux !
Elections
américaines
Biden,
donné
gagnant
dans
le
Michigan,
est
désormais
à 6
grand
électeurs
de la
victoire
à
l'élection
présidentielle
américaine
2020-
Près
de 24
heures
après
la
fermeture
des
bureaux
de
vote, les
très
attendus
derniers
résultats
continuent
d’arriver
très
lentement
ce
mercredi
4
novembre.
Même
si
la
guerre
des
recours
s’engage,
Joe
Biden
peut
se
féliciter
d’avoir
remporté
le
Michigan
face
à
Donald
Trump,
selon
les
projections
des
médias
américains.
Il
s’agit
d’un
dur
revers
pour
le
républicain
qui
avait
remporté
la
région
en
2016.
Le
candidat
démocrate
à
la
présidentielle
2020 décroche
ainsi
les
16
grands électeurs
de
cet
État
et
s’approche
extrêmement
des
270
nécessaires
pour
remporter
l’élection
et
s’installer
à la
Maison
Blanche
en
janvier
2021.
À
portée
de
main
Avec
le
Wisconsin
et le
Michigan
en
poche,
deuxième
et
troisième
État
repris
à
Donald
Trump
avec
l’Arizona,
Joe
Biden
dispose
désormais
de
264
grands
électeurs.
Encore
petits
grands
électeurs
et la
victoire
sera
là.
Biden
compte
notamment
sur
le
Nevada
(et
ses...
six
grands
électeurs)
pour
atteindre
le
nombre
magique
de
270
qui
ferait
de
lui
le
46e
président
des
États-Unis.
Pour
l’heure,
il
détient
une
légère
avance
de
0,6%
sur
Trump
dans
la
région,
selon
plus
de
85%
des
bulletins
dépouillés,
rapporte
le
New
York
Times.
“Je
ne
suis
pas
venu
vous
dire
que
nous
avons
gagné.
Je
suis
venu
vous
dire
que,
quand
le
dépouillement
sera
terminé,
nous
pensons
que
nous
allons
gagner”,
avait
déclaré
le
démocrate
quelques
instants
plus
tôt
lors
d’une
brève
allocution.
Trump
déroule
les
recours
Sentant
le
vent
tourner,
Donald
Trump
a
commencé
à
abattre
une
série
d’offensives
judiciaires.
Il a
d’abord
exigé
un
recomptage
dans
le
Wisconsin,
remporté
par
Joe
Biden
avec
un
écart
de
moins
de 1%
selon
des
résultats
quasi
complets.
L’équipe
du
républicain
a
ensuite
immédiatement
déposé
un
recours
pour
obtenir
la
suspension
du
dépouillement
dans
le
Michigan,
remporté
par
Biden,
et en
Pennsylvanie.
Trump
est
certes
en
avance
pour
le
moment
dans
la
région,
mais
le
grand
nombre
de
votes
par
courrier
encore
non
dépouillés
est
bien
parti
pour
faire
basculer
l’État-clé
en
faveur
de
Biden.
Le
président
avait
même
menacé
la
veille
de
saisir
la
Cour
suprême
sans
préciser
exactement
dans
quelles
conditions.
Olivier
Véran
en
colère
à
l'Assemblée
contre
l'opposition:
"C'est
ça la
réalité!"
Après
un
vote
défavorable
à la
majorité
sur
la
prolongation
de
l'état
d'urgence
sanitaire,
le
ministre
a
haussé
le
ton
pour
défendre
les
restrictions
face
au
Covid-19.
AFP
ASSEMBLÉE
NATIONALE
-
Nuit
agitée
à
l’Assemblée
nationale.
Le
ministre
de la
Santé
Olivier
Véran
s’est
emporté
face
aux
députés
ce
mardi
3
novembre,
après
que
les
oppositions
sont
parvenues
à
faire
voter
une
prolongation
de
l’état
d’urgence
sanitaire
jusqu’au
14
décembre
seulement,
contre
l’avis
du
gouvernement
qui
la
souhaitait
jusqu’à
mi-février.
Les
députés
issus
de la
majorité
n’étaient
en
fait
pas
suffisamment
nombreux
au
moment
du
vote
pour
faire
passer
une
prolongation
de
trois
mois
de
l’état
d’urgence
sanitaire,
qui
permet
notamment
de
limiter
les
déplacements
ou
confiner
la
population.
Les
oppositions,
notamment
Les
Républicains,
ont
quant
à
elles
souligné
l’importance
de
“tout
mettre
en
œuvre
pour
permettre
aux
Français
de se
retrouver
en
famille”
à
Noël.
Olivier
Véran,
accompagné
du
Premier
ministre
Jean
Castex,
avait
rendu
visite
en
fin
de
journée
au
personnel
du
Centre
hospitalier
Sud
Francilien
de
Corbeil-Essonnes (sud-est
de
Paris).
Là-bas,
il a
rencontré
“des
soignants
qui
étaient
déjà
présents
pour
la
première
vague,
qui
ont
absolument
tout
donné
au
printemps
dernier,
et
qui
étaient
fiers
d’avoir
sauvé
grand
nombre
de
vies”,
a-t-il
raconté,
dans
un
grand
brouhaha,
comme
vous
pouvez
le
voir
dans
notre
vidéo
en
tête
d’article.
“Elle
est
là la
réalité
de
nos
hôpitaux!”
Le
ministre
de la
Santé
a dit
être
rentré
“dans
deux
chambres
du
service
de
réanimation”
de
l’hôpital.
“Dans
la
première
chambre
il y
avait
un
jeune
homme
de 28
ans.
De 28
ans.
En
coma.
Intubé,
ventilé,
avec
pas
loin
de
dix
pousse-seringues
pour
pouvoir
l’alimenter
et
lui
fournir
les
médicaments
essentiels
pour
le
maintenir
en
vie.
Dans
la
deuxième
chambre,
il y
avait
un
homme
en
surpoids,
âgé
de 35
ans”,
a
raconté
Olivier
Véran,
venu
défendre
le
confinement
face
à la
situation
tendue
dans
les
hôpitaux.
Alors
que
des
protestations
se
faisaient
entendre
dans
l’assistance,
le
ministre
a
haussé
le
ton:
“C’est
ça la
réalité
mesdames
et
messieurs
les
députés!
Si
vous
ne
voulez
pas
l’entendre,
sortez
d’ici!
Elle
est
là la
réalité
de
nos
hôpitaux!
Vous
êtes
en
train
de
débattre
de
sujets
alors
que
nos
soignants
se
battent
pour
sauver
des
vies
de
cette
manière-là
dans
nos
hôpitaux!”,
a-t-il
lancé,
soutenu
par
des
applaudissements.
À
l’issue
de sa
prise
de
parole,
Olivier
Véran
a
justifié
sa
présence
dans
l’hémicycle:
“Quand
je
suis
rentré
au
ministère,
il y
avait
un
écran
de
télévision
allumé
sur
le
débat
parlementaire.
J’ai
vu
les
députés
debout
applaudir.
J’ai
demandé
à mon
cabinet:
‘Pourquoi
applaudissent-ils?
Nous
avons
vaincu
l’épidémie?
Pour
rendre
hommage
aux
soignants?
On
m’a
expliqué
que
non,
les
députés
de
l’opposition
étaient
debout
pour
applaudir
le
fait
qu’ils
avaient
voté
la
fin
de
l’état
d’urgence
sanitaire
à la
mi-décembre
et la
fin
du
confinement
à la
fin
novembre
quoi
qu’il
arrive
dans
notre
pays.
Le
décalage
était
tellement
total
que
j’ai
décidé
de
venir
dans
cet
hémicycle
ce
soir.”
Extrait
du
conseil
des
ministres
(Polynésie)
L’armée
confirme
son
soutien
sanitaire
Le
président
Edouard
Fritch
a
reçu,
mercredi
matin,
en
compagnie
du
haut-commissaire
Dominique
Sorain
et du
ministre
de la
Santé,
Jacques
Raynal,
les
missionnaires
du
service
de
santé
des
armées
dirigés
par
le
médecin-chef
Migot.
Les
autorités
sanitaires
de
l’armée
ont
confirmé
au
président
leur
engagement
auprès
de la
Polynésie
par
la
mise
à
disposition
de
matériel
de
réanimation
et de
35
personnels
pour
renforcer
les
capacités
du
CHPF
(Centre
hospitalier
de la
Polynésie
française)
en
réanimation.
Le
chef
de la
délégation
a
également
tenu
à
transmettre
ses
félicitations
au
CHPF
pour
l’organisation
mise
en
place
pour
faire
face
à la
crise
sanitaire.
Rétablissement
de la
subvention
à
TNTV
Au
mois
de
mars
dernier,
pour
répondre
en
urgence
à la
crise
liée
à la
Covid,
le
gouvernement
a
présenté
un
collectif
budgétaire
financé
notamment
par
un
prélèvement
sur
les
subventions
aux
établissements
publics.
Ainsi,
TNTV
n’avait
bénéficié
que
de
75%
de sa
subvention,
à
hauteur
de
682,5
millions
Fcfp.
Le
gouvernement
s’était
toutefois
engagé
à
rétablir
les
sommes
ainsi
prélevées.
C’est
dans
ce
contexte
qu’à
l’occasion
du
collectif
n°3
du
mois
de
juillet
dernier,
la
subvention
de
TNTV
pour
l’année
2020
a été
rétablie
à son
montant
initial
et le
Conseil
des
ministres
vient
donc
d’acter
le
versement
d’une
subvention
de
fonctionnement
complémentaire
de
227,5
millions
Fcfp.
Subvention
d’investissement
en
faveur
de
l’Office
des
postes
et
télécommunications
pour
le
câble
Natitua
sud
Cette
nouvelle
infrastructure
permettra
à ces
îles
du
sud
de la
Polynésie
française,
d’accéder
à l’internet
haut
débit
et de
bénéficier
de
l’accès
à des
services
innovants,
dans
une
perspective
d’amélioration
du
service
rendu
aux
usagers,
et de
contribution
au
développement
économique,
touristique,
sanitaire,
social
et
culturel
et
par
le
maintien
des
populations
dans
ces
îles.
La
phase
1 de
l’opération,
objet
de la
présente
convention,
porte
sur
la
construction
des
équipements
du
système
à
savoir
dans
un
premier
temps
l’étude
d’impact
environnemental,
puis
dans
un
second
temps
la
construction
des
stations
et
des
points
d’atterrage
et du
génie
civil,
et
enfin
la
fourniture
du
système
de
câble
sous-marin.
D’un
montant
total
de 1
050
000
000
Fcfp,
cette
première
phase
bénéficie
d’une
subvention
de
675
000
000
FCFP
du
Pays
et de
357
995
227
Fcfp
de
l’Etat
au
titre
du
programme
2020
du
Fonds
exceptionnel
d’investissement
(FEI).
Le
Conseil
des
ministres
a
approuvé
la
mise
en
œuvre
de
cette
convention
portant
sur
la
phase
1 de
l’opération.
La
phase
2 du
projet
portera
elle,
sur
la
pose
et la
réalisation
des
tests
du
système
de
câble
sous-marin.
Aides
exceptionnelles
à la
sauvegarde
des
emplois
en
faveur
des
secteurs
d'activité
impactés
par
une
décision
de
fermeture
due à
la
situation
sanitaire
Lors
du
Conseil
des
ministres
de ce
mercredi,
la
ministre
du
Tourisme
et du
Travail,
Nicole
Bouteau,
a
proposé
la
réactivation
du
Revenu
Exceptionnel
de
Solidarité
(RES)
et
l'adaptation
du
DESETI
en
faveur
des
secteurs
d'activité
impactés
par
une
décision
de
fermeture
due à
la
situation
sanitaire
du
Pays.
En
effet,
face
à
l'accélération
de la
croissance
de
l'épidémie
de
Covid-19
ces
dernières
semaines
sur
les
îles
de
Tahiti
et
Moorea,
faisant
craindre
une
saturation
des
capacités
d’accueil
et de
soins
des
infrastructures
hospitalières,
le
Pays
et
l'Etat
ont
décidé
de
renforcer
les
mesures
visant
à
réduire
le
nombre
de
nouveaux
cas
positifs.
Ainsi
sur
Tahiti
et
Moorea,
les
bars,
les
salles
de
sport
et
les
lieux
d'exposition,
foires,
salons
sont
fermés.
Il en
résulte
un
empêchement
pour
les
entreprises,
leurs
salariés
et
les
travailleurs
indépendants
exerçant
au
sein
de
ces
secteurs,
de
poursuivre
leur
activité
professionnelle.
Aussi,
pour
éviter
une
dégradation
trop
importante
de
leur
situation
financière,
il a
été
décidé
d'indemniser
la
période
durant
laquelle
la
poursuite
de
leur
activité
est
rendue
temporairement
impossible.
RÉACTIVATION
DU
REVENU
EXCEPTIONNEL
DE
SOLIDARITÉ
(RES)
Dans
ce
contexte,
le
Revenu
Exceptionnel
de
Solidarité
(RES)
est
réactivé.
Sont
concernés
les
salariés
des
entreprises
des
secteurs
suivants
:
bars,
discothèques,
salles
de
sports,
organisateurs
de
foires
et
salons.
L'indemnité
versée
au
salarié,
proratisée
sur
la
base
du
nombre
de
jours
de
fermeture
de
l'entreprise,
sera
de
maximum
:
-
50 000
Fcfp
pour
les
salariés
touchant
un
salaire
inférieur
ou
égal
à
50 000
Fcfp;
-
100 000
Fcfp
pour
les
salaires
supérieurs.
L'Assemblée
nationale
a
voté
le
budget
de l'OM
de
2,5
milliards
d'euros,
en
baisse
de 100 millions
d'euros
par
rapport
à
2019,
notamment
en
raison
de
crédits
non
consommés.
Des
millions
de
téléspectateurs
ont
suivi
hier
soir
la
montée
en
puissance
de
Donald
Trump
face
à Jo
Biden
sur
la
carte
des
Etats
Unis
et le
rouge
peu à
peu à
grogn,oter
les
états
bleus
de
Biden.
Les
Français
n'aiment
pas
Trump,
il
est
trop
américain
pour
eux,
mais
les
Américains
aiment
cet
homme
justement
parcequ'il
correspond
à
leur
" way
of
life",
colle
à la
réussite,
ose
dire
les
choses
telles
qu'elles
sont,
ne
prend
pas
de
gants
pour
les
dire
et
les
balance
parfois
tels
des
uppercuts
à la
face
de
ses
adversaires.
Il
peut
être
charmant
ou
percutant
dans
l'offense.
Il
est
Trump.
Et ce
Trump
là a
effacer
avec
une
grande
facilité
la
mince
silhouette
de
l'homme
posé
qu'il
avait
en
face
de
lui.
Mettre
un
poids
lourd
en
face
d'un
poids
léger
ce
n'est
presque
pas
juste
et
d'une
chiqunaude
les
Américains
on
envoyé
cet
homme
au
tapis
pour
adouber
ler
candidat
préféré
Donald
trump
Mardi
3
novembre
2020
A
propos
Rohfritsch
siège
à la
Cour
de
justice
de la
République,
heu-reux
!
Teva
Rofritsch
sans
bruit
grimpe
les
échelons
de
son
ambition.
Il
vient
d'être
élu
membre
titulaire
de la
cour
de
justice
de la
République
où il
siègera
jusqu'en
2023
parmi
les
15
membres
titulaires
de la
Cour
de
justice
de la
République
compétente
pour
juger
les
crimes
et
délits.
Respect.
Cette
juridiction
est
composée
de 12
parlementaires
( six
sénateurs
et
autant
de
députés)
plus
trois
magistrats
de la
Cour
de
cassation.
mais
attention....
cette
cour
de
justice
de la
République
est
compétente
pour
juger
les
crimes
et
délits
commis
par....les
membres
du
gouvernement
dans
l'exercice
de
leurs
fonctions.
Fichtre,
ce
n'est
pas
rien.
Teva
arrive
ils
n'ont
plus
qu'à
bien
se
tenir
! Le
voilà
devenu
quasiment
un "
justicier".
Belle
promotion"
Il
n'a
pas
manqué
de
dire
avec
"l'humilité"dont
il
est
coutumier,
je
pense
que
c'est
un
honneur
pour
le
pays"
Il a
juste
oublié
de
dire
ce
qu'il
pense
vraiment
" et
pour
moi
aussi"
Pour
quelqu'un
que
Gaston
Flosse
avait
dit
avoir
"récupéré
dans
le
caniveau"
en
voilà
une
belle
promotion
et
une
sacrée
revanche
!
Il
est
évident
par
ailleurs
que
le
tourisme
en
Polynésie
boit
le
bouillon
amer
du
coronavirus
poussant
les
responsables
des
tours
operators
français
dans
un
rejet
bouillonnant
provoquant
une
grosse
vague
d'annulations
de
touristes.
Qui
aujourd'hui
a le
coeur
a
faire
20.000
kms
et
larguer
ses
économies
pour
venir
se
faire
bronzer
en
pleine
saison
des
pluies
et a
écourter
des
vacances
humides
avec
l'extension
du
couvre-
feu
métropolitain
étendu
à
Tahiti
et
Moorea
?
Mais
Michel
Monvoisin
a la
parade
en
disant
"
C'est
sûr
que
cela
ne
nous
aide
pas
du
tout
mais
ils
peuvent
venir
et
s'envoler
vers
les
îles
qui
n'ont
pas
le
couvre-feu."
Toutefois,
il
faut
raison
garder.
Qui a
le
coeur
de
dépenser
des
sommes
importantes
pour
voyager
en
cette
période
échevelée
marquée
par
un
méchant
virus
et en
pleine
saison
des
pluies
?
Mais...
dans
sa
grande
générosité
le
pays
par
la
voix
de la
ministre
du
Tourisme
Nicole
Bouteau
a
lancé
son
pétard
"si
un
touriste
est
contaminé
il
sera
isolé,
oui,
mais
à ses
frais".Tenez
vous
le
pour
dit.
Le
slogan
qui
revient,
une
fois
de
plus
à la
mode
c'est
:"
fly
over
these
bloody
islands
!"
Tout
le
monde
a
compris
!
Lundi
2
novembre
2020
L'évêque
Cochon
demande
à
Jeanne
d'Arc
:
Dieu
aime-t-il
les
Anglais?
Jusqu'ici
la
France
avait
été
épargnée,
seuls
quelques
islamistes
radicaux
tentaient
de
décapiter
ou
jouer
du
couteau,
vous
me
direz
c'est
déjà
trop,
et je
partage
votre
sentiment.
Bien
sûr
notre
président
Macron
a
pris
son
air
doux
et
martial
dans
le
même
temps
en
déclarant
: "
nous
ne
cèderons
rien"
!
Mais
qu'avons-nous
à
céder
?
Entre
les
attaques
au
couteau
( les
islamistes
adorent
trancher,
décapiter,
ouvrir,
frapper
et
hurler
Allah
Akbar)
Dieu
est
le
plus
grand
!Quel
dieu
?
Celui
qui
tue ?
Il y
a
bien
longtemps
que
nous
ne
tuons
plus
au
nom
de
dieu.
Nous
l'avons
fait
sans
nous
priver
certes,
il y
a
bien
longtemps,
mais
depuis,
il
parait
que
nous
sommes
"civilisés".
Egorger
ceux
qui
ne
pensent
pas
comme
nous
ne
fait
plus
partie
de
notre
modèle
de
vie
et de
notre
adresse
au
couteau.
Sans
doute
aurions-nous
beaucoup
trop
de
travail
!
Mais
la
France
subit
et
vient
de
passer
en
"urgence
attentat,"
le
niveau
le
plus
élevé
du
plan
Vigipirate.
Il
est
vrai
que
les
musulmans
ne
sont
pas
tous
des
assassins
et
leur
religion
condamne,
comme
la
nôtre,
ces
attentats
terroristes.
Malheureusement
il
suffit
de
quelques
forcenés
pour
englober,
trop
facilement
sans
doute,les
musulmans
dans
le
même
paquet
sanglant.
Même
la
Turquie
a
fermement
condamné
la
sauvage
attaque
de
Nice
qui a
fait
trois
morts
dans
une
basilique
de
cette
ville.
A
côté
de ce
que
nous
voyons,
parfois
avec
horreur,
à la
télévision,
la
vie
en
Polynésie,
pays
des
dieux,
est
si
tranquille
qu'en
pensant
à ce
qui
se
passe
actuellement
en
France
nous
fait
peur
pour
nos
proches
et
nos
enfants
qui y
vivent
et y
étudient.
Aussi
prions
bonnes
gens
pour
que
cette
tranquillité
ne
soit
pas
un
leurre
et
que
le
ciel,
un
jour,
ne
nous
tombe
pas
sur
la
tête,
fatigué
d'entendre
les
incantations
des
islamistes
radicaux.
Car
pour
ceux-là
nous
sommes
des
hérétiques
qui
méritons
la
mort.
Nous
avons
bien
assez
du
sieur
Corona.
Tout
ce
qu'on
peut
dire
en
commençant
par
"con"
Autrefois,
les
gens
qui
restaient
chez
eux
sans
parler
à
personne
étaient
qualifiés
de
cons
finis.
Aujourd'hui
ils
sont
simplement
des
cons
finés.
Le
con
finement
nous
est
parvenu
par
les
chefs
des
gouvernements
s'adressant
à
leurs
cons
citoyens.
Tout
cela
est
con
sternant.
Cela
commence
à
nous
mettre
la
con
pression
et
nous
entendons
de
nombreux
potes
se
con
plaire
dans
la
con
plainte
médiatique.
Faute
de
mieux
nous
nous
tournons
vers
l'église,
ce
lieu
con
sacré
pour
demander
à
Dieu
de
con
jurer
ce
fléau.
On
nous
dit
alors
que,
pour
ne
pas
être
cons
damnés,
nous
devrions
pour
pénitence
nous
con
fesser.
À
la
maison,
pas
toujours
facile
de
con
tinuer
à
bien
s'entendre
avec
nos
cons
pagnes
ou
nos
cons
joints.
Il
faut
faire
des
cons
promis
et
prendre
quelques
cons
primés
pour
faire
passer
la
pilule.
Nous
en
sommes
cons
vaincus,
il
faut
rester
à la
maison
dans
le
con
fort,
nous
limiter
à
manger
des
plats
consgelés
et
penser
avec
con
passion
à
ceux
moins
bien
lotis.
Bientôt
tout
ira
mieux
et le
virus
aura
été
con
battu
avec
succès.
Mais
restera
la
facture
à
payer.
Et
là,
soyez-en
sûrs,
nous
serons
alors
tous
cons
cernés.
"Avant
de
sièger
comme
député
Edouard
Herriot
commença
sa
carrière
de
parlementaire
au
Sénat,
institution
qu'il
définissait
ainsi
:
Qu'est-ce-que
le
Sénat
?
Une
assemblée
d'hommes
à
idées
fixes,
heureusement
corrigées
par
une
abondante
mortalité."
«
François
Baroin
commence
à
nous
saouler
» :
vent
de
colère
chez
les
Républicains
(Quel
dommage
!)
20minutes
François
Baroin
s'est
définitivement
écarté
de la
course
à
l'élection
présidentielle
de
2022,
mais
cela
ne
l'empêche
pas
de
s'exprimer
sur
la
vie
politique
actuelle.
Au
grand
dam
de
ses
camarades
de
droite.
Dans
Le
Point
ce
jeudi
29
octobre,
Damien
Abad,
député
et
président
du
groupe
Les
Républicains
à
l'Assemblée
nationale,
a
exprimé
sa
lassitude
face
à son
comportement.
"François
Baroin
commence
à
nous
saouler",
a-t-il
lancé
en
réaction
à
l’interview
que
l'ancien
présidentiable
a
accordée
au
JDD,
dans
laquelle
il
est
allé
à
contrecourant
de
son
parti
en
déclarant
que
"l’heure
n’est
pas à
réformer
la
constitution"
dans
la
lutte
contre
l'islamisme.
Avant
de
déplorer
: "Il
décide
de ne
pas
être
candidat
en
2022...
On
respecte
sa
décision
mais,
depuis,
il
nous
fait
la
leçon
tous
les
quatre
matins.
C’est
fatigant."
François
Baroin,
poulain
de
Jacques
Chirac
longtemps
en
tête
de
liste
pour
être
le
candidat
Républicain
à la
prochaine
élection
présidentielle,
a
renoncé
à se
présenter
pour
préserver
sa
vie
personnelle.
Même
s'il
reste
présent
dans
le
débat
politique,
il
laisse
désormais
la
place
à une
autre
personnalité
de
droite.
Dans
Le
Point,
Damien
Abad
mise
sur
Xavier
Bertrand,
actuellement
président
du
conseil
régional
des
Hauts-de-France.
Si ce
dernier,
ministre
du
Travail
durant
la
présidence
de
Nicolas
Sarkozy,
a
quitté
Les
Républicains
en
2017
après
l'élection
de
Laurent
Wauquiez
à la
tête
du
parti,
il
a
déclaré
en
août
dernier
se
préparer
pour
affronter
Emmanuel
Macron
en
2022.
(...)
En
réponse
aux
termes
d'un
article
paru
dans
la
Dépêche,
vendredi
dernier,
le
syndicat
"Allianz
police"
monte
au
créneau
L'
Organisation
Syndicale
ALLIANCE
POLICE
NATIONALE
en
POLYNESIE
FRANCAISE
souhaiterait
REAGIR
à la
suite
d'un
article
du
30/10/2020
l'intitulé
"Interpellation
d'un
agent
pénitentiaire
à la
DSP:
la
violence
policière
en
question".
En
effet,
la
lecture
de
cet
article
laisse
quelque
peu
sous
entendre
que
les
policiers
auraient
été
eux
auteurs
des
violences
et
non
pas
l'inverse.
Nous
tenons
à
rappeler
ici
que
les
faits
de
violences
sont
constituées
lorsqu'elles
sont
commises
de
manière
intentionnelle
à
l'encontre
d'une
tierce
personne;
Or
dans
le
cas
présent,
les
policiers
dénués
de
toutes
intentions
malveillantes,
n'ont
fait
que
réagir
face
à une
personne
tenant
des
propos
plus
qu'
outrageants,
qui
plus
est
très
alcoolisée,
et ce
en
utilisant
la
FORCE
STRICTEMENT
NECESSAIRE
afin
de
procéder
à son
interpellation,
celle-ci
ayant
opposé
une
certaine
résistance
lors
de
son
menottage
malgré
plusieurs
demandes
préalables
de
leurs
parts
de
bien
vouloir
quitter
les
lieux.
En
souvenir
d'expériences
régulières
à la
DSP:
"Il
n'existe
aucune
intervention
de
police,
où
des
personnes
obtempèrent
aux
injonctions
données,
qui
se
termine
par
des
faits
de
rebellion
et en
conséquence
par
des
interpellations
où il
a
fallu
faire
usage
de la
force."
En
d'autres
termes,
pour
s'éviter
tout
ces
ennuis
il
aurait
tout
simplement
suffit
pour
le
mis
en
cause
de
quitter
le
poste
de
police
au
moment
où il
lui a
été
demandé
de le
faire.
L'intéressé,
qui
est
de
surcroît
fonctionnaire
de
l'Administration
Pénitentiaire,
était
encore
plus
que
quiconque,
nullement
sensé
ignorer
la
loi
dont
il
est
également
un de
ses
représentants.
De
leurs
côtés,
les
policiers
ne
pouvaient
pas
laisser
faire
les
agissements
d'une
personne
alcoolisée
venue
au
poste
de
police
"exiger"
la
libération
de
son
ami,
à se
substituer
ainsi
à un
magistrat
du
Parquet
avant
de
s'en
prendre
physiquement
à un
de
nos
agents.
Force
devant
rester
à la
Loi
les
policiers
n'ont
fait
que
répondre
de
manière
légitime
à la
résistance
qui
leur
a été
opposée.
Et
si le
nombre
de
policiers
intervenants
peut
surprendre,
il
sert
justement
à
éviter
que
les
choses
s'enveniment
et
que
le
menottage
se
fasse
le
plus
vite
possible.
Les
vidéos-surveillances
jointes
au
dossier
ont
par
ailleurs
pu
attester
ces
faits.
D'ailleurs
nous
tenons
ici à
remercier
publiquement
Monsieur
Hervé
LEROY
Procureur
de la
République
d'avoir
pris
en
considération
tous
ces
éléments
de
procédures
dans
son
réquisitoire,
et
par
conséquent
nous
attendons
patiemment
l'issue
du
jugement
qui
sera
rendu
très
prochainement.
Nous
terminerons
par
dire
que
Fort
heureusement
pour
nous,
la
majorité
des
polynésiens
respecte
encore
ses
forces
de
l'ordre
et
leur
uniforme
et
par
dessus
tout
la
Loi
qui
s'applique
à
tous
y
compris
à des
fonctionnaires
fussent-ils
de
l'Administration
Pénitentiaire,
avec
qui
nous
entretenons
des
relations
opérationnelles
de
bon
aloi.
Nous
encourageons
évidemment
nos
concitoyens
à
poursuivre
en ce
sens.
Nous
vous
remercions
pour
la
prise
en
compte
de
notre
communiqué,